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CHAPITRE 3 :
Il respiré toujours mais empesté l’alcool, combien de bouteille avait-il vidé tout ça à cause de cette femme, elle ne le mérite pas. À cause d’elle je ne reconnais plus mon meilleur ami. Je le secouai pour essayer de le réveillé.
- Hm Clara.
Ce fut le seul mot qui sorti de sa bouche, il ouvrir les yeux et je vis l’air déçus sur son visage me brisant le cœur. Je n’étais pas la personne qu’il voulait avoir à ses côté.
- Désolé mais ce n’es que moi. Tu devrais aller te laver, tu pus. Je vais te préparé un truc à bouffé. Et dés demain tu retourne à la fac.
Je me levai mais je n’eu pas le temps de faire un pas que je ne retrouvai plaqué sur le sol, dépossédé de mon pantalon et de mon boxer. Il me fit relevé le bassin et je me retrouvai à nouveau avec son sexe en moi, je serrai les dents sous la douleur. Si seulement il pouvait penser à moi en fessant ça. Si seulement il pouvait me faire l’amour au lieu de me baiser. C’était si douloureux. Je le laissais faire, je n’arrivé même pas à pleurais. Il continuait de me baiser en appelant Clara. Je le laissai me blesser un peu plus après tout je suis gay et je prends un peu de plaisir dans ses acte répugnant, c’est comme s’il me violé mais c’est tout ce que je pouvais avoir de lui. Il fini par jouir en moi, il s’arrêta de bouger me ce demandant même pas si moi j’avais jouit. Il ce retira et je me redressai me rhabilla en silence, sans le regardait je n’en avais pas la force. J’avais l’impression que j’allais m’écroulé mais je refusé de me montré faible devant lui. J’allai dans la cuisine et m’adossa au mur pour essayer de me clamer. Mon cœur me fessait si mal, pourquoi jouait-il ainsi avec moi ? Pourquoi me fessait-il autant de mal ? Pourquoi ne pouvait-il pas m’aimé ?
Je fini par me calmé et retourné dans le salon avec un sac poubelle bien décidé à viré tout ce bordel. Je commençai à ramassé les bouteilles qui jonché le sol. Je sentais son regard me suivre et le silence qui c’était installer était des plus pesant.
- Pourquoi tu ne dit rien Gillian. Tu devrais me crier dessus.
Je lui tourné toujours le dos ne voulant pas lui montré la tristesse qui devait voiler mon regard à cette instant. Et s’essayer de gardé une voix sereine.
- Pourquoi ? On est ami Bruce. Alors si cela peut t’aidé. Je te laisserais faire.
Je me retournai vers lui abordant un large sourire.
- Et puis tu l’as dit toi-même. Je suis P.D alors j’adore me faire enculer. Pourquoi es ce que je me plaindrais ? Va te laver ensuite en déjeunera. Tu as besoin de reprendre tes esprits. Tu as du boire à outrance pour m’avoir confondu avec Clara. Je rigoler alors que j’avais tellement mal. Il resta quelques seconde à me regardais en silence avant de détourné les talons pour monté à l’étage. J’entrepris de ramassé tout le bordel qu’il avait mit. Que voulait-il que je lui dise ? Que ce qu’il venait de faire me fessait atrocement mal. Qu’il m’arraché le cœur à chaque mots, à chaque geste. Dans cette histoire j’étais le seul à l’aimé. Le seul à souffrir, le seul à mettre mon cœur en jeu. J’avais l’habitude de souffrir à cause de lui mais les choses ne fessait que j’aggravé et me plongé un peu plus dans la douleur. Avant il ce contenté de pleurais dans ses bras, alors que maintenant il me sauté en pensant à sa pouffe. Ce que je peux la détesté cette femme. Je me sens si sale que j’ai envi de disparaître, de m’éloigner de ce mec qui me rendais fou. Mais je devais rester fort.
- Gil.
J’étais tellement perdu dans mes pensé sombre que je ne l’avais pas entendu redescendre. Je sursautai au son de sa voix et me retourna vers lui. Il était appuyais contre le chambranle de la porte les bras croiser sur son torse nu et encore ruissellement d’eau, venant de ses cheveux encore noyer qui couler le long de son corps et je jalousé cette gouté d’eau qui pouvait le caressé aussi intimement. Il me fixait avec tristesse. Il avait pleurait sans nul doute encore à cause de cette femme.
