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vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

Mercredi 19 mai 3 19 /05 /Mai 09:22

voila le chap 11. j'avais promit de le posté hier mais j'ai pas eu le temps. mea culpa. donc bonne lecture.

 

 

CHAPITRE 11 :

 

 

 

« Deux mois était passé depuis que j’étais prisonnier de ses chaines qu’il avait enroulé autour de moi pour m’étouffer. Huit semaines de cauchemar, cinquante-six jours d’enfer. Je continuais à me scarifier, en me mangeant que lorsqu’il me forçait. Je n’étais plus qu’un spectre, ensuit transparent qu’un mort. Bientôt il sera fatigué de moi et il me jettera. Et je n’aurais plus qu’as me laisser mourir. Hier soir il avait encore jouet avec moi. Et je n’avais jamais eu aussi mal de ma vie. Il n’avait fait descendre alors qu’il était avec tous ses amis. J’avais bu un drôle de boisson. Et j’ai compris bien trop tard ce qu’il n’avait fait avaler. C’était un aphrodisiaque. Sa l’avait bien fait rire. Il n’avait forçait à le supplier, de lui dire que j’avais envie d’être leurs chiennes. Et je l’avais fait. J’étais bien trop faible. J’avais fait tout ce qu’il m’avait demandait. Et j’avais fini par perdre connaissance. J’avais pleuré durant tout les temps que cela avait duré. Mais il n’avait rien fait pour cesser ce cauchemar. Croyez vous que je puisse tomber encore plus bas dans ma déchéance. »

 

 

 

J’ai eu bien du mal à me lever le lendemain. J’avais terriblement mal à la tête. Je ne sentais plus mon corps. J’étais allongé sur le sol du salon. J’avais mal comme jamais je n’avais eu mal. Il n’avait même pas prit la peine m’allonger sur le canapé, ni de me couvrir. J’étais sa chienne, je mérité de mourir la gueule ouverte. Il m’avait laissé la où était ma place, les traces de mes actes sur le corps. Je me sentais tellement sal, répugnant. J’essayais de toutes mes force de me mettre debout mais je ni arriver pas, mon corps refusais de m’écouter.

- Tu es enfin réveiller.

Je frissonnais en entendant sa voix si froide. Je lui tournais le dos mais je savais qu’il me regardait avec son habituel froideur et ce sourire narquois que je détestais tant. J’aurais voulut lui demandais de m’aidé mais les mots rester coincer dans ma gorge. Il venait s’agenouiller devant moi, me forçant à relever la tête. Son regard était toujours aussi froid, et il souriait avec ce sourire que je déteste tant. Il faisait glisser ses doigts sur ma joue avec douceur me faisant tremblais. Ses mains étaient si douces. Pourquoi ce jouait-il autant de moi ? Quelle plaisir prenait-il as me voire souffrir ?

- C’était vraiment super hier soir. Tu as vraiment bien joué ton rôle. On remettra ça. T’était déchainé. Les aphrodisiaque sa te rend encore plus sexy. Je dois aller travailler. Ne fait pas de bêtises pendant mon absence.

Je n’arrivais même pas à ouvrir la bouche pour lui répondre, à quoi bon ? Il n’en avait rien à faire de ceux que je pouvais ressentir. Il approchait doucement son visage de moi, j’amusant de me voire perdre la tête devant lui. Juste de sentir son souffle contre les lèvres me rendait fou, je fermais les yeux attendant un contact. Un contact qui ne venait jamais. Il s’éloignait de moi en rigolant. Mon cœur me faisait tellement mal que j’en oublier la douleur de mon corps. Je me mis à tremblais de froid, de douleur. J’essayais à nouveau de me relever, mais j’en étais incapable. J’allais rester la toute la journée sans pouvoir bouger. C’était tout ce que je mérité. J’essayais encore de me relevais mais encore une fois ce fut un échec. J’entendais la porte s’ouvrir et ce refermais. Il devait avoir oublié quelque chose. Je pris appuie sur le canapé pour essayer de me relevais, je tombais une nouvelle fois criant de douleur. J’entendais les pas ce faire plus rapides, je t’entais encore de me relevais et alors que je prenais appuis sur le canapé pour me redresser je me figeais horrifier lorsque je te vis debout dans l’encadrement de la porte. M’importe qui mais pas toi. Pourquoi fallait-il que nos chemin ce croise à nouveau dans un tel moment ?

