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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

Lundi 1 février 1 01 /02 /Fév 16:24

long os sur de beau militaire. qui n'as jamais fantasmé sur de beau pilote de notre marine nationnal. j'espère qu'il vous plaira. en attendant la suite d'un amour de piratre qui arrivera sans doute demain.



 

 

Monsieur, oui monsieur.

 

Personnage : - Devan. Narrateur pilote.

- Benoît capitaine

- tomas second du capitaine.

 

 

 

 

 

Je me souviens encore de la première fois où je l’ai vu.

 

 

Je suis pilote de chasse sur un porte avion depuis un an déjà. Je m’appelle Devan j’ai 20 ans. Je suis grand, brun aux yeux bleus ciel. Je ne souviendrais toute ma vie de la première fois ou je l’ai vu. C’étais le Jour de mon arrivé sur ce porte avion. J’étais un tout jeune pilote de 19 ans. Quand on m’a dit que le capitaine voulait me voire, je n’attendais à voire un vielle homme, seulement ce fut loin d’être le cas.

Lorsque je suis rentré dans le poste de commandement j’ai était frappé par la vision d’un ange. Il était la beauté incarné, plus petit que moi, blond aux yeux vert, un sourire à ce faire damé un saint. Je n’arrivé plus à détaché mon regard de cette vue si plaisante. Il c’était avancé vers moi et j’avais bien crut que mon cœur aller exploser tellement il battait vite.

- et vos manières pilotent. Garde à vous.

Je fus ramené sur la terre ferme et me mit au garde à vous. Je venais de me rendre totalement ridicule devant lui. Il était mon supérieur.

- repos.

Je l’avais écouté me parlais de mon poste, et de choses donc je n’avais rien à faire, je voulais juste qu’il me demande de lui faire l’amour la à même le sol. J’avais juste envi de lui arraché ses vêtement de l’embrassé et de faire mille folie avec son corps de dieux. L’entretien fut bien trop cour, il me fit mener à mes quartiers.

Ce jour là je suis resté des heures entiers à pensé à mon beau capitaine, si inaccessible.

 

Les jours suivant je me renseigner le plus discrètement possible, j’appris alors qu’il avait tout juste 25 ans, c’étais un génie c’est pour cette raison qu’il était déjà si haut gradé à son âge. Intelligent et beau que demandé de plus. Peu être qu’il s’occupe de moi. Qu’il me regarde, qu’il s’intéresse un peu à moi.

J’en suis même venu à apprendre son emplois du temps par cœur pour pouvoir le croisé le plus souvent possible. Mais à quoi bon il me regardait à peine. J’avais fini par perdre tout espoir et renoncé. Je n’étais pas fait pour lui et il ne s’intéressé pas du tout à moi.

 

 

J’étais gay et je ne me caché pas. J’avais eu plusieurs aventures sur le porte avion. Après tout j’avais des besoins. J’aurais préféré que ce soit mon capitaine qui me fasse l’amour.

 

Un an plus tard j’en suis toujours au même point attendant qu’il me remarque encore. Ce qui n’arrivera sans nul doute jamais.

J’étais assit dans la salle de réunion avec d’autre pilotes, attendant que notre capitaine vienne nous donné nos ordre de mission. Il fini par entré aussi beau et froid qu’à son habitude. Il ce plaça face à nous. Il ce mit à parlé avec sa voix grave et sensuel. Elle me faisait toujours tremblée de plaisir. Je n’écouté pas vraiment ce qu’il raconté pour moi ce n’était que la plus belle des mélodies.

On gros tout ce que j’avais compris c’est que l’ont devait survoler une zone dangereuse pour photographier les lieux. On partirait des la nuit tombé en attendant en pouvait rejoindre nos cabine.

 

 

- aaah…Tom…plus fort…aaah…

J’étais allongé sur le bureau de ma cabine le cul en arrière me faisant prendre par Tomas , un de mes supérieur, à vrai dire c’est le bras droit du mon capitaine. Lieutenant de vaisseaux. Faute de mon bel amour il y avait tomas. C’était un amant régulier. Il était vraiment doué, il était marier et avait des enfants mais sa ne l’empêché pas de ce payer du bon temps avec moi.

