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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

un amour de pirate ( terminé)

Mercredi 31 mars 3 31 /03 /Mars 08:45

CHAPITRE 27 :

 

 

 

 

 

J’avais fini par me réveiller, ils ni étaient pas allé doucement ses chien. J’avais bien du mal à me redresser tout mon corps me faisait souffrir. Mais il fallait que je regagne le bateau pour les prévenir. Lorsque j’arrivais au bateau la première chose que je vis fut Jackson dans les bras d’Adrien, ce dernier lui sourirait avant de l’embrasser avec douceur. Il ne s’inquiétait vraiment pas pour moi. Déjà des heures que j’avais disparurent et il ne me semblait pas l’avoir remarqué. Je m’approchais de lui tant bien que mal alors qu’il continuait de le regardait avec amour.

- Il faut partir tout de suite.

Il ce retournais enfin vers moi me regardant étonnais, paniquer. Il s’approchait de moi posant sa main sur ma joue douloureuse. Je voyais de l’inquiétude et de la colère dans son regard.

- Qui est-ce qui ta fait ça Milan ?

-Il faut partir…je l’ai vu…il était là…j’ai rien put faire…il la prit avec lui…je lui ai dit de trouvait un moyen pour que l’ont puisse le suivre.

- milan. Calme-toi. De qui parles-tu ?

J’essayais de reprendre mon souffle, de calmer l’angoisse qui me faisait trembler.

- Je…j’ai vu Shawn…

Je n’avais rien eu le temps de rajouter quoi que ce soit que Adrien ne choppais par le col et me soulevais du sol. Il était terrifiant, il me faisait peur.

- Tu as vu mon frère et tu l’as laisser partir. Tu n’es vraiment qu’un pauvre con.

Je le voyais lever le poing pour me frapper, je fermais les yeux attendant le coup. Mais il me relâchait et en ouvrant les yeux je vis que Jackson venait de l’arrêtait et il me prit dans ses bras, lui jetant un regard noir.

- Je t’interdis de lui parlais comme ça.

- Ce con as…

- Va te calmer dans ta cabine Adrien. Il ni es pour rien. Tu as vue dans quel état il est. Tu crois qu’il la juste regardait partir sans rien faire. C’est toi le con dans l’histoire. Je t’interdis de lever la main sur lui.

 

Adrien détournais les talons pour aller dans sa cabine en claquant la porte avec force. J’étais heureux qu’il prenne ainsi ma défense même si ce n’était que de la pitié. Mais peu importe je le laissais me porter dans ses bras jusqu’à ma cabine. Je me laissais aller à cette douce étreinte. Il me déposait sur le lit, m’arrachant à cette étreinte si rassurante. Je le laissais me retirer mes vêtements, puis il s’écartait de moi pour allait chercher un linge humide et revenait vers moi, prenant place à mes côtés. Et il entreprenait de me nettoyer du sang et de la poussière qui maculait mon corps. Ses gestes étaient doux et tendre me faisant trembler. Il faisait glisser ses doigts sur ma joue avec douceur me donnant envie de pleurais.

- Qui est-ce qui t’as fait ça Milan ?

- Il était la…il la enlever devant mes yeux alors que ses hommes me rouais de coups.

Je voyais son regard s’assombrir. Et j’en connaissais la raison. Je me redressais l’attrapant par la nuque pour attirait ses lèvres contre les miennes. Je ne pouvais plus me taire, je devais le lui dire. Je ne pouvais plus garder tout cela pour moi.

Je le relâchais me laissant tomber sur le matelas. Il me fixait en silence. La haine avait laissé la place à la surprise dans son regard. Je savais que je n’avais aucune chance. Mais je voulais le lui dire pour pouvoir passer à autre chose. Je posais à nouveau mes lèvres sur les siennes.

- Je t’aime Jack mais pas comme un ami. Pas comme un frère. Où peut être que c’était une amitié un peu trop forte. Tu aime Adrien je le sais et je veux t’on bonheur rien de plus. J’avais juste besoin de te le dire. Ce secret était bien trop lourd à porter. Mais maintenant sa va mieux. Et puis il y a un garçon qui attend que je le retrouve.

Je fermais les yeux me laissant porter par le sommeil. Sa avait été si dur de lui dire tout sa.

