Épilogue.
Cela fessait deux semaines déjà que j’étais revenu. J’avais repris le court de ma vie, était retourné travailler, changer tout les meuble de ma maison. J’aurais du déménagé. Pourquoi es ce que
je reste ici, peut être parce que je ne sais pas ce que je veux. Tout les soirs lorsque je rentre du travail il est là assit sur ce banc à fixer ma maison en silence. Je fais comme si je ne le
voyais pas et je rentré cher moi pour l’observé de la fenêtre pendant des heures, parfois jusqu’à ce que j’aille me couché. Il resté la sur ce banc sans bouger, il n’essayer pas de me parlais ni
de m’approché. Il respecté ce que je lui avais dit. Mais pourquoi venait-il ici tout es soir. Le matin il était reparti et le soir venu il était à nouveau là. Je voulais aller le voire le prendre
dans mes bras, l’embrassé, que tout redevienne comme avant. Mais je ne pouvais pas il n’a fait que trop souffrir. Je ne veux pas connaitre à nouveau la douleur de l’aimé à sens unique.
Cette nuit là je fus réveillé par la pluie, il pleuvait des cornes. Je ne dirigeai vers la fenêtre, c’était vraiment le déluge. Ce n’est pas un temps à mettre un chien dehors, je fixais l’autre
côté de la rue.
- et merde.
J’enfilai une veste et sorti sans prendre la peine de mettre de chaussure. Je traversai la rue. Il était là toujours assit sur ce banc, il était 4 heures du matin et il était toujours là. Sous
cette pluie battante, totalement tremper. Ses cheveux avaient poussé pourquoi je remarque ça maintenant.
- pourquoi tu ne rentre pas cher toi. Merde qu’es ce que tu attends au juste ?
- il ni as personne qui m’attend à la maison.
- et la femme de ta vie.
- je l’ai quitté le soir même où elle à dit que tu m’aimé. Je voulais venir te le dire mais tu n’étais pas là. Je venais tout les jours pour te le dire.
- c’est fait alors rentre. Tu n’as plus rien à faire ici. En quelle langue faut-il que je te le dise je ne veux plus jamais te revoir.
- c’n’est pas grave. Je veux juste resté là. Je ne demande pas grand-chose. Juste de resté là.
Sa voix était lasse, fatigué. Il semblait à bout de force. Je ne pouvais pas le laisser ici. Il va tomber malade. Je ne peu pas le laisser là.
- vient avec moi. Tu es vraiment qu’un sale gamin stupide.
Il resté assit sans bouger. Il était entrain de me rendre fou là. Je l’attrapai par le bras l’obligeant à me suivre à l’intérieur. Je le trainai jusqu’à la salle de bain. Je le forçai à s’assoir
et lui lança une serviette et des rechange.
- change-toi.
Je sorti de la pièce pour aller dans ma chambre. Je me changeai après mettre essuyais. Je me laissai tomber sur le lit. Je devais rester calme et me surtout pas lui sauté dessus pour le prendre
de force. Je l’aime encore, je ni peux rien je l’aime tellement que j’en deviens fou. Je sorti de ma chambre, je ne savais pas ce que je fessais, je voulais juste le voire être sur qu’il aller
bien. J’entrai dans la pièce et il n’avait pas bougé, toujours assit sur la baignoire. Je m’approchai de lui, prenant la serviette pour essuyais ses cheveux, j’avais envi de le touche, de le
prendre dans mes bras de l’embrassé. Il me laisser faire sans rien dire. Je me figeai lorsque ses doigts ce refermèrent autour de mon poigner. J’avais tort. Il n’était plus un enfant. Il plongea
son regard dans le mien. Me fessant tremblais de la tête aux pieds.
- je n’ai pas besoin de ta pitié Gillian.
- je croyais que tu me connaissais mieux que ça.
- désoler. Je te cause encore des problèmes. Je m’impose alors que tu ne veux plus de moi dans ta vie. J’ai perdu la personne la plus importante dans ma vie tout sa parce que je l’ai compris trop
tard. Cette nuit là j’étais sincère Gillian. Tu n’aurais demandé de resté avec toi je l’aurais fait. Pourquoi ne t’ai tu pas montré égoïste pour une fois.
