CHAPITRE 3 :
« J’était rentré chez moi totalement anéantie. J’avais passé ma nuit
à pleurais en pensant à cette homme, à ce qu’il m’avait fait. Je ne pouvais en parlais à personne. C’était un point que je devais porter seul. J’étais faible, et il m’avait enchaîné à lui. »
J’étais à nouveau devant cher lui. Comme il me l’avait demandais, j’étais revenus, comme un gentil chien bien obéissant. Je tremblais comme une feuille. Il était encore temps, je pouvais faire
demi tour et rentré cher moi, reprendre ma vie confortable. Mais non j’ai choisis d’appuyais de cette foutu sonnette. J’ai choisis de me soumettre à nouveau à lui. Il allait encore me baiser
comme une vulgaire pute, mais où moins l’espace de quelques minutes il s’intéresserait à moi.
La porte s’ouvrir et je baissai la tête, de honte. En redemandait après la façon donc il m’a traité.
- Tient Jaylan. Bonsoir. Sa voix me fis tremblais, elle était si sensuel.
- C’est plus la pute.
Il posa sa main sur ma joue me fessant tremblais, elle était si chaude, si brûlante. Il me força à le regardait et dés que je croisai ses yeux noir je perdis tout mes moyen à nouveau pris dans la
noirceur de ce regard.
- Pas quand ont ne baise pas beauté. Au faite moi c’est Andy.
Andy c’est un prénom si joli. Pourquoi n’ai t-il pas aussi pure que son prénom. Il glissa ses doigts dans les miennes pour m’attiré à l’intérieur de la maison. Encore une fois il ne va pas
prendre le temps de parlais. Je fus surpris qu’il ne fasse monter à l’étage. J’étais totalement déconcerté, et sa le fit rire. Il ce moque de moi. Je me tendis lorsqu’il s’approcha de moi. Son
souffle caressait mon visage, je fermai les yeux respirant sa douce odeur. Il posa ses mains sur mes hanches pressant son corps contre le mien. Ses lèvres caressaient les miennes, savait il que
ce simple contact suffisait à enflammer mon corps. Sa langue venait taquiner mes lèvres. Et je ne serrai plus contre lui, voulant prendre ses lèvres mais il ce recula en rigolant. Pourquoi joue
t-il ainsi avec moi ? Je frissonnai lorsque je sentis ses mains caressé ma peau. J’ai envi de lui, j’ai envi qu’il me fasse l’amour. Il me retira mon t-shirt avec lenteur et sensualité avant de
me pousser sur le lit. Je ne le comprends pas qu’es ce qu’il fait ? Il vient s’assoir sur mon bassin un sourire espiègle sur le visage.
- Qu’es ce que vous faite ?
- Hier on a fait les choses un peu trop vite. Ne fallait pas me faire autant attendre. Tu as cherché. Aujourd’hui on va y aller un peu plus doucement. Tu en as envi ?
- Oui. Répondis-je en essayant de capturé ses lèvres qui me cessais de me nargué. Laissez moi vous embrassé s’il vous plait ? S’il vous plait ?
Il posa ses lèvres sur les miennes. Je ne les avais pas sentis depuis notre première rencontre. Et elles m’avaient temps manqué. Je glissai mes bras autour de sa nuque le serrant contre moi
allant jouer avec sa langue. Je suis entrain de me perdre dans ce baiser. Il cherche à me rendre encore plus fou de lui. Ses mains glisser sur ma peau nue, je le veux, je désir tellement cette
homme. Il était doux, ses caresses étaient légères. Son baiser était tendre. En cette instant il fait maître un espoir fou en moi. L’espoir qu’il puis m’aimait juste un peu. Il détacha ma
ceinture avec lenteur, alors que je continuais de l’embrassé. Je ne voulais plus lâché ses lèvres de peur que cela me soit qu’un rêve. Je le laissai m’enlever mon pantalon et mon boxer. Il lâcha
mes lèvres me fessant gémir de frustration. Il ce redressa pour me fixait avec gourmandise. Ses doigts glissaient le long de mon torse frôlant mon sexe, je fermai les yeux me laissant enivrer par
ses douces caresses.