Je m’approchai de lui frôlant sa joue de mes doigts, juste de l’effleurais ainsi me rendais fou de désire. Je me pu m’empêché de le prendre dans mes bras. Quand je le voyais aussi tristes j’oublier tout ce qu’il avait put me faire, je lui pardonné tout, la seul chose que je désiré c’est de le voire sourire.
- Que ce passe t-il Bruce ? Demandais-je dans un murmure au creux de son oreille essayant de me pas laisser mon désir prendre le dessus et d’embrassé sa nuque offerte à mes lèvres avide de lui. Je senti une douce chaleur m’envahir alors qu’il referma ses bras autour de moi, me serrant dans ses bras. Je le sentais tremblais contre moi. De nous deux il avait toujours était le plus faible, pas au niveau physique. Il était sportif et musclé. Il était fragile émotionnellement. Ses parents l’avait abandonné lorsqu’il était petit et il avait été élevé par ses grand parents, depuis il avait peur d’être abandonné par les gens qu’il aime. C’est pour sa qu’il s’accroche tant à cette femme. Avec moi c’était différant parce qu’il savait très bien que je ne l’abandonnerais jamais. Il serrait certainement le premier à ce détaché de moi et je serrais le seul à en souffrir.
- Je suis désolé Gillian. Je ne voulais pas te faire ça. Je ne voulais pas te dire toutes ses choses horribles. Je ne voulais pas te manqué de respect. Tu es mon meilleur pote et tu es toujours la pour m’aidé. S’il te plait pardonne-moi. Je ne veux pas que tu me déteste.
- Je ne t’en veux pas Bruce. Tu sais très bien que je suis incapable de t’en vouloir. Tu es amoureux et sa te fait faire des choses que tu ne veux pas faire. Aide-moi à ranger pendant que je vais préparer le déjeuner.
Je ne détaché de lui mais il me reteint par le bras m’adressant un large sourire.
- Laisse je m’occupe de tout. Je te dois bien ça ? Repose-toi un peu. Le voyage à du être épuisant. Va prendre un bain. Ne pense plus à rien.
- Tu es sur ? C’était bien la première fois qu’il ce proposé pour faire le déjeuner mais sa me fessait plaisir qu’il pense à moi.
- Il faut bien que je me fasse pardonner. Et te remercier de tout ce que tu as fait pour moi. Tu es vraiment un ami incroyable. Sans toi je crois bien que je serrais devenu totalement fou.
- Je serrais toujours là pour toi Bruce.
Je lui souris avant de sortir du salon pour rejoindre l’étage et entré dans la salle de bain. Je refermai la porte et m’appuya contre perdant mon sourire.
- Oui je serrais toujours là fidèle ami et rien de plus.
voila le chapitre 2 de substitut où amour. je sais que vous l'attendez avec impatience.lol. bonne lecture.
CHAPITRE 2 :
Je détachai un à un les boutons de sa chemise faisant glisser mes doigts sur son torse plat. Il est vraiment foutu comme un dieu l’hétéro. Je fis glisser mes lèvres dans sa nuque. Allant mordiller son oreille le faisant gémir de plaisir je connaissais chaqu’un de ses points faible. Tout les endroit pour le faire jouir et le rendre fou. Mes lèvres glissaient dans sa nuque. Sa peau était si douce, si savoureuse. J’aimais tant le dévoré, j’aurais voulut le goûté encore et encore. Mes mains détachaient son pantalon pour glisser sur ses fesses l’attirant encore plus contre moi le faisant gémir de bien être lorsque son sexe tendu frappa contre le mien.
- Tu es déjà toute dure beauté.
- C’est…de ta faute…tu me rends totalement fou.
Je plongeai ma main dans son boxer pour prendre son sexe. Il était monté comme un Apollon. J’avais envi de le dévoré mais j’avais tellement envi de le prendre.
- caresse-toi pour moi André. Murmurais-je à son oreille en enfonçant un doigt en lui. Il me fixait le regard débordant de plaisir de désir alors qu’il prit son sexe pour ce branler. Ce qu’il pouvait être érotique lorsqu’il fessait cela.
- Tu n’es…n’es… qu’un pervers Gillian….aaah.
