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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

le concierge ( terminé)

Vendredi 5 mars 5 05 /03 /Mars 23:55
voila enfin l'épilogue temps attendu de cette fic. merci pour tout les com's que vous avait laisser. j'espère que cette épilogue vous plaira.

 

 

 

EPILOGUE :

 

 

 

Je rentrais dans mon appartement jetant les clés sur la petite table à côté du placard. Je déteste cette appartement, il était bien trop grand pour moi tout seul, il me rappelait tous ce qui c’était passé. La première fois que je l’ai vu c’était devant cette porte. Lorsqu’il était venu ce présenté. Je l’avais tout de suite trouvais très beau et très attirant, attendrissant. Je me disais qu’il ne pouvait pas être gay, et qu’il devait avoir plein de filles à ses pieds, alors je n’ai rien tenté. Les choses sont allées tellement vite. Je ne voulais pas que sa ce passe de la sorte. Mais il m’avait embrassé. Et moi je suis faible alors j’ai craqué. Cette nuit la sa avait été incroyable. Sa peau était si douce, ses lèvres si savoureuse, son corps si délicieux. Je n’arrivais pas à me le sortir de la tête à l’oublier. C’Était trop tard je l’ai perdu.il ne veux plus de moi. Combien de temps Est-ce que je n’avais pas entendu sa voix ? Il me manquait tellement. Est-ce qu’il sortait avec le facteur. Je l’imagine dans les bras de cette homme et sa me fait mal. J’ai cherchais tout ça. Pourquoi fallait-il que l’ont perde la personne que l’ont aime pour ce rendre compte de nos sentiments. Ce que j’ai put être con.

Je me laissais tomber sur le canapé abattu, juste un bonjour, c’était les seul mots qu’il m’avait adressé aujourd’hui. Avait-il déjà oublié ? Est-ce qu’il m’aimait vraiment ? Non je n’ai pas le droit d’en douté. Il avait pleuré à cause de moi. C’était normal qu’il me déteste à présent. Que devais-je faire pour qu’il me pardonne. J’étais incapable de l’oublier, je ne voulais plus un autre homme que lui.

 

 

- Bonjours Andréas.

Il sursautait lorsque je m’adressais à lui. Ils étaient en train de faire le ménage. Je le trouvais plus beau de jour en jour. Ce que j’aimerais pouvoir l’embrassé à nouveau, le serrait dans mes bras. J’avais pu l’avoir et je l’avais laissé partir. Il me fixait impassible, regard moi comme avant, sourie moi comme avant.

- Bonjours monsieur.

Arrête.

- Andréas s’il te plait. C’est Sean pas monsieur. Je voulais te demander…

- Andréas salut.

Je voyais ce mec arrivait et mon André ce retournait vers lui avec ce sourire qu’il ne m’adressait plus.

- Bonjours Jean. Répondait-il d’une voix enjouée. J’avais envie de tuer ce mec. Qu’Est-ce qu’il avait de plus que moi ? Tout sans doute. Il devait être fidèle lui. Merde je ne peux pas voir ça. Je baissais la tête et passait à côté d’eux pour partir, de tout façon il n’allait rien faire pour me retenir. Je comprenais ce qu’il avait peut ressentir avant ce que je lui avais fait subir. Je ne déteste pour tout sa.

 

 

Je fixais l’extérieur, j’étais dans mon bureau mais je n’arrivais pas à me concentrais sur mon travail. Il ne quittait pas mon esprit. Je vais devenir fou. Je devais faire quelque chose, essayais de me faire pardonner.

 

 

Lorsque je rentrais dans l’immeuble je m’arrêtais en le voyant s’approchais de moi, le regard froid, il me plaquait contre le torse un gros bouquet de fleure, j’avais dépensé une fortune pour ce bouquet pourquoi ne le prenait-il pas ?

- Je ne veux pas de ce bouquet. Je ne veux rien venant de vous. C’est clair. J’ai dit que c’était fini alors ne m’approchais plus. Vous croyais pouvoir achetait mon pardon ?

- Non ce n’es pas ce que je veux. Dit moi ce qu’il faut que je fasse.

- Sorti de ma vie. Répondait-il avant de détournait les talons pour rentrer dans son appartement et je laissais tombait le bouquet sur le sol en même temps que couler mes larmes. Il m’avait appris à aimé et m’avais appris la douleur qui en découler. Tout ce que je pouvais faire à présent pour respecté sa volonté c’était de partir et de le laissais tranquille.

