CHAPITRE 13 :
pov Adrien
J’avais du laissait Alizé au port. Elle avait compris mon choix même s’il avait était le plus difficile qu’il n’avait été demandé de faire. Tout ca à cause de ce connard de pirate. J’avais
rejoint le bateau au tout dernier moment le regardant le port et ma chère et tendre. Un pirate m’avais enlevé mon frère un autre venait de m’enlever celle que j’aime. Je ressens tellement de
haine à son encontre. Je le déteste.
Je sentais un regard haineux posait sur moi et du coin de l’œil je pus voire Milan qui ne fixait avec un regard des plus meurtrier. Je vis Jackson le rejoindre ils parlaient en me regardant mais
je n’entendais pas le contenu de leur conversation. Je vis Jackson sourire à Milan lui il s’en foutait, lui il ne souffrait pas. Il était d’un égoïsme. Je reportai mon attention sur le large.
Je fini tout de même par me retourné vers lui, lui jetant un regard plus glacial que les vents polaire. Je vis de la douleur dans son regard. Souffre t-il autant que moi ? Non je veux qu’il
souffre encore plus. Je détournai les talons pour rejoindre ma cabine je ne voulais plus voire sa sale tronche.
Je n’évertué à l’évité le plus possible, à chaque fois que je passé à côté de lui je ne le regardé pas, je ne lui parlais même pas. Je l’observé de loin alors qu’il était perdu dans la
contemplation de l’océan son regard débordé de tristesse. J’espère que mon indifférence le blesse. Qu’il en souffre.
Je ne le comprends pas en revenant sur ce bateau j’ai accepté d’obéir à tout ce qu’il ne demanderait alors pourquoi ne fait-il rien ? Pourquoi ne me demande t-il rien ? À quoi joue t-il ? Il
passait ses journée à la barre, où à étudier des carte, où encore à regardait la mer. Comme s’il essayer de la sonder. Que cherché t-il dans ses profondeur ?
Il était entrain de parlais à ses hommes alors que je l’observer encore de loin. Il semblerait que nous arriveront au port dés demain matin et qu’il en profiterait pour recherché des infos sur
Gus le Rouge. Je le vis regagner sa cabine. Et je le suivis entrant à sa suite sans faire de bruit. Il commença à détaché sa chemise je ne sais pas ce qui ne prit mais je m’approchai de lui
collant mon torse à son dos, je le sentis ce figé à ce contact. Je retirai ses mains et entreprit de détaché moi-même les boutons de sa chemise. J’avais envi de sexe et il était là alors autant
me servir de ce que j’ai sous la main. Après tout il adore ça. Je nouai mes bras autour de son torse collant mon sexe gorgé d’excitation contre ses fesses que je désiré tant pénétrer, je voulais
lui faire perdre son arrogance, perdre de sa superbe, le faire souffrir comme il me fait souffrir. Je le sentais tremblé entre mes bras. Je caressais son ventre du bout des doigts le fessant
tremblé encore plus.
- Dris…
Sa voix n’était qu’un murmure à peine audible. J’avais l’impression qu’il allait ce briser entre mes bras, qu’il allait s’écroulé à cette instant même si je ne voyais pas son visage j’étais sur
qu’il était aux bords des larmes. Mais je n’allais pas avoir pitié de lui, je n’étais venu que pour une seul chose faire passé ma frustration.
- chut. Soufflais-je à son oreille.
Je le fis avancé vers le lit le retournant avant de le jetais sur le lit me plaçant sur son bassin emprisonnant ses mains des miennes pour me pas qu’il cache son visage blesser au bord des
larmes. Cette vue me réjouis au plus haut point. Je me penchai vers lui plus je me rapproché de son visage et plus ses tremblement était violent. C’est moi qui le mets dans cet état ? Mes lèvres
frôlaient sa joue, j’entendais son souffle ce faire plus rapide et irrégulier et je me pus retenir un sourire alors que je pris le lobe de son oreille entre mes dents le faisant gémir doucement,
je pressai plus fort mon bassin contre le sien et cette fois si son gémissement fut bien plus fort. Je fis remonté mes lèvres le long de sa joue e frôla les siennes il avait fermé les yeux et
avait serré les poings. Il semblait au bord de la rupture. Je venais de gagner sur lui juste avec quelques caresse. Il était tellement faible. Tellement pathétique. Je le déteste je le déteste
tant pourquoi ? Pourquoi à t’il fait ça ? Je le déteste.
- pourquoi ? Pourquoi m’avoir forcé à choisir ? Tu n’es qu’un monstre Jackson. Je te déteste.
pov Jack
- c’est trop dangereux pour elles…ont va arriver dans un port remplis de pirate…c’est trop dangereux pour une jeune femme. Si j’aurais
put je l’aurais gardais à bord…je suis désolé.
- ne ment pas. Tu la déteste. Tu es jaloux d’elle.
- je suis désolé répondis-je dans un murmure en détournant la tête pour caché la tristesse qui devait être plus que visible dans mon regard. J’avais tellement envi
de pleurais.
Il prit mon menton entre ses doigts avec fermeté me forçant à affronté son regard emplis de haine et de rage. Il ne fessait mal mais je me voulais rien faire
paraitre. Il me rend tellement faible.
- j’ai beaucoup de mal à croire que ce soit toi le capitaine de ce bateau. Tu ne semble pas avoir ce qu’il faut dans le pantalon pour diriger ce bateau. Tu n’as même
pas le courage de m’imposé ta propre volonté. D’agir comme un pirate. Tu es si pathétique Jackson.
- s’il te plait sort d’ici. Si c’est juste pour me rabaisser alors tu ma rien à faire ici. Je n’ai jamais forcé qui que ce soit à faire quelque chose contre sa
volonté. Je suis peux être un monstre mais il y à des limite. Sort d’ici tout de suite.
