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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

fic qui n'as pas encore de titre.

Jeudi 6 mai 4 06 /05 /Mai 10:23

CHAPITRE 6 :

 

 

 

Valentin était assit face au jeune Tim, il l’écoutait parler en souriant. Il lui parlait de ses études, de ses passions. De sa vie, et valentin ne pouvait s’empêché de le jalouser un peu. Lui avait put vivre sa jeunesse, il avait tout juste 19 ans, et il parlait de la vie avec tellement de passion. C’était rafraichissant de l’entendre parlait. De voire son visage si expressif, des expressions qu’il n’aurait jamais. Car au fond il est comme Vladimir, il ne ressent pas grand-chose. Parce qu’on ne lui avait pas appris à ressentir.

Il avait été dés son plus jeune âge enfermer dans un monde ou il ni avait pas de place pour les sentiments. Il fallait travailler, encore et toujours. Être le meilleur, ne rien ressentir parce que les sentiments nous rendaient faible. Il avait lutté contre cela, mais il avait été impossible de son échapper totalement. Il restait prisonnier de ce père tyrannique et de cette mère qui préférait dépenser sans conté plutôt que d’élevait son enfant. Il ce demandait souvent ce que cela faisait d’avoir des parents aimant, attentionné, toujours là. Dans les bons, comme dans les mauvais moments. De vrais parents. Parce que pour lui ils n’étaient rien de plus que des géniteurs. Il avait pourtant décrochait le diplôme de la plus prestigieuse des universités et cela, ne suffisait pas. Il aurait voulut recevoir des encouragements au moins une fois.

Il ce penchait par-dessus la table pour faire glisser ses doigts sur la joue de Tim, qui ce mit à rougir à ce contact. Sa peau était douce, délicate. Sa lui donnait envie de le couvrir de baisers.

- Je t’aime bien Tim. Tu es très rafraichissant. Mais sa ne sera que pour une nuit, je ne veux pas te blesser.

- On…On pourra rester ami…après ?

- Bien sur que oui. De très bon ami.

- Alors je veux passer cette nuit avec toi. Si tu veux bien.

- Bien sur que j’en ai envie. J’en ai très envie même. Alors en y va ?

 

 

Vladimir passait sa veste sur le siège et ce laissa tomber sur le canapé, la soirée avait été éprouvante. Ce marié. Il ni avait jamais pensé. Jusqu’à ce que sont père le lui impose. Il la connaissait à peine. Elle était belle, mais il ne ressentait rien pour elle. Elle méritait un homme qui serrait l’aimait. Mais c’était une volonté de son père alors il le ferait. Dans un mois il serrait marier. Il ce levais et sorti de son bureau pour entré dans le laboratoire. C’était silencieux. Il ni avait personne, sauf lui. Il était toujours là. Il ne vivait que pour le travail. Il fixait l’androïde, dans sa prison de glace. Il était parfait, mais totalement vide comme lui. Il n’avait pas de cœur, le sien lui à part battre ne faisait pas grand-chose d’autre. Pourquoi est-ce qu’il ne ressentait rien. Elle avait pleuré dans ses bras et il n’avait rien ressentit. Il l’avait serré dans ses bras, mais sa chaleur ne l’avait pas atteint, sans cœur n’avait pas battue plus vite. Rien n’avait changé. Il était comme ce robot. Il re-sortait du labo pour regagner son bureau et s’écrouler sur le canapé pour si endormir aussitôt à bout de force. Alors que des centaines de questions lui tournaient dans la tête.

 

 

 

Valentin serrait le jeune Tim dans ses bras, l’embrassant avec douceur, il ne voulait pas le brusqué. Il fallait aller à son rythme. Il tremblait contre lui. De peur d’excitation. Son souffle était rapide, et il pouvait sentir son cœur battre. Il le fit basculer sur le lit s’allongeant à ses côtés, caressant son visage avec douceur. Le faisant gémir de bien être. Il fermait les yeux, posant sa main sur la sienne. Il était tellement beau et désirable. Pourquoi était-il incapable de tombait amoureux de qui que ce soit. Pourtant m’importe quel homme sensé pourrait tombait amoureux d’un mec comme Tim.