 

 

 

Je n’arrivais pas à y croire. Il venait de m’embrasser et de me dire qu’il était amoureux de moi. J’avais bien du mal à le croire. Je le regardais dormir, il était vraiment mignon, je ne m’en étais pas vraiment rendu compte avant. Je me pensé pas qu’il peut éprouvais plus que de l’amitié pour moi. Je l’avais toujours vu comme un frère. Je m’allongeais à côté de lui le serrant dans mes bras. Je ne pouvais pas lui rendre cet amour. Mais je resterais toujours à ses côtés.

- Et alors toi aussi tu l’aime ? Demandait Adrien d’une voix froide.

- Tu connais très bien la réponse.

- J’n’aurais pas du réagir de la sort avec lui. Sa ma mit hors de moi de savoir qu’il n’avait pas pu le retenir. Mais tu avais raison. Que pouvait-il faire tout seul.

- Il lui a dit de trouvait une solution pour que l’on puisse le retrouvait. Je vais rester avec lui cette nuit. C’est mon ami et il a besoin de moi.

- Ne lui donne pas de faux espoir.

- je sais que trop bien à quel point un amour non partager peut faire souffrir. Et je ne veux pas le faire souffrir.

Il s’approchait de moi, je fermais les yeux attendant de savoir ce qu’il allait faire. Ses doigts effleuraient ma joue alors que ses lèvres ce posaient sur mes lèvres. J’ouvrais à nouveau les yeux pour le regardait.

- N’oublie pas que tu m’appartiens.

- Je ne l’oublie pas.

Il m’embrassait une dernière fois avant de quittait la cabine alors que je m’endormais serrant mon meilleur ami dans mes bras. Demain il faudra que je lui parle. Son amitié et la chose la plus importante que je possède. Je refuse de la perdre.

 

 

 

Lorsque je me réveillais il m’été plus allongeait à mes côtés. Le bateau était en mouvement, en avaient reprit le large. Je me levais pour aller à sa recherche. Je le trouvais à l’avant du bateau regardant le large, il semblait tellement mélancolique. Que lui arrivait-il ? Je ne reconnaissais plus mon meilleur ami. Je glissais mes bras autour de lui le serrant dans mes bras. Il posa ses mains sur mes bras posant sa tête sur mon épaule.

- Il est magnifique tu sais. Il lui ressemble tout en étant tellement différent. Quand je l’ai serré dans mes bras c’était tellement fort. J’avais envie de me plus le quittait et ils me l’ont arrachaient. Comme il t’a arraché à moi. Je veux encore pouvoir le serrer dans mes bras

- On va le retrouvait Milan. Je te le promets. Je n’aime pas te voire triste. Et puis j’ai un conte à réglé avec ce chien de Gus le rouge pour ce qu’il a fait. Pour ceux qu’il t’a faits.

- Merci Jackson. Je suis heureux de t’avoir comme ami.

- Moi aussi je suis heureux de t’avoir à mes côtés.

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Dimanche 28 mars 7 28 /03 /Mars 16:38

CHAPITRE 26 :

 

 

 

Je sentais l’ange resserrait son étreinte autour de mon corps sans me faire mal. Alors que je me mettais à tremblais de peur. J’étais terrorisé. Pourquoi m’avait-il retrouvé aussi vite. Il ce mettait à parler dans un murmure pour que je sois le seul à l’entendre. Sa voix était réconfortante. Je voulais oublier tout le reste.

- Quand tu reprends la mer trouve un moyen pour que l’on puisse te suivre. Ton frère te cherche.

- Adrien !

- Oui. Je te le prenais. Je ne t’abandonnerais pas. Mais la je ne peux rien faire. Sois fort s’il te plait. Fait moi confiance.

- Je te fais confiance. Parce que tu as un ange. Tu es mon ange.

- Je ne suis pas un ange.

- Dit à Adrien que je l’aime fort. Et qu’il ne manque.

- Je lui dirais. Garde espoir.

 

Je sentais qu’m’en arrachais à cette douce étreinte par ses bras que je détestais tant. Je ne voulais pas le quitter. Je voulais restais entourer de ses belles ailes banches. Je criais, un cri venant du cœur lorsque je les vis le jetait à terre pour le rouer coups. Encore et encore.

- C’est Milan le second de cette pute de Jackson.

- Occupaient-vous de lui. Je ramène Shawn. Ne le tuer pas. Je n’ai pas besoin que ce petit con n’envois son chien de garde. Sa petite pute de capitaine.