 

 

Je me laissais tomber sur le canapé dans mon nouvel appartement. Plus petit que celui d’avant mais je n’avais pas besoin d’un truc immense pour moi tout seul. Dés qu’il m’avait dit qu’il voulait que je sorte de sa vie j’avais appelais un ami qui travail dans une agence immobilier et j’avais trouvé cette appartement et j’avais déménagé des lendemains, j’ai payé les déménageurs une fortune pour que sa soit fait en une journée. J’étais allé le voir pour lui rendre les clés et lui payer le préavis de trois mois que je n’avais pas respecté, j’aurais voulu qu’il me retienne mais non, il m’avait laissé partir sans un mot sans un geste. C’était beau et bien fini. Je devais l’oublier et reprendre une vie normale. Que pouvais-je faire d’autre ? J’avais décidé ce cessais d’être égoïste. Si l’ont aime quelqu’un en doit acceptais de le voir heureux avec un autre. Je souhait qu’il soit heureux. Je cachais mon visage entre mes mains pour cachais mes larmes.

 

 

 

Pourquoi Est-ce que je suis la. Je voulais juste le voir juste quelques secondes m’assurais qu’il allait bien. Il était en train de travailler dans le jardin. Il faisait chaud, il avait retiré son t-shirt pour être plus allaise, il était tellement beau. J’avais envie de faire glisser mes doigts sur sa peau, je suis sur quelle devait être brûlante. Comment faisait-il pour devenir de plus en plus beau. Il regardait vers moi, Est-ce qu’il m’avait vu ? Non il ne pouvait pas me voir de la où il était. Je sentais mon cœur ce serrait lorsque je vis l’autre arrivait vers lui. Il lui souriait, arrête de le regardait comme ça. Je détournais les talons pour partir alors que je l’ai voyer enlacer. J’étais jaloux parce que je ne pourrais plus jamais le serrais dans mes bras et lui oui.

 

 

 

Il pleuvait averse, et pourtant je restais la assit sur ses marches. Il n’était pas chez lui. Je voulais juste le voir cinq secondes. Mais il n’était pas là. Il doit être avec cet autre homme. J’étais trempé, j’avais froid, mais je n’arrivais pas à bouger. Pourquoi Est-ce que je pleurais encore ? Pourquoi ne rendait-il si faible ? Je voulais le voir. J’ai besoin de le voir.

- Qu’Est-ce que vous faite ici Monsieur.

Sa voix, elle n’avait tellement manqué. J’avais tellement était surpris que j’avais relevé la tête pour le voir être sur que c’était lui. J’ai réalisé trop tard que je pleurais. Je senti mon cœur ce serrais lorsque je vis qu’il venait de sortir de la voiture de ce mec. Je me redressais, il fallait que je parte. Je frissonnais en sentant ses doigts ce refermaient autour de mon poigner. Et sa voix m’appelait.

- Sean. Vient à l’intérieur. Tu va tombait malade.

Je me protestais pas, le suivant jusqu’à son appartement. Lorsque j’entrais une vague de souvenir me submergeait. On avaient passé qu’une seule nuit ensemble mais sa avait été la plus belle nuit de toute ma vie. Et j’ai tout jetais par peur de cette amour qu’il me faisait découvrir. Je voulais qu’il m’en apprenne encore plus.

- Va prendre une douche. Tu trouveras tout ce que tu as besoin dans la salle de bain.

Je me dirigeais tel un automate vers la salle de bain. Mon cœur battait à cent à l’heure. Il fallait que je lui dise que je l’aimais. Je ne pouvais pas vivre loin de lui, j’avais essayé durant plus de 2 mois mais sa m’était impossible. Sans le savoir j’ai été enchainé à lui lors de notre première rencontre, et ses chaines son devenu de plus en plus dur à briser, jusqu’à ce que cela soit impossible.

 

 

J’avais pris une douche rapide pour me pas trop abusais de son hospitalité. J’enfilais un de ses bas de jogging et un pull à lui. Sa sentais tellement bon, l’odeur de mon André.

Je le trouvais dans la cuisine en train de verser du café dans des tasses. Il relavait la tête pour me fixait impassible. Je voulais qu’il me regard comme avant. J’allais m’assoir en face de lui et prit la tasse qu’il m’avait tendu.

- Pourquoi es tu ici Sean ?

- Je voulais juste te voir. Tu sors avec ce mec ?

- En quoi cela te regard t-il ? Je n’ai pas de compte à te rendre. Je sors avec que je veux. Pour toi je n’étais qu’un plan cul rien de plus. Tu ma fait souffrir. Et tu reviens. Que cherche tu je t’avais demandais de sortir de ma vie. Alors pourquoi es tu revenu ?

- Parce que je ne peux pas. J’ai besoin de te voir. Je sais que j’ai été con. J’ai tout foutu en l’air. Mais je t’aime. Je t’aime comme un dingue. Je sais que tu ne veux pas de moi. Je veux juste quand essaye de devenir ami.

Il ce redressait sans rien répondre pour aller mettre sa tasse dans l’évier. Je me levais à mon tour pour partir à quoi bon lutter. Il me déteste.

- Ne fuis pas Sean. Ne fuis pas où tu auras vraiment tout perdu.