- Tu n’as plus envie de faire l’amour valentin.

- Si mais toi ne voudrait tu pas faire l’amour avec un homme que tu aimerais vraiment.

- je ne sais pas. J’ai envie de faire l’amour avec toi.

- Je ne veux pas prendre ta première fois si tu n’es pas certain de le vouloir.

Tim s’allongeait sur son ainé le fixant en souriant.

- Je suis sur que avec toi je ne regretterais rien. Parce que tu serras doux. Je veux que tu me fasses l’amour.

Valentin refermait ses bras autour du corps de son jeune amant, le serrant contre lui, allant ravir ses lèvres. Il l’embrassait avec douceur, mêlant sa langue à la sienne, elles ce cherchaient, ce mêlaient, ce séparaient pour mieux ce retrouvaient encore et encore. Leurs mains parcourait leurs corps, en caressant chaque centimètre carré, les vêtements ce retrouvaient vite sur le sol et leurs corps nue s’entremêler, dans une danse sensuel, envoutante, magnifique. Comme s’il était fait pour ne faire qu’une seul et même âme.

La pièce était remplis de doux soupires, de mots tendre. La tension était à son apogée. Leurs corps fusionnaient, ils n’étaient plus que volupté, plaisir. Leurs corps s’épouser à merveille. Il faisait l’amour à son jeune amant avec douceur et passion. Leurs bouches ce seller, leurs doigts s’entremêlaient, leurs cœur battaient à l’unisson. Et c’était ensemble qu’ils atteignaient le nirvana du plaisir. Avant de retombait sur un doux nuage. C’était un de ses rare moment de plénitude, au vous oublier tout, ou plus rien n’as d’importance. Où tout vous semble si beau. Un moment si rare et tellement fugace.

-merci valentin.

- Merci à toi Tim.

Le jeune brun ce blottissait d’avantage contre le corps de son amant, s’endormant contre ce corps si rassurant et protecteur. En lui prête volontiers un tempérament de coureur invétéré mais pas d’amant tendre et attentionné.

 

 

 

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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Dimanche 2 mai 7 02 /05 /Mai 15:24

CHAPITRE 5 :

 

 

Vladimir discuter avec une belle femme blonde, elle était la fille d’un des grand noms de la finance, il était riche, très riche. La jeune femme coller de très prés Vladimir au regret de toutes les autres femmes présente pour la réception.

- Tu es très beau ce soir Vladimir. Ce costume Dior te va à ravir. Il est parfait pour toi.

- Toi aussi tu es très belle Sonia.

La jeune femme ce mit à rougir sous le compliment de Vladimir. Il lui caressait la joue avec douceur, la faisait rougir encore plus. Elle était belle, véritablement belle, une beauté envoutante, irrésistible. Elle était grand, fine, des forme généreuse, elle était parfaite en tout poing elle devait plaire au homme. Elle semblait douce, intelligente. Parfaite pour un homme comme lui.

 

Valentin lui était toujours en train de draguer le petit brun, qui avait bien du mal à repousser ses assauts de plus en plus prononcé. Il avait envi de lui peut importe s’il ce trouvait dans une réception de bourg il n’allait pas réprimer ses désir juste pour ses gens de la haute. Il l’attrapait par le menton pour ravir ses lèvres avec douceur, allant enfonçais sa langue entre ses fine lèvres. Il le poussait contre le mur l’embrassant avec plus de force, le jeune homme glisser ses bras autour de son cou répondant à ses baisers. Il l’embrasser encore et encore pressant son corps contre le sien, glissant une de ses jambes entre les siennes.

- t’embrasse comme un dieu Tim. Et tu bande.

- C’est de ta faute. Tes baisers me rende fou… je ne suis pas gay.

- on petit pote dit tout l’inverse de ta bouche. Lui il en a envie. Il demande à ce se qu’en occupe de lui. Si en partait d’ici pour ce faire du bien.

