Présentation

Calendrier

Novembre 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  
<< < > >>

Recherche

Derniers Commentaires

Créer un Blog

texte libre

                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Jeudi 11 mars 4 11 /03 /Mars 22:32

 

CHAPITRE 21 :

 

 

 img035

Je m’étais éveiller alors que le soleil était déjà haut le bateau avait déjà reprit le large. Milan avait du s’occupait de tout. C’était vraiment un petit mec incroyable. Je tournais la tête pour regarder Adrien qui dormait toujours à poing fermer. Il était tellement beau. Je faisais glisser mes doigts le long de sa peau. J’avais passé la nuit blottis dans ses bras. Sa avait été un moment incroyable. Je l’aimais tellement. J’aurais put rester à le contemplait durant des heures, je déposais un léger baiser sur ses lèvres, elles étaient si douces.

Je m’arrachais de la chaleur de son corps pour me levais. J’avais mal au bassin mais peut importe je devais reprendre mon rôle de capitaine. Je sorti sur le pont pour et respirais à plein poumons l’air du large. C’était tellement agréable. C’était une bien belle journée. Je levais les yeux vers le ciel, le soleil était à son zénith, l’air était doux, changeait des odeurs du larges. Je fermais les yeux profitant de ce moment. Pour la première fois de ma vie je me sens entier est-ce cela le bonheur. Lorsque je ré-ouvrais les yeux ce fut pour voir Milan à la barre le regard perdu dans le vague. Les rayons du soleil faisait briller sa peau de satin sa le rendait tellement beau. Il ressemblait à un ange. Je m’approchais de lui l’entourant de mes bras et mes lèvres ce posaient sur les miennes. Il me repoussait avec force me fixant étonné. Que lui arrivait-il ? C’était bien la première fois qu’il me repoussait.

- Bon…Bonjour Jackson.

Je posais mes deux mains à côté des siennes sur la barre me rapprochant de lui.

- Que ce passe t-il Milan ?

- Ton Adrien chéri ma gentiment fait comprendre que je ne devais plus t’approchait de trop prés.

- tu es trop bête Milan.

- Je t’interdis de dire ça.

- Vient. J’ouvrais les bras lui faisant comprendre ce que je voulais. Il ne mit pas longtemps à venir ce blottir dans mes bras. Ce que je pouvais aimer ce petit bonhomme. Il refermait ses bras autour de moi blottissant son visage pour le creux de ma nuque.

- Jamais personne ne pourrait nous séparé Milan. Personne ne l’as put et il ne le pourra pas. Tu es la personne la plus importante dans mon cœur. Tu sais très bien que sans toi je ne peux survivre.

- Je ne veux pas qu’il te fasse souffrir. Je ne laisserais plus jamais personne te faire de mal.

- Ce n’es pas mon rôle de te protégé.

- Tu en as déjà assez fait. Maintenant c’est à moi de t’aidé. Je veux prendre soin de toi comme tu la fait pour moi.

Ses mots ne touchaient vraiment. Ce que je pouvais l’aimer mon petit Milan. Je déposais mes lèvres sur les siennes avec douceur. Mais il me repoussait à nouveau. Pourquoi refusait-il mes baisers. Avant il adorait ça. C’était même lui qui le demandait.

- Tu ne devrais pas faire cela. Il pourrait être jaloux.

- Pourquoi ce n’es qu’un geste d’amitié. Il ni as rien de mal là dedans.

- tu es bien trop naïf des fois.

- De toute façons pourquoi serrait-il jaloux. Il ne m’aime pas.

 

 

 

Voir la tristesse dans son regard me serrait le cœur. Pourquoi Est-ce qu’il avait fallut qu’il tombe amoureux de ce mec. Moi je ne l’aurais pas rendu aussi triste. Mais son cœur à choisi cette homme. Je le déteste parfois de me rien voir. Mais tout ce que je souhaitais c’était de le voir heureux. J’enroulais à nouveau mes bras autour de lui pour le serrait dans mes bras. Profitant de cette douce chaleur.

- Milan, promet moi de toujours restait mon ami.

- Je te le jure tu es ma seul famille. Je ne te quitterais jamais.

- je t’aime Milan.

- Moi aussi je t’aime capitaine.

Tout ce que je souhaitais c’était de pouvoir resté à ses côté aussi longtemps qu’il voudra de moi. Parce que moi aussi sans lui je ne pouvais survivre. Et jamais cette homme ne pourra ce mettre entre nous deux.

