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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

un amour de pirate ( terminé)

Samedi 13 mars 6 13 /03 /Mars 21:51
cher lectrice voici le chapitre 22 d'un amour de pirate. l'un des chapitre les plus long de cette fic. le reveill après leur premier nuit d'amour. comment cela va t-il ce passé.
on va bientôt voire arrivé un nouveau personnage je vous laisse deviner. faite moi part de vos idée. bisous et bonne lecture.

CHAPITRE 22 :

 

 

 lovele13

À mon réveille je ne trouvais pas Jackson à mes côté et sa m’énervais, parce que j’aurais voulu qu’il m’embrasse pour me réveillais. Sentir ses douces lèvres sur les miennes et son corps ce collé contre le mien, ses mains caressaient ma peau. Je sentais l’excitation monté juste à cette pensé. Où pouvait-il bien être ? Partir avant mon réveille après la nuit que l’on avaient passé ce n’es pas convenable. C’Était bien l’attitude d’un pirate. Il devait encore être en train de contemplait l’océan. C’était son doute plus intéressant que moi. Je me redressais d’un coup, la colère envahissait mon être. J’enfilais en vitesse mes vêtements pour sortir de la cabine et la première chose que je vis furent les lèvres de MON Jackson sur les lèvres de ce petit con. Mon sang ne fit qu’un tour. Je vais les tuer tout les deux, je vais leurs tordre le cou. Je ne suis pas jaloux c’est juste de la possessivité rien de plus. Il m’appartient. À moi et à personne d’autre. Je voyais Milan le repoussais. Bon je vais peu être l’épargner ce petit con. Je m’approchais en silence pour pouvoir entendre leur conversation.

- Tu ne devrais pas faire cela. Il pourrait être jaloux.

- Pourquoi ce n’es qu’un geste d’amitié. Il ni as rien de mal là dedans.

Rien de mal je vais te montrait moi s’il ni as rien de mal. Sal con de pirate.

- tu es bien trop naïf des fois.

Aller bien envoyais. C’était vrai que des qu’il s’agissait de sentiments il était naïf mais sa le rendait tellement mignon. Merde à quoi je pensais moi.

- De toute façons pourquoi serrait-il jaloux. Il ne m’aime pas.

 

Merde pourquoi mon cœur c’était-il serrait lorsqu’il avait dit ça. C’était pourtant vrai. Je ne l’aimais pas, je ne servais juste de lui. Mais l’entendre dire sa avec une voix si douloureuse me faisait me sentir coupable. Je suis la cause de sa douleur.

- Milan, promet moi de toujours restait mon ami.

- Je te le jure tu es ma seul famille. Je ne te quitterais jamais.

- je t’aime Milan.

- Moi aussi je t’aime capitaine.

Mais qu’il a con ce qu’il voulait c’était ta queue dans son cul. Mais il ne l’aura pas. Elle était à moi comme tout le reste de son être. Il faut qu’ils ce découle et vite où j’allais péter un câble. Je m’approchais d’eux toussant pour signaler ma présence. Jackson ce retournais vers moi gardant son second dans ses bras. Je vais faire un meurtre dans trois secondes. Ce fut Milan qui le repoussait doucement pour reprendre la barre. Jackson s’approchais de moi, son regard était froid jamais il ne m’avait regardais de la sorte que lui arrivait-il ? Où était le Jackson qui me regardait avec amour ? Il ce plantait face à moi. Si proche que je pouvais sentir son souffle sur mes lèvres. Je voulais tant qu’il m’embrasse. Pourquoi est-ce que cette pensé m’obsédais ? Que m’avait-il fait ?

- Je t’interdis de dire ce genre de choses à Milan. Il est mon meilleur ami et jamais tu ne pourras changer ca Adrien. Ne joue pas. N’essaye pas de savoir lequel je serrais prés à tuer pour gardais l’autre.

Ses mots furent tel un coup de poignard en plein cœur. Il l’aimait donc plus que moi. Pourquoi est-ce que cette pensé me faisait si mal ? Je ne l’aimais pas alors je n’en ai rien à faire de savoir s’il le préférait en moi. Je me servais juste de lui. Je le baissais juste.

- C’est bon je suis désoler.je le dirais plus.

Son regard ce fit alors plus doux et ses doigts venaient ce poser sur ma joue avec douceur me faisant frémir.

- Tu as bien dormi ?

- Non.

- Pourquoi demandait-il étonné.

Je l’attirais contre moi et prenais ses douces lèvres qui n’avais de cesse de me nargué. Je voyais Milan détournait la tête avec tristesse alors que je fermais les yeux pour profitait de ce baiser allant cherché sa langue. Il glissait ses bras autour de ma nuque ce serrant encore plus contre lui. Comme s’il voulait m’empêchais de m’échapper. S’il savait que je n’en avais pas l’intention. Ses baisers me rendaient fou. Mais je ne lui dirais jamais.

Je du tout de moins le relâchait à bout de souffle. Je posais mon front contre le sien alors que mes bras le serraient encore plus fort contre moi.

- J’ai mal dormi parce que tu n’étais pas là lorsque je me suis réveillé. Et parce que je n’ai pas eu le droit à mon baiser matinal. Alors je t’en veux.