- Oui.

Valentin l’attrapait par la main pour le tirait vers la sorti, mais il cessa son avancer lorsqu’il entendit la voix du père de Vlad s’élevait dans la salle. Il ce retourna vers lui pour l’écouté. Sa promettait d’être intéressant.

- J’ai une grande nouvelle à vous annoncer. Vladimir, Sonia venaient là mes enfants.

Vladimir rejoignait son père comme un bon fiston bien éduqué suivit par la jeune femme. Le viel homme prit la main des deux jeune gens pour les lier sous le regard étonné de toute l’assistance.

- Je vous annonce le mariage de mon cher fils avec Melle Sonia Van Erzberg. Le mariage aura lieu dans un mois. Et se serra le plus beau mariage jamais vu. J’espère tous vous y voire. C’est un très grand évènement.

- Et s’en nul doute un mariage arranger.

Vladimir ce tourner vers Valentin qui le fixait avec son habituel froideur, il prit la main de sa fiancer et s’approchait de son jeune rivale. Le défiant toujours du regard, et il était follement existant lorsqu’il avait ce regard. Il s’arrêtait devant lui et attirait la jeune femme contre lui pour ravir ses lèvres avec fougue, la pressant contre lui. Il gardait les yeux ouvert pour défier le blond du regard. Mais cela ne l’atteignais pas le moins du monde, sa le faisait sourire. Il ce souvenait de sa façon d’embrasser, la façon qu’il avait de joué avec sa langue. Il embrasser bien, elle devait être au ange. Il fini par relâchait ses lèvres pour s’adressait au plus jeune, toujours avec cette voix glacial.

- C’est un mariage d’amour. Et bien sur tu n’es pas invité. Alors va donc t’enfoncé d’avantage dans ta déchéance.

- Non je vais plutôt aller m’enfoncer dans ce joli petit cul que tu vois la. À la prochaine monsieur parfait.

Il lui adressait un sourire provocateur avant de sortir de la pièce suivit de sa conquête sans ce soucier des cris de protestation de son père. Il savait très bien que ce n’était pas un mariage d’amour. Vlady m’aimais personne. Il était incapable d’ouvrir son cœur à qui que ce soit. Il ne vivait que pour la gloire de son père. Il ressemblait à ses androïdes qu’il essayer de crée. Il prenait place derrière son volant alors que Tim prenais place sur le siège passager.

- Dit quel genre de relation tu entretiens avec le fils Douglas.

- Une absence de relation plutôt. Je n’ai pas envie de parlais de lui beauté. On va boire un verre.

- Oui. Répondait le jeune brun avec un sourire des plus adorables sur le visage. Il était peut être frivole mais il prenait soin de ses amants, même si ce n’était que pour une seul nuit.

 

 

Vladimir avait quitté la réception sans que personne ne le remarque. Il était assit sur les marche de cette édifice de style néoclassique. Avec ses immense colonnes, cette façade des plus imposante, des plus majestueuse. En ce sentait tellement petit et insignifiant face à cette merveille. C’était une belle nuit, tout était clame c’était tellement reposant. Il n’aimait pas du tout ses réception mondaine mais il était obliger d’y assisté. Sa ferait tâche d’encre s’il refusait d’apparaitre dans ce genre de réception. Il aurait préféré que son père n’annonce pas son mariage aussi vite. Pas de cette façon. Il avait perdu la tête lorsque valentin avait dit que c’était un mariage arranger. Parce qu’il avait visé juste. Il ne l’aimait pas. Mais elle si. Que pouvait-il faire d’autre c’était ce que voulait son père alors encore une fois il ce pliait à ses volontés. Parce qu’il disait toujours oui à Chaque demande de son père. Il ne savait pas lui dire non.

- Alors c’est ici que tu te caché.

Il ce retournais pour voire Sonia qui le regardait en souriant. Qu’est-ce qu’une belle femme comme elle pouvait lui trouver ? Elle méritait un homme bien mieux que lui. Un homme capable de l’aimait. Elle s’assoyait à ses côté frissonnant sous la fraicheur de cette nuit. Vladimir retirait sa veste pour la posait délicatement sur ses fine épaules.