- putain…Devan…aah…t’es vraiment trop bonne.

- aah…plus fort…tu mollis là…aaah.

- putain…je vais si bien te défoncé le cul que tu ne pourras pas t’assoir dans ton avion…petite pute.

- va-y…aaah…je demande que ça…

Il m’attrapa par les hanche pour me baiser avec plus de force, me faisant crier de plaisir, et lui aussi me tenté pas de retenir ses cris de plaisir.

 

 

- tu n’as pas peur pour ce soir Dev ?

- qu’es ce que sa peu te foutre Tomas.

- ca serrait bien dommage de perdre un cul comme le tien. Aucun mec sur ce rafiot et aussi bon que toi. Quoi qu’il y a bien le capitaine.

Je lâchai mes habilles sous la surprise. J’avais forcément mal entendu. Il avait bien parlais du capitaine.

- tu…

- oui je le baise. Une vrai petite chienne ce capitaine. Il adore ce faire dominé un vrai régale.

Je n’y crois pas. Ce n’est pas possible. J’en avais les larmes aux yeux. Pourquoi ? Pourquoi lui et pas moi ?

 

 

J’étais assit dans mon chasseur survolant la zone de mission. On fut surpris par des tires ennemies. Une balle troua mon fuselage perçant le réserver perdant mon carburant. Je n’étais pas sure de pouvoir rentre au porte avion.

- contrôle ici Delta 3, j’ai été touché à l’ail droite je perds du carburant. Retour impossible.

- Delta trois interdictions de perdre cet avion. Intervenait la voix froide du capitaine. Je vous ordonne de revenir à bord peut importe là façon. Il est impossible qu’un de nos avions tombe entre les mains de l’ennemi.

Je senti mon cœur ce serré, il ne pense qu’à cette avion. Il n’en a rien à faire de moi. Juste cette putain d’avion. Je fis donc demi-tour pour rejoindre le bateau. Je perds de l’attitude et était bien trop bas pour apponté.

- Delta 3 redressez. Redressez vous étiez trop bas.

Je coupai la radio, je le savais tout sa. J’essayai de redressé l’appareil. Je vais lui ramené ce putain d’avion puisqu’il y tient tant. Je réussis à chopper le pont et à accroché le câble d’arrimage. Le choc fut violent et je me tapai la tête contre le tableau de commande. Le cockpit s’ouvrir et je puis mon extraire. Mon regard croisa le sien, il était là sur le pont à me fixait avec son habituel froideur. Il ne descendait jamais sur le pond alors pourquoi était-il là ? J’ai abimé son joli joujou. Au moins il n’avait enfin remarqué.

- vous devriez aller vous faire soigner Delta 3.

-foutais moi la paix. Je vais très bien. Monsieur.

Je passai à côté de lui, j’allais me prendre un blâme pour lui avoir parlais de la sorte mais je m’en ai plus rien à foutre. J’allai m’enfermé dans ma cabine. Pour son débriefing il n’avait qu’à aller ce faire encule par Tomas, vu qu’il aimé ça. Je retirai ma combinaison et m’allongea sur le lit, je ne pouvais plus retenir mes larmes. J’avais atrocement mal à la tête mais la douleur de mon cœur était bien plus forte. Je voulais juste dormir et oublier tout le reste.

 

 

Je fus réveillé par des coups à la porte de ma cabine. Je me levai pour ouvrir à Tomas.

- merde tu branle quoi là ? Il est déjà 14 heures, le capitaine t’appelle depuis des heures. Il est en colère alors bouge toi. Cris pas j’ai mal à la tête.

- bouge ton cul merde.

- c’est bon j’arrive.

