vous savaiez quoi ? non je si sur que non. et bien c'et le centième article que je poste depuis la création de mon blog. déjà 100 sa fait bizarre. mais je suis
heureuse que mes fic vous plaise. pour fêtait sa laisser plein de com's. gros bisous.
CHAPITRE 24 :
Je fus réveillé par de douces caresses sur mon torse. J’ouvris les yeux pour voir le visage souriant
de mon amour. Je frémissai de plaisir en sentant ses lèvres sur les miennes. Deux semaines à présent que l’on avait fait l’amour pour la première fois et j’étais l’homme le plus heureux au monde.
Je me sentais si bien dans ses bras même si je savais que ça n’allait pas durer bien longtemps. Il posa sa tête sur mon torse et je fis glisser mes doigts dans ses cheveux. Je me sentais si bien
là avec lui. J’avais l’impression que l’on formait un vrai couple. Je déposai un baiser sur son crâne avant de refermer les yeux me laissant aller à
cette douce torpeur. Je n’aurais jamais pensé pouvoir connaitre un tel bonheur.
- Tu as bien dormi ? Demandait-il dans un
souffle, en embrassant ma peau.
- Hm, à merveille. Et toi ?
- J’ai pensé toute la nuit à Shawn. Tu crois
qu’ils seront encore au port quand on va arriver ?
- on devrait bientôt arriver mais je ne sais pas
s’ils seront encore là. Dris tu…tu veux bien m’embrassé.
Je me sentais con de demander cela, mais j’en avais tellement envie. Il se redressa pour me regarder
avec ce petit regard moqueur que je détestais tant, je voulus dire quelque chose mais ses lèvres se posèrent sur les miennes m’empêchant de parler. Je le fis s’allonger sur le lit prenant place
sur lui allant chercher sa langue, je fis glisser mes mains sur sa peau douce, je sentis son sexe se dresser sous mes fesses. Signe de son désir pour moi. Sa peau était si douce, je l’aimais
tellement. J’avais peur de le voir m’échapper. Je ne voulais pas le perdre.
- Bébé…j’ai envie…de…de te faire
l’amour.
- Non. Répondit-il avec froideur en me
repoussant. Je lui adressais un pâle sourire. Je connaissais très bien la réponse, pourquoi avais-je posé la question ? Je savais que pour lui je n’étais qu’un trou qu’il pouvait prendre à
volonté, jamais je ne pourrais connaitre le plaisir de faire l’amour à l’homme que j’aime.
Je posai mon front contre le sien fermant les yeux pour qu’il ne puisse voir la douleur qui serrait
mon cœur. Mes doigts se refermèrent autour de son sexe pour le caresser.
- ce n’est pas grave…je le sais…je sais que…je
m’y suis habitué depuis longtemps…
- De quoi parles-tu ?
- Rien. J’ai envie que tu me baises comme une
pute.
Je m’empalai sur son sexe serrant les dents sous la douleur. Il gémit de plaisir alors que j’avais
mal. Mais seul son plaisir avait de l’importance. Je n’étais bon qu’à être pénétré à être baiser. Je bougeais avec force sur lui, je sentis son sexe dur glissait en moi. Qu’est-ce que l’on
ressentait lorsque l’on faisait l’amour à celui que l’on aime ? Je ne le saurais jamais parce que je ne pourrais jamais lui faire l’amour. Je libérais sa verge pour me retourner dos à lui et
m’empaler à nouveau sur lui, je pleurais alors que le plaisir se répandait dans mon corps. Je fis entrer deux doigts en moi, c’était douloureux mais je voulais lui donner encore plus de
plaisir.
- Aaaah…putain…Jacky…c’est trop bon…aaah…je vais
jouir…laisse moi jouir en toi…aaah…
Il se tendit et son sperme brûlant m’envahi au moment où la porte de la cabine s’ouvrit sur Milan. Il
se figea net sous la surprise et l’espace d’une seconde je crus voir de la tristesse dans son regard.
pov Milan
- on arrive bientôt au port.
- Très bien, je vais prévenir le
capitaine.
Deux semaines déjà que ce petit con restait toujours collé à Jack, deux semaines que l’on n’avait pas
pu passer cinq minutes tout les deux. Il me manquait tellement. Je voulais juste que l’on fasse comme avant, des fois, la nuit, on avait l’habitude de s’allonger sur le pont pour regarder les
étoiles en parlant de choses et d’autre. Ces moments de complicité me manquaient tellement. Je ne voulais pas perdre mon meilleur ami. Et pourtant je ne peux que le regarder s’éloigner sur cette
mer qu’il ne connait pas encore et qui le fascinait tant. J’aurais voulu être cette mer capable de lui donner ce qu’il cherchait tant mais je n’ai pas réussi.
