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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

substitut où amour ? ( terminé )

Vendredi 12 février 5 12 /02 /Fév 10:40

Épilogue.

 


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 Cela fessait deux semaines déjà que j’étais revenu. J’avais repris le court de ma vie, était retourné travailler, changer tout les meuble de ma maison. J’aurais du déménagé. Pourquoi es ce que je reste ici, peut être parce que je ne sais pas ce que je veux. Tout les soirs lorsque je rentre du travail il est là assit sur ce banc à fixer ma maison en silence. Je fais comme si je ne le voyais pas et je rentré cher moi pour l’observé de la fenêtre pendant des heures, parfois jusqu’à ce que j’aille me couché. Il resté la sur ce banc sans bouger, il n’essayer pas de me parlais ni de m’approché. Il respecté ce que je lui avais dit. Mais pourquoi venait-il ici tout es soir. Le matin il était reparti et le soir venu il était à nouveau là. Je voulais aller le voire le prendre dans mes bras, l’embrassé, que tout redevienne comme avant. Mais je ne pouvais pas il n’a fait que trop souffrir. Je ne veux pas connaitre à nouveau la douleur de l’aimé à sens unique.

 

 

Cette nuit là je fus réveillé par la pluie, il pleuvait des cornes. Je ne dirigeai vers la fenêtre, c’était vraiment le déluge. Ce n’est pas un temps à mettre un chien dehors, je fixais l’autre côté de la rue.

- et merde.

J’enfilai une veste et sorti sans prendre la peine de mettre de chaussure. Je traversai la rue. Il était là toujours assit sur ce banc, il était 4 heures du matin et il était toujours là. Sous cette pluie battante, totalement tremper. Ses cheveux avaient poussé pourquoi je remarque ça maintenant.

- pourquoi tu ne rentre pas cher toi. Merde qu’es ce que tu attends au juste ?

- il ni as personne qui m’attend à la maison.

- et la femme de ta vie.

- je l’ai quitté le soir même où elle à dit que tu m’aimé. Je voulais venir te le dire mais tu n’étais pas là. Je venais tout les jours pour te le dire.

- c’est fait alors rentre. Tu n’as plus rien à faire ici. En quelle langue faut-il que je te le dise je ne veux plus jamais te revoir.

- c’n’est pas grave. Je veux juste resté là. Je ne demande pas grand-chose. Juste de resté là.

Sa voix était lasse, fatigué. Il semblait à bout de force. Je ne pouvais pas le laisser ici. Il va tomber malade. Je ne peu pas le laisser là.

- vient avec moi. Tu es vraiment qu’un sale gamin stupide.

Il resté assit sans bouger. Il était entrain de me rendre fou là. Je l’attrapai par le bras l’obligeant à me suivre à l’intérieur. Je le trainai jusqu’à la salle de bain. Je le forçai à s’assoir et lui lança une serviette et des rechange.

- change-toi.

 

Je sorti de la pièce pour aller dans ma chambre. Je me changeai après mettre essuyais. Je me laissai tomber sur le lit. Je devais rester calme et me surtout pas lui sauté dessus pour le prendre de force. Je l’aime encore, je ni peux rien je l’aime tellement que j’en deviens fou. Je sorti de ma chambre, je ne savais pas ce que je fessais, je voulais juste le voire être sur qu’il aller bien. J’entrai dans la pièce et il n’avait pas bougé, toujours assit sur la baignoire. Je m’approchai de lui, prenant la serviette pour essuyais ses cheveux, j’avais envi de le touche, de le prendre dans mes bras de l’embrassé. Il me laisser faire sans rien dire. Je me figeai lorsque ses doigts ce refermèrent autour de mon poigner. J’avais tort. Il n’était plus un enfant. Il plongea son regard dans le mien. Me fessant tremblais de la tête aux pieds.

- je n’ai pas besoin de ta pitié Gillian.

- je croyais que tu me connaissais mieux que ça.

- désoler. Je te cause encore des problèmes. Je m’impose alors que tu ne veux plus de moi dans ta vie. J’ai perdu la personne la plus importante dans ma vie tout sa parce que je l’ai compris trop tard. Cette nuit là j’étais sincère Gillian. Tu n’aurais demandé de resté avec toi je l’aurais fait. Pourquoi ne t’ai tu pas montré égoïste pour une fois.

- je ne pouvais pas te forcé à m’aimé. Tout ça c’est du passé. S’il te plait je veux plus en parlais.

Il ne fixait ses deux émeraude remplis de larmes qui me bouleversé. Je ne pus pas résisté. Il fallait que je le touche, que je l’effleure. Je posai ma main sur sa joue avec douceur. Tout sentiment de colère venait de disparaitre de mon cœur. Plus rien ne conté à par lui. Je remontai ma main dans ses cheveux. Il ferma les yeux me laissant faire. Ce qu’il est beau. Je me penchai vers lui, j’avais envi de le gouté à nouveau. Je voulais le serrais contre moi, lui faire l’amour. Je sentais son souffle sur mes lèvres.

- qu’es ce qu’ont va devenir tout les deux. Demandais-je dans un souffle en effleurant ses lèvres.

- j’ai froid Gil.

- change-toi.

- non serre moi dans tes bras. Si tu m’aime je n’aurais plus jamais froid.

- pourquoi je ne veux pas être le seul à aimer.

- tu ne serras pas seul. Puis que je t’aime. Tu n’as jamais étais un substitut et je ne l’ai compris que bien trop tard laisse moi juste une dernière chance.

Je posai mes lèvres sur les sienne, je ne pouvais plus attendre une seconde de plus. Je le serra dans mes bras. J’avais rêvé de cet instant durant des années et enfin mon amour était réciproque.

- Bruce laisse moi te faire l’amour. Laisse moi t’aimé.

- j’en ai très envi. Sa fait un an que j’attends ça.

Je ne pus me retenir et déposa mes lèvres sur les siennes. Je sentis mon corps reprendre vie à ce contact. Ses lèvres m’avait tellement manqué. Mon langues ce caressaient avec douceur. Ce redécouvrant doucement.

- tu es geler Bruce. Si on prenait un bain ensemble ?

- tout les deux ? Demanda-t-il en essayant de caché sa gène.

- tu as peur que je te vois nu ? Ce n’est pas la première fois.

- ne te moque pas de moi.

- je ne me manque pas de toi. J’ai très envi de prendre un bain avec toi.

Je fis couler l’eau dans la baignoire. Avant de retiré mes vêtement avec lenteur et sensualité. Il me fixait en silence, le regard brillant de désir. Ce que j’aime voire cette lueur dans ses yeux vert. Une fois nu je le laissais détaillé mon corps. Son regard n’excité mais je ne contrôlé à si mon je lui aurais sauté dessus pour le prendre à même le sol. Je m’approchai de lui, posant ma main sur sa joue, la caressant avec douceur. Il ce leva mes mains allaient ce poser sur mon torse. Je le sentis frémir à ce contact. Je fit glisser la fermeture éclaire de sa veste. Je sentais mon cœur battre de plus en plus vite. J’entendais son souffle ce faire de plus en plus rapide. Je fis glisser la veste le long de ses bras la fessant tombé sur le sol. Il ne portait rien en dessous, et il était magnifique, je posai mes lèvres sur sa clavicule, goûtant à sa peau, la mordillant avec douceur, lui arrachant un gémissement de plaisir. L’eau coulée toujours dans la baignoire envahit la pièce d’une douce chaleur. Je pressai mon corps contre le sien. Alors que je détaché son jean, je sentais son cœur battre dans sa poitrine. C’est pour moi qu’il bâté. Je fis remonter mes lèvres le long de sa nuque, caressant sa peau, je sentais son sang pulser dans ses veines. Son souffle ce faisait de plus en plus rapide et saccadé. Il me donne tellement envi de lui faire l’amour. Je fini de lui retiré ses vêtement collant son corps contre le mien. Son corps si froid à cause de la pluie me fessait frémir, je le sentais ce réchauffer doucement au contact de mon corps. Mes lèvres étaient si proches des siennes, qui m’appeler. Elles étaient humides, elles semblaient si savoureuses.