 

Je m’habillai lentement, je n’avais aucune envi de le voire ce connard. Il m’a fait déjà bien trop de mal. Il n’était pas au poste de commandement je me dirigeai donc vers son bureau, j’allais frapper lorsque j’entendis des voix.

- merde qu’es ce qu’il fou ce petit con.

- il doit être entrain de ce faire baiser dans un coin.

- tu raconte n’importe quoi Tomas

- quoi c’est vrai. Il est gay et c’est une belle salope. Comme toi mon ange. Tu sais que j’ai très envi de te baiser là.

- pas maintenant plus tard.

J’avais envi de partir de fuir loin de lui, loin de cette douleur. Mais je pris mon courage à deux mains et frappa à la porte. La voix froide de mon capitaine n’autorisa à entré. Je me plantai devant lui au garde à vous.

- où étiez-vous soldat. J’attends votre rapport.

- je n’excuse pour l’avion monsieur. J’ai étais incapable de ramené votre avion indemne et d’évité ses tire.

Je n’avançai vers le bureau et posa une lettre sur le bureau.

- qu’es ce que c’est ? Demanda le blond avec son habituel froideur.

- ma demande de mutation. Je ne peux plus travailler à bord de ce porte avion.je souhaiterais pouvoir rejoindre ma cabine je ne me sens pas très bien.

Je les saluai et sorti du bureau dans lequel j’étouffé. Je couru jusqu’à mes quartier. Et m’écroula sur le sol criant ma douleur. J’étais vraiment pathétique. Je devais cesser de pensé à lui, je devais m’éloigner de lui. Je vais finir par craquer.

 

J’avais fini par me rendormir et je fus réveillé par des coups violent donné contre la porte, je me levai pour ouvrir m’attendant à tombé sur Tomas, je sentis mon cœur ce serré lorsque je vis la cause de tout mes tournant devant moi avec son habituelle regard froid. Je le laissai entré me mettant au garde à vous. Il resté avant tout mon supérieur. Il me jeta la lettre à la figure avec dédain.

- demande rejeté. Je ne m’ordonnerais pas votre mutation. Ce n’est pas parce que monsieur ce sent mal ici que je vais accepter.

- c’est tout ce que vous vouliez me dire ?

Il ne répondit rien me fixant en silence, avec cette froideur habituelle.il fallait qu’il sorte où j’allais encore craquer. J’aurais préférais qu’il continue de m’ignoré. À présent je souffle encore plus.

- c’est vrai ?

Je sursautai surpris par sa question.je ne comprenais pas de quoi il parlait.

- de quoi ?

- que tu te fais baiser par Tomas ?

- autant que vous monsieur.

- tu me dois le respect je suis ton supérieur.

- monsieur, oui monsieur. Je vous pris de m’excusé.

- tu va arrêter tout de suite.

- quoi donc ? À oui j’ai compris. Je ne me laisserais plus baiser par votre second. Vous été jaloux c’est bon je vous le laisse. Ce n’est pas le meilleur coup du bateau. Je trouverais bien quelqu’un d’autre.

Je voyais son regard ce durcir encore plus à fur et à mesure où je parlais. Il me déteste certainement encore plus maintenant qu’il c’est que je me fais baiser par Tomas.

- tu te fais baiser par beaucoup de mec sur ce rafiot.

- cela me vous regard pas monsieur. Ma vie privée ne regarde que moi.

- non sa me regarde. Il est hors de question qu’un autre mec de ce bateau te touche. Ni aucun autre.

- très bien donc je vais me faire moine dés maintenant.

- non tu va te déshabillé.

- pourquoi donc ?

- j’ai envi que tu me baise. Mais avant en va changer de fringue.

- pourquoi vous faire baiser par un pilote ne vous excite pas,

- non déjà fais. Je veux me faire prendre par un capitaine. Alors tu mets mes fringue. Et c’est un ordre. Alors dépêche-toi avant que j’aille voire ailleurs.

Alors c’étais juste ça. Que de la baise. C’est la seule chose qu’il m’offre. Alors pourquoi ne pas le prendre je ne veux pas qu’il aille voire un autre homme que moi.

