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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

os yaoi

Lundi 22 mars 1 22 /03 /Mars 16:22

 

2 éme partie

 

 

- aaah…mon amour…al…c’est bon…encore…aaah.

Razu était dos au prince, ses deux mains contre le mur, offert au jeune prince. Il était allé au château. Sa faisait deux semaines pas venu voire le prince. Il l’avait croisé dans un des nombreux couloirs de la résidence. Il l’avait plaqué contre le mur, il avait à présent 15 ans, 8 ans que leurs relation durait et Razu était toujours le seul à être amoureux. Alan l’avait coincé dans un coin il lui avait retiré son pantalon, et son sous vêtements et l’avait pénétré avec vigueur le faisant crier de douleur et de plaisir mêlé. Il l’attrapa par les cheveux l’obligeant à tourné la tête vers lui pour l’embrassé.

- où était…tu… Razu ?

- de l’autre….aaah…côté…aaah

- ne part plus jamais sans me prévenir…n’oublier pas à qui tu appartiens…

- aaah…oui…mon prince…aaah

- à qui ?

- à toi…aaah…oui

Alan jouissait en lui, et ce retira le laissant s’écroulé sur le sol à bout de force, il ce rhabilla en le regardant avec colère.

- ce soir soit à la tour Razu.

- oui.

 

 

Aujourd’hui Alan avait 17 ans, 10 ans déjà qu’il lui avait avoué son amour et qu’il souffre de ne pas pouvoir l’avoir en entier. Et aujourd’hui il était trop tard il allait ce marier.

Tout le royaume était réuni pour célébré cette événement Airi était plus belle que jamais. Alan la fixait le regard débordant d’amour. Comme jamais il n’avait regardait Razu, ce dernier assisté à la scène le cœur en morceau, les larmes coulant le long de ses joues. Ce matin encore il était dans ses bras, il lui faisait l’amour. Mais à présent il était dans ses bras à elle. Il allait lui faire l’amour et lui il allait finir seul. Il venait de perdre son amour et c’étais si douloureux. Il le regardait s’éloigner la portant dans ses bras, le visage rayonnant. Lui il retourna dans sa tour seul, le cœur en morceau. Il s’allongea sur ce lit où pendant 10 ans il avait été son amant.

 

 

Il fut réveillé par des caresses dans ses cheveux. Il ouvrir les yeux pour tombé face à Alan. Le plus jeune le fixait en souriant, il était tellement beau, ne voyait-il donc pas le mal qu’il lui faisait.

- à tu consumer ton mariage.

- oui.

- c’était mieux qu’avec moi ?

- c’était différent.

- que fait tu la lors de ta nuit de noce.

- je venais te voire.

- et maintenant ?

- c’est fini Razu. C’Est-ce qui était prévu dès le début c’est elle que j’aime. Je ne veux plus la trompé.

- tu as bien mûri. Alors je te dis adieux. Et sache que je t’aimerais toujours.

 

 

 

Alan entra dans les ruines, il venait chercher Razu pour qu’il vienne dîner au château mais tout ce qu’il trouva en entrant dans la chambre ce fut les cheveux coupé de son ex amant sur le sol. Dernière trace de son cousin. Il était parti, et tout était de sa faute. À cet instant il sentit un vide l’envahir.

 

 

Le prince Alan dormait d’un sommeil agité dans la plus belle chambres des ruines. C’est ici qu’il venait ce réfugié lorsqu’il allait mal, cherchant un réconfort qu’il ne pourrait plus jamais avoir. Tout sa à cause de sa bêtise. Sa faisait 20 ans aujourd’hui que Razu avait quitté le royaume et qu’il avait disparut. Il était introuvable.

 

 

Un grand brun était assit sur la berge de l’étang son regard triste était perdu dans le lointain. 20 ans déjà qu’il vivait ici, seul. Il n’allait au village que très rarement. Il mené une vie d’Hermite qu’il lui convenait parfaitement.

 

- 20 ans que je te cherche. On peu dire que tu n’as fait sué.

Razu sursauta sortant de sa contemplation et crut bien devenir fou. Pourquoi était-il ici ? Il devait rêver il ni avait pas d’autre explication. Durant dix ans il c’était servi de lui avant de le jetait comme une merde lui brisant le cœur et il ce présente devant lui alors qu’il n’as de cesse de vouloir l’oublier.

- va-t’en d’ici tout de suite. Tu la dit toi-même tout les deux c’est fini alors tu n’as rien à foutre ici. Rentre cher toi. Va donc rejoindre ta femme.

- Razu.

Alan l’allongea sur le sol ce plaçant sur son bassin il voulut l’embrassé mais le brun le repoussa avec force en ce relevant. Il ne voulait pas qu’il le touche il e voulait pas retomber dans ses bras. Il n’avait que bien trop souffert.

- à quoi tu joue merde ? Ta femme ne te satisfait pas. Tu as besoin de baiser un mec. Elle ne veut pas que tu la défonce alors tu t’es dit allons voire Razu lui il écarte si facilement les cuisses. Sa chatte n’est pas assez serrée ? Elle suce mal ? Merde je croyais que tu ne voulais plus la trompé. Rentre chez ta femme.

- je ne partirais pas tant que je n’aurais pas ce que je veux.

- cette fois-ci je n’écarterais pas les cuisses parce que tu ne le demande. J’en ai assez d’être ta pute. Rentre chez toi merde.

- Razu fait moi l’amour.

- va retrouver…qu’es…qu’es ce…tu as dit…

- fait moi l’amour.

Razu ce retourna vers le plus jeune. Il sentit son cœur éclaté lorsqu’il le vit totalement nu devant lui, le fixant avec ce regard qu’il avait tant souhaité qu’il lui adresse un jour. Alan l’attrapa par le bras pour l’attiré à lui.

- 20 ans loin de toi c’est trop long. Bien trop long. Jamais je n’aurais cru que tu puisses autant me manqué. Tout les jours j’allais au ruines dans l’espoir de te voire y revenir. Je dormais dans notre lit, priant pour que tu sois la à mon réveille. Pouvoir à nouveau sentir tes lèvres sur les miennes, ton corps contre le mien, tes caresse.

Alan lui murmurait ses mots avec douceur à l’oreille. Alors que ses mains glissé sur son corps le délestant de ses vêtements.

- ne me laisse plus jamais seul Razu. Être loin de toi c’est insupportable. Il a fallut que je te perde pour n’en rendre compte.

Il n’arrivé pas à y croire sa ne pouvait être vrai. Alan posa ses lèvres sur les siennes et ils crurent tout deux en nourrir de plaisir sa faisait si longtemps. Il s’allongea sur le sol, l’attirant entre ses cuisses.

- vient Razu…vient en moi. Je t’aime.

- je ne te crois pas.

- tu sais Jeile cette abruti ma lancé un nouveau sort. Je ne peux plus mentir. Il y a deux jours j’ai dit devant tout le monde ce qui c’était passé entre nous deux. Et que c’est toi que j’aimais.

- comment veut tu que je te crois. Tu es toujours marier. Tu as toujours cette marque qui t’attache à elle.

- parce que c’est toi que j’ai choisis. Je t’en supplie crois moi mon amour.

Razu fut surprit de le voire pleurait. C’était la première fois qu’il le voyait pleurait. Et il sentit son cœur ce serré. Alan glissa ses bras autour de son cou posant ses lèvres sur celle de l’ainé.

- fait moi l’amour et vite où je vais nourrir. Serre moi contre toi et ne me lâche plus.

 

 

 

Razu lui avait fait l’amour, ils étaient resté un mois seul réapprenant à ce connaitre. Profitant de la solitude pour s’aimais sans retenu mais il avait bien fallut que le prince retrouve son royaume et le moment était venu de faire face à son peuple et Alan ce dressa devant eux de toutes sa hauteur les défient de le jugé. Il tenait la main de Razu dans la sienne qui était à ses côté.

- à présent c’est avec cet homme que je vivrais parce que je l’aime. Jamais je ne pourrais l’épousé mais je veux passer le restant de ma vie avec lui.

Razu en avait pleurait de bonheur. Depuis ce jours la il vivait heureux dans les ruines.

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : os yaoi
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Samedi 20 mars 6 20 /03 /Mars 09:57
coucou je met un petit os sa faisait longtemps. bref celui si et en deux parti. la premier aujourd'hui et l'autre demain. c'est un os sur le manga Meru puri pour cequi connaisse. c'est entre Alan. je l'adore trop beau^^( ravale la bave) et Razu lui aussi trop beau. dans le manga ils ce déteste mais la....à vous de voire. sa connance au moment au Razu et dans la tour en ruine avce Airi (elle je l'aime pas parce qu'elle sort avec Alan) et que Alan la rejoint et bla blabla. trop long à espliqué. bisous et bonne lecture.