Je me débattais autant que je le pouvais pour échapper à sa prise. Je voulais l’aider. Il le frappait à cause de moi. C’était à cause de moi qu’il souffrait. Je l’appelais de toutes mes force, les suppliant d’arrêter mais en vain. Il relevait la tête vers moi me regardant en souriant. Je devais rester fort. Je devais attendre qu’il revienne me cherchait. Je savais qu’il viendra. J’allais continuais de lutter parce qu’à présent il y avait une autre personne que je voulais revoir.

 

 

Il me portait jusqu’au bateau, j’avais cessé de me débattre à quoi bon ? Il ne me lâcherait jamais je lui appartenais. On arrivait au bateau au voile noir que je détestais tant. Aussi sombre que son capitaine. Il me jetait sur le lit de sa cabine et je me mis à tremblais de peur. Je savais comment sa allais finir.

Il prenait place sur mon bassin, son haleine fétide me donnais envie de vomir. Je ne me voulais pas qu’il fasse disparaitre la sensation de son corps contre le mien.

- Combien de fois je t’ai dit de resté avec moi. Ne parle pas à l’inconnu et surtout pas au chien de garde de Jackson. Tu m’appartiens. Je suis le seul à pouvoir te touchais.

- je ne faisais rien de mal.

- Il avait ses mains sur toi. Il te serrait dans ses bras. Tu va devoir être très gentil pour que je te pardonne.

- Non je ne veux pas. C’est mal.

- Ce n’est pas toi qui décide.

 

Si longtemps que ce cauchemar durer sue je ne savais plus vraiment quand il avait débuté. Pourtant chaque nuit c’était la même chose. Chaque nuit je revivais cette maudite journée. Sa avait pourtant débutait comme une journée normal. On était allé en foret pour aller observer la nature. On était revenu alerté par les cris.

 

 

Flash back.

 

 

 

Les cris étaient si fort, j

- Reste la ne bouge pas. Tu ne sors d

- Non reste avec moi. J’ai peur.

- Soit fort je reviens te cherchait.

Je le regardais partir loin de moi et la peur m’empêchait de bouger. J’avais tellement peur. Les cris de douleur me déchiraient les tympans. Les ombres étaient encore plus inquiétantes que les ombres de mon enfance. Combien de minutes son passé sans qu’il ne revienne. Je ne savais pas, je ne savais plus rien. La peur me faisait tout oublier. Je voulais revoir mon frère.

- Vient me cherché. Suppliais-je dans un murmure.

Je me sentais arracher de ma cachette par deux bras puissant pour faire face à un homme laid et repoussant qui me fixait avec un regard perverti. Je me débâter pour lui échapper mais en vain.

- Le capitaine va adore ça. Un mignon petit puceau. Il va adorer le baiser. Et en pourra en profiter après. Sa faisait bien longtemps.

J’avais beau crier appelais à l’aide personne ne venais. L’homme ne jetait sur le sol en s’adressant à un autre homme.

- J’ai trouvais ça dans les buissons. Une belle petite poupée.

- NOOOOOOOOOOOOOON SHAWN.

Je me retournais pour voire mon frère et mes parents prisonniers de ses hommes. Je voulais partir mais une main puissante me retenais et je me retrouvais face à cette homme, si grand, si imposant, si terrifiant. Il me fixait en silence avec une lueur étrange dans le regard.

- Tu veux sauver ta famille. Alors tu va venir avec moi.

- NON LAISSAIT LE.

- Ta gueule toi le capitaine parle.

L’un de ses monstres envoyait un coup de pied dans le visage de mon frère. Et je cessai de me débattre. Je ne voulais pas qu’il lui fasse du mal.

- Prenais-le. Et laissais nous tranquille.

Non, papa maman. S’il vous plait ne m’abandonner pas. Seul Adrien essayer de les empêchaient, il criait de douleur, tout comme moi.

- Je viendrais te chercher Shawn je te jure que même si je dois y passé ma vie je te retrouverais alors attend moi….

Il me put finir sa phrase qu’ils ce mirent à le frapper avec plus de force encore. J’avais beau pleurer ce cauchemar ne prenait pas fin. Personne ne venais apaiser mes pleures. Et le cauchemar ne c’était jamais arrêtait. Il m’avait violé encore et encore.

 

 

avais tellement peur. On voyait les flammes, le village était en feu. Notre maison était en feu. Mon frère arrêtait sa course me poussant derrière un gros rochet.ici sous aucun prétexte.
Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Mercredi 17 mars 3 17 /03 /Mars 09:29

et voila l'arrivé du nouveau personnage. dite moi ce que vous en penser.




