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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

substitut où amour ? ( terminé )

Lundi 8 février 1 08 /02 /Fév 09:52

CHAPITRE 8 :

 

 

Il ce redressa pour plongé son regard dans le mien. Je voyais de la tristesse dans son regard. Que lui arrivé t-il ? Il me caressa la joue avec douceur.

- Tu es superbe petit ange. Tu es tellement beau que parfois tu parais si irréel.

- Qu’es ce qui t’arrive André en dirait que quelque chose te préoccupe.

Il posa son front contre le mien mes doigts ce perdirent dans ses cheveux avec douceur.

- Ma femme…je sais pas comment elle à fait mais elle à découvert notre liaison et elle menace de divorcé si je ne cesse pas tout de suite de couché avec toi.

Je me figeai à cette nouvelle. Sa devais bien arriver depuis le temps que sa nous pendais au nez. Mais ne dire que je ne pourrais plus jamais être dans ses bras. Ne plus jamais pouvoir faire l’amour avec lui et connaitre ses moments de tendresse.

- Ah.

- Il faut que l’ont arrête. Si elle demande le divorce je perds tous. Je suis désolé.

- Tu n’as pas à l’être je comprends et c’était dit dés le début.

Je me pouvais retenir mes larmes. La seule personne qui m’aime un peu venais de me quitté et c’était douloureux. Il plongea à nouveau son regard dans le mien et je pus voire que lui aussi pleurait.

- Pourquoi pleures-tu Gillian tu ne m’aime pas. Cela ne devrais pas te faire pleurait.

- Ne dit pas ça. Répondis-je en l’enlaçant à nouveau. Le serrant aussi fort que je le pus contre moi.

- Tu crois quoi André. Je t’aime même si je ne t’aime pas comme un petit ami. Je t’aime quand même. J’aime quand en fait l’amour. Quand on passe du temps ensemble. Je ne veux pas te perdre.

- Je suis désolé bel ange.

- André.

- Oui ?

- Fait moi l’amour s’il te plait. Juste une dernière fois. S’il te plait.

- Pas ici. Pas comme ça. Ca doit être inoubliable. On va réserver la plus belle suite de cette hôtel, on pas diner aux chandelles, avec du champagne et on ferra l’amour encore et encore. Je veux te gardé dans mes bras jusqu’au matin. Et ensuite se serra la fin du rêve.

Je pris à nouveau ses lèvres l’embrassant avec désespoir seul lui me donné la force de continué. Parce qu’il était le seul à m’aimé.

 

 

 

Comme il l’avait dit en avait pris la plus belle suite de l’hôtel en avaient diné aux chandelles parlant de chose et d’autre. On avait pris un douche ensemble et à présent en étaient allongé sur le lit, totalement nue nous embrassons avec tendresse ne voulant pas précipité les choses et profité de chaque petites secondes qu’il nous resté à passé ensemble. Il ce glissa entre mes cuisses sans lâché mes lèvres. Je caressé son corps voulant graver dans ma mémoire chaque courbe de son corps. J’avais l’impression d’être un jeune puceau qui aller connaitre sa première. Celle là serait cent fois mieux que la première fois qu’un homme m’avait prit. Sans amour et sans tendresse un coup vite fait juste pour oublier que Bruce était à une autre personne que moi. Il relacha mes lèvres pour aller embrassé mon coup, y fessant glisser sa langue me rendant totalement fou de désir alors que je sentais son sexe frotter contre le mien. Je frissonné entre ses bras. Il me rend totalement fou, à Chaqu’un de ses caresse de ses baiser. C’est un amant incroyable. Et il allait m’échapper. Il me prépara avec douceur et amour avant de me pénétré. Et c’était si bon. On à fait l’amour toute la nuit durant, il m’a pris comme jamais encore et je lui ai fait l’amour comme jamais je ne l’avais fait à qui que ce soit. Et on avait fini par s’endormir enlacé priant pour que cette nuit ne prenne jamais fin. Mais tout à une fin en ce monde.

