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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

reste ma lumière (en cours )

Dimanche 23 mai 7 23 /05 /Mai 14:27

CHAPITRE 12 :

 

 

« J’avais été réveillé par des voix, encore une fois j’avais échoué. J’étais toujours vivant. Même la mort me refusais l’entré. Étais-je condamné à souffrir pour le restant de mes jours. Je n’étais pas sur de la où j’étais, mon poigner me faisait mal. Il avait était bander. Est-ce que c’était Tenshi qui l’avait fait ? Il devait me détesté après ce qu’il avait vue. Il devait me trouver méprisable. J’aurais voulut qu’il me sache jamais ce que je suis. J’aurais préférer qu’il ne reste qu’un mirage, qu’un espoir. J’aurais préférer ne jamais le revoir. Vivre juste avec un merveilleux souvenir. Mais le rêve avait eu une fin plus que brutale. Remplacer par un cauchemar qui ne faisait que commencer. »

 

 

 

 

- Il est as bout de force Andy. Il ne peut plus marcher. Il ne va pas pouvoir supporter ses mauvais traitements encore longtemps. Il a perdu tellement de poids et il était totalement déchirait. Merde qu’est-ce que vous lui avait faite ?

Non je t’en supplie ne lui demande pas, je ne veux pas que tu le sache. S’il te plait Andy ne lui dit pas. Je suis déjà tellement bas dans son estime.

- Une petite orgie. Il a adoré ça. Il n’arrêtait pas d’en redemandait. T’aurait du le voir j’agitais…

- Il ne teindra plus très longtemps.

- Si je ne peux plus le baiser j’ai autant quitte à le foutre à la porte et de me trouver un nouveau jouet. Je savais que cette petite pute allé me posait des problèmes.

Me mettre dehors, ce trouvait un nouveau jouet, non je ne le permettrais pas. Je ne voulais pas, je ne pouvais plus vivre sans lui. Je m’arrachais d’entre les couvertures, serrant les dents sous la douleur. J’étais désespérait, et je me détestais d’être ainsi. J’ouvrir la porte sous leurs regards étonnés. Je baissais le têt devant ton regard perdu, je n’arrivais pas à te regarder en face. Pardonne-moi d’être aussi faible.

- S’il vous plait maitre ne me jetais pas dehors. Je…je peux encore vous servir. Je…je ferais tous ce que vous voudriez.

Il m’attrapait par les cheveux avec force m’attirant contre lui, jetant u regard provocateur à son frère.

- Tu as vue il ne demande que cela. Il n’est bon qu’as cela.

- Jaylan…

- S’il vous plait une chienne as besoin d’un maitre. Alors baiser moi autant que vous voulez.

- Jaylan, tu ne peux pas. Tu dois te reposait.

- Je sers à ça. Je lui appartient.

Andy me plaquait avec force contre le mur me soulevant, m’arrachant mon boxer et me pénétrait sans plus attendre. Me faisant crier de douleur alors que mes larmes couler sur mes joues. J’avais tellement mal, mais je n’avais pas le droit de me plaindre. J’était le seul responsable de ce qui m’arriver. Déteste moi Tenshi car tu ne peut pas m’aider. Car je ne pourrais que te détruire. Part loin de moi. Mais tu restait la à le regarder faire, totalement paralysé sous la surprise. Connaissait tu se côte de ton frère. Tu semblais revivre un moment difficile, je voyais ton corps tremblais et ton regard terrorisé. J’aurais voulut venir t’aider. Te serrait avec force dans mes bras mais je rester la à me faire baiser par cette homme horrible que j’aimais à en devenir fou. Je le sentis jouir en moi, je n’avais pas prit le moindre plaisir durant cette acte, qui aurait dû être un moment d’amour. Il ce retirait me laissant tomber sur le sol. Je me sentais encore plus sal.

- Tu as vu Tenshi. Ce n’est qu’une chienne. Je sors baise le si tu le veux. Je te le laisse. N’importe qu’elle queue lui convient.

 

Pourquoi es tu restais ? Tu aurais du fuir en voyant à quel point j’étais un être méprisable et sale. Où est-ce que toi aussi tu voulais en profitait. Je n’arrivais pas à levais la tête. Je n’arrivais pas à te regarder.

Je sursautais lorsque je sentais deux bras s’enroulaient autour de mon coup. Je savais que ce n’étais pas Andy. Mais ce que je me savais pas c’été pourquoi tu continuais à t’occuper de moi. Je ne fis rien pour t’empêchais de me portait jusqu’à ma chambre. Tu me déposais doucement sur le lit. Et tu re-sortait aussi tôt. C’était moi qui lui avais demandé de le faire. Mais pas devant lui, pas comme cela.