- je ne pouvais pas te forcé à m’aimé. Tout ça c’est du passé. S’il te plait je veux plus en parlais.
Il ne fixait ses deux émeraude remplis de larmes qui me bouleversé. Je ne pus pas résisté. Il fallait que je le touche, que je l’effleure. Je posai ma main sur sa joue avec douceur. Tout
sentiment de colère venait de disparaitre de mon cœur. Plus rien ne conté à par lui. Je remontai ma main dans ses cheveux. Il ferma les yeux me laissant faire. Ce qu’il est beau. Je me penchai
vers lui, j’avais envi de le gouté à nouveau. Je voulais le serrais contre moi, lui faire l’amour. Je sentais son souffle sur mes lèvres.
- qu’es ce qu’ont va devenir tout les deux. Demandais-je dans un souffle en effleurant ses lèvres.
- j’ai froid Gil.
- change-toi.
- non serre moi dans tes bras. Si tu m’aime je n’aurais plus jamais froid.
- pourquoi je ne veux pas être le seul à aimer.
- tu ne serras pas seul. Puis que je t’aime. Tu n’as jamais étais un substitut et je ne l’ai compris que bien trop tard laisse moi juste une dernière chance.
Je posai mes lèvres sur les sienne, je ne pouvais plus attendre une seconde de plus. Je le serra dans mes bras. J’avais rêvé de cet instant durant des années et enfin mon amour était réciproque.
- Bruce laisse moi te faire l’amour. Laisse moi t’aimé.
- j’en ai très envi. Sa fait un an que j’attends ça.
Je ne pus me retenir et déposa mes lèvres sur les siennes. Je sentis mon corps reprendre vie à ce contact. Ses lèvres m’avait tellement manqué. Mon langues ce caressaient avec douceur. Ce
redécouvrant doucement.
- tu es geler Bruce. Si on prenait un bain ensemble ?
- tout les deux ? Demanda-t-il en essayant de caché sa gène.
- tu as peur que je te vois nu ? Ce n’est pas la première fois.
- ne te moque pas de moi.
- je ne me manque pas de toi. J’ai très envi de prendre un bain avec toi.
Je fis couler l’eau dans la baignoire. Avant de retiré mes vêtement avec lenteur et sensualité. Il me fixait en silence, le regard brillant de désir. Ce que j’aime voire cette lueur dans ses yeux
vert. Une fois nu je le laissais détaillé mon corps. Son regard n’excité mais je ne contrôlé à si mon je lui aurais sauté dessus pour le prendre à même le sol. Je m’approchai de lui, posant ma
main sur sa joue, la caressant avec douceur. Il ce leva mes mains allaient ce poser sur mon torse. Je le sentis frémir à ce contact. Je fit glisser la fermeture éclaire de sa veste. Je sentais
mon cœur battre de plus en plus vite. J’entendais son souffle ce faire de plus en plus rapide. Je fis glisser la veste le long de ses bras la fessant tombé sur le sol. Il ne portait rien en
dessous, et il était magnifique, je posai mes lèvres sur sa clavicule, goûtant à sa peau, la mordillant avec douceur, lui arrachant un gémissement de plaisir. L’eau coulée toujours dans la
baignoire envahit la pièce d’une douce chaleur. Je pressai mon corps contre le sien. Alors que je détaché son jean, je sentais son cœur battre dans sa poitrine. C’est pour moi qu’il bâté. Je fis
remonter mes lèvres le long de sa nuque, caressant sa peau, je sentais son sang pulser dans ses veines. Son souffle ce faisait de plus en plus rapide et saccadé. Il me donne tellement envi de lui
faire l’amour. Je fini de lui retiré ses vêtement collant son corps contre le mien. Son corps si froid à cause de la pluie me fessait frémir, je le sentais ce réchauffer doucement au contact de
mon corps. Mes lèvres étaient si proches des siennes, qui m’appeler. Elles étaient humides, elles semblaient si savoureuses.
- Gillian…je…
- chut. Ne dit rien s’il te plait. Ferme juste les yeux. Laisse toi aller. Fait moi confiance.