- je veux voire si tu baise aussi bien que tu te fais sauter. Il parait que tu es une véritable petite chienne.

- hm, sans doute. Finissant en vite avec ça. Je ne suis pas que sa à foutre.

Je retirai mon uniforme devant le regard toujours impassible de mon capitaine. Je ne dois pas être à son goût, je l’ai toujours su depuis le tout premier jour, il ne m’as jamais regardais. Je resté devant lui vêtu de mon simple boxer. Il resta quelques secondes à me fixait avant de retirait à son tour son uniforme en fit l’échange et ce nous rhabillions.

Dés que ce fut fait il venait ce collé à moi, me faisant trembler. J’avais si souvent souhaité cette proximité mais pas de cette façon. Ses lèvres étaient si proches des miennes, je voulais tant l’embrassé mais lui n’était pas de cette avis. Il alla mordiller mon oreille en collant son corps au mien.

- donne-moi des ordres Dilan.

- c’est Devan.

- on s’en fiche.

Ce fut le coup de grâce. Il venait de me briser le cœur définitivement. La colère m’envahit. Il voulait que je le baise alors c’Est-ce que j’allais faire. Je l’attrapai par les cheveux le retournant face contre le mur. Je pressai mon bassin contre ses fesses donnant de puissant coup de bassin mimant l’acte sexuel. Le faisant gémir de plaisir. C’était tellement dure de savoir qu’il n’était qu’une pute mais malgré tout je continu à l’aimé.

- c’est sa que tu veux ?

- oui…aah

 

- alors supplie-moi à genoux.

Je le relâchai et il ce retourna ce laissant tombé à genoux devant lui. Comme sa il me semblait bien moins charismatique.

- baise les yeux sale pute.

- oui capitaine répondit-il en baissant la tête totalement soumis. S’il vus plait baiser moi…défoncé moi comme la chienne que je suis. Faite moi crié.

Je ne l’attrapai pas les cheveux lui relevant la tête, lui enfonçant mon sexe de force dans la bouche.

- va y suce bien.

Il ce mit à faire aller et venir ses lèvres sur ma verge, il était doué vraiment doué. Je le fis me relâché pour me libéré sur son visage. Je ne lui laissai pas le temps de ce remettre je le retournai le plaquant sur le matelas. Je lui détachai son pantalon le baisant avec son boxer et je le pénétrai son plus attendre. Il cria de douleur.

- t’as gueule c’Est-ce que tu voulais.

Je me mis à le pilonné avec force et il me tarda pas à y prendre du plaisir. Il disait des choses obscènes. Il en demandé toujours plus, il ce comporté comme une véritable grâce.

- aah…aaah…c’est bon…aaah…continue…aaah…

- t’as gueule je ne veux pas t’entendre.

Je continu de le baiser encore et encore évacuant toutes ma frustration. Je n’avais jamais preuve d’autant de violence. Je le mordais, je le griffe. Je lui faisais endurer la souffrance de mon cœur.

 

 

 

Il c’était endormit à côté de moi, totalement nu, couvert de sueur. Il était sublime, mais il n’était pas à moi, il n’était pas pour moi. Je posai mes lèvres sur les siennes, lui volant un baiser avant de m’endormir contre lui, profitant de ce moment.

 

 

Lorsque je me réveillai il n’était plus là, comme je l’avais prévu mais sa faisait bien plus mal que ce que j’aurais cru. Je me sentais tellement mal, je vomissais le peu de nourriture que j’ai dans l’estomac alors que je pleurais à nouveau, j’aurais préféré ne jamais pouvoir l’avoir plutôt que de l’avoir juste pour une nuit de baise.

 

 

Je me fis porté malade pour le reste de la semaine. Et vu la tête que j’avais sa ne fut pas bien difficile. Je suis resté dans ma cabine évitent soigneusement de le croiser de peur de craqué. Je voulais l’oublier mais comment c’est mon capitaine.

