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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

de la haine à l'amour (terminé)

Dimanche 24 janvier 7 24 /01 /Jan 20:18
 comme promis voila l'épiloge de la haine à l'amour. j'espre quelle vous plaira. les fin c'est pas trop mon frot si ce n'étzit que de moi je ne les finirais jamais. mais tout à une fois.


 

EPILOGUE :

 

 

- maman papa je suis rentré.

 

Un jeune brun d’environ dix huit ans venait de rentré chez lui après une longue journée d’étude. Il jeta ses affaires dans le couloir comme à son habitude, il n’avait pas la moindre envi de faire ses devoir. Il alla dans la cuisine pour prendre un truc à mangé et à boire. Sa faisait deux ans déjà, deux années interminable.

 

Il entra dans le salon et en lâcha sa bouteille sous la surprise sa ne pouvait pas être vrai.

 

 

James était sous les douches après son entraiment de basket laissant l’eau détendre son corps. Il souffla de bien être lorsqu’il senti un corps venir ce coller à son dos et des lèvres embrassé sa nuque avec douceur.

- à quoi tu pense mon ange ?

- je ne demande quand es ce qu’il arrivera à tourné la page.

- il faut lui laissait encore du tant.

James ce retourna pour faire face à son capitaine qui le fixait en souriant. Il déposa ses lèvres sur les siennes. L’embrassant avec douceur.

- ils sont tous partis ?

- oui. Pourquoi ? Demanda l’ainé.

Pour toute réponse james ce pressa contre lui, faisant sourire son petit ami. Deux ans à présent qu’il sortait ensemble. James lui avait laisser une chance et Raphael ne l’avait pas déçu. Il s’avérait être un amant :merveilleux et un petit ami très aimant.

- j’ai envi de toi Raph. C’est long toute une journée sans pouvoir te touché. J’ai envi de te faire l’amour.

- j’en ai très envi aussi. Répondit le beau capitaine en l’embrassant avec douceur ce retrouvant plaqué contre le mur par son jeune amant qui l’embrassait avec envi et tendresse à la fois. Il le laissa lui faire l’amour avec passion, ce qu’il pouvait l’aimé. Il ne pouvait plus ce passé de lui, c’était l’homme de sa vie.

- je…t’aime James… lui murmura-t-il à l’oreille en atteignant la jouissance.

- je t’aime aussi Raph.

 

Sa ne pouvait pas être vrai. Sa ne pouvais pas être lui. Il est tellement beau, bien plus que dans ses souvenir. Deux longue années loin de lui, sans pouvoir entendre sa voix, sans pouvoir le touché, sans pouvoir le voire. Il avait crut devenir fou. Il s’approcha doucement de lui de peur qu’il me soit qu’un mirage de son cœur malade d’amour. Mais lorsque sa main ce posa sur sa peau, un frisson qu’il n’avait plus ressenti depuis le traversa de part en part et il sus qu’il ne rêvé pas. Les larmes ce mirent à coller, il ne pouvait plus les retenir. Il ne pouvait plus retenir toutes cette douleur.

- Jérôme. Appela-t-il d’une voix étouffé par l’émotion, le blond posa sa main sur la siene soufflant de bien être.

- oui Benoit c’est moi. Répondit-il d’une voix douce et rassurante.

Le plus jeune lui sauta dessus pour le serrait aussi fort qu’il le pouvait dans ses bras de peur de le voir encore partir loin de lui. Ils pleuraient tout deux de tristesse et de joie mêler. Ils pouvaient enfin ce voire, ce touchés, ce parlés.

- je croyais ne plus jamais te revoir…pourquoi ? Pourquoi et tu parti comme ça…juste après qu’on es fait l’amour.

- parce que je ne supporté pas l’idée de te voire avec Raphael. C’était aux dessus de mes force. J’ai essayer de t’oublier mais c’est impossible.

- avec combien de salope à tu couché ?

- aucune je ne veux que toi.

- je ne suis jamais sorti avec Raph il sort avec James depuis ton départ.

- mais vous…vous vous étiez embrassé.

- il m’a embrassé moi c’est toi que j’aime et personne d’autre. Depuis deux ans je ne suis sorti avec personne. Je ne peux pas oublier cette nuit que l’ont as passé ensemble. Promet moi de ne plus jamais partir loin de moi Jérôme.