Il baisait la tête tel un enfant pris en faute, c’était tellement mignon. Merde qu’est-ce qui m’arrive de le trouvais mignon depuis ce matin ? Sa tournais plus rend cher moi.

- Je suis désolé. Je t’ai regardais dormir, mais j’avais des choses à faire. Je ne voulais pas te réveillais. Mais je t’ai embrassais. Tu ne l’as pas senti parce que tu dormais.

Putain il m’excite trop avec sa petite voix désolé. Je le soulevais pour l’assoir sur la rambarde reprenant ses lèvres en caressant son torse. Je reprenais ses lèvres caressant son torse. Il gémissait entre mes lèvres en essayant de me repoussais.

- Mon amour j’ai du travail.

- Et moi il y a plein de truc que j’ai envie de te faire. Alors en retourne dans la cabine. Tu vire ses fringue et je te fais l’amour encore et encore.

- C’n’est pas sérieux j’ai plein de choses à faire aujourd’hui.

- Milan t’es le second alors tu t’occupe de tout. J’enlève le capitaine pour la journée. Et ce n’est pas négociable. Je lui lançais un regard noir.

- C’est bon Jack je n’occupe de tout.

- Alors tu vois. Tu es libre. Lui murmurais-je au creux de l’oreille. Alors retourne dans la chambre j’arrive tout de suite. Tu as intérêt d’être nu et allonger sur le lit.

 

 

J’avais rejoins ma cabine, et je n’étais allonger nu sur le lit, sur le ventre j’en profitais pour étudier une carte en attendant qu’il arrive. J’étais heureux qu’il ait eu envie de ce réveillé à mes côtés qu’il a eu envie que je l’embrasse. Plus les minutes passe et plus il me rendait amoureux de lui. J’avais l’impression d’être en plein rêve. Je frémissais lorsque je sentais ses doigts glissaient le long de ma colonne vertébrale.

 

 

J’avais eu une discussion avec Milan. Plus clame que celle de la veille. Je comprenais très bien qu’il voulait juste protégé son ami. Je n’avais pas put lui promettre de ne pas faire souffrir Jackson. Je savais que j’allais lui en faire. Je me servais de lui. Dés que j’aurais trouvais Shawn en rejoindra Alizé et je partirais loin de lui. J’oublierais alors tout ce qui le concerne. Et lui serra-t-il m’oublier ?

Je le trouvais allonger sur le lit totalement nu, en train de lire une carte. Il ne m’avait pas entendu entrer. J’en profitais pour le regardait. Il était tellement beau. Je fixais ses belles petites fesses. Juste de me souvenir du plaisir que j’avais pris en lui suffisait à me faire bander. J’avais tellement envie de le prendre à nouveau. Mais je ne ferais rien, je ne voulais pas lui faire plus de mal.

 

 

- Tu as été long mon amour.

- désoler. Murmurait-il au creux de mon oreille, alors qu’il s’allongeait sur moi de tout son long. Je sentais son sexe tendu contre mes fesses, il avait envie de moi, mais il ne faisait rien. C’était bien la première fois que je l’entendais demandait pardon.

- Qu’est-ce que tu regard ?

- De vielle carte.

Il ce laissait tomber à côté de moi gardant sa main dans le creux de mes reins me faisant frémir de bien être, ses mains étaient si douce. Il restait la ce contentent de me fixais en silence. Je repliais les cartes et me retournais vers lui pour le regardais. Plongeant dans ses deux océans tumultueux, plus dangereux que tout les océans du monde, plus profond encore que la fosse des Mariannes remplis d’encore plus de mystère, en avait envie d’y plongeais même si en on connaissait les dangers. Je faisais glisser mes doigts le long de sa joue, il fermait les yeux gémissant de plaisir. Je posais mon autre main sur son torse me rapprochant de lui. Je déposais mes lèvres sur les siennes faisant glissait mes doigts le long de son torse. Il entrouvrait les lèvres pour me laissais aller joué avec sa langue. Il enroulait ses bras autour de moi me serrant contre son corps me faisant gémir de plaisir. Ce baiser était si doux, j’aimais tellement lorsqu’il m’embrassait de cette façon. J’avais l’impression qu’il partager mon amour. Mais ce n’était qu’une douce chimère. Ce baiser pris fin bien trop vite à mon gout j’avais envie de l’embrassais encore t encore, jusqu’à plus soif. J’enfonçais mon visage dans le creux de sa nuque respirant sa douce odeur. Je me sentais si bien là dans ses bras, contre son corps. J’avais envie que cela ne cesse jamais. Je l’aimais tant.

- Alors de quoi voulait tu parlais Dris ?

- Juste rattraper mon réveille louper et parlais un peu.

Sa réponse n’étonnais, il voulait juste parlais, passé du temps avec moi sans rien d’autre. Sa me rendais fou de plaisir. Une matinée au lit avec l’homme que j’aime à parler que demandais de plus.

- De quoi veut tu parlais ?

- Je ne sais pas de chose et d’autre. Pourquoi as-tu dit que tu avais quitté ta famille sans regret ?

- Dris je n’ai pas la moindre envie de parlais de tout sa. Je déteste parlais de moi. Si en parlais plutôt de toi, sa doit être bien plus intéressant.

