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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

un amour de pirate ( terminé)

Jeudi 4 mars 4 04 /03 /Mars 18:40

.

 

 

 

CHAPITRE 17 :

 

 

Je glissai mes bras autour de son coup le serrant contre moi répondant à son baiser, laissant sa langue jouet avec la mienne. Il me serrait avec force contre lui. Son baiser était doux et tendre. Je n’avais jamais connut quelque chose de semblable. J’étais tellement heureux. Pourtant je ne pouvais pas retenir mes larmes. Les larmes qui venaient sournoisement ce mêlaient à notre baiser lui donnant un goût amer, m‘empêchant d‘oublier qu‘il ne m‘aimait pas. Il ni fin au baiser pour plongé son regard dans le mien. Il effleurait ma joue avec douceur en récoltant les larmes avant de portait son doigt à ses lèvres pour léché mes larmes.

- Pourquoi es ce que tu pleure Jackson ?

- Promet moi que tu ne te sers pas de moi… Avant de te rencontré…Je n’ai jamais resentis quelque chose d’aussi fort pour qui que ce soit. Alors s’il te plait ne joue pas avec mon cœur. Je croyais en être dépourvu avant de croisé ton regard, durant une fraction de seconde tu as ravis mon cœur. Je n’avais jamais versé la moindre larme. Tu me rends faible. Chaqu’un de tes gestes, Chaqu’un de tes mots me rende heureux autant qu’ils peuvent me blesser. Tu tiens mon cœur entre tes mains alors s’il te plait me le serre pas aussi fort où il va exploser. Je…je t’aime tellement.

Il posait son front contre le mien me fixant le regard débordant de doute et d’interrogation.

 

- Je ne…te ferais plus de mal Jackson. Pardonne-moi.

Je glissai mes bras autour de son cou apposant mes lèvres sur les siennes avec douceur. Bien sur que je lui pardonne, je lui pardonnerais absolument tout. Même s’il me briser le cœur je lui pardonnerais. Je voulais juste qu’il m’aime quelques instants. Mes mains ce firent une place sous sa tunique caressant sa douce peau que j’avais si souvent voulut touchais. Je veux en embrassé chaque parcelle, y faire courir ma langue, y laissait la trace de mes dents. Un signe qu’il m’a appartenu. Ses doigts détachaient doucement ma chemise, à chaque bouton qu’il défessait ses phalanges frôlaient ma peau et ce simple contact involantaire suffisait à me rendre fou. Il lachait mes lèvres pour faire glisser les siennes le long de ma machoire jusqu’à mon oreille.

- J’ai envi de te faire l’amour Jackson.

- Tu…tu veux me baiser ?

- Non je veux que l’ont fasse l’amour.

Il ce détacha de moi à mon plus grand malheur. Es ce que je devais croire ce qu’il disait ? J’étais perdu. Il ne fit signe de le suivre avant de descendre les marches sortant de mon champs de vision. J’avais peur, mais mes jambes me portaient toutes seules. Je ne voulais pas réfléchir. Je voulais juste être dans ses bras. Qu’il me serre contre lui. Qu’il me donne l’inpression que mes sentiments son partager. J’entrai dans ma cabine, il devait être ici, la porte était ouverte alors que j’étais sur de l’avoir fermé. Mais j’avais beau le cherché du regard je ne le voyais pas. C’est il encore joué de moi ? Je sursautai lorsque deux bras venairent s’enroulé autour de mon bassin et de douces lèvres ce possaient dans ma nuque.

- J’ai bien cru que tu ne viendrais pas. Murmurait-il à mon oreille avec douceur et sensualité.

- Je l’ai bien cru moi aussi. C’est une bien mauvaise idée. Répondis-je alors que je me retrouvé dépossédais de ma chemise. Je fermais les yeux en sentant ses lèvres cde possaient entre mes deux omoplates et descendre le long de ma colonne vertébrale. Jamais en ne m’avais fait de genre de chose et c’est tellement bon. Si doux, si chaud. Il cherche à me rendre encore plus amoureux de lui. Je le sentais détaché mon pantalon le laissant glisser le long de mes cuisses. Il me poussait en avant pour me faire m’allongé sur les bureaux dos à lui. Ses mains ce glissaient entre mes fesses pour les écartaient, il allait juste me baiser rien de plus. Et je n’avais pas la force de l’en empêchais. J’allais juste lui servire de vides couilles. Je tremblais de peur. Je ne voulais pas que notre première fois ce passe de cette façon. Je ne voulais pas être baisé sur cette putain de bureau. Je me sentais soulevé du sol et me retrouvais allongé sur le lit son corps sur le mien, son regard encré au mien.

- Pourquoi tremble tu Jackson ?

- Je ne veux pas que tu me saute comme une vulgaire pute.

- Ce n’est pas ce que je veux. Je n’ai encore jamais fait « ça » avec un homme… Je ne sais pas comment faire.

- Comme lorsque tu fais l’amour à une femme. C’est la même chose. On peut faire ça face à face. Il faut que tu me prépare. Il faut lubrifier. Si…tu veux…je peux te faire comme la dermière fois. Te sucer.

- Non, tu te détends. Ce soir je m’occupe de toi. Je vais te montré que je ne me moque pas de toi. J’ai vraiment envi de toi.

- Embrasse-moi Adrien. S’il te plait serre-moi dans tes bras.