- Gillian…je…

- chut. Ne dit rien s’il te plait. Ferme juste les yeux. Laisse toi aller. Fait moi confiance.

Il ferma les yeux ce laissant totalement aller, il est tellement beau, je voulais graver dans ma tête chaque trait de son visage, mess yeux découvrais à nouveau son corps aidé par mes mains, je le sentais frémir à chaque caresse. Il avait maigris, mais il resté toujours aussi beau. Je caressai ses lèvres du bout des doigts et je l’entendis gémir de plaisir, il ouvrir les lèvres laissant échapper dans un souffle.

- embrasse-moi Gil…s’il te plait.

Je ne me fis pas prié plus longtemps et posa mes lèvres sur les siennes. J’en peu plus il faut que je puisse le possédé entièrement. Je vous qu’il soit à moi, lui faire oublier tout le reste. Je le soulevai, il enroula ses bras et ses jambes autour de moi ce laissant porté alors que nos lèvres, nos langue ce mêlé dans une danse sensuel et amoureuse. Je marché à l’aveuglette dans le couloir mais je la connais par cœur cette maison. Je poussai la porte de ma chambre et le déposa sur le lit avec délicatesse, me plaçant sur son bassin. Je relâchai ses lèvres le fessant gémir de frustration, je me redressai pour pouvoir le regardé. Il est tellement beau, cette fois ci je me rêve pas, c’est bien lui. Et il m’aime.

Je sursautai lorsqu’il posa sa main sur ma joue, j’étais tellement perdu dans ma contemplation que je n’avais pas vu qu’il avait ouvert les yeux. Je plongeai dans ses deux émeraude qui débordé d’amour, de désir. C’était donc ça. Ce soir là où il m’avait fait l’amour, cette lueur que je n’avais pas su comprendre dans son regard c’était de l’amour. Il ne m’avait pas mentis. Ce que je peux être con. À cause de moi on a perdu tellement de temps.

- je suis vraiment trop con. Pourquoi je ne l’ai pas compris ?

- comment l’aurait tu compris alors que je ne l’avais pas encore compris. On a été tout les deux biens trop aveugles. Mais maintenant en va ce concentré sur le présent. Et là j’ai envi que tu ne fasses l’amour. Tout de suite je te veux en moi.

- tu es sur…tu…

- Gil s’il te plait…j’en peux plus…tu me rends fou. Tu le sens ?

Il avait prit ma main la posant sur sa poitrine où son cœur bâté la chamade. Il me sourire avec tendresse me fessant totalement fondre.

- c’est pour toi qu’il bat. Alors ne te pose plus de question. Je veux être à toi. Je n’ai pas peur, alors n’es pas peur.

Il glissa sa main dans ma nuque pour prendre ses lèvres. Moi aussi j’avais envi de le pénétré. Mais pas tout de suite as comme ça. Je l’embrassé encore et encore caressant son corps, je me glissai entre ses cuisses frottant mon érection contre la siennes et mes lèvres partir à la conquête de son corps. Ma langue léché sa nuque, mes dent mordiller le lobe de son oreille alors que mes doigts caressaient son sexe.

- Gil…c’est bon…attend il faut que je te dise quelque chose.

- va y je t’écoute. Répondis-je avant de passer ma langue sur ses petits boutons de chaire qui n’appelaient que mes lèvres.

- aaah…je n’ai pas réussi à bandé…tu sais…hm…quand tu nous à surpris.

- Bruce, je ne veux pas parlais de ça.

- écoute-moi. Il m’obligea à le regardais. Ses doigts ce perdirent dans mes cheveux et son regard ce perdit dans le mien. Seigneur suis-je fou d’aimer à ce point cette homme. Vivre sans lui, cela n’ai impossible.

- je…quand elle et venu ma voire juste après qu’on a fait l’amour. J’étais triste parce que tu n’étais pas là à mon réveille et je croyais l’aimer. Mais je n’ai pas réussi à bandé. Elle pouvait faire ce quelle voulait je ni arrivé pas. Et quand j’ai fermé les yeux…c’est toi que j’ai vue…ton visage lorsque je t’ai fait l’amour, le son de ta voix. C’est à toi que je pensé. Et sa ma fais peur. J’étais trop con pour faire face à ce que je ressente. Je suis désolé mais maintenant je n’ai plus peur.

J’avais envi de pleurais ses choses en aurait du ce le dire il y a un an, peut être que nous n’aurions pas eu à souffrir Chaqu’un de son côté. Mais ce qui et fait et fait maintenant je veux rattraper le temps perdu.

- ne parlons plus Bruce. On parlera de sa après me pense plus à rien ressent juste ce que je te fais.

- oui. Répondit-il dans un souffle alors que mes lèvres et mes mains reprenait lors ballet de caresses sur son corps.

 

 

-aaaah… Gil s’il te plait…aaah vient…j’en peux plus.

Mes lèvres aller et venais sur son sexe alors que mes doigts s’agité en lui avec douceur lui fessant découvrir le plaisir d’être pénétré. Il était au bord de l’explosion. Je le sentis ce tendre et jouir entre mes lèvres. Je relâchai son sexe pour remonté le long de son corps, le regardant ce remettre de son orgasme. Ce qu’il était beau après avoir jouit. À présent je serrais le seul à pouvoir voire cette expression sur son visage. Il m’attrapa par la nuque pour m’attiré à ses lèvres m’embrassant avec fougue nouant ses jambes autour de mon bassin ne fessant comprendre ce qu’il voulait. Je crois que je ne pouvais plus le faire attendre plus longtemps.

- vient…vient en moi Gil arrête de me rendre fou. S’il te plait.

- si tu as mal tu le dit j’arrête tout de suite.

- oui. Répondit-il dans un souffle avant de ce rejeté sur mes lèvres comme un affamé. Je pressai mon sexe contre son anus et entra doucement en lui, je le sentis ce tendre et ce resserré autour de moi.

- mon amour ça va.

- oui. Répondit-il en souriant. Tu…m’as appelé…mon amour…j’adore. Continue.

Je m’enfonçai en lui d’un seul coup le fessant crier de douleur et je n’arrêtai attendant qu’il ce remette. Il essayer de reprendre son souffle, j’y suis sans doute allé un peu trop fort. Merde.

- Bruce…je suis désolé. Sa va ?

- c’n’est pas si douloureux que sa. C’est juste qu’elle et grosse. S’il te plait ne t’arrête surtout pas. Bouge en moi. S’il te plait montre-moi à quel point tu m’aime.

- je t’aime à en devenir fou. Chouchoutais-je à son oreille me mettant à bouger en lui avec lenteur et sensualité. Je ne le lâché pas du regard veillant à ce que la douleur disparais. Je sourie lorsque je l’entendis échapper un gémissement de plaisir. Je crois que j’avais touché un point sensible.

- aah…Gil refait le…aah

- refaire quoi ? Demandais-je avec provocation. Refaire ça ? Dit contre ses lèvres en me renfonçant en lui. Lui arrachant un nouveau cri de plaisir.

- oui…ah…c’est bon…encore…

Je glissai mes bras derrière son dos pour le soulevé le faisant s’assoir sur mes genoux, je lui mordillai l’oreille en m’enfonçant à nouveau en lui. Il ce cambra de tout son corps me laissant m’enfoncer en lui aussi profondément que je le voulais.

- si tu aime tant ça fait le toi-même.

- tu…

Il ce mit à rougir en comprenant ce que je voulais, il est vraiment trop mignon quand il rougit. Sa me donne encore plus envi de le dévoré. Je me laissai tombé en arrière sur le lit, le fixant avec provocation attendant qu’il ce décide à bouger sur moi. Il ferma les yeux et ce mit à bouger sur moi. Il était magnifique là à bouger sur moi son visage rougi par la gène et le plaisir. Je posai ma main sur sa joue et il ouvrir les yeux pour me regardait. Je lui adresse un sourire tendre.

- je t’aime. Murmurais-je le fessant rougir encore plus. Il ce pencha vers moi et déposa ses lèvres sur les miennes.