- je te le promet.

- Jérôme.

- oui.

- fait moi l’amour s’il te plait.

Cette nuit la il firent l’amour encore et encore. C’était si doux, si aimant, si passionné. Tellement magique.

 

James était assit sur le bassin de son amant entraine de l’embrassé partout où il le pouvait lorsque l’ont sonna à la porte. Raphael essaya de le lever mais James l’obligea à resté allongé.

- bébé laisse moi y allez sa doit être Ben.

- mais j’ai envi de te sucer moi.

- arrête sa m’excite.

- et j’ai envi de te défoncé.

- mon amour arrête.

- et de te faire plein de truc cochon.

- arrête.

Il ce leva à contre cœur pour laissait Raphael allait ouvrir en pestant contre son petit ami qui passé son temps à l’excité et lui était trop faible et craqué toujours. Il ouvrir la porte et il crut être en plein rêve. C’était pas possible.

- salut Raph

- Je…Jérôme.

Il ce jeta dans les bras de son meilleur amis pleurant comme un enfant. Il lui avait tellement manqué, il avait crut ne jamais pouvoir le revoir. Mais on dit bien que l’amour peut triomphé de tout. La frontière de la haine à l’amour et tellement mince.

 

 

 

 

 

Fin.




voili c'est la fin. snif il vont me manque...mais au moin ils son heureux.

Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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Samedi 23 janvier 6 23 /01 /Jan 23:23

et voila le dermier chapitre.

 

CHAPITRE 14 :

 

 

 

- eh Raphael !

Le concerné ce retourna pour faire face à son meilleur ami. Il m’avait pas envi de le voire alors qu’il venait de le trahir mais il essaya de ne rein montré.

- Jérôme tu va bien ? Sa…

Il n’eu pas le temps de finir sa phrase qu’il ce reçu le poing de son ami en pleine face. Le blond le choppa par le col le plaquant contre le mur le fusillant du regard.

- tu savais ce que je ressens pour lui alors pourquoi avoir fait sa ? Je croyais que tu été mon ami.

- ta gueule. Je te déteste. Tu n’es qu’une merde sans le moindre intérêt. Tu me dégoute.

- mais…

- ta gueule ferme la. Je ne veux plus jamais voire ta sale tronche. Sale traitre.

Il le relâcha le laissant tombé sur le sol et il détourna les talons, il senti son cœur faire un bon dans sa poitrine en voyant son ange qui le fixait avec incompréhension.

- qu’es ce qui ce passe. Pourquoi tu l’as frappé ?

- il ne répondit rien et s’approcha de lui posant ses lèvres sur les siennes. Il l’embrassait sans ce soucier de ce que pouvait penser les autres, il voulait juste pouvoir l’embrassé une dernière fois. Il le prit dans ses bras, le serrant avec force contre lui.

- pardonne moi de t’aimé.

Il ce détacha de lui et parti sans lui laisser le temps de ce remettre de sa révélation. Il avait dit qu’il l’aimé, non sa ne pouvait pas être sa. Il voulait encore ce moqué de lui. Il senti les larmes lui monté aux yeux. Ce connard avait fuit encore une fois, mais cette fois il ne s’ne sortirait pas comme ça. Il parti en courant, il devait le rattraper, il devait savoir.

 

 

- Raphael sa va ?

- tu t’inquiète de moi maintenant. Je sais très bien que tu pense la même chose que lui, tout le monde pense la même chose que lui. Alors va y crache ton venin pendant qu’en y es.

- vient il faut aller à l’infirmerie. Répondit-il en le forçant à ce relevé. Je n’ai pas pour principe de frapper un homme à terre.

Il jeune brun l’aida à marché jusqu’à l’infirmerie il ne l’avait encore jamais vu dans un tel état, il devait vraiment l’aimé pour être aussi anéanti. L’infirmière fit arrêté les saignements de son nez et le força à s’allongé sur un des lit et parti le laissant seul avec James.

- je viens de perdre mon meilleur ami.

- quel idée aussi d’aller embrassé le mec donc il et amoureux. Je t’avais bien dit que sa te poserait des problèmes capitaine. Mais comme à ton habitude tu n’en fait qu’à ta tête. Tu n’es qu’un sale gamin stupide.