Je croyais que tu étais partis, que j’allais de nouveau être seul mais j’entendais tes pas dans le couloir, je sentais ta présence dans la chambre. Je me figeais en te sentant t’assoir sur mes jambes. Et j’eu un haut de cœur. J’en étais sur tu été comme ton frère. Tu aller te servir de moi. Et j’allais te laisser faire. Je sentais un de tes doigts caressait mon anneaux rendu douloureux par les mauvais traitements de ton frère. J’étais tétanisé par la peur. Crisper de douleur. Mais s’il voulait me baiser j’allais le laisser faire car je ne voulais pas décevoir mon amour.

Je sentais ton doigts glisser en moi, il était glacer. Je sentais ton souffle dans ma nuque et sa m’apaiser. Je crois que je te faisais confiance. Tu continuais de faire bouger ton doigt en moi alors que tes lèvres glissaient dans ma nuque. Tu es en train d’essayer de me rendre fou.

- je ne veux pas te baiser Jaylan. Je ne veux pas te faire de mal. Je ne suis pas Andy.

- Je suis sa chienne.

- Non.

- Si. Et toi tu n’éprouve que de la pitié pour moi.

- Pourquoi est-ce que tu te mutile Jaylan.

- Pour oublier l’enfer de ma vie. Pour me prouvais que mon corps m’appartient encore. Pour me prouvais que je suis vivant.

- c’est douloureux. Murmurais-tu en continuant de bouger dans doigts en moi.

- Oui. Mais sa me soulage un peu. Merci

Tu retirais ton doigt et te laissais tomber à mes côtés. Je n’arrivais pas à te regarder. Je ne voulais pas voir la pitié où le reproche dans ton regard. Je sentais la couverture que tu venais de remontait sur mon corps nue m’entourait d’une douce chaleur. Je me retournais dos à toi, et tu venais te coller à moi m’entourant de tes bras. Et je n’eu pas la force de te repousser, parce que je me sentais tellement bien dans tes bras. Je me sentais apaiser.

- Arrête.

- Ce n’est pas de la pitié Jaylan.

- Alors qu’Est-ce que sa signifie.

- Je crois que c’est parce que je t’aime bien. Je t’aime beaucoup même.

-…

Je ne savais pas quoi répondre à cela. Tu venais de me dire que tu m’aimais bien alors que je me déteste. Pourquoi ne voyait-il pas que je n’étais qu’un nuisible, que m’approcher était dangereux. Mais malgré tout ça je ne pouvais empêcher mon cœur de s’emballait à ses mots. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas ressenti une telle chaleur. Un tel bien être.

- Pourquoi accepter tout cela Jaylan ?

- Parce que je l’aime.

Je sentais ton étreinte ce raffermir autour de moi. Alors que ta tête venait ce glissé dans le creux de mon cou. Alors que tu murmurais un simple « d’accord ». Et le silence s’installait. Il n’était en rien pesant, juste apaisant.

 

 

« Ta présence à mes côtés m’apaiser. Tu réussissais à faire ce que jamais personne n’avais réussi à faire avec moi. Ton corps contre le mien réchauffé mon cœur gelé. Ton souffle calmé la douleur de mes cicatrices. Tu étais resté à mes côtes sans chercher à en savoir plus. A cette instant dans tes bras je ne penser plus à rien. Je savais que lorsque Andy aller revenir, j’allais à nouveau sombrer dans ses ténèbres glacer. Mais je voulais encore pouvoir profiter de ta chaleur, de ton rayonnement. J’avais fini par m’endormir entre tes bras ne pensant plus à rien. Aide-moi à tout oublier. »

 

 

 

et voila la suite elle et pas trés longue mais bon c'est mieux que rien. faut que je trouve la temps de taper la suite. bisous à toutes.

Quelle heure pouvait-il bien être. J’avais la sensation d’avoir dormir des jours durant. Tenshi n’était pas à mes côtés est-ce que j’avais rêvé ce qui c’était passé. Lorsque je dormais j’avais la sensation qu’il était à mes côtes, j’entendais sa douce voix me murmurais de doux mots, alors que se doigts caressait mes cheveux mon visage. Mais cela n’était qu’un rêve. J’entendais des voix dans le couloir. Celle d’Andy et de Tenshi alors il était vraiment ici. Je sursautais lorsqu’il élevait la voix.
Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Mercredi 19 mai 3 19 /05 /Mai 09:22

voila le chap 11. j'avais promit de le posté hier mais j'ai pas eu le temps. mea culpa. donc bonne lecture.

