voila le chapitre 9 bientôt la fin. c'est toujours triste de finir un fic et de ce séparé de ses personnage mais bon c'est la vie.
CHAPITRE 9 :
- qu’à tu fais de ton aprèm midi Jérôme tu as disparu. Au moins pour une fois j’étais tranquille.
- je…je ne baladé.
- hm.
Le silence reprit sa place entre les deux jeune hommes, Jérôme ne savait pas quoi faire, quoi dire. Il avait si peur de ce faire rejeté. Pourtant c’était à lui de faire le premier pas. Il devait
ce faire pardonné.
- tu semble de bonne humeur.
- je crois bien que je suis amoureux.
Il senti son cœur ce brisé à l’entende de ses mots, il était amoureux de ce connard, il ne pouvait pas. C’était impossible. Il essayait désespérément de calmé ses tremblements et de contrôler
l’émotion de sa voix.
- tu ne peux pas aimé Benoit. Une pute sa baise, c’est juste du sexe rien de plus.
- JE NE SUIS PAS UNE PUTE. C’EST CLAIR. Y’EN AS MARRE JEROME. Il c’était levé pour faire face à son frère. Y’en à marre Jérôme, marre que tu me traite de pute à longueur de temps.
- tu…tu l’as baisé ?
- c’Est-ce que tu m’as dit de faire.
- et tu as prit ton pied ?
- hm si tu veux tout savoir oui. C’était incroyablement bon. Il suce comme un dieu et il est super serré, je l’ai prit dans toutes les positions possible. Pendant des heures.
Le silence revenait entre les deux jeunes hommes, Jérôme n’oser pas regardais son frère, il avait peur de craqué de lui sauté dessus, de lui dire que sa lui faisait mal de le savoir avec ce mec.
Il finit tout de même par tourné la tête vers lui et il sentit son cœur s’emballer, il était si proche de lui, son souffle caressait son visage, son regard était perçant, brulant, il voulait tant
le prendre dans ses bras, mais il ne le fit pas.
- tu…tu as faim…j’ai préparé le diner ?
- non tu serrais bien capable d’y avoir mit du poison anti-gay. Je ne prends pas le risque, y’a assez d’un putain d’hétéro homophobe dans cette putain de baraque. Répondit-il en lui tournant le
dos pour retourné s’assoir à sa place, ne voyant pas les larmes couler sur les joues de son frère, il y avait mit tout son amour, il y avait passé des heures et sa n’as servit à rien.
- c’est…ce n’est pas grave…y’as…des restes…dans le frigo…si t’as faim…je vais aller…me couché…arriva-t-il à dire tant bien que mal en retenant ses sanglots.
- ouain c’est sa casse toi pour con, j’en ai marre de voire t’as sal tronche de connard.
Benoit s’avachit sur le canapé allumant la télé alors que Jérôme monta dans sa chambre d’un pas lourd et lasse. Il s’écroula sur son lit cachant sa tête dans l’oreiller pour étouffé ses sanglots,
il avait tellement mal, mais ce n’était qu’un juste retour de bâton. Il étai trop tard pour essayer de ce faire pardonné, il avait gâché toutes ses chance, parce qu’il n’était qu’un sale con
d’hétéro amoureux d’un homo.
- Raphael qu’es ce qui t’arrive en ce moment t’es pas du tout à ton niveau. Si tu ne te reprends pas-tu ne joueras pas le match de samedi.
- désolé monsieur, sa va aller.
Il ce laissa tombé sur le banc des vestiaires enfonçant son visage entre ses mains. Il devait absolument retrouver son niveau et arrêté de réfléchir sa ne mené à rien. Il releva la tête pour
voire James entré dans les vestiaires rigolant avec ses coéquipiers. Il passa à côté de lui sans lui adressé le moindre mot, le moindre regard. Deux semaines que sa durait combien de temps encore
allait-il lui en vouloir, il avait bon essayé de s’excuser le brun le repoussé sans cesse, l’ignorent. Il l’avait bien cherché il n’aurait jamais du le frapper. Il allait devenir fou s’il
continuait à l’ignoré comme sa.
- James. Il l’attrapa par le bras pour le retenir. S’il te plait je suis désoler qu’es ce qu’il faut que je fasse pour que tu ne pardonne, je veux quand reste ami.
- sa fait bien longtemps quand n’es plus ami.
Raphael senti son cœur ce serrait à ses mots, pourquoi es ce que sa lui faisait aussi mal.
