CHAPITRE 6 :
Le soleil filtrait à travers les rideaux, éclairant le lit de cette lumière matinal.il était allongé à mes côté dormant paisiblement et il était tellement beau, en aurait dit un ange. Depuis
combien de temps es ce que je l’observais. Je n’arrivai pas à défaire mon regard de lui. Je fis glisser mes doigts sur sa peau si douce. Je déposai mes lèvres sur les siennes. J’aurais voulut me
plus jamais me détacher de lui.
- Je t’aime Sean. Si tu savais à quel point je t’aime. Ne me brise pas le cœur. S’il te plait.
Je m’arrachai à contre cœur de son corps si chaud, j’enfilai un bas de jogging pour aller préparais le petit déjeuner. J’espère vraiment qu’après cette nuit il reste avec moi. Je suis peu être
niaise mais cette nuit après avoir fait l’amour. Il m’avait prit dans ses bras avec tellement de tendresse. Il m’a embrassé en me murmurant bonne nuit. Il c’était endormi en me serrant contre
lui. Qu’es ce que cela signifier vraiment pour lui.
Je fus sorti de mes pensé lorsque j’entendis la porte de la chambre s’ouvrir et ce refermer. Je sorti de la cuisine pour le voire habiller entrain de cherché le reste de ses affaires.
- Merde, je vais être en retard. Merde. Je dois y aller André. On ce vois plus tard.
- Oui mais…
- J’n’ai pas le temps. Met mon courrier sous la porte. Je rentre tard ce soir.
- Je peu attendre que tu rentre, on pourra…
- Non. Je vais rentrer vraiment tard. Pas besoin de m’attendre.
- D’accord. Bonne journée alors.
- Oui toi aussi.
Et voila il était parti sans un regard, sans un baiser, sans rien qui pourrais m’aidé à croire qu’il pourrait m’aimait aussi. Je me laissai tomber sur la chaise grimaçant de douleur. J’ai mal au
cul. C’est tout ce qu’il me reste ce putain de mal au cul.
- je suis vraiment trop crédule.
- Bonjours André.
- Sean je…
- Je suis pressais bonne journée.
Ce sont les seuls mots qu’il m’a adressé le lendemain. La veille il était rentré vraiment tard. Et là rien, je voulais juste qu’il s’arrête me parlais cinq minutes. Qu’il m’embrasse. Qu’es ce que
je croyais moi, il m’avait juste baiser et c’est tout. J’aurais préférais qu’il continus de m’ignorais. Parce que j’étais bien moins douloureux. Mon cœur me fait tellement mal. J’aurais préférais
ne jamais connaitre la chaleur de ses bras et en être privé juste après.je suis vraiment trop con. J’y ai crus, j’ai cru qu’il tomberait amoureux de moi. Je ne suis que le concierge.
J’étais devant sa porte. Je l’avais entendu rentrer et je me suis dit que j’allais lui portais son courrier. J’aurais peut être pas du venir. Après tout il n’as pas l’air de vouloir me voire.
J’étais qu’une conquête parmi tant d’autre. Je rassemblai tout mon courage et sonna à la porte. Elle s’ouvrit quelques secondes plus tard sur un grand brun presque nu, vêtu d’une simple
serviette. Le corps ruisselle d’eau. Je savais que je n’avais aucune chance de ravir son cœur et pourtant j’y ais cru comme le pauvres imbécile que je suis.
- Vous étiez ?
- Le concierge. Désolé de vous dérangé. Es ce que Sean et là ?
Bien sur qu’il est la. Mon cœur était prisonnier d’un étau qui me cessé de ce resserrais encore et encore, des lames me lacérais le cœur, lui faisant versé des larmes de sang. J’avais si mal. Je
voulais que cette douleur cesse. Je regardais cet homme qui me faisait face. Il était tellement beau, comme tous ses autres hommes. Et moi…Pourquoi à t-il couché avec moi alors qu’il peut avoir
des dizaines d’homme comme lui. J’avais envi de pleurais mais je refuser de me montré faible devant lui. Je ne voulais pas qu’il ait pitié de moi. Qu’il me méprise. Je refusais de lui laisser
voire l’emprise qu’il avait sur moi. Il fini par apparaitre devant moi, le visage fermé, me brisant d’avantage le cœur. J’étais le seul à croire que cette nuit représenté plus qu’une simple
partie de baiser. Moi je lui ai tout donné cette nuit là. Et lui n’as fait que prendre.