- je t’aime aussi.

Je le serré contre moi avec force. Je suis tellement heureux jamais je m’aurais cru que ce jours soit arrivé. Je l’embrassai encore et encore l’aidant à ce mouvoir sur moi. Je n’avais jamais pris autant de plaisir à possédé quelqu’un qu’à cette instant. Je l’aime, je l’aime tellement.

 

 

- aaah…Gil…je vais jouir…

- moi…aussi…ensemble…

Je le sentis ce resserré autour de moi, alors qu’il crier de plaisir. Et je me déversai en lui dans un cri d’organes que j’eu du mal à retenir. Je ne laissai retomber sur lui à bout de souffle. Il referma ses bras autour de moi essayant de reprendre lui aussi son souffle. Je me sentais comme sur un petit nuage. C’était donc ça le bonheur d’être avec la personne que l’ont aime. Je n’avais pas envi de me retiré de lui mais je me voulais pas lus faire mal à resté sur lui. Je me retirai et m’allongeant à côté de lui. Il vient ce blottir contre moi posant sa tête sur ma poitrine.

- ton cœur bat tellement vite.

- la faute à qui.

- à moi. Le mien et dans le même état. C’était vraiment merveilleux Bruce. Tu es incroyable.

-hm je te retourne le compliment. Tu étais sublime quand tu bouger sur mon sexe. Il caché bien son jeu l’hétéro.

- arrête de te foutre de ma gueule.

- je ne…merde. Je le repoussai et sorti du lit en vitesse.

- Gillian. Qu’es ce qui ce passe.

Je ne précipitai dans la salle de bain. Et l’eau avait envahit la pièce. J’arrêtai l’eau mais le mal était déjà fait. On c’était laisser envahir par le désir et j’en avais totalement oublié d’en éteindre l’eau. Je pris une serviette pour éponger le sol. J’arrêtai de bouger lorsque je sentis les bras de Bruce m’entouré et son rire doux résonné à mon oreille.

- laisse le mal et fait. De toute façon je ne m’aime pas cet endroit. Je veux quand ce trouve un endroit juste à nous deux. Quand reparte totalement de zéro. Un endroit où en pourra construire notre vie, un foyer accueillant. Et où l’ont pourra construire une famille.

Je me retournai les lui le fixant étonné.

- tu essaye de me dire que tu veux vivre avec moi et construire une famille.

- oui c’Est-ce que je veux. Repartons du début. Tu en as envi.

- oui. Répondis-je dans un souffle avant de l’allongé sur le sol tremper pour l’embrassé avec passion. Oui on va tout reprendre du début. Juste lui et moi.

- on le prend ce bain. Demanda-t-il en souriant.

- oui.

 

Je m’étais que son ami.

Je m étais qu’un substitut.

Je suis l’homme de sa vie.

 

 

 

 et voila c'est la fin. sniff. j'espère que cette épilogue vous aura plus. je déteste écrire les épilogue mais celle là je l'aime assez. je me suis pris la tête pour savoir comment ça aller fini. j'était partager en deux, pardonne pardonne pas. mais je suis faible. sniff. alors voila encore une happy end. bisous à tous et merci d'avoir lus cette fic.

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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Jeudi 11 février 4 11 /02 /Fév 17:41
c'est le dermier chapitre avant l'épilogue. on va bientôt leurs dire au revoir. sniff.


CHAPITRE 12 :

 

 

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Le taxi s’arrêta devant la maison. Je réglai la course et sorti de la voiture avec mes valises. Je regardais cet endroit que j’avais fuis. Rien n’avait changé. Moi non plus à vrai dire. J’ouvrir la porte et une vague de souvenir m’envahit, des souvenirs heureux, et de bien mois heureux. Je passai devant le salon sans ni arrêté, je ne voulais pas revivre cette scène, lorsque je posai le pied sur la marche des escaliers, je le revis me fixant avec incompréhension. Puis son regard lorsqu’il ce laisser entrainer par cette femme. Je croyais avoir oublié mais tout ses souvenir me revenais avec tellement de force que j’avais peur de sombré à nouveau. Je n’aurais sans doute pas du revenir. C’est bien trop tôt sa à été si dure de pouvoir l’oublier ne serrais ce qu’un peu. Mais je devais être fort et reprendre la cour de ma vie.

 

J’ouvris la porte de ma chambre et je nous revis allonger sur ce lit entrain de faire l’amour. « Je te choisirais toi ». Je refermai la porte. Je ne pouvais pas. Je sursautai lorsque j’entendis sonner à la porte. Ce devait être André, il avait dit qu’il viendrait me voire. Je redescendis pour ouvrir la porte et j’en restai sans réaction. Non ce n’est pas possible. Pourquoi et il là ?

- Ca fait longtemps Gillian. Un an déjà. J’ai cru que tu ne reviendrais jamais.

Il était là devant moi encore plus beau que dans mes souvenirs. Pourquoi et il là ? Pourquoi aussi tôt ? Je détournai les talons pour re-rentré dans la maison. Laissant la porte ouverte lui fessant comprendre qu’il pouvait entrer. Il ne suivi jusqu’à la cuisine.

- Je ne suis rien à t’offrir, je suis désolé je n’ai pas eu le temps de faire les courses.

- Ce n’est pas grave. Répondit-il en s’asseyant en face de moi.

- Comment à tu su que je rentré aujourd’hui ? Ma voix était froide, jamais je ne lui avais parlais de la sorte mais je ne voulais plus me laisser avoir par lui. Je le regardais droit dans les yeux sans sourciller, je ne devais plus me montré faible face à lui.

- Je ne le savais pas. Tu ne m’as pas vu ?

- De quoi tu parle.

- Tout les jours depuis que tu et parti je viens m’assoir en face de cher toi attendant que tu rentre mais tu n’es jamais revenu. Pourquoi es ce que tu n’as abandonné.

- Je ne t’ai pas abandonné. Je fais ce que je veux de ma vie, je ne suis pas à ton service. J’ai ma vie. J’en avais marre de devoir m’occuper de toi à longueur de journée.

- Je dois comprendre que tu ne veux plus de moi dans ta vie. C’est ça ?

- C’est tout à fait ça. Tout les deux en à était ami durant 20 ans. Je crois que l’on à fait le tour. De toute façon je ne vais pas resté ici bien longtemps. Tu fais parti de mon passé Bruce, pas de mon avenir.

- Alors c’était faux ce qu’elle a dit. Tu ne m’aime pas.

Je respirai doucement pour essayer de me calmé, j’allais craquer s’il ne partait pas vie mais il fallait mettre les choses aux point pour ne pas avoir à le regretté plus tard. Il avait baissé la tête, je le voyais tremblais. Non je ne devais plus craqué. Je ne veux plus replonger et souffrir à nouveau.

- Non elle avait raison. Tu crois que je t’aurais laissé me baiser si je ne t’aimé pas ? Tu me crois comme ça ? Je t’aimais depuis toujours je crois. C’est grâce à toi que j’ai sus que j’étais gay. J’arrêté pas de te regardé, de t’admiré mais toi…pour toi je n’étais qu’un ami, une épaule sur laquelle pleuré. Tu m’as fait souffrir. Tu me baiser et c’est elle que tu appelais. Mais je te laisser faire parce que je t’aimé. J’y ai crut ce soir là. Lorsque tu m’as dit que tu me choisirais moi mais tu me la pas fait. C’est toi qui m’as abandonné. Tu as choisit alors s’il te plait arrête de remuer le couteau dans la plaie. Va la rejoindre et soit heureux.

- Tu… c’est toi qui es parti…ce matin là…pourquoi tu n’es pas resté ?

- Parce que. Tu n’aurais rejette.

- Tu aurais du me le dire.

- De quoi que j’étais raide dingue de toi et que tu ne rendais fou. J’ai réussi à t’oublier Bruce alors arrête.

-Tu…tu n’as oublié…on…c’est vraiment fini…tu veux plus jamais ne voire ?

- Oui. Sort de ma vie s’il te plait.

