CHAPITRE 12 :
pov Adrien
J’étais descendu dans l’une des hôtels du port. Pour réfléchir à ce qu’il n’avait demandé. Partir avec eux et laissé Alizé ici, seule. De devoir me plier à ses ordres. Je m’en avais pas la
moindre envi, je pouvais me barré, il nous avait donné assez d’argent pour tenir un bon moment. Mais on ce ferait à nouveau dépouillé. Et puis c’est de l’argent sale, l’argent d’un pirate. Je
n’en veux pas.
J’étais appuyer contre la fenêtre regardant le port, de la je voyais très bien le bateau de Jackson. Ce fier bateau. Je me demandé ce qu’il pouvait bien faire à cette instant. Il devait encore
être entrain de contemplé la mer. Est-ce qu’il pensait à moi en cet instant. Est-ce qu’en regardant cette étendu bleu, il pensait à moi. À mes yeux. Non, cette homme et amoureux de l’océan, il ne
peut pas le possédait alors il me veut moi. Je ne suis que la représentation humaine de ce qu’es l’océan à ses yeux. Cette idée et douloureuse. Je veux qu’il me regard moi, pas cette eau fade
sans le moindre intérêt. Je chassai vite cette idée de ma tête.
Je remarquai quelques chose qui m’étonna le bateau il ne porté aucun nom, pourtant les pirates donnaient toujours un nom à leur bateau, c’était une marque d’appartenance, de fierté, pourquoi pas
lui ? Celui de Jackson était sans nul doute le plus imposant le plus majestueux de ce port et tous ce que j’avais purent croiser. Et je me posé toujours autant de question sur la façon donc il
avait put acquérir ce bateau.
Je me retournai vers Alizé qui était allongé sur le lit, recouverte d’un simple drap. Je lui avais fait l’amour jusqu’à ce qu’elle en tombe d’épuisement. Je m’asseyais à coté d’elle, faisant
glisser mes doigts sur sa joue.
Je repensé à ce qui c’étais passé ce matin, j’avais eux envi de l’avoir, de le prendre. Je n’avais pas compris cette tristesse dans son regard lorsque je lui avais demandé de ce retourné. S’il
m’aime il aurait dû être heureux de s’offrir à moi. Alizé elle aime ça elle. Peut être que c’étais sa première fois. Peut être que je n’aurais pas du y aller aussi franco. Mais je ne peu pas lui
faire l’amour, je ne l’aime pas. Je ne peu pas laissé Alizé seul. Mais je dois aussi retrouver mon frère je sais plus ou j’en suis ce connard à trouvé la bonne carte à joué pour me foutre le
cerveau en vrac.
Je fermai les yeux et je le revis sur ce lit, totalement offrait à moi et sa m’existé j’aurais put prendre mon pied dans son cul. Si seulement ce connard de Milan n’était pas entré. Je revois
Jackson dans ses bras et je sens la colère monté en moi.
pov Jack
Je m’allongeai à côté d’Alizé, l’embrassant avec douceur. Le choix était difficile. L’abandonné la pour retrouvé Shawn, je les voulais tout les deux. Et ce connard m’imposé ce choix et je le
déteste encore plus pour ça. Je le maudisse de cette souffrance qu’il m’infligé. Et j’espère qu’il souffre autant que moi. Que lui aussi m’arrive pas à dormir tiraillait par ses remord. Seul dans
sa cabine.
J’étais allongé sur mon lit, à vrai dire je n’en avais pas bougé depuis qu’Adrien avait quitté le bateau. Je n’avais même pas la force
de me lever pour observer la mer. Elle me rappelé bien trop ses yeux bleu, si froid, sa me faisait que ne rendre bien plus triste.
Le bateau avait repris le large après trois jours comme cela avait été prévu. Et aucune ne trace de mon amour. Il avait préférait rester cette femme et moi je me
retrouvé à nouveau seul.
Je décidai de sortir du lit, je devais me reprendre j’avais un bateau à dirigé. Je ne vais pas m’arrête de vivre à cause d’un mec. Je vais reprendre ma vie d’avant,
tourné la page, l’oublier.
Je me changeai et sorti de la cabine respirant l’aire frais de la mer. Je montai sur le pont supérieur pour rejoindre Mila qui était à la barre. Il ne m’avait pas
entendu arriver le regard rivé vers la proue. Ses yeux étaient remplis de haine et de colère. Que pouvait-il bien voir pour avoir un tel regard qui était si doux et tendre à l’accoutumé. Je
dirigeai mon regard vers là où ce porté le sien et je sentis mon cœur éclaté, je cru que j’allais m’écroulé, j’avais l’impression que le sol ce dérobé sous mes pieds. Je me retenais de justesse à
la balustrade essayant de reprendre mes esprits. Qu’es ce qu’il m’arrive à la fin ? Il est entrain de me rendre totalement fou. Il était à l’avant du bateau fixant le port que nous venions de
quitter. Il était venu mais à contre cœur. Ce n’es pas avec moi qu’il à envi d’être mais avec cette fille. Qu’à telle de plus que moi ? Je peux le rendre cent fois, non infiniment plus heureux
quelle ne le pourra jamais. Parce que je l’aime comme personne d’autre ne pourra l’aimé un jour. Pourquoi ne le voit-il pas ? Mon cœur me faisait si mal que j’avais l’impression qu’aux mains
venais de m’enfoncé la cage thoracique pour venir prendre mon cœur et le serrer jusqu’à le faire éclaté.
