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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

un amour de pirate ( terminé)

Samedi 8 mai 6 08 /05 /Mai 22:36

 

 

 

CHAPITRE 42 :

 

 

 pov Jackson

L’air était lourd, étouffant, pas u brin d’air ne venait calmer notre peur. La lune était absente de ce ciel tout comme les étoiles. Elles étaient voilées par des nuages menaçant. C’était une nuit parfait pour ce que nous allions faire. Tout était prés. Mes hommes étaient en position prés à attaqué. De la où j’étais j’avais une vue imprenable sur leurs feu de camps. Gus le rouge était assit au milieu de tout ses hommes. À savourait un bon rhum. Un jeune homme était assit à ses côtés, je ne l’avais encore jamais vue mais j’étais sur que c’était Shawn. Il lui ressemblait tellement.

Je me retournais vers mon meilleur ami, il était tendu comme jamais encore je ne l’avais vue tendu. Il allait enfin pouvoir retrouvait Shawn, même si c’était pour le reperdre par la suite. Et par la même occasion il allait voir mourir ce monstre. J’allais le tuer de mes mains. Pour être sur qu’il me fera plus jamais de mal à une autre âme innocente.

- On va y arriver Milan. En as la surprise de notre côté.

- N’As-tu pas peur Jackson ?

- La seule chose qui peut me faire peur c’est qu’il t’arrive quelque chose. Alors oui j’ai un peu peur. Mais on ne peut plus faire demi-tour. Je vais tuer cette homme pour ceux qu’il ta fait. Pour ceux qu’il lui a faits. Pour ceux qu’il nous a faits.

 

La nuit aller être sanglante et teintera le ciel en rouge.

 

 

La bataille faisait rage. Les coups pleuvaient. Je faisais face à ce monstre. Il était fort incroyablement fort. Mais je devais être bien plus fort que lui. La lune c’était enfin montré. Comme si elle voulait assister à notre combat. Elle en serrait le témoin. Le juge impartial. Il évita un de mes attaques et lorsque je me retournai je le vit foncer vers Adrien et son frère. Et je pris peur. Je ne voulais pas le perdre. Je préférais mourir que le voir mourir. Je préférais encore le voir partir loin de moi. Je m’interposais entre lui et l’homme que j’aimer. Je vais tuer cette homme, je vais lui faire regrettait tout le mal qui as fait. Je vais enfoncer ma lame dans son cœur et je vais le regardait agoniser lentement. Je vais recueillir son dernier souffle.

- Ne te trompe pas d’adversaire. Je suis celui qui mettra fin as ta misérable existence. Tu ne les toucheras pas. Tu ne lui feras plus jamais de mal.

- Je ne reçois pas d’ordre d’une pute.

- Je vais te faire regretter tes actions.

 

 

Encore et encore, je l’attaquais encore et encore et il parait Chaque coup que je lui portais. Le combat semblait durer une éternité. Il était fort mais je voyais bien qu’il s’épuisait bien plus vite que moi. Je réussis à lui trancher la main qui tenait sa lame. Il criait de douleur. J’avais mit toute ma rage dans ce coup. Je le plaquai contre le mur enfonçant la lame de mon sabre dans son torse, la faisant glisser entre deux de ses côtes perforant un de ses poumons. Un nouveau cri de douleur s’échappait de ses lèvres.

- Sa c’est pour le père de Milan.

Ma lame alla ensuite s’enfoncer dans son ventre.

- Sa c’est pour Adrien.

Je le jetais sur le sol écrasant ses parties génital avec mon pied le faisant crier de douleur. J’étais habité par ma rage. Ma colère, je venais de me transformer en ce monstre qui avait fait ce carnage sur ce bateau il y a 4 ans. Je me délecté de ses cris de douleur de ses supplications.

- Jackson arrête.

Je m’entendais plus rien je ne voyais plus rien, rien d’autre que ce sang. Ma lame glissait le long de son torse déchirant ses vêtements entaillant sa peau, jusqu’à son pubis où je plantais ma lame, le faisant glissait l’ouvrant comme un porc, jusqu’à lui arraché la bite et les couilles.

- Sa c’est pour Milan et Shawn. Plus jamais tu me feras souffrir quelqu’un. Va en enfer.

