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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

Mardi 9 mars 2 09 /03 /Mars 12:32

 

 

 

CHAPITRE 19 :

 

 

 

            Je le fixais en silence, là étendu sur le lit, le corps en sueur maculé de mon sperme. Ça avait duré encore et encore. Je navais penser quà mon plaisir. Je lavais entendu gémir de douleur mais javais fait la sourde oreille. Je navais pas voulu marrêter parce que cétait tellement bon dêtre en lui. Et il ne mavait pas demandé de cesser. Il y avait encore les traces de larmes sur ses joues, et je sentis mon cœur se serrer lorsque je vis du sang sur ses cuisses. Merde, il avait fait tous ça parce quil maimait. Je lui avais fait tellement de mal et il navait rien dit. Je me sentais si égoïste, si con. Je l’avais traité comme un vulgaire objet sexuel. 

 

            Je savais pourtant quil ne voulait pas que je le prenne de cette façon. Merde, jaurais dû être doux, tendre avec lui. Lui montrer que même si je le prenais par derrière, ça ne changeait rien. Que lon pouvait faire lamour dans cette position aussi. Mais javais laisser parler ma bite.

            Jaurais dû entendre la tristesse dans sa voix lorsquil mavait dit de faire ce que je voulais, il ne le pensait pas. Je suis vraiment un sale petit con.

 

 

            Je ne pouvais pas. J’étais bien incapable de juste me servir de lui. Je n’étais pas aussi insensible. Je devrais peut être cesser cela avant quil ne soit trop tard pour nous deux. Il maimait, je ne pouvais pas lui faire autant de mal.

            Je fis glisser mes doigts le long de sa joue, sa peau était si douce. Comme celle dun enfant. Il était vraiment superbe. Sa peau était halée sans doute à cause de ses longues heures passées sur ce bateau en plein soleil.  Son corps était musclé, ses cheveux étaient doux, et il sentait bon. Merde, quest-ce que jétais en train de faire là ? Je retirai ma main mais continuais de le regarder.

 

 

            Lorsque jouvris les yeux, je le vis allonger à mes côtés. Il semblait perdu dans ses pensées. Il devait penser à Alizé restée au port ou à son frère retenu par Gus. Et jen fus jaloux. Je voulais quil ne pense quà moi, quil ne regarde que moi. Cétait tellement égoïste de penser ainsi. Je ne pensais quà moi.

            Il mavait fait mal cette nuit, mais peu importait parce quavant il mavait fait lamour et il avait été si doux. Cétait la seule chose que je voulais retenir. Il pouvait faire ce quil voulait de mon corps du moment quil restait près de moi. Cétait douloureux parce que ça faisait longtemps mais jallais m’y réhabituer. Il avait aimé me baiser. Il avait pris bien plus de plaisir. Je devais lui donner du plaisir pour quil reste à mes côtés. Pour lui, jétais prêt à redevenir ce que javais cherché à fuir.

            Jallais me coller contre lui pour sentir sa chaleur. Il était tellement perdu dans ses pensés quil navait même pas vu que jétais réveillé. Je caressais son dos avec douceur, mon oreille était contre son torse et lécoutait battre. Je frissonnais lorsque je sentis ses bras se refermer autour de moi, ses doigts se glissaient dans mes cheveux, cétait si bon. Je me sentais si bien là dans ses bras, contre son corps chaud. Javais mal partout, je nallais sans nul doute pas pouvoir marcher de toute la journée mais malgré ça, jétais fou de bonheur.

- A quoi penses-tu, mon amour ? Pourquoi est-ce que je lui posais la question alors que je connaissais parfaitement bien la réponse ? À tout, à tout le monde sauf à moi.

- Je pense à toi. Juste à toi.

 

 

            Je relevai la tête vers lui, étonné. Javais dû mal entendre. Il ne pouvait pas penser à moi. Cétait tout bonnement impossible. Mais son baiser finit de me convaincre. Il était si tendre, sa langue caressait la mienne avec douceur. Il mattira sur lui, mallongeant sur son corps me gardant dans ses bras. Il relâcha mes lèvres déposant un baiser sur mon front, sur mon œil, mon nez, partout où il le pouvait. Cétait tellement agréable. Je ne pouvais mempêcher de sourire comme un con.

- Je suis vraiment désolé. Je ne voulais pas te faire de mal. Je me suis laissé emporter.

- Cétait bon.

- Ne me mens pas. Tu pleurais. Tu avais mal. Même si tu maimes, tu ne dois pas faire ce dont tu nas pas envie.

- jai peur que si je ne te donne pas assez de plaisir, tu partes.

- Tes bête. Tu me tiens par la gorge. Si je veux retrouver mon frère, je suis bien obliger de rester avec toi.

- Ouinonmaisje tai dit que je taiderai sans rien demander en retour.

            Je me défis de sa prise et essayai de me redresser mais je retombai aussi sec sur le matelas dans un cri de douleur. Adrien se redressa une lueur effrayée et soucieuse dans le regard.

- Jacky, quest-ce quil y a ?

- Jacky, cest  nouveau. Cest mignon. Je ne pus mempêcher de lui sourire, en glissant mes doigts sur sa joue. Il sinquiétait pour moi. Par pitié ou parce quil tenait un peu à moi. Je ne savais pas et je men moquais. Pourquoi fallait-il que je sois si faible face à lui ? Je me détestais dêtre comme ça. Je me perdis dans son regard, dans mon passé.