Il enroulait ses bras autour de moi, déposant ses lèvres sur les miennes. J’entrouvis les lèvres laissant et passait timidement ma langue sur ses lèvres. Je voulais l’enbrassé plus profondément encore, je voulais le sentir encore plus contre moi. Il entrouvrit à son tour les lèvres me laissant aller jouais avec sa langue. Elle était si chaude, si douce. Elle s’enroulait avec la mien, ce caressant, ce cherchant. En aurait dit qu’elles étaient faite pour danser ensemble. Je sentais son corps brûlant contre ma peau nue et je n’avais qu’une seule envi qu’il retire tout ses vêtements. Ses mains glissaient sur mon corps, elles étaient si chaude sur ma peau glacer. Il se glissait entre mes jambes me faisant bien sentir son état d’excitation. J’ai envi de lui. Je veux qu’il me pénètre. Je sentais ses doigts glisser le long de mes cuisses, ma peau semblais si sensible à cette endroit. Ses doigts était telle des lames qui laissait des cicatrices de plaisir sur mon corps. Des traces de ce qu’il ne faisait ressentir. Un de ses doigt trouva mon entré et après quelques caresses y pénétra. Je serrai les dents sous l’intrution de cette phalange. Ça faisait longtemps que personne ne n’avait fait ça, mais j’allais reprendre l’habitude. Je voulais qu’il trouve du plaisir à être en moi et peut être que sa le fera tombait amoureux de moi. Ses lèvres parsemaient mon torse de baisers brûlant. Je n’abandonnais totalement sous ses caresses. Je n’étais plus qu’un corps avide de plaisir, avide d’amour. Ses lèvres ce posaient sur les miennes alors qu’une seconde phalange ce fit une place en moi, m’arrachant un nouveau gémissement de douleur. Mais le baiser qu’il me donnait me fit vite oublier cette douleur. Sa langue ce mêler à la mienne avec douceur, tendresse, et passion. J’étais entrain de me consumer sous ses caresses. Je ne sentais m’ouvrir sous ses caresses. Je le voulais je ne voulais plus attendre. J’avais peur que lorsque minuit sonnerait la magie cesserait et que je redeviendrais le souillon qu’il déteste tant. Je ne veux pas que cela cesse. Regard moi, touche moi, ne m’abandonne pas.

- Mon amour…vient…maintenant…s’il te plait.

Je le supplier de me prendre alors qu’un autre de ses doigts avait rejoint ce qui ce trouvaient déjà en moi. Je devenais totalement fou sous ses caresses. Je voulais le sentir plus, encore plus profondément en moi.

 

 

 

L’entendre m’appelais de la sorte me serrais le cœur. J’avais vraiment envi de lui faire l’amour. Mais je n’étais pas amoureux de lui. Je ne pouvais pas l’être. C’est un homme, un pirate. Et pourtant j’aime le caressait, l’embrassait, l’entendre gémir. J’aime ses yeux vert débordant de désir et d’amour, j’aime ses lèvres rougit par les baisers et qui en quémandaient d’autre. Il resserrait ses bras autour de moi, et ses jambes s’enroulaient autour de mon bassin. Et je ne peu attendre plus longtemps, il fallait que je le pénètre que je me sente en lui. J’en devenais fou tellement je le désirais. J’entrais en lui, me faisant une place entre ses chaires, c’était incroyablement serré et bon, si chaud. Je vis son visage ce déformer sous la douleur. Je n’arrêtais et déposais un doux baiser sur ses lèvres. Il ouvrait les yeux me regardant avec tendresse.

- Continu sa va passer. Murmurait-il d’une voix étouffé par la douleur.

- Tu en es sur tu semble avoir vraiment mal.

- t’inquiète pas, sa va aller. Je t’aime alors c’est moins douloureux. S’il te plait ne t’arrête pas.

Je continuais de rentré en lui essayant de me pas lui faire plus de mal encore. Mais c’était peine perdu. Lorsque je fus entièrement en lui je cessais à nouveau de bouger attendant que la douleur ce dissipe un peu. Je glissais ma main entre nous deux corps pour prendre sa verge en main lui arrachant un gémissement de plaisir. Ce que je faisais me surprenait moi-même. C’était tellement bizarre de caressait le sexe d’un autre homme. Mais ce n’es pas dérangeant. Je le sentais ce détendre petit à petit sous mes caresses. Je me retirais à moitié avant de re-rentré. Sa semblais lui faire encore un peu mal, mais moins que la première fois. Il ce détendait un peu plus à Chaque caresses.

Lorsque je le vis ce cambré, la douleur remplacer par le plaisir. Il était tellement beau lorsqu’il prenait du plaisir. Je relâchais son sexe et pris son visage entre mes mains pour qu’il ouvre les yeux. J’aime voir ses yeux remplit de plaisir, de bien être. Pourquoi faisait-il s’emballais mon cœur.

- Je peux y aller Jackson ?

- Oui sa va. Vas-y.

Il me serrait plus fort contre lui, posant ses lèvres sur les miennes, j’entrouvris les lèvres laissant sa langue aller jouer avec la mienne. J’aime sa façon d’embrasser.il embrasse encore mieux qu’Alizé. Je ne devrais pas ressentir ce genre de truc.