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 9 mars 2 09 /03 /Mars 12:34

et voila le chapitre 20. il est court et pas des plus intéressant mais bon il faut bien dés chapitre nul de temps en temps.lol. bonne lecture bisous

 

 

CHAPITRE 20 :

 

 

 

 

Que voulait-il que je lui répond que je repenser à la façon donc je lui avais ôter la vie. Que je l’avais regarder ce vider de son sang, jusqu’à ce que la vie quitte son corps. Et que j’étais rester à fixais son corps sans vie qui ne poserais plus jamais ses mains sur moi. Il me déteste déjà suffisamment pas besoin de lui donnait encore plus de raison de me haïr. Je suis un monstre amoureux d’un mec qui ne fait que ce servir de moi. C’est un juste retour de bâton.

 

Il revenait les bras charger de nourriture et il posait tout sa sur le lit. Il m’aidait à me redressais mettant un coussin derrière mon dos. Il ce dirigeait vers mon bureau et en revenait avec deux verres et une bouteille de rhum. Il en versait dans les deux verres et m’en tendis un.

- A la notre.

 

 

 

Il était tôt encore, le soleil ce lever à peine à l’horizon. Je n’avais pas réussi à dormir de la nuit. Je me faisais du soucis pour mon capitaine. Qu’es ce qu’il faisait ? Est-ce que ce petit con était avec lui ? Est-ce qu’il lui avait fait du mal ? S’il le fait souffrir je le tue.

Je ne trouvais pas Jackson sur le pont supérieur où il avait l’habitude de dormir lorsque les pirates descendaient au port. Pourquoi n’ai -il pas là ?

Je rentrais dans sa cabine et me fixais de surprise en le voyant allongeait sur le lit, nu, dans les bras de Adrien. Il avait un visage serein et un sourire heureux sur le visage. Je ne l’avais encore jamais vu aussi heureux. Je remontais les couvertures sur leurs deux corps enlacés et déposais un baiser aux coin des lèvres de Jack. Je me redressais et fut surpris de sentir une main attrapait mon poigner. Je relevais la tête pour me retrouvais face au regard menaçant d’Adrien.

- Toi tu le touche pas où je te tue.

- Il n’est pas ta chose. Tu ne l’aime pas.

- Il est mon petit ami alors garde tes sales pattes loin de ce qui m’appartiens.

- Connard. Tant que tu ne le fera pas souffrir je ne peux rien faire. Il est comme un frère pour moi. Et tu sait jusqu’à où peut aller un frère pour protéger le sien. Alors maintenant lâche moi. Ne le détruit pas juste pour atteindre ton but, il ne mérite pas sa.

- Je n’ai pas besoin qu’un gamin viennent me faire la leçons de morale. Si je vois tes lèvres, où tes mains ce posaient une seul fois sur lui je te tue.

- Va te faire foutre.

- Ce n’es pas toi qui aimerait te faire foutre par ton capitaine. Tu arrive trop tard. C’est moi qui le baise et il adore ça.

- Espèce de connard.

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 9 mars 2 09 /03 /Mars 12:32

 

 

 

CHAPITRE 19 :

 

 

 

            Je le fixais en silence, là étendu sur le lit, le corps en sueur maculé de mon sperme. Ça avait duré encore et encore. Je navais penser quà mon plaisir. Je lavais entendu gémir de douleur mais javais fait la sourde oreille. Je navais pas voulu marrêter parce que cétait tellement bon dêtre en lui. Et il ne mavait pas demandé de cesser. Il y avait encore les traces de larmes sur ses joues, et je sentis mon cœur se serrer lorsque je vis du sang sur ses cuisses. Merde, il avait fait tous ça parce quil maimait. Je lui avais fait tellement de mal et il navait rien dit. Je me sentais si égoïste, si con. Je l’avais traité comme un vulgaire objet sexuel. 

 

            Je savais pourtant quil ne voulait pas que je le prenne de cette façon. Merde, jaurais dû être doux, tendre avec lui. Lui montrer que même si je le prenais par derrière, ça ne changeait rien. Que lon pouvait faire lamour dans cette position aussi. Mais javais laisser parler ma bite.

            Jaurais dû entendre la tristesse dans sa voix lorsquil mavait dit de faire ce que je voulais, il ne le pensait pas. Je suis vraiment un sale petit con.

 

 

            Je ne pouvais pas. J’étais bien incapable de juste me servir de lui. Je n’étais pas aussi insensible. Je devrais peut être cesser cela avant quil ne soit trop tard pour nous deux. Il maimait, je ne pouvais pas lui faire autant de mal.

            Je fis glisser mes doigts le long de sa joue, sa peau était si douce. Comme celle dun enfant. Il était vraiment superbe. Sa peau était halée sans doute à cause de ses longues heures passées sur ce bateau en plein soleil.  Son corps était musclé, ses cheveux étaient doux, et il sentait bon. Merde, quest-ce que jétais en train de faire là ? Je retirai ma main mais continuais de le regarder.