 

 

CHAPITRE 11 :

 

 

 

« Deux mois était passé depuis que j’étais prisonnier de ses chaines qu’il avait enroulé autour de moi pour m’étouffer. Huit semaines de cauchemar, cinquante-six jours d’enfer. Je continuais à me scarifier, en me mangeant que lorsqu’il me forçait. Je n’étais plus qu’un spectre, ensuit transparent qu’un mort. Bientôt il sera fatigué de moi et il me jettera. Et je n’aurais plus qu’as me laisser mourir. Hier soir il avait encore jouet avec moi. Et je n’avais jamais eu aussi mal de ma vie. Il n’avait fait descendre alors qu’il était avec tous ses amis. J’avais bu un drôle de boisson. Et j’ai compris bien trop tard ce qu’il n’avait fait avaler. C’était un aphrodisiaque. Sa l’avait bien fait rire. Il n’avait forçait à le supplier, de lui dire que j’avais envie d’être leurs chiennes. Et je l’avais fait. J’étais bien trop faible. J’avais fait tout ce qu’il m’avait demandait. Et j’avais fini par perdre connaissance. J’avais pleuré durant tout les temps que cela avait duré. Mais il n’avait rien fait pour cesser ce cauchemar. Croyez vous que je puisse tomber encore plus bas dans ma déchéance. »

 

 

 

J’ai eu bien du mal à me lever le lendemain. J’avais terriblement mal à la tête. Je ne sentais plus mon corps. J’étais allongé sur le sol du salon. J’avais mal comme jamais je n’avais eu mal. Il n’avait même pas prit la peine m’allonger sur le canapé, ni de me couvrir. J’étais sa chienne, je mérité de mourir la gueule ouverte. Il m’avait laissé la où était ma place, les traces de mes actes sur le corps. Je me sentais tellement sal, répugnant. J’essayais de toutes mes force de me mettre debout mais je ni arriver pas, mon corps refusais de m’écouter.

- Tu es enfin réveiller.

Je frissonnais en entendant sa voix si froide. Je lui tournais le dos mais je savais qu’il me regardait avec son habituel froideur et ce sourire narquois que je détestais tant. J’aurais voulut lui demandais de m’aidé mais les mots rester coincer dans ma gorge. Il venait s’agenouiller devant moi, me forçant à relever la tête. Son regard était toujours aussi froid, et il souriait avec ce sourire que je déteste tant. Il faisait glisser ses doigts sur ma joue avec douceur me faisant tremblais. Ses mains étaient si douces. Pourquoi ce jouait-il autant de moi ? Quelle plaisir prenait-il as me voire souffrir ?

- C’était vraiment super hier soir. Tu as vraiment bien joué ton rôle. On remettra ça. T’était déchainé. Les aphrodisiaque sa te rend encore plus sexy. Je dois aller travailler. Ne fait pas de bêtises pendant mon absence.

Je n’arrivais même pas à ouvrir la bouche pour lui répondre, à quoi bon ? Il n’en avait rien à faire de ceux que je pouvais ressentir. Il approchait doucement son visage de moi, j’amusant de me voire perdre la tête devant lui. Juste de sentir son souffle contre les lèvres me rendait fou, je fermais les yeux attendant un contact. Un contact qui ne venait jamais. Il s’éloignait de moi en rigolant. Mon cœur me faisait tellement mal que j’en oublier la douleur de mon corps. Je me mis à tremblais de froid, de douleur. J’essayais à nouveau de me relever, mais j’en étais incapable. J’allais rester la toute la journée sans pouvoir bouger. C’était tout ce que je mérité. J’essayais encore de me relevais mais encore une fois ce fut un échec. J’entendais la porte s’ouvrir et ce refermais. Il devait avoir oublié quelque chose. Je pris appuie sur le canapé pour essayer de me relevais, je tombais une nouvelle fois criant de douleur. J’entendais les pas ce faire plus rapides, je t’entais encore de me relevais et alors que je prenais appuis sur le canapé pour me redresser je me figeais horrifier lorsque je te vis debout dans l’encadrement de la porte. M’importe qui mais pas toi. Pourquoi fallait-il que nos chemin ce croise à nouveau dans un tel moment ?