Je repris tant bien que mal mes esprits pour rejoindre Milan posant ma tête sur son épaule essayant de me pas regarder cette homme qui me fait tant de mal.
- Milan va te reposer tu en à bien besoin.
- Jack nous aurions dû le laisser là bas avec sa catin. Il te fait du mal.
- milan s’il te plait arrête. Répondis-je dans un murmure alors que la pression autour de mon cœur ce fit plus forte encore. Que la douleur cesse. Elle devient
insupportable. Elle n’a de cesse de me consumé. C’est la première fois que je ressens autre chose que de l’indifférence, où de la haine. C’est peut être douloureux. Mais la douleur nous prouve
chaque jour que nous somme vivant. C’est une douleur atroce qui ne fait nourrir un peu plus à chaque seconde où je le vois. Mais lorsqu’il n’est plus là je cesse d’existé.
- tu l’aime temps que sa ? Je perçois de la tristesse dans sa voix. Je glissai mes bras autour de sa taille le serrant dans mes bras.
- oui. J’ai l’impression de devenir totalement fou.
- s’il te fait du mal je me charge moi-même de le jetais par-dessus bord.
Je ne pus m’empêché de rire, ce que je peu l’aimé ce petit mec. Je lui ébouriffai les cheveux avec douceur.
- merci de t’inquiété pour moi. C’est pourtant moi qui avais promit à ton père de prendre soin de toi.
- et tu le fait très bien. Pour moi tu es comme mon frère et je refuse de resté la à te regardait te faire souffrir. Je te jure que s’il te fait encore pleurait je
le tue.
- aller va dormir un peu. Tu as l’aire vraiment épuisé. On a un long voyage qui nous attend. On va à la recherche de l’ile introuvable. Je récupère le frère de notre
diva, je zigouille Gus le rouge et en récupère le magot.
- je suis ravis de voire que tu n’oublie pas tes habitude de pirate.
- qu’es tu veux en ce refait pas à mon âge.
Je l’embrassai sur la joue avant qu’il me lâche la barre pour rejoindre sa cabine. Je pris la barre et reporta mon attention sur mon beau et mystérieux ténébreux. Je
fermai les yeux aussi forts que je le pouvais murmurant dans un souffle.
- regarde moi, regarde moi, je t’en supplie je suis là regarde moi.
Lorsque j’ouvrir de nouveau les yeux c’est pour voir son regard froid et haineux poser sur moi et je ne voulais plus qu’il me regarde pas de cette façon. Je l’avais
obligé à choisir entre son entre les deux choses qu’il aimait le plus au monde. J’étais un monstre si j’étais à sa place je me détesterais aussi. Il fini par tourné les talons pour disparaitre de
mon champs de vision. Je suis un être méprisable. Je vais l’aidé à retrouvé son frère peut-être qu’il me pardonnera enfin d’être si égoïste, de vouloir le gardais pour moi seul.
Toute la semaine il n’avait fait que n’ignorer pas un regard, pas une parole. Il passait à côté de moi comme si je n’existé pas. Et à chaque fois c’était une
nouvelle entaille dans mon cœur. J’en souffre mais je comprenais sa rancœur à mon égard alors je le laisser faire, je ne disais rien, je ne tenté pas de lui parlais où de l’approché. Je ne
pouvais pas le forcé à m’aimé. Je me contenté de le regardais de loin, de rêvé de lui, de ses bras, de choses que je ne pourrais jamais avoir. Il erré comme une âme en peine sur le bateau. Je le
regardais incapable de lui rendre le sourire, impuissant face à sa peine. Je m’avais rien à lui offrir à part cet amour qui me détruit.
- dans deux semaine en arrive au port de Lali pour ravitaillé en essayera de trouvé des infos sur Gus le rouge il à du passé par ici. On y restera deux jours pour ce
détendre un peu.
- oui capitaine.
Je quittais mon équipage pour rejoindre ma cabine. J’étais épuisé. Je voulais cesser de réfléchir à touts ses choses donc je ne trouve pas les réponses. Je n’en dors
même plus la nuit. Je suis entrain de devenir totalement fou. A-t-il seulement conscience de ce qu’il a fait maitre en moi et de ce qu’il et entrain de briser.
Je laissai tomber mon manteau sur le sol. L’aire fraîche du large me fit frémir. Les nuits était froide en pleine mer. Je commençai à défaire ma chemise lorsque je
senti des mains ce poser sur les miennes les écartant pour prendre la suite et finir de détaché les boutons. Je fermai les yeux essayant de dissimulé mes tremblements, mon trouble. Ses douces
mains caressaient ma peau la brûlant à chaque caresse. Il fit remonté ses mains de mon pubis jusqu’à mes épaules faisant glissé la chemise le long de mes bras alors que les siens s’enroulent
autour de mon bassin et que son corps bouillon venait ce coller au mien. Je sentais son cœur battre contre mon dos, sa respiration caressé ma nuque, son odeur embaumé la pièce, il sentait si bon,
comme un bouquet de fleure qui ne demandé qu’à être cueilli. Mais cela n’étais interdit.
- Dris. Appelais-je dans un souffle à peine perceptible.
- chut.
hé hé sa commence plutôt bien tout sa. non je ne suis pas cruel, ni sadique, c'est pas vrai^^
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