Je l’attrapais par les cheveux et mon sabre trancha la peau de son coup. Il n’eu même pas le temps de pousser un dernier cri. Son sang couler à flot alors que son corps était agitait de derniers spasmes. La nuit était enfin redevenue calme. C’était tellement agréable. C’était fini. Je venais de mettre fin à cette souffrance qu’il leurs avaient infligé. J’avais vengé mon meilleur ami. Et aidait l’homme que j’aimais à retrouver son frère.

Je me retournais vers mon amour mais il me ne regardait même pas il avait déjà tournée les talons s’éloignant avec son frère. Et sa me fit sourire. Ils allaient enfin pouvoir être heureux. Je me tournais ensuite vers mon meilleur ami qui me fixait les larmes aux yeux. Je voulais que lui aussi soit heureux. Je sais enfin ce qu’essayer de me murmurait ce vent.

- Soit heureux Milan. Je t’aime.

- Jackson.

« Une fin et un recommencement. Ta mort, leurs bonheur ».

 

 

 

 

                                                                                     FIN.

 

 

et voila pour le 150 émé article de mon blog je vous met la fin d'un amour de pirate. snif. c'est trop triste.

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 22:44

CHAPITRE 41 :

 

 pov Shawn.

 

Il faisait noir, il faisait froid, j’avais tellement peur.

J’étais dans la cabine du capitaine recroqueviller contre l’un des murs, tremblant de peur, je pleurais encore et encore. J’avais l’impression que je ne pourrais plus jamais cesser de pleurais. Il avait encore abusé de moi, durant des heures, encore et encore. Et mon corps avait encore réagit, il avait aimé ça. Je me dégoutais. Ce corps me dégoutait.

Je voulais tellement revoir Milan. Le serrais dans mes bras, l’embrasser mais je ne voulais pas le salir. Je ne méritais pas de vivre à ses côtés.

Je me crispais lorsque j’entendais la porte s’ouvrir et mon pire cauchemar entré. Je ne pouvais pas fuir. Je n’avais nulle part ou fuir. J’étais telle un oiseau en cage qui rêvait de prendre son envole. Il s’approchait de moi encore et encore, chaque pas me terrorisé encore plus. Il allait encore me faire du mal.

Il ce laissait tomber à genoux devant moi pour me serrait dans ses bras faisant redoublé mes pleures. Je le déteste, je le hais.

- Pourquoi pleures-tu mon amour ?

- Vous…arrêtez de me faire toutes ses choses horribles.

- Horrible. Ton corps ne dit pas la même chose. Il est si indécent dans ses moment la. Il me fait qu’en demandais encore plus. Encore et encore. Alors laisse ton cœur s’ouvrir à moi et tu serras enfin heureux. Je ne veux que ton bonheur mon amour.

- je ne vous aime pas….je ne pourrais jamais vous aimer… vous n’étiez qu’un monstre.

Il me relâchait et m’envoyais son poing dans la figure m’arrachant un cri de douleur. Ma tête heurtait le mur et je perdais connaissance, sombrant dans les ténèbres. Est-ce que j’étais mort. C’étais peut être la meilleur chose qui puisse m’arrivais. Je me veux plus le laissais me toucher. J’aime Milan, je voulais lui appartenir à lui et à lui seul. S’il te plait vient me cherché, conduit moi dans un monde meilleur. Ou tu serrais tous pour moi. Mon soleil, ma lune, mon aire, mon eau, toutes ma vie.

 

 

 pov milan

Je regardais le ciel étoiler, c’était vraiment une très belle nuit. Est-ce que Adrien avait réussit à avoir le pardon de Jack. J’espère qu’il ne lui as pas à nouveau céder. Que va-il ce passer lorsque l’ont aura retrouvé Shawn ? Est-ce que je vais réussir à resté loin de lui, à faire semblant de me pas l’aimais ? C’Était tellement dur de me dire que je ne pourrais pas le serrait dans mes bras, que je ne pourrais plus l’embrasser. J’ai découvert l’amour et je ne peux pas l’atteindre. Il n’était interdit.

 

 

 

 pov jackson.

