CHAPITRE 40 :
pov adrien
Sa faisait déjà trois jours, trois longue journée que je lui avais fait toutes ses choses horrible. Lui semblais ne plus vouloir en parlais à vrai dire il n’ignorait totalement. Il ne me parlait
plus, il ne me regardait plus, il ne me touchait plus et il me manquait tellement. C’était comme si je n’existé plus. Comme si à ces yeux j’étais devenu invisible. À chaque fois qu’il passé à
côte de moi j’avais envie de l’attraper pour le retenir et le serrait fort contre moi, pour ne plus le laisser m’échapper. Est-ce qu’il avait ressenti la même chose lorsque je l’avais ignoré. Ce
sentiment d’abandon, ce sentiment d’oppression. Cette sensation d’être dans une sale ou l’ont ne peux pas distinguer les murs, où l’ont ne peux pas trouver la porte Je voulais tant entendre sa
voix, sentir son corps contre le mien, sentir son odeur, ses mains sur ma peau nue, ses lèvres sucré, embrassé sa peau. Je voulais à nouveau pouvoir frémir de ses caresses. Je voulais à nouveau
pouvoir lui faire l’amour.
Je me posais des centaines de questions, qui ne trouvent aucune réponse. Je suis en train de devenir fou. Plus en ce rapproche de mon frère et plus je suis incertain sur le futur. J’allais
retrouver alizé et en allait partir quitté ce navire. Mais est-ce que je serrais vraiment capable de l’oublier. Pourrais-je oublier tout ces moment merveilleux que l’ont à passé ensemble. On
n’avait pas fait que baiser. Ses moments passé à discuter de choses et d’autre. Parfois son le moindre intérêt. Je voulais entendre à nouveau sa voix ne murmurait des mots doux. Je voulais encore
pouvoir m’endormir dans ses bras, me réveiller contre son corps. J’aimais quand je me réveillais alors qu’il me regardait. Son regard était si doux dans ses moment là, si protecteur que je ni
abandonner. Il caressait toujours mes cheveux avant de faire glisser ses doigts sur ma joues, ce contact me faisait toujours tremblais. Au réveille sa voix était toujours si douce. Il me
demandait toujours si j’avais bien dormit, toujours dans un souffle à peine audible alors que ses lèvres caressaient les miennes. Juste un frôlement, une douce caresse. Puis lorsque je lui avais
répondu oui ses lèvres ce faisait plus gourmande, j’adorais ses baisers matinal même si je ne lui ai jamais dit. J’adore cette façon de me réveiller. Après il revient toujours ce blottir contre
moi, je refermais mes bras autour de lui pour profité de se réveille. Je voulais à nouveau connaitre de telle moment, je ne voulais pas que l’ont m’enlève sa. Je suis le seul responsable. Je veux
le revoir sourire pour moi. Je veux revoir ses yeux pétillent de joie. Je suis totalement perdu, je ne sais vraiment plus où j’en suis. Il me rend fou. Sa n’aurais pas du ce passer comme ça.
J’étais appuyais contre l’encadrement de la porte le regardant travailler. Il était tellement beau, ses cheveux lui tombaient devant les yeux et il n’avait de cesse de les remettre en place. Mais
il ne tenait jamais alors il recommençait encore et encore. Il était tellement mignon quand il faisait ça.
Je voulais qu’il me regarde. Je voulais tellement qu’il me regard. Je t’en supplie regard moi Jacky, regard moi.
Je sursautais lorsque sa voix froide brisait le silence de la pièce. Je me sentais comme un enfant pris en faute. Et je baissais la tête sous le poids de ma honte.
- Tu as envie de baiser alors tu es venu voire ta pute préférait.
- Arrête ce n’es pas vrai. Tu n’es pas une pute. Que dois-je faire pour que tu me croies.
- Si tu ne veux rien alors va-t’en s’il te plait.
Je relevais la tête vers lui, il était toujours perdu dans l’étude de ses cartes. Son faire attention à moi. Je ne pouvais plus supporter son ignorance. Je me décollais de la porte pour me
diriger vers lui. Je tirais sa chaise et attraper son visage pour ravir ses lèvres qui m’avais tant manqué. Je le sentais ce tendre à ce contact. Il me déteste vraiment à présent.
- S’il te plait Jack…pardonne moi. Je t’en supplie.
Je l’embrassais à nouveau et je le sentais ce détendre un peu, mais il me repoussait me brisant le cœur. Mais je repris à nouveau ses lèvres enfonçant ma langue entre ses lèvres mais il me
repoussait à nouveau avec plus de force encore. Il ce redressait de toute sa hauteur. J’étais assit sur le sol le fixant en silence. Il était tellement beau, tellement envoutant lorsqu’il était
énervé.