Il ferma les yeux ce laissant totalement aller, il est tellement beau, je voulais graver dans ma tête chaque trait de son visage, mess yeux découvrais à nouveau son corps aidé par mes mains, je
le sentais frémir à chaque caresse. Il avait maigris, mais il resté toujours aussi beau. Je caressai ses lèvres du bout des doigts et je l’entendis gémir de plaisir, il ouvrir les lèvres laissant
échapper dans un souffle.
- embrasse-moi Gil…s’il te plait.
Je ne me fis pas prié plus longtemps et posa mes lèvres sur les siennes. J’en peu plus il faut que je puisse le possédé entièrement. Je vous qu’il soit à moi, lui faire oublier tout le reste. Je
le soulevai, il enroula ses bras et ses jambes autour de moi ce laissant porté alors que nos lèvres, nos langue ce mêlé dans une danse sensuel et amoureuse. Je marché à l’aveuglette dans le
couloir mais je la connais par cœur cette maison. Je poussai la porte de ma chambre et le déposa sur le lit avec délicatesse, me plaçant sur son bassin. Je relâchai ses lèvres le fessant gémir de
frustration, je me redressai pour pouvoir le regardé. Il est tellement beau, cette fois ci je me rêve pas, c’est bien lui. Et il m’aime.
Je sursautai lorsqu’il posa sa main sur ma joue, j’étais tellement perdu dans ma contemplation que je n’avais pas vu qu’il avait ouvert les yeux. Je plongeai dans ses deux émeraude qui débordé
d’amour, de désir. C’était donc ça. Ce soir là où il m’avait fait l’amour, cette lueur que je n’avais pas su comprendre dans son regard c’était de l’amour. Il ne m’avait pas mentis. Ce que je
peux être con. À cause de moi on a perdu tellement de temps.
- je suis vraiment trop con. Pourquoi je ne l’ai pas compris ?
- comment l’aurait tu compris alors que je ne l’avais pas encore compris. On a été tout les deux biens trop aveugles. Mais maintenant en va ce concentré sur le présent. Et là j’ai envi que tu ne
fasses l’amour. Tout de suite je te veux en moi.
- tu es sur…tu…
- Gil s’il te plait…j’en peux plus…tu me rends fou. Tu le sens ?
Il avait prit ma main la posant sur sa poitrine où son cœur bâté la chamade. Il me sourire avec tendresse me fessant totalement fondre.
- c’est pour toi qu’il bat. Alors ne te pose plus de question. Je veux être à toi. Je n’ai pas peur, alors n’es pas peur.
Il glissa sa main dans ma nuque pour prendre ses lèvres. Moi aussi j’avais envi de le pénétré. Mais pas tout de suite as comme ça. Je l’embrassé encore et encore caressant son corps, je me
glissai entre ses cuisses frottant mon érection contre la siennes et mes lèvres partir à la conquête de son corps. Ma langue léché sa nuque, mes dent mordiller le lobe de son oreille alors que
mes doigts caressaient son sexe.
- Gil…c’est bon…attend il faut que je te dise quelque chose.
- va y je t’écoute. Répondis-je avant de passer ma langue sur ses petits boutons de chaire qui n’appelaient que mes lèvres.
- aaah…je n’ai pas réussi à bandé…tu sais…hm…quand tu nous à surpris.
- Bruce, je ne veux pas parlais de ça.
- écoute-moi. Il m’obligea à le regardais. Ses doigts ce perdirent dans mes cheveux et son regard ce perdit dans le mien. Seigneur suis-je fou d’aimer à ce point cette homme. Vivre sans lui, cela
n’ai impossible.
- je…quand elle et venu ma voire juste après qu’on a fait l’amour. J’étais triste parce que tu n’étais pas là à mon réveille et je croyais l’aimer. Mais je n’ai pas réussi à bandé. Elle pouvait
faire ce quelle voulait je ni arrivé pas. Et quand j’ai fermé les yeux…c’est toi que j’ai vue…ton visage lorsque je t’ai fait l’amour, le son de ta voix. C’est à toi que je pensé. Et sa ma fais
peur. J’étais trop con pour faire face à ce que je ressente. Je suis désolé mais maintenant je n’ai plus peur.