 

 

            Lorsque jouvris les yeux, je le vis allonger à mes côtés. Il semblait perdu dans ses pensées. Il devait penser à Alizé restée au port ou à son frère retenu par Gus. Et jen fus jaloux. Je voulais quil ne pense quà moi, quil ne regarde que moi. Cétait tellement égoïste de penser ainsi. Je ne pensais quà moi.

            Il mavait fait mal cette nuit, mais peu importait parce quavant il mavait fait lamour et il avait été si doux. Cétait la seule chose que je voulais retenir. Il pouvait faire ce quil voulait de mon corps du moment quil restait près de moi. Cétait douloureux parce que ça faisait longtemps mais jallais m’y réhabituer. Il avait aimé me baiser. Il avait pris bien plus de plaisir. Je devais lui donner du plaisir pour quil reste à mes côtés. Pour lui, jétais prêt à redevenir ce que javais cherché à fuir.

            Jallais me coller contre lui pour sentir sa chaleur. Il était tellement perdu dans ses pensés quil navait même pas vu que jétais réveillé. Je caressais son dos avec douceur, mon oreille était contre son torse et lécoutait battre. Je frissonnais lorsque je sentis ses bras se refermer autour de moi, ses doigts se glissaient dans mes cheveux, cétait si bon. Je me sentais si bien là dans ses bras, contre son corps chaud. Javais mal partout, je nallais sans nul doute pas pouvoir marcher de toute la journée mais malgré ça, jétais fou de bonheur.

- A quoi penses-tu, mon amour ? Pourquoi est-ce que je lui posais la question alors que je connaissais parfaitement bien la réponse ? À tout, à tout le monde sauf à moi.

- Je pense à toi. Juste à toi.

 

 

            Je relevai la tête vers lui, étonné. Javais dû mal entendre. Il ne pouvait pas penser à moi. Cétait tout bonnement impossible. Mais son baiser finit de me convaincre. Il était si tendre, sa langue caressait la mienne avec douceur. Il mattira sur lui, mallongeant sur son corps me gardant dans ses bras. Il relâcha mes lèvres déposant un baiser sur mon front, sur mon œil, mon nez, partout où il le pouvait. Cétait tellement agréable. Je ne pouvais mempêcher de sourire comme un con.

- Je suis vraiment désolé. Je ne voulais pas te faire de mal. Je me suis laissé emporter.

- Cétait bon.

- Ne me mens pas. Tu pleurais. Tu avais mal. Même si tu maimes, tu ne dois pas faire ce dont tu nas pas envie.

- jai peur que si je ne te donne pas assez de plaisir, tu partes.

- Tes bête. Tu me tiens par la gorge. Si je veux retrouver mon frère, je suis bien obliger de rester avec toi.

- Ouinonmaisje tai dit que je taiderai sans rien demander en retour.

            Je me défis de sa prise et essayai de me redresser mais je retombai aussi sec sur le matelas dans un cri de douleur. Adrien se redressa une lueur effrayée et soucieuse dans le regard.

- Jacky, quest-ce quil y a ?

- Jacky, cest  nouveau. Cest mignon. Je ne pus mempêcher de lui sourire, en glissant mes doigts sur sa joue. Il sinquiétait pour moi. Par pitié ou parce quil tenait un peu à moi. Je ne savais pas et je men moquais. Pourquoi fallait-il que je sois si faible face à lui ? Je me détestais dêtre comme ça. Je me perdis dans son regard, dans mon passé.

           

           

            « Jai tué la moitié des hommes qui avait posé leurs mains sur moi. Jai regardé leurs sang couler sur le pont du bateau. Jai enfoncé ma lames dans leur cœur et les ai écouté crier en me suppliant de ne pas les tuer. Jai écouté leur dernier souffle. Je les ai regardés se tordre de douleur sans sourciller, sans en éprouver la moindre douleur.  Je lai gardé pour la fin. Cette enculé qui a été le premier à me souiller, je lavais forcé à me regarder tuer ses hommes, les uns après les autres. Cette nuit-là, la lune était pleine et aussi écarlate que le sang qui allait se mêler à leau, rendant cette étendue deau encore plus attirante.

            Cette nuit-là je lavais laissé me prendre une dernière fois. Comme tous les jours, il mavais plaqué à même son bureau, avait arraché mon pantalon pour me pénétrer sans la moindre préparation. Javais serré les dents sous la douleur. Je navais pas crié, jétais habitué, déjà si longtemps que je subissais cela. Chaque coup de reins me déchirait encore plus, je le laissais faire impassible sous les rires et les cris dencouragement des autres pirates. Il a jouit en moi, me balançant toutes ses insultes habituelles. La mer était calme cette nuit-là comme moi lorsque jai attrapé le sabre. Jai vu la crainte dans son regard lorsque je me suis approché de lui, et son cri de douleur à déchiré la nuit lorsque ma lame a tranché ce sexe qui mavait tant de fois souillé. Je ne serais plus sa pute, je se serais plus la pute de personne.