J’étais devant la porte de la cabine, j’avais peur d’entrer, peur de le voir dans ses bras. J’avais
dû supporter cette vision tellement de fois. Je finis par trouver le courage d’ouvrir la porte. Je n’aurais jamais dû entrer. Ils étaient là sur le lit, Jackson sur le bassin d’Adrien, le sexe de
ce dernier en lui et je sentis mon cœur se serrer. Parce qu’il pleurait. Ce connard faisait pleurer mon Jackson et pourtant il me souriait avec douceur en essuyant ses larmes. Je lui souris, que
pouvais-je faire d’autre ? À part être à ses côtés et le soutenir. Il se leva, il était tellement beau, là, nu dans la lumière du matin. J’aimerais tant pourvoir découvrir ce corps plus encore
mais je ne le pourrai jamais. Il m’enlaça avec douceur posant ses lèvres sur les miennes.
- Qu’y a-t-il blondinet ?
- On arrive bientôt au port. Il n’y a aucune
trace de son bateau.
- il a dû reprendre le large.
- Tu devrais te rhabiller.
- Désolé.
- Non, c’est moi qui dois apprendre à frapper
avant d’entrer maintenant .je ne veux pas déranger.
- Tu ne déranges jamais, beauté.
Il me serra encore plus fort contre lui. Je fermai les yeux, me laissant aller à cette étreinte. Je
sentais qu’on le tirait loin de moi et lorsque j’ouvris les yeux, ce fut pour voir le regard meurtrier d’Adrien.
- Tu le touches pas, il
m’appartient.
Je voulus dire quelque chose mais Jackson l’avait déjà plaqué avec force contre le mur le fixant avec
colère.
- Je n’appartiens à personne.
- JE CROYAIS QUE TU M’AIMAIS ALORS POURQUOI
ES-TU AUSSI PROCHE DE LUI ?
- TU VEUX QUOI ? QUE JE SOMBRE ENCORE PLUS DANS
CET AMOUR QUI ME FAIT DÉJÀ TANT DE MAL? IL EST MON MEILLEUR AMI, ACCEPTE LE OU FOUT LE CAMP.
Adrien l’attrapa par la nuque pour prendre ses lèvres avec force enfonçant sa langue entre ses lèvres
et Jackson lâcha prise, se calmant aussitôt. Il finissait toujours par gagner. Peut importait si Jackson tenait à moi, il oubliait que j’existais lorsqu’il était dans ses bras. Je ne pourrai
jamais gagnais face à lui. Je sortis de la cabine laissant couler mes larmes. C’était si douloureux de les voir aussi proche.
pov Jackson
Je ne supportais pas qu’il me traite comme sa chose mais c’était tellement faible façe à lui. Il suffit qu’il m’embrasse
pour que je lui pardonne tout. Même si cela devait faire du mal à mon meilleur ami. Depuis quand étais-je si faible ? Je le repoussai avec douceur et m’éloignai de lui pour aller m’habiller. Je
sortis de la cabine sans rien dire. Je trouvais Milan qui fixait la mer en silence, même si je ne le voyais que de dos je savais qu’il avait mal. À cause de moi. Je l’avais délaissé durant ses
dernier jours. Je ne pouvais pas l’abandonner. Il était mon meilleur ami, mon frère. Si Adrien ne pouvait pas comprendre ça, il ne pourra jamais me comprendre. J’enroulais mes bras autour de lui,
je le sentais se tendre à ce contact.
- N’écoute pas ce qu’il dit, Milan. Je ne lui
appartiens pas.
- Ton cœur est à lui. Il le sait et il en
joue.
- Je suis tellement faible face à lui, que
dois-je faire, Milan ? Il va me quitter et ça me fait tellement peur. Je fais tout ce que je peux pour le retenir mais tout ça est vain. Je ferais bien mieux de renoncer et de reprendre ma vie
d’avant.
- Non. Tu as enfin découvert ce qu’est l’amour
alors s’il te plait, ne renonce pas, bas-toi pour ce bonheur.
- Et toi, quand vas tu te battre pour ton
bonheur ?
Il se retourna vers moi posant son front contre le mien et me fixa en souriant.
- Mon bonheur, c’est de te voir heureux parce
que tu es ce que j’aime le plus au monde.
Ses mots étaient si doux, il était le seul à me comprendre, le seul à m’aimer. La seule personne
importante dans ma vie. Je lui devais tellement.
- Trouve le bonheur Milan. Ne perd pas ton temps
avec un mec inutile comme moi.
Je m’éloignai de lui sans lui laisser le temps de répondre. Je n’apporte que le malheur autour de
moi. Je ne fais que le faire souffrir. Quel genre d’ami suis-je donc ? Quel genre d’homme suis-je donc ? J’aurais dû mourir lorsque les vagues m’ont emporté, j’aurais dû mourir.
- Que ça saute! Cessez de flemmarder, on doit
arriver au port avant que le soleil ne soit au zénith. Alors on s’active, bande de sales pirates.
J’étais un pirate, un homme froid qui n’éprouvait pas les moindres sentiments. Alors je devais le
rester. Le reste n’était que douleur.
j'arrive pas à mettre les couleur
pour les^pov sa m'énerve.
bientôt l'arrivé du nouveau personnage mystére.^^
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