- je…

- Laisse je parlais. Au lieu de partir tu aurais put e contenté de me laissait tranquille le temps que je fasse le poing mais comme d’habitude tu fuis. Tu as toujours était habituer à avoir tout ce que tu voulais. Je ne suis pas comme tous ses mecs que tu baiser.

- Non tu es différent.

- ALORS BAT TOI OU LIEU DE FUIR. MONTRE-MOI QUE JE COMPTE VRAIMENT POUR TOI. J’AI BESOIN DE PREUVES. TES LARMES…te voir pleurais.

Il marquait un temps d’arrête sa voix étais douce, faible, tremblante. Il ce rapprochais de moi doucement. Chaque pas qu’il faisait vers moi faisait s’accentuer les battements de mon cœur. Il s’arrêtait à quelques centimètres de moi plongeant ses sublimes yeux dans les miens.

- T’es larmes mon bouleversé Est-ce de ma faute si tu pleurais ?

- Oui. Parce que je t’ai perdu.

Je pris mon visage entre mes mains essayant de refouler mes larmes. Je me voulais pas encore pleurais devant lui. Je frémissais lorsque je sentis ses doigts ce glissaient sous mon menton pour me forçais à relever la tête. Son regard me brulait la peau, il était tellement beau. J’avais envie de le touchais de le serrais contre moi. Mais lui ne le voulais pas.

Je crus nourrir lorsque je sentis ses lèvres ce posait sur les miennes avec douceur.

- Reprenant depuis le début Sean. Devenant ami.

 

 

 

 

 

 

 

                                                                           Fin

 

Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
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Vendredi 26 février 5 26 /02 /Fév 21:13

CHAPITRE 9 :

 

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- Tu as une toutes petite mine Andréas.

J’étais tellement perdu dans mes pensés que je ne m’étais pas rendu conte de la présence de Jean. Je me retournai vers lui, souriant du mieux que je le pu. Il s’approchait de moi, posant sa main sur ma joue.

- Qu’es ce qui ce passe Andréas. Tu as l’air de souffrir.

- Non, je vais bien. Ne t’inquiète pas. Tu veut boire un verre.

Je lui souriais, il était mon seul ami et sa présence me faisait du bien.je tournai la tête lorsque j’entendis des pas dans les escaliers. Sean s’immobilisait lorsqu’ils nous vit. Jean avait toujours sa main sur ma joue et en étaient proche. Qu’es ce qui ce passé dans sa tête à cette instant. Je ne réféchisais pas plus longtemps et attrapa Jean pour le serrais dans mes bras, me blottissant contre lui.

- Qu’es…

- s’il te plait sert moi contre toi juste quelques seconde.

- Oui. Répondit-il en m’enserrant de ses bras. J’entendis ses pas s’éloigner. Es ce que sa l’avait blessé de me voire dans les bras d’un autre. Non je me faut des illusions. Il n’en as rien à faire. Je m’écarta de Jean lui adressant un pâle sourire.

- Que c’est il passé Andréas ? Parle moi.

- Vient prendre un café.

Je lui avais tout raconté, j’aurais cru qu’il m’aurait rejetais en entendant que j’était gay et que j’avais couché avec un homme. Mais il ne la pas fait. Il ma écouté avec attention, il ma consolé, il ma donné des conseil. Heureusement que je l’avais pour me soutenir.

 

 

Les jours s’égrainaient inexorablement, déjà trois mois c’était écoulé depuis cette nuit que nous avions passé ensemble. Et il s’en tenait à ce que je lui avait dit il n’essayer plus de me parlais où de m’approché. Ce contentent de me saluer de loin. Et je devais lutter contre moi-même pour ne pas lui sauté dessus. J’étais en manque de lui, de ses lèvres, de ses mains, de ses bras, de son corps, de son être entier. Mais je ne pouvais qu’être mal heureux avec lui. Il n’était pas fait pour moi. Il ne serrait jamais mien.

 

J’étais occuper à désherbé les parterre de fleures. J’avais l’impression de sentir un regard sur moi. Et lorsque je tournais la tête je fut surpris de voir Sean appuyait contre un arbre qui me fixait avec son regard pénétrant comme s’il essayer de lire en moi. Que cherchait-il à trouvé ? Lorsqu’il vit que je le regardais il baissa la tête. C’est bien la première fois que je le vois baisser la tête devant moi. Il ce détournait pour repartir vers l’immeuble. Ce n’était pas la première fois que je le surprenais à me regardais comme ça. Je ne le comprend plus.

 

 

- ça fait trois mois.

Je sursautais, je venais juste de sortir de mon appartement et il était là assit sur les marches. Il semblais fatigué, les traits tiré. Plus aussi digne et hautain qu’il l’était avant. Depuis combien de temps attendait-il que je sorte. Il fixait le sol. Comme s’il avait peur de me regardais. J’avais l’impression que les rôle venaient d’être inversés.