            Je le regardai se tordre de douleur sur le sol comme une vermine, beaucoup moins fier. Je détournai les talons et sortis sur le pont, il criait à ses hommes de me tuer. Et ma lame sest enfoncée dans le cœur du premier qui s’est approché de moi. Je lai fixé droit dans les yeux lorsque ma lame à percer son cœur. Il nas pas crié, il s’est écroulé sans vie. Je voulais quil voit ses fiers pirates tomber sous la lame de celui quils avaient utilisé comme pute. Jenfonçais ma lame en eux comme ils avaient enfoncé leur sexe en moi. Et jy prenais du plaisir. Jétais un monstre, leurs cris de douleur, leurs supplications n’y changeaient rien, je continuais mon massacre sous ses yeux.

            Ils n’y avait plus personne, des dizaines corps reposaient sur le sol, entassés les uns sur les autres. Quel spectacle pathétique. Jentendais les vagues se fracasser contre le navire. Ça navait jamais été aussi calme. Ce que jaime ce bruit. Le vent balayait mon visage. Je fermai les yeux juste une seconde avant den finir avec mon enfance et de reprendre ma vie en main. Jétais maculé de sang, couvert du sang de ces pécheurs. Je retournais dans la cabine. Avec calme, jessuyai ma lame sur mes vêtements, la rendant brillante comme si elle navait jamais ôté la vie. Il était toujours dans la cabine essayant de se redresser. Le grand pirate nétait plus. Il était redevenu un homme ordinaire tremblant devant la lame de la justice. Son regard était rempli de terreur. Il tremblait devant moi alors qu’il venait de me baiser. Je magenouillai devant lui, je navais aucune pitié pour lui, jallais lui ôter la vie comme il mavait ôté mon innocence. Il reculait à chaque fois que je faisais un pas vers lui. Mon corps frissonnait de voir la peur dans son regard et il avait raison de me craindre. Je n’étais pas un gentil garçon bien docile. Je n’avais pas de cœur. Tuer ne me posait aucun problème. Je le regardais se vider de son sang en essayant déchapper à la mort.

- Pourquoi ? Aide moi.

            Je ne répondais pas, le laissant nourrir doucement et dans la douleur. Cétait une belle nuit pour tuer »

 

 

            Je sursautais lorsque je sentis sa main se poser sur ma joue me sortant de mes pensées.    

- Quest-ce qui tarrive ? Tu avais lair ailleurs. Ton regard faisait peur.

- Je te fais peur ? Demandais-je dune voix froide en le dévorant du regard. Tu as raison davoir peur ,Adrien, je suis un monstre.

- Arrêtes tes connerie. Tu nes pas comme ça.

            Je ne répondis rien, que lui dire que je suis faible face à lui, que je suis prêt à tout pour lui. Je me contentais d’afficher à nouveau un sourire hypocrite, c’était la seule chose que j’étais capable de faire en cet instant.

- Quand tu as dit que tu allais me défoncer, tu n’as pas menti. Ça fait vraiment mal.

            Il m’écarta les cuisses pour s’y glisser, j’avais peur. Cétait bien la première fois de ma vie que javais peur à lidée de me faire baiser une nouvelle fois. Je ne pourrais pas supporter une autre pénétration. Pas aussi tôt. Mais je le laissais faire. J’étais incapable de lui dire non. Comme javais été incapable de faire quelque chose lorsque ces hommes me violaient. Je fermais les yeux le laissant faire ce quil voulait de moi. Ses lèvres glissèrent le long de mon corps et je ne pus mempêcher den frémir. Je sursautai de surprise lorsque je sentis sa langue se poser sur ma rosette rougie, blessée.

- Dris, fais pas sa.

- Chut, cest pour te soigner. Après, ça ira mieux, tu verras. Détends-toi.

            Je fis ce qu’il me disait. Je fermais les yeux laissant sa langue soigner mes blessures.  Je laissais échapper un râle de plaisir lorsque ses doigts senroulèrent autour de mon sexe tendu. Cétait tellement bon. Il ne me fallut pas bien longtemps pour jouir sous ses douces caresses. Il se redressa madressant un large sourire.

- Alors, ça va mieux ?

- Cétait bon. Mais je ne peux toujours pas me lever, et jai faim et soif.

- Je vais y aller. Bouge pas. Mais avant je veux savoir à quoi tu penser tout à lheure.

- A la pleine lune. Répondis-je en souriant.