Il ce leva, il tremblait, je savais qu’il pleurait mais je n’aller pas me laisser avoir. Il fallait que son ce finisse. Je me le regardais pas, je n’en avais pas la force.

- Je t’aurais choisit Gillian. Tu es parti avant de me laisser le temps de…

- TA GUEULE JE NE TE CROIS PAS. ARRÊTE DE MENTIR. JE TE DETESTE ALORS SORT DE MA VIE.

J’avais craqué, il fallait qu’il parte. Je ne voulais pas l’entendre me dire ce jors de choses. Pas alors que j’avais renoncé à tous espoir. J’entendis ses pas s’éloigner et la porte ce refermé. Il était enfin parti. C’était enfin fini, il était enfin sorti de ma vie. Et j’allais pouvoir vivre heureux. Alors pourquoi es ce que je pleure ? Pourquoi es ce que j’ai si mal ? Je ne devais pas l’aimais. Il ne fait que mentir et me faire du mal.

 

 

- Gil te voila.

André me serra avec force dans ses bras, je répondis à son étreinte, il m’avait tellement manqué.

- Tu va bien désoler je ne suis pas put venir te voire hier.

- Il est venu…je lui ai dit de sortie de ma vie. C’est vraiment fini cette fois ci. J’ai tellement mal. J’aurais cru que ça aurait était plus simple, que j’aurais réussi à l’oublier mais lorsque je l’ai vu j’ai su que je l’aimé encore. Qu’es ce que je vais faire.

- Sa va s’arrangé Gil, je vais t’aidé.

 

 

 

Je descendis de ma voiture. Et je sentis mon cœur s’emballer lorsque je le vis assit sur le banc en face de chez moi. Il me fixait droit dans les yeux. Depuis combien de temps était-il là. Pourquoi ne rentré t-il pas chez lui ? À quoi joué t-il ? Je ne devais pas aller le voire. Je ne devais pas le laisser re-rentré dans ma vie. Je détournai les talons pour rentré cher moi. On ne peut pas revenir en arrière. C’est trop tard.

 

 

dit moi ce que vous en pensé. l'épilogue c'est pour demain.
Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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Mercredi 10 février 3 10 /02 /Fév 16:35

CHAPITRE 11 :

 

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J’avais arrêté de respirais. Non ce n’est pas possible sa ne devait pas être dit de la sorte. Pas par elle, pas avec ses mots. Non. J’avais envi de disparaitre, s’il y avait un trou je me serré jetais dedans. C’étais plus que je ne pouvais en supporté. Je ne supporté plus le silence. Je suis sur qu’il va partir en courant et ne plus jamais vouloir me voire. Je pris mon courage à deux mains pour le regardais. Il me fixait les yeux remplis d’étonnement et d’une autre chose que je n’arrive pas à décrire. Dit quelque chose Bruce, dit lui que c’est moi que tu aime et pas cette pouf. S’il te plait dit le lui.

- c’est…c’est vrai ? Demanda-t-il avec innocence. Pourquoi faut-il qu’il soit si aveugle.

- va-t’en Bruce. S’il te plait va t’en et oublie moi. J’ai été que bien trop patient. Je suis à bout de force. Je ne peux plus Bruce, je n’en ai plus la force. S’il te plait va t’en soit heureux et oubli moi.

J’avais l’impression que mes jambes allaient céder sous le poids de ma tristesse, qu’il parte avant que je ne me rende encore plus pitoyable à ses yeux.

- mais Gil…

- VA-T’EN. Criais-je à bout de force. TU AS RETROUVE LA FEMME DE TA VIE. TU N’AS PLUS BESOIN DE MOI ALORS VA T’EN.

- il a raison mon amour. Tu m’as moi tu n’as plus besoin de lui.

Elle m’arracha son sac des mains me jetant un regard assassin alors qu’il ne fixait toujours totalement perdu. Elle le prit par le bras pour le tiré vers la sorti, il ce laissa entrainé sans détaché son regard de moi jusqu’à ce que la porte ce referme sur eux et que je m’écroule au sol, à bout de force ne pouvant plus retenir mes larmes.

C’était sans nul doute la dernière fois que je le voyais, je venais de perdre mon meilleur ami. De perdre l’homme que j’aime. J’avais tout perdu et je me retrouvé seul.

De nous deux je suis sans doute celui qui avait le plus besoin de lui, j’étais le seul qui aller souffrir de cette éloignement.je voulais tant que cette douleur cesse. Il avait menti c’est elle qu’il a choisit. Je le savais mais comme un con j’y ai cru.

Je n’avais même plus la force de me levé. Je n’avais plus la force de faire quoi que ce soit à par pleurais encore et encore. J’ai si mal. Il faut que j’oublie, il faut que je parte de cet endroit. Que j’oublie tout ce qui le concerne.

 

J’ai fini par me levé pour aller vers le mimi bar et je pris une bouteille et en avala un longue gorgé, je me buvais jamais. Je n’étais même pas fait ça lors de la mort de mes parents. Cela ne m’avait pas fait aussi mal. Je veux juste oublier ne plus pensé à rien. Je me levai pour prendre le cadre poser sur le buffer comme la plupart des photos de cette maison c’était Bruce et moi sur la photo, cette fois ci ont été parti faire du ski, ont été bras dessus bras dessous mon ski à la main un sourire heureux sur le visage. C’était tout juste quelque mos avant qu’il ne rencontre cette pute. Des le premier regard je l’avais déteste. Elle ne fait que jouer avec lui et il ne voit rien. Moi je serrais l’aimé comme il le mérite mais il ne veut pas de cette amour que je lui offre.

 

Je crois que j’avais fini par m’endormir après avoir descendu une bouteille de vodka. Ce n’étais pas la meilleure des solutions mais sur le moment c’est celle qui n’avais semblais la meilleure. Que pouvais-je faire d’autre à part noyer mon chagrin.

 

 

J’étais assis dans mon jet privé, une paire de lunette sur les yeux, pour caché mon regard fatigué et cerné. Je n’étais réveillé allongé à même le sol, courbaturé et en très mauvaise état. J’avais vomis tout ce que j’avais bu et plus encore. J’étais vraiment dans un état pitoyable. Dés que j’avais réussi à prendre une douche et à reprendre un peu mes esprit j’avais mit des affaires dans une valise et avais quitté cette endroit qui ne me rappelait que trop Bruce. J’avais décidé de faire le tour de tous les hôtels de notre compagnie. Cela me prendrait des mois et me permettre de faire le vide dans ma vie et dans mon cœur.

-allô André.

- salut Gil. C’est bon d’entendre ta voix. Sa va ?

- j’ai besoin que tu t’occupe de mes affaires pendant que je fais le tour de nos établissements.

- pourquoi ?

- c’est fini André. Il est au courant et il la choisit elle, j’ai besoin de partir loin de lui. Loin de tout ça.

- merde. Je…tu veux que je vienne avec toi.

- André tu veux faire quelque chose pour moi ?

- bien sur.

- soit heureux pense juste à ton couple, à ta famille.

- mais…

- s’il te plait André. J’ai juste besoin d’être seul. De remettre de l’ordre dans ma vie, dans mes sentiments. Je reviendrais dés que je serrais prés à l’affronté. Sa va sans nul doute ne prendre un certain temps.

- prend ton temps. Je veux que toi aussi tu sois heureux.

- j’ai jeté mon téléphone pour qu’il ne puis pas ne joindre. Je t’appelle dés que j’ai un nouveau téléphone.

- fait attention à toi Gillian et revient nous vite. Je t’embrasse.

- moi aussi.

Je raccrochai et me laissa aller dans mon fauteuil fermant les yeux, je suis épuiser. Je vais juste dormir un peu. Peut être qu’à mon réveille tout cela ne serra plus qu’un mauvais rêve.

 

 

 voila j'espère qu'il vous aura plus. il ne reste plus qu'un chapitre avant l'épilogue. j'ai pas envi d'arrêté cette fic mais les bonne choses en toujours une fin. et puis j'en ai encore plein d'autre en progé. bisous à tous.

Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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Mardi 9 février 2 09 /02 /Fév 09:47
a80570f9194a.jpg Don't cry Otouto image by crimson_darkcrow

CHAPITRE 10 :

 

 

 

J’avais eu beaucoup de mal à travailler aujourd’hui je n’avais pas put me sortir de la tête ce qui c’était passé hier soir. Je sentais encore son corps contre le mien, en moi, ses lèvres, ses caresses. Il avait réussi à me rendre fou et encore plus amoureux de lui. Je savais que j’allais en souffrir. Ce matin lorsque je m’étais réveillé il dormait encore alors je l’avais regardé dormir mais je n’avais pas eu le courage de resté jusqu’à son réveille. Et j’avais peur de rentré chez moi, j’avais un mauvais présentiment. Hier soir ça avait été bien trop beau.

 

Il était dix neuf heures passées lorsque je rentrai à la maison. Je posai mes affaires dans le vestibule. J’entendais des voix venant du salon plus je n’en approché et plus je sentais mon cœur ce serré. Et je cru perdre pied lorsque je les vis. Il était assit sur le canapé dos à moi, une blond assit sur ses cuisses l’embrassant avec provocation lui dévorant la bouche avec vulgarité. Merde il avait dit qu’il me choisirait. Je le déteste. Pourquoi ne fait-il autant souffrir. Que fessait-elle là ? Pourquoi maintenant ? Et le pire c’est qu’il la baiser dans mon salon, sur mon canapé. Là où il n’avait baisé. Comment ose t-il me faire ça. La nuit dernière ne représente donc rien pour lui ? Je pleurais toutes les larmes de mon corps les écoutant gémir de plaisir. J’avais si mal que la mort aurait été bien moi douloureuse. Pourquoi ? Comment pouvait-il briser mes espoirs aussi facilement ? Comment pouvait-il me faire l’amour avec tant de passion et de tendresse pour ensuite baiser cette pute. Il avait choisit et ce n’était pas moi, je n’avais plus la force de supporté cela. De n’être que son ami son confident. Comment ce contenté de son amitié quand en à eu son amour. Je ne le peux plus. Je ne suis pas assez fort pour ça.

Je voulais partir fuir aussi loin possible de lui, mais mon corps refuser de bougé.

- aaah…Clara c’est bon…tu m’as tellement manqué.

Tu la préfère à moi, je n’ai rien à t’offrir de plus qu’elle à part un amour sincère.

- je t’aime Clara.

Il venait de m’arraché le cœur une bonne fois pour toute brisant tout mes espoir fou.

- ne me laisse plus jamais mon amour. Je ne peux pas vivre sans toi.

Stop arrête de parlé s’il te plait. Ne dit plus rien arrête de joué ainsi avec mon cœur. J’avais envi d’aller les séparé de le frapper, de lui crier de m’aimé, de m’aimé que moi. De me regardais, de me regardais que moi. Mais à quoi bon. C’était perdu d’avance. Je ne pouvais pas gagner face à cette femme. Moi je n’étais que le meilleur ami qui ce laisser baiser dans tout les sens du terme. Mais aujourd’hui je m’en ai plus la force. Je n’étais qu’un substitut et maintenant je ne suis plus rien. Il ne serra jamais à moi. Il n’a jamais été à moi de toute façon. Je me demande s’il prend plus de plaisir avec elle qui m’en à pris avec moi. Ils finir par jouir s’embrassant encore et encore et je sentis mon cœur ce biser pour de bon. Il fallait que je parte où je vais devenir fou.

 

Je me figeai lorsque je vos quel me regardé un sourire victorieux aux lèvres elle savait qu’elle venait définitivement de me l’enlevé. J’ai envi de la tuer.

- bébé. Il revient quand l’autre abrutie ?

- je ne sais pas.

- oups il y a un vilain garçon tout jaloux qui nous regard. Le vilain pervers.

Bruce ce retourna vers moi. Je ne pouvais pas affronter son regard. Si je croiser ce regard qui n’avais regardais avec tant d’amour hier et qui à présent m’avait d’yeux que pour elle j’allais me mettre à pleurais. Je détournai les talons me répondant pas à ses appelle, je voulais qu’il parte d’ici, qu’il cesse de me faire souffrir. Je montai dans la chambres qu’il occupé et prit ses affaires les rangeant dans sa valise, je pris ce qu’il avait laissé dans la salle de bain. Je ne devais pas réfléchir et le mettre dehors tout de suite avant qu’il ne m’entraine dans des abysses donc je ne pourrais plus jamais en sortir.

Je descendis, il était au pied des marches me fixant incrédules. Ne voit-il donc rien, est-il aveugle à ce point. Pourquoi es ce que je suis amoureux d’un abrutie comme lui. Ouvre les yeux Bruce.

- Gil…qu’es ce que tu fais…mes affaires…tu…

- tu n’as plus besoin de resté là vus que ta salope et venu te cherché.

- mais Gil…

- ta gueule Bruce. Je veux plus te voire. Fou le camp d’ici. Dégage de cette maison. Je te déteste.

- mais Gil…on c’est remis ensemble…tu n’es pas…

- NON. C’était sans nul doute la première fois que je lui crier dessus, il me fixait étonné aux bords des larmes, d’habitude je l’aurais pris dans mes bras mais là je m’en peux plus je suis à bout et sa doit sortir. JE VEUX QUE TU FOUTES LE CAMPS D’ICI. JE NE VEUX PLUS JAMAIS TE REVOIR. DEGAGE ET PREND TA SALOPE AVEC TOI. ARRËTE DE ME FAIRE DU MAL. JE TE DETESTE. TU N’ES QU’UN CONNARD. FOU LE CAMPS D’ICI.

Il était blanc comme un linge, il été trop tard maintenant pour faire demi tour, je dois m’éloigner de lui. Tant qu’il n’est pas trop encore trop tard.

- Gillian, attend…on est ami…je…on va parler tu va me dire ce qui ce passe…je…

- je…

J’étais à deux doigts de craqué et de me jeté dans ses bras pour pleurais et lui dire que je ne le pensé pas. Je suis totalement perdu. Mais lorsque je vis Clara venir ce coller à lui posant ses lèvres dans sa nuque me fixant avec provocation je perdis tout envi de le pardonné.

- chéri c’est évident. Tu ne vois donc rien. Cet homme cherche à nous séparé, il est jaloux de notre bonheur.

- non ce n’est pas vrai il n’est pas comme ça. Gil.

J’avais baissé la tête n’osant pas le regardait. Que voulait-il que je lui dise que je l’aime et que je meurs de le voire avec elle.

- il veut nous séparé parce qu’il ne supporte pas de me voire à tes côté.

- pourquoi ?

- parce qu’il est amoureux de toi mon amour.

 

 

 

 

 il ne reste que deux chapitre avant l'épilogue. voila jespère qu'il vous aura plus.

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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Lundi 8 février 1 08 /02 /Fév 17:12

CHAPITRE 9 :

 

 

Je venais de rentré chez moi. Je n’avais pas le courage d’aller au boulot. André avait pris plusieurs jours de vacance pour remettre de l’ordre dans son couple et malgré ma peine je prier pour qu’il y arrive. Je posai mes affaires dans le vestibule.je rangé ma veste dans le placard et lorsque j’en refermai la porte je vis Bruce qui me fixait le regard brûlant de colère.

- où es ce que tu as passé la nuit ? Sa voix était froide pleine de rancœur et sa ne fit qu’ajouté à mon mal être. Qu’es ce que ça pouvait bien lui faire de savoir ce que je fessais. Je voulus partir mais il me reteint par le bras me plaquant avec force contre le mur. Merde pourquoi il fait ça ? Pourquoi ce montre t-il jaloux ?

- où était tu Gillian. J’ai passé toute la nuit à t’attendre comme un con. Tu aurais du me prévenir. T’était avec un autre mec.

- oui et alors je ne t’appartiens pas. Je fais ce que je veux. Alors lâche-moi petit con.

Il me lâcha, il avait perdu la colère dans son regard. Je me détournai de lui et monta pour aller dans ma chambre. Je m’écroulai sur le lit et je ne pouvais plus retenir ma tristesse. Je voulais juste être seul mais il frappa à la porte.