Tu semblais plus beau que jamais. J’essayais de me dérobé à ton regard. Je me recroqueviller à nouveau sur le sol alors que mes pleures redoublait à mesure que tu t’approchais de moi. Je paniquais tellement à l’idée que tu me déteste encore plus de me voire ainsi. Je n’arrivais plus a respirait, ma gorge était en feu. Tout comme mes poumons. Je t’entendais m’appeler mais je n’arrivais pas à te répondre. Ta voix semblait désespérait. Mais je ne pouvais rien faire pour te rassurait. Et je me sentis sombrais dans les ténèbres. Je priais pour ne plus jamais me réveiller. Je voulais tellement mourir avec pour dernière vision celle de ton doux visage.

 

 

Lorsque je ré-ouvrir les yeux la lumière du jour me bruler les rétines. Et un mal de crâne des plus désagréables me prit. Je n’étais donc pas encore mort. J’avais mal, mon corps était tellement douloureux. Je tournais la tête et fut pris d’un haut de cœur lorsque je te vis. Assit à mes côtes ma fixant avec peine. Je ne veux pas de ta pitié. Je me veux pas t’inspirais ce seul sentiment. Je voulais temps que tu me regard avec douceur, avec amour. Pas avec ce regard emplis de condescendance. Pourquoi fallait-il toujours que tu me vois toujours dans des états si pathétiques ?

- Jaylan.

Pourquoi mon nom sortant de ta bouche était-il si doux ? Pourquoi ta voix me faisait-elle tremblais ? Pourquoi me déstabilisais-tu autant ?

- Jaylan. Ta voix était si douce, comme la caresse d’une douce brise d’été. Agréable, rafraîchissante. Je sentais tes doigts frôlais doucement mon avant bras me faisant tremblais encore plus. Ils étaient tellement doux, aussi frais que la rosé matinal. Je ne méritais pas que quelqu’un comme toi s’intéresse à moi. Je suis tellement insignifiant.

- Jaylan. J’ai eu si peur. Que c’est-il passé, que t’a-t-il fait ?

- …

- Jaylan répond moi s’il te plait.

J’essayais de nouveau de me redressais, c’était tellement douloureux. Je tombais sur le sol étouffant un cri de douleur. Mes jambes ne répondaient plus, elles étaient incapables de me porter. Pourquoi fallait-il que je me rende encore plus pitoyable. Tu dois avoir une très mauvaise impression de moi. Tu voulais venir m’aider à me redresser mais je te repoussais sans voire ton regard blessé. Mais je ne voulais pas de ta pitié parce qu’elle me blesser plus encore. Alors je me trainer seul, te repoussant à chaque fois que tu voulais me portait ton aide. Te blessant un peu plus à chaque fois. Tu devrais partir, t’éloigner de moi. Pourquoi perdre ton temps à veiller sur un mort en sursis. Je réussis temps bien que mal à entré dans la baignoire et à faire couler l’eau. Je n’avais allumé que l’eau froide, mais très vite tu allumais l’eau chaude. Tu t’était laisser tomber à mes côtes me suppliant de te dire ce qui c’était passé. Mais je gardais le silence.

 

 

«  Après cela j’étais sur que plus jamais tu me voudrais me voire. J’ai fait couler mon sang devant toi, j’ai vue ton regard horrifier avant de sombré dans les ténèbres priant pour que cela soit la dernière fois. Je n’avais plus l’espoir qu’un jour tu puis me sortir de ses ténèbres. Je lui appartenais, il avait sus m’enchainer à lui. Et il serrait le responsable de ma mort. Alors s’il te plait part loin de moi. Avant que je ne sois celui qui t’enfoncerais dans les ténèbres. »

 

 

 

et voila j'espère que cette petite suite vous aura plus .bisous à toutes.

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Jeudi 6 mai 4 06 /05 /Mai 17:47

CHAPITRE 10 :

 

 

« Je me souviens de la première fois ou il as montré de la jalousie. Cela à était la nuit la plus atroce de ma vie. Il m’a rappelais ma conditions de jouet. Cette nuit là il m’avait emmené en boite avec lui. C’était la première fois que j’y remettais les pieds depuis que je l’avais rencontré. Il n’avait fait gouter à l’extasie. Moi qui n’y avais jamais touché. Il c’était penché vers moi pour me murmurait d’une voix pervers.

- lâche-toi un peu, va danser mon poussin comme tu sais si bien le faire. Si tu arrive à m’existé je te baiserais toute la nuit, comme tu aime.