           

           

            « Jai tué la moitié des hommes qui avait posé leurs mains sur moi. Jai regardé leurs sang couler sur le pont du bateau. Jai enfoncé ma lames dans leur cœur et les ai écouté crier en me suppliant de ne pas les tuer. Jai écouté leur dernier souffle. Je les ai regardés se tordre de douleur sans sourciller, sans en éprouver la moindre douleur.  Je lai gardé pour la fin. Cette enculé qui a été le premier à me souiller, je lavais forcé à me regarder tuer ses hommes, les uns après les autres. Cette nuit-là, la lune était pleine et aussi écarlate que le sang qui allait se mêler à leau, rendant cette étendue deau encore plus attirante.

            Cette nuit-là je lavais laissé me prendre une dernière fois. Comme tous les jours, il mavais plaqué à même son bureau, avait arraché mon pantalon pour me pénétrer sans la moindre préparation. Javais serré les dents sous la douleur. Je navais pas crié, jétais habitué, déjà si longtemps que je subissais cela. Chaque coup de reins me déchirait encore plus, je le laissais faire impassible sous les rires et les cris dencouragement des autres pirates. Il a jouit en moi, me balançant toutes ses insultes habituelles. La mer était calme cette nuit-là comme moi lorsque jai attrapé le sabre. Jai vu la crainte dans son regard lorsque je me suis approché de lui, et son cri de douleur à déchiré la nuit lorsque ma lame a tranché ce sexe qui mavait tant de fois souillé. Je ne serais plus sa pute, je se serais plus la pute de personne.

            Je le regardai se tordre de douleur sur le sol comme une vermine, beaucoup moins fier. Je détournai les talons et sortis sur le pont, il criait à ses hommes de me tuer. Et ma lame sest enfoncée dans le cœur du premier qui s’est approché de moi. Je lai fixé droit dans les yeux lorsque ma lame à percer son cœur. Il nas pas crié, il s’est écroulé sans vie. Je voulais quil voit ses fiers pirates tomber sous la lame de celui quils avaient utilisé comme pute. Jenfonçais ma lame en eux comme ils avaient enfoncé leur sexe en moi. Et jy prenais du plaisir. Jétais un monstre, leurs cris de douleur, leurs supplications n’y changeaient rien, je continuais mon massacre sous ses yeux.

            Ils n’y avait plus personne, des dizaines corps reposaient sur le sol, entassés les uns sur les autres. Quel spectacle pathétique. Jentendais les vagues se fracasser contre le navire. Ça navait jamais été aussi calme. Ce que jaime ce bruit. Le vent balayait mon visage. Je fermai les yeux juste une seconde avant den finir avec mon enfance et de reprendre ma vie en main. Jétais maculé de sang, couvert du sang de ces pécheurs. Je retournais dans la cabine. Avec calme, jessuyai ma lame sur mes vêtements, la rendant brillante comme si elle navait jamais ôté la vie. Il était toujours dans la cabine essayant de se redresser. Le grand pirate nétait plus. Il était redevenu un homme ordinaire tremblant devant la lame de la justice. Son regard était rempli de terreur. Il tremblait devant moi alors qu’il venait de me baiser. Je magenouillai devant lui, je navais aucune pitié pour lui, jallais lui ôter la vie comme il mavait ôté mon innocence. Il reculait à chaque fois que je faisais un pas vers lui. Mon corps frissonnait de voir la peur dans son regard et il avait raison de me craindre. Je n’étais pas un gentil garçon bien docile. Je n’avais pas de cœur. Tuer ne me posait aucun problème. Je le regardais se vider de son sang en essayant déchapper à la mort.

- Pourquoi ? Aide moi.

            Je ne répondais pas, le laissant nourrir doucement et dans la douleur. Cétait une belle nuit pour tuer »

 

 

            Je sursautais lorsque je sentis sa main se poser sur ma joue me sortant de mes pensées.    

- Quest-ce qui tarrive ? Tu avais lair ailleurs. Ton regard faisait peur.

- Je te fais peur ? Demandais-je dune voix froide en le dévorant du regard. Tu as raison davoir peur ,Adrien, je suis un monstre.

- Arrêtes tes connerie. Tu nes pas comme ça.

            Je ne répondis rien, que lui dire que je suis faible face à lui, que je suis prêt à tout pour lui. Je me contentais d’afficher à nouveau un sourire hypocrite, c’était la seule chose que j’étais capable de faire en cet instant.

- Quand tu as dit que tu allais me défoncer, tu n’as pas menti. Ça fait vraiment mal.

            Il m’écarta les cuisses pour s’y glisser, j’avais peur. Cétait bien la première fois de ma vie que javais peur à lidée de me faire baiser une nouvelle fois. Je ne pourrais pas supporter une autre pénétration. Pas aussi tôt. Mais je le laissais faire. J’étais incapable de lui dire non. Comme javais été incapable de faire quelque chose lorsque ces hommes me violaient. Je fermais les yeux le laissant faire ce quil voulait de moi. Ses lèvres glissèrent le long de mon corps et je ne pus mempêcher den frémir. Je sursautai de surprise lorsque je sentis sa langue se poser sur ma rosette rougie, blessée.

- Dris, fais pas sa.

- Chut, cest pour te soigner. Après, ça ira mieux, tu verras. Détends-toi.

            Je fis ce qu’il me disait. Je fermais les yeux laissant sa langue soigner mes blessures.  Je laissais échapper un râle de plaisir lorsque ses doigts senroulèrent autour de mon sexe tendu. Cétait tellement bon. Il ne me fallut pas bien longtemps pour jouir sous ses douces caresses. Il se redressa madressant un large sourire.

- Alors, ça va mieux ?

- Cétait bon. Mais je ne peux toujours pas me lever, et jai faim et soif.

- Je vais y aller. Bouge pas. Mais avant je veux savoir à quoi tu penser tout à lheure.

- A la pleine lune. Répondis-je en souriant.

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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