Aujourd’hui j’étais de permission, le bateau avait et on pouvait descendre su bateau. J’en profité pour m’éloigner le plus possible de lui, je suis sorti en boite et j’ai fini chez un beau blond que j’ai baisé comme un fou toute la nuit. Mais malgré sa il n’était impossible de l’oublier.

 

 

Il n’avait ignoré. Je l’avais croisé dans un des couloirs et il m’a ignoré royalement. Sa ma fait si mal que j’ai encore pleurais comme un con amoureux du pire des connards.

Sa duré depuis des semaines, c’était redevenu comme avant il m’ignoré tout simplement. J’avais envoyé toutes les lettres de demande de mutation mais elles avaient toutes était rejeté. J’étais donc condamné à subirai sa le reste de ma triste vie.

 

 

- Cette mission et des plus dangereuse alors je demande un volontaire je me veux forcer personne à prendre ce risque.

Je me levai aussitôt. Une mission dangereuse c’est tout ce qu’il me fallait. De toutes façons qu’es ce que je risqué, j’étais déjà mort.

- non. Répondit-il avec froideur. Quelqu’un d’autre.

Je n’en croyais pas mes oreilles. Pourquoi réagissait-il comme sa ? Un mois que je n’avais pas eu la moindre mission depuis celle au j’avais faillit me pas rentré il me ne donné plus la moindre mission, j’avais besoin de me changé les idées.

- monsieur sauf votre respect il ni a aucune raison que je ne fasse pas cette mission. Je suis volontaire et aucun autre ne l’a. Donné moi une raison valable de me refusé cette mission.

Il me fixait avec son éternel regard froid. J’attendais qu’il me dise que c’est parce qu’il s’inquiète pour moi, qu’il ne voulait pas me voire prendre des risques. Qu’il ne voulait pas me perdre.

- je pense que vous ne soyez pas qualifié pour cette mission.

- et moi je vous prouverais le contraire.

- très bien vous partez dans deux heures.

 

 

- capitaine Delta 3 à disparu. Nous n’avons plus aucun contact avec son appareille.

- continué de le cherché.

 

 

 

Je courais aussi vite que je le pouvais, malgré mes blessures dû à la torture et au deux balles que je n’étais prises. Je devais récupérer l’avion c’est tout ce qui importé. Je devais lui ramené son avion. Je n’allais pas lui donné une nouvelle raison de me détesté. Une autre balle siffla à mon oreille, je le sais pas comment j’ai put réussir à ne pas me la prendre en pleine face, elle m’entailla la joue, sa faisait tellement mal, mais je devais y arrivé l’avion était là juste devant moi. Je maitrisai les deux garde et réussi à remonté dans l’avion, je devais lutter contre la douleur, resté éveille pour réussir à décoller. Les balles sifflet de tout les côté.

- contrôle ici Delta 3...contrôle.

- delta 3 nous vous recevons.

- je rejoins la base quelle et votre position.

- delta 3 veuillez vous identifier. Votre matricule ?

 

- vous ne faite tous chier c’est claire alors votre position.

Il fini par me donné la position du bateau. Il n’était plus très proche et je me savais pas si j’allais pouvoir tenir jusqu’à la. Je perdais beaucoup de sang, je voyais trouble, je me vivrais sans doute plus très longtemps, je devais juste lui ramené son avion. Je fini enfin par voire le porte avion, j’amorçai la descente.

- delta 3 vous été trop bas. Redressé.

Je n’eu ni la force ni le temps de redressé la tête de l’appareil heurta le pont ce souleva et retomba sur le flanc arrachant une parti du pont au passage. La c’est sur il allait me détesté.

Je sorti su cockpit comme je le pus, il était sur le pont à me fixait avec son habituel froideur. Cela ne changera jamais. Je n’avançai vers lui me mettant au garde à vous malgré la balle que je n’étais prise dans l’épaule.

-monsieur je suis désolé pour l’avion. Je crois que c’est un motif de mutation.