Sa m’avait fait mal de l’entendre me parlais de la sort. Mais je n’avais pas la force de lui répondre. À quoi bon. Puis il n’avait poussé sur la piste de danse. Alors qu’il rigoler entouré de tous ses amis, je n’étais qu’un objet de distraction. »

 

 

 

J’ouvrir de grand yeux étonner lorsque je senti une main ce refermais autour de mon poigner m’arrachant des bras de cette inconnu. J’eu as peine le temps de réaliser ce qui venait de ce passé que Andy envoyait un coup de poing à l’inconnu l’envoyant au tapis. Je le fixais et il me terrorisé, je n’avais encore jamais vue autant de colère dans son regard. C’était pour moi qu’il ce montré aussi violent. Sa voulait dire qu’au font il m’aimait bien.

- Personne ne touche à ma pute sans mon autorisation.

Je sentais mon cœur ce briser à nouveau. Ce n’est pas possible. Pourquoi est-ce que je me faisais encore de faux espoir. Il ne m’aimait pas. Que sa rentre une fois pour toute. Je ne suis que son jouet. Il me força à le suivre jusqu’à l’extérieur. Il me plaqua contre un mur avec force et son poing s’abattit sur ma joue me faisant crier de douleur. Il plaçait sa main autour de mon coup m’étranglant, il ressemblait à un monstre ainsi, les yeux remplis de colère, de folie alors qu’il resserrait doucement la pression. Ses lèvres frôlaient le lob de mon oreille et sa voix ce fit sifflante, basse, un murmure.

- Tu aurais du le repousser. Tu aurais du repousser cette homme.

Il m’attrapait par le collier me forçant à me mettre à genoux devant lui.

- Sale petite chienne. Est tu conscient de ta position. À mes pieds, à obéir à Chaqu’un de mes ordres. Tu as donc tant envie que sa de te faire sauté ?

- …

- Répond petite pute. Tu as envie de te faire sauter.

Il me murmurait plus, il crier. Alors qu’il tirait sur mon collier avec force. Je suffoquer. Sa me faisais tellement mal. Je voulais que sa arrête. Mais la douleur ne cesserait jamais.

- Oui.

- Oui quoi ?

- J’ai…j’ai envie de me faire baiser.

- Très bien. Justin as très envie de ton petit cul. Tu va passer la nuit avec lui.

- Non…

Un nouveau coup s’abatis sur ma joue alors que son regard ce faisait plus menaçant encore. J’ai peur. Il me terrorise. Jusqu’à où peut il allait pour soumettre quelqu’un à ses désire. Jusqu’à ou j’suis capable de m’enfonçait pour qu’il m’aime.

- Tient j’ai un petit cadeau pour toi.

Je le vis sorti un seringue de sa poche. Il allait encore me faire prendre de la drogue de force. J’essayer de me défaire de sa prise mais il était bien plus fort que moi. Alors je ne pus rien faire d’autre que de sentir l’aiguille percer ma peau et le produit ce dissoudre dans mes veine.

- Voila maintenant tu va le suivre et je ne veux pas l’entendre ce plaindre de ton obéissance où je n’occuperais de ton cul moi-même.

 

 

- Tu es enfin réveiller. Tu sais que t’es vraiment chaud toi. Quand tu baise tu deviens une véritable petite chienne. Je n’ai jamais autant baisé en une nuit.

 

 

« Je n’étais réveiller cher cette homme que je ne connaissais même pas. Je l’avais laissé faire ce qu’il voulait. Je me savais même pas ce que j’avais put faire cette nuit là. J’avais tout oublié. Je me sentais tellement mal. Je faisais tout ça pour un homme qui ne me rendrait jamais mon amour. Après cette nuit la j’ai servi de jouet à Chaqu’un de ses ami. Il adorait m’offrir à eux. Il savait très bien que je ne pouvais pas refusait. La seule chose qui m’aider était de penser que je pourrais te revoir."

J’étais en train de danser sur la piste, la drogue faisait doucement effet, s’immiscent dans chacune de mes veine. Je laissais la musique me portait. Je savais qu’il me regardait, qu’il ce riait de moi. Mais je n’arrivais plus à penser mon esprit était embuée, l’alcool, la drogue, la chaleur. Je me savais plus au j’étais. Je sentais quelqu’un ce coller à moi. Je savais que ce n’étais pas Andy. Je serrais capable de le reconnaitre entre des centaines d’hommes. Son odeur, son corps, je le connaissais par cœur. Mais je ni prêtais pas attention. Sa devait être un de ses ami. Il voulait sans nul doute joué avec moi.
Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Jeudi 6 mai 4 06 /05 /Mai 10:16

coucou  à tous. je viens juste de finir de taper ce chapitre alors j'ai pas vraiment eu le temps de le rlire. sorry. mais je préfére le poster pendant que j'ai le temps. parce qu'à si non je vais oublier. un vrai poisson rouge.lol. donc j'espère qu'il vous plaira. bonne lecture.