CHAPITRE 25:

 

            Cétait une très belle journée aujourdhui mais, encore une fois, je ne pouvais en profiter. Depuis combien de temps navais-je pas passé une journée agréable, à rire, à mamuser, à faire ce que font les enfants ordinaires ? Je n’avais que 15 ans mais jai déjà tout perdu de mon enfance.

 

            Cela faisait déjà plusieurs jours que lon était arrivés à port blanc. Un des plus infectes repaires de pirates. Et il me gardait à ses côtés jours et nuits. Il métait impossible de faire le moindre geste sans quil ne soit au courant. Jétais surveillé à chaque seconde de ma vie. Cette vie que je détestais tant. Je haïssais mes parents de mavoir abandonné entre les bras de cet homme infect juste pour garder leurs biens. Ils mavaient échangé contre leurs liberté, contre leur confort. Je voulais juste le revoir. Quil me serre dans ses bras. Quil me rassure.

 

 

            Je marchais dans les rues du port. Javais enfin réussi à lui échapper. Il allait me rattraper, il finissait toujours par me rattraper. Il allait me punir encore sil me retrouvait. Je naimais pas lorsquil me touchait, lorsquil me faisait toutes ces choses que je ne voulais pas faire. Je devais lui échapper le plus longtemps possible.

 

            Je marrêtais lorsque je vis un jeune homme blond assis sur la fontaine le regard perdu au loin. Je le trouvais beau. Incroyablement beau. Le vent faisait voler ses cheveux, il ne voyait même pas toutes ses femmes qui le dévorait du regard. Le soleil faisait brillait sa peau, il ressemblait à un ange de lumière. Sans que je ne puisse me retenir, mes jambes me portèrent vers lui et je m’assis à ses côtés.

- Pourquoi as-tu lair si triste ?

            Il se retourna vers moi et je fus frappé par la beauté de ses yeux. Lun était bleu, lautre vert, locéan et les plaines de verdure. Leau et la terre, deux belle choses réunies pour en former une encore plus belle. Je me mis à rougir et détournai la tête, gêné par cette vision.

- je suis vraiment désolé. Je naurais pas dû vous poser cette question ni vous importuner de la sorte.

            Je voulus me lever pour partir mais il retint, je me retournai vers lui, étonné. Il me regarda en souriant et il était tellement beau. Je navais jamais vu personne sourire dune façon aussi belle. Pourquoi mon cœur battait-il aussi vite ? Le contact de sa main sur ma peau minfligeait une douce brûlure. Cétait tellement différent de lorsquil me touchait. Sa main était douce, son étreinte tendre.

- Tu peux continuer de me dire « tu ».

            Sa voix était si douce, chantante. Il détourna la tête me privant de la vue de ses deux magnifiques joyaux. Il semblait tellement triste que je ne pouvais mempêcher dêtre triste pour lui. Quest-ce qui pouvait le rendre aussi mélancolique ? Il respira un grand coup renversant la tête en arrière pour regarder le ciel. Javais envie de faire glisser mes doigts sur son cou offert.

- Lhomme que jaime depuis des années, que je croyais incapable de tomber amoureuxil est amoureux dun autre. Pas de moi.

- Ah.

            Jétais un peu triste de le savoir amoureux de quelquun. De savoir quil en souffrait. Je voulais le prendre dans mes bras pour le consoler mais je n’y arrivai pas. Sans doute de peur de le voire me repousser.

- Et est-ce que cela est douloureux ?

- Oui, cest vraiment douloureux. Comme si ton cœur était prisonnier dune cage trop petite qui nous lacérait et,, à chaque seconde, cette cage devient encore plus petite, jusquà ce que notre cœur ne puisse plus le supporter et explose. Surtout de les voir ensembles, de les voire sembrasser, de lentendre dire quil laime alors que ce connard ne fait que se servir de lui. Ce matin, je les ai surpris en train de faire lamour et ça m’a fait tellement de mal.

- Pourquoi ne rien lui dire ?

- Parce que je ne veux pas le perdre parce que je suis lâche. Et tu veux savoir le pire dans tout cela ? Cest que je me plains alors que ce nest pas du tout mon genre de faire ça.

            Il posa à nouveau ses yeux sur moi en me souriant et je sentis mon cœur repartir de plus belle. Je ne savais pas ce quil marrivait mis je savais que ça me faisait peur.