 

À mon réveille il était allonger contre moi dormant à poing fermer. Il était tellement beau mon amour. Où moins lorsqu’il dormait il ne me faisait pas souffrir. Je faisais glisser mes doigts sur sa joue, il m’avait manqué. Malgré tout le mal qu’il me faisait je ne pouvais cesser de l’aimer. Que dois-je faire pour réussir à me défaire de lui. Je déposais mes lèvres sur les siennes avec douceur. Il me rendait fou. Pourquoi fallait-il toujours qu’il me blesse avant de revenir en pleurant et en s’excusant de ce qu’il avait fait et moi je pliais et je lui pardonné.

 

 

Milan était accouder au bastingage, sa faisait une demi heure que je le regardais en silence, sans oser l’approchais, alors que j’avais tellement envie de le serrait dans mes bras. C’étais moi seul qui avais pris la décision de le gardait à bord, le seul à lui avoir proposé de l’aidé. Tout et de ma faute, et à cause de mon égoïsme mon meilleur ami souffre.

Je m’approchais de lui, glissant mes bras autour de son corps pour le serrait contre moi. Le vent soufflé fort aujourd’hui, il faisait chanter la mer, apportant les effluves marins. Il caressait nos corps avec douceur nous faisant frémir. Je fermais les yeux me laissant porter par ce vent.

- Si seulement en pouvait s’envoler. Viendrais-tu avec moi Milan ?

- je te suivrais jusqu’au bout du monde Jack.

- L’amour et sans nul doute le plus beau et le plus douloureux des sentiments. Il peut nous faire planer au dessus des cimes des plus hauts sonnets de ce monde, au dessus des mers, des endroits aux l’ont ne peut aller. Il nous transporte dans des mondes lointains, inconnu, envoutant. Seulement le vol n’est parfois qu’éphémère, et la chute et douloureuse où mortelle. Alors on ce raccroche, on ce raccroche désespérément à une branche, à un infime espoir pour ne pas tomber. Pour ne pas ce briser. Laisse-moi être cette branche Milan. Raccroche-toi à moi. Je te promets de me pas te laisser chuter.

- Merci Jack.

Il ce tournais vers moi un doux sourire sur le visage, avant de me serrait contre lui me rendant son étreinte. Je le protégerais. Peut importe ce qui doit arriver.

 

 

 

 

Les jours passaient sans que je ne puis les arrêtais, j’aurais voulut avoir le pouvoir d’arrêtais les temps pour arrêtait de souffrir mais je n’avais pas ce pouvoir. Dans quelque heure en arriverais à l’île. Et tout aller prendre fin.

Je fixais l’eau bleu en silence, j’avais parcourut tant d’océans, tant de mer, j’avais découvert tant de merveille, tant de chose à couper le souffle. Et j’avais découvert l’amour et la douleur que cela engendrais. Avant je vivais dans un monde plat sans relief tout ce qui m’importait été de parcourir le monde, mon cœur était froid, il ne bâté pas. Je croyais être née sans cœur. Alors j’étais parti à la découverte de ce monde inconnu qu’était l’océan, et j’ai découvert que mon cœur pouvait battre. Et que je pouvais souffrir. La fin était proche et je le savais. Le vent soufflait fort cette nuit là. Il annonçait un changement, une fin et un recommencement. Mais seul ce vent sait vers où il nous emporte.

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 22:41

CHAPITRE 40 :

 

 

 

pov  adrien

Sa faisait déjà trois jours, trois longue journée que je lui avais fait toutes ses choses horrible. Lui semblais ne plus vouloir en parlais à vrai dire il n’ignorait totalement. Il ne me parlait plus, il ne me regardait plus, il ne me touchait plus et il me manquait tellement. C’était comme si je n’existé plus. Comme si à ces yeux j’étais devenu invisible. À chaque fois qu’il passé à côte de moi j’avais envie de l’attraper pour le retenir et le serrait fort contre moi, pour ne plus le laisser m’échapper. Est-ce qu’il avait ressenti la même chose lorsque je l’avais ignoré. Ce sentiment d’abandon, ce sentiment d’oppression. Cette sensation d’être dans une sale ou l’ont ne peux pas distinguer les murs, où l’ont ne peux pas trouver la porte Je voulais tant entendre sa voix, sentir son corps contre le mien, sentir son odeur, ses mains sur ma peau nue, ses lèvres sucré, embrassé sa peau. Je voulais à nouveau pouvoir frémir de ses caresses. Je voulais à nouveau pouvoir lui faire l’amour.