L’inconnu l’embrassa en lui caressant les fesses.
- Je t’attends dans la chambre. On n’a pas fini alors fait vite.
Il détourna les talons pour partir alors que je n’arrivé pas à levais les yeux vers lui. Il avait été si tendre. Merde j’y ai cru moi.
- Tenait votre courrier. Vous l’avait pas pris en passant alors je suis venu vous le portais.
- Je…je t’avais rien promis. Il posa sa main sur ma joue avec douceur. Je…je suis incapable de tombé amoureux André. Tu es un mec super. Tu mérite quelqu’un de bien mieux qu’un mec comme moi.
Incapable d’être fidèle. C’était que du sexe. Passe à autre choses.
- Je suis vraiment trop con. Moi j’y ai cru.
Je repoussai sa main m’écartant de lui. Je ne voulais pas qu’il soit tendre alors qu’il me disait toutes ses choses horribles. Je plongeai mon regard dans le sien et j’y surpris une lueur de
tristesse. Non ce n’était encore qu’une illusion de mon cœur amoureux.
- André s’il te plait. Je ne voulais pas te blesser. Je savais que je n’aurais pas du craqué. Mais tu ma embrassé et je…pardonne moi.
- C’étais ma première fois et il a fallut que ce soit avec le plus bel enculer de la terre.
- André attend tu…
- Allez-vous faire foutre. C’est Andréas. Je crier aussi fort que je le pouvais me moquant que l’on puisse nous entendre. Je voulais déverser toutes ma douleur, tout mon mal être. Qu’il cesse de
joué avec mon cœur. Pas André, Andréas. Vous m’avais sauté et vous ne pouvait pas retenir une misérable syllabe. Vous n’étiez qu’une pourriture de fils de riche qui a tout ce qu’il veut. Vous ne
pensé pas au mal que vous faite aux autres. Merde je ne suis pas une de vos salope… et pourtant j’ai l’impression de n’avoir était qu’une vulgaire pute…juste un objet et sa fait mal.
J’avais cessais de crier. Je n’en avais plus la force. Je détournai les talons mais il ne retient par le bras. J’étais au bord de la rupture. J’avais la sensation de me briser. Mon corps, mon
cœur, mon âme.
- Andréas…je…
- Sean tu viens. Je suis brûlant là.
- Lâche-moi.
- Il faut que l’on parle.
- Tout a été dit. Va le rejoindre.
- On n’a pas couché ensemble.
- Arrête. Arrête de me faire du mal. Je ne veux plus jamais que tu me touche.
Il relâcha mon bras et je dévalais les escaliers aussi vite que je le pu pour aller m’enfermé cher moi. Je refermai la porte et me laissa glisser contre. Mes larmes coulaient le long de mes
joues. Je n’avais plus la force de les retenir. Pourquoi ? Pourquoi ? Je ne veux plus jamais qu’il pose ses mains sur moi. Je ne veux plus souffrir. J’entendis quelqu’un descendre les marches en
pestant. Es ce qu’il l’avait renvoyais. Non pourquoi aurait-il fait cela. Je veux arrêter de réfléchir. Je veux cesse de pensé à lui. Je veux cesser de pleurais. Je pleurais encore et encore.
J’avais si mal. Pourquoi es ce que l’amour devait faire aussi mal. Pourquoi doit-on toujours souffrir lorsque l’ont aime quelqu’un. Pourquoi à t-il fallut que je tombe amoureux d’un homme comme
lui. Et pourquoi fallait-il que toutes ses questions restent sans réponse. J’étais lace de tout cela. L’amour et une chimère, qui nous fait entrevoir les plus beaux des trésors. Et la chut et
tellement douloureuse.
J’avais fini par sombrer dans un sommeil sans le moindre rêve. Un sommeil réparateur.
Bisous