 

 

La première chose que je vis en ouvrant les yeux au petit matin ce fut le visage d’André qui me fixait en souriant. Mais il y avait tellement de tristesse dans son regard. Je fermai les yeux frissonnant de bien être lorsqu’il frôla ma joue de ses doigts. Ses geste de tendresse aller tellement me manqué. J’avais encore envi de pleurait. Je ne voulais pas le perdre.

- Tu ressemble encore plus à un ange lorsque tu dors. Je n’ai aucune envi de te quitté Gillian. Je t’aime mais j’ai une femme, des enfants. Et toi tu en aime un autre.

- Promet moi juste que l’ont pourra rester ami. Que tu continueras à me regardais comme tu le fait, à me prendre dans tes bras. De resté mon ami.

- Je serrais incapable de me passé de ça. Moi aussi j’en ai besoin. C’est comme une drogue. Ne plus pouvoir t’embrassé, ne plus me sentir en toi, te sentir en moi. Cette idée me rend fou. Elle m’est insupportable.

Je me blotti dans ses bras me voulant pas les quitté. J’avais encore envi de pleurais mais je devais rester fort et pensé à son bonheur avant tout.

- Tu dois être heureux c’est tout ce qui conte André. Tu aime ta femme et tes enfants. Il vous faut juste retrouver la flamme du début.

- Je sais mais ça va tout de même me manqué de me plus pouvoir te sentir nue contre moi.

- Alors profitant du temps qu’il nous reste.

Je l’embrassai à nouveau me délectant du gout de ses lèvres m’allongeant sur lui. Je voulais lui faire l’amour encore juste une demiere fois avant de ce dire au revoir.

 

 

 

Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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Lundi 8 février 1 08 /02 /Fév 09:47
voila le chapitre 7. bonne lecture.




CHAPITRE 7 :

 

 

 

J’étais allongé sur mon lit, Bruce entre mes cuisses bougeant avec force en moi. Je le fixais alors qu’il me surplombé de toute sa hauteur. C’étais si bon de l’avoir en moi, de sentir son corps brûlant contre le mien, de le sentir bouger en moi, de voire son visage déformé par le plaisir, même s’il pensé à cette conne. Il gardait les yeux fermé. Il gardais toujours les yeux fermé, c’Est-ce que je supporté le moins qu’il ne me regard pas et c’était tellement douloureux. Il ne me regardait jamais, il ne me touché jamais plus que nécessaire, et il ne cessé de penser et d’appelé sa Clara d’amour. Je levai la main vers lui, je voulais juste le frôlait le touché du bout des doigts mais je laissai retombé ma main le long de mon corps fermant les yeux. Je le laisser faire. Je n’avais pas le droit de e touché, pas le droit d’en vouloir plus. Il ne m’appartient pas. Il est à cette femme. Par amour pour lui j’accepté de mettre que le substitut de Clara . J’aimais le sentir en moi, quand il s’écroulé sur mon corps à bout de souffle après avoir déversé son orgasme en moi. Sentir son souffle saccadé balayer mon visage. Son cœur battre en cadence avec le mien. Si c’était les seul petit choses que je pourrais avoir de lui sa me suffit.

- Plus fort…baise moi…plus fort…demandais-je alors que je pleurais. Il ce mit à me prendre avec plus de force encore gémissent de plaisir et il ne tarda pas à ce libéré en moi. C’était si bon de le sentir jouir au plus profond de mon être. Incroyablement bon et si douloureux. C’est son mon qu’il avait crié alors qu’il me baiser moi et pas elle. Je dus me masturbé pour jouir. Il ne le fessait jamais du moment que lui prenais du plaisir c’est tout ce qui importé. Il posa ses deux mains de chaque côté de mon visage il ouvrir les yeux me regardant enfin et j’avais encore plus envi de pleurais. Il posa sa main sur ma joue et je me sentis frémir. Je préférerais qu’il ne fasse pas ça juste après m’avoir utilisé comme simple objet de substitution.

