Mercredi 20 janvier
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CHAPITRE 11 :
Encore une fois Jérôme était entrain d’attendre son frère adosser au mur du couloir. Leurs parents dormaient à l’étage. Depuis qu’il avait rompu avec Damien le cadet sortait tout les soirs et ne
rentrait jamais avant les deux, trois heures du matin. Et à chaque fois Jérôme l’attendait, et le brun refuser de répondre à ses questions. Mais ce soir il avait intérêt de lui donné des
explications à ses sortis nocturne.
La porte s’ouvrir enfin et Benoit rentra dans la maison, il vit son frère mais il passa à côté de lui comme s’il n’était pas là. Le blond le retenais par le bras pour le forcé à lui faire face le
plaquant contre le mur pour qu’il ne s’échappe pas.
- où était tu ? Il est trois heures du matin.
- cela ne te regard pas.
- où était tu ?
- je suis allé faire ma pute.
- tu…tu t’es fait baiser ?
- non tu devais avoir raison. Personne ne veut foutre sa queue dans mon cul. C’est la mienne qu’il préfère dans le leurs.
- tu as décidé de te faire défoncer par le premier venu ?
- tu as tout compris grand frère.
À ses mots l’ainé sentis son cœur ce serré et la colère monté en lui, il le retourna face contre le mur ce pressant contre lui, faisant glisser sa langue dans son coup. Avant de lui mordillait
l’oreille.
- je devrais peut être m’en occuper. Je pourrais défoncer ton petit cul de pute. Dit moi combien prends-tu pour te prendre une bite dans le cul. Tu fais peut être sa gratuitement. Dit et tu
vraiment vierge où bien ouvre tu les cuisses des que tu vois une queue. J’avais raison dés le début tu es bien une pute.
Benoit réussit à ce défaire de sa prise lui faisant face le regard froid et emplis de haine. Sa avait pourtant commencé à s’amélioré entre eux alors pourquoi ?
- oui je suis une pute. Pense ce que tu veux j’ai arrêté de compté le nombre de queue que je me suis prit dans le cul. Alors te gène pas, va y sert toi. Je sais que t’en meurt d’envi. Tu meurs
d’envi de me baiser depuis que tu sais que je suis gay. A si non pourquoi me faire de telles scènes de jalousie. Tu pas ton temps à me faire des propositions. TU VEUX QUE JE TE SUCE ? TU VEUX ME
DEFONCE MAIS VAS-Y ESPECE D’HOMO REFOULE. TU ME DEGOUTE.
Jérôme lui envoya son poing dans le visage et il regretta aussitôt son geste il avait eu si mal, il voulait juste le faire taire mais pas de cette façon. Il voulut le touché mais le plus jeune
s’écarta aussitôt de lui le fixant avec plus de haine encore.
- tu…tu ne comprends rien Benoit. Tu n’as jamais rien compris. J’essaye de faire des efforts et toi…
- quoi moi ? Je ne suis pas cessé de faire des efforts. Je t’ai laissait me traité de pute, je t’ai laissait me trainé dans la boue. Et quand tu me demandé un service je te l’ai toujours rendu.
De toutes façon toi et moi on me pourra jamais s’entendre. On et bien trop différent, on est obligé de vivre sous le même toit mais pas de s’apprécier à partir d’aujourd’hui on va ce parlais et
ce voire le moins possible. Je ne m’occupe pas de ta vie et tu en fais de même. On ne serra jamais rien de plus que deux étranger obligé de vivre sous le même toit.
Le blond resta sont réaction, il ne pouvait pas le croire il avait mal entendu.il ne voulait pas, il voulait tant faire parti de sa vie. Les parents des deux jeunes hommes étaient descendu
alerter par les cris de leurs enfants. Le brun détourna les talons pour montais à l’étage, Jérôme ne fit rien pour le retenir. Sa mère le suivit alors que le blond sentis le sol ce dérobé sous
lui et il s’écroula à bout de force. Il était telle une coquille vide, il ne réagissait même pas lorsque son père lui parlais.
- Jérôme fiston qu’es ce qui ce passe à la fin ?
-…
- répond moi ?
-….
- sa va s’arrangé.
Il ne parlait pas il ne répondait pas. Il c’était totalement refermé sur lui-même, le regard vide rivé dans le vide. Il était totalement perdu. À présent tout était perdu, il n’y avait plus aucun
espoir pour lui. Benoit ne l’aime pas et ne l’aimerait jamais.
- benoit tu n’aurais pas du lui parlais comme ça.
- maman laisse moi s’il te plait, j’ai besoin d’être seul.
- très bien on en reparlera plus tard.
Katie sorti laissant son fils seul et il laissa enfin aller sa tristesse. Il ne pensé pas ce qu’il venait de dire mais les paroles du blond lui avait fait mal et le coup de poing avait fini de
l’achevé alors il avait déversé tout son venin. Et sa lui à fait aussi mal qu’à Jérôme. Mais c’était nécessaire il ne faisait que ce faire du mal. Alors il fallait mieux mettre un terme à tout
cela.
- Benoit qu’es ce qui t’arrive ?
Benoit venait d’arrivé au lycée et c’était écroulé dans les bras de son meilleur ami en larmes il avait si mal.
- c’est fini…je lui ai dit que je voulais qu’il sorte de ma vie…je le déteste pourquoi es ce qu’il ne déteste autant ?
- sa va s’arrangé Benoit. Arrête de pleurait.
James le serrait dans ses bras alors que son regard croisa celui de Raphael il lui adressa un regard noir lui faisant bien comprendre de ne pas ce réjouir de cette situation. Raphael détourna la
tête pour rentré dans le lycée sentant encore le regard haineux de James, les choses ne s’arracheraient jamais.
et voila le chapitre 11. j'espère qu'il vous à plu. es ce que c'est vraiment fini ? vous le serraiez en lisant la suite. bis
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