 

1 er parti


shitajiki merupuri1





L’amour et plus fort qu’un sortilège Airi et Alan venait de le prouver Razu les regardait m’arrivant pas à y croire, cela ne pouvait être vrai. Elle avait brise la boite.

 

- pourquoi ?

Airi et Alan ce tournaient vers Razu étonné par sa question, le brun tremblait de colère.

- pourquoi ? Répétait-t-il. Pourquoi avoir risquer ta vie pour elle ? Demandait-t-il en la désignant du doigt.

- je l’aime. Répondait Alan en la regardant avec tendresse. C’est la femme de ma vie.

- tout ça n’a servit à rien. Ce n’est pas possible. Sortaient de cette tour.

Il détournait les talons pour monter les escaliers, il entrait dans sa chambre. Il ce laissait tombé sur le lit. Ça avait encore échoué. Même cette boite n’avait pas suffit à les séparé c’étais bel et bien fini, il ni avait plus aucune change.

 

 

Sa faisait des jours des semaines que personnes n’avait vu Razu, il ne faisait plus parler de lui, ce qui était très étonnant. Il ne cherchait plus à séparer Airi et Alan, le châtain avait décidé de partir à sa recherche. Ce n’était pas dans son habitude de disparaitre comme ça. La dernière fois qu’il l’avait vu c’était au ruine peut être y était-il toujours. Il entrait dans le palais qui était plongé dans le noir ce qui le fit grandir lui donnant l’apparence d’un jeune homme de 17 ans.

- eh merde fait chier ce truc.

Il montait les marches il ouvrit une à une toutes les portes du premier étage, puis il fit le second étage, puis le troisième. Il arrivait devant la dernière porte et l’ouvrir. La chambre était petite lugubre, insalubre, jamais Razu ne ce serrait installé ici.

Il allait repartir mais ce ravisait lorsqu’il entendit du bruit. Il allumait et trouvait le brun allonger sur le lit fixant le plafond en silence.

- qu’es ce que tu fais là ? Sa fait des jours que l’ont te cherche.

- …

Alan s’approchait de lui l’attrapant par le bras pour le faire ce redresser. Il semblait ne pas c’être laver depuis des jours. Lui qui à l’habitude était si propre sur lui, la il était crasseux, les cheveux gras et emmêler. Il était pâle et le regard vide.

- Razu merde à quoi tu joue là ?

- …

- allez vient. Il faut te lavé.

Alan le soulevait le jetant sur son épaule. Razu ce laissait faire sans la moindre résistance. Alan le portait jusqu’à la salle. Elle était immense et magnifique. Il fit couler de l’eau dans l’immense baignoire avant de ce retourné vers Razu qui n’avait pas encore bougé d’un pouce, il soufflait de lassitude avant de retourner vers lui. Il entreprit de le dévêtir.

- j’aurais jamais cru te voire comme sa un jour.

Il le soulevait pour le porté jusqu’à la baignoire le plongeant dans l’eau.

- Razu qu’es ce qui t’arrive à la fin.

- …

- Razu. Répond moi.

- tu es heureux ? Demanda-t-il subitement étonnant le plus jeune.

- de quoi tu parle là ?

- avec Airi tu es heureux ? Tu es heureux de me voire souffrir. Ca te fait plaisir de me voire dans un état aussi pitoyable ? Tu dois bien jubilé.

- mais de quoi tu parle là ? Tu crois vraiment que sa me fait plaisir de te voire comme ça ? Je veux t’aidé alors explique moi.

- je ne peux pas lutter contre un amour comme le votre.

- tu es amoureux d’AIRI c’est ça ?

 

Razu ne répondait rien, il prenait l’éponge pour ce lavé le corps ce délestant de la crasse. Il plongeait sous l’eau pour rincé ses cheveux, avant de nageait à l’autre bout de l’immense baignoire pour sortir de l’eau. Le corps dégoulinant d’eau brillant sous les rayons de la lune. Il était vraiment beau. Magnifique, son corps élancer, finement muscle. La peau hâler qui donné envie de le dévoré.

Il ne prit même pas la peine de s’essuyais où de s’habiller, il sorti de la pièce laissant un Alan totalement perdu. Il ne comprenait plus rien, ni l’attitude du brun, et encore moins pourquoi il était excité à la vue du corps nu de son cousin. Il ce relevait et partait à la recherche de son cousin.

Il le trouvait dans la plus belle chambre de la tour, le lit était immense et Razu y était allongé totalement nu, sous la lumière de la pleine lune il était vraiment sublime. Alan allait s’assoir à côté de lui faisant glisser ses doigts dans ses doux cheveux qu’il avait fait sécher par la magie. Ils étaient vraiment magnifique ses cheveux.

- je te préférais avec les cheveux long Razu. Murmurait le prince dans un souffle.

C’est alors qu’il vit les cheveux brun poussé doucement jusqu’à la taille qu’ils avaient avant. Alan s’allongeait à côté de lui, faisant glisser ses doigts sur sa joue. Razu fermait les yeux le laissant faire. Alan faisaitglisser ses doigts le long de son torse. Il fixait ses propres doigts qui caressaient ce corps si tentateur, il ne savait pas ce qu’il faisait il en avait juste envi. Il ne ce contrôlé plus, il le fixait avec une envi dévorante. Razu laissa échapper un gémissement lorsque les doigts d’Alan frôlaient son sexe. Qui commençais à durcir sous ses caresses. Alan posa son regard sur son visage alors que le brun tournait la tête vers lui. Plongeant son regard dans le sien. Ils étaient si proche l’un de l’autre, leur souffle s’entremêler.

Razu posa sa main sur le torse du plus jeune et entrepris de le détaché un à un les boutons de sa chemise, il s’arrêta lorsqu’il vit la marque sur sa poitrine. Il s’écarta de lui, lui tournant le dos. Son cœur lui faisait si mal à la vision de cette marque.

- ne fait pas ça Alan.

- de quoi ? Demanda-t-il en faisant glissé ses doigts le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la naissance de ses fesses. Le faisant frémir.

- ne me touche pas comme ça. Comme si j’étais important pour toi, alors que tu appartiens à quelqu’un d’autre.

- peu être mais j’en ai envi.

- es ce donc moi j’ai envi tu t’en contre fiche. Tu es tellement égoïste, tu la toujours étais. Tu ne comprends donc pas.

- non.

- je t’aime Alan, je suis fou de toi. Et je ne pourrais jamais avoir ton cœur.

Alan ouvrait de grand yeux étonner a ses mots. Ce n’était pas possible, Razu l’avait toujours détesté alors pourquoi disait-il cela maintenant.

- alors contente-toi de ce que je peu t’offrir. Répondait Alan en ce collant contre son dos, lui faisant comprendre son excitation. Razu fermait les yeux tremblant de plaisir, de bien être alors que Alan repris dans un murmure. Finalement le sortilège de Jeile et utile, avec mon apparence de 7 ans je n’aurais pas put te faire ce que j’ai envi de te faire

- tu veux me baiser c’est ça ? Alors va y fait le, je m’en contre fiche puisque de toutes façon c’est la seul chose que j’aurais de toi.

Razu l’entendait ce déshabiller et il revenait s’allonger contre lui, Razu fermait les yeux essayant de retenir ses larmes. Alan le serrait dans ses bras l’embrassant dans le coup le faisant frémir de bien être. Il ce frottait contre lui, lui faisant sentir son trouble.

- j’ai terriblement envi Razu mais je n’ai pas le temps. Je dois rentrer. Je reviens te voire demain dans la journée.

- oui. Répondait le brun dans un souffle. Alan l’embrassait une dernière fois et ce levait, ce rhabillant et sorti de la chambre. Razu remonta le drap sur son corps et laissa couler ses larmes. Le prince était en train de joué avec son cœur et il serrait le seul à en souffrir.

 

 

Razu fut réveillé par de douce caresse sur sa joue. Il ouvrait les yeux pour tombé face à Alan allonger à ses côté qui le fixait en souriant, il avait sans apparence d’enfant ce qu’il voulait dire qu’il avait vue Airi. Razu ce levait dévoilant son corps quelques secondes aux yeux de Alan avant d’enfilait une longe tunique qu’il attachait.