Son regard était doux et attentionné es ce qu’il la regardait comme sa après lui avoir fait l’amour. Comment es ce qu’il était avec elle. Comment lui fessait-il l’amour ? Tant de questions auquel je ne voulais pas penser mais qui me hanté à chaque fois.

Il passa son pouce sur ma joue pour essuyer mes larmes avant de le porté à ses lèvres pour gouter à mes larmes.

- Pourquoi pleur tu Gillian ?

Parce que tu me brise le cœur à chaque fois que tu cris son nom alors que c’est avec moi que tu couche. C’Est-ce que j’aurais voulut lui dire mais à quoi bon. C’était le seul moyen de le perdre définitivement.

- C’est juste que c’est un peu douloureux mais sa va.

- Je suis désolé. Répondit-il en m’embrassant sur le front. S’il te plait ne sois pas aussi tendre. Ne me donne pas de faux espoirs.

- Tu…tu pourrais te retiré…je voudrais pouvoir aller prendre une douche avant de partir au boulot.

- Oui. répondit-il rouge de gêne.

Il ce redressa pour sortir son sexe, je serrai les fesses pour évité de mettre du sperme partout et me leva les jambes en compote. C’est qu’il ni et pas aller de main morte le petit. Je ne cherchai même pas à caché ma nudité. Ce n’est pas comme si mon corps pouvait lui faire le moindre effet. Il ne peut pas bandé pour moi s’il ne pense pas à Clara. J’entrais dans la salle déverrouillant la porte et m’appuyant contre. J’avais l’impression de toujours avoir son sexe en moi. Tout à l’heure j’avais tant envi de le serré contre moi, de l’embrassé, de lui dire à quel point je peux l’aimé. Mais à quoi bon.

J’entrai dans la cabine de douche et mes jambes cédèrent m’envoyant rencontre le sol. Je laissai aller mes pleure masqué par le bruit de l’eau. Plus les jours passé, plus je souffrais de cette situation. Je voulais qu’il retourne avec elle puisqu’il ne pourrait jamais m’aimé. Qu’il m’oublie. Qu’il arrête de me faire souffrir. Qu’il cesse de me détruire. Je ne pourrais plus supporter cela bien longtemps.

 

 

J’étais assis derrière mon bureau plongé dans des dossiers sans la moindre importance. Je n’arrivé pas à pensé à autre chose qu’à Bruce. Je n’arrivé pas à ne concentré sur mon travail. Je repensé à sa façons de me prendre sans le moindre amour, sans la moindre douceur.

Je fus sorti de mes pensés par des coups donné à la porte, je n’eu pas le temps de dire entré que la porte c’étais déjà ouverte. Je levai les yeux de mon dossier pour voir André appuyait contre la porte qui me fixait avec un désir évident. Il s’approcha de moi et ce pencha par-dessus le bureau m’attrapant par le col pour m’attiré à ses lèvres m’embrassant avec fougue, passion, comme un cané en manque. Il grimpa sur le bureau ce rapprochant encore plus de moi. Une semaine que l’ont ne c’était pas vu. Et je dois bien avoué qu’il m’a manqué. J’avais terriblement envi de lui de lui faire l’amour qu’il ne fasse l’amour. Je déchirai littéralement sa chemise pour pouvoir caressait son torse me levant pour venir me coller à lui. Il c’étais agenouillé sur le bureau me serrant contre lui, il détacha mon pantalon pour glisser ses mains sur mes fesses me rapprochant plus de lui pour me faire sentir son excitation. Il ce leva et je me retrouvai assit sur le bureau dépossédé de mon pantalon et de mon boxer. Il ce laissa tombé à genoux devant moi, posant mes jambes sur ses épaule et me fis gémir de plaisir lorsque sa langue venait s’enroulé autour de mon sexe brûlant de désir. Alors que ses doigts jouaient avec mon anus me rendant totalement fou de désir.

- Hm…André…

- Qu’es ce que tu veux ?

- Suce-moi. Fait moi jouir.