- Tu adore ça. Répondis-je en enfonçant un troisième doigt en lui, lui faisant lâcher un gémissement des plus érotiques.
- Aaah…oui…j’adore ça…
Il était tellement érotique lorsqu’il ce donner du plaisir de la sorte il me fixait le regard débordant de désir. Depuis combien de temps n’avions nous pas fait l’amour ? Trop longtemps sans doute vu l’impatience que je lisais dans son regard.
- J’en….aaah…j’en peux plus Gil prend…prend moi tout de suite…aaah…j’en ai tellement envi.
Il ce redressa pour finir de retiré son pantalon et sa boxer ne gardant que sa chemise. Je me pus résister à l’envi de faire glisser mes doigts le long de son torse plat. J’effleurant du bout des doigts. Ce qu’il peut être beau. Il me souriait avec douceur avant de venir s’assoir sur moi. Si seulement Bruce pouvait me regardais de la sorte. Je gémissais de plaisir lorsque je le sentis m’enserré de ses chaire brulante. Il était crispé par la douleur bien trop impatiente. Je l’embrassai avec douceur en le caressant pour lui faire un peu oublier la douleur.
- Sa va allai André ?
- Oui…c’est juste que ça fait longtemps et qu’elle et tout sauf petite…mais c’es trop bon.
Il ce soulève un peu libérant ma verge avant de redescendre sur ma queue. Je le serra avec force contre moi l’embrassant avec fouge et passion. Il fini par accéléré le rythme de ses va et vient sur mon sexe criant cette fois de plaisir. Il rejeta la tête en arrière me retenant pas ses cris de plaisir.
- Aaah…c’est trop bon…
Je l’embrassai encore e encore, caressant chaque parcelle de son corps, Bougeant mes hanches en rythme avec lui.
- Aaah…Gillian je vais jouir…aaah…oui…vient moi…
- Ensemble André.
- Aah…oui…Gil.
Il venait de jouir sans que j’eu besoin de le touché et c’était une vision des plus érotique qui soit. Lorsque je sentis son anus ce resserré autour de moi, j’explosai en lui dans un cri de plaisir le serrant plus fort encore contre moi. Il va falloir quand ce change après ça. Nous étions tous deux à bout de souffle essayant de reprendre nos esprits après cet orgasme des plus intenses.
- c’étai génial Gil…vraiment bon. Le pied total.
- ce n’est pas aussi bon avec ta femme. Hein ?
- oh que non. Toi t’es un dieu du sexe. J’ai envi de resté dans tes bras. Je peux ?
- reste aussi longtemps que tu le veux. En on a encore pour quatre heures de vol alors repose toi.
Il m’embrassa à nouveau avec douceur mêlant sa langue à la mienne. Ce que j’aime ses baisers. Il relâcha mes lèvres et ce blotti contre moi, soufflant de bien être. Je posai ma main sur sa tête caressant ses cheveux avec douceur. Lorsque j’étais avec lui j’oublié la douleur de cette amour mon réciproque. J’oublier que je ne pourrais jamais avoir l’homme que j’aime. André était sans nul doute l’amant idéal si en met de côté le fait qu’il soit marier et père de famille sans ça j’aurais put tomber amoureux de lui. Enfin je pense. Il était doux, tendre et attentionné toujours à l’écoute des autres. Je l’aime vraiment beaucoup.
Ses deux jours loin de Bruce et en compagnie de André m’avais fait le plus grand bien mais à présent il fallait rentrer et j’avais l’estomac noué me demandant comment ça allait ce passé. Es ce qu’il regretté les paroles qu’il n’avait dit avant mon départ. J’étais devant la porte de chez moi et j’étais terrorisé à l’idée d’entré dans ma propre demeure. Je voulais repartir. Retourné dans les bras d’André loin de ce mec qui me blesse tant. Je le déteste mais pas plus que je l’aime et il entrain de me rendre totalement fou.
Je pris enfin mon courage à deux mains et ouvrir la porte. Je rangeai mes affaires dans la penderie. Je me dirigeai vers le salon c’était bien calme où pouvait il bien être. Peut être et il reparti chez sa pouf. Lorsque j’entrai dans le salon je m’arrêtai net sous la surprise. Je le vis allongé sur le sol, entouré de cadavre de bouteille. Je me précipitai vers lui pour le prendre dans mes bras. Merde ce mettre dans cette état juste pour une femme. Pourquoi doit-il l’aimais autant ?