- j’avais raison, vous n’étiez qu’un incapable. Je n’aurais pas dû vous confier cette mission, vous avez laissé cet avion aux mains de l’ennemi durant 3 jours. Vous étiez une honte pour tous les pilotes. Delta 3.

Je laissai retombé mon bras le long de mon corps, lui adressant un large sourire, ma vue ce brouilla et je m’écroulai sur le sol à bout de force. J’entendais des personne s’affairé autour de moi mais je ne voyais rien. J’entendais mon cœur battre de plus en plus doucement, de moins en moins fort. Et puis un dernier boum et plus rien le silence.

 

 

- bip, bip, bip…

- il c’est pris quatre balles, sans conté les coups de poignard. Il a le tibia fracturé. Il a perdu beaucoup de sang, et il avait une commotion cérébrale. C’est un véritable miracle qu’il respire encore. Mais il ne ce réveillera sans doute jamais.

De qui es ce qu’elle parle ? C’est quoi c’est bruit bizarre. Ou je suis ? Pourquoi es ce que j’ai mal partout ?

- il ce réveillera.

- je me demande bien comment il a trouvé la force de de revenir, il n’était pas en état de piloté. C’est un véritable miracle.

- s’il vous plait laissez-moi seul avec lui.

- oui capitaine.

Capitaine ? Que fait-il ici ? Lui aussi il est mort ? Non je dois rêver, je senti une main ce glissé dans la mienne. Je ni comprend plus rien, je ne vois plus rien.

- je t’avais dit que cette mission n’était pas faite pour toi idiot.

Merde j’ai compris je ne suis pas mort, c’est bien mon capitaine. Fait chier. Allais ouvre les yeux, dit lui ce que tu pense à ce connard. Dit lui que tout ça et de sa faute.

Je ne sais pas comment j’ai réussi à dégagé ma main de la sienne. Et as ouvrir les yeux pour le regardais il ce leva et je refermai aussitôt les yeux.

- docteur il est réveillé.

 

 

Lorsque j’ouvrir les yeux il était assit à mes côté à me fixait en silence, comme tout les jours depuis ma sorti du coma. Et il allait encore partir sans rien dire. Non pas cette fois-ci.

- c’est juste pour ramené l’avion que je suis revenu à si non je serais resté crevé la bas.

- vu l’état dans lequel elle est, elle aurait mieux fait de resté là-bas et toi avec.

- je le serrais pour la prochaine fois.

- il ni aura pas de prochaine fois. Dés que tu es rétablie tu quitte ce porte avion l’armé pour toi c’est terminé.

- soit alors me venais plus m voire, faite comme si j’étais mort lors de cette mission.

- je le ferais.

Il ce leva et ce dirigea vers la sorti j’aurais voulut qu’il ce retourne qu’il me regarde qu’il me dise qu’il me le pensé pas, qu’il m’aimait mais ce n’étais pas le cas il sorti de la pièce sans ce retourné. Pourquoi es ce que je n’étais pas mort, mon cœur me faisait tellement mal. Sous la colère je débranchai les électrodes et me leva. Je partirais dés aujourd’hui.

 

 

 

 

Deux ans plus tard.

 

Sa faisait déjà deux ans que j’avais quitté l’armé, j’avais retrouvé la vie civile. Retraité de l’armé à 21 ans pour incapacité physique. À présent je donné des cours de pilotages, dans un petit aéroport. Il y avait une caserne militaire pas loin. Parfois je la regardais avec nostalgie. Je pense sans cesse à mon beau capitaine qui m’as brisé le cœur de cette époque je garde de nombreuse cicatrice du au impacte de balle et eu lacérations que j’avais reçus lors de cette mission. On ne peut pas oublier l’homme de sa vie aussi facilement et malgré tout le mal qu’il n’avait fait je continuais de l’aimé.

 

 

- tu as l’ai en forme Devan.