Il me souriait avec provocation avant de ce jeté sur mon sexe pour l’avaler introduisant deux doigts en moi. J’étais encore ouvert de ce matin avec Bruce. Et il le remarqua. Il relacha mon sexe pour me regardais. Je m’oser même pas le regardait j’avais bien trop honte.

- Vous avez recommancé. Il t’a encore baisé.

- Oui je ne veux pas en parlais. Si tu me suce pas la elle va retomber.

- Mais Gil.

- André suce moi. Je n’ai pas envi de parlais de ça. Là c’est par toi que je veux être baisé.

Il ne rajouta rien et me reprit en bouche m’avalant autant qu’il le pouvait. Je crispai mes doigts dans ses cheveux. Rejetant là tête sous le plaisir. Jamais Bruce ne me ferait cela. Jamais il ne me toucherait de la sorte.

- André c’est bon hm.

Il continuait de me sucer en fesant bougé ses doigts en moi. Il était entrain de me rendre fou, et je me retenais de me pas lui crier de me baiser tout de suite sur ce bureau tellement il été entrain de m’allumé. Ses doigts avait trouvé ma prostate et joué avec pour me rendre encore plus fou.

- Aaah…andré je vais…aaah jouir.

Je n’avais pas put me retenir et avait jouit entre ses lèvres m’écroulant sur le bureau à bout de souffle. Il ce redressa et venait s’assoir sur moi pour venir m’embrassé avec douceur. Je nouai mes bras autour de sa nuque répondant à son baiser avec tout autant de douceur. Sa avait été grandiose.

 

 

Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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Samedi 6 février 6 06 /02 /Fév 17:13
et voila le chapitre 6.

 

 

CHAPITRE 6 :

 

 

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Lorsque j’ouvrir les yeux Bruce avait disparut. Je me redressai le cherchant du regard, je l’appelé mais m’obtient aucune réponse. Il était tous juste 16 heures où avait-il bien put passer. Il a du sortir, je croyais qu’il voulait ce reposer. Dite plutôt qu’il ne voulait pas sortir avec moi. Il a honte d’être mon ami. Il doit être allé voire Clara. J’allumai ma Wii pour jouer en attendant qu’il rentre. Que pouvais-je faire d’autre à part de l’attendre ? Sa fessait des années que je l’attendais. J’avais l’habitude.

 

 

Il était dix-neuf heures passé lorsque la porte d’entré s’ouvrir enfin quelques secondes plus tard il entra dans le salon ce laissant tombé à mes côte l’air totalement abattue. C’est claire maintenant il était allé le voire. Je fis mine de ne pas l’avoir vu continuant de joué. Je devais rester impassible, ne surtout pas craqué.

- je suis allé voire Clara. Elle a même pas voulut m’ouvrir la porte. Pourquoi elle fait ça ? J’ai toujours tout fait pour elle. Je ne suis pas chiant. Merde je suis resté comme un con devant sa porte. Puis j’ai trainé un peu, j’avais besoin d’être seul.

- …

- tu es en colère Gillian ? J’avais besoin de la voire. Et je ne voulais pas te réveillé.

-…

- merde Gillian qui quelque chose. Lâche cette putain de console et regard moi.

Il m’arracha la manette des mains et me pris le bras le serrant avec force. Je me retournai vers lui le fusillant du regard. J’en pouvais plus. C’était la goutte d’eau qui fessait débordé le vase. Je pouvais supporter beaucoup. Mais la je crois bien que je viens d’attendre mes limites.

- va te faire foutre pauvre con. Tu n’avais pas envi de sortir avec moi alors il suffisait de le dire. Tu n’es qu’un sale connard égoïste. Alors lâche-moi. C’est toujours la même chose. Dés qu’elle te quitte tu viens pleurais dans mes bras, j’en prends plein la figure et tu trouve le moyen de m’engueulé. Y’en à marre. Je ne me suis pas ton chien. Je dois te consoler et après tu m’ignore jusqu’à ce que tu es à nouveau besoin de moi.