Tu semblais plus beau que jamais. J’essayais de me dérobé à ton regard. Je me recroqueviller à nouveau sur le sol alors que mes pleures redoublait à mesure que tu t’approchais de moi. Je paniquais tellement à l’idée que tu me déteste encore plus de me voire ainsi. Je n’arrivais plus a respirait, ma gorge était en feu. Tout comme mes poumons. Je t’entendais m’appeler mais je n’arrivais pas à te répondre. Ta voix semblait désespérait. Mais je ne pouvais rien faire pour te rassurait. Et je me sentis sombrais dans les ténèbres. Je priais pour ne plus jamais me réveiller. Je voulais tellement mourir avec pour dernière vision celle de ton doux visage.

 

 

Lorsque je ré-ouvrir les yeux la lumière du jour me bruler les rétines. Et un mal de crâne des plus désagréables me prit. Je n’étais donc pas encore mort. J’avais mal, mon corps était tellement douloureux. Je tournais la tête et fut pris d’un haut de cœur lorsque je te vis. Assit à mes côtes ma fixant avec peine. Je ne veux pas de ta pitié. Je me veux pas t’inspirais ce seul sentiment. Je voulais temps que tu me regard avec douceur, avec amour. Pas avec ce regard emplis de condescendance. Pourquoi fallait-il toujours que tu me vois toujours dans des états si pathétiques ?

- Jaylan.

Pourquoi mon nom sortant de ta bouche était-il si doux ? Pourquoi ta voix me faisait-elle tremblais ? Pourquoi me déstabilisais-tu autant ?

- Jaylan. Ta voix était si douce, comme la caresse d’une douce brise d’été. Agréable, rafraîchissante. Je sentais tes doigts frôlais doucement mon avant bras me faisant tremblais encore plus. Ils étaient tellement doux, aussi frais que la rosé matinal. Je ne méritais pas que quelqu’un comme toi s’intéresse à moi. Je suis tellement insignifiant.

- Jaylan. J’ai eu si peur. Que c’est-il passé, que t’a-t-il fait ?

- …

- Jaylan répond moi s’il te plait.

J’essayais de nouveau de me redressais, c’était tellement douloureux. Je tombais sur le sol étouffant un cri de douleur. Mes jambes ne répondaient plus, elles étaient incapables de me porter. Pourquoi fallait-il que je me rende encore plus pitoyable. Tu dois avoir une très mauvaise impression de moi. Tu voulais venir m’aider à me redresser mais je te repoussais sans voire ton regard blessé. Mais je ne voulais pas de ta pitié parce qu’elle me blesser plus encore. Alors je me trainer seul, te repoussant à chaque fois que tu voulais me portait ton aide. Te blessant un peu plus à chaque fois. Tu devrais partir, t’éloigner de moi. Pourquoi perdre ton temps à veiller sur un mort en sursis. Je réussis temps bien que mal à entré dans la baignoire et à faire couler l’eau. Je n’avais allumé que l’eau froide, mais très vite tu allumais l’eau chaude. Tu t’était laisser tomber à mes côtes me suppliant de te dire ce qui c’était passé. Mais je gardais le silence.

 

 

«  Après cela j’étais sur que plus jamais tu me voudrais me voire. J’ai fait couler mon sang devant toi, j’ai vue ton regard horrifier avant de sombré dans les ténèbres priant pour que cela soit la dernière fois. Je n’avais plus l’espoir qu’un jour tu puis me sortir de ses ténèbres. Je lui appartenais, il avait sus m’enchainer à lui. Et il serrait le responsable de ma mort. Alors s’il te plait part loin de moi. Avant que je ne sois celui qui t’enfoncerais dans les ténèbres. »

 

 

 

et voila j'espère que cette petite suite vous aura plus .bisous à toutes.

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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