Que ce passe t-il dans ta tête Sean ? Si seulement je pouvais le savoir.

- De quoi parliez vous ?

- Trois mois que l’ont à couché ensemble, et presque autant de jours où je n’es pas eu la moindre relation sexuel. Putain je suis jamais resté aussi longtemps sans baiser.

- Et…

- Et tous cela et de ta faute. Tu n’es qu’un petit con.

- Je le sais. Je n’ai pas besoin que vous me le rappeliez.

Il glissa ses doigts dans ses cheveux baissant encore plus la tête. Sa voix ce fut alors plus basse, plus incertaine, plus douloureuse.

- Je te l’ai dit. Je ne sais pas ce que c’est d’aimer. Mais je t’ai fait du mal et tu n’as pas idée à quel point je peux m’en vouloir. Je n’arrête pas d’y pensé. De pensé à toi. Tout le temps sans cesse. J’arrive pas à pensé à autre choses.

- Je ne comprend pas. Mon cœur bâter la chamade. Il pense à moi. Qu’es ce que ça veux dire. Je voulais aller vers lui, le prendre dans mes bras pour qu’il cesse de ce tourmentait mais je ne devais pas craqué. Pas maintenant. Il relevait enfin la tête vers moi, ils étaient remplis de doutes et d’interrogation. Laisse moi savoir ce que tu as dans le tête Sean.

- Je ne comprend pas moi-même. Répondait-il avant de ce lever il passait à côté de moi et lorsque nos corps ce frôlaient je cru m’effondré. Je suis entrain de devenir fou. Pourquoi ne donne t-il de l’espoir alors que je veux l’oublier. Il sorti de l’immeuble et mes jambes cédaient m’envoyant rencontré le sol.

 

 

Ce soir la je fus sorti de mes pensé noir par des coups à la porte. Je me levais pour aller ouvrir et tombais nez à nez avec Sean que me fixait en silence.

- Il ni as pas de courrier pour vous. Bonne nuit.

Je refermais aussitôt la porte. Je ne pouvais pas lui faire face où j’allais craqué. Je sursautais lorsqu’il frappa à nouveau à la porte.

- Andréas laisse moi rentré.

- J’ai dis que je ne voulais pas couché avec vous.

Mon cœur bâter si fort que j’en avais mal. Que cela cesse. Qui cesse de jouais avec mon cœur où il allait ce briser.

- Et ce que moi je veux tu t’ne moque.

- Non.

Je me laissai glisser le long de la porte, je ne lui ouvrirai pas. Mais je vais quand même écouté ce qu’il as à me dire.

- je veux pouvoir te regardais. Je veux pouvoir te touchait. Te prendre dans mes bras. Sentir ta chaleur contre moi. Ton cœur battre. Je veux pouvoir à nouveau sentir tes lèvres. Je veux pouvoir à nouveau faire l’amour avec toi. Pas baiser, faire l’amour. Tu…tu es la seule personne à qui j’ai fait assez confiance pour faire l’amour sans utiliser de préservatif. Àprés avoir passé la nuit avec toi je n’ai plus réussit à prendre du plaisir avec un autre homme. Je n’arrêtais pas de te regardait, de pensé à toi. Il…entre toi et le facteur il y as quelque chose , c’est lui que tu aime maintenant.

- Non…il ni as rien.

- Andréas. Laisse moi entré, je veux juste te prendre dans mes bras. Passer la nuit avec toi. Passer le reste de mes jours avec toi. Es ce trop tard André.

- C’est Andréas.

- Non je préfère André. Parce que je suis le seul à t’appelait comme ça. Laisse moi une dernière chance.

Non je ne veux plus souffrir. Mais qu’es ce qui me fera le plus souffrir ?

D’être avec lui ?

Où d’être loin de lui ?

J’entendais son souffle à travers la porte. Je sentais sa présence. Je me redressais posant mon front contre la porte laissant couler mes larmes.

- va t’en Sean.

 

 et voila c'est fini. alors cher lectrice c'est à vous de choisir.

épilogue où pas épilogue. question trés importante. 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
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Jeudi 25 février 4 25 /02 /Fév 09:43
c'est bientot la fin de cette fic. plus qu'un  chapitre après celui la. T_T

 

CHAPITRE 8 :

 

 

Lorsque je n’étais réveillé ce matin j’étais cher cette hommes. Je n’avais pas put couché avec lui, il avait compris, il ne m’avais forcé à rien. On avaient parler, il n’avais écouté et sa m’avais fait du bien. Mais lorsque j’était arrivé devant cher moi j’étais aussitôt retombé dans cette mer déchainé qui n’envoyais me briser sur les rochés. À chaque fois que je pongé dans son regard, j’avais le mal de mer. Il était adossé aux mur à côté de ma porte et me fixait en silence, un sourire timide sur le visage. Merde que cherche t-il à la fin. À me rendre fou.