Il avait relâché sa prise sur mon bras et me fixait blanc comme un linge. C’était bien la première fois que je lui parlais de la sorte. Mais j’étais à bout. Marre de devoir me taire et de tout enduré en silence. Marre de souffrir et de jouer le pote toujours gentil et à l’écoute.

- et surtout ne me demande pas pardon Bruce. Tu passe ton temps à t’excuse pourquoi ne réfléchit tu pas avant ? Merde.

Il baissa la tête ce mettant à tremblais. J’étais en colère contre lui et je voulais qu’il le sache mais le voire aussi triste me fessait oublier ma colère. Je suis bien trop faible face à lui. Ce mec n’es qu’un gros con égoïste et aveugle mais merde je l’aime à en crevé. Et je cédai à nouveau lorsque je vis ses larmes. Je l’attirai contre moi le serrant dans mes bras. Comment ce grand gaillards si sur de lui devant les autres pouvait il ce changé en petit garçon devant moi. J’étais le seul à pouvoir voire cet aspect de sa personnalité. Je me pensé à rien d’autre que d’apaiser sa tristesse. Pourquoi donc étais-je si faible face à lui. Il est mon unique raison de vivre.

Il pleurait entre mes bras et je lui caressais les cheveux avec douceur pour apaiser ses larmes. Je n’aurais jamais du lui parlais de la sorte. Il n’avait vraiment pas besoin de cela. Je suis un piètre ami.

- pourquoi ne passe tu pas à autre chose Bruce. Sa va faire trois ans que vous joué à ce petit jeu. Je te quitte, je te haie je t’aime on ressort ensemble. À quoi cela va-t-il vous mené à part à vous faire du mal. Elle ne cesse de te faire souffrir pourquoi la laisse tu faire. Tu mérite quelqu’un de cent fois, non infiniment mieux qu’elle.

- Je ne peux pas Gil…c’est…c’est la femme de ma vie…je veux me marier avec elle. Avoir des enfants…une grand maison…je l’aime. C’est elle et personne d’autre. Tu peux comprendre ça ?

- oui je comprends. Mais elle te fait souffrir et sa me rend dingue.

Il ce redressa pour me regardais en souriant. J’essuyai les larmes qui couler sur ses joues et l’embrassa sur le front avec douceur.

- tu as toujours tout fait pour me protégé Gil. Tu es si gentil et moi j’en abuse. Je m’en veux tellement. Je ne te mérite vraiment pas.

- tu es la personne la plus importante pour moi Bruce.

- toi aussi tu devrais être un peu égoïste de temps en temps. Tu devrais vivre pour toi.

- j’en suis bien incapable. Pas temps que tu ne serras pas heureux.

- je suis si fatigué.

- alors dort.

Il posa sa tête sur mes genoux. Je glissai mes doigts dans ses cheveux les caressant avec douceur. Il ne pourra jamais être à moi alors la seul chose que je peu faire c’est de l’aidé à être heureux. Lorsque l’ont aime quelqu’un la seul chose de vraiment important n’es pas que cette personne nous aime en retour mais qu’elle soit heureuse.

Je me penchai vers lui pour l’embrassé aux coins des lèvres.

- dort mon amour. Je serrais toujours là pour veiller sur toi.

 



et voila pour ce chapitre 6 j'espère qu'il vous aura plus. la suite c'est pour demain. 

Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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Samedi 6 février 6 06 /02 /Fév 17:07

 j'ai enfin terminé de taper cette fic. la fin à était laborieuse. pour fêté ça je vais vous mettre deux chapitre à la suite. bonne lecture. et laisser des commentaire



CHAPITRE 5 :

 

 

 

Je n’osais même pas regardais Bruce en face, je me n’étais jamais senti aussi mal qu’à cette instant. Il va croire que j’écarte les cuisses devant le premier venu. J’entrai dans la cabine de la douche pour me laver je sais qu’il me regardait et le silence était des plus oppressant. Je me lavais de son sperme avant de ressortir m’enroulant dans une serviette. Je passai à côté de lui sans un regard son un mot et sorti de la salle de bain. Je m’arrêtai pour enfin lui adressé la parole.