 

C’était si bon d’être en lui, il était si serrait, si brûlant. Chaque contraction de ses muscles me rendait encore plus fou de lui. Et il savait en joué. J’étais persuadé que ce n’était pas la première fois qu’un homme le pénétrait. Est-ce que d’autre étaient passé avant moi ? Je ne voulais pas y pensé. Je voulais croire que j’étais le seul à pouvoir éprouvais le plaisir de le possédait. J’enfonçais mon visage dans le creux de son épaule alors qu’il m’enserrait encore plus fort entre ses bras, ses ongles s’enfonçaient dans ma chaire. C’était douloureux et jouissif à la fois. Il me rend fou. Chaque coup de rein m’arraché un gémissement de plaisir. Je me redressais pour le regardais. Là étendu sur le lit, en sueur, le visage marqué par le plaisir. Il était tellement beau. Je l’attrapais par les hanches, le prenant avec plus de force encore. Il s’accrochait aux draps criant tout son plaisir. Seigneur pourquoi faut-il qu’il soit si tentateur. Je n’avais jamais pris autant de plaisir avec Alizé. Je fixais son sexe tendu, plaqué contre son ventre. Je me surpris à trouvais ce sexe follement excitant. Je le pris en main, il était aussi brulant que son anus. Est-ce que mon sexe était aussi chaud que le sien ? Est-ce qu’il aimait me sentir en lui ? Sentir ma main sur son sexe. Je caressais son gland, faisant glisser mes doigts le long de sa verge. Je le sentis ce tendre et ce resserrait autour de moi. Et jouir entre mes doigts. Et il ne me fallut pas bien longtemps pour jouir en lui et c’était une sensation merveilleuse. Je m’écroulais sur lui à bout de force, je posais ma tête sur son torse. Son cœur bâté vraiment fort. Est-ce que c’est moi qui le fais battre de la sorte. C’est si apaisant de l’entendre battre. Il refermait ses bras autour de moi, et je fermais les yeux m’abandonnant à cette étreinte. Pourquoi faut-il que je me sente si bien dans ses bras. Ses doigts ce perdaient dans mes cheveux alors que je caressais son flan, le faisant tremblais à chaque caresse. Lorsque je sentis ses lèvres ce posaient sur mon front je redressais la tête pour le fixait. Il me regardait avec tellement de tendresse, d’amour. Pourquoi est-ce qu’il m’aimait autant alors que je ne cessé de lui faire du mal. Ses doigts glissaient sur ma joue me faisant refermait les yeux pour savourais pleinement cette caresse. Elles étaient aussi douces qu’un rayon de soleil qui vient nous réchauffer l’hiver. Je voulais que sa chaleur m’enveloppe entièrement. Je posais mon front contre le sien, en silence. Alors que mon regard accrochait à nouveau le sien. Et je ni perdais à nouveau. Laisse moi lire ce que tu ressens réellement Jackson.

- Tu as aimé ? Demandait-il d’une voix douce et tremblante comme s’il avait peur de ma réponse.

- Oui, je n’aurais jamais cru pouvoir prendre autant de plaisir un jour. C’est vraiment bon d’être en toi. Tu es si serrait et si chaud.

Il rougit à ses mots et sa me fis sourire. Il était vraiment trop mignon. Il glissait sa main dans ma nuque et ses lèvres venaient ce posé sur les miennes. Elles étaient si douces. Sa langue venait chercher la mienne et je le laissais faire participant à ce baiser. Il me rend fou ce mec. Je n’avais pas envi de me retirais. Je voulais rester en lui. Ce que je suis entrain de ressentir me terrorise mais je me regrette pas ce qui vient de ce passé entre nous. Sa à était merveilleux.

- Merci Adrien. Dort bien.

Pourquoi me dit-il merci ? Je ne veux pas réfléchir juste profité de son étreinte. De sa tendresse. Je fini par m’endormir bercé pas ses caresse.

 

 


alors que penser vous de cette première nuit d'amour ? aller petites perverse laissait des com's bisous.

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Jeudi 4 mars 4 04 /03 /Mars 18:38

CHAPITRE 16 :

 

 pov Jackson

J’avais passé la journée à arpenté les rue du port à la recherche d’nformation sur Gus le rouge. Un pirate m’avais révélé sous la menace de mon sabre que Gus était passé sur l’ile il y a de cela deux semaines. Donc il ce dirigé bien vers son ile. Il m’avait aussi révélé qu’un jeune garçon brun l’accompagne, qu’il ne le quitté jamais. C’était lui ont était sur la bonne voix. Je laissais mon équipage profité de la soirée sur la terre ferme ainsi que de leurs journée de demain, nous reprendront le large dans la nuit prochaine. Moi je déteste cet endroit cette ile. Alors je préfére resté sur mon bateau seul. Je m’installai sur la amaque du pont superieur et regardé le ciel étoilé. Quelle belle nuit. J’entendais des pas sur le plaché du pont inferieur et les marches grincé. Je continuer de regardé le ciel. Je n’avais pas besoin de regardé, je savais très bien que c’étais lui. Je le reconnaissais à sa façon de marché.

