ce chapitre et un peu noir. relation violente. donc si ce genre ne vous plait pas ne lisait pas. cette fic et bassé sur une relation assez violente entre les deux personnage. voila pour les
autre bonne lecture.
CHAPITRE 2 :
« J’avais toujours ce morceau de papier, je l’avais gardais durant des jours, je l’avais lu si souvent que je le connaissais par cœur. Chaque jours j’avais envi d’aller cher lui, de pouvoir à
nouveau sentir ses lèvres sur les miennes. Son corps contre le mien. Il n’avait rendu fou de lui. Pas un jour ne passé sans que je ne pense à son regard brûlant. Je savais que tôt où tard j’aller
craquer et me rendre cher lui. Pour le laisser me baiser comme il le voulait. Je lutter contre mes envi. Mais combien de temps encore allais-je pouvoir résisté à cette appelle de mon cœur, de mon
corps, de mon âme. j'était telle un ange noir à qui ont venais de couper les ailes.»
Cela fessait une semaine déjà que j’avais rencontré cette homme, une semaine qu’il hanté Chacune de mes pensés. Chaqu’un de mes rêve. Je ne savais rien de lui à par son adresse et le gout de ses
lèvres. J’étais incapable de pensé à autre chose qu’à ce baiser qu’il m’avait donné. Ça avait était si bon. J’avais embrassé des dizaines, des centaines de filles. Mais aucun baiser me surpassé
celle-ci. Je veux pouvoir à nouveau goûté à ses lèvres. Pour lui ce n’était que de la baise. Il allait faire avec moi ce que j’ai fait avec toutes ses filles. Mais je le voulais je voulais être
dans ses bras même si ce n’était que pour une seul nuit. Une seule étreinte. Je dépliai une énième fois le papier qu’il m’avait donné. « Si tu change d’avis passe me voire. J’adorerais m’occuper
de ton jolie petit cul. » C’était la dernière fois que je le lisais.
J’étais debout devant la porte de chez lui. Cette adresse que je connaissais par cœur à force de la lire, encore et encore. Jour après jours. Secondes après secondes. Qu’es ce que je fessais ici,
si ça ce trouve il ne ce souviendra pas de moi. Je ne suis qu’un mec rencontré dans une boite. Juste un mec qu’il aurait voulut sautais dans une ruelle. Pourquoi ce souviendrait-il de moi.
Cette maison était immense. Il devait être riche pour avoir une telle demeure. Je ne serrais sans doute qu’un de ses joué. Il me jetterait des qu’il serra lacé de moi. Mais peux importe je ne
pouvais pas faire demi tour. Je rassemblai tout mon courage pour sonner à la porte. J’attendais que la porte s’ouvre. Mon cœur était à deux doigts de ce brisé tellement il bâter fort. La porte
s’ouvrir et mon cœur cessa de battre dés que je le vis devant moi. Il n’était vêtu que d’un simple bas de jogging. Seigneur pourquoi faut-il qu’il soit encore plus beau que dans mes souvenir. Son
regard me détailler avec une envie lubrique. Enflammant mon corps. J’étais en feu et je voulais qu’il arrête ce feu qui me dévore. Il me fixait avec un sourire charmeur et sensuel. Il cherche à
me rendre encore plus fou de lui.
- Bonsoir Jaylan. Tu as était long. Sa voix était douce et sensuel. Mon prénom était si doux sortant de ses lèvres.
- Comment…
- L’un de tes amis ma donné ton prénoms. Très charmant garçons.
- vous l’avez…
- Non. C’est toi que je voulais. Si tu es ici c’est que tu as changé d’avis. Veut tu que je m’occupe de toi ?
J’étais amoureux, j’étais prés à tout accepter pour lui. Je n’ai rien répondu, je l’ai juste laissait m’entrainer dans le salon. J’aurais voulut qu’il me propose un verre, qu’il me parle de lui,
qu’il m’embrasse doucement et qu’il me fasse l’amour. Mais il n’as rien fait de tout ça. Il ma déshabiller aussi vite que ses mains le lui permit. Je ne pouvais pas m’empêché de tremblais. Sous
ces mains, même si c’était violent sans la moindre tendresse. C’était lui cela suffisait à me faire tremblais de plaisir. Il mordilla mon oreille pressant son corps contre le mien. J’avais
l’impression d’étouffé tellement je le désir.
- Tu bande Jaylan.
Il me força à me mettre à quatre pates sur le tapis persan. Je pris peur c’était ma première fois et il allait me prendre comme une vulgaire pute. Je le senti presser son sexe contre mon entré
encore inviolé. J’avais peur, j’étais terrorisé. Je fermai les yeux serrant le tapis, les larmes coulaient sur mes joues. Je n’aurais pas du venir. Je devrais fuir partir loin de lui avant de me
plus pouvoir faire marche arrière. Je sentis une douleur fulgurante alors qu’l enfoncer son sexe en moi, j’avais l’impression qu’il venait de me déchiré en deux. J’avais mal tellement mal, je
pleurais de douleur mais lui ne s’en soucier pas il continuer de bouger encore et encore me déchirant un peu plus à chaque coup de reins. Il m’attrapa par les cheveux attirant mon visage vers le
sien. Léchant les larmes qui coulaient sur ma joue.