- qu’es ce qui t’arrive Bruce. Pourquoi reste tu planté là sans rien dire serrait tu choqué ?

- non, je te regardais juste te faire sauter. Je ne comprends pas comment tu peux aimer ça. C’est répugnant. Te faire mettre par un autre mec.

- tu ne disais pas la même chose quand c’est toi qui me sauté. Tu as bien pris ton pied lorsque tu me sauté. Tu as bien jouit avec ta bite dans mon cul de PD.

- c’n’est pas la même chose. Je pensé à Clara. Et je ne t’ai pas touché comme il l’a fait.

- lui au moins il n’as fait prendre mon pied. Il ne pense pas qu’à son plaisir. Je vais m’habillé.

- attend.

Il me retenait par le bras, je me tendis à ce contact, pourquoi fessait-il ça ? Je le déteste lorsqu’il est aussi égoïste.

- Bruce tu devrais éviter de me touché. C’est répugnant tu l’as dit toi-même. Tu risquerais de te salir.

- je…je suis vraiment désolé Gillian. Je suis vraiment trop con.

- oui tu es con. Je fais ce que je veux de mon cul.

- c’est…c’est juste bizarre de voire mon meilleur ami couché avec un autre mec. Mais tu es comme ça alors je dois l’accepté. Et puis tu as raison comme d’habitude.

- de quoi ?

- j’ai pensé qu’à moi. Et puis c’est…c’est vrai…

Je me retournai vers lui, il avait baissé la tête rouge de confusion. Je posai ma main sur sa joue pour le faire relevé la tête. Il me fixait avec le regard d’un petit enfant blessé et je lui pardonnai aussitôt.

- c’était bon d’être en toi. Finit-il dans un murmure. Je suis vraiment désolé.

- c’est pas grave Bruce. Je ne t’en veux pas. J’en suis bien incapable.

- pourtant tu le devrais. Je suis un vrai salopard avec toi et tu me pardonne toujours tout.

- on est ami depuis quand et gamin. Alors fait moi tout ce que tu veux je continue à être ton ami.

Je posai mon front contre le sien posant mes mains sur son torse être aussi proche de lui me rendais fou, m’enlisant encore plus dans mon amour mais j’en avais besoin. Je voulais pouvoir le touché juste un peu. Juste sentir son corps brulant sous mes mains, son souffle, entendre sa respiration, sentir le parfum de sa peau. C’est tous ce que je désiré et sa me permettre d’affronté encore un jour de plus la douleur de me pas l’avoir juste pour moi. Je sentis mon cœur s’emballer lorsqu’il referma ses bras autour de moi me serrant contre lui. Ce mec cherche à me rendre fou, seigneur qu’il ne sente pas mon cœur qui bat si fort.

- tu es vraiment le meilleur des potes qu’es ce que je ferais sans toi ?

- tu n’as pas besoin de moi Bruce. Tu es un grand garçon.

- oui mais j’ai quand même besoin de toi.

- Bruce…il…il faut que j’aille m’habillé.

- oh oui désolé.

Il me relâcha et j’avais tellement froid subitement l’étreinte de son corps me manqué déjà tellement. Je lui adressai un large sourire avant de rentré dans ma chambre. Je me laissai tomber sur mon lit enfonçant mon visage entre mes mains essayant de me clamer. Je vais finir par devenir fou. Il est si difficile à cerné. À un moment c’est un vrai salopard et juste après il redevient mon adorable Bruce. Comment je vais faire pour m’en sortir s’il est si changeant. Il veut ma perte. Je le déteste mais je l’aime tellement plus.

 

 

J’entrai dans le salon où Bruce avait tout préparé pour le déjeuner et il m’attendait en souriant. Qu’il arrête au je vais lui sauté dessus pour le faire mien sur le chant sur cette table. On commença à mangé en silence sans ce regardais je fus le premier à rompre le silence.