- à ton seulement était ami. Tout ce que j’étais pour toi c’était un gamin fou d’admiration pour toi qui te suivait partout. Mais le gamin à ouvert les yeux et il n’as rien vu d’admirable alors
lâche moi et oublie moi.
Raphael le relâcha et le laissa partir, le regardant s’éloigné de lui avant de ce laissait retombé sur le banc livide le regard perdu dans le vide.
-non c’est faux, tu es mon ami James.
Benoit était toujours allongé sur le canapé regardant la télé. Il trouvait que son frère était bizarre aujourd’hui. Il ne l’avait encore jamais entendu bégayer autant, en faite il ne l’avait
jamais entendu bégayer. Qu’es ce qui lui arrivé lu toujours si sur de lui, il y avait un truc qu’il cloché. Il fut interrompu dans ses pensé par les gargouillis de son ventre qui crier famine. Il
éteignait la télé et se leva pour aller dans la cuisine. Il poussa la porte et s’arrêta net. Son frère avait dressé la table pour deux, sa ressemble à un diner en amoureux.
Il s’approcha pour voire qu’il avait préparé tout ce qu’il aimé. Une salade de chèvres chaudes, et une tartiflette. Il avait du y passé des heures. Il prit le plat de tartiflette pour le faire
réchauffé.
Jérôme était accoudé à sa fenêtre ouvert regardant le sol, il ce demandé ce qu’il lui arriverait s’il sauté d’ici. Surement pas grand-chose, il était tellement perdu dans ses pensé qu’il
n’entendit pas la porte d’entré s’ouvrir.il sursauta lorsqu’il entendit la voix de son cadet.
- vient manger.
Tu n’as pas peur que ce soit empoissonné.
- tu gouteras avant moi.
- hm passe devant je te rejoins.
- comme tu veux.
Benoit sorti de la chambre laissant son ainé seul, il essuya le reste de larmes sur ses joues essayant de reprendre un peu de contenance et rejoignait son frère dans la cuisine. Ce dernier avait
déjà servit l’entré et attendait son frère. Il devait sans doute attendre qu’il goute. Il le prenait vraiment pour un monstre. Il prit place en face de lui la tête basse.
- bonne appétit. Murmura-t-il d’une voix lasse.
- Bonne appétit. Répondait-t-il en ce jetant sur son assiette.
- je croyais que tu avais peur qu’il y a du poison.
- je n’en moque j’ai jamais mangé une tartiflette aussi bonne. Merci.
- c’était pour n’excuser d’être si con. Même s’il en faudrait bien plus.
- je te pardonne pour cette fois parce que tu t’es donné beaucoup de mal. Répondit le brun en lui souriant faisant bondir de joie le cœur de son ainé qui lui rendit son sourire.
-…et donc on c’est enfin réconcilier, cette fois ci je fais plus le con.
- c’est cool.
- raph t’as une drôle de voix sa va.
- dit moi es ce que j’accepté la présence de James à mes côté juste parce qu’il m’admiré et que j’en avais besoin pour flatter mon égo.
- bah c’est toujours ce que j’ai pensé.
- NON merde.
- oh calme toi qu’es ce qui t’arrive ?
- merde ce n’est pas vrai, tout son c’est de ta faute.
Il raccrocha sans rien rajoutait laissant son ami sur le cul il ne lui avait encore jamais parlais de la sorte. Qu’es ce qu’il lui arrive. Il ce leva pour ce dirigé vers la chambre de son frère
il tapa doucement et entra.
- qu’es ce qu’il y a ?
- dit James il ne parle plus à Raph.
- non ce connard la frapper. Il le prend juste pour un bouche trou.
- sans doute mais moi je crois qu’il l’aime bien au fond. Il a juste du mal à le faire comprendre. Tu sais ses pas un mauvais mec.
- c’est normal que tu dises sa c’est ton pote.
-…vous étiez bien sur le répondeur de James je me suis pas la pour le moment laisser un message.Il raccrocha à quoi bon il avait déjà laissait des dizaines de message et il ne lui
répondait pas. C’était fini, enfin ils n’avaient jamais était ami. Il enfonça sa tête entre ses genoux. Tout était de sa faute il l’avait bien cherché.
- c’n’est pas vrai. Je l’ai jamais considérait comme un fer valoir.
voila dite moi ce que vous en penser. merci de lire mes fic.
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