CHAPITRE 11 :
Lorsque je me réveillai il était toujours allonger à mes côté dormant à point fermé. Il était tellement beau, je n’osais pas m’approché
de lui, de le touché. J’avais peur de son rejet. Pourtant je voulais tellement pouvoir me blottir contre lui, qu’il me serre dans ses bras pour me rassuré.
Cette nuit j’avais fait un cauchemar horrible, ou il ce riait de moi en disant qu’il n’en avait que faire de moi, qu’il c’était juste servi de moi. Je pleurais alors
qu’il déversé sa haine sur moi. Je n’étais calmé en sentant une présence contre moi. Une présence si rassurante. Es ce que c’étais lui. Je veux le croire. Comme en dit « l’espoir fait vivre »
ais-je le droit à cette espoir ?
Je m’approchai de lui, m’arrêtant avant que mon corps ne touche le mien. Je fermai les yeux humant l’odeur de sa peau qui me rendait totalement fou. Je retraçai les
courbe de son visage sans le touché. Je savais qu’un rejet de sa part suffirait à me brisé alors je préférais éviter toute situation qui pourrait conduire à ce résulta.
J’aime tellement le regardait dormir. Le sentir si prêt de moi, c’étais déjà magnifique. Je reculai lorsque je le vis s’agité signe qu’il n’allait pas tarder à ce
réveillé. Qu’es ce que je fais ? Il ne voudrait peut-être pas que je sois à ses côté lors de son réveille.
Il ouvrir les yeux, plongeant son regard dans le mien. Je n’osais pas bouger, ni parlais. Mon cœur bâté à cent à l’heure. Attendant qu’il me rassure où qu’il me
détruise. Mon cœur faillit exploser lorsqu’il me souriait. Seigneur qu’il m’achève tout de suite.
- je crois qu’après ce que tu m’as fait hier soir, un baiser s’impose.
- je ne te demande rien. Répondis-je en baissant la tête. Tu as déjà passé la nuit ici. C’est déjà suffisant. Tu peu y allé si tu veux. Je ne t’en voudrais
pas.
J’attendais de le voire partir. Je sursautai lorsque je senti ses doigt attrapé mon menton pour m’obligé à relevé la tête. Il était si proche de moi que je sentais
son souffle caressé mes lèvres. Je fermai les yeux m’abandonnant à lui, à ses bras si puissant et rassurant.
- si je le dit c’est que j’en ai envi. Chuchota-t-il contre mes lèvres avant de les ravir avec douceur me faisant tremblais de plaisir. Il m’allongea sur le lit ce
glissant entre mes cuisses et je le laissai faire. Je perdis mes doigts dans ses doux cheveux, le serrant contre moi. Je sentais son érection matinale frotter contre la mienne. Je glissai mes
mains jusqu’à ses fesses et je le senti ce crispé à ce contact alors je les retirai relâchant ses lèvres.
- je suis désolé Adrien. Je ne voulais pas.
- chut arrête de parlais.
Il prit à nouveau mes lèvres avec un peu plus de fougue, alors qu’il me retira mon pantalon. Il me caressait les cuisses et les fesses me montrant son envi de moi.
Il me désir et sa me rend heureux. Il lâcha mes lèvres pour allez me chuchoté à l’oreille d’une voix enroué par le désir.
- j’ai envi de toi, de me sentir en toi.
- j’en ai envi aussi. Répondis-je en cherchant ses lèvres.
- alors retourne-toi.
Je le fis sans protester. J’aurais voulu qu’il me prenne de face que je puis le voire. Dans cette position que ce n’était que de la baise. Après tout pour lui ce
n’était sans nul doute que de la baise.
Je fermai les yeux m’offrant à celui que j’aime malgré ma peur. Je l’aimais alors je supporterais la douleur comme je l’avais si souvent fait. Sa faisait tout de
même deux ans que je ne m’étais pas fait prendre.
Je sentis ses main ce posé sur mes hanche et son gland humide frotter contre mon entré. Il n’allait même pas me préparé. Il voulait juste me sauté. Où peut être
qu’il ne l’as jamais fait. Il ne savait peut-être pas comment si prendre. Je le senti forcé mon entré alors que la porte de la cabine s’ouvrir.
- capitaine on arrive au…port.