- Bruce dés demain tu retourne à la fac.

- hm, j’en ai pas très envi mais bon puisqu’il le faut. Là fac c’était mieux quand tu y été.

- tu ne va pas resté là à te morfondre tout les jours. Tu dois continuer à vivre pour toi. Tu dois vivre pour toi et pas pour elle pour personne d’autre que pour toi. On va sortir cette après midi. Sa va te changé les idées. Une après midi entre mec comme avant. Ça fait longtemps que l’ont n’a pas fait ça ?

- hm je crois plutôt que je vais me reposé cette après midi. On fera ça une autre fois.

- hm.

Je me répondis rien son refus me blesser depuis combien de temps m’étions nous pas sorti ensemble juste tout les deux. Il ne m’avait jamais le temps pour moi.

 

On avait parlais de chose sans la moindre importance pendant tous le reste du repas puis j’étais allé m’installe sur le canapé devant la T.V, il c’était assit sur le fauteuil et ont a regardés la télévision en silence et j’ai fini par m’endormir cette journée avait été des plus épuisant. J’aurais voulut que l’ont passe cette après midi à faire plein de chose ensemble, ce baladé, faire les boutiques, s’arrêté dans un café et parlais de choses sans importance devant un verre. Parlais et rire ensemble comme on ne l’avait pas fait depuis qu’il l’avait rencontré. Ce jour là il m’avait relégué au rang d’ami occasionnel, je n’étais là que lorsqu’il avait besoin de moi et lui n’était jamais là lorsque j’avais besoin de lui. Combien de temps es ce que j’allais encore pouvoir supporté cela. Sans nul doute pas bien longtemps.

Je n’étais qu’un substitut sentimental.

 

 

Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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Vendredi 5 février 5 05 /02 /Fév 20:40
je vous met la suite de cette fic. j'étais pas vraiment inspiré par ce chapitre mais bon il ne peuvent pas être tous génial.lol. bonne lecture et laissé des com si sa vous plait.

 

CHAPITRE 4 :

 


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Je fis coulé l’eau dans la baignoire et hotta mes vêtements, je sentais son sperme coulé le long de mes cuisses, je portai mes doigts à mon anneau, il était encore dilaté et douloureux, même ma première fois n’avait pas été aussi douloureuse. Je devais oublier tout sa, cette sensation en moi, son corps contre le mien à l’intérieur du mien. Son souffle dans mon coup. Je fis glisser ma main jusqu’à mon sexe qui ce gorgé de désir à l’évocation de ce souvenir. Je le voyais entrain de me faire l’amour. Il ne regardait que moi, il ne pensé qu’à moi. Je n’avais pas jouis tout à l’heure et j’étais à cran, j’enfonçai mes doigts en moi juste pour retrouvé la sensation de son sexe en moi. Je me laissai tombé en avant posant mon torse sur l’évier tout en me masturbant j’avais besoin de quelque chose de plus gros j’ouvrir le tiroir pour un sortir un vibro que je planqué la pour mes petit plaisir solitaire. Et je l’enfonçai en moi d’un coup violent, juste pour le sentir à nouveau en moi. Je me masturbé tout en fessant bouger l’objet en moi. Essayant de retenir mes gémissements de plaisir. Je m’imaginé que c’était lui qui me prenais et je fini par jouir en l’appelant. Et je m’écroulai sur le sol en pleure. Qu’es ce que je venais de faire c’est horrible. Je suis un con. Merde. Faire ça en pensant à mon meilleur ami. Comment je vais pouvoir le regardais en face après ça.

 

 

J’entrai dans la baignoire après avoir calmé mes pleures et avait plongé la tête sous l’eau pour effacé les quelques larmes qui resté sur mes joues. L’eau détendait mon corps et sa fessait beaucoup de bien. Je fermai les yeux me laissant aller, j’étais totalement épuiser. Je crois que j’ai fini par m’endormir.