Raphael ce redressa l’attrapant par la nuque pour l’attiré à ses lèvres, pour l’embrassé. James resta pétrifier par la stupeur avant de le repousser aussi fort qu’il le pouvait s’écartant de lui. Raphael ce laissa retombé sur le matelas.

- et merde deux vents en une journée. J’aurais du resté hétéro moi.

- à quoi tu joue connard. T as réussit à avoir Benoit alors tu t’es dit que tu allais essayer avec son meilleur ami.

- non ce n’est pas sa. Je crois bien que j’ai tout fait de travers.

- C’EST PAS CA ! C’EST QUOI ALORS. MERDE J’EN AI MARRE. Le plus jeune ce laissa tombé sur la chaise à côté du lit enfonçant son visage entre ses mains.

- James sa va pas ?

- j’étais sur qu’il n’y avait aucun espoir je ne suis fait à l’idée il y a bien longtemps. Tu n’as pas le droit de faire ça de joué avec mes sentiment comme ça. J’ai tout supporté jusqu’à présent c’était dure mais j’y suis arrivé. À chaque fois que tu me disais à quel point tu l’aimé, c’était ci dur mais j’ai tenu bon. Tu n’as pas le droit de faire ça.

- j’ai vraiment tout raté.

- je t’admiré et plus je passé de temps avec toi plus cette admiration grandisse. Et sa à fini en amour. Mais c’est impossible. Alors ne recommence pas s’il te plait. C’est trop dure…je vais te laissait tout seul.

Il voulut partir mais Raphael le retenait l’obligeant à ce retourné vers lui posant à nouveau ses lèvres sur les siennes avec douceur.

- laisse-moi une chance James. Je crois bien que je me suis trompé sur toute la ligne. Je suis tellement désoler.

- de quoi ? Pour toi je me suis rien de plus qu’un petit con fou d’admiration qui te suivait partout.

- non tu es bien plus que sa. Tu m’as tellement manqué toutes ses semaines au l’ont ne c’est pas parlais. Je…je veux plus que sa arrive…laisse moi une chance s’il te plait. Juste une chance.

James referma ses bras autour de lui posant ses lèvres sur les siennes l’embrasant avec douceur.

- une chance. Un seul.

- sa serra suffisant.

 

 

Benoit avait bon eu à courir il ne rattrapa pas son frère, il était parti, son beau père avait refusé de dire au il était, et il avait pleurait pendant des heures pourquoi était-il parti si vite. Pourquoi avait-il à nouveau fuit.

- tu ne m’as pas laissé le temps de répondre. Abrutit de frère.

 

 

 

 

 

c'est triste. il et parti....snif. pour savoir ce qui va ce passé faut lire l'épilogue. je la mettrais sans doute demain si j'ai le temps de l'écrire.

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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Samedi 23 janvier 6 23 /01 /Jan 23:17
 je viens juste de rentré du taf et là je suis totalement H.S. mais bon comme promis je  vous met les dermiers chapitre de la haine à l'amour. 


CHAPITRE 13 :

 

 

 

Lorsqu’il c’était réveillé Benoit était seul dans son lit, la place à ces côté était encore chaude, signe qu’il n’était pas parti depuis longtemps. Pourquoi n’était-il pas resté ? Il avait tellement de question à lui posé. Pourquoi avait-il fait ça ? Il n’avait pas parlais, il ne lui avait pas adressait le moindre mot. Pour lui ce n’était sans doute qu’un coup d’un soir rien de plus. Il ne pouvait pas lui demandait ce que sa représenté pour lui. Il avait bien trop peur de ce faire rejetais, qu’il lui rit au nez en lui disant qu’il n’était qu’une pute. Il attendra qu’il fasse le premier pas.

Il enfonça son visage entre ses genoux essayant de retenir ses larmes, il ne voulait penser qu’au bon moment passé cette nuit. Il avait été si doux, il lui avait si bien fait l’amour, ses baisers l’avait rendu totalement fou. Il voulait encore sentir ses lèvres sur les siennes, ses mains sur son corps, son corps contre le sien, son sexe en lui, le sien dans l’intimité de celui qu’il aime. Il voulait revivre cette nuit encore et encore.