Ne vois tu donc pas que je t’aime. Regard moi Bruce. S’il te plait me regard que moi.
CHAPITRE 1 :
Il avait plongé ses deux émeraudes dans le gris de mes yeux, me fessant tremblais de bien être, mais la tristesse m’envahit lorsque je vis qu’il avait encore pleurait à cause de cette femme. Pourquoi fallait-il qu’il l’aime autant. Je la déteste, elle me la enlevé jamais je ne pourrais lui pardonné une telle chose.
Je pris place à ses côté posant ma main sur sa joues, ce que sa peau peu être douce, je voudrais tant pouvoir le touché plus, voir comme sa peau peu être douce sous tout ses vêtement. Je fis glisser mes doigts jusque dans ses cheveux ébène, ils sentent le tilleul. J’avais envi de les respirait de m’enivré de leurs odeurs mais cela était impossible. Être si proche et si loin à la fois, n’être qu’une épaule sur laquelle pleurait, n’être qu’un ami alors que je l’aime tant.
Je le sentis tremblais sous mes caresse et j’eu l’espoir fou qu’il aime le contact de ma main mais il ne fit bien vite déchanté.
- Tu as les mains froides.
- Désoler. Répondis-je en retirant ma main. Sa va s’arrangé. Tu sais très bien que vous finissait toujours par vous remettre ensemble.
Je remis en place une de ses mèches effleurent son front du bout des doigts
- oui, mais cette fois c’est différent. Elle ne m’aime plus. Moi je ne peux pas vivre sans elle. Je l’aime comme un fou. Je l’aime tellement.
Oui je le sais alors s’il te plait arrête de le répété sa me fait tellement de mal. Il ni as pas de place pour moi dans ton cœur et le mien à si mal. Je ne lui parlerais pas de ce qui c’était passé, c’était une erreur rien de plus.
- Je vais préparer le déjeuné. Tu as faim ?
- Non, je ne peux rien avaler.
- Bruce, il faut que tu mange.
- Fou moi la paix. Je te dis que je n’ai pas faim.
Je déteste quand il me cris dessus, pourquoi je fais tous pour lui alors pourquoi ne blesse t-il autant.
- Très bien. Je dois partir pendant deux jours alors je te laisse l’appartement fait comme chez toi. Vu de je ne suis d’aucun secours vu que tu ne veux pas de mon aide.
- Tu ne peux pas comprendre ce que je ressens.
- Ah oui et pourquoi ? Demandais-je en essayant de masqué ma tristesse.
- Parce que tu es Pd et que vous ne penser qu’au cul et rien d’autre.
Je ne sus pas quoi répondre, c’est lui qui ne comprend rien comment peut-il croire ça ? C’est donc l’image qu’il à de moi. Alors que je suis amoureux de lui à en devenir fou depuis si longtemps. Ça me fait si mal.
Je soufflai de lassitude et me leva essayant de masqué ma tristesse. J’ai si mal. Je sorti du salon pour remonté dans ma chambre. Je devais partir d’ici le plus vite possible. Je suis entrain d’étouffé.
Je pris ma valise et quitta l’appartement sans lui adressé le moindre mot. J’avais trop mal, il fallait que je n’éloigne de lui. J’avais besoin de faire le point de me détaché de lui c’était la seul solution.
- Je comprend très bien. Plus que tu ne le croit.
J’étais assit sur l’un des fauteuil du jet privé. Je détesté les avions, l’un d’eux n’avait enlevé mes parents mais pour le travail j’été bien obligé de prendre l’avion. Je leva les yeux pour voir André mon bras droit venir s’assoir en face de moi. André à 27 ans, il es marier et père de deux enfants. Un roux au yeux bleu, il et vraiment beau. Il m’adressa un sourire charmeur.
- Tu as une toute petit mine Gillian chou.
- Hm encore Bruce. Clara la encore largué, il es venu pleurait dans mes bras et j’ai du le consoler toute la nuit et ce matin il n’as…
- Vous avait couché ensemble ?
- Il ne m’as pas demandé mon avis. Il m’as baiser en pensant à cette conne et après il ose me traité de Pd qui ne pense qu’à ce faire enfiler. Il ne sait pas je ressens, lui non plus il ne peut pas comprendre. J’an ai marre de tout ça. Je suis à bout de force. Pourquoi n’essayait-il pas de me comprendre. Je voudrais que tout redevienne comme avant qu’il ne rencontre cette femme. Tu doit me trouvé bien égoïste.