Je me posais des centaines de questions, qui ne trouvent aucune réponse. Je suis en train de devenir fou. Plus en ce rapproche de mon frère et plus je suis incertain sur le futur. J’allais retrouver alizé et en allait partir quitté ce navire. Mais est-ce que je serrais vraiment capable de l’oublier. Pourrais-je oublier tout ces moment merveilleux que l’ont à passé ensemble. On n’avait pas fait que baiser. Ses moments passé à discuter de choses et d’autre. Parfois son le moindre intérêt. Je voulais entendre à nouveau sa voix ne murmurait des mots doux. Je voulais encore pouvoir m’endormir dans ses bras, me réveiller contre son corps. J’aimais quand je me réveillais alors qu’il me regardait. Son regard était si doux dans ses moment là, si protecteur que je ni abandonner. Il caressait toujours mes cheveux avant de faire glisser ses doigts sur ma joues, ce contact me faisait toujours tremblais. Au réveille sa voix était toujours si douce. Il me demandait toujours si j’avais bien dormit, toujours dans un souffle à peine audible alors que ses lèvres caressaient les miennes. Juste un frôlement, une douce caresse. Puis lorsque je lui avais répondu oui ses lèvres ce faisait plus gourmande, j’adorais ses baisers matinal même si je ne lui ai jamais dit. J’adore cette façon de me réveiller. Après il revient toujours ce blottir contre moi, je refermais mes bras autour de lui pour profité de se réveille. Je voulais à nouveau connaitre de telle moment, je ne voulais pas que l’ont m’enlève sa. Je suis le seul responsable. Je veux le revoir sourire pour moi. Je veux revoir ses yeux pétillent de joie. Je suis totalement perdu, je ne sais vraiment plus où j’en suis. Il me rend fou. Sa n’aurais pas du ce passer comme ça.

 

 

 

 

 

J’étais appuyais contre l’encadrement de la porte le regardant travailler. Il était tellement beau, ses cheveux lui tombaient devant les yeux et il n’avait de cesse de les remettre en place. Mais il ne tenait jamais alors il recommençait encore et encore. Il était tellement mignon quand il faisait ça.

Je voulais qu’il me regarde. Je voulais tellement qu’il me regard. Je t’en supplie regard moi Jacky, regard moi.

Je sursautais lorsque sa voix froide brisait le silence de la pièce. Je me sentais comme un enfant pris en faute. Et je baissais la tête sous le poids de ma honte.

- Tu as envie de baiser alors tu es venu voire ta pute préférait.

- Arrête ce n’es pas vrai. Tu n’es pas une pute. Que dois-je faire pour que tu me croies.

- Si tu ne veux rien alors va-t’en s’il te plait.

Je relevais la tête vers lui, il était toujours perdu dans l’étude de ses cartes. Son faire attention à moi. Je ne pouvais plus supporter son ignorance. Je me décollais de la porte pour me diriger vers lui. Je tirais sa chaise et attraper son visage pour ravir ses lèvres qui m’avais tant manqué. Je le sentais ce tendre à ce contact. Il me déteste vraiment à présent.

- S’il te plait Jack…pardonne moi. Je t’en supplie.

Je l’embrassais à nouveau et je le sentais ce détendre un peu, mais il me repoussait me brisant le cœur. Mais je repris à nouveau ses lèvres enfonçant ma langue entre ses lèvres mais il me repoussait à nouveau avec plus de force encore. Il ce redressait de toute sa hauteur. J’étais assit sur le sol le fixant en silence. Il était tellement beau, tellement envoutant lorsqu’il était énervé.

- à quoi joue tu as la fin Adrien. Tu m’as de cesse de me faire souffrir et après tu reviens demandait pardon. Pourquoi ? À quoi ça te sert d’avoir mon pardon. Merde fait comme tu en as l’habitude sert toi.

Je le regardais faire tomber ses vêtements sur le sol, pourquoi fallait-il toujours qu’il fasse cela ? Je ne voulais pas que son corps, je voulais son pardon. Je voulais qu’il me regard à nouveau avec amour. Qu’il me serre dans ses bras.