 

 

Jérôme c’était réveillé très tôt et il avait passé des heures à regardait son ange qui dormait à point fermé à ses côté. Il n’avait pas put s’empêché de caressait son visage, de déposer à nouveau ses lèvres sur les siennes. Il lui avait fallut beaucoup de temps avant de pouvoir s’arraché de ses bras. Cette nuit avait était magique mais il avait eu peur de la réaction de son ange. Après tout son c’était passé si vite, c’était dans le feu de l’action. Et s’il regretter. Il ne voulait pas voire la colère et la haine dans son regard pas après la nuit magique qu’il venait de passé. Il avait prit la fuite il voulait attendre qu’il vienne à lui. Mais il savait qu’il ne pourrait pas ce passé de lui bien longtemps.

 

 

- benoit je peux te parlais s’il te plait ?

Le concerné ce retourna vers Raphael c’était la première fois qu’il lui parlait son l’agresser et qu’il l’appelait par son prénom. Quelque chose cloché.

- tu va bien toi ? Depuis quand tu viens me parlais.

- s’il te plait arrête ça. Je dois vraiment te parlais. Vient s’il te plait.

Benoit tourna la tête vers son meilleur ami qui lui fit signe d’accepter sans regardais son capitaine qui le fixait avec tristesse. C’était sans doute trop tard pour réparer les pots cassé. James ne voudrais plus jamais de lui comme ami. Il ce leva et suivit Raphael, qui jeta un dernier regard à James qui continuait de l’ignoré et il sentit son cœur ce serrait à nouveau.

 

Ils allaient dans un coin calme et avant que Benoit n’es put dire quoi que ce soit le basketteur le plaqua contre un mur pour prendre ses lèvres. Benoit resta sans la moindre réaction. Il ce demandait si n’était pas dans une autre dimension. Raph fini par le relâché posant son front contre le sien.

- tu va me prendre comme un con. Mais je suis amoureux de toi Benoit. Depuis le premier jour où je t’ai vu.

-…

- s’il te plait dit quelque chose.

- je…c’est Jérôme que j’aime.

- je sais…merde il fallait juste que je te le dise et t’entendre dire que ce n’était pas réciproque. Je suis totalement perdu. Je ne suis plus quoi faire. Désoler pour le mal que je t’ai fait. Je suis qu’un sal con stupide. Pardonne-moi.

 

Ce que les deux jeunes hommes ne virent pas Jérôme qui avait assisté à tout la scène et il sentit son cœur ce brisé lorsqu’il vit son ange prendre Raphael dans ses bras. Il ce mit à pleurait et détourna les talons pour rentré chez lui sa lui fait si mal. Il avait fait l’amour sa avait été magique et il ce jetais dans les bras d’un autre, les bras de son meilleur ami.



Il entra chez lui en trombe entrant dans sa chambre. Son frère qui était rentré plus tôt du travail l’avait vu rentré en pleure et l’avait suivit et il fut surpris de le voire faire ses valises.

- Jérôme qu’es ce que tu fais ?

- je peux plus vivre ici papa. Je vais aller cher grand-mère. Je peux plus. Je suis à bout.

- fiston raconte moi tout.

- que si tu ne promet de ne pas essayer de me retenir.

- je te le promets.

 

 

Benoit avait rejoint son meilleur ami totalement sur le cul, il devait rêver d’abord Jérôme et maintenant Raphael.

- alors ? Demanda James en lui souriant.

- il a dit qu’il était amoureux de moi. Je n’arrive pas à le croire.

- j’étais au courant. Il ne l’a dit.

- pourquoi tu…

- parce que je ne voulais pas m’en mêler. Si sa te dérange pas je vais faire un tour je crois que tu as besoin d’être seul.

 

 

Benoit regardais partir sans ami.pourquoi y avait-il tellement de tristesse dans son regard. le monde était entrain de devenir fou.

Il ce laissa tombé sur son lit enfonçant sa tête entre ses mains, et il ce mit à tout raconté à son père. Ce qu’il avait ressenti la première fois où il l’avait vu. À ses sentiments qui l’avait poussé à ce comporté de la sorte avec lui. Tout sa parce qu’il avait peur qu’il ne partage pas ses sentiments. Il lui raconta l’épisode de la douche ce qu’il avait ressenti en le sentant si proche de lui, c’Est-ce jours la qu’il avait pleinement pris conscience de ses sentiment avec son frère. Il lui raconta ce qui c’était passé le jour ou son mec l’avait trompé, la douleur qu’il avait ressenti en le voyant baiser Sam. De la jalousie qu’il avait éprouvé de le voire avec Damien. Et cette nuit magique qu’il venait de passé ensemble.