- non je trouve que tu à beaucoup de courage.
Il ce leva pour venir vers moi posant sa main sur ma joue me faisant tremblais. Il ce pencha vers moi déposant ses lèvres sur les miennes avec douceur. Je ferma les yeux le laissant m’embrassé. Marié père de famille et mon amant depuis un an déjà. J’aime lorsqu’il me fait l’amour parce que j’ai l’impression d’être aimé. Je me sens si bien dans ses bras. Il détacha ses lèvres des miens me fixant avec tendresse.
- Il sait vraiment pas ce qu’il loupe ton pote. Ton cul c’est pas le meilleur. Murmura-t-il en ce léchant les lèvres posant sa main sur mon sexe.
- Arrête tes conneries André.
- C’est pas des conneries Gillian. Ta bite c’est le meilleur. Et tes baiser me rende fou. Oui tes baisers son définitivement le meilleur.
- Tu dit sa pour me flatté.
- Non c’est la vérité. Répondit-il en m’embrassant à nouveau. T’es un tombeur. Il finira bien par le voire. Et là j’ai très envi de t’avoir en moi. Ça fait si longtemps. Ca n’as manqué.
Je l’attrapa par le bras pour l’attiré sur moi l’embrassant avec douceur allant jouet avec sa langue. La mêlant à la mienne. C’étais si bon que j’en oublier ce que m’avais fait subir Bruce ce
matin. Je voulais oublier dans ses bras cette amour qui me faisait tellement souffrir.
voila il es pas très long mais j'éspère qu'il vous aura plus.
voila la seconde fic je vous laisse lire et faire votre choix.
PROLONGUE.
Je m’appelle Gillian, j’ai vingt ans. Et je suis déjà à la tête d’une fortune colossale. J’ai hérité de la chaine d’hôtel que possédé mes parents à travers le monde. Sa représenté un paquet d’établissements. J’en avais hérité à leurs mort survenu six mois plus tôt lorsque leur jet privé à eu un problème au décollage et à exploser. J’ai dut cesser mes études pour reprendre le flambeau familial. Sa avait été dur mais j’avais surmonté toutes les épreuves et j’ai réussit à reprendre les rênes. Je voulais qu’il soit fier de moi. j'ai toujours tout surmonté sauf une chose.
J’étais allongé sur mon lit, fixant le mur en face de moi. Mon meilleur ami allongé dans mon dos. Il c’était fait larguer par sa copine, la femme de sa vie selon lui. Pour la énième fois. C’était toujours la même chose elle le largué, il vient ce refugier chez moi, je le consoler, l’écoutant parlais de sa meuf pendant des heures en lui disent que tout aller bien. Que sa finirait par s’arrangé, qu’elle reviendrait. Même si j’aurais préférais le contraire.
D’aussi loin que je n’en souviens j’ai toujours était amoureux de Bruce. Je suis gay et je l’assume, je suis comme je suis peut importe ce que peuvent en penser les autres. ca fait trois ans déjà qu’il sort avec Clara. Il l’aime vraiment la preuve il ce met dans des états pas possible à cause d’elle. Et moi je devais éponger ses larmes. Dés fois je me demande ce qu’il ce serait passé si je lui avais dit ce que je ressente pour lui. Certainement rien étant donné qu’il et cent pour cent hétéro. Je me suis fait à l’idée et j’ai renoncé à le voire partager un jour mes sentiments. J’ai tenté d’oublier mon amour pour lui dans les bras de bien des hommes sans y parvenir, il restera le seul homme de ma vie, le seul à avoir réussi à ravir mon cœur.