- que fais-tu ici ?

- je t’ai dit que je reviendrais.

- pas aussi tôt il est à peine dix heures. Tu as passé la nuit dans les bras d’Airi.

- bah non, elle m’a juste embrassé ce matin pour que je reprenne mon aspect.

- et après tu viens me voire.

- tu es jaloux.

- non bien sur que non. Je n’ai pas à être jaloux. Tu devrais aller la rejoindre.

- je…

- va-t’en Alan. S’il te plait.

- je reviens ce soir et je ne partirais pas sans avoir eu ce que je veux.

- et qu’es ce que tu veux ?

- toi nu contre moi, moi en toi. C’est ça que je veux.

- tu veux me baiser.

- non je veux te faire l’amour, ce soir quand j’arrive je te veux nu sur ce lit. Si ce n’es pas le cas je risque d’être très méchant.

- je ne suis pas t’as servante.

- je suis le prince de ce royaume tu ne doit obéissance.

- va te faire foutre, ce soir je ne serrais pas là.

- c’est toi qui va aller te faire foutre.

 

 

Lorsque Alan rentra dans la chambre ou Razu devait l’attendre. Il avait l’apparence d’un adolescent de 17 ans, il était sublime vêtu tout de blanc. Il fut énervé de ne pas le trouvé allongé sur le lit comme il le lui avait demandé. Il cherché vraiment à le provoqué.

Il le trouvait debout devant la fenêtre. Il s’approchait de lui énervé et le choppait par le pan de sa chemise le lui arrachant le mettant à nu le poussant en avant. Razu posait ses mains sur le rebord de la fenêtre la tête baisser. Alors qu’il ce pressait contre lui, caressant son corps avec envi, le brun ce laissait faire en silence, il ce sentait tirer en arrière et Alan le poussait sur le lit il ce plaçant sur son bassin. Il prenait son menton entre ses doigts pour le forcer à le regardait. Il fut étonné de le voire pleurait, c’était la première fois qu’il le voyait pleurait.

- pourquoi pleures-tu Razu.

- parce que je t’aime et que pour toi je ne suis qu’un trou à baiser.

- je te l’ai dit que je voulais te faire l’amour. Désolé d’avoir été si violent. mais je n’en peux plus. Laisse moi te possédé cette nuit Razu. Offre-toi à moi.

- juste pour cette nuit ? Demanda-t-il avec tristesse.

- non pour toutes les autres aussi.

- qu’es ce que je dois comprendre ?

- j’aime Airi. Elle est celle avec qui je veux passer le reste de ma vie. Mais toi je te voudrais comme amant.

- tu n’es même pas encore marier, tu n’as que sept ans et tu la trompe déjà.

- tu m’aime ? Demanda-t-il dans un souffle à son oreille.

- oui mais te partagé je ne peux pas…c’est au dessus de mes forces.

- tu es le seul à qui je fais l’amour elle vaut attendre notre mariage. Et de toutes façons on ne peut pas parce qu’à chaque fois qu’elle m’embrasse je reprends mon apparence d’enfant et ce n’est pas vraiment super pour faire l’amour. Avec toi il ni as pas de problème.

Razu sentait son cœur ce serré c’étais juste pour sa. Même s’il disait le contraire tout ce qu’il voulait c’était le sauté. Et lui il allait le laissé faire parce qu’il est éperdument amoureux de lui.

- c’est juste par intérêt.

- j’en ai tellement envi Razu.

Alan prenait son visage entre ses mains posant ses lèvres sur les sienne avec douceur. Razu fermait les yeux le laissant faire. Il aimait ses lèvres, son corps contre le sien. Il n’avait pas la force du le repoussé. Il ne pouvait pas. Il ce faisait mené par le bout du nez par un gosse de 7 ans.

Il l’aimait alors il le laissait ce servir de lui. Alan faisait glisser ses lèvres le long de son torse le faisant trembler de plaisir. Il le rendait totalement fou. Alan embrassa le gland rougi qui n’attendaient que lui.

- arrête…Alan…ne fait pas…ça…

- chut j’en ai envi. Je t’ai dit que je voulais te faire l’amour.

Il avalait le sexe tendu de celui qui allait devenu son amant. Le suçant avec douceur le faisant gémir de plaisir. Il le suçait tout en faisant glisser ses doigts le long de ses cuisses ouvertes à son intention. Alan le fixait prenant du plaisir à le suçait il aimait le sentir en lui plus qu’il ne l’aurais cru. Il le sentait ce déversé entre ses lèvres après de longe minutes. Il relâchait son sexe le fixant en souriant, alors que Razu avait encore les yeux fermé, tremblant de plaisir. Il attrapait le plus jeune par la nuque pour l’attirait vers lui pour l’embrassé avec passion. Il inversait la position pour ce retrouvé sur lui, plongeant son regard dans celui de son amant.

- je t’aime Alan. Murmura-t-il.

Le brun ce contentait de lui sourire faisant glissé ses doigts dans les cheveux de son cousin le faisant frémir. Il redressa pour pouvoir aller embrasser ses lèvres. Razu ce défaisait de ses lèvres pour faire glissé les sienne le long de son cou, le faisant gémir de plaisir. Il ferma les yeux ce laissant aller sous ses douces caresses. Razu fit glisser ses lèvres le long de son torse, il s’arrêta à la hauteur de sa marque, le seul endroit qu’il ne pouvait pas embrassé, il pouvait avoir chaque centimètre de sa peau à part cet endroit. Alors il ce contenta de posé son oreille écoutant son cœur battre.

- ton cœur bat vite mon amour.

- c’est de ta faute. C’est agréable ce que tu ne fait.

- alors je continue.

- oui. Répondit-il dans un souffle.

Il continuait de découvrir son corps. Il arriva à son sexe il voulait tant le gouté. Il le prit en bouche avec douceur. Mais Alan le fit très vite arrêté attirant son visage à ses lèvres. Ce qu’il voulait c’était le possédé.

Il reprit le dessus et le fit crier de douleur lorsqu’il le pénétrait.

- Razu…je t’ai fait mal ?

- bien sur idiot je ne fait pas baiser tout les jours.

-…

- c’est bon…va y…

- je te l’ai déjà dit Razu je ne te baise pas, je te fais l’amour. Je suis désolé…c’est la première fois…la prochaine fois je ferais plus doucement.

Le plus jeune l’embrassait à nouveau ce mettant à bougé en lui jusqu’à ce qu’il s’habitue à sa présence en lui. Razu y prit vite du plaisir, il s’accrochait à lui de toutes ses force criant de plaisir, le suppliant de continuais, d’y allez plus fort, de ne pas s’arrêté.

- Razu…aaah…c’est si bon…aaah…d’être en toi…aaah

- alors t’arrête….pas…aaaah….c’est si bon…aaah mon amour…

Ils jouissaient ensemble s’écroulant l’un sur l’autre à bout de force. Razu referma aussitôt ses bras autour de son amant le serrant avec force contre lui.

- reste avec moi cette nuit s’il te plait ne part pas après avoir eu ce que tu voulais.

- je reste j’ai encore envi de te faire l’amour.

- alors fait-le. Si c’est la seul chose qui te fait resté à mes côté fait le autant que tu le veux.

Alan reprit ses lèvres avec douceur avant de le faire ce mettre à quatre pates sur le lit, enfonçant deux doigts en lui, en lui de

Dévorent le coup.

- j'ai envi d’essayer comme ça.

- fait ce que tu veux. Répondit-il dans un murmure s’offrant encore à lui

 

 

                                                                                à suivre

 

Par Amako - Publié dans : os yaoi
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Mercredi 10 février 3 10 /02 /Fév 00:00

La glace.

 

Cet os et inspiré du manga Five. je sais pas si vous connaiser moi j'adore ce manga surtout pour Jun et mon petit Nao. il sont toujours coller l'un à l'autre dans le manga alors voila ce qu'en déduit mon imagination tordut. nao va  va être très dépravé dans cette os. Tout le monde aime les glace surtout quand il fait une chaleur écrasant.

 

 

 

 

La glace.

 

 

  39 modifié-1

 

Il faisait une chaleur étouffante en ce mois de Mai. Jun était assit sur le toit mangeant une glace en regardant le ciel. Il n’avait pas la moindre envi d’allé en cour. Il souriait lorsqu’il entendit la porte s’ouvrir et son ange blond sorti sur le toit. Nao venait ce jeté sur lui pour l’embrassé à pleine bouche.

- je t’ai enfin retrouvé tu te caché mon amour.