- Bruce fou moi la paix s’il te plait. J’ai juste besoin d’être seul.

Mais il entra tout de même dans la chambre, il resta quelques secondes sans rien faire. Mon cœur bater la chamade. J’avais envi qu’il me serre dans ses bras. Que ce soit lui qui me console pour une fois. Je me tendis lorsque je senti le lit s’affaisé sous son poids et ses bras venir m’enlacé.

- Gillian parle moi. Qu’es ce qui c’est passé ? Quelqu’un t’as fait du mal ?

- non. C’est fini.

- de quoi tu parle ?

- André…sa femme elle à découvert que l’ont été amant et c’est fini.

- tu…tu es amoureux de lui ? Je crus déceler une pointe de tristesse dans sa voix mais cela devait être une hallucination de mon cœur blessé.

- non, enfin c’est compliqué. Je l’aime mais c’est difficile à expliqué.

Je sentis son étreinte ce faire plus ferme autour de moi alors que ses doigts caressé mes cheveux. Je sentis ma peine s’adoucir dans mon cœur. Je commençais à m’endormir bercé par la chaleur de son corps, les battements de son cœur, sa respiration régulière mais sa me dura pas bien longtemps. Lorsque je sentis son excitation, je voulus m’écarté de lui ais il me gardait fermement dans ses bras.

- Bruce. Non. S’il te plait pas aujourd’hui.

Il m’allongea sur le dos ce plaçant sur mon bassin plongeant son regard dans le mien.

- je vais te le faire oublier.

- comment en me baisant en me pensant qu’à ton plaisir ? C’est comme ça que tu veux me faire oublier quelqu’un qui savait m’aimé.

- non. Moi aussi je vais t’aimé.

- arrête de joué avec mes sentiment Bruce. Je détournai la tête de lui pour cacher ma tristesse. Il prit mon visage entre ses doigts avec douceur pour que je le regard. Il me fixait avec tant de douceur et d’envi que sa me fit tremblais. C’est moi qu’il regardait, c’est pour moi qu’il bandé et j’avais tellement de mal à y croire. Je croyais qu’il trouvé cela répugnant. Je me le comprends plus. Il ce pencha vers moi et je crus devenir fou lorsque ses lèvres frôlaient les miennes, elles étaient si douces encore bien meilleur que tout ce que j’aurais pus imaginé. Sa m’avais été qu’un bref contact mais si grisant. Il ce redressa pour me regardais à nouveau. Son regard brillé d’une lueur que je ne lui avais encore jamais vu. Il fit glisser ses doigts sur mes lèvres avec douceur les fessant passé entre mes lèvres je fermai les yeux le laissant joué avec moi comme il le voulait. Il ce pencha à nouveau vers moi, je sentais son souffle sur mes lèvres. Il veut ma mort pas de doute il c’est comment rendre fou de désir quelqu’un.

-je vais te le faire oublier. Tu en as envi ?

-… bien sur que j’en ai envi fait moi l’amour s’il te plait. Je ne pouvais pas lui dire ça.

- Gil. Répondant moi. Murmura-t-il dans un souffle brûlant me fessant totalement perdre la tête. Si tu ne veux pas je ne ferais rien.

-je…fais moi oublié…s’il te plait.

Je ne voulais pas ouvrir les yeux, j’avais peur que tout cela ne soit qu’un rêve.

- Gil regard moi quand tu dis ça ? Je veux que tu ne regard que moi.

C’est lui qui oser dire ça. Mais je ne pouvais rien lui refusé je suis bien trop faible face à lui. J’ouvrir les yeux pour tombé sur ses deux prunelle qui me fixait avec un désir évident.

- s’il te plait Bruce…fait moi tout oublié. S’il te plait.

Je crus nourrir lorsqu’il posa enfin c’est lèvres sur les miennes. Il veut ma mort, c’est tellement bon que j’ai l’impression d’être dans un autre monde, tellement merveilleux. Je glissai mes bras autour de sa nuque le collant d’avantage contre moi. Alors qu’il fit entré sa langue entre mes lèvres me fessant totalement perdre la tête. Sa langue était si chaude, combien de fois déjà avais-je rêvé de cela, de ce simple baiser. J’aurais voulut qu’il ne cesse jamais de m’embrassé, je sentis ses mains ce glisser sous mon haut pour caressé ma peau. Où seigneur je vais nourrir c’est beaucoup trop d’un coup, d’habitude il ce contente de m’arraché mes fringue et de me prendre son ménagement. Mais là il était si doux. Il relâcha mes lèvres pour reprendre son souffle mais je l’attrapai par la nuque pour le attiré à mes lèvres.

- m’arrête pas de m’embrassé.

- j’en avais pas l’intention répondit-il en reprenant mes lèvres. Il me fit me redressa pour me retiré ma chemise alors que je m’empressai de lui retiré son t-shirt avant de me rejeté sur ses lèvres comme un affamé. Alors que mes mains caressé son corps avec avidité. Je le laissai ce défaire de mes lèvres avec regret alors qu’il les posa dans mon coup. Je fermai les yeux le laissant faire. Totalement griser. Jamais je n’avais prit autant de plaisir dans les bras d’un homme. Ça ne fessait que me rendre encore plus amoureux de lui. Il détâcha mon pantalon et j’ouvrir de grand yeux étonné lorsque je sentis sa main prendre mon sexe.

- non Bruce ne fait pas ça ?

- pourquoi ? Demanda-t-il en mordillant mon oreille.

- parce que tu n’es pas gay. Ne le fait pas si ça te dégoûte.

- si je le fait c’est que j’en ai envi. J’ai envi de te donné du plaisir. Laisse-moi faire. J’ai envi de faire ça avec toi.

Je refermai les yeux le laissant faire, ses mains était brûlant sur mon sexe m’enflammant encore plus, il me rendait dingue avec de simple caresse. Je suis bien trop faible. Il me branler alors que ses lèvres jouais avec mes tétons.

- t’es aussi sensible qu’une femme.

- fou toi de moi. Je suis sur que toi aussi t’es sensible ici.

-non.

Je me redressai pour arrivé à la hauteur de ses seins et il fit passé ma langue le faisant frèmir à ce simple contact. Je mordillai ses petits bouts de chaire, les aspirants, jouant de ma langue. Et je redressai la tête victorieuse lorsqu’il échappa un gémissement de bien être.

- victoire.

- petit con.

Il me plaqua sur le lit en m’embrassant à nouveau, il me fit retirer mon pantalon et mon boxer. Et j’en fis de même. Il ce glissa entre mes cuisses me faisant sentir son érection reprenant mon sexe en main pour me caressé.

- Bruce…je…j’ai envi…je…laisse moi faire s’il te plait.

Il me souri et s’allongea sur le lit me fixant en silence. J’avais envi de gouté son corps entièrement. Je me plaçai sur son bassin plongeant mon regard dans le sien.

- tu me laisse faire. Mais si sa te dégoute j’arrête.

Il me caressa la joue avec douceur déposant un chaste baiser sur mes lèvres me donnant envi de pleurais de bonheur.

- fait ce que tu veux Gil. Il me fixait en silence sans la moindre peur. J’aurais voulut le prendre sur le champ mais je sais très bien que ça il ne le voudra pas. Je posai mes lèvres dans sa nuque goûtant enfin à sa peau. Elle était si douce, si savoureuse, j’en léché, j’en embrassé chaque centimètre carré, me voulant pas en perdre une seule miette. Et mes mains me resté pas sans rien faire caressant son corps offert avec avidité. J’ai rêvé de cet instant durant des années et je voulais qu’il dure encore et encore. J’adore l’entendre gémir sous mes coups de langues. J’allais tellement lui donné de plaisir qu’il aller en oublier sa pouf et qu’il ne pensera plus qu’à moi. Qu’il tombe enfin amoureux de moi. Une nuit pouvait tout changer où tout détruire. J’embrassai sa paume d’adam, fit glisser ma langue jusqu’entre ses deux seins. J’aller prendre tout mon temps pour le faire jouir. J’aller le rendre fou et accro à moi.