- Bonjour Andréas. Tu va bien ? Tu t’es bien amusé hier soir ? Demandait-il d’une voix douce.

J’ouvrir la porte de cher moi sans le regardais il voulait faire ami, ami maintenant. Il aurait du y pensé avant de me sauté.

- Oui je me suis fait sauté toute la nuit. Et c’était cent fois mieux qu’avec toi.

- Andréas…

- Tu n’es pas un si bon coup que ça. C’est pour cette raison que tu ne couche jamais deux fois avec le même mec. Quand il réalise que tu baise mal ils ce casse. Tu n’es pas irrésistible Sean.

Je claqua la porte le laissant sans la moindre réaction. Je n’en peux plus j’ai besoins de m’éloignais de lui. Juste un peu où je vais craqué. J’entendais ses pas s’éloigner alors que je ne laissai glisser le long de la porte le cœur au bord de la rupture. Que faut-il que je fasse ? Comment lui faire comprendre qu’il ai entrain de me détruire. J’enfonça ma tête entre mes bras, je refusais de pleurais encore. Je ne voulais plus être faible.

 

 

Le lendemain j’avais mit une affiche sur ma porte indiquant aux locataires que je prenais deux semaines de vacances et que je ne voulais pas être dérangé. J’avais passé ses deux semaines à m’occuper à droite et à gauche, loin de la résidence. Loin de lui. Je ne l’avais pas croiser une seule fois en deux semaines. Même si je pensé souvent à lui, j’arrivé à reprendre doucement le court de ma vie. Mais je ne pourrais pas fuir continuellement. Il faudra que je l’affronte tôt où tard. Il faudra alors que nous mettions les choses aux clair. Il faudra que je lui avoue l’amour que je lui porte. Et lui que ne dira-t-il ? J’étais loin de pensé que cela arriverai aussi vite.

 

 

Aujourd’hui c’étais la fin de mes congés, je n’avais pas vraiment envi de retourné travailler mais il le fallait. J’étais entrain de déjeuner lorsque quelqu’un frappa à ma porte. Merde ils auraient put attendre un peu. Je me levai pour aller ouvrir la porte et je n’eu pas le temps de dire quoi que ce soit que je me retrouva plaqué contre le mur, son corps contre le mien, ses lèvres sur les miennes.

Non, non, non. S’il te plait me fait pas ça.

Je le repoussa avec force, ses yeux accrochaient les miens me faisant tremblais. Ses yeux débordaient de tristesse. Pourquoi ? Je baissai la tête ne pouvant supporter plus longtemps ce regard qu’il m’adressait. Il voulait juste me sauté encore une fois.

- Désolé j’ai menti.

- De quoi ?

- Je n’es pas couché avec ce mec.

- Je n’ai…

- à vrai dire. Vous étiez le premier et sans nul doute le dernier. Parce que je ne veux pas que d’autres mains ce pose sur mon corps. Je me veux pas embrassé d’autre lèvres. Je ne veux pas qu’un autre homme me pénétre. Mais je ne veux pas non plus que vous me baissiez encore.

- Pourquoi ?

- Je ne suis pas une pute monsieur. Je n’écarte pas les cuisses dés que vous le désiré. Je ne suis pas une de vos salope. Vous possédiez déjà u harem. Vous n’aviez pas besoin de moi.

- Mais c’est toi que je veux. Répondait-il en m’attrapant par le bras, je sentis mon corps traversé d’une douce chaleur à ce contact. Mais je devais être fort et résisté.

- Et ce que moi je veux cela vous étiez égal.

- Bien sur que non. Dit moi…

- Alors je veux que vous m’aimiez comme je vous aime. Pas juste pour me sautais. Je voudrais que vous ne soyez qu’à moi. J’ai cru que si j’étais assez performant au lit vous resteriez à mes côté. Mais je me suis trompé. Maintenant ce que je voudrais c’est que vous quittiez mon appartement et que vous oublier tout ce qui nous concerne. Vous serrez juste un des locataire et moi le concierge.

- André s’il…

- C’est Andréas. S’il vous plait lâché moi. Arrêté de me faire souffrir. On vient de deux monde diamétralement différent. Et ses deux monde ne pourront jamais ce rejoindre. Quoi que l’on fasse rien n’évoluras alors oublier tout ce qui me concerne.

Je le poussa dehors refermant la porte sans le regardait de peur de craqué. Je posa mon front contre la porte. Je savais qu’il était toujours là. Pourquoi ne part-il pas ? Pourquoi veut il tant resté proche de moi.

- André je suis vraiment désolé. On ne ma jamais appris ce qu’était l’amour. Tu mérite d’être heureux.

 

 

 

Le lendemain il m’avait adressé un simple bonjour comme avant.

Le soir il était venu cherché son courrier et était reparti sans un mot de plus.