- Et toi, alors pourquoi te ballades-tu seul ? Ne devrais-tu pas être avec tes parents ?

- Je nai plus de parents. Ils mont abandonné.

- Moi, je naurais jamais abandonné un petit mec aussi mignon que toi.

- Merci. Répondis-je en rougissant encore plus.

- Tu vis seul ?

- Non jessaye déchapper à quelquun.

- Tu veux men parler.

            Non, il ne fallait pas quil le sache. Je ne voulais pas lui en parler où il allait partir loin de moi. Je baissai la tête pour essayer de refouler mes larmes. Il glissa son index sous mon menton pour me faire relever la tête alors que les larmes coulaient sur mes joues. À ma grande surprise, il mattirait contre son corps puissant. Jamais je ne métais senti aussi bien quà cet instant, dans les bras de cet inconnu. La chaleur de son corps se répandait dans mon corps gelé par ses longues nuits de souffrance. Je ne voulais plus quitter ses bras si rassurants. Javais limpression que le monde avait cessé davancer. Que la terre avait achevé sa course folle autour du soleil. Que plus rien nexistait à par lui et cette étreinte. Je me sentis revivre, je me sentais fort.

- Shawn.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Dimanche 14 mars 7 14 /03 /Mars 19:33
vous savaiez quoi ? non je si sur que non. et bien c'et le centième article que je poste depuis la création de mon blog. déjà 100 sa fait bizarre. mais je suis heureuse que mes fic vous plaise. pour fêtait sa laisser plein de com's. gros bisous.

 

 

 

 

 

CHAPITRE 24 :

 

 

 

            Je fus réveillé par de douces caresses sur mon torse. J’ouvris les yeux pour voir le visage souriant de mon amour. Je frémissai de plaisir en sentant ses lèvres sur les miennes. Deux semaines à présent que l’on avait fait l’amour pour la première fois et j’étais l’homme le plus heureux au monde. Je me sentais si bien dans ses bras même si je savais que ça n’allait pas durer bien longtemps. Il posa sa tête sur mon torse et je fis glisser mes doigts dans ses cheveux. Je me sentais si bien là avec lui. J’avais l’impression que l’on formait un vrai couple.  Je déposai un baiser sur son crâne avant de refermer les yeux me laissant aller à cette douce torpeur. Je n’aurais jamais pensé pouvoir connaitre un tel bonheur.

- Tu as bien dormi ? Demandait-il dans un souffle, en embrassant ma peau.

- Hm, à merveille. Et toi ?

- J’ai pensé toute la nuit à Shawn. Tu crois qu’ils seront encore au port quand on va arriver ?

- on devrait bientôt arriver mais je ne sais pas s’ils seront encore là. Dris tu…tu veux bien m’embrassé.

            Je me sentais con de demander cela, mais j’en avais tellement envie. Il se redressa pour me regarder avec ce petit regard moqueur que je détestais tant, je voulus dire quelque chose mais ses lèvres se posèrent sur les miennes m’empêchant de parler. Je le fis s’allonger sur le lit prenant place sur lui allant chercher sa langue, je fis glisser mes mains sur sa peau douce, je sentis son sexe se dresser sous mes fesses. Signe de son désir pour moi. Sa peau était si douce, je l’aimais tellement. J’avais peur de le voir m’échapper. Je ne voulais pas le perdre.

- Bébé…j’ai envie…de…de te faire l’amour.

- Non. Répondit-il avec froideur en me repoussant. Je lui adressais un pâle sourire. Je connaissais très bien la réponse, pourquoi avais-je posé la question ? Je savais que pour lui je n’étais qu’un trou qu’il pouvait prendre à volonté, jamais je ne pourrais connaitre le plaisir de faire l’amour à l’homme que j’aime.

            Je posai mon front contre le sien fermant les yeux pour qu’il ne puisse voir la douleur qui serrait mon cœur. Mes doigts se refermèrent autour de son sexe pour le caresser.

- ce n’est pas grave…je le sais…je sais que…je m’y suis habitué depuis longtemps…

- De quoi parles-tu ?

- Rien. J’ai envie que tu me baises comme une pute.