- alors tu aime ? Lui demandais-je alors que je jouais à nouveau avec ses petits bouts de chaire.

- c’est agréable, j’aurais jamais cru qu’un homme aimé ça.

- il y a encore plein de choses que peux aimer un homme Bruce et je vais te les faire découvrir.

- tu ne va pas…

- non, je n’irais pas jusqu’à la. Tu n’es pas gay.

 

Je fis glissé ma langue le long de son torse jusqu’à son nombril. Puis je remontai mon visage soufflant sur le sillon que je venais de faire le faisant trembler de plaisir. Il était vraiment sensible, j’allais lui apprendre le plaisir des préliminaires. Je suis sur de pouvoir le faire jouir avec de simples caresses. Je me glissai entre ses jambes et me laissa faire sans rien dire, toujours aussi confiant en moi. J’embrassai sa cheville, puis ses mollets fessant remonté mes lèvres jusqu’à ses cuisses, jusqu’à son sexe, je le frôlai de mes lèvres, soufflant dessus, il crispa ses doigt sur les draps gémissent de plaisir.

- hm Gillian, j’en peux plus là.

- chut. Je continuais de caressé son corps de l’embrassé, de le léché. Le rendant totalement fou de plaisir. J’embrassai sa rosette et je le sentis ce tendre.

- laisse toi faire Bruce. Fait moi confiance. S’il te plait.

- oui.

Je replongeai entre ses cuisses, passant ma langue sur sa fleur encore vierge, cette fois ci il laissa échapper un gémissement de plaisir.

- c’est…c’est agréable. Continu.

Je continuai à donné des coups de langue et fini par réussir à faire rentré ma langue le faisant jouir sur l’instant. Victoire. Je remontai vers son visage le regardant ce remettre de son orgasme. Il était tellement beau après avoir atteint l’orgasme. Les joues rougi par le plaisir, le souffle saccadé, les cheveux en batail, en sueur, oui il était vraiment beau et j’étais fou de lui. Il ouvrir les yeux. Ne fixant en silence. Il leva la main pour caressait ma joue du bout des doigts.

- c’était incroyablement bon Gillian, jamais je n’aurais crut prendre autant de plaisir un jour.

- ce n’est que le début. Je t’ai dit qu’il y avait plein de chose qu’aimé les hommes à part mettre leurs bite dans un trou.

- tu deviens vulgaire là.

- désolé. Répondis-je en posant mon front contre le sien. Attendant de savoir s’il voulait continuais.

- pourquoi tu t’arrête Gillian.

- t’as peut pas envi de continué vu que tu as déjà jouit.

- j’ai très envi de continué. Répondit-il en m’embrassant à nouveau avec douceur et je souriais en voyant qu’il été encore excité.

- cette fois ci je vais te montré qu’un mec suce mieux qu’une femme.

- je demande qu’à voire.

Je me mis pas plus longtemps et pris son sexe en main, le caressant avec douceur. Alors que mes lèvres étaient à nouveau contre les siennes et que nos langues jouaient encore l’une contre l’autre. Je fini par cessé d’embrassé ses lèvres pour descendre le long de son corps jusqu’à son sexe. Je passai ma langue sur son gland, le faisant gémir de plaisir. Ce que j’aimais l’entendre gémir sous mes caresses. J’avalai son sexe autant que je le pouvais alors que j’enfonçai un doigt en lui.

- hm Gillian…c’est bon.

Je n’en avais pas l’intention.

- attend Gil…je arrête.

Je le relâchai pour relevé la tête vers lui.

- tu n’en as plus envi ? Demandais-je avec tristesse.

- ce n’es pas ça…je…tu… Il ce mit à rougir et je trouvai ça trop mignon. Il plongea son regard dans le mien avec détermination. Je veux te le faire aussi.

Je crus en nourrir de bonheur. Il avait envi de m’avoir dans sa bouche. Mais je voulais l’entendre le dire clairement.

- que veux-tu me faire au juste Bruce.

- arrête c’est gênant.

- très bien alors je continue.

- non…je veux te sucer.

Il avait lancé sa d’une traite en devenant aussi rouge qu’une tomate. Il est vraiment trop mignon mon amour. Je me jetai sur ses lèvres pour l’embrassé avec passion fou de bonheur. Avant de lui adressait un sourire tendre. Je l’aime tellement.

- tu veux me le faire en même temps que je te suce où après.

- en même temps…je ne sais pas comment faire….alors…je ferais comme toi.

- d’accord. Tu en es sur ? Si tu n’aime pas-tu arrête tout de suite. Ok ?

- oui. D’accord.

 

Je me plaçai en 69 sur lui et reprit son sexe en bouche le faisant à nouveau gémir de plaisir. J’attendais qu’il ce décide à vouloir me prendre en bouche, je ne voulais pas le brusqué. Je crus nourrir de plaisir lorsqu’il enroula mon sexe entre ses lèvres, sa bouche était si chaude, si agréable. Il cherche à me rendre fou d’amour. Comme si cela était possible. Il était un peu maladroit mais il append vite. Chaque caresse de ses lèvres, de sa langue me rendait totalement fou que j’avais bien du mal à me concentré sur ce que je lui fessais. Je retenais un cri de plaisir lorsqu’il alla caresser ma rosette de sa langue. Jamais je n’aurais crut qu’il peut faire cela un jour. Je n’aurais jamais cru pouvoir prendre autant de plaisir un jour. Il enfonça ses doigts en moi, alors que ses lèvres reprisent leurs places sur mon sexe. Je fis de même et je le sentis ce tendre et jouir entre mes lèvres. Je me délectai de sa semence avec plaisir.

- Bruce…attend arrête…je vais jouir…arrête…aaah

Je ne peu me retenir plus longtemps et éjacula entre ses lèvres il ce recula aussitôt en toussant, je me retournai pour lui faire face, le regardant avec inquiétude.

- je t’avais dit d’arrêté. Tu n’es qu’un idiot.

- c’est bizarre. Mais je voulais le faire jusqu’au bout.

Je laissai tomber ma tête sur son épaule. Pour caché mon sourire et ma tristesse.

- tu ne devrais pas faire ça. Tu n’es pas gay.

Je me retrouvai allongé sur le lit Bruce sur moi avant même d’avoir put dire ouf. Il me fixait avec douceur, ses doigts glissaient sur ma joue, son regard était si tendre, c’est moi qu’il regardait et pas cette pouf. Savait-il qu’il est entrain de m’enchainer encore plus à lui. À cet amour impossible. Parce qu’il ne serra jamais réciproque. C’était juste pour une nuit demain tout redeviendrais comme avant.

- j’ai envi de tout découvrir avec toi Gil. C’est comme ça que l’ont aurait du commencé.

- qu’es ce que tu entends par commencer ?

- j’ai envi de te faire l’amour. Je n’en peux plus. Laisse moi te pénétré maintenant. S’il te plait ?

- va-y Bruce. Moi aussi j’en ai très envi. Mais soit doux cette fois ci.

- oui. Répondit-il dans un murmure contre mes lèvres. Alors qu’il enfonça deux de ses doigts en moi, me fessant gémir de plaisir. C’était si bon, il n’aller pas me baiser pour une fois, il aller me faire l’amour. Je glissai mes bras autour de sa nuque, enfonçant ma langue entre ses lèvres. J’avais tellement envi de lui.

- Bruce…maintenant…prend moi maintenant…je peu plus attendre.

- moi non plus.

Je voulu me retourné, après tout il m’as presque toujours prit par derrière alors c’est un automatisme mais il me retient me rallongeant sur le dos pour reprendre mes lèvres, juste un simple baiser et les mots qu’il murmura juste après me remplir de joie.

- j’ai dit que je voulais te faire l’amour et je veux pouvoir te regardais et t’embrassé alors on fait ça dans cette position.

- oui.