Je me figeai de surprise à l’entente de cette voix, elle n’avait pas changé durant ses deux dernières années. Toujours aussi grave et sensuel. Que faisait-il ici ? Comment ce rappelait-il de moi alors qu’il me détesté ? Je n’avais pas la force de le regardé où j’allais replonger. Je parti donc bien décidé à l’ignoré. Comme si pouvait ce ramené comme sa comme si de rien ne c’étais passé. Après ce qu’il n’avais fait.

Je frissonnai lorsque je sentis une main ce refermé autour de mon poigner et il me tira en arrière et je me retrouvai plaqué contre son torse. Je dois être entrain de rêvé.

- tu n’es qu’un sal con Devan je t’avais dit de me pas faire cette putain de mission. Qu’es ce que je pouvais m’en foutre de cette putain d’avion. Il y en a plein mais toi tu es unique. Il y a un peu plus de trois ans il y a un jeune pilote qui est entré dans le poste de pilotage. Tu n’as pas idée à quel point il pouvait être beau. Il m’attirait tellement, je le regardais quand il ne me voyait pas, je le désiré en silence, mais c’étais impossible, j’étais son supérieur. J’ai cru nourrir de jalousie quand j’ai appris qu’il était gay et qu’il couché avec Tomas. Et j’ai été déçu lorsque l’ont as couché ensemble, pas que c’était nul, seigneur au contraire. Je n’e jamais prit autant de plaisir. Mais j’aurais voulut qu’il me fasse l’amour, où bien qu’il me repousse qu’il me fasse pas comme tout les autres. Et merde. J’arrivé pas à lui dire. Et il a fait cette mission. J’ai passé trois jours sans dormir à attendre de le revoir. Lorsqu’il est sorti du coma j’ai cru avoir une seconde chance mais je ni arrivé pas et j’ai encore tout fait de travers. Pas tant qu’il serrait sous mes ordres. Alors j’ai tout fait pour le faire muté même si je ne pouvais plus le voire touts les jours. Il n’a fallut deux longue année avant d’enfin pouvoir le retrouvé. Et j’ai put enfin intégrés la caserne qui ce trouvé près de chez lui. Et de pouvoir enfin lui dire ce que j’avais tant voulut pouvoir lui dire.

J’arrivé pas à me défaire de lui, mon cœur était au borde de l’explosion. Je n’arrive pas à y croire, je dois être en plein rêve. Je réussi tant bien que mal à parlé.

- quoi donc ?

- j’adore les pilote, j’en suis fou et d’un en particulier.

- lequel ?

- toi Devan. Murmura-t-il à mon oreille avec douceur faisant monter mes larmes. Je t’aime. Rajouta-t-il avec douceur.

Je ne pus retenir mes larmes plus longtemps et me jeta sur ses lèvres pour l’embrassé. J’avais tant souhaité pouvoir l’embrassé. Il répondit à mon baiser avec douceur, et amour me serrant encore plus fort contre lui.

- capitaine je…

- Devan je…je ne suis plus ton supérieur…tu me vois encore juste…

- non désolé c’est l’habitude.

- à présent appelle-moi Benoit mon amour.

Je devais rêver c’étais bien trop beau pour être vrai. Pourtant il était bel et bien là. Il me ré-attira contre lui, m’embrassant encore et encore. Je me sais même plus comment en ai arrivé chez moi, dans ma chambre, dans mon lit, nu l’un contre l’autre, moi en lui, lèvres contre lèvres, lui en moi, main dans la main. Notre cœur battant à l’unisson.

 

 

- je suis désolé d’avoir était aussi froid et distant avec toi mon amour.

- ne me refait plus jamais ça. J’ai bien trop souffert.

- et toi ne fait ne plus jamais quelque chose de dangereux qui pourra t’éloigner de moi. Je ne veux pas te perdre. Dev.

- reste avec moi pour l’éternité.

- monsieur, oui monsieur. Répondis-je en souriant avant de l’embrassé à nouveau. À présent le bonheur nous sourie.

 

 

 

 

 

 

FIN.

 

Par Amako - Publié dans : os yaoi
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