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 9 mars 2 09 /03 /Mars 12:27

pour me faire pardonné de ne pas avoir posté durant plusieur jours je vais mettre 3 chapitres d'un amour de pirate. je sais je suis la meilleur^^. bisous



CHAPITRE 18 :

 

 

 

            Lorsque je me réveillai, il navait pas bougé dun centimètre, toujours allongé sur moi, entre mes cuisses et son sexe toujours en moi. Ce nétait pas vraiment agréable mais peu importait. Je ne voulais pas le voir séloigner de moi. Je lui caressais les cheveux avec douceur, ils étaient si doux, ils sentaient la pêche. Sa peau était douce. Je ne pus empêcher mes lèvres de se posaient sur son front.  Cétait donc ça lamour. Cétait aussi agréable que de contempler la mer un soir de pleine lune, oui, cétait vraiment magnifique.

            Il sagita dans son sommeil et je retenais un gémissement de plaisir en sentant son sexe prisonnier de mes chairs bouger. Il bougea encore et je laissais échapper un nouveau gémissement de plaisir. Cétait douloureux et bon à a fois.

            Il se redressa légèrement sappuyant sur ses avant bras et ouvrit les yeux pour me regarder. Il les referma aussitôt comme sil ne voulait pas me voir et son front vint se poser sur le mien. Je sentis son souffle brûlant sur mes lèvres et mon cœur semballa. Je souris lorsque je lentendis protester en disant quil voulait encore dormir. Il était vraiment trop mignon, mon amour. Je déposais un baiser sur le bout de son nez et il rouvrit les yeux plongeant dans mon regard.

- Bonjour, toi. Murmurais-je en lui souriant avec tendresse effleurant sa joue de mes doigts.

            Il me fixa en silence et je commençais à prendre peur. Je laissai retomber mon bras sur le drap. Il regrettait ce qui sétait passer hier soir. Je fermais les yeux posant mes mains sur son torse pour essayer de le repousser et de méloigner de lui avant de me remettre à pleurer. Il plaqua mes mains sur le matelas me forçant à rester tranquille.

- Où tu cherches à aller comme ça ?

- laisses-moi partir.

- Pourquoi je ferai ça ?

- Parce que tu regrette.

- Doù sors-tu ça ?

- Je vois ça parce que tu ne dis rien

            Il ne me laissa pas le loisir de finir ma phrase que ses lèvres emprisonnèrent les miennes, faisant décoller mon cœur. Quest-ce que ce baiser représentait ? Jétais perdu, je ne le comprenais pas. Il glissa ses bras sous mon dos et me redressa sur ses cuisses. Je sentais sa verge durcir en moi, écartant doucement mes chairs alors que ses mains caressaient mon corps. Ses lèvres se séparèrent des miennes pour aller glisser dans mon cou. Il attrapa le lobe de mon oreille avec ses dents, le caressant du bout de la langue alors quil me serrait dans ses bras avec force.

 

- Dris, dis quelque chose. Le suppliai-je alors que sa main venait demprisonner mon sexe. Ses dents samusèrent à mordre la peau de mon cou me rendant encore plus fou de désir. Je me redressai sur mes genoux libérant un peu sa verge puis redescendis aussitôt la renfonçant en moi. Je me sentais si vide lorsque je ne le sentais pas en moi. Je rejetai la tête en arrière laissant échapper un cri de plaisir alors que ses lèvres ce posèrent sur ma pomme dAdam. Je me cambrai, lui ouvrant toute ma profondeur. Il prit mon visage entre ses mains me faisant comprendre quil voulait que je le regarde. Jouvris les yeux, ils devaient être remplis de plaisir, de désir. Ma respiration était difficile, saccadés, brûlante. Il approcha ses lèvres des miennes, les caressant du bout de la langue augmentant encore plus la chaleur dans mon corps. Il cherchait à me faire perdre la tête. Au moment où je voulus prendre ses lèvres, il se recula, me fixant avec provocation, alors que jen gémissais de frustration.

- Drissil te plait

- Jai adoré te faire lamour. Et je nai quune envie, cest de recommencer. Tu es si désirable. Si bon.

- aah.

            Il mattrapa par les hanches me faisant bouger sur sa verge aussi dur quune barre de fer. Et il me laissa enfin lembrassé. Il aimait jouer avec moi. Et moi comme un con, je ne marchais pas, je courrais. Il devait bien se rire de moi et de ma faiblesse. Je glissai mes bras autour de son cou, rejetant la tête en arrière pour laisser mes gémissements de plaisir franchir la barrière de mes lèvres.

- Drisaaahcest bonaaahtarrête pas.

