coucou à tous j'ai décidé de vous mettre le premier chapitre de substitut ou amour. je vient juste de finir de le taper. j'espère qu'il vous plaira.
substitut où amour ? cliqué ici pour lire la prolonge. bonne lecture.
CHAPITRE 1 :
Il avait plongé ses deux émeraudes dans le gris de mes yeux, me fessant tremblais de bien être, mais la tristesse m’envahit lorsque je vis qu’il avait encore pleurait à cause de cette femme.
Pourquoi fallait-il qu’il l’aime autant. Je la déteste, elle me la enlevé jamais je ne pourrais lui pardonné une telle chose.
Je pris place à ses côté posant ma main sur sa joues, ce que sa peau peu être douce, je voudrais tant pouvoir le touché plus, voir comme sa peau peu être douce sous tout ses vêtement. Je fis
glisser mes doigts jusque dans ses cheveux ébène, ils sentent le tilleul. J’avais envi de les respirait de m’enivré de leurs odeurs mais cela était impossible. Être si proche et si loin à la
fois, n’être qu’une épaule sur laquelle pleurait, n’être qu’un ami alors que je l’aime tant.
Je le sentis tremblais sous mes caresse et j’eu l’espoir fou qu’il aime le contact de ma main mais il ne fit bien vite déchanté.
- Tu as les mains froides.
- Désoler. Répondis-je en retirant ma main. Sa va s’arrangé. Tu sais très bien que vous finissait toujours par vous remettre ensemble.
Je remis en place une de ses mèches effleurent son front du bout des doigts
- oui, mais cette fois c’est différent. Elle ne m’aime plus. Moi je ne peux pas vivre sans elle. Je l’aime comme un fou. Je l’aime tellement.
Oui je le sais alors s’il te plait arrête de le répété sa me fait tellement de mal. Il ni as pas de place pour moi dans ton cœur et le mien à si mal. Je ne lui parlerais pas de ce qui c’était
passé, c’était une erreur rien de plus.
- Je vais préparer le déjeuné. Tu as faim ?
- Non, je ne peux rien avaler.
- Bruce, il faut que tu mange.
- Fou moi la paix. Je te dis que je n’ai pas faim.
Je déteste quand il me cris dessus, pourquoi je fais tous pour lui alors pourquoi ne blesse t-il autant.
- Très bien. Je dois partir pendant deux jours alors je te laisse l’appartement fait comme chez toi. Vu de je ne suis d’aucun secours vu que tu ne veux pas de mon aide.
- Tu ne peux pas comprendre ce que je ressens.
- Ah oui et pourquoi ? Demandais-je en essayant de masqué ma tristesse.
- Parce que tu es Pd et que vous ne penser qu’au cul et rien d’autre.
Je ne sus pas quoi répondre, c’est lui qui ne comprend rien comment peut-il croire ça ? C’est donc l’image qu’il à de moi. Alors que je suis amoureux de lui à en devenir fou depuis si longtemps.
Ça me fait si mal.
Je soufflai de lassitude et me leva essayant de masqué ma tristesse. J’ai si mal. Je sorti du salon pour remonté dans ma chambre. Je devais partir d’ici le plus vite possible. Je suis entrain
d’étouffé.
Je pris ma valise et quitta l’appartement sans lui adressé le moindre mot. J’avais trop mal, il fallait que je n’éloigne de lui. J’avais besoin de faire le point de me détaché de lui c’était la
seul solution.
- Je comprend très bien. Plus que tu ne le croit.
J’étais assit sur l’un des fauteuil du jet privé. Je détesté les avions, l’un d’eux n’avait enlevé mes parents mais pour le travail j’été bien obligé de prendre l’avion. Je leva les yeux pour
voir André mon bras droit venir s’assoir en face de moi. André à 27 ans, il es marier et père de deux enfants. Un roux au yeux bleu, il et vraiment beau. Il m’adressa un sourire charmeur.
- Tu as une toute petit mine Gillian chou.
- Hm encore Bruce. Clara la encore largué, il es venu pleurait dans mes bras et j’ai du le consoler toute la nuit et ce matin il n’as…
- Vous avait couché ensemble ?
- Il ne m’as pas demandé mon avis. Il m’as baiser en pensant à cette conne et après il ose me traité de Pd qui ne pense qu’à ce faire enfiler. Il ne sait pas je ressens, lui non plus il ne peut
pas comprendre. J’an ai marre de tout ça. Je suis à bout de force. Pourquoi n’essayait-il pas de me comprendre. Je voudrais que tout redevienne comme avant qu’il ne rencontre cette femme. Tu doit
me trouvé bien égoïste.
- non je trouve que tu à beaucoup de courage.
Il ce leva pour venir vers moi posant sa main sur ma joue me faisant tremblais. Il ce pencha vers moi déposant ses lèvres sur les miennes avec douceur. Je ferma les yeux le laissant m’embrassé.
Marié père de famille et mon amant depuis un an déjà. J’aime lorsqu’il me fait l’amour parce que j’ai l’impression d’être aimé. Je me sens si bien dans ses bras. Il détacha ses lèvres des miens
me fixant avec tendresse.
- Il sait vraiment pas ce qu’il loupe ton pote. Ton cul c’est pas le meilleur. Murmura-t-il en ce léchant les lèvres posant sa main sur mon sexe.
- Arrête tes conneries André.
- C’est pas des conneries Gillian. Ta bite c’est le meilleur. Et tes baiser me rende fou. Oui tes baisers son définitivement le meilleur.
- Tu dit sa pour me flatté.
- Non c’est la vérité. Répondit-il en m’embrassant à nouveau. T’es un tombeur. Il finira bien par le voire. Et là j’ai très envi de t’avoir en moi. Ça fait si longtemps. Ca n’as manqué.
Je l’attrapa par le bras pour l’attiré sur moi l’embrassant avec douceur allant jouet avec sa langue. La mêlant à la mienne. C’étais si bon que j’en oublier ce que m’avais fait subir Bruce ce
matin. Je voulais oublier dans ses bras cette amour qui me faisait tellement souffrir.
voila il es pas très long mais j'éspère qu'il vous aura plus.
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