            Je m’empalai sur son sexe serrant les dents sous la douleur. Il gémit de plaisir alors que j’avais mal. Mais seul son plaisir avait de l’importance. Je n’étais bon qu’à être pénétré à être baiser. Je bougeais avec force sur lui, je sentis son sexe dur glissait en moi. Qu’est-ce que l’on ressentait lorsque l’on faisait l’amour à celui que l’on aime ? Je ne le saurais jamais parce que je ne pourrais jamais lui faire l’amour. Je libérais sa verge pour me retourner dos à lui et m’empaler à nouveau sur lui, je pleurais alors que le plaisir se répandait dans mon corps. Je fis entrer deux doigts en moi, c’était douloureux mais je voulais lui donner encore plus de plaisir.

- Aaaah…putain…Jacky…c’est trop bon…aaah…je vais jouir…laisse moi jouir en toi…aaah…

            Il se tendit et son sperme brûlant m’envahi au moment où la porte de la cabine s’ouvrit sur Milan. Il se figea net sous la surprise et l’espace d’une seconde je crus voir de la tristesse dans son regard.

 



pov Milan

-
on arrive bientôt au port.

- Très bien, je vais prévenir le capitaine.

            Deux semaines déjà que ce petit con restait toujours collé à Jack, deux semaines que l’on n’avait pas pu passer cinq minutes tout les deux. Il me manquait tellement. Je voulais juste que l’on fasse comme avant, des fois, la nuit, on avait l’habitude de s’allonger sur le pont pour regarder les étoiles en parlant de choses et d’autre. Ces moments de complicité me manquaient tellement. Je ne voulais pas perdre mon meilleur ami. Et pourtant je ne peux que le regarder s’éloigner sur cette mer qu’il ne connait pas encore et qui le fascinait tant. J’aurais voulu être cette mer capable de lui donner ce qu’il cherchait tant mais je n’ai pas réussi.

            J’étais devant la porte de la cabine, j’avais peur d’entrer, peur de le voir dans ses bras. J’avais dû supporter cette vision tellement de fois. Je finis par trouver le courage d’ouvrir la porte. Je n’aurais jamais dû entrer. Ils étaient là sur le lit, Jackson sur le bassin d’Adrien, le sexe de ce dernier en lui et je sentis mon cœur se serrer. Parce qu’il pleurait. Ce connard faisait pleurer mon Jackson et pourtant il me souriait avec douceur en essuyant ses larmes. Je lui souris, que pouvais-je faire d’autre ? À part être à ses côtés et le soutenir. Il se leva, il était tellement beau, là, nu dans la lumière du matin. J’aimerais tant pourvoir découvrir ce corps plus encore mais je ne le pourrai jamais. Il m’enlaça avec douceur posant ses lèvres sur les miennes.

- Qu’y a-t-il blondinet ?

- On arrive bientôt au port. Il n’y a aucune trace de son bateau.

- il a dû reprendre le large.

- Tu devrais te rhabiller.

- Désolé.

- Non, c’est moi qui dois apprendre à frapper avant d’entrer maintenant .je ne veux pas déranger.

- Tu ne déranges jamais, beauté.

            Il me serra encore plus fort contre lui. Je fermai les yeux, me laissant aller à cette étreinte. Je sentais qu’on le tirait loin de moi et lorsque j’ouvris les yeux, ce fut pour voir le regard meurtrier d’Adrien.

- Tu le touches pas, il m’appartient.

            Je voulus dire quelque chose mais Jackson l’avait déjà plaqué avec force contre le mur le fixant avec colère.

- Je n’appartiens à personne.

- JE CROYAIS QUE TU M’AIMAIS ALORS POURQUOI ES-TU AUSSI PROCHE DE LUI ?

- TU VEUX QUOI ? QUE JE SOMBRE ENCORE PLUS DANS CET AMOUR QUI ME FAIT DÉJÀ TANT DE MAL?  IL EST MON MEILLEUR AMI, ACCEPTE LE OU FOUT LE CAMP.

            Adrien l’attrapa par la nuque pour prendre ses lèvres avec force enfonçant sa langue entre ses lèvres et Jackson lâcha prise, se calmant aussitôt. Il finissait toujours par gagner. Peut importait si Jackson tenait à moi, il oubliait que j’existais lorsqu’il était dans ses bras. Je ne pourrai jamais gagnais face à lui. Je sortis de la cabine laissant couler mes larmes. C’était si douloureux de les voir aussi proche.