- il a été vu ici il y a un peu plus d’une semaine. Il étit accompagnier d’un petit brun aux yeux bleu. J’en ai déduit que ce devait être ton frère. Il avait l’air en bonne santé. Il n’a pas quitté Gus une seule fois, il le surveille bien. On ne pourra sans doute pas éviter l’affrontement. Nous partons demain soir. J’ai entendu dire qu’il prévoyait de ce rendre à port Blanc. C’est à deux, trois semaines d’ici. Mon mavire et le plus rapide des sept mers nous le rattraperont. Tu devrais profiter de notre arrêt pour aller te défouler les jambes. T’éloigner de moi. Et puis j’ai vesoin d’être seul si cela ne me te dérange pas.

Il restait silencieux, je sentais son regard sur moi, mais je ne le regardé pas. Je n’en avais pas la force. J’entendis les latte de bois grimacé, le hamac bougé et un corps chaud ce collè au mien. Je sentis une couverture sur mon corps. Pourquoi es ce qu’il fessait ça ?

- je ne t’ai même pas remercié pour tout ce que tu fais pour moi. Je suis trop buter. Je t’ai jugé sans te connaitre et je t’ai fait du mal. Je ne sais plus du tout où j’en suis. Je te déteste et j’ai aussi follement envi d’être avec toi. Je suis juste perdu et sa me rend dingue. Je reporte toute ma colére sur toi. Désolé.je ne veut pas te faire de mal, je suis désolè.

- on va le retrouvé ton frère. Je vais t’aidé alors pas desoin de te forcé à me dire toutes ses choses. Tu ne les pense pas.

Je me défis de sa prise pour me levé et aller m’accoudé à la renbarde regardant la mer. Pourquoi fallait-il qu’il soit si changeant. Je n’arrive pas à le comprendre. Je sais que s’il ce montre trop gentil avec moi je vais craquer. Je sentis ses doigts ce refermé autour de mon bras m’obligeant à me retourné vers lui. Son visage était à quel centimètre du mien. Nos souffle ce caressait, son souffle était rapide et irrégulier tout comme le mien. Je voulais tant qu’il m’embrasse. Qu’il me serre dans ses bras qu’il m’aime. Mais il ne le fera jamais. Il prit ma main pour la poser sur son torse. Je sentais son cœur battre…si fort. Je levai la tête vers lui pour le regardé. Je me sentais fondre sous son regard brûlant. Il posa son front contre le mien, ses lèvres frôlaient les meinnes et je cru bien que mon cœur aller lâcher tellement il batter fort. Son souffle n’était plus qu’un souffle brûlant.

- tu le sens ?

- oui, il bat fort…vraiment fort. Je fermai les yeux, je ne fessais plus que ressentir, son corps brûlant, son souffle chaud. Ses mains sur mes hanches. Il ne souleva pour me faire assoir sur la rambarde. Il ce glissa entre mes cuisses alors que ses lèvres caressaient les miennes.

- c’est pour toi qu’il bat.

- tu mens

- non je ne mens pas. Je vais te le prouvé.

Il posa enfin ses lèvres sur les miennes. Je sentis un courant élétrique me traversé de par en part.

 

 

 

hm hm. comment ça va ce finir tout sa. aller je met la suite tout de suite.
Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Lundi 1 mars 1 01 /03 /Mars 10:19

 

 

 

 

   CHAPITRE 15 :   

 

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            Il était en train de m’embrasser, je n’y croyais pas. Pourquoi faisait-il ça ? Pourquoi jouait-il ainsi avec moi ? Pourquoi me donnait-il à nouveau de quoi espérer après ce qu’il avait fait hier soir ? Je repris mes esprit et le repoussai avec force, me relevant pour rejoindre ma cabine, tremblant de la tête aux pieds. Je m’écroulai sur le sol en pleurs, j’avais si mal. Mon cœur se serrait. Pourquoi fallait-il que je sois aussi faible devant lui ? Je portai mes doigts tremblants à mes lèvres, ses baisers me rendaient totalement fou. Mais lui, tout ce qu’il voulait, c’était me baiser et ça, je ne le voulais pas. Je n’avais pas la force de redevenir une pute. Et surtout pas pour l’homme dont j’étais éperdument amoureux.

 

 

 

            Je les regardais combattre, Jackson le plaqua très vite sur le sol. C’était bien fait pour ce petit con arrogant. Vas-y, Jackson Aché…Non, je dois rêver, là, ce connard, il…il était en train de l’embrasser…le salop. Lâche mon capitaine. Il n’y allait pas doucement en plus, il inversa les positions pour se retrouvé sur Jackson. Mon capitaine restait totalement figé sans la moindre réaction. Mais je voyais dans son regard qu’il était totalement perdu. Il le repoussa avec force et se redressa pour aller s’enfermer dans sa cabine. Je m’approchai du brun et lui envoyai un coup de poing en plein dans la face lui arrachant un cri de douleur. Il me fixait avec haine en tenant sa joue meurtrie.

- Espèce de fils de pute ! Tu ne vois pas que tu lui fais du mal ? On aurait dû te laisser crever en mer avec ta salope.

            Je me détournai de lui pour aller dans la cabine de mon capitaine, je sentis mon cœur se serrer lorsque je le vis sur son lit recroquevillé comme un enfant terrorisé. Son corps secoué par les sanglots, je ne l’avais encore jamais vu dans un tel état. Je savais qu’il n’était pas aussi fort que ce qu’il voulait faire croire mais jamais je n’aurais cru le voire dans un tel état de faiblesse, lui qui paraissait si fort il y a encore cinq minutes ressemblait à présent à un enfant fragile. Je m’allongeai à ses côtés le serrant aussi fort que je le pouvais dans mes bras essayant de calmer ses tremblements.