- hm, il fait trop chaud en bas.

- moi aussi je veux une glace mon amour une grosse, grosse glace.

- tu veux de la mienne ?

- oh que oui. Je veux la tienne. Répondit-il un large sourire sur le visage.

Jun sursauta lorsqu’il sentit les doigts de son ange défaire sa braguette. Pour allez caresser son sexe. qu'es ce qu'il cherché à faire, en pleine journée sur le toit de l'école par une chaleur étoufante.

- bébé j’ai trop chaud là. On fera son ce soir.

- je vais arranger ça.

Il croqua dans la glace et plongea entre ses cuisses avalant sa hampe de chaire.

- oh putain c’est froid.

- tu…

- putain ne t’arrête pas. Le coupa-t-il l’obligeant à le reprendre en bouche, gémissant de plaisir sous cette bouche glacé qui lui donné les meilleurs des caresses. Il n’avait encore jamais pris autant de plaisir. Nao lui enleva la glace des mains pour l’avalé en même temps que son sexe.

- oh putain…ce que…c’est bon…aaaah…mon ange…

Nao continua de le sucé jusqu’à ce qu’il jouisse entre ses lèvres et le relâcha s’asseyant à ses côté continuant de léché la glace avec provocation.

Jun ce jeta littéralement sur lui, il lui arracha son pantalon, lui écartant les cuisses et le pénétra sans plus de préoccupation. Le faisant crier de douleur et de plaisir.

- aaah…Jun…aah.

Le brun lui lécha l’oreille avec sensualité caressant son sexe tendu par le plaisir.

- continue de sucé ma glace mon ange déchut. Dés fois t’es une belle petite salope tu sais sa mon amour.

- hm, ce contenta-t-il de gémir toujours occupé à sucé sa glace, alors que son petit ami le prenais avec force. L’obligeant à sucé la glace. Le faisant jouir comme jamais encore.

 




Ils étaient tous assit dans la classe à parlais de choses et d’autre. Jun regardait son ange du coin de l’œil. Il fini parce levé pour allez vers lui. Il avait besoin de le prendre dans ses bras. Il glissa ses bras autour de son coup. Léchant sa nuque. Le petit blond ce mit à sourire au souvenir de ce qui c’étais passé sur le toit il y avait quelques heures.

- j’ai chaud Nao.

- alors allons chercher une glace mon amour. Répondit-il d’une aire provoquant.

-une glace à la crème ?

- oui une énorme glace à la crème.

Ils partirent sous le regard étonné de leurs amis. Et ce soir là ils managèrent bien plus qu’une glace.

Par Amako - Publié dans : os yaoi
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Lundi 1 février 1 01 /02 /Fév 16:24

long os sur de beau militaire. qui n'as jamais fantasmé sur de beau pilote de notre marine nationnal. j'espère qu'il vous plaira. en attendant la suite d'un amour de piratre qui arrivera sans doute demain.



 

 

Monsieur, oui monsieur.

 

Personnage : - Devan. Narrateur pilote.

- Benoît capitaine

- tomas second du capitaine.

 

 

 

 

 

Je me souviens encore de la première fois où je l’ai vu.

 

 

Je suis pilote de chasse sur un porte avion depuis un an déjà. Je m’appelle Devan j’ai 20 ans. Je suis grand, brun aux yeux bleus ciel. Je ne souviendrais toute ma vie de la première fois ou je l’ai vu. C’étais le Jour de mon arrivé sur ce porte avion. J’étais un tout jeune pilote de 19 ans. Quand on m’a dit que le capitaine voulait me voire, je n’attendais à voire un vielle homme, seulement ce fut loin d’être le cas.

Lorsque je suis rentré dans le poste de commandement j’ai était frappé par la vision d’un ange. Il était la beauté incarné, plus petit que moi, blond aux yeux vert, un sourire à ce faire damé un saint. Je n’arrivé plus à détaché mon regard de cette vue si plaisante. Il c’était avancé vers moi et j’avais bien crut que mon cœur aller exploser tellement il battait vite.

- et vos manières pilotent. Garde à vous.

Je fus ramené sur la terre ferme et me mit au garde à vous. Je venais de me rendre totalement ridicule devant lui. Il était mon supérieur.

- repos.

Je l’avais écouté me parlais de mon poste, et de choses donc je n’avais rien à faire, je voulais juste qu’il me demande de lui faire l’amour la à même le sol. J’avais juste envi de lui arraché ses vêtement de l’embrassé et de faire mille folie avec son corps de dieux. L’entretien fut bien trop cour, il me fit mener à mes quartiers.

Ce jour là je suis resté des heures entiers à pensé à mon beau capitaine, si inaccessible.

 

Les jours suivant je me renseigner le plus discrètement possible, j’appris alors qu’il avait tout juste 25 ans, c’étais un génie c’est pour cette raison qu’il était déjà si haut gradé à son âge. Intelligent et beau que demandé de plus. Peu être qu’il s’occupe de moi. Qu’il me regarde, qu’il s’intéresse un peu à moi.

J’en suis même venu à apprendre son emplois du temps par cœur pour pouvoir le croisé le plus souvent possible. Mais à quoi bon il me regardait à peine. J’avais fini par perdre tout espoir et renoncé. Je n’étais pas fait pour lui et il ne s’intéressé pas du tout à moi.

 

 

J’étais gay et je ne me caché pas. J’avais eu plusieurs aventures sur le porte avion. Après tout j’avais des besoins. J’aurais préféré que ce soit mon capitaine qui me fasse l’amour.

 

Un an plus tard j’en suis toujours au même point attendant qu’il me remarque encore. Ce qui n’arrivera sans nul doute jamais.

J’étais assit dans la salle de réunion avec d’autre pilotes, attendant que notre capitaine vienne nous donné nos ordre de mission. Il fini par entré aussi beau et froid qu’à son habitude. Il ce plaça face à nous. Il ce mit à parlé avec sa voix grave et sensuel. Elle me faisait toujours tremblée de plaisir. Je n’écouté pas vraiment ce qu’il raconté pour moi ce n’était que la plus belle des mélodies.

On gros tout ce que j’avais compris c’est que l’ont devait survoler une zone dangereuse pour photographier les lieux. On partirait des la nuit tombé en attendant en pouvait rejoindre nos cabine.

 

 

- aaah…Tom…plus fort…aaah…

J’étais allongé sur le bureau de ma cabine le cul en arrière me faisant prendre par Tomas , un de mes supérieur, à vrai dire c’est le bras droit du mon capitaine. Lieutenant de vaisseaux. Faute de mon bel amour il y avait tomas. C’était un amant régulier. Il était vraiment doué, il était marier et avait des enfants mais sa ne l’empêché pas de ce payer du bon temps avec moi.

- putain…Devan…aah…t’es vraiment trop bonne.

- aah…plus fort…tu mollis là…aaah.

- putain…je vais si bien te défoncé le cul que tu ne pourras pas t’assoir dans ton avion…petite pute.

- va-y…aaah…je demande que ça…

Il m’attrapa par les hanche pour me baiser avec plus de force, me faisant crier de plaisir, et lui aussi me tenté pas de retenir ses cris de plaisir.

 

 

- tu n’as pas peur pour ce soir Dev ?

- qu’es ce que sa peu te foutre Tomas.

- ca serrait bien dommage de perdre un cul comme le tien. Aucun mec sur ce rafiot et aussi bon que toi. Quoi qu’il y a bien le capitaine.

Je lâchai mes habilles sous la surprise. J’avais forcément mal entendu. Il avait bien parlais du capitaine.

- tu…

- oui je le baise. Une vrai petite chienne ce capitaine. Il adore ce faire dominé un vrai régale.

Je n’y crois pas. Ce n’est pas possible. J’en avais les larmes aux yeux. Pourquoi ? Pourquoi lui et pas moi ?

 

 

J’étais assit dans mon chasseur survolant la zone de mission. On fut surpris par des tires ennemies. Une balle troua mon fuselage perçant le réserver perdant mon carburant. Je n’étais pas sure de pouvoir rentre au porte avion.

- contrôle ici Delta 3, j’ai été touché à l’ail droite je perds du carburant. Retour impossible.

- Delta trois interdictions de perdre cet avion. Intervenait la voix froide du capitaine. Je vous ordonne de revenir à bord peut importe là façon. Il est impossible qu’un de nos avions tombe entre les mains de l’ennemi.

