Jeudi 6 mai
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10:23
CHAPITRE 6 :
Valentin était assit face au jeune Tim, il l’écoutait parler en souriant. Il lui parlait de ses études, de ses passions. De sa vie, et valentin ne pouvait s’empêché de le jalouser un peu. Lui
avait put vivre sa jeunesse, il avait tout juste 19 ans, et il parlait de la vie avec tellement de passion. C’était rafraichissant de l’entendre parlait. De voire son visage si expressif, des
expressions qu’il n’aurait jamais. Car au fond il est comme Vladimir, il ne ressent pas grand-chose. Parce qu’on ne lui avait pas appris à ressentir.
Il avait été dés son plus jeune âge enfermer dans un monde ou il ni avait pas de place pour les sentiments. Il fallait travailler, encore et toujours. Être le meilleur, ne rien ressentir parce
que les sentiments nous rendaient faible. Il avait lutté contre cela, mais il avait été impossible de son échapper totalement. Il restait prisonnier de ce père tyrannique et de cette mère qui
préférait dépenser sans conté plutôt que d’élevait son enfant. Il ce demandait souvent ce que cela faisait d’avoir des parents aimant, attentionné, toujours là. Dans les bons, comme dans les
mauvais moments. De vrais parents. Parce que pour lui ils n’étaient rien de plus que des géniteurs. Il avait pourtant décrochait le diplôme de la plus prestigieuse des universités et cela, ne
suffisait pas. Il aurait voulut recevoir des encouragements au moins une fois.
Il ce penchait par-dessus la table pour faire glisser ses doigts sur la joue de Tim, qui ce mit à rougir à ce contact. Sa peau était douce, délicate. Sa lui donnait envie de le couvrir de
baisers.
- Je t’aime bien Tim. Tu es très rafraichissant. Mais sa ne sera que pour une nuit, je ne veux pas te blesser.
- On…On pourra rester ami…après ?
- Bien sur que oui. De très bon ami.
- Alors je veux passer cette nuit avec toi. Si tu veux bien.
- Bien sur que j’en ai envie. J’en ai très envie même. Alors en y va ?
Vladimir passait sa veste sur le siège et ce laissa tomber sur le canapé, la soirée avait été éprouvante. Ce marié. Il ni avait jamais pensé. Jusqu’à ce que sont père le lui impose. Il la
connaissait à peine. Elle était belle, mais il ne ressentait rien pour elle. Elle méritait un homme qui serrait l’aimait. Mais c’était une volonté de son père alors il le ferait. Dans un mois il
serrait marier. Il ce levais et sorti de son bureau pour entré dans le laboratoire. C’était silencieux. Il ni avait personne, sauf lui. Il était toujours là. Il ne vivait que pour le travail. Il
fixait l’androïde, dans sa prison de glace. Il était parfait, mais totalement vide comme lui. Il n’avait pas de cœur, le sien lui à part battre ne faisait pas grand-chose d’autre. Pourquoi est-ce
qu’il ne ressentait rien. Elle avait pleuré dans ses bras et il n’avait rien ressentit. Il l’avait serré dans ses bras, mais sa chaleur ne l’avait pas atteint, sans cœur n’avait pas battue plus
vite. Rien n’avait changé. Il était comme ce robot. Il re-sortait du labo pour regagner son bureau et s’écrouler sur le canapé pour si endormir aussitôt à bout de force. Alors que des centaines
de questions lui tournaient dans la tête.
Valentin serrait le jeune Tim dans ses bras, l’embrassant avec douceur, il ne voulait pas le brusqué. Il fallait aller à son rythme. Il tremblait contre lui. De peur d’excitation. Son souffle
était rapide, et il pouvait sentir son cœur battre. Il le fit basculer sur le lit s’allongeant à ses côtés, caressant son visage avec douceur. Le faisant gémir de bien être. Il fermait les yeux,
posant sa main sur la sienne. Il était tellement beau et désirable. Pourquoi était-il incapable de tombait amoureux de qui que ce soit. Pourtant m’importe quel homme sensé pourrait tombait
amoureux d’un mec comme Tim.
- Tu n’as plus envie de faire l’amour valentin.
- Si mais toi ne voudrait tu pas faire l’amour avec un homme que tu aimerais vraiment.
- je ne sais pas. J’ai envie de faire l’amour avec toi.
- Je ne veux pas prendre ta première fois si tu n’es pas certain de le vouloir.
Tim s’allongeait sur son ainé le fixant en souriant.
- Je suis sur que avec toi je ne regretterais rien. Parce que tu serras doux. Je veux que tu me fasses l’amour.
Valentin refermait ses bras autour du corps de son jeune amant, le serrant contre lui, allant ravir ses lèvres. Il l’embrassait avec douceur, mêlant sa langue à la sienne, elles ce cherchaient,
ce mêlaient, ce séparaient pour mieux ce retrouvaient encore et encore. Leurs mains parcourait leurs corps, en caressant chaque centimètre carré, les vêtements ce retrouvaient vite sur le sol et
leurs corps nue s’entremêler, dans une danse sensuel, envoutante, magnifique. Comme s’il était fait pour ne faire qu’une seul et même âme.
La pièce était remplis de doux soupires, de mots tendre. La tension était à son apogée. Leurs corps fusionnaient, ils n’étaient plus que volupté, plaisir. Leurs corps s’épouser à merveille. Il
faisait l’amour à son jeune amant avec douceur et passion. Leurs bouches ce seller, leurs doigts s’entremêlaient, leurs cœur battaient à l’unisson. Et c’était ensemble qu’ils atteignaient le
nirvana du plaisir. Avant de retombait sur un doux nuage. C’était un de ses rare moment de plénitude, au vous oublier tout, ou plus rien n’as d’importance. Où tout vous semble si beau. Un moment
si rare et tellement fugace.
-merci valentin.
- Merci à toi Tim.
Le jeune brun ce blottissait d’avantage contre le corps de son amant, s’endormant contre ce corps si rassurant et protecteur. En lui prête volontiers un tempérament de coureur invétéré mais pas
d’amant tendre et attentionné.
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