- et lui après sa il trouve rien de mieux à faire que de sauté au coup de Raphael. De mon meilleur ami. Sa m’as fait tellement mal. Je dois m’éloigner d’ici papa où je vais devenir fou.

- d’accord.

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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Vendredi 22 janvier 5 22 /01 /Jan 21:54
juste pour vous je vous met la suite de la haine à l'aùour. demain je mettré sans doute les dermier chapitre.




 

 

 

 

 

 

 

 

 

CHAPITRE 12 :

 

 

 

Durant les semaines qui suivirent les deux jeunes hommes ne s’adressaient pas une seul fois la parole, en faite Benoit ne vit pas Jérôme une seul fois, le blond quand à lui observé son frère partir tout les matins, il aller alors ce doucher et ce baladé un peu pour faire le vide puis il retourné s’enfermé dans sa chambre.

Tout les soirs il le regardait partir et attendait debout devant la fenêtre le retour de son amour, et son cœur ce briser un peu plus encore lorsqu’il le voyait rentrait avec un autre homme. Et il avait l’impression de nourrir lorsqu’il les entendait faire l’amour. Son frère lui manqué, sa voix lui manqué, il aurait voulut lui parlais, le toucher l’embrassé. Mais il ne voulait pas de lui.

 

 

-…vous étiez bien sur le répondeur de James je me suis pas la pour le moment laisser un message.James je sais que tu n’as pas envi de me parlais mais il ni à qu’à toi que je peu le dire. J’ai décidé de tout lui dire, j’en ai marre de le caché, j’en ai marre de me caché peut être qu’il va ne rejetait mais je veux essayer. J’aurais voulut en parlais avec toi mais tu ne déteste peut être qu’après en pourra redevenir ami tout les deux. Voila. Je suis désolé pour tout James.

-


Il raccrocha et ce laissa tombé sur son lit fatigué, c’était la seul solution. Il avait bon réfléchir il devait lui dire peu être que de l’entendre dire qu’il ne partagé pas ses sentiment lui permettrait d’enfin tourné la page et peu être qu’après sa il pourra renouer avec James. L’amour et un sentiment bien trop douloureux. Il aurait voulut pouvoir en parlais avec James il était le seul à qui il pouvait parlais de ses sentiment mais il ne voulait plus entendre parlais de lui. À Chacune de ses tentative il le l’ignoré. Après tout il l’avait bien cherché, il ne m’avait pas été un ami exemplaire.

 

 




Ce soir là alors que Benoit était enfermé dans sa chambre avec un autre mec, Jérôme revenais des toilettes alors qu’il passait devant la chambre de son frère il entendit une phrase qui le cloué sur place.

- va-y beauté baise moi.

- non, je veux que ce soit toi qui ne prennes.


Sans plus réfléchir il ouvrir la porte à la volé, il choppa l’inconnu par le bras pour le jeté dehors lui balançant ses affaires à la gueule. Avant de refermé la porte à clé s’appuyant contre le bois, son cœur battée à une vitesse folle, il fixait son frère allongé sur le lit en boxer passablement excité.

Benoit voulut dire quelque chose mais il n’en eu pas le temps. Il venait de monté sur le lit et s’approché de lui à quatre patte s’installant sur son bassin. Le plus jeune ne comprenais absolument plus rien, il ce senti frémir de plaisir lorsqu’il senti la main de Jérôme ce poser sur sa joue la caressant avec douceur. Et il posa ses lèvres sur les siennes avec encore plus de douceur. Il crut tout deux en mourir de plaisir, ils en avaient rêvé si souvent et enfin ils pouvaient gouter aux lèvres si désiré de l’autre. À la surprise de Jérôme il ne le repoussa pas au contraire il le laissa forcé le passage de ses lèvres pour allez jouer avec ses lèvres. Il ce laissa aller au baiser que lui offrait le plus âgé, remplis d’amour et de tendresse, jamais personne ne l’avait embrassé de la sorte. Il noua ses bras autour de son coup, ce pressant d’avantage contre lui. Jérôme fit glisser ses mains le long du corps de son cadet jouant avec ses tétons dresser par l’excitation.