- Si en sort ensemble j’ai le droit d’apprendre à te connaitre. Je ne démordrais pas tant que je ne serais pas ce que tu cache. Je veux savoir d’où tu viens et comment tu t’es retrouvait à la tête de ce bateau. Je veux tout savoir de toi.

Il ni avait rien à savoir outre le fait que je n’avais été qu’une vulgaire pute, si je lui disais cela il allait me détesté. Je ne voulais pas qu’il le sache, jamais. Je montais sur lui me plaçant sur son bassin. Et je prenais ses lèvres avec force. Ondulant du bassin le faisant gémir de plaisir entre mes lèvres. Il me repoussait doucement, sans vraiment le vouloir.

- Jackson, je suis sérieux.

- J’ai envie de toi.

- Non. Criait-il en me repoussant avec plus de force et me lançais un regard noir. Je me redressais m’enroulant dans le drap, m’éloignant de lui. Je n’avais aucune envie de parlais de tout cela. Je voulais oublier mon passer.il n’était que noirceur. Dans ce passé j’étais une personne sans cœur, pute, meurtrier, il ne pourrait jamais aimais cette parti de moi. Je frémissais en sentant ses bras ce glisser autour de mon corps. Sa voix était basse, rassurante, enivrante.

- D’accord on ne parle pas de ton passé. Mais on ne fera pas l’amour tu dois encore avoir mal. À cause de cette nuit. Je ne veux pas te faire encore plus de mal.

- je t’aime tellement Dris. J’avais dut cela dans un souffle à peine audible. Il n’avait rien répondu mais peut importe. Il n’avait pas besoin de répondre. Je savais qu’il ne partager pas mes sentiments. Je sentais ses lèvres ce posaient dans ma nuque, elles étaient si douces, son baiser était si tendre, amoureux, mais ce n’était qu’une illusion de mon cœur amoureux.

- J’ai vraiment aimais faire l’amour avec toi cette nuit.

- C’est vrai ? Demandais-je le cœur remplis de joie.

- Oh oui. C’était génial. J’adore quand tu m’embrasse. Quand tu me caresse, et encore plus quand tu m’appelle de cette toutes petites voix alors que tu jouis. Tu es tellement beau lorsque tu prends du plaisir. Et encore plus quand tu bouge sur moi. Tu es tellement érotique.

Je laissais tombé ma tête sur son épaule soufflent de bien être.

- Hm, je me sens si bien dans tes bras.

- Moi aussi. Et ce n’est pas normal.

- Pour…pourquoi ?

- Parce que tu es un pirate, un homme et je suis sensé te détesté. Mais je n’arrive pas à te détesté entièrement. Tu es si différent des autres pirates. Je ne sais pas quoi pensé.

- Alors arrête tous simplement de réfléchir. Moi je profite du moment présent. Parce que je sais que cela ne durera pas éternellement.

- Tu sais la dernière fois lorsque je t’ai vu combattre c’était incroyable. Tu étais tellement beau. C’était fascinant et inquiétant à la fois. À cet instant tu étais si différent de maintenant. Tu semblais si froid, si lointain.

- C’Est-ce que je suis. Froid et distant. Un homme sans cœur.

- Pas avec moi. Pas avec Milan.

- On a toutes nos petites faiblesses. Milan as était la première personne que j’ai aimais. C’était déjà tellement fort et je t’ai rencontré. Et sa me terrorise parce que tu as entre tes mains le pouvoir de me brisé. Tu me rends faible et je déteste sa.

Je me sentais tiré en arrière et ses lèvres ce posaient sur les miennes. Alors que ses mains ce faisait une place sous le drap pour caressait ma peau nue. Il empoignait mon sexe me faisant gémir de plaisir.

- je te fais perdre la tête Jacky ? Je te rends fou ? Demandait-il dans un murmure à mon oreille.

- O…oui. Haletais-je alors que ses doigts faisaient des va et vient sur mon sexe je me laissais tomber en arrière posant ma tête sur ses genoux me laissant aller au plaisir de ses caresses. Je m’accrochais à mon cou pour me redressais et ravir ses lèvres. Ses caresses me rendaient fou de plaisir. C’était comme un feu qui me consumer de l’intérieur. J’avais envi qu’il me fasse l’amour une nouvelle fois. Je voulais pouvoir le sentir à nouveau en moi. J’arrivais même plus à me concentré sur ses lèvres tellement ses caresses me rendais fou. Il me faisait perdre la tête.

- Aaaah…mon amour…c’est bon…aaaah…j’ai envie…prend moi…

- Non je t’ai fait assez de mal hier soir.

Il reprenait mes lèvres avec douceur. Pourquoi me donnait-il de l’espoir. Je le déteste de jouais avec moi. Mais j’étais incapable de lui résisté.

- Tu es super bien monté tu le sais sa ? Tu dois en faire crier plus d’un avec ce que tu as là.

- Non…aaah…jamais…

- Tu es encore puceau ?

Il allait ce foutre de moi j’en suis sur. Mais il m’en fit rien continuant de me caressais. Je me sentais fondre sous ses caresses expertes. Seigneur il cherche à me tuer. Je fini par jouir entre ses doigts.

- Tu as aimait Jacky ?

- oui.

Je me retournais vers lui, je voulais lui rendre ce qu’il m’avait fait. Je voulais le sucer mais il prit mon visage entre mes mains pour prendre me lèvres.