- fou le camp Adrien. Il détournait les talons pour aller s’allonger sur son lit, remontant les couvertures sur son corps. Je me voulais pas partir je me voulais pas passer une nouvelle nuit loin de lui. Je m’approchais du lit et posait ma main sur son épaule mais il la repoussait d’un mouvement d’épaule. Il ne me pardonnerait pas. J’étais allé trop loin. Je dégageais les cheveux dans sa nuque, elle était si attirante, que je ne pouvais m’empêcher d’y posait mes lèvres avant de me redressait pour sortir de la pièce le cœur lourd. Il m’avait jamais était aussi froid et distant avec moi. Jamais je n’aurais cru que cela serrait si difficile d’être rejetait pour lui.

- Qu’Est-ce qu’il t’arrive Adrien t’as l’air d’un cadavre.

Je sursautais relevant la tête pour tombait sur Milan.

- Il me déteste tu dois être content non.

- Pas du tout parce que je sais qu’il est malheureux. Arrête de t’accrocher Adrien. Tu la dit toi-même ta vie n’es pas à bord de ce bateau. On va bientôt retrouver Shawn alors détache toi de lui avant qu’il ne souffre trop.

- C’est bon je n’ai pas besoin de tes leçon de morale. Je sais que je le fais souffrir mais je ni peux peut rien j’ai besoin d’être avec lui.

- Tu es quelqu’un de très dure à cerné Adrien.

Il détournait les talons pour s’éloignait de moi. J’ai vraiment besoin d’être avec lui. J’ouvrais la porte à la voler pour re-rentrais dans la chambre, il était assit sur le lit tenant son visage entre ses mains. Lorsqu’il m’entendait rentrer il relevait la tête pour me regardait. Ses yeux étaient remplis de larmes, son corps tremblait, il semblait totalement perdu tellement attendrissent. Je me laissais tomber à genoux devant lui l’enserrant de mes bras posant ma tête contre son ventre, je le serrais aussi fort que je le pouvais. Il restait sans réaction alors que je le supplier de me pardonner encore et encore.

 

 

pov Jack 

Il était la devant moi tel un enfant qui venait demandait pardon après avoir fait une grosse bêtise. Merde comment pouvais-je continuais de lui en vouloir alors qu’il ce montrait si faible devant moi.

- Je suis désolé, tellement désoler Jacky. Je ne veux pas te faire souffrir. Et pourtant c’Est-ce que je n’arrête pas de faire. Je suis désoler, on…on vient d’un monde tellement différent.

- Arrête…arrête. Ne parle plus.

- Je…je peux rester dormir avec toi ?

- Pourquoi ?

- Parce que je me sens vide quand je suis loin toi. Je n’arrive pas à dormir quand je ne suis pas dans tes bras.

Je refermais mes bras autour de lui, le serrant plus fort contre moi. L’entendre me dire ça faisait s’accélérait les battements de mon cœur. Pourquoi faut-il qu’il joue sans cesse avec mon cœur. Et moi comme un saut je tombais toujours dans les filets qu’il tendait. Il m’avait manquait, cette étreinte m’avait temps manquais.

 

Je fini par me détacher de lui pour m’allonger sous la couverture, quelques minutes plus tard je sentais le drap ce levait et son corps brulant venait ce coller aux mien me faisant tremblais de bien être et de peur à la fois. Je ne voulais pas qu’il me fasse encore du mal. Il était contre mon dos son bras autour de ma taille. Je fermais les yeux essayant de dissimuler les tremblements de mon corps. Il posait un baiser dans ma nuque avec douceur.

- Bonne nuit Jacky.

- Bonne nuit.

 

 

 

 

pov Adrien

Je le sentais ce détendre entre mes bras et son souffle ce faire plus faible. Il avait noué les doigts de sa main aux miennes la serrant contre son cœur qui battait doucement. Je blottissais mon visage dans son cou respirant sa douce odeur qui n’avait tellement manqué. Je ne savais pas si m’avait pardonné mais au moins je pouvais enfin dormir avec lui. Pourquoi est-ce que j’en étais si heureux. Je crois que je suis en train de vraiment trop m’attachais à lui. Sa m’avais vraiment manqué, sa chaleur, son souffle, tout de lui m’avais terriblement manqué. Où est-ce que tout cela va nous conduire ?