 

Dés qu’il ce séparaient pour reprendre leurs souffle Jérôme repris aussitôt ses lèvres ne voulant pas en perdre une seul seconde. Il aimé temps ses belles lèvres qu’il ne voulait plus les lâché.

- à quoi…tu joué la Jérôme ?

Il ne répondit rien bien trop occuper à parsemé son torse de baiser, de coup de langue, il le fit gémir de plaisir lorsqu’il s’attaqua à ses tétons, il posa sa main sur le sexe de benoit recouvert du simple boxer. Il commença à le caressait continuant de l’embrassé. Benoit lui redemanda pourquoi il faisait ça mais il ne répondit rien. Il lui retira son boxer et prit son sexe en main, le contact de ses doigts sur son sexe le rendait totalement fou. Il ni comprenait plus rien mais il ne voulait pas penser, juste profité de cette instant qu’il avait tant souhaité voire arrivé. Il sursauta lorsqu’il senti la langue du blond sur son sexe, il voulut ce redresser mais la main de l’ainé l’en empêché. Alors il le laissa faire criant de plaisir lorsqu’il le prit en bouche. Il crispa ses doigts sur les couvertures gémissant de plaisir sous ses douces caresses il faisait sa si bien. Jérôme le regardait, il le trouvé tellement beau lorsqu’il prenait du plaisir, les yeux fermé la bouche entre ouverte, les joues rougie. Il prenait un plaisir certain dans la bouche de l’ainé qui lui aussi prenait un certain plaisir à l’avoir dans sa bouche, bien plus qu’il ne l’aurait crut. Lorsque Benoit ce sentis venir, il essaya de le faire lâché mais le blond continua de le sucer jusqu’à ce qu’il ce déverse entre ses lèvres, Benoit ce cambras de tout son long criant son plaisir avant de ce laissait retombé sur le lit à bout de souffle. Il poussa un cri de surprise lorsqu’il senti la langue de Jérôme allait caressait son entré intime. Il la faisait tourner autour de son orifice avant de la faire entré en lui, Le faisant gémir de plaisir. Il la faisait entré et sortir encore et encore, le rendant fou de plaisir. Il ne sentit même pas les doigts de Jérôme le pénétré. Il savait y faire. Il bougé de lui-même sur ses doigt qui lui procuré un plaisir fou. Jérôme essayer de le détendre le plus possible avant de remonté l’embrassé avec douceur.

-

 

Il lui fit relevait le bassin, Benoit enroula ses bras autour de son cou et ses jambes autour de son bassin. Il commença à le pénétré avec la plus grande douceur faisant attention à ne pas lui faire mal. Il s’arrêta lorsqu’il gémissait de douleur.

- continu Jérôme…ce n’est pas si douloureux que sa…continu…s’il te plait.

Lorsqu’il fut totalement en lui il s’arrêta, il le laissa s’habituer à sa présence en lui, puis il ce mit à bougé doucement. Lorsque la douleur laissa place au plaisir, il lâcha le coup de son ainé ce laissant retomber sur le lit criant de plaisir comme il n’avait encore jamais crier. Jérôme avait vraiment du mal à croire qu’il pouvait enfin faire l’amour à l’homme qu’il aimé plus que tout. Et c’était quelque chose d’incroyable. Il n’avait encore jamais prit autant de plaisir et entendre le brun gémir de plaisir sous ses coup de rein le remplisse de joie.

- Jérôme…c’est bon…Ahhh…

 

Ils avaient tout les deux rêvé de cet instant si souvent. Leurs deux corps en sueur bougé en cœur, il ne formé plus qu’un seul être. Le plaisir était telle qu’ils avaient la sensation d’être en feu. Ils n’avaient encore jamais éprouvé un tel plaisir.

 

Lorsqu’il le senti proche de la délivrance Jérôme empoigna le sexe tendu de son cadet pour le caressé intensifiant son plaisir, Benoit enfonça ses ongles dans le dos de son frère et son visage dans son coup criant tout son plaisir alors qu’un plaisir son mon le terrassa. Il ce resserra autour du sexe figé en lui faisant jouir Jérôme à son tour. Ils s’écroulaient tout deux sur le matelas à bout de souffle. Jérôme repris aussitôt ses lèvres. Jérôme n’avait pas ouvert la bouche et il continuait de gardait le silence à quoi bon parlais. Lorsqu’il ce retira il n’oser pas ouvrir les yeux de peur de la voir partir après avoir eu ce qu’il voulait. La il devait vraiment le prendre pour une pute. Il ouvrir de grand yeux étonné pour voir Jérôme qui venait de s’empalé sur son sexe le visage déformé par la douleur, il ce tombé sur son torse le souffle court et le corps douloureux.