Je senti mon cœur ce serré, il ne pense qu’à cette avion. Il n’en a rien à faire de moi. Juste cette putain d’avion. Je fis donc demi-tour pour rejoindre le bateau. Je perds de l’attitude et était bien trop bas pour apponté.

- Delta 3 redressez. Redressez vous étiez trop bas.

Je coupai la radio, je le savais tout sa. J’essayai de redressé l’appareil. Je vais lui ramené ce putain d’avion puisqu’il y tient tant. Je réussis à chopper le pont et à accroché le câble d’arrimage. Le choc fut violent et je me tapai la tête contre le tableau de commande. Le cockpit s’ouvrir et je puis mon extraire. Mon regard croisa le sien, il était là sur le pont à me fixait avec son habituel froideur. Il ne descendait jamais sur le pond alors pourquoi était-il là ? J’ai abimé son joli joujou. Au moins il n’avait enfin remarqué.

- vous devriez aller vous faire soigner Delta 3.

-foutais moi la paix. Je vais très bien. Monsieur.

Je passai à côté de lui, j’allais me prendre un blâme pour lui avoir parlais de la sorte mais je m’en ai plus rien à foutre. J’allai m’enfermé dans ma cabine. Pour son débriefing il n’avait qu’à aller ce faire encule par Tomas, vu qu’il aimé ça. Je retirai ma combinaison et m’allongea sur le lit, je ne pouvais plus retenir mes larmes. J’avais atrocement mal à la tête mais la douleur de mon cœur était bien plus forte. Je voulais juste dormir et oublier tout le reste.

 

 

Je fus réveillé par des coups à la porte de ma cabine. Je me levai pour ouvrir à Tomas.

- merde tu branle quoi là ? Il est déjà 14 heures, le capitaine t’appelle depuis des heures. Il est en colère alors bouge toi. Cris pas j’ai mal à la tête.

- bouge ton cul merde.

- c’est bon j’arrive.

 

Je m’habillai lentement, je n’avais aucune envi de le voire ce connard. Il m’a fait déjà bien trop de mal. Il n’était pas au poste de commandement je me dirigeai donc vers son bureau, j’allais frapper lorsque j’entendis des voix.

- merde qu’es ce qu’il fou ce petit con.

- il doit être entrain de ce faire baiser dans un coin.

- tu raconte n’importe quoi Tomas

- quoi c’est vrai. Il est gay et c’est une belle salope. Comme toi mon ange. Tu sais que j’ai très envi de te baiser là.

- pas maintenant plus tard.

J’avais envi de partir de fuir loin de lui, loin de cette douleur. Mais je pris mon courage à deux mains et frappa à la porte. La voix froide de mon capitaine n’autorisa à entré. Je me plantai devant lui au garde à vous.

- où étiez-vous soldat. J’attends votre rapport.

- je n’excuse pour l’avion monsieur. J’ai étais incapable de ramené votre avion indemne et d’évité ses tire.

Je n’avançai vers le bureau et posa une lettre sur le bureau.

- qu’es ce que c’est ? Demanda le blond avec son habituel froideur.

- ma demande de mutation. Je ne peux plus travailler à bord de ce porte avion.je souhaiterais pouvoir rejoindre ma cabine je ne me sens pas très bien.

Je les saluai et sorti du bureau dans lequel j’étouffé. Je couru jusqu’à mes quartier. Et m’écroula sur le sol criant ma douleur. J’étais vraiment pathétique. Je devais cesser de pensé à lui, je devais m’éloigner de lui. Je vais finir par craquer.

 

J’avais fini par me rendormir et je fus réveillé par des coups violent donné contre la porte, je me levai pour ouvrir m’attendant à tombé sur Tomas, je sentis mon cœur ce serré lorsque je vis la cause de tout mes tournant devant moi avec son habituelle regard froid. Je le laissai entré me mettant au garde à vous. Il resté avant tout mon supérieur. Il me jeta la lettre à la figure avec dédain.

- demande rejeté. Je ne m’ordonnerais pas votre mutation. Ce n’est pas parce que monsieur ce sent mal ici que je vais accepter.

- c’est tout ce que vous vouliez me dire ?

Il ne répondit rien me fixant en silence, avec cette froideur habituelle.il fallait qu’il sorte où j’allais encore craquer. J’aurais préférais qu’il continue de m’ignoré. À présent je souffle encore plus.

- c’est vrai ?

Je sursautai surpris par sa question.je ne comprenais pas de quoi il parlait.

- de quoi ?

- que tu te fais baiser par Tomas ?

- autant que vous monsieur.

- tu me dois le respect je suis ton supérieur.

- monsieur, oui monsieur. Je vous pris de m’excusé.

- tu va arrêter tout de suite.

- quoi donc ? À oui j’ai compris. Je ne me laisserais plus baiser par votre second. Vous été jaloux c’est bon je vous le laisse. Ce n’est pas le meilleur coup du bateau. Je trouverais bien quelqu’un d’autre.

Je voyais son regard ce durcir encore plus à fur et à mesure où je parlais. Il me déteste certainement encore plus maintenant qu’il c’est que je me fais baiser par Tomas.

- tu te fais baiser par beaucoup de mec sur ce rafiot.

- cela me vous regard pas monsieur. Ma vie privée ne regarde que moi.

- non sa me regarde. Il est hors de question qu’un autre mec de ce bateau te touche. Ni aucun autre.

- très bien donc je vais me faire moine dés maintenant.

- non tu va te déshabillé.

- pourquoi donc ?

- j’ai envi que tu me baise. Mais avant en va changer de fringue.

- pourquoi vous faire baiser par un pilote ne vous excite pas,

- non déjà fais. Je veux me faire prendre par un capitaine. Alors tu mets mes fringue. Et c’est un ordre. Alors dépêche-toi avant que j’aille voire ailleurs.

Alors c’étais juste ça. Que de la baise. C’est la seule chose qu’il m’offre. Alors pourquoi ne pas le prendre je ne veux pas qu’il aille voire un autre homme que moi.

- je veux voire si tu baise aussi bien que tu te fais sauter. Il parait que tu es une véritable petite chienne.

- hm, sans doute. Finissant en vite avec ça. Je ne suis pas que sa à foutre.

Je retirai mon uniforme devant le regard toujours impassible de mon capitaine. Je ne dois pas être à son goût, je l’ai toujours su depuis le tout premier jour, il ne m’as jamais regardais. Je resté devant lui vêtu de mon simple boxer. Il resta quelques secondes à me fixait avant de retirait à son tour son uniforme en fit l’échange et ce nous rhabillions.

Dés que ce fut fait il venait ce collé à moi, me faisant trembler. J’avais si souvent souhaité cette proximité mais pas de cette façon. Ses lèvres étaient si proches des miennes, je voulais tant l’embrassé mais lui n’était pas de cette avis. Il alla mordiller mon oreille en collant son corps au mien.

- donne-moi des ordres Dilan.

- c’est Devan.

- on s’en fiche.

Ce fut le coup de grâce. Il venait de me briser le cœur définitivement. La colère m’envahit. Il voulait que je le baise alors c’Est-ce que j’allais faire. Je l’attrapai par les cheveux le retournant face contre le mur. Je pressai mon bassin contre ses fesses donnant de puissant coup de bassin mimant l’acte sexuel. Le faisant gémir de plaisir. C’était tellement dure de savoir qu’il n’était qu’une pute mais malgré tout je continu à l’aimé.

- c’est sa que tu veux ?

- oui…aah

 

- alors supplie-moi à genoux.

Je le relâchai et il ce retourna ce laissant tombé à genoux devant lui. Comme sa il me semblait bien moins charismatique.

- baise les yeux sale pute.

- oui capitaine répondit-il en baissant la tête totalement soumis. S’il vus plait baiser moi…défoncé moi comme la chienne que je suis. Faite moi crié.

Je ne l’attrapai pas les cheveux lui relevant la tête, lui enfonçant mon sexe de force dans la bouche.

- va y suce bien.

Il ce mit à faire aller et venir ses lèvres sur ma verge, il était doué vraiment doué. Je le fis me relâché pour me libéré sur son visage. Je ne lui laissai pas le temps de ce remettre je le retournai le plaquant sur le matelas. Je lui détachai son pantalon le baisant avec son boxer et je le pénétrai son plus attendre. Il cria de douleur.

- t’as gueule c’Est-ce que tu voulais.

Je me mis à le pilonné avec force et il me tarda pas à y prendre du plaisir. Il disait des choses obscènes. Il en demandé toujours plus, il ce comporté comme une véritable grâce.