- Je nen ai pas lintentionhm..cest trop bon dêtre en toi

 

 

 

            Jétais assis sur le rebord de la fenêtre de cette petite chambre dhôtel. Mon regard étais rivé vers le port où notre bateau était ancré. Je me demandais ce que pouvait bien faire Jackson. Javais envie de retourner sur le navire, de le voir, de passer la nuit avec lui en parlant de choses et dautres comme dhabitude. Mais javais peur de le voir avec Adrien. Ce connard. Pourquoi fallait-il quil soit tombé amoureux de cet homme ? Il méritait dêtre heureux, lui ne fera que lenfoncer encore plus dans sa tristesse. Si cela ne tenait que de moi, je laurais rejeté par-dessus bord depuis bien longtemps. Je le détestais. Et je nai quune envie, celle de le tuer. Pourquoi fallait-il quil laime lui ?

            Je me relevai pour quitter mon observatoire et mallonger sur le lit. Il était déjà très tard, il fallait que je dorme et que jarrête de réfléchir. À quoi cela servait-il ? Il ne mécoutera pas. Lamour rendait aveugle et le voile devant ses yeux était vraiment épais.

 

 

 

            Jouvris les yeux pour le regarder. Il était tellement beau là planté sur mon sexe. Il ne facilitait vraiment pas les choses. Jaimais lentendre gémir mon nom alors que je le possédais. Lentendre me demander de continuer, daller plus vite  plus fort. Il aimait ça tout autant que moi.

- Tu aimes Jack ?

- Ouiaaahcest bon, mon amouraaahtu me rends fou.

- Toi aussicest tellement bon de te faire lamourhm.

            Il montait et descendait sur mon sexe alors que jenvoyais mon bassin rejoindre le sien pour menfoncer en lui avec plus de force encore. Il libéra totalement ma verge avant de la ravaler aussitôt. Seigneur, il sait comment faire jouir un homme ! Je ne tardais pas à jouir en lui le serrant avec force contre moi criant de plaisir. Je crois que jai vu des étoiles au moment où jai joui. Ce nétait pas permis de donner autant de plaisir à quelquun. Jessayais tant bien que mal de reprendre mon souffle. Je remarquai quil navait pas encore joui. Il était encore dur. Je le soulevai, le plaquant face contre le matelas. Je lui écartai ses deux belle petites fesses et fit glisser mon gland le long de sa raie, jusquà sa petite rosette. Le faisant gémir de plaisir. Son petit anneau souvrit pour laisser entrer mon sexe en lui. Je posais mes lèvres sur sa nuque en mordillant sa peau.

- Tu en as encore envie ?

- Ouiaah

- Jeje croyais que tu ne voulais pas que je te saute comme une chienne. Murmurais-je à son oreille en enfonçant ma verge en lui.

- Fais-lesaute-moisaute-moi comme ta salope

 

- Hm, arrête, tu mexcites.

            Je lui arrachai un cri de plaisir lorsque je menfonçai en lui dun seul coup, jusquà la garde et lui fis tourner la tête pour pouvoir prendre ses lèvres et lembrasser avec douceur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 5 mars 5 05 /03 /Mars 23:55
voila enfin l'épilogue temps attendu de cette fic. merci pour tout les com's que vous avait laisser. j'espère que cette épilogue vous plaira.

 

 

 

EPILOGUE :

 

 

 

Je rentrais dans mon appartement jetant les clés sur la petite table à côté du placard. Je déteste cette appartement, il était bien trop grand pour moi tout seul, il me rappelait tous ce qui c’était passé. La première fois que je l’ai vu c’était devant cette porte. Lorsqu’il était venu ce présenté. Je l’avais tout de suite trouvais très beau et très attirant, attendrissant. Je me disais qu’il ne pouvait pas être gay, et qu’il devait avoir plein de filles à ses pieds, alors je n’ai rien tenté. Les choses sont allées tellement vite. Je ne voulais pas que sa ce passe de la sorte. Mais il m’avait embrassé. Et moi je suis faible alors j’ai craqué. Cette nuit la sa avait été incroyable. Sa peau était si douce, ses lèvres si savoureuse, son corps si délicieux. Je n’arrivais pas à me le sortir de la tête à l’oublier. C’Était trop tard je l’ai perdu.il ne veux plus de moi. Combien de temps Est-ce que je n’avais pas entendu sa voix ? Il me manquait tellement. Est-ce qu’il sortait avec le facteur. Je l’imagine dans les bras de cette homme et sa me fait mal. J’ai cherchais tout ça. Pourquoi fallait-il que l’ont perde la personne que l’ont aime pour ce rendre compte de nos sentiments. Ce que j’ai put être con.