- tu es totalement fou toi. Il fallait te préparé avant….arrête Jérôme je ne veux pas te faire mal.

Mais il ne l’écouté pas remontant un peu, pour redescendre sur son sexe. Le brun ce redressa pour le serré dans ses bras lui caressant le dos avec douceur caressant ses lèvres des siennes. Ils mêlaient leurs langues dans un baiser tendre et aimant. Jérôme ce mit à bouché sur le sexe tendu de son brun, la douleur ce calma un petit peu, et le plaisir envahit doucement son corps. Benoit renversa la situation pour ce retrouvé sur lui sans lâché ses lèvres. Il était entrain de passé un moment magique, Jérôme qui ce disait cent pour cent hétéro avait été le premier à le prendre et à présent il ce laissait prendre par lui. Il avait envi de pleurait tellement il était heureux. Il devait être en plein rêve. Il était sur d’après ça il allait ce réveillé et ce retrouvé seul dans son lit. Alors il aller profiter de cette instant. Il caressait chaque parcelle du corps de son amant, son torse, son dos, ses bras ses jambes, son visage, il voulait graver en lui chaque seconde de cette instant, ne rien oublier. Et le blond faisait la même chose voulant ce souvenir de Chaqu’un de ses courbes. La jouissance arriva alors qu’il ce fixait avec intensité. Avant de s’écroulé l’un sur l’autre à bout de souffle.

- pourquoi avoir fait ça ? Demanda Benoit dans un souffle rauque à force d’avoir tant crier.

 

 

Jérôme ne répondit rien le serrant contre lui il l’embrassa avant de s’endormir sous le regard protecteur du cadet. Benoit le serra dans ses bras, s’endormant blottis contre son torse. Heureux de ce qui c’était passé et incertain pour la suite. Jamais il ne c’était sentis aussi bien qu’à cette instant dans les bras de cette homme.

 

 

 

 

 et voila ils en enfin franchi la cap, j'éspére que ce lemon vous aura plus. donné votre avis. demais les dermiers chapitre.

 

 

 

 

 

 

 

 

Jérôme…aaah…prend moi.
Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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Mercredi 20 janvier 3 20 /01 /Jan 20:23
 

 

 

 

 

 

 

CHAPITRE 11 :

 

 

 

 

Encore une fois Jérôme était entrain d’attendre son frère adosser au mur du couloir. Leurs parents dormaient à l’étage. Depuis qu’il avait rompu avec Damien le cadet sortait tout les soirs et ne rentrait jamais avant les deux, trois heures du matin. Et à chaque fois Jérôme l’attendait, et le brun refuser de répondre à ses questions. Mais ce soir il avait intérêt de lui donné des explications à ses sortis nocturne.

La porte s’ouvrir enfin et Benoit rentra dans la maison, il vit son frère mais il passa à côté de lui comme s’il n’était pas là. Le blond le retenais par le bras pour le forcé à lui faire face le plaquant contre le mur pour qu’il ne s’échappe pas.

- où était tu ? Il est trois heures du matin.

- cela ne te regard pas.

- où était tu ?

- je suis allé faire ma pute.

- tu…tu t’es fait baiser ?

- non tu devais avoir raison. Personne ne veut foutre sa queue dans mon cul. C’est la mienne qu’il préfère dans le leurs.

- tu as décidé de te faire défoncer par le premier venu ?

- tu as tout compris grand frère.

À ses mots l’ainé sentis son cœur ce serré et la colère monté en lui, il le retourna face contre le mur ce pressant contre lui, faisant glisser sa langue dans son coup. Avant de lui mordillait l’oreille.

- je devrais peut être m’en occuper. Je pourrais défoncer ton petit cul de pute. Dit moi combien prends-tu pour te prendre une bite dans le cul. Tu fais peut être sa gratuitement. Dit et tu vraiment vierge où bien ouvre tu les cuisses des que tu vois une queue. J’avais raison dés le début tu es bien une pute.