Tout était enfin redevenu comme avant.

Enfin presque.

Il ne s’affichait plus avec tout ses mecs différents. Il rentrait seul le soir et repartait seul le matin. Il ne venait plus me voire pour me dire qu’il organisé des fêtes. Il semblait c’être assagit. Combien de temps es ce que je pourrais supporté cela.

 

 

Je me suis écroulé sur le sol à bout de force alors que j’entendais ses pas s’éloigner dans le couloir. Il ni avait plus rien à dire, plus rien à faire. C’était fini avant même d’avoir commencé.
Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
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Jeudi 25 février 4 25 /02 /Fév 09:41

CHAPITRE 7 :

 

 

 

J’étais entrain de balayer le couloir. Je n’avais pas envi de le croiser, mais je n’allais pas arrêter de travaillé à cause de lui. Je relevai la tête alors que j’entendis quelqu’un descendre les escaliers.

Je sentis mon cœur s’emballer lorsque je le vis suivi d’un blond à l’air superficiel. Lorsqu’il me vit son visage froid ce fendu d’un petit sourire. Il s’avançait vers moi, plus il s’approché et plus mon cœur bâter fort. Je ne veux pas qu’il m’approche, je ne veux pas qu’il me regard, je ne veux pas qu’il ne touche. Mais je devais rester maitre de moi-même. Je devais continuai de faire mon travail.

- Bonjours Andréas. Sa voix était douce, prévenante. Tu va bien ?

- Bonjours Monsieur.

- Hm il est sexy ce mec. Fit remarquais le blond à ses côté. Je lui adressai un sourire charmeur alors qu’il me regardait avec gourmandise. Sean l’attrapa par le bras l’éloignant de moi. Il ne faut surtout pas touché à ses conquêtes. Il ne doit pas aimer que l’ont ne le regard une autre personne que lui. Je lui laisse ce mec. Je ne veux que lui.

- Bon journée Andréas.

- Vous aussi.

Je le regardais partir avec cet homme le cœur lourd. Il ne pouvait pas respectais les sentiments des autres. Ce n’est qu’un égoïste, ne voit il donc pas le mal qu’il fait aux autres.

 

Ce jour là j’avais pris une décision. J’en avais marre d’être seul, de me vivre que dans l’attente de le voir partagé mes sentiment. Je voulais rencontrer quelqu’un qui pourrait m’aimé en retour. Je voulais oublier cet homme. Alors ce soir je sortais. Et je ne rentrerais pas seul.

 

 

Je regardais mon reflet dans la glace. Je portais un pantalon de lin blanc, tombant sur mes hanches, laissant voir l’élastique de mon boxer. Sa faisais bien ressortir la couleur halé de ma peau. Je regardais mon torse finement musclé. La seul chose qu’il l’avait attiré était mon corps rien de plus. Il ne me connaît pas. On aura du parlais avant de ce sauté dessus.

- Arrête de pensé à lui.

Je passai un polo tout aussi blanc et vraiment moulant. Le col en V laissait voire le haut de mes pectoraux, et le vêtement laissait deviner mes courbes. Es ce que je n’en faisais pas trop. Après tout les vêtements ne vont pas suffire à me rendre désirable. Je n’ai pas sa ni prestance, ni son élégance naturel. J’étais bien pâle face à tous ses hommes qu’il côtoyait.

Je coiffai mes cheveux du mieux que je pus essayant de discipliner les épis de mes cheveux. Et encore une fois j’ai perdu la batail.

 

Je sortais de mon petit appartement, fermant la porte et lorsque je ne retournai je senti mon cœur s’emballer en voyant la cause de tout mes tourbant dressais devant moi plus beau que je jour précédent, où que celui bien avant. Chaque jour il semblait plus beau, plus désirable. Et moi comment puis-je lutter contre mes sentiments alors qu’il ne me laisse pas tranquille. Il me fixait en silence, ses yeux détaillé mon corps. Il voulut dire quelque chose mais je ne lui en laissai pas le temps détourant les talons pour m’éloigner de lui.

- Andréas s’il te plait…

Non ne te retourne pas. Ne soit pas faible face à lui. Ne lui montre pas qu’il peut te faire perdre la tête en un seul regard. Je devais mettre de la distance entre nous deux. Je ne devais pas craqué.