 

 

- Pourquoi fait-il ça Milan ? Il a été si horrible avec moi cette nuit. J’ai eu l’impression de n’être rien d’autre qu’un objet pour lui. Il s’est juste servi de moi pour se vider et je l’ai laissé faire. Avant, je n’en avais rien à faire d’être une pute, mais lui je veux juste qu’il m’aime. Juste un peu. Je ne demande pas la lune. Pourquoi a-t-il fallut que je tombe amoureux de lui alors qu’il ne partagera jamais cette amour ? Pourquoi lui ? Tu sais, je voulais juste l’aider, je voulais qu’il retrouve son frère pour qu’il soit heureux. Le garder un peu prêt de moi. Je ne veux pas que ça se passe comme ça. Parce que lui, ce qu’il veut, c’est me sauter. Et moi, je le laisserai faire parce que je l’aime.

- non, Jackson, ce n’est parce que tu l’aimes que tu dois le laisser faire. S’il ne t’aime pas alors tant pis pour lui. Tu es un mec super, Jack, tu trouveras quelqu’un qui t’aimera comme tu le mérites.

            Je lui caressai la joue avec douceur essuyant les larmes en lui souriant. Il me rendit mon sourire m’embrassant au coin des lèvres avant de se blottir contre moi. Je ne laisserai jamais personne lui faire du mal. Pourquoi ne pouvait-il pas être heureux ? Il avait déjà connu tellement de malheur. Je le détestis, ce mec. Pourquoi a-t-il fallu qu’il entre dans notre vie ?

- Dors, Jackson, je veille sur toi.

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Lundi 1 mars 1 01 /03 /Mars 10:13

petit rapelle: noir pov Adrien
                   bleu pov Jackson
                   rouge pov Milan
voila bonne lecture. et laisser plein de com's^^


CHAPITRE 14 :

 

 

  previews-animes_20070525_224134.jpg

 

            Lorsque j’ouvrais les yeux, j’étais encore dans la cabine de Jackson allongé dans son lit sous les couvertures, où était-il ? Je me redressai et le vis allongé dos à moi collé contre le mur comme s’il essayait de mettre le plus de distance possible entre nous. Pourquoi ? À cause d’ hier soir ? Je ne comprenais pas. La dernière fois qu’il m’avait sucé, il avait aimé ça. Pourquoi est-ce que cette fois-ci, ça semblait le déranger ?

            Il était allongé sur les couvertures, tremblotant à cause de la température basse. Il avait enserré ses genoux de ses bras, il était comme un enfant qui essayait de se protéger du monde extérieur. Je me penchai par-dessus lui pour voire les larmes séchées sur ses joues. Il ressemblait vraiment à un enfant perdu et je ne pus que me sentir un peu coupable de lui avoir fait ça, cette nuit. Je m’étais servi de lui pour assouvir mon désir en pensant à Alizé.

            Je me levai et me dépêchai de m’habiller pour sortir de la cabine. Aussi vite que je le pouvais.

 

 

            Je sorti sur le pont et me dirigeai vers l’avant du bateau, m’accoudant à la balustrade, regardant le soleil se lever sur cette immensité bleue qu’il chérissait tant. Cet homme était un véritable mystère pour moi. Lorsqu’il était avec les membres de son équipage, il était si fort, si sûr de lui. Si charismatique. Si fier de lui, si détestable. Dans ses moments-là, j’avais envie de le tuer. Mais lorsqu’il était avec moi, que l’on était seul, juste tous les deux, il devenait totalement différent, tout l’opposé de celui qu’il était à l’accoutumée. Il était si timide, il semblait si fragile, j’avais l’impression qu’il pouvait se briser à chaque instant, il ressemblait à un enfant, et il était si adorable que j’avais juste envie de le prendre dans mes bras, de le serrer aussi fort que je le pouvais. Et je détestais encore plus avoir ce genre de pensée. Il me troublai. Je détournai les talons pour rejoindre ma cabine. J’avais besoin d’être seul, de cesser de penser à tout ça. Poser le pied sur ce bateau avait boulevrsé toute ma vie. Et il était impossible de faire demi-tour.

 

           

 

 

            J’avais froid, il faisait tellement froid. J’ouvris les yeux et je ne le trouvai pas à mes côtés, ce qui rajouta à mon mal être. J’avais mal à la tête et envie de vomir. J’avais pleuré une bonne partie de la nuit, incapable de trouver le sommeil. Je me levai et me passai de l’eau sur le visage pour essayer de faire disparaitre les traces de pleurs, mes yeux rougis et cernés. Je ne devais pas perdre la face à cause de ce petit con.  J’avais l’impression que mes jambes allaient lâcher, j’avais des hauts de cœur. Je posai mes mains sur le bureau essayant de calmer mon angoise.

Je serais incapable de dire combien de temps il m’a fallu pour me remettre, je me redressai, attrapai ma veste, pris les deux sabres posés sur la commode et sortis de la cabine.

- Milan. Réveille les hommes, je les veux prêt à combattre dans cinq minutes.