Benoit réussit à ce défaire de sa prise lui faisant face le regard froid et emplis de haine. Sa avait pourtant commencé à s’amélioré entre eux alors pourquoi ?

- oui je suis une pute. Pense ce que tu veux j’ai arrêté de compté le nombre de queue que je me suis prit dans le cul. Alors te gène pas, va y sert toi. Je sais que t’en meurt d’envi. Tu meurs d’envi de me baiser depuis que tu sais que je suis gay. A si non pourquoi me faire de telles scènes de jalousie. Tu pas ton temps à me faire des propositions. TU VEUX QUE JE TE SUCE ? TU VEUX ME DEFONCE MAIS VAS-Y ESPECE D’HOMO REFOULE. TU ME DEGOUTE.

Jérôme lui envoya son poing dans le visage et il regretta aussitôt son geste il avait eu si mal, il voulait juste le faire taire mais pas de cette façon. Il voulut le touché mais le plus jeune s’écarta aussitôt de lui le fixant avec plus de haine encore.

- tu…tu ne comprends rien Benoit. Tu n’as jamais rien compris. J’essaye de faire des efforts et toi…

- quoi moi ? Je ne suis pas cessé de faire des efforts. Je t’ai laissait me traité de pute, je t’ai laissait me trainé dans la boue. Et quand tu me demandé un service je te l’ai toujours rendu. De toutes façon toi et moi on me pourra jamais s’entendre. On et bien trop différent, on est obligé de vivre sous le même toit mais pas de s’apprécier à partir d’aujourd’hui on va ce parlais et ce voire le moins possible. Je ne m’occupe pas de ta vie et tu en fais de même. On ne serra jamais rien de plus que deux étranger obligé de vivre sous le même toit.

Le blond resta sont réaction, il ne pouvait pas le croire il avait mal entendu.il ne voulait pas, il voulait tant faire parti de sa vie. Les parents des deux jeunes hommes étaient descendu alerter par les cris de leurs enfants. Le brun détourna les talons pour montais à l’étage, Jérôme ne fit rien pour le retenir. Sa mère le suivit alors que le blond sentis le sol ce dérobé sous lui et il s’écroula à bout de force. Il était telle une coquille vide, il ne réagissait même pas lorsque son père lui parlais.

- Jérôme fiston qu’es ce qui ce passe à la fin ?

-…

- répond moi ?

-….

- sa va s’arrangé.

Il ne parlait pas il ne répondait pas. Il c’était totalement refermé sur lui-même, le regard vide rivé dans le vide. Il était totalement perdu. À présent tout était perdu, il n’y avait plus aucun espoir pour lui. Benoit ne l’aime pas et ne l’aimerait jamais.

 

 

- benoit tu n’aurais pas du lui parlais comme ça.

- maman laisse moi s’il te plait, j’ai besoin d’être seul.

- très bien on en reparlera plus tard.

Katie sorti laissant son fils seul et il laissa enfin aller sa tristesse. Il ne pensé pas ce qu’il venait de dire mais les paroles du blond lui avait fait mal et le coup de poing avait fini de l’achevé alors il avait déversé tout son venin. Et sa lui à fait aussi mal qu’à Jérôme. Mais c’était nécessaire il ne faisait que ce faire du mal. Alors il fallait mieux mettre un terme à tout cela.

 

 

- Benoit qu’es ce qui t’arrive ?

Benoit venait d’arrivé au lycée et c’était écroulé dans les bras de son meilleur ami en larmes il avait si mal.

- c’est fini…je lui ai dit que je voulais qu’il sorte de ma vie…je le déteste pourquoi es ce qu’il ne déteste autant ?

- sa va s’arrangé Benoit. Arrête de pleurait.

James le serrait dans ses bras alors que son regard croisa celui de Raphael il lui adressa un regard noir lui faisant bien comprendre de ne pas ce réjouir de cette situation. Raphael détourna la tête pour rentré dans le lycée sentant encore le regard haineux de James, les choses ne s’arracheraient jamais.

 

 

 

 

 et voila le chapitre 11. j'espère qu'il vous à plu. es ce que c'est vraiment fini ? vous le serraiez en lisant la suite. bis

 

 

 

Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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