 

 

C’étais la première fois que je venais dans cette boite, je n’oser pas aller danser alors je pris place sur l’un des siège du bar et commanda un cocktail. Plusieurs hommes venaient me dragué mais aucun ne me plaisait vraiment. Je ne savais même pas vraiment quel était mon genre d’hommes je n’avais jamais pris le temps d’y réfléchir. Je sais que je suis gay mais avant Sean je n’ai jamais vraiment était attiré par un homme en particulier. Je n’avais rien à faire ici, ce n’es pas mon univers. Je suis perdu. Je voulais juste coucher avec un autre pour l’oublier mais cela ne ferais sans nul doute qu’aggravé les choses. Je cru que cette fois ci j’allais nourrir lorsque je le vis entré dans la boite entouré par une meute de mec plus beau les uns que les autres. Et il semblait bien s’amusé. Je suis le seul à être incapable d’oublier ce qui c’est passé lui vie très bien avec cela. N’as t-il donc aucune conscience. J’étais tellement perdu, tellement triste que je laissai cette inconnu m’entrainé sur la piste de danse. Il ce colla dans mon dos bougeant contre moi. Je n’avais pas vu sans visage et je n’en moque. Je veux juste oublier et je n’en moque de savoir avec qui. Je sentais son sexe contre mes fesses. Il me désiré. Il voulait juste me baiser mais il ne pourrait pas me faire plus de mal qu’il ne m’en as fait.

- Tu n’excite beau brun. J’ai trop envi de toi.

Je l’attrapai par le bras pour le tiré vers les toilette et lorsque j’en ouvrir la porte je cru que mon cœur avait cessé de battre. J’étais comme un taureau acculer par le matador fixant l’homme fier de lui, superbe dans son costume qui aller nous arraché la vie. Et lorsqu’il embrassa cet homme il me porta l’estocade finale. Et comme le taureau je poussai un dernier cri de douleur avant de m’écroulé.

- Andréas…je ce n’est pas ce que tu crois.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
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Lundi 22 février 1 22 /02 /Fév 21:19

 

CHAPITRE 6 :

 

 

 

Le soleil filtrait à travers les rideaux, éclairant le lit de cette lumière matinal.il était allongé à mes côté dormant paisiblement et il était tellement beau, en aurait dit un ange. Depuis combien de temps es ce que je l’observais. Je n’arrivai pas à défaire mon regard de lui. Je fis glisser mes doigts sur sa peau si douce. Je déposai mes lèvres sur les siennes. J’aurais voulut me plus jamais me détacher de lui.

- Je t’aime Sean. Si tu savais à quel point je t’aime. Ne me brise pas le cœur. S’il te plait.

Je m’arrachai à contre cœur de son corps si chaud, j’enfilai un bas de jogging pour aller préparais le petit déjeuner. J’espère vraiment qu’après cette nuit il reste avec moi. Je suis peu être niaise mais cette nuit après avoir fait l’amour. Il m’avait prit dans ses bras avec tellement de tendresse. Il m’a embrassé en me murmurant bonne nuit. Il c’était endormi en me serrant contre lui. Qu’es ce que cela signifier vraiment pour lui.

 

Je fus sorti de mes pensé lorsque j’entendis la porte de la chambre s’ouvrir et ce refermer. Je sorti de la cuisine pour le voire habiller entrain de cherché le reste de ses affaires.

- Merde, je vais être en retard. Merde. Je dois y aller André. On ce vois plus tard.

- Oui mais…

- J’n’ai pas le temps. Met mon courrier sous la porte. Je rentre tard ce soir.

- Je peu attendre que tu rentre, on pourra…

- Non. Je vais rentrer vraiment tard. Pas besoin de m’attendre.

- D’accord. Bonne journée alors.

- Oui toi aussi.

Et voila il était parti sans un regard, sans un baiser, sans rien qui pourrais m’aidé à croire qu’il pourrait m’aimait aussi. Je me laissai tomber sur la chaise grimaçant de douleur. J’ai mal au cul. C’est tout ce qu’il me reste ce putain de mal au cul.

- je suis vraiment trop crédule.

 

- Bonjours André.

- Sean je…

- Je suis pressais bonne journée.

Ce sont les seuls mots qu’il m’a adressé le lendemain. La veille il était rentré vraiment tard. Et là rien, je voulais juste qu’il s’arrête me parlais cinq minutes. Qu’il m’embrasse. Qu’es ce que je croyais moi, il m’avait juste baiser et c’est tout. J’aurais préférais qu’il continus de m’ignorais. Parce que j’étais bien moins douloureux. Mon cœur me fait tellement mal. J’aurais préférais ne jamais connaitre la chaleur de ses bras et en être privé juste après.je suis vraiment trop con. J’y ai crus, j’ai cru qu’il tomberait amoureux de moi. Je ne suis que le concierge.

 

 

J’étais devant sa porte. Je l’avais entendu rentrer et je me suis dit que j’allais lui portais son courrier. J’aurais peut être pas du venir. Après tout il n’as pas l’air de vouloir me voire. J’étais qu’une conquête parmi tant d’autre. Je rassemblai tout mon courage et sonna à la porte. Elle s’ouvrit quelques secondes plus tard sur un grand brun presque nu, vêtu d’une simple serviette. Le corps ruisselle d’eau. Je savais que je n’avais aucune chance de ravir son cœur et pourtant j’y ais cru comme le pauvres imbécile que je suis.