Je frissonnai lorsque je senti des doigts glisser le long de mon dos, me faisant tremblais, j’aime tellement sentir ses mains sur mon corps et c’est tellement rare. Il les fit glisser jusqu’à mes fesses. Je n’oser plus bouger, à quoi jouait-il ? J’ai rêvé durant des années de recevoir de telles caresses mais je ne comprenais pas. J’arrêtai de respirait lorsqu’il baissa mon boxer. Qu’es ce qu’il fessait ? Pourquoi es ce que je ne fessais rien pour l’arrêté. J’aurais du le repousser, je savais que ça aller me faire souffrir mais je me fessais rien pour l’en empêché. Il frotta sa verge le long de ma raie. Es ce moi qui l’excite ? Non je ne crois pas, il à du rêvé de Clara et il a envi de ce vidé alors il ce sert de moi. Et pauvre abrutit que je suis-je le laisse me pénétré serrant les dents de douleur. C’est qu’il était imposant. Pour tout dire je ne n’étais jamais prit un sexe aussi volumineux que le sien. Et vu que sa fessait un moment que je ne me suis pas fait prendre c’est encore plus douloureux.
Pourquoi fessait-il ça ? J’avais envi de pleurait mais je me retenais, sa n’aurait pas du ce passé comme ça. J’avais rêvé notre première fois des centaines de fois mais jamais je ne me l’étais imaginé de la sorte, juste un parti de baise vite fait, lui profitant de mon sommeil pour me baiser. Pourquoi es ce que je le laisse faire ?
Il ce mit à bouger en moi, j’avais mal mais le plaisir prit vite le dessus après tout c’est l’homme que j’aime. Il me serrait contre lui donnant des coups de reins de plus en plus puissant, lui aussi semblais aimé être en moi. son souffle était rapide, saccadé, il me brûler la nuque tellement il était brûlant. Je me laissais envahir par le plaisir, je voulais que cet instant ne s’arrête pas. Mais je retombai vite sur la terre ferme.
- Aaaah…Clara…je t’aime…
J’ouvrir de grand yeux étonné débandant aussitôt, mes larmes ce mirent à couler sans que je ne puisse les retenir. Je le laissais finir et jouir en moi. Il ne pensé qu’à cette conne. Moi pour lui je ne représenté rien de plus qu’un substitut et c’était si douloureux.
J’aurais dut être heureux, j’avais enfin put sentir l’homme que j’aime en moi. Mais je me sentais sali. Il ce retira aussitôt pour sortir de la chambre alors que je pleurais en silence me recroquevillent sur moi-même. Il c’était vidé les couilles et il était partis. J’avais l’impression de n’être qu’une vulgaire pute que l’ont baise pour ce vidé avant de repartir. C’est si douloureux. Je crois que j’ai fini par me rendormir à bout de force.
Je me réveillai à nouveau lorsque mon réveil sonna. Je n’avais pas envi de sortir de sous la couette j’avais peur de lui faire face. Es ce que j’allais pouvoir le regardait en face après ce que je viens de faire. Je réussis tout de même à sortir du lit rejetant les couvertures aux pieds du lit, je n’étirai. Avant de me redressais gémissent de douleur il ni était pas allé doucement. Je croisai mon reflet dans le miroir, j’avais une tête affreuse. Tous mes amants et bon nombres de femmes m’ont souvent dit que j’étais beau. Moi je ne trouvé banal, de taille moyenne, des cheveux blond impossible à discipliné, les yeux gris acier, oui pas de doute je suis banal. Et même si j’étais beau je n’en ai rien à faire parce que cette beauté ne me permet pas d’avoir ce que je désir plus que tout. Alors à quoi bon.
J’avais encore la sensation de l’avoir en moi, sa avait été si bon si seulement il ne l’avait pas appelé elle, il venait de me briser le cœur une fois encore. J’entrai dans la salle de bain évitant de me regardais à nouveau dans la glace. Je me sentais si sale. J’entrai sous la douche laissant l’eau me débarrassé de ce que j’avais ressenti, de ma honte. Il m’a fallut beaucoup de courage avant de réussir à sortir de la salle de bain, j’avais enfilé un costard comme à mon habitude. Classe et décontracté, je ne portais jamais de cravate, je détesté ça à vrai dire. J’arrangeai ma coiffure, enfin j’essayai de l’arrangé sans grand succès. Je respirai un grand coup et sorti de la salle de bain pour descendre dans le salon.
Je le trouvai assit sur le canapé son téléphone portable à la main. Il regardait des photos sa chère et tendre Clara et je sentis mon cœur ce serré plus encore, enfin si cela était possible.
- Bonjours Bruce. Murmurais-je d’une voix douce. Il sursauta ce retournant vers moi, le regard d’un enfant blesser. Quant il et comme sa je lui pardonne tout.
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