- Mais Jack…

- Pour une fois, ne discute pas, Milan. Va faire ce que je te demande. Ça fait bien longtemps que je ne me suis pas servi de ses sabres. Ils vont rouiller. Alors fais vite, je n’ai pas toute la journée. 

- oui, capitaine.

Je voulais juste déverser ma haine, ma colère, ma rancune, ma frustration. Il fallait que je me défoule ou j’allais devenir fou, j’allais m’écrouler en larmes devant lui. Je lui avais déjà que bien trop montrer ma faiblesse. J’avais essayé d’ouvrir mon cœur mais on me l’a aussitôt brouillé alors à présent je le laisserai verrouillé. Je ne voulais plus jamais souffrir de la sorte. 

 

 

 

            J’avais fini par me rendormir dans ma cabine fatigué de toutes ses réflexions qui ne menaient à rien. J’aurais préféré ne jamais le rencontrer. Je fus réveillé par un boucan monstre venant de l’extérieur. Qu’est-ce qu’il se passait ? Je me levai et me dirigeai vers la porte, bien décidé à les faire taire, et je vis les pirates regroupés sur le pont sabre à la main. L’homme qui était en face de moi tomba à terre et je vis Jackson sur lui ses deux mains occupés par des sabres qui tenaient en respect deux autres pirates. Son regard se planta dans le mien, il était vraiment différent de celui que j’avais vu ce matin. Il n’était plus aussi faible et fragile. Je reculai jusqu’à ce que mon dos rencontre le mur. Son regard était si froid, vide de toutes émotions. Comment pouvait il être aussi différent ? Il était terrifiant et envoutant à la fois, incroyablement attirant.

            Je pris peur lorsque je vis un autre de ses pirates se dresser derrière lui, sabre brandi prêt à le frapper. Je voulus ouvrir la bouche pour le prévenir mais il m’avait devancé et sa lame était déjà sous la gorge de cet homme alors que ses yeux me fixaient toujours avec la même froideur. Et j’étais bien incapable de détacher mon regard de lui. De ce regard si différent de celui qu’il m’adressait d’habitude. Et bien malgré moi, ce regard m’excitait. Il finit par se redresser pour reprendre le combat. Et il était, wouah, renversant. Comment pouvait-il combattre avec deux sabres avec une maitrise aussi bonne ? Le spectacle qu’il offrait était des plus envoutants. On aurait dit qu’il dansait dans le vent. Qu’il ne faisait plus qu’un avec ses sabres. Qu’ils étaient le prolongement de ses bras.

 

            Je fus sorti de ma contenplation lorsque je les vis tous s’écarter de Jackson qui fixait le ciel en silence. Il était en sueur, sa chemise était déchirée, il avait de multiple coupure sur le torse et le visage, le sang sur sa peau le rendait tellement érotique.

Milan me tendit un sabre, me faisant comprendre que je devais le combattre. Mais j’étais bien trop obnubilé par  la vision de son corps, de son torse se soulevant au rythme de sa respiration, sa lèvre fendue d’où s’écoulait son sang que j’avais envie de léché. Et son regard haineux. J’avais envie de le dévorer sur place, de sentir son corps contre le mien.

            Je fini par prendre le sabre et m’avançai vers lui en tremblant alors qu’il me fixait avec ce sourire qu’il avait lors de notre première rencontre. Je me sentis si faible face à lui subitement.

 

 

            Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour prendre le dessus sur moi.  Il me cloua au sol prenant place sur mon bassin. La lames de son sabre sous ma gorge, je dégluttis avec difficulté le fixant, son regard était toujours aussi froid et vide de la moindre émotion. Je sentais mon sexe durcir juste à cause de son corps contre le mien et de son regard moi. Et je ne réfléchis pas plus, ma main attrapa sa nuque l’attirant plus prêt de moi. Je pouvais plus me contrôler.

- tu m’excites trop là.

            Je l’attirai encore plus prêt, collant ses lèvres au miennes. Sous la surprise, il en lâcha son sabre et je pris le dessus sur lui, allant enfoncer ma langue entre ses douces lèvres qui m’avaient tant manqué. Ce baiser au goût de son sang me rendait totalement fou. Il ne bougeait pas, il ne me rendit pas mon étreinte. Je pressai mon bassin contre lui, glissant ma main sur son torse. J’avis terriblement envie de le faire mien à l’instant, je m’en moquais de tout ses pirates qui nous entouraient.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Jeudi 25 février 4 25 /02 /Fév 09:50

 

 

 

CHAPITRE 13 :

 

 

 pov Adrien

J’avais du laissait Alizé au port. Elle avait compris mon choix même s’il avait était le plus difficile qu’il n’avait été demandé de faire. Tout ca à cause de ce connard de pirate. J’avais rejoint le bateau au tout dernier moment le regardant le port et ma chère et tendre. Un pirate m’avais enlevé mon frère un autre venait de m’enlever celle que j’aime. Je ressens tellement de haine à son encontre. Je le déteste.

 

 

Je sentais un regard haineux posait sur moi et du coin de l’œil je pus voire Milan qui ne fixait avec un regard des plus meurtrier. Je vis Jackson le rejoindre ils parlaient en me regardant mais je n’entendais pas le contenu de leur conversation. Je vis Jackson sourire à Milan lui il s’en foutait, lui il ne souffrait pas. Il était d’un égoïsme. Je reportai mon attention sur le large.

 

Je fini tout de même par me retourné vers lui, lui jetant un regard plus glacial que les vents polaire. Je vis de la douleur dans son regard. Souffre t-il autant que moi ? Non je veux qu’il souffre encore plus. Je détournai les talons pour rejoindre ma cabine je ne voulais plus voire sa sale tronche.

 

 

Je n’évertué à l’évité le plus possible, à chaque fois que je passé à côté de lui je ne le regardé pas, je ne lui parlais même pas. Je l’observé de loin alors qu’il était perdu dans la contemplation de l’océan son regard débordé de tristesse. J’espère que mon indifférence le blesse. Qu’il en souffre.

Je ne le comprends pas en revenant sur ce bateau j’ai accepté d’obéir à tout ce qu’il ne demanderait alors pourquoi ne fait-il rien ? Pourquoi ne me demande t-il rien ? À quoi joue t-il ? Il passait ses journée à la barre, où à étudier des carte, où encore à regardait la mer. Comme s’il essayer de la sonder. Que cherché t-il dans ses profondeur ?

 

 

Il était entrain de parlais à ses hommes alors que je l’observer encore de loin. Il semblerait que nous arriveront au port dés demain matin et qu’il en profiterait pour recherché des infos sur Gus le Rouge. Je le vis regagner sa cabine. Et je le suivis entrant à sa suite sans faire de bruit. Il commença à détaché sa chemise je ne sais pas ce qui ne prit mais je m’approchai de lui collant mon torse à son dos, je le sentis ce figé à ce contact. Je retirai ses mains et entreprit de détaché moi-même les boutons de sa chemise. J’avais envi de sexe et il était là alors autant me servir de ce que j’ai sous la main. Après tout il adore ça. Je nouai mes bras autour de son torse collant mon sexe gorgé d’excitation contre ses fesses que je désiré tant pénétrer, je voulais lui faire perdre son arrogance, perdre de sa superbe, le faire souffrir comme il me fait souffrir. Je le sentais tremblé entre mes bras. Je caressais son ventre du bout des doigts le fessant tremblé encore plus.

- Dris…

Sa voix n’était qu’un murmure à peine audible. J’avais l’impression qu’il allait ce briser entre mes bras, qu’il allait s’écroulé à cette instant même si je ne voyais pas son visage j’étais sur qu’il était aux bords des larmes. Mais je n’allais pas avoir pitié de lui, je n’étais venu que pour une seul chose faire passé ma frustration.

- chut. Soufflais-je à son oreille.

Je le fis avancé vers le lit le retournant avant de le jetais sur le lit me plaçant sur son bassin emprisonnant ses mains des miennes pour me pas qu’il cache son visage blesser au bord des larmes. Cette vue me réjouis au plus haut point. Je me penchai vers lui plus je me rapproché de son visage et plus ses tremblement était violent. C’est moi qui le mets dans cet état ? Mes lèvres frôlaient sa joue, j’entendais son souffle ce faire plus rapide et irrégulier et je me pus retenir un sourire alors que je pris le lobe de son oreille entre mes dents le faisant gémir doucement, je pressai plus fort mon bassin contre le sien et cette fois si son gémissement fut bien plus fort. Je fis remonté mes lèvres le long de sa joue e frôla les siennes il avait fermé les yeux et avait serré les poings. Il semblait au bord de la rupture. Je venais de gagner sur lui juste avec quelques caresse. Il était tellement faible. Tellement pathétique. Je le déteste je le déteste tant pourquoi ? Pourquoi à t’il fait ça ? Je le déteste.

- pourquoi ? Pourquoi m’avoir forcé à choisir ? Tu n’es qu’un monstre Jackson. Je te déteste.

 

 

 pov Jack

- c’est trop dangereux pour elles…ont va arriver dans un port remplis de pirate…c’est trop dangereux pour une jeune femme. Si j’aurais put je l’aurais gardais à bord…je suis désolé.

- ne ment pas. Tu la déteste. Tu es jaloux d’elle.

- je suis désolé répondis-je dans un murmure en détournant la tête pour caché la tristesse qui devait être plus que visible dans mon regard. J’avais tellement envi de pleurais.

Il prit mon menton entre ses doigts avec fermeté me forçant à affronté son regard emplis de haine et de rage. Il ne fessait mal mais je me voulais rien faire paraitre. Il me rend tellement faible.

- j’ai beaucoup de mal à croire que ce soit toi le capitaine de ce bateau. Tu ne semble pas avoir ce qu’il faut dans le pantalon pour diriger ce bateau. Tu n’as même pas le courage de m’imposé ta propre volonté. D’agir comme un pirate. Tu es si pathétique Jackson.

- s’il te plait sort d’ici. Si c’est juste pour me rabaisser alors tu ma rien à faire ici. Je n’ai jamais forcé qui que ce soit à faire quelque chose contre sa volonté. Je suis peux être un monstre mais il y à des limite. Sort d’ici tout de suite.

Je réussi à détourné à nouveau la tête. Je veux qu’il parte qu’il cesse de me faire souffrir. Pourquoi à t-il fallut que je le rencontre.

- je ne sais pas quoi pensé. Tu es si détestable et à la fois si…je n’arrive pas à te comprendre et sa m’énerve vraiment. Regarde-moi Jackson.