- aah…aaah…c’est bon…aaah…continue…aaah…

- t’as gueule je ne veux pas t’entendre.

Je continu de le baiser encore et encore évacuant toutes ma frustration. Je n’avais jamais preuve d’autant de violence. Je le mordais, je le griffe. Je lui faisais endurer la souffrance de mon cœur.

 

 

 

Il c’était endormit à côté de moi, totalement nu, couvert de sueur. Il était sublime, mais il n’était pas à moi, il n’était pas pour moi. Je posai mes lèvres sur les siennes, lui volant un baiser avant de m’endormir contre lui, profitant de ce moment.

 

 

Lorsque je me réveillai il n’était plus là, comme je l’avais prévu mais sa faisait bien plus mal que ce que j’aurais cru. Je me sentais tellement mal, je vomissais le peu de nourriture que j’ai dans l’estomac alors que je pleurais à nouveau, j’aurais préféré ne jamais pouvoir l’avoir plutôt que de l’avoir juste pour une nuit de baise.

 

 

Je me fis porté malade pour le reste de la semaine. Et vu la tête que j’avais sa ne fut pas bien difficile. Je suis resté dans ma cabine évitent soigneusement de le croiser de peur de craqué. Je voulais l’oublier mais comment c’est mon capitaine.

Aujourd’hui j’étais de permission, le bateau avait et on pouvait descendre su bateau. J’en profité pour m’éloigner le plus possible de lui, je suis sorti en boite et j’ai fini chez un beau blond que j’ai baisé comme un fou toute la nuit. Mais malgré sa il n’était impossible de l’oublier.

 

 

Il n’avait ignoré. Je l’avais croisé dans un des couloirs et il m’a ignoré royalement. Sa ma fait si mal que j’ai encore pleurais comme un con amoureux du pire des connards.

Sa duré depuis des semaines, c’était redevenu comme avant il m’ignoré tout simplement. J’avais envoyé toutes les lettres de demande de mutation mais elles avaient toutes était rejeté. J’étais donc condamné à subirai sa le reste de ma triste vie.

 

 

- Cette mission et des plus dangereuse alors je demande un volontaire je me veux forcer personne à prendre ce risque.

Je me levai aussitôt. Une mission dangereuse c’est tout ce qu’il me fallait. De toutes façons qu’es ce que je risqué, j’étais déjà mort.

- non. Répondit-il avec froideur. Quelqu’un d’autre.

Je n’en croyais pas mes oreilles. Pourquoi réagissait-il comme sa ? Un mois que je n’avais pas eu la moindre mission depuis celle au j’avais faillit me pas rentré il me ne donné plus la moindre mission, j’avais besoin de me changé les idées.

- monsieur sauf votre respect il ni a aucune raison que je ne fasse pas cette mission. Je suis volontaire et aucun autre ne l’a. Donné moi une raison valable de me refusé cette mission.

Il me fixait avec son éternel regard froid. J’attendais qu’il me dise que c’est parce qu’il s’inquiète pour moi, qu’il ne voulait pas me voire prendre des risques. Qu’il ne voulait pas me perdre.

- je pense que vous ne soyez pas qualifié pour cette mission.

- et moi je vous prouverais le contraire.

- très bien vous partez dans deux heures.

 

 

- capitaine Delta 3 à disparu. Nous n’avons plus aucun contact avec son appareille.

- continué de le cherché.

 

 

 

Je courais aussi vite que je le pouvais, malgré mes blessures dû à la torture et au deux balles que je n’étais prises. Je devais récupérer l’avion c’est tout ce qui importé. Je devais lui ramené son avion. Je n’allais pas lui donné une nouvelle raison de me détesté. Une autre balle siffla à mon oreille, je le sais pas comment j’ai put réussir à ne pas me la prendre en pleine face, elle m’entailla la joue, sa faisait tellement mal, mais je devais y arrivé l’avion était là juste devant moi. Je maitrisai les deux garde et réussi à remonté dans l’avion, je devais lutter contre la douleur, resté éveille pour réussir à décoller. Les balles sifflet de tout les côté.

- contrôle ici Delta 3...contrôle.

- delta 3 nous vous recevons.

- je rejoins la base quelle et votre position.

- delta 3 veuillez vous identifier. Votre matricule ?

 

- vous ne faite tous chier c’est claire alors votre position.

Il fini par me donné la position du bateau. Il n’était plus très proche et je me savais pas si j’allais pouvoir tenir jusqu’à la. Je perdais beaucoup de sang, je voyais trouble, je me vivrais sans doute plus très longtemps, je devais juste lui ramené son avion. Je fini enfin par voire le porte avion, j’amorçai la descente.

- delta 3 vous été trop bas. Redressé.

Je n’eu ni la force ni le temps de redressé la tête de l’appareil heurta le pont ce souleva et retomba sur le flanc arrachant une parti du pont au passage. La c’est sur il allait me détesté.

Je sorti su cockpit comme je le pus, il était sur le pont à me fixait avec son habituel froideur. Cela ne changera jamais. Je n’avançai vers lui me mettant au garde à vous malgré la balle que je n’étais prise dans l’épaule.

-monsieur je suis désolé pour l’avion. Je crois que c’est un motif de mutation.

- j’avais raison, vous n’étiez qu’un incapable. Je n’aurais pas dû vous confier cette mission, vous avez laissé cet avion aux mains de l’ennemi durant 3 jours. Vous étiez une honte pour tous les pilotes. Delta 3.

Je laissai retombé mon bras le long de mon corps, lui adressant un large sourire, ma vue ce brouilla et je m’écroulai sur le sol à bout de force. J’entendais des personne s’affairé autour de moi mais je ne voyais rien. J’entendais mon cœur battre de plus en plus doucement, de moins en moins fort. Et puis un dernier boum et plus rien le silence.

 

 

- bip, bip, bip…

- il c’est pris quatre balles, sans conté les coups de poignard. Il a le tibia fracturé. Il a perdu beaucoup de sang, et il avait une commotion cérébrale. C’est un véritable miracle qu’il respire encore. Mais il ne ce réveillera sans doute jamais.

De qui es ce qu’elle parle ? C’est quoi c’est bruit bizarre. Ou je suis ? Pourquoi es ce que j’ai mal partout ?

- il ce réveillera.

- je me demande bien comment il a trouvé la force de de revenir, il n’était pas en état de piloté. C’est un véritable miracle.

- s’il vous plait laissez-moi seul avec lui.

- oui capitaine.

Capitaine ? Que fait-il ici ? Lui aussi il est mort ? Non je dois rêver, je senti une main ce glissé dans la mienne. Je ni comprend plus rien, je ne vois plus rien.

- je t’avais dit que cette mission n’était pas faite pour toi idiot.

Merde j’ai compris je ne suis pas mort, c’est bien mon capitaine. Fait chier. Allais ouvre les yeux, dit lui ce que tu pense à ce connard. Dit lui que tout ça et de sa faute.

Je ne sais pas comment j’ai réussi à dégagé ma main de la sienne. Et as ouvrir les yeux pour le regardais il ce leva et je refermai aussitôt les yeux.

- docteur il est réveillé.

 

 

Lorsque j’ouvrir les yeux il était assit à mes côté à me fixait en silence, comme tout les jours depuis ma sorti du coma. Et il allait encore partir sans rien dire. Non pas cette fois-ci.

- c’est juste pour ramené l’avion que je suis revenu à si non je serais resté crevé la bas.

- vu l’état dans lequel elle est, elle aurait mieux fait de resté là-bas et toi avec.

- je le serrais pour la prochaine fois.

- il ni aura pas de prochaine fois. Dés que tu es rétablie tu quitte ce porte avion l’armé pour toi c’est terminé.

- soit alors me venais plus m voire, faite comme si j’étais mort lors de cette mission.

- je le ferais.

Il ce leva et ce dirigea vers la sorti j’aurais voulut qu’il ce retourne qu’il me regarde qu’il me dise qu’il me le pensé pas, qu’il m’aimait mais ce n’étais pas le cas il sorti de la pièce sans ce retourné. Pourquoi es ce que je n’étais pas mort, mon cœur me faisait tellement mal. Sous la colère je débranchai les électrodes et me leva. Je partirais dés aujourd’hui.

 

 

 

 

Deux ans plus tard.