 

 

Je fus réveillé par une caresse sur ma joue, je gardai les yeux fermé me laissant aller au plaisir de cette caresse. Cette main descendit le long de mon torse, je frissonnai à ce contact où êtes ce dû à l’eau qui c’était refroidit durant mon sommeil ? Je cessai de respiré lorsque ses doigts ce refermaient autour de mon sexe qui commencé à durcir sous les caresses. La main ce mit à aller et venir sur mon pénis me faisant gémir de plaisir. Mon souffle s’accéléra c’était tellement bon. Et je ne tardai pas à jouir.

- aaah…Bruce.

- perdu beau blond.

J’ouvrir les yeux pour tombé sur le regard espiègle de Stephen un grand brun, taillé comme un dieu grec, c’était un ami avec qui je couché de temps en temps sans doute parce qu’il ressemblé à Bruce tout en étant différent. Et il adore me faire chier.

 

Je me redressai pour sortir de la baignoire et m’enroulé dans une grande serviette mais il me la retira bien vite et me souleva pour me poser sur l’évier où je n’étais donné du plaisir un peu plus tôt en pensant à Bruce. Et je sentis les remords m’envahir à nouveau. Il m’écarta les cuisses pour ce glisser entre et je ne tentai pas de le repousser.

- sa fait longtemps Gillian. J’ai envi de te baiser. Chuchota-t-il à mon oreille en caressant mon anus de ses doigts.

- et moi je ne suis pas envi alors lâche moi.

- tu es encore tout ouvert. Tu t’es fait sauter par qui ? Par Bruce ? Je le croyais hétéro.

Il bougé ses doigts en moi, frottant son sexe contre le mien. Et bien malgré moi cela m’excité. Je l’attrapai par la nuque pour prendre ses lèvres. Je détachai son jean pour en sortir son sexe tendu

- hm tu change bien vite d’avis beauté.

- enlève tes doigts et met moi ta bite bien profond.

Il me fit placer ses jambes autour de son bassin et entra son sexe en moi avec force me fessant crier de plaisir et il ce mit à me pilonner avec force. Je l’embrassai avec plus de fougue encore alors qu’il continuait de ce mouvoir en moi. J’enfonçai mon visage dans son coup essayant de retenir mes cris de plaisir. C’était si bon. J’ouvrir les yeux et je crus que mon cœur aller lâcher lorsque je vis Bruce dans l’encadrement de la porte. Il me fixait en silence et je ne pouvais absolument rien voire dans son regard. Il s’en moquer totalement de voire un autre mec me sauté. Je refermai les yeux et embrassa à nouveau Stephen pour oublier la douleur de mon cœur.

- baise moi plus fort Stephen…aaah c’est bon.

Il ce mit à me prendre encore plus fort et il fini par jouir en moi, merde en avait même pas mis de capote. Ce que je peux être con. Je n’eu pas le temps de réfléchir plus qu’il ce laissa tombé à genoux devant moi pour prendre mon sexe en bouche pour me sucer. Je le poussa à aller plus vite jusqu’à ce que je jouisse entre ses lèvres en regardant Bruce droit dans les yeux qui n’avaient pas bouger d’un centimètre. Stephen ce redressa pour venir m’embrassé avec plus de douceur que nos baiser précédent.

- c’est toujours le pied avec toi beauté. Là prochaine fois c’est toi qui me baise.

- ouain. Je peux me rhabiller maintenant.

- bien sûr beau blond. Si je peux regardais.

- fait ce que tu veux.

Il m’embrassa à nouveau avant de ce rhabillé correctement. Et il vit Bruce dans la glace. Il ce retourna pour lui faire face gêné d’avoir été surpris dans une tel situation.

- depuis quand et tu là Bruce ?

- depuis peu. Le déjeuner et près. Reste tu mangé avec nous Stephen ?

- non…je crois que je ferais mieux de rentré. J’étais juste passé voire Gillian et je me suis un peu emporté. Désolé Gil mais t’es trop…hm…je m’en vais avant de te sauté encore dessus. À la prochaine.

- à plus tard. En me redressant alors que Stephen sorti de la salle de bain.


Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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