J’avais envi de pleurais ses choses en aurait du ce le dire il y a un an, peut être que nous n’aurions pas eu à souffrir Chaqu’un de son côté. Mais ce qui et fait et fait maintenant je veux
rattraper le temps perdu.
- ne parlons plus Bruce. On parlera de sa après me pense plus à rien ressent juste ce que je te fais.
- oui. Répondit-il dans un souffle alors que mes lèvres et mes mains reprenait lors ballet de caresses sur son corps.
-aaaah… Gil s’il te plait…aaah vient…j’en peux plus.
Mes lèvres aller et venais sur son sexe alors que mes doigts s’agité en lui avec douceur lui fessant découvrir le plaisir d’être pénétré. Il était au bord de l’explosion. Je le sentis ce tendre
et jouir entre mes lèvres. Je relâchai son sexe pour remonté le long de son corps, le regardant ce remettre de son orgasme. Ce qu’il était beau après avoir jouit. À présent je serrais le seul à
pouvoir voire cette expression sur son visage. Il m’attrapa par la nuque pour m’attiré à ses lèvres m’embrassant avec fougue nouant ses jambes autour de mon bassin ne fessant comprendre ce qu’il
voulait. Je crois que je ne pouvais plus le faire attendre plus longtemps.
- vient…vient en moi Gil arrête de me rendre fou. S’il te plait.
- si tu as mal tu le dit j’arrête tout de suite.
- oui. Répondit-il dans un souffle avant de ce rejeté sur mes lèvres comme un affamé. Je pressai mon sexe contre son anus et entra doucement en lui, je le sentis ce tendre et ce resserré autour
de moi.
- mon amour ça va.
- oui. Répondit-il en souriant. Tu…m’as appelé…mon amour…j’adore. Continue.
Je m’enfonçai en lui d’un seul coup le fessant crier de douleur et je n’arrêtai attendant qu’il ce remette. Il essayer de reprendre son souffle, j’y suis sans doute allé un peu trop fort. Merde.
- Bruce…je suis désolé. Sa va ?
- c’n’est pas si douloureux que sa. C’est juste qu’elle et grosse. S’il te plait ne t’arrête surtout pas. Bouge en moi. S’il te plait montre-moi à quel point tu m’aime.
- je t’aime à en devenir fou. Chouchoutais-je à son oreille me mettant à bouger en lui avec lenteur et sensualité. Je ne le lâché pas du regard veillant à ce que la douleur disparais. Je sourie
lorsque je l’entendis échapper un gémissement de plaisir. Je crois que j’avais touché un point sensible.
- aah…Gil refait le…aah
- refaire quoi ? Demandais-je avec provocation. Refaire ça ? Dit contre ses lèvres en me renfonçant en lui. Lui arrachant un nouveau cri de plaisir.
- oui…ah…c’est bon…encore…
Je glissai mes bras derrière son dos pour le soulevé le faisant s’assoir sur mes genoux, je lui mordillai l’oreille en m’enfonçant à nouveau en lui. Il ce cambra de tout son corps me laissant
m’enfoncer en lui aussi profondément que je le voulais.
- si tu aime tant ça fait le toi-même.
- tu…
Il ce mit à rougir en comprenant ce que je voulais, il est vraiment trop mignon quand il rougit. Sa me donne encore plus envi de le dévoré. Je me laissai tombé en arrière sur le lit, le fixant
avec provocation attendant qu’il ce décide à bouger sur moi. Il ferma les yeux et ce mit à bouger sur moi. Il était magnifique là à bouger sur moi son visage rougi par la gène et le plaisir. Je
posai ma main sur sa joue et il ouvrir les yeux pour me regardait. Je lui adresse un sourire tendre.
- je t’aime. Murmurais-je le fessant rougir encore plus. Il ce pencha vers moi et déposa ses lèvres sur les miennes.
- je t’aime aussi.