Je réussi à détourné à nouveau la tête. Je veux qu’il parte qu’il cesse de me faire souffrir. Pourquoi à t-il fallut que je le rencontre.
- je ne sais pas quoi pensé. Tu es si détestable et à la fois si…je n’arrive pas à te comprendre et sa m’énerve vraiment. Regarde-moi Jackson.
Je plongeai mon regard dans le sien essayant de retenir mes larmes. Dans ses yeux il y avait un mélange de haine et de désir mêlé. Moi non plus je ne le comprends
pas et c’est tellement frustrant. Il ce mit à ondulé du bassin contre moi me faisant sentir son excitation. Je me pus empêcher un gémissement de franchir mes lèvres. Pourquoi me rend t-il aussi
fou avec juste un simple contact. Je suis entrain de me perdre. Je voulais tellement qu’il m’embrasse, qu’il me serre dans ses bras. Qu’il me caresse. Mais j’étais incapable de faire le premier
pas. Même si ses mains m’entravé pas les mien je n’aurais pas put. Je suis si faible face à lui. Son visage ce rapproché doucement du mien mon cœur s’emballa, je fermai les yeux ne sentant plus
que son souffle caressé mes lèvres. Je le laisse faire ce qu’il veut de moi.
- j’ai terriblement envi Jackson.
- fait ce que tu vaux. Répondis-je en essayant de capturé ses lèvres, elles me manquent tant, je veux encore les sentir contre les miens, je veux encore l’embrassé.
Mais je le sentis s’éloigner de moi, lorsque j’ouvrir les yeux je le vit agenouillé devant moi il avait retiré sa chemise exposant son torse musclé et si désirable. J’avais tellement envi de le
touché, de faire glisser mess doigt sur sa peau halé. D’embrassé chaque parcelle de sa peau, pouvoir à nouveau en savourais le goût. Il prit ma main la posant sur son torse la faisant glisser
jusqu’à son sexe. Je compris alors ce qu’il voulait. Il voulait juste te vidé les couilles et il allait ce servir de moi pour ça et le pire dans tout sa c’est que j’allais le laissais faire. Il
ce moqué royalement de ce que je pouvais ressentir. Je voulais juste qu’il m’embrasse qu’il me caresse, qu’il me fasse l’amour. Mais lui il voulait juste ce servir de ma bouche. Parce que je
l’aimer j’allais le laissé faire comme tout ses hommes avant lui. J’avais été une pute pour pouvoir navigué, à présent je vais devenir une pute pour l’homme que j’aime. N’es ce pas ça le plus
dégradant de tout ?
Je détachai son pantalon essayant de dissimulé les tremblements incessant de mes mains. Je ressemblé à un enfant apeuré, il doit me trouvé encore plus pathétique. Je
pris son sexe en main le caressant avec douceur, je n’oser même pas le regardais. Je me redressai pour arriver à la hauteur de son pénis. Je le caressé du bout de la langue. Je gardais les yeux
fermé pour imaginé qu’il me fixait avec amour et pas juste avec désir. J’avalai sa verge jusqu’à la bourse alors qu’il ce mit à gémir de plaisir me posant à aller plus vite en agrippant mes
cheveux, il me fessait mal, il était si violent. Mais je ne disais rien, je voulais qu’il prenne du plaisir, qu’il devienne accro à moi comme je l’étais de lui. Et pour sa j’étais près à faire
m’importe quoi. Ce que je peux ne détester lorsque je pense comme ça. Je jouais avec ma langue pour le faire gémir, il semblait adoré ce que je suis entrain de faire. Alors j’y mettais encore
plus de fougue. Je relâchai sa verge pour aller embrassé ses testicules, les mordillant, les suçant alors que mes doigts s’occuper de son sexe. Il tira sur mes cheveux pour me forcé à reprendre
son sexe en bouche. J’avais l’impression que j’allais m’étouffé il y aller tellement fort et moi je tenté tant bien que mal de retenir mes larmes. J’ai si mal. J’ai pourtant subis tellement plus
humiliant que ce qu’il est entrain de me faire subir. Mais venant de l’homme que j’aime c’est incroyablement blessant et douloureux.
Il s’enfonça dans ma bouche aussi profond qu’il le put et m’obligea à avalé sa semence.
Je restai figé sa verge toujours en moi, alors qu’il essayer de reprendre son souffle. Cette fois ci je ni avais pris aucun plaisir. Je n’avais était qu’un objet sexuel que l’ont utilisé pour ce
vidé, sans ce penser à ce que je ressens. Il ce retira d’entre mes lèvres et s’écroula sur le lit à côté de moi. Je restai allongé sur le lit, incapable de faire le moindre geste. Sa respiration
ce fit plus lente, et il fini par s’endormir me laissant seul avec ma douleur.
- Alizé.
Ce fut le nom de la blond qui franchi ses lèvres, brisant à nouveau mon cœur. Je m’écroulai sur le lit dos à lui, me recroquevillent sur moi-même autant que je le
plus, pleurant comme je n’avais encore jamais pleurais. Sa fessait si mal. Je voulais que cela cesse. Tout et de la faute à cet amour qui ne serra jamais réciproque. Je voudrais m’arraché le cœur
pour me plus jamais avoir à souffrir.
Ses mots étaient si douloureux comme une nouvelle lame qu’il venait d’enfoncé dans mon cœur déjà si meurtri. Pourquoi ? Parce
que je suis si jaloux d’elle qui peu t’avoir. Je la déteste tant. Je suis tellement égoïste. C’est toi qui ne transforme en monstre Adrien. L’avoir tout contre moi me rendais totalement fou, il
le voyait et il en joué.
je sens que je vais me faire détesté. je vais aller me caché
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