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 21:32

CHAPITRE 39 :

 

 

 

 pov jackson

Il me clouait sur le sol m’envoyant son poing dans la joue, la douleur m’arrachait un cri. Mais peut importe qu’il me fasse mal, qu’il me fasse oublier. Il me frappait encore et encore, je le laissais faire. À son regard je savais que sa l’existé de me faire ça, et je pouvais sentir son sexe gonflé sous son pantalon. Il choppait un de mes sabre posait sur le bureau le plaçant sur ma glotte alors que je le regardais en souriant, j’avais envie qu’il me tue. Je voulais cesser de vivre a bord de ce navire en perdition qu’était ma vie. Je voulais en finir.

- Frappe-moi encore et je te tue.

- c’est sans nul doute la solution. Vas-y baise moi. T’es bon qu’as ça.

- Et toi t’es bon qu’as te faire enfiler. Sale pute.

Je me redressais légèrement et la lames entailler ma gorge, faisant couler mon sang aussi sale que moi. Il me choppait par les cheveux et me jetait à quatre pattes sur le sol. Il faisait glisser sa lame le long de mon dos, c’était douloureux mais moins que la douleur qui me lacère le cœur.

- Merde baise moi…j’ai tellement mal. Murmurais-je avec douleur.

- T’as gueule je vais te défoncer comme la salope que tu as.

Il entrait en moi avec violence. Je me mordais les lèvres pour étouffer un cri de douleur. Mais ce n’était pas suffisant, il m’en faut encore plus, parce qu’il mon cœur me fait tellement mal.

- Plus fort…plus fort…s’il te plait…plus fort.

 

 

 pov adrien

Il était allongé sur le sol, le corps couvert de sueur, de sang et de sperme. Sa respiration était rapide, irrégulier, difficile. Son visage souillé de mon sperme et de ses larmes. Il c’était écrouler à bout de force alors que le jour venais de ce lever emportant avec lui la noirceur de cette nuit. Mais pas ce que je venais de lui faire. Je l’avais frappé, je l’avais humilié, je l’avais baisé comme une vulgaire chienne. Il ne l’avait demandé. Il me l’avait demandé mais je savais qu’il ne le voulait pas. Il n’avait supplié en pleurant de le prendre plus fort encore. Je lui avais dit dés choses horrible.

 

pov jackson

Je n’étais recroquevillé contre une des cloisons de la cabine le regardant en pleurant. Je n’étais bon qu’as lui faire du mal. Je n’osais même pas l’approchais. À quoi bon pour le faire encore souffrir. Je ne me reconnaisse pas, il me rendait fou et me faisait faire des choses horribles. Je regardais les bleus apparaitre sur son corps. Je n’étais qu’un monstre. J’étais devenu semblable à ces pirates que je déteste tant. Je lui répugnant. Je sursautais lorsque sa voix résonner dans la pièce, elle n’était pas aussi chaleureuse et douce que d’habitude. Elle était froide, faible.

- Tu as fait ce que je t’ai demandé. Tu n’as rien à te reprocher. Je ne comprends pas pourquoi tu pleure.

- PARCE QUE MERDE…je ne voulais pas te faire de mal. Qu’est-ce que tu crois…je…je me suis attaché à toi.

- Hm bien sur.

Pourquoi ne voulait-il pas ne croire. Il essayait de ce lever me retombait aussi sec sur le sol étouffant un cri de douleur. Je voulais aller l’aidé mais il me repousser me déchirant le cœur. Je voulais juste l’aidé.

- Je n’ai pas besoin de ton aide. C’est clair. J’ai cherché à être dans cet état. Et toi tu t’es bien vidé les couilles. Tu m’as plus rien à faire ici.

- Si, je veux t’aidé. Je suis ton petit ami. On sort ensemble je ne veux pas te faire plus de mal. Je croyais que tu voulais profiter du temps qu’il nous resté.

Il ce recroquevillait sur lui-même en tremblant et pleurant.

- Je n’ai toujours été qu’une pute. Avec toi j’aurais voulut que sa ce passe autrement. Que tu ne me voie pas comme une simple pute, juste un simple trou à baiser. Comme les autres.

Je le regardais étonner. Je ne comprenais pas de quoi il parlait. Qui étaient ses autres donc il parlait. Est-ce que d’autre homme lui avait déjà fait subir ce genre de chose. Je voulais savoir. Mais il n’était pas en état de répondre à mes questions.

 

 

J’étais en train de déliré.je crois que j’ai de la fièvre. Si je pouvais crever sa me ferrait des vacances. Je me sentais soulever sur sol par ses bras puissant qui me faisais perdre la tête et sombré. Il me déposait sur le lit avec douceur. Je n’ai toujours était qu’une pute. Je ne suis bon qu’as ça.