Je me laissais tomber sur le canapé abattu, juste un bonjour, c’était les seul mots qu’il m’avait adressé aujourd’hui. Avait-il déjà oublié ? Est-ce qu’il m’aimait vraiment ? Non je n’ai pas le droit d’en douté. Il avait pleuré à cause de moi. C’était normal qu’il me déteste à présent. Que devais-je faire pour qu’il me pardonne. J’étais incapable de l’oublier, je ne voulais plus un autre homme que lui.

 

 

- Bonjours Andréas.

Il sursautait lorsque je m’adressais à lui. Ils étaient en train de faire le ménage. Je le trouvais plus beau de jour en jour. Ce que j’aimerais pouvoir l’embrassé à nouveau, le serrait dans mes bras. J’avais pu l’avoir et je l’avais laissé partir. Il me fixait impassible, regard moi comme avant, sourie moi comme avant.

- Bonjours monsieur.

Arrête.

- Andréas s’il te plait. C’est Sean pas monsieur. Je voulais te demander…

- Andréas salut.

Je voyais ce mec arrivait et mon André ce retournait vers lui avec ce sourire qu’il ne m’adressait plus.

- Bonjours Jean. Répondait-il d’une voix enjouée. J’avais envie de tuer ce mec. Qu’Est-ce qu’il avait de plus que moi ? Tout sans doute. Il devait être fidèle lui. Merde je ne peux pas voir ça. Je baissais la tête et passait à côté d’eux pour partir, de tout façon il n’allait rien faire pour me retenir. Je comprenais ce qu’il avait peut ressentir avant ce que je lui avais fait subir. Je ne déteste pour tout sa.

 

 

Je fixais l’extérieur, j’étais dans mon bureau mais je n’arrivais pas à me concentrais sur mon travail. Il ne quittait pas mon esprit. Je vais devenir fou. Je devais faire quelque chose, essayais de me faire pardonner.

 

 

Lorsque je rentrais dans l’immeuble je m’arrêtais en le voyant s’approchais de moi, le regard froid, il me plaquait contre le torse un gros bouquet de fleure, j’avais dépensé une fortune pour ce bouquet pourquoi ne le prenait-il pas ?

- Je ne veux pas de ce bouquet. Je ne veux rien venant de vous. C’est clair. J’ai dit que c’était fini alors ne m’approchais plus. Vous croyais pouvoir achetait mon pardon ?

- Non ce n’es pas ce que je veux. Dit moi ce qu’il faut que je fasse.

- Sorti de ma vie. Répondait-il avant de détournait les talons pour rentrer dans son appartement et je laissais tombait le bouquet sur le sol en même temps que couler mes larmes. Il m’avait appris à aimé et m’avais appris la douleur qui en découler. Tout ce que je pouvais faire à présent pour respecté sa volonté c’était de partir et de le laissais tranquille.

 

 

Je me laissais tomber sur le canapé dans mon nouvel appartement. Plus petit que celui d’avant mais je n’avais pas besoin d’un truc immense pour moi tout seul. Dés qu’il m’avait dit qu’il voulait que je sorte de sa vie j’avais appelais un ami qui travail dans une agence immobilier et j’avais trouvé cette appartement et j’avais déménagé des lendemains, j’ai payé les déménageurs une fortune pour que sa soit fait en une journée. J’étais allé le voir pour lui rendre les clés et lui payer le préavis de trois mois que je n’avais pas respecté, j’aurais voulu qu’il me retienne mais non, il m’avait laissé partir sans un mot sans un geste. C’était beau et bien fini. Je devais l’oublier et reprendre une vie normale. Que pouvais-je faire d’autre ? J’avais décidé ce cessais d’être égoïste. Si l’ont aime quelqu’un en doit acceptais de le voir heureux avec un autre. Je souhait qu’il soit heureux. Je cachais mon visage entre mes mains pour cachais mes larmes.

 

 

 

Pourquoi Est-ce que je suis la. Je voulais juste le voir juste quelques secondes m’assurais qu’il allait bien. Il était en train de travailler dans le jardin. Il faisait chaud, il avait retiré son t-shirt pour être plus allaise, il était tellement beau. J’avais envie de faire glisser mes doigts sur sa peau, je suis sur quelle devait être brûlante. Comment faisait-il pour devenir de plus en plus beau. Il regardait vers moi, Est-ce qu’il m’avait vu ? Non il ne pouvait pas me voir de la où il était. Je sentais mon cœur ce serrait lorsque je vis l’autre arrivait vers lui. Il lui souriait, arrête de le regardait comme ça. Je détournais les talons pour partir alors que je l’ai voyer enlacer. J’étais jaloux parce que je ne pourrais plus jamais le serrais dans mes bras et lui oui.