Je glissai mes bras autour de sa nuque plongeant mon regardant dans le sien, il me sourire avec tant de douceur que je crois bien que mon cœur va exploser. J’enroulai mes jambes autour de sa taille et son regard ce fit plus sérieux. Seigneur je crois que je vais nourrir. J’étais tellement perdu dans son regard que j’en oublier tout le reste, plus rien n’avais d’importance que ses deux prunelle qui me fixait avec amour. Je fus ramené sur terre lorsque je sentis son sexe me pénétré, cette fois ci il m’avait préparé mais c’étais tout de même un peu douloureux. Il s’arrêta aussi tôt inquiet de me voire grimacé.

- Gil sa va ? Je te fais mal ? Tu veux que j’arrête.

- non…surtout pas, sa va aller, dés que le gland sera rentré sa ira mieux. Vas-y.

Il recommença à me prendre, il fini par entré entièrement en moi, savait le souffle coup. C’est qu’il est bien monté mon amour. Il ne bougé pas me fixant en silence attendant que je lui donne l’autorisation de bouger en moi. Je l’attirai plus près de moi encore collant son front au mien caressant ses cheveux. Jamais sa n’avait été aussi bon d’avoir un homme en moi. Il me rend encore plus fou amoureux de lui. C’est comme ça qu’il fait l’amour cette salope n’aurais jamais du le laisser partir. Il et renversant, dans ses moment la il donne tout de lui sans retenu, j’aime ce Bruce là.

- Bruce…tu aime être en moi ?

- oui, c’est bon. Tu es si chaud, si étroit. Il rougit en me disant ça. Il est vraiment trop mignon.

- bouge en moi. S’il te plait. Montre-moi comment tu fais l’amour. Fait moi perdre la tête et tout oublier.

Il ce redressa légèrement plongeant à nouveau son regard dans le mien, j’avais un peu honte qu’il me regard dans ce jors de situation, mais sa m’empliser aussi de plaisir. Il ce mit à bouger doucement en moi pour me pas me faire mal, faisant attention à chacune de mes réaction.

- aaah…j’avais laissait échappé un gémissement de plaisir alors qu’il venait de trouvé ma prostate. J’avais fermé les yeux sous le plaisir, je sentis son souffle sur mes lèvres.

- c’était agréable Gillian.

- oui…continu. S’il te plait.

Il resorti à moitié pour replongé en moi avec plus de force me fessant me tendre de plaisir. Ce que c’était bon. Il va me rendre fou. Il prit mes lèvres, m’embrassant avec passion, je m’accroché à lui répondant à son baiser avec force. J’avais rêvé de cette nuit durant des années et c’était infiniment meilleur que dans mes rêves. Il donna un coup de rein plus violent et je du relâché ses lèvres pour crier le plaisir que je ressenté. Je rejetai la tête en arrière me laissant retomber sur le matelas crispant mes doigts sur les draps. Il enroula ses bras autour de moi et avant de m’en rendre conte j’étais assit sur lui serré fermement dans ses bras, mon visage dans son coup. J’enroulai mes bras autour de lui me blottissant contre lui le cœur au bord de l’explosion.

- Gillian, regard moi.

Je me redressai pour plonger mon regard dans le sien, son regard brûlé de plaisir, de désir et d’autres choses que je n’avais encore jamais vu dans son regard. Avait-il conscience que ce qu’il et entrain de faire me donne un espoir fou.

« C’est comme ça que l’ont aurait du commencé » que voulait-il dire par la. J’arrêté pas d’y pensé et sa me rend fou de me pas savoir. Il ce remit à bouger en moi, je bougé en cadence avec lui accentuent notre plaisir.

- aah…Bruce…aah…tu aime ?

- oui…c’es hm… c’est bon…

J’allais lui faire oublier sa Clara et il ne regarderait plus que moi. Qu’il m’aime plus que moi. J’allais lui montré ce que je savais faire. Je le poussa en arrière ne retrouvant assit sur lui, le fixant en souriant. Je n’aller pas tout le laisser faire. Je me redressai doucement avant de m’empaler à nouveau sur son sexe doucement. C’étais si bon de sentir ce sexe dur coulissé en moi, sa me rend fou. Je re-commençai encore et encore allons de plus en plus vite, me cambrant pour lui offrir toute ma profondeur. Il enfonça ses doigts dans mes cuisses criant son plaisir. J’aime voire son visage torture par le plaisir qu’il prenait en moi. Il ouvrir les yeux pour me regardait, il était rouge, les yeux embué par le plaisir, transpirent et tout décoiffer mais il était follement érotique. Il leva la main pour la poser sur ma joue avec douceur me fessant tremblais de plaisir. Ses caresses étais si douce, il ce redressa pour venir me prendre dans ses bras m’embrassant à nouveau avec douceur alors que je continué de bouger sur lui, on bouger l’un contre, nos corps en sueur s’épousé parfaitement comme s’il avait été crée pour être ensemble. Mes mains caressaient chaque parcelle de sa peau. Et il en fessait de même. Seigneur faite que le temps ce fige et qu’il ne cesse de me faire l’amour, de m’appartenir.

- aah…Bruce…c’est si bon….aaah

- tu es …tellement beau….aaah c’est ci bon de te faire l’amour…aah…

 

Depuis combien de temps somme nous entrain de faire l’amour. J’ai l’impression que l’ont vient juste de commencé et qu’à la fois cela fait des heures. Il n’avait à nouveau allongé sur le lit pour reprendre le dessus bougeant avec plus de force encore me fessant totalement perdre la tête. Je m’accroché à lui de peur de me perdre si je n’avais rien à quoi ne raccroché.

- aaah….Gil…je…vais jouir.

- non aaah…attend…encore un peu.

Je ne voulais pas que cela ce finisse mais moi aussi j’étais au bout, je ne pourrais plus me retenir bien longtemps.

- j’en peux plus Gil…je suis…aaah…à bout…

- va y ensemble.

Je le senti ce tendre et jouir en moi, c’était tellement bon et je jouis à mon tour le serrant contre moi étouffant mon cris de plaisir entre ses lèvres. Je ne voulais pas le lâché, je ne voulais pas le laisser partir loin de moi. Il posa son front contre mon épaule essayant de reprendre son souffle. J’attendais de savoir ce qu’il allait faire allait-il partir juste après où allait-il passé la nuit avec moi.

Il ce redressa pour me regardais, je n’oser pas faire le moindre geste, son regard me transpercé. Il essaye de lire en moi. Je déteste lorsqu’il fait ça. Mon cœur fit un nouveau saut à l’élastique dans ma poitrine lorsqu’il m’embrassa à nouveau allons jouer avec ma langue, m’embrassant avec douceur alors qu’il ce retiré de moi, me laissant une sensation de vide. Je me sentais incomplet. C’était fini, le rêve venait de prendre fin. Il allait ce lever et partir ce n’était que du sexe peut importe ce qui en dis, ou comment il l’appelle. Il ne m’aime pas alors ce n’es que du sexe. Je suis le seul à avoir mit mon cœur en joue juste pour une nuit. Mais je ne regrette rien. Il ce laissa tombé sur le dos à côté de moi le souffle encore cour. Je le fixais, la allongé nue, le corps en sueur, son sexe reposant sur sa cuisse, son visage serein, et fatigué. Il était tellement beau après l’amour. Je me redressai pour sortir du lit mais il me retenait.

- où es ce que tu va ?

- prendre une douche.

Il m’attira en arrière pour m’obligé à lui faire face. Il me fixait toujours avec tendresse. Arrête ça Bruce arrête de me donné de faux espoir. Il fit glisser sa main sur mon visage me fessant tremblais.

- tu es magnifique Gillian. Si j’avais été à sa place, je t’aurais choisi toi.

- arrête de dire des conneries Bruce. Si tu devais Choisir entre moi et Clara qui est ce que tu choisirais ?

- je te choisirais toi pas dit. Je te choisirais toujours tu es mon meilleur ami.

Je savais qu’il ne me choisirait jamais mais je voulais y croire. Juste ce soir. Je me blottis contre lui, je veux juste continuer de rêvé un peu.

- je t’aime Bruce.

- moi aussi je t’aime. Il n’avait rien compris mais ce n’es pas grave.

Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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