- Tu es vraiment galant Vladimir. C’était la première fois que tu m’embrasse. C’était incroyable. Si seulement tu l’avais fait par amour et non pour répondre à sa provocation. Il est le seul à te faire réagir. J’aimerais aussi avoir une place dans ton cœur.

- tu as une place dans mon cœur Sonia. Tu va devenir ma femme.

- C’est tout juste ta femme.

- Parle-moi de toi Vlad, je veux mieux te connaitre.

- Je ne suis quelqu’un d’intéressant. Il ni as rien à savoir.

- Tu n’aime donc rien.

- Si. Une seule chose.

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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Mercredi 21 avril 3 21 /04 /Avr 16:59

 

 

CHAPITRE 4 :

 

 

Tout le gratin de la société était réuni pour cette soirée organisé au métropolitan museum of art. C’était une œuvre de charité comme adorait en organisé les gens de la haute pour bien ce faire voire. Costard cravate était de rigueur. Courbette, sourire commercial et bassesse était aussi invité à la fête. Valentin venait d’arrivé avec son père, toutes les jeunes femmes présente ce retournaient sur le passage de ce bel homme. Le savoir inaccessible était encore plus intéressent. Il portait un costume blanc qui lui allait à merveille, il avait laissé la cravate au vestiaire aux plus grands désarrois de son père. Il faisait tout pour ce faire remarqué dans le mauvais sens du terme bien sur. Mais lui ne semblait pas s’en soucier, s’il avait bien hérité quelque chose de son père c’était bien cette arrogance. Il était tellement sur de lui, un peu trop dés fois c’était ce qui lui portait préjudice. Mais bon tout le monde s’emblait l’adoré. Il savait attirait la sympathie des autres. Ce qui était un atout de taille dans ce monde de requins.

- Mr. Mc GREGOR comment aller vous ?

- à merveille monsieur le maire. Et vous ?

- Très bien. Belle soirée n’est-ce pas ?

- Très réussit.

- Je vois que votre fils déchaine toujours autant les passions. Ma fille regrette de voire un si bon parti être de l’autre bord.

- Oui je le regrette aussi croyez moi. Mais c’est mon fils alors je l’accepte comme il est. Jeune et fougue.

 

Valentin était en train de parlait. Non de littéralement dragué le petit fils de je ne sais quel homme politique. À vrai dire il m’en avait rien à faire tout ce qu’il voyait c’était sa belle petite gueule et son jolie petit cul. Et le petit brun ne semblait pas indifférent. Il rougissait à chaque fois que le blond lui faisait un compliment, qu’il s’approchait trop de lui, qu’il le frôlait. C’était trop mignon en aurait dit une petite vierge. Pourquoi Vladimir ne réagissait-il pas comme ça ? Peut être qu’il n’était pas si puceau que ça le bougre. Il s’approchait de lui collant son corps contre le sien pour aller lui murmurait à l’oreille.

- Tu sais que t’ai vraiment mignon. J’ai envie de te faire plein de choses pas très catholiques.

- Je…je…on ne peux pas...maintenant.

- Alors en leurs fausse compagnie et en va ce faire du bien.

- je…

Il fut coupé dans sa phrase par des murmures montant dans la salle.

- Regard c’est lui ce qu’il est beau.

Valentin ce retournais vers l’entré de la salle et vit avec ravissement Vladimir entrait dans l’immense salle. Et il était sublime, il ce dresser avec prestance vêtu de noir. Un costume qui avait du couté incroyablement cher. Mais peut importe ce qu’il portait sa lui allait à ravir. C’était fou l’aura qu’il dégagé. Juste en ce tenant la immobile. Son attitude froide et détacher était dés plus attirante en avait-il seulement conscience ? Il était au côté de son père. Son père aussi avait était un très bel homme dans sa jeunesse. Il était toujours attirant mais vieillissant et la beauté de son fils ne l’arranger pas.

- Je reviens poussin.

Valentin ce dirigé vers les deux nouveaux arrivant un sourire provocateur aux coins lèvres, son sujet de distraction favori venait de faire son entré et la soirée devenais tout de suite bien plus intéressante. Vladimir ne semblait même pas l’avoir remarquait, et sa lui donnait envie de le faire encore plus chier. Il allait dire quelque chose lorsqu’il ce sentis attirait en arrière et la voix de son père s’élevais interrompant les murmures.

- Tiens donc Douglas et son puceau de fils.

- Tiens donc Mc Gregor et son fils à la cuisse légère. Dit moi qu’es ce que sa fait de savoir que ton fils ce fait prendre comme une femme ?

- Pour information mon fils et un actif.

- mais je ne serais pas contre le fait de me faire prendre par votre fils.

Cette simple phrase eu pour effet de braqué tout les regards sur lui, mais il me s’en soucier pas, il avait en moins attirait l’attention de Vladimir qui le fixait avec son habituel détachement et sa fit s’agrandir son sourire le jeu pouvait enfin commençais.

- Alors beauté en vient avec son papa chéri.

- il semblerait que nous soient dans la même situation étant donné que tu es aussi avec ton père.

- Déride-toi Vlady. T’es vraiment pas marrant du tout. Alors gueule d’amour à tu repensé à notre petite conversation dans le parc.

- Pourquoi y aurais-je donc repensé ?

- je t’ai fait une promesse. Tu t’es fait beau pour moi ?

- Je ne me suis en aucun cas fait beau. Je suis juste habiller pour l’occasion. Voudrait tu s’il te plait avoir l’obligeance de me pas m’importuné avec tes discoure affabulateur.

- Que de grands mots sortant d’un si joli bouche. Sa me donne envie de te mangé les lèvres.

- Sa suffit. Intervenait le père de valentin hors de lui. Cesse donc de parlais à ce cloporte insignifiant.

- Je crois que c’est plutôt ton fils le cloporte insignifiant. Pour le mien de tout le monde évitons-nous pour le reste de la soirée. Vient avec moi.

- Oui père.

Vladimir emboita le pas de son père, comme le gentil fils bien obéissant qu’il était. Il fut surpris d’être tiré en arrière par Valentin, qui ce collait à lui, pour aller lui glisser a creux de l’oreille.

- Il y a un espion chez vous.

- Pourquoi me dire cela ?

- parce que je veux jouer dans les règles sans tricher. Jamais de triche. Alors règle le problème Vlady.

- sa sera fait. Merci.

- Sa mérite une récompense.

- Tu veux savoir quelque chose Valentin.

- Non je sas je te rends fou.

Vladimir le fixait sans rien répondre avant de détourner les talons pour partir. Le blond le regardait s’éloigner, encore une fois il n’était pas parvenu à le faire sortir de ses gonds. Ce mec était vraiment imperméable à tout. Il allait tous faire pour voire ce masque de froideur disparaitre de son visage.

 

 

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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Mercredi 21 avril 3 21 /04 /Avr 16:57

 

CHAPITRE 3 :

 

 

Quel n’avait pas été sa surprise en voyant Vladimir assit sur un banc en train de lire un journal. Jamais il ne l’avait vu dans ce parc alors qu’il travailler juste à côtés. Il me sortait de son laboratoire. Sauf pour des conférences de presse, aux des choses en rapport avec le boulot. Il avait aussi été très étonné de le voire dans ce bar avant-hier soir. Ce mec ne profitait pas de sa vie. Il ne vivait que pour son travail, pour son père. Et sa l’énervé, il aurait voulut le faire sortir de sa léthargie sentimentale. Il avait envi de le taquiner comme lorsqu’ils étaient jeune, avant qu’il me rentre dans le monde du travail. Avant que tout ne change.

- alors tu es enfin sorti de ta tanière ?

Il relevait sur lui ses beaux yeux verts, son regard ne reflétait rien de ce qu’il pouvait penser ou ressentir. Ses yeux n’avaient jamais rien montré de ses sentiments. Sauf lorsqu’il était dans ses bras. Cette nuit qui avait était bien trop courte.

- Et toi que fait tu ici de si bonne heure ? Tu es bien matinal.

- Je suis toujours très matinal après une nuit de sexe endiablé mais tu ne sais pas de quoi je parle monsieur le puceau en chef.

- Je suis fier d’être encore puceau. Je ne cherche en aucun cas à avoir une simple aventure.

Valentin ce laissait tombé à ses côté posant son bras sur le dossier du banc, derrière le coup de son rivale. Il ce rapprochait de lui pour lui murmurait à l’oreille.

- Mais ton petit cul lui n’es plus puceau. Pendant toute la nuit je t’ai pris encore et encore et tu as adoré ça.

Vladimir ce retournait vers lui, ne perdant pas son regard impassible.

- Tu mens Valentin. À si non j’aurais eu mal aux fesses.

- C’est trop mignon ce que tu dis. Dommage t’as un cul de rêve. Alors comment avance ce projet.

- C’est classe secret. Je ne peux pas en parlais. Et surtout pas avec toi. Alors je vais retourner travailler.

- C’est ça. Retourne voire ton papa chéri. Et n’oublie pas la réception de samedi. J’y serais avec mon père. Sa promet d’être fort intéressant. Fait toi beau parce que cette fois tu passeras bien à la casserole. Murmurait-il à son oreille en faisant glisser ses doigts le long de sa cuisse. Le brun le laissait faire sans rien dire. Il ne répondait jamais à ses provocations de toute façon. Il était tellement passif. Et ce qu’il était pareille au lit ? Bonne journée bel homme.

Il le levait pour partir alors que Vladimir reprit sa lecture sans ce soucier du blond qui s’éloigner. On lui avait appris à le détesté mais lui il s’en moqué de cette haine il voulait juste qu’il sorte de sa vie. Il n’en avait rien à faire de cet homme. Il ne représentait rien de plus qu’un obstacle sur son chemin.

 

 

- Salut tout le monde. S’écriait valentin en entrent dans le laboratoire au ses collègue était déjà au travail.

- Le patron veut te voire.

- Ok pas de bêtise pendant mon absence.

 

 

Il entrait dans le bureau de son père sans prendre la peine de frappé. Il trouva son père assit derrière le bureau qui le fixait avec colère. C’était encore un très bel homme pour ses 54 ans, ses cheveux gris non dissimuler lui donnait un charme fou. Il avait la posture l’assurance d’un homme de la haute société. Il était respectable et craint. Mais en lui valentin ne voyais qu’un père bien trop exigeant et très peu aimant.

- Bonjours papou chéri.

- Valentin ne m’appelle pas de la sorte comme les roturiers.

- Ce que tu peux être vieux jeu.

- Et si tu pouvais être un meilleur fils.

- Que veux-tu de plus. Je t’en ai déjà donné assez.

- Je veux un héritier et je veux que tu te marie.

- Alors la jamais. Je suis gay père accepter le où ma place n’es pas ici.

- Quand cesseras-tu de bafouer ainsi le nom de notre famille. Si tu n’étais pas l’avenir de cette société je t’aurais jetait dehors depuis bien longtemps déjà.

- je m’attends que cela.

- Comment avance le projet « avenir » ?

- Quel nom stupide. Ça avance doucement.

- Tu prends cela bien trop à la légère. Je refuse de perdre contre cet homme.

- Cet lutte n’est pas la mienne père. En es face à un mur. Nous n’arrivons pas à lui faire ressentir quoi que ce soit. Les capteurs de son corps ne transmet aucune information autre que le touché à son cerveau. Il ne ressent ni le chaud, ni le froid, ni les différentes surfaces. Rien et il n’as aucun sentiments.

- Nous somme en retard. J’ai une source chez la New technology and robotics qui certifie que leur androïde peut faire la différence entre les températures, les matières, mais il n’éprouve encore aucuns sentiments.

- Je n’en ai pas encore fini avec toi. Reste ici.

Mais il avait déjà quitté le bureau, il venait de perdre sa bonne humeur. Comment Vladimir pouvait-il supportait une obéissance sans limite, il faisait la fierté de son père. Alors que le sien le méprisé. Chaque jour il avait envie de partir loin d’ici. Il ni avait qu’une seul chose qui l’en empêchait. Juste une fois, il voulait voire Vladimir sourire, juste une fois.

 

 

 

 

- Vous avait placé un espion. C’est une technique épouvantable. Je ne te croyais pas capable de faire de telles choses justes pour gagner.

- Si mon fils n’était pas un bon à rien je n’aurais pas besoin de faire cela. Tu es la honte de la famille.

- Bien sur. Ce que vous ne supportait pas c’est l’idée que je sois bien meilleure que tu l’as été. La discutions et terminé père. J’ai du travail.

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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Jeudi 15 avril 4 15 /04 /Avr 23:33

et pour finir un nouveau chapitre de ma nouvelle fic. j'espère qu'elle vous plaira.

 

 

 

CHAPITRE 2 :

 

 

Depuis tout petit en leurs avait appris à ce détesté. Ils étaient rivaux, ils devaient être sans cesse en compétition, sport, école. Tout était une lutte constante. Vladimir c’était toujours plier à chaque volonté de son père. Il passé ses journées à étudier, à faire du sport, à ce perfectionné. Il n’avait pas le temps de ce faire des amis, de parlais avec d’autre enfant. Tout ce qui conté c’était que son père soit fier de lui.

Valentin lui était tout l’opposé de Vladimir. Dés son plus jeune âge il c’était insurgeait contre tout cela, il suivrait les études choisit par son père s’il pouvait faire ce qu’il voulait en dehors des études. Il ce refusait à suivre un chemin tout tracer. Ils avaient fréquentait les meilleur écoles, toujours ensemble, toujours en compétition.

Valentin adorait essayer de faire sortir son ainé de ses gonds, mais il ni était jamais parvenu. Il était si froid si hermétique à tout. Sauf cette nuit la. Il n’avait pas couché ensemble enfin il n’était pas allé jusqu’au bout. Valentin aurait adorait, même s’ils étaient tout deux bourré. Ce n’était qu’une nuit d’égarement rien d’autre. Il n’était pas fait pour être amis. Juste des rivales. Née pour ce détesté.

 

 

Valentin émergé enfin de son sommeil. Il ce collait contre le corps de son jeune amant déposant ses lèvres dans son coup le faisant tremblais. Le jeune brun ce retournais pour lui faire face. Ce blottissant contre lui.

- Bien dormit beauté ? Demandait valentin en lui caressant les cheveux avec douceur.

- A merveille. Je vois que tu es en forme dés le matin. Tu n’en as pas eu assez hier.

- J’y peux rien ton petit cul me rend fou.

- Pas autant que le mec avec qui t’es parti hier soir. Il était sublime tu t’es ni as bandé dés que tu la vu. Tu me le présente.

- Laisse tombait il est hétéro à cent pour cent. Et il c’est rien passé.

- j’ai du mal à te croire.

- Pourtant c’est la vérité. Arrête de parlais et fait moi du bien.

Le jeune homme brun glissait sous les draps alors que Valentin fermait les yeux le laissant aller ou plaisir. Il ne c’était rien passé de plus que des baisers et des caresses. Mais putain que ce mec avait été bon, il savait ce servir de ses mains et de ses lèvres. Pourtant tout le monde disait qu’il n’avait jamais eu la moindre relation. Alors pourquoi était-il si habille ?

 

 

 

Vladimir m’avais pas fermé l’œil de tout la nuit, il devait avancer l’échéance arrivé à grand pas. Tout était presque ok. Le robot était parfait, un parfaite androïde. Une parfaite reproduction d’un homme, tout jusqu’au dernier détaille. Il était parfait, magnifique. Il écouté les ordres, pouvait penser par lui-même. Mais ce n’était encore qu’un simple robot. Dépourvu d’une âme, dépourvue d’un cœur. C’était jouet à dieux que d’essayer de crée u tel être mais il devait y arrivé.