- Je voulais juste te donnais du plaisir rien de plus. J’ai faim on va manger.

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Jeudi 11 mars 4 11 /03 /Mars 22:32

 

CHAPITRE 21 :

 

 

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Je m’étais éveiller alors que le soleil était déjà haut le bateau avait déjà reprit le large. Milan avait du s’occupait de tout. C’était vraiment un petit mec incroyable. Je tournais la tête pour regarder Adrien qui dormait toujours à poing fermer. Il était tellement beau. Je faisais glisser mes doigts le long de sa peau. J’avais passé la nuit blottis dans ses bras. Sa avait été un moment incroyable. Je l’aimais tellement. J’aurais put rester à le contemplait durant des heures, je déposais un léger baiser sur ses lèvres, elles étaient si douces.

Je m’arrachais de la chaleur de son corps pour me levais. J’avais mal au bassin mais peut importe je devais reprendre mon rôle de capitaine. Je sorti sur le pont pour et respirais à plein poumons l’air du large. C’était tellement agréable. C’était une bien belle journée. Je levais les yeux vers le ciel, le soleil était à son zénith, l’air était doux, changeait des odeurs du larges. Je fermais les yeux profitant de ce moment. Pour la première fois de ma vie je me sens entier est-ce cela le bonheur. Lorsque je ré-ouvrais les yeux ce fut pour voir Milan à la barre le regard perdu dans le vague. Les rayons du soleil faisait briller sa peau de satin sa le rendait tellement beau. Il ressemblait à un ange. Je m’approchais de lui l’entourant de mes bras et mes lèvres ce posaient sur les miennes. Il me repoussait avec force me fixant étonné. Que lui arrivait-il ? C’était bien la première fois qu’il me repoussait.

- Bon…Bonjour Jackson.

Je posais mes deux mains à côté des siennes sur la barre me rapprochant de lui.

- Que ce passe t-il Milan ?

- Ton Adrien chéri ma gentiment fait comprendre que je ne devais plus t’approchait de trop prés.

- tu es trop bête Milan.

- Je t’interdis de dire ça.

- Vient. J’ouvrais les bras lui faisant comprendre ce que je voulais. Il ne mit pas longtemps à venir ce blottir dans mes bras. Ce que je pouvais aimer ce petit bonhomme. Il refermait ses bras autour de moi blottissant son visage pour le creux de ma nuque.

- Jamais personne ne pourrait nous séparé Milan. Personne ne l’as put et il ne le pourra pas. Tu es la personne la plus importante dans mon cœur. Tu sais très bien que sans toi je ne peux survivre.

- Je ne veux pas qu’il te fasse souffrir. Je ne laisserais plus jamais personne te faire de mal.

- Ce n’es pas mon rôle de te protégé.

- Tu en as déjà assez fait. Maintenant c’est à moi de t’aidé. Je veux prendre soin de toi comme tu la fait pour moi.

Ses mots ne touchaient vraiment. Ce que je pouvais l’aimer mon petit Milan. Je déposais mes lèvres sur les siennes avec douceur. Mais il me repoussait à nouveau. Pourquoi refusait-il mes baisers. Avant il adorait ça. C’était même lui qui le demandait.

- Tu ne devrais pas faire cela. Il pourrait être jaloux.

- Pourquoi ce n’es qu’un geste d’amitié. Il ni as rien de mal là dedans.

- tu es bien trop naïf des fois.

- De toute façons pourquoi serrait-il jaloux. Il ne m’aime pas.

 

 

 

Voir la tristesse dans son regard me serrait le cœur. Pourquoi Est-ce qu’il avait fallut qu’il tombe amoureux de ce mec. Moi je ne l’aurais pas rendu aussi triste. Mais son cœur à choisi cette homme. Je le déteste parfois de me rien voir. Mais tout ce que je souhaitais c’était de le voir heureux. J’enroulais à nouveau mes bras autour de lui pour le serrait dans mes bras. Profitant de cette douce chaleur.

- Milan, promet moi de toujours restait mon ami.

- Je te le jure tu es ma seul famille. Je ne te quitterais jamais.

- je t’aime Milan.

- Moi aussi je t’aime capitaine.

Tout ce que je souhaitais c’était de pouvoir resté à ses côté aussi longtemps qu’il voudra de moi. Parce que moi aussi sans lui je ne pouvais survivre. Et jamais cette homme ne pourra ce mettre entre nous deux.

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Mardi 9 mars 2 09 /03 /Mars 12:34

et voila le chapitre 20. il est court et pas des plus intéressant mais bon il faut bien dés chapitre nul de temps en temps.lol. bonne lecture bisous

 

 

CHAPITRE 20 :

 

 

 

 

Que voulait-il que je lui répond que je repenser à la façon donc je lui avais ôter la vie. Que je l’avais regarder ce vider de son sang, jusqu’à ce que la vie quitte son corps. Et que j’étais rester à fixais son corps sans vie qui ne poserais plus jamais ses mains sur moi. Il me déteste déjà suffisamment pas besoin de lui donnait encore plus de raison de me haïr. Je suis un monstre amoureux d’un mec qui ne fait que ce servir de moi. C’est un juste retour de bâton.

 

Il revenait les bras charger de nourriture et il posait tout sa sur le lit. Il m’aidait à me redressais mettant un coussin derrière mon dos. Il ce dirigeait vers mon bureau et en revenait avec deux verres et une bouteille de rhum. Il en versait dans les deux verres et m’en tendis un.