 

Sa faisait déjà deux ans que j’avais quitté l’armé, j’avais retrouvé la vie civile. Retraité de l’armé à 21 ans pour incapacité physique. À présent je donné des cours de pilotages, dans un petit aéroport. Il y avait une caserne militaire pas loin. Parfois je la regardais avec nostalgie. Je pense sans cesse à mon beau capitaine qui m’as brisé le cœur de cette époque je garde de nombreuse cicatrice du au impacte de balle et eu lacérations que j’avais reçus lors de cette mission. On ne peut pas oublier l’homme de sa vie aussi facilement et malgré tout le mal qu’il n’avait fait je continuais de l’aimé.

 

 

- tu as l’ai en forme Devan.

Je me figeai de surprise à l’entente de cette voix, elle n’avait pas changé durant ses deux dernières années. Toujours aussi grave et sensuel. Que faisait-il ici ? Comment ce rappelait-il de moi alors qu’il me détesté ? Je n’avais pas la force de le regardé où j’allais replonger. Je parti donc bien décidé à l’ignoré. Comme si pouvait ce ramené comme sa comme si de rien ne c’étais passé. Après ce qu’il n’avais fait.

Je frissonnai lorsque je sentis une main ce refermé autour de mon poigner et il me tira en arrière et je me retrouvai plaqué contre son torse. Je dois être entrain de rêvé.

- tu n’es qu’un sal con Devan je t’avais dit de me pas faire cette putain de mission. Qu’es ce que je pouvais m’en foutre de cette putain d’avion. Il y en a plein mais toi tu es unique. Il y a un peu plus de trois ans il y a un jeune pilote qui est entré dans le poste de pilotage. Tu n’as pas idée à quel point il pouvait être beau. Il m’attirait tellement, je le regardais quand il ne me voyait pas, je le désiré en silence, mais c’étais impossible, j’étais son supérieur. J’ai cru nourrir de jalousie quand j’ai appris qu’il était gay et qu’il couché avec Tomas. Et j’ai été déçu lorsque l’ont as couché ensemble, pas que c’était nul, seigneur au contraire. Je n’e jamais prit autant de plaisir. Mais j’aurais voulut qu’il me fasse l’amour, où bien qu’il me repousse qu’il me fasse pas comme tout les autres. Et merde. J’arrivé pas à lui dire. Et il a fait cette mission. J’ai passé trois jours sans dormir à attendre de le revoir. Lorsqu’il est sorti du coma j’ai cru avoir une seconde chance mais je ni arrivé pas et j’ai encore tout fait de travers. Pas tant qu’il serrait sous mes ordres. Alors j’ai tout fait pour le faire muté même si je ne pouvais plus le voire touts les jours. Il n’a fallut deux longue année avant d’enfin pouvoir le retrouvé. Et j’ai put enfin intégrés la caserne qui ce trouvé près de chez lui. Et de pouvoir enfin lui dire ce que j’avais tant voulut pouvoir lui dire.

J’arrivé pas à me défaire de lui, mon cœur était au borde de l’explosion. Je n’arrive pas à y croire, je dois être en plein rêve. Je réussi tant bien que mal à parlé.

- quoi donc ?

- j’adore les pilote, j’en suis fou et d’un en particulier.

- lequel ?

- toi Devan. Murmura-t-il à mon oreille avec douceur faisant monter mes larmes. Je t’aime. Rajouta-t-il avec douceur.

Je ne pus retenir mes larmes plus longtemps et me jeta sur ses lèvres pour l’embrassé. J’avais tant souhaité pouvoir l’embrassé. Il répondit à mon baiser avec douceur, et amour me serrant encore plus fort contre lui.

- capitaine je…

- Devan je…je ne suis plus ton supérieur…tu me vois encore juste…

- non désolé c’est l’habitude.

- à présent appelle-moi Benoit mon amour.

Je devais rêver c’étais bien trop beau pour être vrai. Pourtant il était bel et bien là. Il me ré-attira contre lui, m’embrassant encore et encore. Je me sais même plus comment en ai arrivé chez moi, dans ma chambre, dans mon lit, nu l’un contre l’autre, moi en lui, lèvres contre lèvres, lui en moi, main dans la main. Notre cœur battant à l’unisson.

 

 

- je suis désolé d’avoir était aussi froid et distant avec toi mon amour.

- ne me refait plus jamais ça. J’ai bien trop souffert.

- et toi ne fait ne plus jamais quelque chose de dangereux qui pourra t’éloigner de moi. Je ne veux pas te perdre. Dev.

- reste avec moi pour l’éternité.

- monsieur, oui monsieur. Répondis-je en souriant avant de l’embrassé à nouveau. À présent le bonheur nous sourie.

 

 

 

 

 

 

FIN.

 

Par Amako - Publié dans : os yaoi
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Lundi 1 février 1 01 /02 /Fév 11:41

            Première fois.

 

 

 

 

 

 

 

 

- alors Charly toujours puceau ?

- oui

- putain toujours pas serré de meuf.

- ça ne m’intéresse pas

 

 

 

 

 

C’est cette conversation qui avait mené toute la bande chez Charly le plus jeune du groupe. Il y avait aussi Kerry le chef celui que tout le monde respecte, le beau gosse brun aux yeux bleu, grand musclé, sportif et intelligent, le mec parfait quoi.

Il y a aussi Jerry et Brad des frères jumeau, inséparable, comique à grande gueule, mais au cœur sur la main et adorable. Et puis Jordan le plus âgé de la bande.

Charly vient tous juste d’avoir ses dix huit ans et il n’avait jamais eu de petite amie. Et pourtant il n’était pas moche. Il avait même un physique de rêve. 1m83 pour 70 kg, le corps élancé et muscle, même s’il n’était pas un grand sportif, les cheveux blond foncé, les yeux d’un vert intense qui les faisaient toutes et tous craqué. Beaucoup de fille lui faisait des propositions mais il avait toujours refusé. Et aujourd’hui ces pote était bien décidé à aidé la « petit » comme ils disaient.

Ils étaient donc tous réuni dans le salon du « petit » avec une panoplie de magasin et vidéo porno bien décidé à le faire réagir.

Le blond regardait le magasin sans vraiment trouvé sa intéressant les meufs à poil ne lui faisait pas le moins du monde.

- sa te fait vraiment rien ? Vraiment pas excité ? Demanda Jerry.

- sa me dégoute juste de m’imaginé foutre ma bite la dedans.

- il n’est pas normal le petit. Fit remarquer Brad. Peut être qu’avec un film.

- j’en ai un super chaud. Intervenait Jordan.

Il ce leva pour allez mettre le dvd dans le lecteur et lança le film. Charly le regardé avec ennui ca ne lui faisait pas le moindre effet. Alors que ses trois amis avait bien du mal à resté de marbre. Seul Kerry me disait rien, il n’avait pas ouvert la bouche depuis son arrivé, il n’avait pas lâché le blond du regard.

- putain même une vidéo sa lui fait rien. S’écria Jordan. T’es sur que t’ai pas castré ?

- je vais te faire voire moi si je suis castré enfoiré.

- et ca sa t’excite ? Demanda Brad en lui jetant un magasin porno gay.

- depuis quand t’as ça frérot ?

- sa m’excite de voire des mecs baiser, je devrais peu être essayé un jour.

Charly prit le magasin pour l’ouvrir et le refermé aussitôt aussi rouge qu’une tomate. Il ni avait pas de doute, ça sa l’excité, il sente déjà son anatomie réagir. Personne ne remarqua son trouble, à part Kerry qui ne l’avait toujours pas lâché du regard.

- alors ? demanda Jordan.

- rien du tout.

- c’est un cas perdu. Il est frigide. Il doit être Zoophile. Frérot on ce casse.

- oui tu viens Kerry ?

- non.

 

Charly les reconduisit à la porte les regardant s’éloigner en rigolent comme des con. Puis il retourna dans le salon où était toujours assit le brun le regard perdu à l’extérieure. Charly l’observa en silence, il l’avait toujours trouvé très beau mais la c’était différent. Être seul avec lui le troublé. Il alla s’assoir sur le canapé soufflant de lassitude. Il sursauta lorsque Kerry ouvrir enfin la bouche. Il n’avait jamais remarqué que sa voix étais si sensuel, si érotique.

- pourquoi tu leur as menti ? Sa t’as excité de voire des gay.

- et alors tu voulais que je leurs disent quoi au juste ? Que j’étais sans doute gay parce que voire deux mec ce caressait n’excite.

- t’es gay ?

- oui je suis gay. Et alors sa te pose un problème. S’énerva le plus jeune.

- non pas du tout.