 

 

« J’étais allongé sur le lit subissant ses assaut répété le regard perdu vers l’extérieur. Mon corps était présent mais mon âme avait prit son envole depuis bien longtemps. Je le sentais jouir en moi une nouvelle fois, ne souillant encore plus. Il s’écroulait sur moi de tout son long. Son souffle avec cette odeur écœurante d’alcool. Il m’écrasait mais je ne disais rien. Je ne disais jamais rien.

- Hm ton cul et toujours aussi bon. Tu es si étroit. Un vrai appelle au viol.

Il ce retirait enfin ne laissant respirais mais je savais que sa me faisait que commercer.

- C’est bon les mecs cette petite pute et à vous il ma bien vidé les couilles.

J’entendais les pirates criait de joie alors que je restais allonger sur le lit attendant qu’il me baise. J’avais l’habitude, j’étais résigner. »

 

 

- Ne me demande plus jamais de te faire autant de mal.

- Tu as aimé m’en faire. Je l’ai vue dans ton regard. Tu as aimé me soumettre à toi. M’humilier, me cracher toutes ses insultes. Tu es un homme tu aime avoir un telle pouvoir sur les autres. Tu me n’as jamais aussi bien baisé qu’aujourd’hui. Et jamais aussi longtemps.

- Arrête je regrette ce que j’ai fait. Tu n’as mit en colère.

- Je suis fatigué.

- Je vais te laver et ensuite en on dormira.

- Je dormirais seul+ toi tu retourne dans ta cabine. On ne dort pas avec une pute juste après l’avoir sauté.

- Tu n’es pas une pute.

- Et t’appelle ça comment un mec qui ce fait baiser par un autre.

- La fièvre te fait délirer. On en reparlera au calme.

Je le laissais nettoyer mes plaies, mon corps souiller encore et encore. Je le nettoyer ma honte. Ses gestes étaient doux attentionné m’en faisant presque oublier ce qui venais de ce passé. J’avais envie de pleurer mais je ne voulais pas me montré à nouveau faible devant lui. Il bandait une à une mes plaies, sentir ses doigts sur ma peau me faisait tremblais. Je voulais qu’il me serre dans ses bras, qu’il me fasse oublier tout le reste. Mais je voulais aussi resté tranquille. Il remontait les couvertures sur mon corps nue et briser, ses doigts ce glissaient dans mes cheveux, il voulait m’embrasser mais je détourné la tête. Je l’entendais soupirer avant que ces lèvres ne ce posent sur les miennes alors qu’il me murmurait un nouveau pardon. Il ce levait pour sortir de la pièce me laissant enfin seul alors que je sombré dans le sommeille.

 

 

 pov adrien

 

Je m’appuyais contre la porte de la cabine, je fixais mes mains, elles tremblaient comme le reste de mon corps. Je portais mes mains à mon visage, je pleurais encore. J’entrais dans ma cabine m’écroulant sur mon lit. Pleurant comme un enfant, tout et de ma faute. Je me déteste. Je n’arrivais pas à trouver le sommeille.

Pourquoi je n’arrivais pas à trouver le sommeil loin de ses bras ?

Pourquoi sa présence me manque tant ? Je voulais sentir son corps contre moi, son cœur battre, son souffle sur mon visage, m’enivré de sa douce odeur. Suis-je en train de devenir fou ?

Pourquoi avais-je si mal de le voire souffrir ?

Pourquoi mon cœur ce serrait-il lorsque je repenser à la douleur que je lui avais infligé ?

Pourquoi avais-je l’envie de le rejoindre pour le supplier à genoux de me pardonner.

Pourquoi étais ce si différent qu’avant ?

Pourquoi est-ce qu’il ressentait avait à présent de l’importance pour moi ?

Pourquoi devenait-il important à mes yeux ?

Pourquoi ?

Pourquoi ?

Pourquoi ?…

Venais-je de le perdre. De perdre son amour.

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Jeudi 6 mai 4 06 /05 /Mai 10:20

CHAPITRE 38 :

 

 pov jackson.