 

 

 

CHAPITRE 9 :

 

 

 

 

« Tu me fixais en silence. Je crois bien que tu étais aussi étonné que je le fusse. On ne c’était vue qu’une seul fois, mais je serrais bien incapable d’oublier ce regard. Tu ne m’avais parlais qu’une seul fois mais je serrais incapable d’oublier le timbre de ta voix. J’étais incapable de bouger. J’étais incapable de parlais. Pourquoi fallait-il que le destin soit si cruel avec moi. »Je vis alors ton visage ce barré d’un immense sourire. Je croyais que tu étais un ange mais tu dois être comme lui. Je ne veux pas le croire. Je ne peux pas le croire. Tu étais celui qui m’avait donné une lueur d’espoir. Et tu es celui qui m’enfonce encore plus dans la noirceur de ce monde sans lumière. Tu n’es donc pas cet ange que je n’étais imaginé.

 

 

 

- On c’est déjà rencontré n’est-ce pas ?

- Oui…hier…je vous ai bousculé dans la rue.

- j’avais raison. Difficile d’oublier un aussi beau visage. Malgré cet horrible bleu. Tu en es le responsable Andy.

- Non c’est son père. Bon j’avoue que je lui en ai foutu une. Mais cette petite chienne le mérité. Il est docile que lorsqu’il a ma queue entre les fesses. Il gémit comme une femelle.

- Je…je peux aller dans ma chambre, s’il vous plait maître. Je suis fatigué.

- C’est bon, je n’ai plus besoin de toi. Descend pour le repas.

- je n’ai pas faim.

- Tu n’as absolument rein manger depuis ton arrivé.

- JE N’AI PAS FAIM.

C’était la première fois que je lui crier dessus, je ne lui laissais pas le temps de répondre que j’étais allé m’enfermer dans ma chambre. Je venais de faire une erreur qui aller me couté cher.

 

J’étais resté durant des heures assit dans un coin de la chambre. Je me savais pas quelle heure il était, j’étais épuiser. Je n’avais qu’une envie dormir. Pouvoir enfin me reposer. Et pour la deuxième fois de la journée il entrait dans la chambre, toujours aussi belle et majestueuse. Je me redressais pour lui faire face, sans oser lever la tête. Il tenait une assiette de soupe à la main. Il était monté pour me portait à manger.

- Tu dois manger Jaylan.

- Je n’ai pas faim.

- Un chien sa obéit Jaylan.

Il m’attrapait par la nuque avec force me jetant sur le sol, j’étouffais un cri de douleurs, lorsque mon genou venait frapper contre le sol dur de cette chambre tellement froide et sans vie. Il posait l’assiette devant moi, m’appuyant sur la nuque pour me forçais à manger. Mais tout ce que je pouvais faire c’était pleurait. Je suis si faible. Mais je me rien avaler. Pourquoi fallait-il qu’il me traite de la sorte ? Pourquoi fallait-il que je le laisse faire ? Pourquoi fallait-il que je l’aime ? Je savais qu’il était en colère et qu’il allait me punir et sa me tarda pas.

Il ce plaçait derrière mon dos alors que sa main continuais de faire pression sur ma nuque. Je criais de douleur lorsque je sentais son sexe me pénétrait. J’ouvrir les yeux et fut prit d’horreur lorsque je vis tes chaussure dans l’encadrement de la porte. Il était en train d’assisté à ce spectacle. Il assisté à mon humiliation. J’avais envie de disparaitre. Andy m’attrapait par les cheveux me forçant à relevait la tête me forçant à te regardait. Tes yeux accrochaient les miens. Il m’exprimer rien, ni surprise, ni colère. Absolument rien. Mais j’étais sur que je te dégoutais.

- Tu veux en profiter frérot. Il est délicieusement serrer. Hum le pied.

- Non merci. Ce n’est pas mon truc. Il ne mérite pas ça. Il doit avoir tous justes 18 ans.

- Ne recommence pas avec ça. Il aime ça. Comme tout les autres.

- Je rentre. Willy doit m’attendre. Au revoir Jaylan.

 

Je me rependais rien, la gorge étouffer par mes sanglots. Tu m’en avais rien à faire de moi. Je n’étais que la pute de ton frère. Pourquoi est-ce que j’attachais autant d’importance à ceux que tu pouvais penser de moi ? Pourquoi est-ce que te voir tourné les talons me faisaient aussi mal ? Je ne devrais pas ressentir de telles choses alors que c’est Andy que j’aime ? Tu es reparti en fermant la porte, sans un mot, sans un regard. J’aurais donné tout ce qu’il me restait pour savoir ce que tu penser à cette instant.