 

 

 

Il pleuvait averse, et pourtant je restais la assit sur ses marches. Il n’était pas chez lui. Je voulais juste le voir cinq secondes. Mais il n’était pas là. Il doit être avec cet autre homme. J’étais trempé, j’avais froid, mais je n’arrivais pas à bouger. Pourquoi Est-ce que je pleurais encore ? Pourquoi ne rendait-il si faible ? Je voulais le voir. J’ai besoin de le voir.

- Qu’Est-ce que vous faite ici Monsieur.

Sa voix, elle n’avait tellement manqué. J’avais tellement était surpris que j’avais relevé la tête pour le voir être sur que c’était lui. J’ai réalisé trop tard que je pleurais. Je senti mon cœur ce serrais lorsque je vis qu’il venait de sortir de la voiture de ce mec. Je me redressais, il fallait que je parte. Je frissonnais en sentant ses doigts ce refermaient autour de mon poigner. Et sa voix m’appelait.

- Sean. Vient à l’intérieur. Tu va tombait malade.

Je me protestais pas, le suivant jusqu’à son appartement. Lorsque j’entrais une vague de souvenir me submergeait. On avaient passé qu’une seule nuit ensemble mais sa avait été la plus belle nuit de toute ma vie. Et j’ai tout jetais par peur de cette amour qu’il me faisait découvrir. Je voulais qu’il m’en apprenne encore plus.

- Va prendre une douche. Tu trouveras tout ce que tu as besoin dans la salle de bain.

Je me dirigeais tel un automate vers la salle de bain. Mon cœur battait à cent à l’heure. Il fallait que je lui dise que je l’aimais. Je ne pouvais pas vivre loin de lui, j’avais essayé durant plus de 2 mois mais sa m’était impossible. Sans le savoir j’ai été enchainé à lui lors de notre première rencontre, et ses chaines son devenu de plus en plus dur à briser, jusqu’à ce que cela soit impossible.

 

 

J’avais pris une douche rapide pour me pas trop abusais de son hospitalité. J’enfilais un de ses bas de jogging et un pull à lui. Sa sentais tellement bon, l’odeur de mon André.

Je le trouvais dans la cuisine en train de verser du café dans des tasses. Il relavait la tête pour me fixait impassible. Je voulais qu’il me regard comme avant. J’allais m’assoir en face de lui et prit la tasse qu’il m’avait tendu.

- Pourquoi es tu ici Sean ?

- Je voulais juste te voir. Tu sors avec ce mec ?

- En quoi cela te regard t-il ? Je n’ai pas de compte à te rendre. Je sors avec que je veux. Pour toi je n’étais qu’un plan cul rien de plus. Tu ma fait souffrir. Et tu reviens. Que cherche tu je t’avais demandais de sortir de ma vie. Alors pourquoi es tu revenu ?

- Parce que je ne peux pas. J’ai besoin de te voir. Je sais que j’ai été con. J’ai tout foutu en l’air. Mais je t’aime. Je t’aime comme un dingue. Je sais que tu ne veux pas de moi. Je veux juste quand essaye de devenir ami.

Il ce redressait sans rien répondre pour aller mettre sa tasse dans l’évier. Je me levais à mon tour pour partir à quoi bon lutter. Il me déteste.

- Ne fuis pas Sean. Ne fuis pas où tu auras vraiment tout perdu.

- je…

- Laisse je parlais. Au lieu de partir tu aurais put e contenté de me laissait tranquille le temps que je fasse le poing mais comme d’habitude tu fuis. Tu as toujours était habituer à avoir tout ce que tu voulais. Je ne suis pas comme tous ses mecs que tu baiser.

- Non tu es différent.

- ALORS BAT TOI OU LIEU DE FUIR. MONTRE-MOI QUE JE COMPTE VRAIMENT POUR TOI. J’AI BESOIN DE PREUVES. TES LARMES…te voir pleurais.

Il marquait un temps d’arrête sa voix étais douce, faible, tremblante. Il ce rapprochais de moi doucement. Chaque pas qu’il faisait vers moi faisait s’accentuer les battements de mon cœur. Il s’arrêtait à quelques centimètres de moi plongeant ses sublimes yeux dans les miens.

- T’es larmes mon bouleversé Est-ce de ma faute si tu pleurais ?

- Oui. Parce que je t’ai perdu.

Je pris mon visage entre mes mains essayant de refouler mes larmes. Je me voulais pas encore pleurais devant lui. Je frémissais lorsque je sentis ses doigts ce glissaient sous mon menton pour me forçais à relever la tête. Son regard me brulait la peau, il était tellement beau. J’avais envie de le touchais de le serrais contre moi. Mais lui ne le voulais pas.

Je crus nourrir lorsque je sentis ses lèvres ce posait sur les miennes avec douceur.

- Reprenant depuis le début Sean. Devenant ami.

 

 

 

 

 

 

 

                                                                           Fin

 

Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés