Jeudi 15 avril
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23:33
et pour finir un nouveau chapitre de ma nouvelle fic. j'espère qu'elle vous plaira.
CHAPITRE 2 :
Depuis tout petit en leurs avait appris à ce détesté. Ils étaient rivaux, ils devaient être sans cesse en compétition, sport, école. Tout était une lutte constante. Vladimir c’était toujours
plier à chaque volonté de son père. Il passé ses journées à étudier, à faire du sport, à ce perfectionné. Il n’avait pas le temps de ce faire des amis, de parlais avec d’autre enfant. Tout ce qui
conté c’était que son père soit fier de lui.
Valentin lui était tout l’opposé de Vladimir. Dés son plus jeune âge il c’était insurgeait contre tout cela, il suivrait les études choisit par son père s’il pouvait faire ce qu’il voulait en
dehors des études. Il ce refusait à suivre un chemin tout tracer. Ils avaient fréquentait les meilleur écoles, toujours ensemble, toujours en compétition.
Valentin adorait essayer de faire sortir son ainé de ses gonds, mais il ni était jamais parvenu. Il était si froid si hermétique à tout. Sauf cette nuit la. Il n’avait pas couché ensemble enfin
il n’était pas allé jusqu’au bout. Valentin aurait adorait, même s’ils étaient tout deux bourré. Ce n’était qu’une nuit d’égarement rien d’autre. Il n’était pas fait pour être amis. Juste des
rivales. Née pour ce détesté.
Valentin émergé enfin de son sommeil. Il ce collait contre le corps de son jeune amant déposant ses lèvres dans son coup le faisant tremblais. Le jeune brun ce retournais pour lui faire face. Ce
blottissant contre lui.
- Bien dormit beauté ? Demandait valentin en lui caressant les cheveux avec douceur.
- A merveille. Je vois que tu es en forme dés le matin. Tu n’en as pas eu assez hier.
- J’y peux rien ton petit cul me rend fou.
- Pas autant que le mec avec qui t’es parti hier soir. Il était sublime tu t’es ni as bandé dés que tu la vu. Tu me le présente.
- Laisse tombait il est hétéro à cent pour cent. Et il c’est rien passé.
- j’ai du mal à te croire.
- Pourtant c’est la vérité. Arrête de parlais et fait moi du bien.
Le jeune homme brun glissait sous les draps alors que Valentin fermait les yeux le laissant aller ou plaisir. Il ne c’était rien passé de plus que des baisers et des caresses. Mais putain que ce
mec avait été bon, il savait ce servir de ses mains et de ses lèvres. Pourtant tout le monde disait qu’il n’avait jamais eu la moindre relation. Alors pourquoi était-il si habille ?
Vladimir m’avais pas fermé l’œil de tout la nuit, il devait avancer l’échéance arrivé à grand pas. Tout était presque ok. Le robot était parfait, un parfaite androïde. Une parfaite reproduction
d’un homme, tout jusqu’au dernier détaille. Il était parfait, magnifique. Il écouté les ordres, pouvait penser par lui-même. Mais ce n’était encore qu’un simple robot. Dépourvu d’une âme,
dépourvue d’un cœur. C’était jouet à dieux que d’essayer de crée u tel être mais il devait y arrivé.
Le soleil commencer à ce levait illuminant la pièce si sombre. Vlad retirait ses lunette, il les avait porté si longtemps qu’il en portait la marque sur les yeux. Il était fatiguais mais il
n’avait pas le temps de dormir. Il s’appuyait contre le dossier du siège ce frottant ses beaux yeux fatigués. Il devait ce dégourdir un peu les jambes, et prendre une bonne douche. Il ce levait
pour sortir du laboratoire direction la salle des employer ou il y avait une salle de bain et une petit chambre. Il passait plus de temps ici que dans son appartenant. Il prit des affaires dans
son cassier et allait s’enfermer dans la salle de bain. Il y avait une douche et une baignoire. Aujourd’hui un bain ne serrait pas un luxe, tout son corps était endolorie il avait besoin de ce
détendre. Il faisait donc couler l’eau dans la baignoire et ce redressait pour retirait ses vêtements dévoilant son corps magnifique, sans aucun défaut, ce corps qu’il avait modelait au court des
années. Une peau hâlé, un corps puissant, musclé avec finesse et délicatesse, il était beau, mais il me ce servait pas de cette beauté.
Il ce glissait dans la baignoire, ses 1m80 y rentrait tout juste. Il fermait les yeux ce laissant aller à ce bien être. C’était les seul moments de détente qu’il s’accordait. Plus jamais il me
ferrait la même erreur que la nuit dernière.
Ils avaient encore connu un nouvel échec. Avec leurs projet alors il était allé dans ce bar et pour la premier fois de sa vie il c’était souler. Il me ce rappelais de rien à part de s’être
éveillé à côté de celui qui avait toujours était son plus grand rivale.il revoyais son corps pâle endormi à ses côtés. Est-ce que lui ce souvenait de ceux qu’il c’était passé ? Il s’avait qu’il
était gay mais il devait lui aussi être ivre pour vouloir couché avec lui. Ou il avait fait cela pour ce moqué de lui. Est-ce qu’il avait fait l’amour ? Non Valentin n’était pas du genre à faire
l’amour. Lui il baiser, il les collectionné. Cet homme était répugnant. Il ne pouvait pas avoir fait quoi que ce soit avec lui. Il ouvrait les yeux essayant de chasser les images qui lui venaient
à l’esprit. Il plonger sa tête dans l’eau, c’était clame à cette heures si, tellement reposant. C’était ses moments de la journée qu’il préférait où personne ne venait le déranger. Il fermait à
nouveau les yeux ce laissant aller.
Valentin ce détachait des bras de son amant pour s’habillait, il avait passé une soirée des plus agréable mais il lui fallait aller au travail à présent. Il l’embrassait langoureusement une
dernière fois avant de quittait l’appartement. Il faisait incroyablement beau aujourd’hui, alors il irait au travail à pieds et passerait dans central Park pour ce dégourdir un peu les jambes et
profitait de cette belle journée. Il n’était pas presser de ce rendre au travail. Il levait les yeux au ciel en souriant.
- il doit certainement déjà être au travail, ce mec ne vie vraiment que pour son travail. Il est adorable.
Il s’était arrêté prendre un café et le journal, pour prendre un peu l’air, ce n’était pas bon de resté enfermer toute la journée. Il ce posait sur un des bancs de regardant les gens passé, des
enfants avec leurs parents. Des couples, des sportives. Des employer de bureau qui venait prendre un bol d’air pure avant de commençait à travailler. Il les regardait vivre tous simplement. Lui
ne connaissait pas une vie aussi simple. Il ouvrir son journal, pour lire les nouvelle du jour. C’était rare qu’il ce prenne des moments de détente, mais il avait besoin de sortir. Passé son
temps à travailler ne l’aidé pas à avancer.
- alors tu es enfin sorti de ta tanière ?
istoire super je trouve mai il von po se detester toute l istoire comme meme et c ki cette paersonne ki lui dit enfin sorti de ta taniere vite la suite