Le soleil commencer à ce levait illuminant la pièce si sombre. Vlad retirait ses lunette, il les avait porté si longtemps qu’il en portait la marque sur les yeux. Il était fatiguais mais il n’avait pas le temps de dormir. Il s’appuyait contre le dossier du siège ce frottant ses beaux yeux fatigués. Il devait ce dégourdir un peu les jambes, et prendre une bonne douche. Il ce levait pour sortir du laboratoire direction la salle des employer ou il y avait une salle de bain et une petit chambre. Il passait plus de temps ici que dans son appartenant. Il prit des affaires dans son cassier et allait s’enfermer dans la salle de bain. Il y avait une douche et une baignoire. Aujourd’hui un bain ne serrait pas un luxe, tout son corps était endolorie il avait besoin de ce détendre. Il faisait donc couler l’eau dans la baignoire et ce redressait pour retirait ses vêtements dévoilant son corps magnifique, sans aucun défaut, ce corps qu’il avait modelait au court des années. Une peau hâlé, un corps puissant, musclé avec finesse et délicatesse, il était beau, mais il me ce servait pas de cette beauté.

Il ce glissait dans la baignoire, ses 1m80 y rentrait tout juste. Il fermait les yeux ce laissant aller à ce bien être. C’était les seul moments de détente qu’il s’accordait. Plus jamais il me ferrait la même erreur que la nuit dernière.

Ils avaient encore connu un nouvel échec. Avec leurs projet alors il était allé dans ce bar et pour la premier fois de sa vie il c’était souler. Il me ce rappelais de rien à part de s’être éveillé à côté de celui qui avait toujours était son plus grand rivale.il revoyais son corps pâle endormi à ses côtés. Est-ce que lui ce souvenait de ceux qu’il c’était passé ? Il s’avait qu’il était gay mais il devait lui aussi être ivre pour vouloir couché avec lui. Ou il avait fait cela pour ce moqué de lui. Est-ce qu’il avait fait l’amour ? Non Valentin n’était pas du genre à faire l’amour. Lui il baiser, il les collectionné. Cet homme était répugnant. Il ne pouvait pas avoir fait quoi que ce soit avec lui. Il ouvrait les yeux essayant de chasser les images qui lui venaient à l’esprit. Il plonger sa tête dans l’eau, c’était clame à cette heures si, tellement reposant. C’était ses moments de la journée qu’il préférait où personne ne venait le déranger. Il fermait à nouveau les yeux ce laissant aller.

 

 

Valentin ce détachait des bras de son amant pour s’habillait, il avait passé une soirée des plus agréable mais il lui fallait aller au travail à présent. Il l’embrassait langoureusement une dernière fois avant de quittait l’appartement. Il faisait incroyablement beau aujourd’hui, alors il irait au travail à pieds et passerait dans central Park pour ce dégourdir un peu les jambes et profitait de cette belle journée. Il n’était pas presser de ce rendre au travail. Il levait les yeux au ciel en souriant.

- il doit certainement déjà être au travail, ce mec ne vie vraiment que pour son travail. Il est adorable.

 

 

Il s’était arrêté prendre un café et le journal, pour prendre un peu l’air, ce n’était pas bon de resté enfermer toute la journée. Il ce posait sur un des bancs de regardant les gens passé, des enfants avec leurs parents. Des couples, des sportives. Des employer de bureau qui venait prendre un bol d’air pure avant de commençait à travailler. Il les regardait vivre tous simplement. Lui ne connaissait pas une vie aussi simple. Il ouvrir son journal, pour lire les nouvelle du jour. C’était rare qu’il ce prenne des moments de détente, mais il avait besoin de sortir. Passé son temps à travailler ne l’aidé pas à avancer.

- alors tu es enfin sorti de ta tanière ?

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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