 

 

pov Jackson

           
Je ne supportais pas qu’il me traite comme sa chose mais c’était tellement faible façe à lui. Il suffit qu’il m’embrasse pour que je lui pardonne tout. Même si cela devait faire du mal à mon meilleur ami. Depuis quand étais-je si faible ? Je le repoussai avec douceur et m’éloignai de lui pour aller m’habiller. Je sortis de la cabine sans rien dire. Je trouvais Milan qui fixait la mer en silence, même si je ne le voyais que de dos je savais qu’il avait mal. À cause de moi. Je l’avais délaissé durant ses dernier jours. Je ne pouvais pas l’abandonner. Il était mon meilleur ami, mon frère. Si Adrien ne pouvait pas comprendre ça, il ne pourra jamais me comprendre. J’enroulais mes bras autour de lui, je le sentais se tendre à ce contact.

- N’écoute pas ce qu’il dit, Milan. Je ne lui appartiens pas.

- Ton cœur est à lui. Il le sait et il en joue.

- Je suis tellement faible face à lui, que dois-je faire, Milan ? Il va me quitter et ça me fait tellement peur. Je fais tout ce que je peux pour le retenir mais tout ça est vain. Je ferais bien mieux de renoncer et de reprendre ma vie d’avant.

- Non. Tu as enfin découvert ce qu’est l’amour alors s’il te plait, ne renonce pas, bas-toi pour ce bonheur.

- Et toi, quand vas tu te battre pour ton bonheur ?

            Il se retourna vers moi posant son front contre le mien et me fixa en souriant.

- Mon bonheur, c’est de te voir heureux parce que tu es ce que j’aime le plus au monde.

            Ses mots étaient si doux, il était le seul à me comprendre, le seul à m’aimer. La seule personne importante dans ma vie. Je lui devais tellement.

- Trouve le bonheur Milan. Ne perd pas ton temps avec un mec inutile comme moi.

            Je m’éloignai de lui sans lui laisser le temps de répondre. Je n’apporte que le malheur autour de moi. Je ne fais que le faire souffrir. Quel genre d’ami suis-je donc ? Quel genre d’homme suis-je donc ? J’aurais dû mourir lorsque les vagues m’ont emporté, j’aurais dû mourir.

- Que ça saute! Cessez de flemmarder, on doit arriver au port avant que le soleil ne soit au zénith. Alors on s’active, bande de sales pirates.

            J’étais un pirate, un homme froid qui n’éprouvait pas les moindres sentiments. Alors je devais le rester. Le reste n’était que douleur.

 

 

 

 

 

  j'arrive pas à mettre les couleur pour les^pov sa m'énerve.

 

 

 bientôt l'arrivé du nouveau personnage mystére.^^




Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Dimanche 14 mars 7 14 /03 /Mars 19:30

juste pour vous parce que je vous adore je vous met deux nouveau chapitre d'un amour de pirate.^^
et un grand merci à Lilly qui as corriger. bisous à toutes.



CHAPITRE 23 :

 

 

 

 

            On était aux milieux de tous ses pirates pour le déjeuner. Ce n’était pas l’endroit où je me sentais le mieux mais bon Jackson, lui, semblait rayonnant, il n’arrêtait pas de rire, de sourire et je ne pouvais faire autrement que de le trouver beau. Et ça m’énervait, je pris congé sans qu’il le remarque et allais dans ma cabine. J’avais besoin d’être un peu seul. Pour pouvoir réfléchir à ce que je ressentais pour lui. Je ne regrettais pas d’avoir fait l’amour avec lui, ça avait été fantastique. Mais je ne l’aimais pas. J’avais dû laisser Alizé seule à ce port rempli de pirate. Je lui en voulais beaucoup de m’avoir imposer cela. Je le détestais autant qu’il m’attirait. Je m’en voulais de lui avoir fait mal, cette nuit, je n’arrêtais pas d’y penser et ça me terrorisait. J’ai fini par m’endormir à bout de force.

 

 

                Lorsque je me réveillais, il était déjà tard. Je m’étais surpris à espéré qu’il soit à mes côtés, qu’il me serre dans ses bras, qu’il me regarde avec son regard empli d’amour. Mais j’étais seul dans cette cabine. Je me levais pour quitter la pièce et rejoignis sa cabine. Il était sur le balcon, vêtu d’une simple chemise qui lui arrivait juste en bas des fesses laissant apparaitre ses belles jambes. Il était vraiment magnifique. Il regardait encore cette mer qu’il affectionnait tant. La trouvait-il plus intéressante que moi ? L’aimait-il plus qu’il ne m’aimait ? Je m’approchais de lui en silence ne m’arrêtant que lorsque mon corps était quasiment collé au sien. Je posai mes mains à côté des siennes et mon menton sur son épaule. Il sentait tellement bon. Cette odeur était si enivrante.