Je le serré contre moi avec force. Je suis tellement heureux jamais je m’aurais cru que ce jours soit arrivé. Je l’embrassai encore et encore l’aidant à ce mouvoir sur moi. Je n’avais jamais pris
autant de plaisir à possédé quelqu’un qu’à cette instant. Je l’aime, je l’aime tellement.
- aaah…Gil…je vais jouir…
- moi…aussi…ensemble…
Je le sentis ce resserré autour de moi, alors qu’il crier de plaisir. Et je me déversai en lui dans un cri d’organes que j’eu du mal à retenir. Je ne laissai retomber sur lui à bout de souffle.
Il referma ses bras autour de moi essayant de reprendre lui aussi son souffle. Je me sentais comme sur un petit nuage. C’était donc ça le bonheur d’être avec la personne que l’ont aime. Je
n’avais pas envi de me retiré de lui mais je me voulais pas lus faire mal à resté sur lui. Je me retirai et m’allongeant à côté de lui. Il vient ce blottir contre moi posant sa tête sur ma
poitrine.
- ton cœur bat tellement vite.
- la faute à qui.
- à moi. Le mien et dans le même état. C’était vraiment merveilleux Bruce. Tu es incroyable.
-hm je te retourne le compliment. Tu étais sublime quand tu bouger sur mon sexe. Il caché bien son jeu l’hétéro.
- arrête de te foutre de ma gueule.
- je ne…merde. Je le repoussai et sorti du lit en vitesse.
- Gillian. Qu’es ce qui ce passe.
Je ne précipitai dans la salle de bain. Et l’eau avait envahit la pièce. J’arrêtai l’eau mais le mal était déjà fait. On c’était laisser envahir par le désir et j’en avais totalement oublié d’en
éteindre l’eau. Je pris une serviette pour éponger le sol. J’arrêtai de bouger lorsque je sentis les bras de Bruce m’entouré et son rire doux résonné à mon oreille.
- laisse le mal et fait. De toute façon je ne m’aime pas cet endroit. Je veux quand ce trouve un endroit juste à nous deux. Quand reparte totalement de zéro. Un endroit où en pourra construire
notre vie, un foyer accueillant. Et où l’ont pourra construire une famille.
Je me retournai les lui le fixant étonné.
- tu essaye de me dire que tu veux vivre avec moi et construire une famille.
- oui c’Est-ce que je veux. Repartons du début. Tu en as envi.
- oui. Répondis-je dans un souffle avant de l’allongé sur le sol tremper pour l’embrassé avec passion. Oui on va tout reprendre du début. Juste lui et moi.
- on le prend ce bain. Demanda-t-il en souriant.
- oui.
Je m’étais que son ami.
Je m étais qu’un substitut.
Je suis l’homme de sa vie.
et voila c'est la fin. sniff. j'espère que cette épilogue vous aura plus. je déteste écrire les épilogue mais celle là je l'aime assez. je me suis pris la tête pour savoir comment ça aller fini.
j'était partager en deux, pardonne pardonne pas. mais je suis faible. sniff. alors voila encore une happy end. bisous à tous et merci d'avoir lus cette fic.
J'ai adoré le début, mais la fin, bah, c'était logique. Même si j'aurai bien aimé une fin plus ambigue, après tout, c'est vrai que Gil n'a jamais pu se passer de Bruce mais après tout ce qu'il lui a fait, moi, j'aurai été un peu plus prudent à sa place. Mais bon, c'est l'amour....
j'ai adoré cette épilogue la fin était super ! Je me trompe où tu aimes vraiment les happy end !
Tant mieux pour nous d'ailleurs !!! =)
bisous
Espèce de sadique va mdrr
Oh bah pour le moment mon blog... bah c'est pas trop ça mdrr c'est surtout que je suis pas trop motivée pour écrire en ce moment, j'y arrive pas en fait :s
Mais bon, je me force quand même parce que je me fais harceler pour avoir la suite XD
Tu travailles dans quoi ?
je bosse dans une cafétéria.
Je me dis surtout que je devrais le finir et donc j'ouvre mon document si les phrases viennent tant mieux sinon bah je vais faire autre chose et j'y reviens etc...
J'espère au moins l'avoir fini avant dimanche lol
Sinon, sans indiscrétion, t'as quel âge ? ^^