Milan venait d’entré dans la cabine sans frappé comme à son habitude. Je tournai la tête vers lui, il était pétrifié sur place, tétanisé par la scène que je lui
offrais. Moi à quatre pattes sur le lit, les jambes écartées. Le sexe de Adrien à mon entré. Je voyais la colère l’envahir. Il était le seul à savoir ce que j’avais enduré durant plus de 7 ans.
Je le vis avançait vers nous d’un pas déterminé, il fusillait Adrien du regard alors que ce dernier le fixait avec incompréhension. Il choppa le brun par le bras le jetant avec force loin de moi.
Adrien allait rencontrer le bureau, c’est qu’il a de la force mon Milan. Dans ses moment la il m’impressionnait vraiment.
- toi connard tu ne le touche pas. Jack pourquoi tu fais ça ? T’as plus besoin.
Il venait me serré dans ses bras avec force. Je fermai les yeux me laissant aller à cette douce étreinte.
- milan, je l’aime. Je voulais qu’il me fasse l’amour.
- mais lui il voulait juste te baisé. Il ne t’aime pas, il l’a dit il te déteste.
- je le sais Milan. Je le dégouté, mais laisse moi juste y croire. Je sais qu’il voulait juste me baiser mais c’est déjà ça.
- je ne veux pas que tu souffre à cause de lui.
- je souffre dés qu’il set loin de moi. S’il te plait Milan va préparer l’entré au port. On reparlera de tout ca plus tard.
Adrien nous fixé en silence, il n’avait rien entendu à la conversation. Elle avait été murmurée dans un souffle douloureux. C’est notre secret à Milan et à moi. Il
ce leva fusillant Adrien du regard avant de sortir de la cabine. Je me levai à mon tour et alla enlacer mon amour. Collant mon corps nu au sien. Posant mes lèvres sur les siennes murmurent tout
contre.
- ont arrive au port nos chemin ce sépare donc ici.
- tu…tu veux plus m’aidé à retrouvé mon frère ?
- tu es si changeant Adrien. Je ne sais pas sur quel pied danser. Un jour tu me rejette, en me balançant toute ta haine et ton dégout à la gueule. Et le jour d’après
tu viens pour me baiser. Si tu veux que je t’aide je te l’ai dit, je le ferais. Alors cesse de joué les girouettes. On va s’arrêté au port et tu va débarquer. Le bateau repart dans trois jours
avec ou sans toi. Si tu ne viens pas alors nos route ce sépareront. Où bien tu serras là et je ne tolérerais plus la moindre rébellion, tu te plieras à mes ordres. On ira là ou je dirais que
l’ont va. Et surtout Alizé reste dans ce port.
-je…
- chut. Je te laisse trois jours prend le temps de réfléchir. Et de choisir la meilleure solution pour tout le monde. D’accord.
- oui.
Je l’embrassai à nouveau allant joué avec sa langue avant de me détaché de lui pour allez me rhabillé et de quitté la cabine, le laissant seul. Priant pour ne pas
avoir fait d’erreur. Faite qu’il choisit de resté à bord avec moi.
alors je ne l'ai pas relu mais alors pas du tout.
Enfin, j'ai adoré l'inetrvention de Milan *_* je crois que je vais bien l'aimer ce p'tit gars (si tu continus à lui donner un p'tit rôle... y a intérêt :D moi menacer !? Jamais voyons...). Et j'aime bien aussi la relation qu'il a avec Jack, le fait qu'il partage tout les deux le secret ^^ mais c'est surtout qu'en faite j'aime toujours beaucoup les seconds des capitaines pirates ^^
Bon bah voilà ^^ désolé pour le retard mais en ce moment je dois beaucoup réviser T_T c'est pas cool... mais bon j'ai passé le plus lourd donc je devrais avoir plus de temps maintenant ^^
Bon a+ Miss
bon courage pour tes révision. bisous.
ce qui est fou, c'est que Jackson est incroyablement lucide et sait parfaitement qu'il se sert de lui et qu'il ne veut que le baiser !
Un délice ^^
MDR, les feux de l'amour version pirate yaoi. Je me demande si Milan en pince pour Jackson, c'est pas forcément nécessaire, j'aime bien les relations sincères basées uniquement sur l'amitié. Une histoire à lui ? Sa rencontre avec Jakcson ? ^^