- A la notre.

 

 

 

Il était tôt encore, le soleil ce lever à peine à l’horizon. Je n’avais pas réussi à dormir de la nuit. Je me faisais du soucis pour mon capitaine. Qu’es ce qu’il faisait ? Est-ce que ce petit con était avec lui ? Est-ce qu’il lui avait fait du mal ? S’il le fait souffrir je le tue.

Je ne trouvais pas Jackson sur le pont supérieur où il avait l’habitude de dormir lorsque les pirates descendaient au port. Pourquoi n’ai -il pas là ?

Je rentrais dans sa cabine et me fixais de surprise en le voyant allongeait sur le lit, nu, dans les bras de Adrien. Il avait un visage serein et un sourire heureux sur le visage. Je ne l’avais encore jamais vu aussi heureux. Je remontais les couvertures sur leurs deux corps enlacés et déposais un baiser aux coin des lèvres de Jack. Je me redressais et fut surpris de sentir une main attrapait mon poigner. Je relevais la tête pour me retrouvais face au regard menaçant d’Adrien.

- Toi tu le touche pas où je te tue.

- Il n’est pas ta chose. Tu ne l’aime pas.

- Il est mon petit ami alors garde tes sales pattes loin de ce qui m’appartiens.

- Connard. Tant que tu ne le fera pas souffrir je ne peux rien faire. Il est comme un frère pour moi. Et tu sait jusqu’à où peut aller un frère pour protéger le sien. Alors maintenant lâche moi. Ne le détruit pas juste pour atteindre ton but, il ne mérite pas sa.

- Je n’ai pas besoin qu’un gamin viennent me faire la leçons de morale. Si je vois tes lèvres, où tes mains ce posaient une seul fois sur lui je te tue.

- Va te faire foutre.

- Ce n’es pas toi qui aimerait te faire foutre par ton capitaine. Tu arrive trop tard. C’est moi qui le baise et il adore ça.

- Espèce de connard.

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Mardi 9 mars 2 09 /03 /Mars 12:32

 

 

 

CHAPITRE 19 :

 

 

 

            Je le fixais en silence, là étendu sur le lit, le corps en sueur maculé de mon sperme. Ça avait duré encore et encore. Je navais penser quà mon plaisir. Je lavais entendu gémir de douleur mais javais fait la sourde oreille. Je navais pas voulu marrêter parce que cétait tellement bon dêtre en lui. Et il ne mavait pas demandé de cesser. Il y avait encore les traces de larmes sur ses joues, et je sentis mon cœur se serrer lorsque je vis du sang sur ses cuisses. Merde, il avait fait tous ça parce quil maimait. Je lui avais fait tellement de mal et il navait rien dit. Je me sentais si égoïste, si con. Je l’avais traité comme un vulgaire objet sexuel. 

 

            Je savais pourtant quil ne voulait pas que je le prenne de cette façon. Merde, jaurais dû être doux, tendre avec lui. Lui montrer que même si je le prenais par derrière, ça ne changeait rien. Que lon pouvait faire lamour dans cette position aussi. Mais javais laisser parler ma bite.

            Jaurais dû entendre la tristesse dans sa voix lorsquil mavait dit de faire ce que je voulais, il ne le pensait pas. Je suis vraiment un sale petit con.

 

 

            Je ne pouvais pas. J’étais bien incapable de juste me servir de lui. Je n’étais pas aussi insensible. Je devrais peut être cesser cela avant quil ne soit trop tard pour nous deux. Il maimait, je ne pouvais pas lui faire autant de mal.

            Je fis glisser mes doigts le long de sa joue, sa peau était si douce. Comme celle dun enfant. Il était vraiment superbe. Sa peau était halée sans doute à cause de ses longues heures passées sur ce bateau en plein soleil.  Son corps était musclé, ses cheveux étaient doux, et il sentait bon. Merde, quest-ce que jétais en train de faire là ? Je retirai ma main mais continuais de le regarder.

 

 

            Lorsque jouvris les yeux, je le vis allonger à mes côtés. Il semblait perdu dans ses pensées. Il devait penser à Alizé restée au port ou à son frère retenu par Gus. Et jen fus jaloux. Je voulais quil ne pense quà moi, quil ne regarde que moi. Cétait tellement égoïste de penser ainsi. Je ne pensais quà moi.

            Il mavait fait mal cette nuit, mais peu importait parce quavant il mavait fait lamour et il avait été si doux. Cétait la seule chose que je voulais retenir. Il pouvait faire ce quil voulait de mon corps du moment quil restait près de moi. Cétait douloureux parce que ça faisait longtemps mais jallais m’y réhabituer. Il avait aimé me baiser. Il avait pris bien plus de plaisir. Je devais lui donner du plaisir pour quil reste à mes côtés. Pour lui, jétais prêt à redevenir ce que javais cherché à fuir.

            Jallais me coller contre lui pour sentir sa chaleur. Il était tellement perdu dans ses pensés quil navait même pas vu que jétais réveillé. Je caressais son dos avec douceur, mon oreille était contre son torse et lécoutait battre. Je frissonnais lorsque je sentis ses bras se refermer autour de moi, ses doigts se glissaient dans mes cheveux, cétait si bon. Je me sentais si bien là dans ses bras, contre son corps chaud. Javais mal partout, je nallais sans nul doute pas pouvoir marcher de toute la journée mais malgré ça, jétais fou de bonheur.