 

 

« Ce jours la je t’en avais voulut de me rien avoir fait pour m’aidé. Mais ensuite c’est à moi que je n’en suis voulut. Parce que j’étais le seul responsable. Je n’étais jeté moi-même dans ses bras. Je n’avais rien à attendre de toi.

Pourtant après cette seconde rencontre, où j’avais enfin eu des réponses, je n’ai eu de cesse de te chercher. Je croyais te voir à chaque coin de rue, mais ce n’était qu’un tour de mon esprit, de mon cœur blessé. Je n’osais rien demander à ton frère, de peur de déclenché sa colère. Et puis ce Willy est-ce qu’il était ton petit ami ? Je me posais tellement de question. Tu m’obsédais à longueur de journée, et aucune de mes questions ne trouver de réponse. Ton visage hanté mes nuits pourtant c’était Andy que j’aimais. Aujourd’hui il y a encore une partie, cette partie sombre de moi qui l’aime encore. Je ne sais pas comment l’explique mais il ferra toujours parti de moi. Parce que je ne peux renier ce que j’ai fait par amour pour lui. Mais aujourd’hui c’est ta lumière qui a remplacé ses ténèbres. J’ai trouvé le bonheur dans tes bras, je ne veux plus connaitre la déchéance dans les siens. »

 

 

alors vous vous y attendez à ça. dit moi ce quevous en penser. la suite dés que j'ai fini de la taper.

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Dimanche 2 mai 7 02 /05 /Mai 15:21

 

 

CHAPITRE 8 :

 

 

 

 

« La vie nous joue vraiment de sal tour. J’étais prétentieux, con, intéressait par mon seul nombril. Je passais mon temps à faire du mal au personne qui m’entourer. Je vivais dans un monde de lumière, j’étais aimer de tous, tous étaient à mes pieds, toutes ses femmes qui me désiré. J’étais habitué à être le centre d’attention, à être dans la lumière. Et il a fallu un regard, un effleurement, un baiser, une caresse, un souffle, un mot. Il avait suffit d’un simple instant pour que mon monde s’écroule et que les ténèbres m’ouvrent leurs bras. »J’étais assis sur le sol de cette chambre au je me sentais en prison, oppresser. Je voulais partir, fuir le plus loin possible de lui, de cette souffrance, mais j’en étais incapable c’était comme si des chaines invisible m’attacher à se lieu à cette homme. Et elle était si épaisse que rien ne pouvait les brise. Je m’étais pris une sacré claque en le rencontrant, et je n’arrivais pas en me relevais. Hier soir j’avais fait tout ça par amour et je me sentais tellement sale. Si répugnant. Je sentais encore ses mains sur mon corps. Je n’étais offert à lui juste pour qu’il m’aime un peu. Mais pour lui je ne suis qu’un jouet sans la moindre importance. Lorsqu’il ce lassera de ma présence il me jettera dehors comme le chien que je suis devenu. Je fermais les yeux et l’image de l’ange s’imposer à mes yeux. J’avais envie de le revoir même si je sais que je m’en aurais sans nul doute jamais l’occasion. Je ne me suis rien pour lui. Jamais je n’aurais crus pouvoir tomber amoureux d’un homme, d’un monstre. Connaissez-vous cette citation « quaerens quem devoret. »

 

 

 

 

Expression de saint Pierre pour caractériser le démon : « Tenez-vous sur vos gardes, car le démon, votre ennemi, tourne autour de vous comme un lion rugissant, cherchant quelqu'un à dévorer. » pour moi il était ce démon qui tournais autour de moi attendant de me dévoré. J’avais céder à mon désir juste une fois, cela c’était transformer en ce monstre assoiffer qui attendait tapis dans l’ombre de bondir et de punir ma faiblesse.

 

Je sursautais lorsque j’entendais la porte s’ouvrir. Depuis combien de temps est-ce que j’étais assit sur ce sol froid, des heures sans doute. Je relevais la tête pour le voire ce dressant devant moi, une assiette à la main. Pourquoi fallait-il qu’il soit aussi beau ? J’étais si misérable et lui si majestueux. Il portait encore un de ses costumes hors de prix. Il allait sans doute au travail. Non c’était dimanche, il ne travaillait pas. Il attendait sans nul doute quelqu’un.

- Tu as l’intention de restait tout la journée là. Mon frère vient alors va te préparé et fait toi beau.