- à quoi joue tu as la fin Adrien. Tu m’as de cesse de me faire souffrir et après tu reviens demandait pardon. Pourquoi ? À quoi ça te sert d’avoir mon pardon. Merde fait comme tu en as
l’habitude sert toi.
Je le regardais faire tomber ses vêtements sur le sol, pourquoi fallait-il toujours qu’il fasse cela ? Je ne voulais pas que son corps, je voulais son pardon. Je voulais qu’il me regard à nouveau
avec amour. Qu’il me serre dans ses bras.
- fou le camp Adrien. Il détournait les talons pour aller s’allonger sur son lit, remontant les couvertures sur son corps. Je me voulais pas partir je me voulais pas passer une nouvelle nuit loin
de lui. Je m’approchais du lit et posait ma main sur son épaule mais il la repoussait d’un mouvement d’épaule. Il ne me pardonnerait pas. J’étais allé trop loin. Je dégageais les cheveux dans sa
nuque, elle était si attirante, que je ne pouvais m’empêcher d’y posait mes lèvres avant de me redressait pour sortir de la pièce le cœur lourd. Il m’avait jamais était aussi froid et distant
avec moi. Jamais je n’aurais cru que cela serrait si difficile d’être rejetait pour lui.
- Qu’Est-ce qu’il t’arrive Adrien t’as l’air d’un cadavre.
Je sursautais relevant la tête pour tombait sur Milan.
- Il me déteste tu dois être content non.
- Pas du tout parce que je sais qu’il est malheureux. Arrête de t’accrocher Adrien. Tu la dit toi-même ta vie n’es pas à bord de ce bateau. On va bientôt retrouver Shawn alors détache toi de lui
avant qu’il ne souffre trop.
- C’est bon je n’ai pas besoin de tes leçon de morale. Je sais que je le fais souffrir mais je ni peux peut rien j’ai besoin d’être avec lui.
- Tu es quelqu’un de très dure à cerné Adrien.
Il détournait les talons pour s’éloignait de moi. J’ai vraiment besoin d’être avec lui. J’ouvrais la porte à la voler pour re-rentrais dans la chambre, il était assit sur le lit tenant son visage
entre ses mains. Lorsqu’il m’entendait rentrer il relevait la tête pour me regardait. Ses yeux étaient remplis de larmes, son corps tremblait, il semblait totalement perdu tellement
attendrissent. Je me laissais tomber à genoux devant lui l’enserrant de mes bras posant ma tête contre son ventre, je le serrais aussi fort que je le pouvais. Il restait sans réaction alors que
je le supplier de me pardonner encore et encore.
pov Jack
Il était la devant moi tel un enfant qui venait demandait pardon après avoir fait une grosse bêtise. Merde comment pouvais-je
continuais de lui en vouloir alors qu’il ce montrait si faible devant moi.
- Je suis désolé, tellement désoler Jacky. Je ne veux pas te faire souffrir. Et pourtant c’Est-ce que je n’arrête pas de faire. Je suis désoler, on…on vient d’un
monde tellement différent.
- Arrête…arrête. Ne parle plus.
- Je…je peux rester dormir avec toi ?
- Pourquoi ?
- Parce que je me sens vide quand je suis loin toi. Je n’arrive pas à dormir quand je ne suis pas dans tes bras.
Je refermais mes bras autour de lui, le serrant plus fort contre moi. L’entendre me dire ça faisait s’accélérait les battements de mon cœur. Pourquoi faut-il qu’il
joue sans cesse avec mon cœur. Et moi comme un saut je tombais toujours dans les filets qu’il tendait. Il m’avait manquait, cette étreinte m’avait temps manquais.
Je fini par me détacher de lui pour m’allonger sous la couverture, quelques minutes plus tard je sentais le drap ce levait et son corps brulant venait ce coller aux
mien me faisant tremblais de bien être et de peur à la fois. Je ne voulais pas qu’il me fasse encore du mal. Il était contre mon dos son bras autour de ma taille. Je fermais les yeux essayant de
dissimuler les tremblements de mon corps. Il posait un baiser dans ma nuque avec douceur.
- Bonne nuit Jacky.
- Bonne nuit.
pov Adrien
Je le sentais ce détendre entre mes bras et son souffle ce faire plus faible. Il avait noué les doigts de sa main aux miennes la serrant contre son cœur qui battait
doucement. Je blottissais mon visage dans son cou respirant sa douce odeur qui n’avait tellement manqué. Je ne savais pas si m’avait pardonné mais au moins je pouvais enfin dormir avec lui.
Pourquoi est-ce que j’en étais si heureux. Je crois que je suis en train de vraiment trop m’attachais à lui. Sa m’avais vraiment manqué, sa chaleur, son souffle, tout de lui m’avais terriblement
manqué. Où est-ce que tout cela va nous conduire ?
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