- Pourquoi ne m’as-tu pas rejoint ?

- J’ai pensé que tu avais besoin d’être seul, de réfléchir à tout cela.

            Je déposai mes lèvres dans sa nuque, alors que je faisais glisser ma main entre ses deux cuisses. Son corps m’excitait trop, j’avais envie de lui, je voulais à nouveau pouvoir me retrouver en lui. Je lui mordillais le lobe de l’oreille alors que l’un de mes doigts caressait son entrée. J’attirai son bassin en arrière, lui faisant écarter les cuisses, je me laissais tombais tomber à genoux derrière lui. Je n’avais jamais fait cela mais avec lui, j’en avais envie, je voulais qu’il y prenne du plaisir. Je passai ma langue sur sa petite fleur de chair. Je savais à ses frisons et ses gémissements qu’il aimait ce que je lui faisais. Je fis glisser ma langue jusqu’à ses bourses avant de retourner embrasser ses globes de chair. Je fermai les yeux, ses gémissement étaient si excitants qu’il me faisait bander dur. J’avais envie de le pénétrer là tout de suite. Je me redressais collant mon bassin au sien pour lui faire sentir mon envie de lui.

- j’ai tellement envie de toi.

- Alors vas-y, baise moi.

 

 

 

            Je fermai les yeux en attendant qu’il me baise comme la veille. J’avais aimé ce qu’il venait juste de me faire. Jamais on ne m’avait fait une telle chose mais je ne devais pas oublier que je n’étais que sa chose. Il se servait juste de moi pour se vider. Je fus surpris lorsqu’il me retourna et me souleva pour m’assoir sur la rambarde. Je m’accrochai à lui de peur de tomber dans cette étendue qui me terrorisait tant.

- J’ai bien l’intention de te faire l’amour juste au dessus de cette mer que tu aimes tant. Alors accroche-toi bien parce que je ne te laisserais pas la rejoindre. Tu es à moi.

- Oui.

            Je m’accrochai avec plus de force à lui alors qu’il prenait mes lèvres avec douceur me faisant trembler de désir, d’amour. Nos langues jouaient l’une avec l’autre, se caressant, se cherchant, dansant ensembles. Il m’écarta encore plus les cuisses et je lâchai ses lèvres criant de plaisir lorsque son sexe pénétra en moi, c’était si bon, il était tellement brûlant, si gros, il me remplissait totalement. Il se mit à bouger doucement pour ne pas me faire de mal. Il me rendait fou, jamais je n’aurais cru que ça puisse être si bon d’avoir un homme en moi. Ça n’avais été que douleur. Je le serrais encore plus fort contre moi, enfonçant mon visage dans son coup criant de plaisir. Il me rendait totalement fou. Je l’aimais tellement.

- Je t’aime…je t’aime tellement…fais-moi tien…encore et encore…

- J’aime être en toi…tu es si serré, tellement brulant…tu me serres tant…aaah…c’est bon…

            Il bougeait avec douceur en moi, chaque va-et-vient me donnait un peu plus encore. C’était si bon de le sentir aussi gros et dur en moi, preuve du plaisir que je lui donnais. Je me cambrais sous le plaisir lui offrant toute ma profondeur, seul ses bras me retenaient, m’empêchant de disparaitre dans les flots. C’était une sensation tellement excitante,

- J’adore t’entendre crier de plaisir. Crie plus fort.

- Plus fort…prends…aaah…prends-moi plus fort…aaah…Dris…

- Je ne veux pas que tu tombes.

- Vas…y…aaah…c’est excitant…cette sensation de tomber…de planer…prends-moi plus fort…aaah…

            Il accéléra la cadence de ses va-et-vient, mes fesses glissaient de la rambarde : chaque coup de reins m’envoyait un peu plus dans le vide. Je lâchais prise sous la puissance de ses assauts. Il enroula ses bras autour de moi me serrant avec force contre lui et mes lèvres furent à nouveau prisonnières des siennes dans un baiser fougueux et tendre à la fois.

- Je ne te laisserais pas tomber, Pirate.

- Pour…aaaah…quoi…aaah …pourquoi ?

- Parce que je tiens à toi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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