- Je vais te montré qu’un homme peut te donné plus de plaisir qu’une femme.
Je fermai les yeux, s’il savait que c’était déjà le cas, je suis déjà fou de lui et tout ce qu’il pourra faire ne pourra rien changé. Il m’a enchaîné à lui dés que mon regard à croiser le sien.
Il posa ses lèvres dans ma nuque, je retiens mon souffle, jamais je n’avais ressenti autant de plaisir avec de simple caresses, de simple baisers. Je suis entrain de devenir fou. Je n’oser pas
bouger, je n’oser pas le touché, je n’oser pas parlais de peur qu’il me rejette, alors je le laisser faire en silence. Ses lèvres embrassaient mon torse, ses dents malmené mes tétons. Je plaquai
mes mains sur ma bouche pour retenir mes gémissements de plaisir. Il me fait perdre la tête.
- aaah…
Je n’avais pas put retenir ce cris de plaisir alors que ses lèvres prirent mon sexe en bouche. Elle était si chaude, si accueillante. Oui c’était meilleur mais c’est sans nul doute parce que je
l’aime. Je l’aime tellement que tous ce qu’il peut me faire me rend dingue. J’ai jouis en quelque minutes, c’était si bon que je n’avais pas put me retenir. Il ce redressa pour me fixait avec un
regard moqueur.
- T’es un éjaculateur précoce. Tu ne devais pas les satisfaire tes meuf. Tu dois être fait pour te faire prendre.
- Non…je...c'est de votre faute…c’était…bon. Je détournai la tête en rougissant. Pourquoi es ce que j’avais dit ça.
- Alors comme ça c’est de ma faute ? Il va falloir que je te punisse.
- Aller y doucement. S’il vous plait.
- Je serrais très doux. Je le sentis enfoncer un doigt en moi, c’était douloureux amis aux mois il allait prendre le temps de me préparé.
-Tu t’ouvre pour moi Jaylan. Tu ne veux en toi.
- Oui. J’en ai envi…aah
Il ce glissait entre mes cuisses et prenait sans plus attendre me fessant crier de douleur et de plaisir. Je fermai les yeux, je ne voulais pas voire dans son regard qu’il aurait préféré me
baiser comme la veille. Je ne voulais pas voire que la seul chose qu’il voulait c’était me prendre comme une vulgaire pute en me crachant toutes ses insultes à la figure. Je ne voulais pas voire
qu’il ne m’aimait pas.
Il aller et venait en moi avec force, brutalité, coup de reins après coup de reins. C’était douloureux mais j’y trouvai vite un plaisir sadique. Incroyablement bon. Je glissai mes bras autour de
son coup me blottissant contre lui, reprenant ses lèvres avec fougue. Il répondit à mon baiser.
- Tu aime ce que je te fais ?
- Oui…aaah…c’est bon…plus fort…aaah…
« J’étais sorti de la maison en courant, tout ce donc j’avais eu le droit après qu’il ai à nouveau déversé son plaisir en moi ce fut un simple « Revient quand tu veut ». Je devais m’éloigner
de cet homme, même si je sais que je reviendrais.
Et c’Est-ce que j’ai fait, je suis retourné le voire soir après soir. Durant deux longues semaines. Je le laissais me baiser, m’utilisé, m’insulté et s’adonné à toutes ses envi pervers. Du jors
m’attaché, me défoncer avec tout les Object qui lui tombé sur la main et même me forcé à le sucer en public. Il avait une imagination débordante en la matière. Je n’étais qu’un vulgaire joué dans
ses mains. Et ce n’étais que le début de ma déchéance. Les ténèbres venais juste de m’ouvrir leurs porte et leurs bras puissants mi enfoncer de plus en plus »
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