- Vous étiez ?

- Le concierge. Désolé de vous dérangé. Es ce que Sean et là ?

Bien sur qu’il est la. Mon cœur était prisonnier d’un étau qui me cessé de ce resserrais encore et encore, des lames me lacérais le cœur, lui faisant versé des larmes de sang. J’avais si mal. Je voulais que cette douleur cesse. Je regardais cet homme qui me faisait face. Il était tellement beau, comme tous ses autres hommes. Et moi…Pourquoi à t-il couché avec moi alors qu’il peut avoir des dizaines d’homme comme lui. J’avais envi de pleurais mais je refuser de me montré faible devant lui. Je ne voulais pas qu’il ait pitié de moi. Qu’il me méprise. Je refusais de lui laisser voire l’emprise qu’il avait sur moi. Il fini par apparaitre devant moi, le visage fermé, me brisant d’avantage le cœur. J’étais le seul à croire que cette nuit représenté plus qu’une simple partie de baiser. Moi je lui ai tout donné cette nuit là. Et lui n’as fait que prendre.

L’inconnu l’embrassa en lui caressant les fesses.

- Je t’attends dans la chambre. On n’a pas fini alors fait vite.

Il détourna les talons pour partir alors que je n’arrivé pas à levais les yeux vers lui. Il avait été si tendre. Merde j’y ai cru moi.

- Tenait votre courrier. Vous l’avait pas pris en passant alors je suis venu vous le portais.

- Je…je t’avais rien promis. Il posa sa main sur ma joue avec douceur. Je…je suis incapable de tombé amoureux André. Tu es un mec super. Tu mérite quelqu’un de bien mieux qu’un mec comme moi. Incapable d’être fidèle. C’était que du sexe. Passe à autre choses.

- Je suis vraiment trop con. Moi j’y ai cru.

Je repoussai sa main m’écartant de lui. Je ne voulais pas qu’il soit tendre alors qu’il me disait toutes ses choses horribles. Je plongeai mon regard dans le sien et j’y surpris une lueur de tristesse. Non ce n’était encore qu’une illusion de mon cœur amoureux.

- André s’il te plait. Je ne voulais pas te blesser. Je savais que je n’aurais pas du craqué. Mais tu ma embrassé et je…pardonne moi.

- C’étais ma première fois et il a fallut que ce soit avec le plus bel enculer de la terre.

- André attend tu…

- Allez-vous faire foutre. C’est Andréas. Je crier aussi fort que je le pouvais me moquant que l’on puisse nous entendre. Je voulais déverser toutes ma douleur, tout mon mal être. Qu’il cesse de joué avec mon cœur. Pas André, Andréas. Vous m’avais sauté et vous ne pouvait pas retenir une misérable syllabe. Vous n’étiez qu’une pourriture de fils de riche qui a tout ce qu’il veut. Vous ne pensé pas au mal que vous faite aux autres. Merde je ne suis pas une de vos salope… et pourtant j’ai l’impression de n’avoir était qu’une vulgaire pute…juste un objet et sa fait mal.

J’avais cessais de crier. Je n’en avais plus la force. Je détournai les talons mais il ne retient par le bras. J’étais au bord de la rupture. J’avais la sensation de me briser. Mon corps, mon cœur, mon âme.

- Andréas…je…

- Sean tu viens. Je suis brûlant là.

- Lâche-moi.

- Il faut que l’on parle.

- Tout a été dit. Va le rejoindre.

- On n’a pas couché ensemble.

- Arrête. Arrête de me faire du mal. Je ne veux plus jamais que tu me touche.

Il relâcha mon bras et je dévalais les escaliers aussi vite que je le pu pour aller m’enfermé cher moi. Je refermai la porte et me laissa glisser contre. Mes larmes coulaient le long de mes joues. Je n’avais plus la force de les retenir. Pourquoi ? Pourquoi ? Je ne veux plus jamais qu’il pose ses mains sur moi. Je ne veux plus souffrir. J’entendis quelqu’un descendre les marches en pestant. Es ce qu’il l’avait renvoyais. Non pourquoi aurait-il fait cela. Je veux arrêter de réfléchir. Je veux cesse de pensé à lui. Je veux cesser de pleurais. Je pleurais encore et encore. J’avais si mal. Pourquoi es ce que l’amour devait faire aussi mal. Pourquoi doit-on toujours souffrir lorsque l’ont aime quelqu’un. Pourquoi à t-il fallut que je tombe amoureux d’un homme comme lui. Et pourquoi fallait-il que toutes ses questions restent sans réponse. J’étais lace de tout cela. L’amour et une chimère, qui nous fait entrevoir les plus beaux des trésors. Et la chut et tellement douloureuse.

J’avais fini par sombrer dans un sommeil sans le moindre rêve. Un sommeil réparateur.

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
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