Adrien était venu me rejoindre dans ma cabine une heure après que je l’ai laissé en plan sur le pont. Il venait aussitôt s’allonger sur mon lit sa tête sur mes genoux. Je restais son réaction, il était tellement changeant. Je n’arrive pas à le comprendre.

- On a parlé. On a mit les choses au point Shawn viendra avec moi. Notre vie n’est pas ici. Je suis vraiment désoler. Je sais que je t’ai fait du mal. Je ne voulais pas.

Il ne voulait pas. Il ne veut jamais c’était sans nul doute cela le plus blessant. Ne pas vouloir mais le faire tout de même. « Je sais que je te fait du mal, mais c’est plus fort que moi » c’était ce que voulait dire cette phrase. Je ne voulais pas. Pourquoi le faire s’il ne le voulait pas, pourquoi demandait pardon après avoir fait souffrir. Et pourquoi est-ce que je lui pardonner tout ? Je ne levais m’écartant de lui. La seule chose qu’il veut de moi c’était mon corps, mon cœur il l’avait jeté par-dessus bord depuis bien longtemps. Je faisais glisser ma chemise sur le sol et le pantalon suivi très vite. Il ce redressait faisant glisser ses yeux le long de mon corps nu. Je me sentais frémir sous son regard. Il s’asseyait sur le bord du lit alors que je me rapprochais de lui. Il glissait ses bras autour de mon bassin me rapprochant de lui et posait sa tête contre mon ventre. Je restais quelques minutes sans réaction étonné par son geste de tendresse. Mais mes mains trouvaient vite leurs places dans ses cheveux que je caressais avec douceur. Il ressemblait à un enfant cherchant le réconfort dans les bras de sa mère. Et sa me rendait heureux qu’il vienne chercher ce réconfort dans mes bras.

- Il m’a dit qu’il prendrait ses distances avec Shawn. Je crois que c’est la meilleure solution. On devra quitter ce bateau un jour. Notre vie n’est pas ici.

Je le savais mais c’était toujours si douloureux de l’entendre me le dire. J’aurais voulu le gardait éternellement à mes côté. Je posais mes mains sur ses joues attirant son visage au mien. Apposant mes lèvres sur les siennes, sans cherché à approfondir. Je voulais juste savourer ce moment de tendresse. Ce moment où je me sentais important pour lui. Ou je me sentais un peu aimer. Il m’attirait plus prés de lui me faisant m’assoir sur ses cuisses, me serrant dans ses bras.

- Ma vie n’est pas sur ce bateau Jacky. Je ne te l’ai jamais caché. Je t’ai dit que lorsque je retrouverais Shawn on partirait tout les deux et puis Alizé m’attend…

- Arrête. Je t’en supplie arrête. Je sais tout ça. Je n’ai pas besoin que tu le répète inlassablement. Je me suis qu’une passade, qu’un passe temps, rien de plus. Juste un objet que tu utilise. Mais je m’en contente. Parce que quand je suis dans tes bras je me sens bien. Je ne veux pas penser au futur. Juste au présent dans tes bras. Si j’aurais su que l’amour était quelque chose d’aussi douloureux. Je t’aurais rejeté à la mer aussitôt, pour ne pas avoir à souffrir autant.

- Je suis désolé.

- Arrête de l’être. Tu ne m’aime pas. Je suis le seul à être amoureux de toi. Tu ne souffriras pas, comme tu ne souffre pas aujourd’hui. Je suis bon qu’as te servir de lot de consolation.

- Non.

- Tait toi. Répliquais-je en posant mon index sur ses lèvres, je ne pencher vers lui jusqu’à ce que mes lèvres frôlent les siennes. Il ni as rien de bon qui sort de ta bouche. J’ai envie que tu me baise. Je veux que tu sois violent pour me faire oublier la douleur de mon cœur. La douleur physique doit être plus grande que celle du cœur, alors fait moi mal parce que mon cœur me fait vraiment mal, tellement mal que j’ai l’impression de suffoqué.

- je ne peux pas faire ça…ne me demande pas de faire ça.

- Si tu peux le faire. Tu ma déjà fait alors tu va le refaire. Je sais que tu adore ça. Alors vas-y baise moi.

Je lui arrachais sa chemise puis lui retira son pantalon. Il ne bouger pas, il fallait que je le fasse réagir, je lui envoyais mon poing dans la joue. C’était ce qu’il fallait faire, il réagissait au quart de tour me sautant dessus.

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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