- A quoi penses-tu, mon amour ? Pourquoi est-ce que je lui posais la question alors que je connaissais parfaitement bien la réponse ? À tout, à tout le monde sauf à moi.

- Je pense à toi. Juste à toi.

 

 

            Je relevai la tête vers lui, étonné. Javais dû mal entendre. Il ne pouvait pas penser à moi. Cétait tout bonnement impossible. Mais son baiser finit de me convaincre. Il était si tendre, sa langue caressait la mienne avec douceur. Il mattira sur lui, mallongeant sur son corps me gardant dans ses bras. Il relâcha mes lèvres déposant un baiser sur mon front, sur mon œil, mon nez, partout où il le pouvait. Cétait tellement agréable. Je ne pouvais mempêcher de sourire comme un con.

- Je suis vraiment désolé. Je ne voulais pas te faire de mal. Je me suis laissé emporter.

- Cétait bon.

- Ne me mens pas. Tu pleurais. Tu avais mal. Même si tu maimes, tu ne dois pas faire ce dont tu nas pas envie.

- jai peur que si je ne te donne pas assez de plaisir, tu partes.

- Tes bête. Tu me tiens par la gorge. Si je veux retrouver mon frère, je suis bien obliger de rester avec toi.

- Ouinonmaisje tai dit que je taiderai sans rien demander en retour.

            Je me défis de sa prise et essayai de me redresser mais je retombai aussi sec sur le matelas dans un cri de douleur. Adrien se redressa une lueur effrayée et soucieuse dans le regard.

- Jacky, quest-ce quil y a ?

- Jacky, cest  nouveau. Cest mignon. Je ne pus mempêcher de lui sourire, en glissant mes doigts sur sa joue. Il sinquiétait pour moi. Par pitié ou parce quil tenait un peu à moi. Je ne savais pas et je men moquais. Pourquoi fallait-il que je sois si faible face à lui ? Je me détestais dêtre comme ça. Je me perdis dans son regard, dans mon passé.

           

           

            « Jai tué la moitié des hommes qui avait posé leurs mains sur moi. Jai regardé leurs sang couler sur le pont du bateau. Jai enfoncé ma lames dans leur cœur et les ai écouté crier en me suppliant de ne pas les tuer. Jai écouté leur dernier souffle. Je les ai regardés se tordre de douleur sans sourciller, sans en éprouver la moindre douleur.  Je lai gardé pour la fin. Cette enculé qui a été le premier à me souiller, je lavais forcé à me regarder tuer ses hommes, les uns après les autres. Cette nuit-là, la lune était pleine et aussi écarlate que le sang qui allait se mêler à leau, rendant cette étendue deau encore plus attirante.

            Cette nuit-là je lavais laissé me prendre une dernière fois. Comme tous les jours, il mavais plaqué à même son bureau, avait arraché mon pantalon pour me pénétrer sans la moindre préparation. Javais serré les dents sous la douleur. Je navais pas crié, jétais habitué, déjà si longtemps que je subissais cela. Chaque coup de reins me déchirait encore plus, je le laissais faire impassible sous les rires et les cris dencouragement des autres pirates. Il a jouit en moi, me balançant toutes ses insultes habituelles. La mer était calme cette nuit-là comme moi lorsque jai attrapé le sabre. Jai vu la crainte dans son regard lorsque je me suis approché de lui, et son cri de douleur à déchiré la nuit lorsque ma lame a tranché ce sexe qui mavait tant de fois souillé. Je ne serais plus sa pute, je se serais plus la pute de personne.

            Je le regardai se tordre de douleur sur le sol comme une vermine, beaucoup moins fier. Je détournai les talons et sortis sur le pont, il criait à ses hommes de me tuer. Et ma lame sest enfoncée dans le cœur du premier qui s’est approché de moi. Je lai fixé droit dans les yeux lorsque ma lame à percer son cœur. Il nas pas crié, il s’est écroulé sans vie. Je voulais quil voit ses fiers pirates tomber sous la lame de celui quils avaient utilisé comme pute. Jenfonçais ma lame en eux comme ils avaient enfoncé leur sexe en moi. Et jy prenais du plaisir. Jétais un monstre, leurs cris de douleur, leurs supplications n’y changeaient rien, je continuais mon massacre sous ses yeux.

            Ils n’y avait plus personne, des dizaines corps reposaient sur le sol, entassés les uns sur les autres. Quel spectacle pathétique. Jentendais les vagues se fracasser contre le navire. Ça navait jamais été aussi calme. Ce que jaime ce bruit. Le vent balayait mon visage. Je fermai les yeux juste une seconde avant den finir avec mon enfance et de reprendre ma vie en main. Jétais maculé de sang, couvert du sang de ces pécheurs. Je retournais dans la cabine. Avec calme, jessuyai ma lame sur mes vêtements, la rendant brillante comme si elle navait jamais ôté la vie. Il était toujours dans la cabine essayant de se redresser. Le grand pirate nétait plus. Il était redevenu un homme ordinaire tremblant devant la lame de la justice. Son regard était rempli de terreur. Il tremblait devant moi alors qu’il venait de me baiser. Je magenouillai devant lui, je navais aucune pitié pour lui, jallais lui ôter la vie comme il mavait ôté mon innocence. Il reculait à chaque fois que je faisais un pas vers lui. Mon corps frissonnait de voir la peur dans son regard et il avait raison de me craindre. Je n’étais pas un gentil garçon bien docile. Je n’avais pas de cœur. Tuer ne me posait aucun problème. Je le regardais se vider de son sang en essayant déchapper à la mort.