Je plongeai mon regard dans le sien essayant de retenir mes larmes. Dans ses yeux il y avait un mélange de haine et de désir mêlé. Moi non plus je ne le comprends pas et c’est tellement frustrant. Il ce mit à ondulé du bassin contre moi me faisant sentir son excitation. Je me pus empêcher un gémissement de franchir mes lèvres. Pourquoi me rend t-il aussi fou avec juste un simple contact. Je suis entrain de me perdre. Je voulais tellement qu’il m’embrasse, qu’il me serre dans ses bras. Qu’il me caresse. Mais j’étais incapable de faire le premier pas. Même si ses mains m’entravé pas les mien je n’aurais pas put. Je suis si faible face à lui. Son visage ce rapproché doucement du mien mon cœur s’emballa, je fermai les yeux ne sentant plus que son souffle caressé mes lèvres. Je le laisse faire ce qu’il veut de moi.

- j’ai terriblement envi Jackson.

- fait ce que tu vaux. Répondis-je en essayant de capturé ses lèvres, elles me manquent tant, je veux encore les sentir contre les miens, je veux encore l’embrassé. Mais je le sentis s’éloigner de moi, lorsque j’ouvrir les yeux je le vit agenouillé devant moi il avait retiré sa chemise exposant son torse musclé et si désirable. J’avais tellement envi de le touché, de faire glisser mess doigt sur sa peau halé. D’embrassé chaque parcelle de sa peau, pouvoir à nouveau en savourais le goût. Il prit ma main la posant sur son torse la faisant glisser jusqu’à son sexe. Je compris alors ce qu’il voulait. Il voulait juste te vidé les couilles et il allait ce servir de moi pour ça et le pire dans tout sa c’est que j’allais le laissais faire. Il ce moqué royalement de ce que je pouvais ressentir. Je voulais juste qu’il m’embrasse qu’il me caresse, qu’il me fasse l’amour. Mais lui il voulait juste ce servir de ma bouche. Parce que je l’aimer j’allais le laissé faire comme tout ses hommes avant lui. J’avais été une pute pour pouvoir navigué, à présent je vais devenir une pute pour l’homme que j’aime. N’es ce pas ça le plus dégradant de tout ?

 

Je détachai son pantalon essayant de dissimulé les tremblements incessant de mes mains. Je ressemblé à un enfant apeuré, il doit me trouvé encore plus pathétique. Je pris son sexe en main le caressant avec douceur, je n’oser même pas le regardais. Je me redressai pour arriver à la hauteur de son pénis. Je le caressé du bout de la langue. Je gardais les yeux fermé pour imaginé qu’il me fixait avec amour et pas juste avec désir. J’avalai sa verge jusqu’à la bourse alors qu’il ce mit à gémir de plaisir me posant à aller plus vite en agrippant mes cheveux, il me fessait mal, il était si violent. Mais je ne disais rien, je voulais qu’il prenne du plaisir, qu’il devienne accro à moi comme je l’étais de lui. Et pour sa j’étais près à faire m’importe quoi. Ce que je peux ne détester lorsque je pense comme ça. Je jouais avec ma langue pour le faire gémir, il semblait adoré ce que je suis entrain de faire. Alors j’y mettais encore plus de fougue. Je relâchai sa verge pour aller embrassé ses testicules, les mordillant, les suçant alors que mes doigts s’occuper de son sexe. Il tira sur mes cheveux pour me forcé à reprendre son sexe en bouche. J’avais l’impression que j’allais m’étouffé il y aller tellement fort et moi je tenté tant bien que mal de retenir mes larmes. J’ai si mal. J’ai pourtant subis tellement plus humiliant que ce qu’il est entrain de me faire subir. Mais venant de l’homme que j’aime c’est incroyablement blessant et douloureux.

Il s’enfonça dans ma bouche aussi profond qu’il le put et m’obligea à avalé sa semence.
Je restai figé sa verge toujours en moi, alors qu’il essayer de reprendre son souffle. Cette fois ci je ni avais pris aucun plaisir. Je n’avais était qu’un objet sexuel que l’ont utilisé pour ce vidé, sans ce penser à ce que je ressens. Il ce retira d’entre mes lèvres et s’écroula sur le lit à côté de moi. Je restai allongé sur le lit, incapable de faire le moindre geste. Sa respiration ce fit plus lente, et il fini par s’endormir me laissant seul avec ma douleur.

- Alizé.

Ce fut le nom de la blond qui franchi ses lèvres, brisant à nouveau mon cœur. Je m’écroulai sur le lit dos à lui, me recroquevillent sur moi-même autant que je le plus, pleurant comme je n’avais encore jamais pleurais. Sa fessait si mal. Je voulais que cela cesse. Tout et de la faute à cet amour qui ne serra jamais réciproque. Je voudrais m’arraché le cœur pour me plus jamais avoir à souffrir.

 

 

 

Ses mots étaient si douloureux comme une nouvelle lame qu’il venait d’enfoncé dans mon cœur déjà si meurtri. Pourquoi ? Parce que je suis si jaloux d’elle qui peu t’avoir. Je la déteste tant. Je suis tellement égoïste. C’est toi qui ne transforme en monstre Adrien. L’avoir tout contre moi me rendais totalement fou, il le voyait et il en joué.

 



je sens que je vais me faire détesté. je vais aller me caché
Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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