Kerry ce leva ce rapprochant du plus jeune qui sentais son cœur s’emballé et encore plus lorsqu’il venait s’assoir sur ses genoux. Cette soudaine proximité l’excité encore plus, son corps étais si chaud, il avait envi de le touché de le caressait. De découvrir l’amour avec lui, dans ses bras.

- Kerry qu’es ce que tu fais ?

- si tu savais à quel point j’ai rêvé de t’entendre dire ça. Comme j’ai espéré que tu peux être attiré par les hommes. Par moi. Rajouta-t-il dans un souffle à peine audible.

- Kerry…

- laisse moi parlais tant que j’en ai le courage. Laisse-moi être le premier petit Charly. Je veux que ce soit avec moi que tu perdes ta virginité avec personne d’autre. Je veux que tu sois le premier à te fondre en moi. Je te désir tellement Charly. Je te désir depuis tellement d’années. Je ne peux plus me contenté de ses mec qui te ressemble mais qui ne sont pas toi. S’il te plait ne me rejette pas, fait moi tien Charly.

Il n’arrivé pas à y croire, le grand, le beau Kerry voulait qu’il lui fasse l’amour lui, c’était irréel. Kerry était gay et il le voulait lui. Il ne s’en serrait jamais douté.

- Kerry…t’es sérieux

Le brun ne répondit rien, il ce leva et tendit la main au blond lui adressant un large sourire. Charly prit sa main et ce laissa entraine à l’étage vers sa chambre. Charly senti la panique l’envahir c’était sa première fois, c’étais si rapide et Kerry le remarqua. Il ce retourna vers lui posant sa main sur sa joue le caressant avec douceur, lui adressant un sourire emplis d’amour qui le fit tremblé.

- Charly je…je peux t’embrassé.

- oui. Répondit le blond dans un souffle.

Kerry posa ses lèvres sur les sienne et recula aussitôt, tout les deux avaient eux l’impression d’avoir était traversé par un courant électrique. Ils ce fixaient en silence quelques secondes avant que le blond ne ce jette sur lui le plaquant contre le mur prenant possession de ces lèvres dans un baisé tendre et passionné. C’étais si bon de l’embrassé de sentir son corps contre le sien, sa langue joué avec la sienne.

Il brûlé d’envi l’un de l’autre, une envi qui les consumer depuis des années déjà.

Le brun le souleva pour le porté jusqu’au lit l’y déposant avec douceur ce plaçant sur lui sans lâché ses lèvres, il ne les avait que trop désiré. Chaque fois qu’il ce séparé pour respiré il ce rejeté aussi vite l’un sur l’autre comme s’il ne pouvait pas respirer l’un sans l’autre. Tout de fois Kerry fini par abandonné ses lèvres à contre cœur allant embrassé la douce peau de son cou. Laissant le blond reprendre son souffle.

- Kerry…avec…combien de mec à tu couché ?

- avec un seul, juste avec toi.

Charly m’insista pas, de tout façon il ne lui aurait pas répondu, et puis sa le rendait heureux qu’il pense à lui lorsqu’il couché avec un autre. Il le laissa ce déshabillé lentement. Il rougi violemment lorsqu’il fut totalement nu. Le plus âgé prit son visage entre ses mains le regardant en souriant avant de l’embrassé avec douceur.

- tu es…très…beau…Charly…murmura l’ainé entre plusieurs baisé. J’ai…encore plus…envi de toi…tu es…délicieux…

Kerry continua d’exploré le corps de son blond, ce délectant du goût de sa peau et de ses gémissement de plaisir. Il lui arracha un cri de plaisir lorsqu’il prit son sexe en bouche, après une longue. Charly étais au paradis, tout son corps étais en étais en transe. Il n’arrivé plus à pensé correctement. Il voulut le prévenir lorsqu’il ce senti au bord de la délivrance mais aucun mots me sorti de ses lèvres et il ce libéra entre ses lèvres, Kerry ce délecta de ce nectar et remonta cueillir ses lèvres. L’embrassant avec douceurs et tendresse.

- alors ?

Le blond avait du mal à ce remettre de son orgasme, le brun étais tellement doué. Il n’aurait jamais crut prendre autant de plaisir avec une simple fellation.

- Charly sa va ?

- c’étais génial…Kerry…

Le blond l’embrassa à pleine bouche inversant les positions ce glissant entre ses jambes. Le faisant gémir de plaisir lorsqu’il frôla sa verge gonflé de désir. Il entreprit de le dévêtir tout en l’embrassant. Kerry sentais sans corps ce consumé sous ses douces caresse de son amant. Jamais aucun de ses amants ne lui avait procuré autant de plaisir qu’à cette instant. Et lorsqu’il senti la langue du plus jeune sur son sexe il ne put ce contenir plus longtemps et jouissait à son tour.

Charly remonta l’embrassé en souriant.

- je te fais tant d’effet que sa ?

- oh oui tu n’en as pas idée. Tu ne rends totalement fou. Charly j’en peux plus prend moi. Maintenant.

- tu ne veux pas que je te prépare.

- dans la poche de mon pantalon y du lubrifiant sa devrait allez.

Le blond attrapa le jean de l’ainé et en sorti le sachet de lubrifiant avant de revenir s’allongé sur lui pour l’embrassé il ouvrir le sachet et en mit sur ses doigts les faisant entré en lui avec douceur, il ne voulait pas lui faire mal.

- Charly vient….s’il te plait…

Il retira ses doigts et mit du lubrifiant sur son sexe. Kerry noua ses jambes autour de son bassin prenant ses lèvres avec douceur alors que le blond le pénétra avec douceur, le plus âgé serra les dents sous la douleur mais il lui demanda tout de même de continué il avait attendu cette instant bien trop longtemps. Charly cessa de bouger pour le laissé s’habitué à sa présence en lui. L’embrassant avec douceur pour lui faire oublier la douleur.

- sa va allait Kerry.

- oui va y bouge…sa va allez…

Charly fit ce qu’il lui demandé ce mettant à ce mouvoir en lui avec douceur. Lorsque la douleur fut remplace par le plaisir il le serra contre lui gémissant de plaisir en lui demandant de continuais d’allez plus vite.

- Charly plus vite….aaah

Kerry ce redressa le faisant basculé sur le dos pour prendre le dessus s’empalant de lui-même sur le sexe du plus jeune, les faisant tout deux crié de plaisir.

Il prit possession de ses lèvres dan un baiser tendre et doux, plein de passion. Charly ce redressa pour le serrait dans ses bras. L’aidant à ce mouvoir sur lui. C’était si bon d’être en lui, de lui faire l’amour, de l’avoir contre lui autour de lui.

Jamais il n’aurait crut pouvoir prendre un telle plaisir un jour, c’étais si bon.

 

 

 

- Kerry…c’était comment ?

Le brun prit possession de ses lèvres, ils c’étaient libéré en cœur dans un cri de plaisir, avant de s’écroulé l’un sur l’autre à bout de souffle. Kerry toujours sur le plus jeune son sexe encore en lui. Il aimé bien trop l’avoir en lui.

- c’était génial. Je n’ai jamais pris autant de plaisir. J’ i encore du mal à m’en remettre. Charly il faut que je te dise quelque chose.

- va-y.

- je t’aime.

- …

- je comprends que pour toi ce n’était que de la baise vite fait. Que tu as jeune, que c’étais juste une expérience, que tu ne cherche pas de relation sérieuse. Mais je…

Charly l’attira à nouveau contre lui le faisant taire en l’embrassant y mettant toute sa fougue et son amour. Avant de lui glissé cette phrase à l’oreille ce qu’il avait tans voulut entendre.

- Kerry fait moi l’amour.

 

 

- qu’es ce qui te fait sourire comme sa ? Demanda Brad.

- ah non, je n’y crois pas. T’es plus puceau. S’écria Jordan.

- c’était quand ? Questionna Jerry.

- hier après votre départ.

- comment elle ? Est en la connais ?

- Jordan c’est un mec.

- et c’est qui ? Demanda Brad excité à l’idée qu’il soit gay.

- c’était moi.

Kerry venait d’arrivé embrassant son amant avec tendresse, s’asseyant sur ses genoux. Sous les regards étonnés de leurs trois amis et de toutes les personnes présentes dans le réfectoire. Kerry le fixait avec amour ce moquant du regard des autre il était si heureux dans ses bras.

- vous sortais ensemble.

- oui et pour longtemps…commença Kerry

-…très longtemps. Acheva Charly. J’ai connut ma première fois avec l’homme parfait, l’homme de ma vie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FIN.

Par Amako - Publié dans : os yaoi
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