- Pourquoi ? Aide moi.

            Je ne répondais pas, le laissant nourrir doucement et dans la douleur. Cétait une belle nuit pour tuer »

 

 

            Je sursautais lorsque je sentis sa main se poser sur ma joue me sortant de mes pensées.    

- Quest-ce qui tarrive ? Tu avais lair ailleurs. Ton regard faisait peur.

- Je te fais peur ? Demandais-je dune voix froide en le dévorant du regard. Tu as raison davoir peur ,Adrien, je suis un monstre.

- Arrêtes tes connerie. Tu nes pas comme ça.

            Je ne répondis rien, que lui dire que je suis faible face à lui, que je suis prêt à tout pour lui. Je me contentais d’afficher à nouveau un sourire hypocrite, c’était la seule chose que j’étais capable de faire en cet instant.

- Quand tu as dit que tu allais me défoncer, tu n’as pas menti. Ça fait vraiment mal.

            Il m’écarta les cuisses pour s’y glisser, j’avais peur. Cétait bien la première fois de ma vie que javais peur à lidée de me faire baiser une nouvelle fois. Je ne pourrais pas supporter une autre pénétration. Pas aussi tôt. Mais je le laissais faire. J’étais incapable de lui dire non. Comme javais été incapable de faire quelque chose lorsque ces hommes me violaient. Je fermais les yeux le laissant faire ce quil voulait de moi. Ses lèvres glissèrent le long de mon corps et je ne pus mempêcher den frémir. Je sursautai de surprise lorsque je sentis sa langue se poser sur ma rosette rougie, blessée.

- Dris, fais pas sa.

- Chut, cest pour te soigner. Après, ça ira mieux, tu verras. Détends-toi.

            Je fis ce qu’il me disait. Je fermais les yeux laissant sa langue soigner mes blessures.  Je laissais échapper un râle de plaisir lorsque ses doigts senroulèrent autour de mon sexe tendu. Cétait tellement bon. Il ne me fallut pas bien longtemps pour jouir sous ses douces caresses. Il se redressa madressant un large sourire.

- Alors, ça va mieux ?

- Cétait bon. Mais je ne peux toujours pas me lever, et jai faim et soif.

- Je vais y aller. Bouge pas. Mais avant je veux savoir à quoi tu penser tout à lheure.

- A la pleine lune. Répondis-je en souriant.

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Mardi 9 mars 2 09 /03 /Mars 12:27

pour me faire pardonné de ne pas avoir posté durant plusieur jours je vais mettre 3 chapitres d'un amour de pirate. je sais je suis la meilleur^^. bisous



CHAPITRE 18 :

 

 

 

            Lorsque je me réveillai, il navait pas bougé dun centimètre, toujours allongé sur moi, entre mes cuisses et son sexe toujours en moi. Ce nétait pas vraiment agréable mais peu importait. Je ne voulais pas le voir séloigner de moi. Je lui caressais les cheveux avec douceur, ils étaient si doux, ils sentaient la pêche. Sa peau était douce. Je ne pus empêcher mes lèvres de se posaient sur son front.  Cétait donc ça lamour. Cétait aussi agréable que de contempler la mer un soir de pleine lune, oui, cétait vraiment magnifique.

            Il sagita dans son sommeil et je retenais un gémissement de plaisir en sentant son sexe prisonnier de mes chairs bouger. Il bougea encore et je laissais échapper un nouveau gémissement de plaisir. Cétait douloureux et bon à a fois.

            Il se redressa légèrement sappuyant sur ses avant bras et ouvrit les yeux pour me regarder. Il les referma aussitôt comme sil ne voulait pas me voir et son front vint se poser sur le mien. Je sentis son souffle brûlant sur mes lèvres et mon cœur semballa. Je souris lorsque je lentendis protester en disant quil voulait encore dormir. Il était vraiment trop mignon, mon amour. Je déposais un baiser sur le bout de son nez et il rouvrit les yeux plongeant dans mon regard.

- Bonjour, toi. Murmurais-je en lui souriant avec tendresse effleurant sa joue de mes doigts.

            Il me fixa en silence et je commençais à prendre peur. Je laissai retomber mon bras sur le drap. Il regrettait ce qui sétait passer hier soir. Je fermais les yeux posant mes mains sur son torse pour essayer de le repousser et de méloigner de lui avant de me remettre à pleurer. Il plaqua mes mains sur le matelas me forçant à rester tranquille.

- Où tu cherches à aller comme ça ?

- laisses-moi partir.

- Pourquoi je ferai ça ?

- Parce que tu regrette.

- Doù sors-tu ça ?