- Pourquoi pleure tu Jaylan. C’Est-ce que tu voulais à agiter ton cul devant moi comme une salope en chaleur. Dit moi que tu le voulais.
- Oui. Répondis-je dans un râle de douleur.
Je l’aimais alors j’accepter et lui joué avec moi, avec ma douleur, avec ma tristesse, avec mon cœur.
Il donnait des coups de rein de plus en plus fort, s’enfonçant encore et encore entre mes chaires meurtries.
Je l’aimais alors l’avoir en moi me fessait gémir de plaisir.
Je l’aimais alors je me suis abandonné entre ses bras.
Je l’aimais alors je ne suis soumis à lui sans protesté.
Je l’aimais alors je souffrais en silence.
Il cessa de bougé en moi lorsque je me mis à crier de plaisir, sans essayer de retenir mes cris. Je crispé mes doigts sur le tapis, me cambrant au maxi pour lui offrir toute ma profondeur, allant
à la rencontre de son sexe. J’étais en sueur, haletant. Cela était si bon alors pourquoi arrêtait-il ? Il posa ses lèvres dans ma nuque en mordillant ma peau avec provocation.
- Pourquoi es ce que vous arrêté.
- Tu aime ça ?
- Oui.
- Tu aime te faire prendre comme une vulgaire pute ?
- Oui. Pourquoi es ce que je disais ça ? Qu’es ce qu’il et entrain de faire de moi.
- Tu es ma pute ? Demanda-t-il dans un murmure contre ma peau, ce contact me brûlait la peau. Je m’enflammer à ce simple contact. Que puis-je répondre à ça ?
- …
- Dit le Jaylan. Si tu le dit je continu de te baiser. Dans le cas contraire je te jette dehors et tu devras trouver une autre bite pour te remplir.
-… Je ne pouvais pas dire ça. Comment pouvais lui donnais en plus de tout ma fierté.
- Très bien. Je le sentis ce retiré de moi et je craquai.
- Je…suis votre pute…Alors s’il vous plait continué de joué avec moi.
Je l’aimais alors j’ai ravalé ma putain de fierté pour le lui dire, pour qu’il continu de me baiser. Je le laissais faire ce qu’il voulait de mon corps et j’y trouvé un plaisir malsain. Il donné
des coups de reins encore plus puissant. Et je prenais de plus en plus de plaisir dans cet acte. J’avais du mal à resté conscient tellement le plaisir était intense. Je posai mon front sur le
sol, haletant, à bout de souffle. J’avais l’impression que mes bras allaient céder sous la force de ses va et vient. Je criais si fort que j’avais la gorge en feu. Que suis-je entrain de devenir
?
- J’ai jamais eu une…pute aussi beau que toi…hm…aussi étroit…ah…aussi docile…tu es délicieux.
- aaah…faite…tous ce que…aah…vous voulais de moi…aaah…je suis…aaah…votre…pute…aaah…
- Tu es ma chienne ?
- Aah…oui…plus…fort…aah.
« Je me dégoûté. J’avais honte de ce que j’étais devenu pour cet homme. J’aurais put poursuivre ma vie de sale con coureur de jupons. Mais je l’ai rencontré. Et j’étais tombé amoureux de lui
alors qu’’il me penser qu’à me sauter.
J’avais accepté les règles en venant jusqu’ici alors je n’avais pas à être tristesse alors qu’après m’avoir pris il m’a lassé sur ce tapis. Où je venais de m’offrir à un homme. Cet homme qui
allait me conduire à ma perte.
J’avais accepté de joué et j’avais perdu. Il n’avait pas dit qu’une seule phrase. « Reviens demain ». Puis il était parti en claquant la porte. Je m’étais alors rhabiller honteux de ce que je
venais de faire.
C’est fou à quel point en peu murir en l’espace de quelques heures. Je venais de prendre conscience de ma misérable existence. J’avais été sali par l’homme que j’aime. Mais je savais que je
reviendrais demain, que je re-commencerais. Juste pour le sentir à nouveau en moi. Juste pour avoir le sentiment d’être important pour lui. Juste pour croire qu’il pouvait m’aimais.
J’ai accepté ses règles. Et si et perdu bien plus que ma virginité. Je ne connaissais même pas son nom. Et je repartais encore plus déboussoler qu’avant de venir.
Pourquoi ne t’ai-je pas rencontré avant lui ? Tout aurait était différent ? Où bien peut être que je ne t’aurais pas regardais. »
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