- Oui maitre. Répondais-je d’un ton monocorde.

Il s’agenouilla devant moi et je fus surprit de le voire me tendre un coffret. Je fixais la boite étonné.

 

Je me levais avec peine pour sortir de la pièce alors que je sentais son regard brûlant sur moi. Mais je ni prêtais pas attention. Je savais très bien que la seule chose qui veut de moi c’est mon corps. Tout mon corps était douloureux. J’arrivais avec peine à me glisser dans la cabine de douche, le contact de l’eau chaude sur ma peau froide me fit frémir. Je fermais les yeux laissant l’eau détendre mon corps. J’avais envie de pleurait, mais aucune larmes me sortait de mes yeux. Alors j’attrapais à nouveau les ciseaux posait sur le porte savons entailler à nouveau ma chair. Ma vie n’avait pas vraiment d’importance, je n’étais qu’un simple jouet. Je fermais les yeux me laissant sombrait encore plus.

 

Je finis par le rejoindre une heure plus tard, j’avais bandé mon poigner pour caché mes blessures. J’avais enfilé un jean blanc, et un polo blanc. J’eu à peine le temps de leurs faire face qu’il m’envoyait une claque monumentale. Elle était si forte que je perdis l’équilibre et m’écroulait sur le sol.

- Merde je t‘offre un collier bleu et tu t’habille en blanc. Tu es con au quoi ?

- Pardon, je vais aller me changer.

Il m’attrapait par le menton pour m’obliger à relevait la tête. Pourquoi jouait-il de la sorte avec mon cœur. Il était si violent dans ses gestes dans ses mots, et pourtant là, dans cette façon qu’il avait de me tenir il était tendre. C’était ses simples moments de tendresse qui me rendait encore plus amoureux de lui. Suis-je donc devenu fou ?

- Je t’en pas le blanc te va si bien.

- Non j’ai eu la prétention de croire que cela pourrait m’aller. La seul couleur que je peux portait et le noir.

Pourquoi est-je mit ses vêtement qui me vont si mal. Je me sens si sale, si misérable. Il m’attirait un peu plus vers lui, frôlant ses lèvres des miennes, ce contact me rendait encore plus faible encore.

- Moi je trouve que le blanc te va à merveille mon ange déchut. Aller lève toi, il va arriver. Et tient toi tranquille.

- Oui.

- Tu ne m’appelle plus maitre ?

- Oui. Maitre.

- Hum j’adore ça. Sa m’existe.

Je me redressais, baissant à nouveau la tête, le point de ma honte m’empêchait de la relever. Cet homme ne faisait me sentir tellement pitoyable. J’entendis résonner la sonnerie de la porte d’entré et je n’eu pas vraiment le temps de le réaliser que Andy m’attrapait par le bras pour me tirait vers la porte. Il avait encre me présentait comme son petit chien bien obéissant.

- Salut grand frère sa fait plaisir de te revoir.

Cette voix était si douce, si chantante, pleine de vie. Et lorsque je l’avais entendu j’avais sentis mon cœur exploser. Cette voix je l’avais déjà entendu. Mais je devais être en train de rêver.

- Tu n’as pas changé Tenshi, toujours aussi beau.

- Sans doute. Dit c’est un nouveau ?

- Je te présente Jaylan mon nouveau petit chien. Aller Jay relève la tête et dit bonjours à mon frère.

 

« Il à suffit d’une secondes, d’un instant pour que je sombre encore plus. Le fin rayon de soleil qui avait réussit à percer les ténèbres qu’il avait érigé autour de moi venait de s’effacer. J’Y avait crut, durant quelques minutes j’avais crut qu’il pourrait m’aider. Mais je n’étais trompé, il ne deviendrait pas la lumière que je cherche temps. »

- Tien cadeau.

- C’est quoi ? Demandais-je en prenant le coffret d’une main tremblante. IL m’offre un cadeau, à moi qui n’ai rien d’autre d’une joue pour lui. J’ouvrir le coffret et le lâchais aussitôt en on découvrant le contenu. Un collier, un collier de chien. Je ne suis donc que cela pour lui. Il prit le collier, il était bleu foncer, je me faisais aucun mouvement alors qu’il s’approchait de moi pour attachait cette chose autour de mon coup. Il m’attrapait par le menton pour m’obliger à le regardait, alors qu’il affichait un regard satisfait et un large sourire.

- Comme ça tu m’appartiens. Personne ne peut passer les mains sur toi sans mon autorisation. Alors va te préparait et rejoint moi en bas. Ne me fait surtout pas honte.

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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