- Je vois ça parce que tu ne dis rien

            Il ne me laissa pas le loisir de finir ma phrase que ses lèvres emprisonnèrent les miennes, faisant décoller mon cœur. Quest-ce que ce baiser représentait ? Jétais perdu, je ne le comprenais pas. Il glissa ses bras sous mon dos et me redressa sur ses cuisses. Je sentais sa verge durcir en moi, écartant doucement mes chairs alors que ses mains caressaient mon corps. Ses lèvres se séparèrent des miennes pour aller glisser dans mon cou. Il attrapa le lobe de mon oreille avec ses dents, le caressant du bout de la langue alors quil me serrait dans ses bras avec force.

 

- Dris, dis quelque chose. Le suppliai-je alors que sa main venait demprisonner mon sexe. Ses dents samusèrent à mordre la peau de mon cou me rendant encore plus fou de désir. Je me redressai sur mes genoux libérant un peu sa verge puis redescendis aussitôt la renfonçant en moi. Je me sentais si vide lorsque je ne le sentais pas en moi. Je rejetai la tête en arrière laissant échapper un cri de plaisir alors que ses lèvres ce posèrent sur ma pomme dAdam. Je me cambrai, lui ouvrant toute ma profondeur. Il prit mon visage entre ses mains me faisant comprendre quil voulait que je le regarde. Jouvris les yeux, ils devaient être remplis de plaisir, de désir. Ma respiration était difficile, saccadés, brûlante. Il approcha ses lèvres des miennes, les caressant du bout de la langue augmentant encore plus la chaleur dans mon corps. Il cherchait à me faire perdre la tête. Au moment où je voulus prendre ses lèvres, il se recula, me fixant avec provocation, alors que jen gémissais de frustration.

- Drissil te plait

- Jai adoré te faire lamour. Et je nai quune envie, cest de recommencer. Tu es si désirable. Si bon.

- aah.

            Il mattrapa par les hanches me faisant bouger sur sa verge aussi dur quune barre de fer. Et il me laissa enfin lembrassé. Il aimait jouer avec moi. Et moi comme un con, je ne marchais pas, je courrais. Il devait bien se rire de moi et de ma faiblesse. Je glissai mes bras autour de son cou, rejetant la tête en arrière pour laisser mes gémissements de plaisir franchir la barrière de mes lèvres.

- Drisaaahcest bonaaahtarrête pas.

- Je nen ai pas lintentionhm..cest trop bon dêtre en toi

 

 

 

            Jétais assis sur le rebord de la fenêtre de cette petite chambre dhôtel. Mon regard étais rivé vers le port où notre bateau était ancré. Je me demandais ce que pouvait bien faire Jackson. Javais envie de retourner sur le navire, de le voir, de passer la nuit avec lui en parlant de choses et dautres comme dhabitude. Mais javais peur de le voir avec Adrien. Ce connard. Pourquoi fallait-il quil soit tombé amoureux de cet homme ? Il méritait dêtre heureux, lui ne fera que lenfoncer encore plus dans sa tristesse. Si cela ne tenait que de moi, je laurais rejeté par-dessus bord depuis bien longtemps. Je le détestais. Et je nai quune envie, celle de le tuer. Pourquoi fallait-il quil laime lui ?

            Je me relevai pour quitter mon observatoire et mallonger sur le lit. Il était déjà très tard, il fallait que je dorme et que jarrête de réfléchir. À quoi cela servait-il ? Il ne mécoutera pas. Lamour rendait aveugle et le voile devant ses yeux était vraiment épais.

 

 

 

            Jouvris les yeux pour le regarder. Il était tellement beau là planté sur mon sexe. Il ne facilitait vraiment pas les choses. Jaimais lentendre gémir mon nom alors que je le possédais. Lentendre me demander de continuer, daller plus vite  plus fort. Il aimait ça tout autant que moi.

- Tu aimes Jack ?

- Ouiaaahcest bon, mon amouraaahtu me rends fou.

- Toi aussicest tellement bon de te faire lamourhm.

            Il montait et descendait sur mon sexe alors que jenvoyais mon bassin rejoindre le sien pour menfoncer en lui avec plus de force encore. Il libéra totalement ma verge avant de la ravaler aussitôt. Seigneur, il sait comment faire jouir un homme ! Je ne tardais pas à jouir en lui le serrant avec force contre moi criant de plaisir. Je crois que jai vu des étoiles au moment où jai joui. Ce nétait pas permis de donner autant de plaisir à quelquun. Jessayais tant bien que mal de reprendre mon souffle. Je remarquai quil navait pas encore joui. Il était encore dur. Je le soulevai, le plaquant face contre le matelas. Je lui écartai ses deux belle petites fesses et fit glisser mon gland le long de sa raie, jusquà sa petite rosette. Le faisant gémir de plaisir. Son petit anneau souvrit pour laisser entrer mon sexe en lui. Je posais mes lèvres sur sa nuque en mordillant sa peau.

- Tu en as encore envie ?

- Ouiaah

- Jeje croyais que tu ne voulais pas que je te saute comme une chienne. Murmurais-je à son oreille en enfonçant ma verge en lui.

- Fais-lesaute-moisaute-moi comme ta salope

 

- Hm, arrête, tu mexcites.

            Je lui arrachai un cri de plaisir lorsque je menfonçai en lui dun seul coup, jusquà la garde et lui fis tourner la tête pour pouvoir prendre ses lèvres et lembrasser avec douceur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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