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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

reste ma lumière (en cours )

Mardi 27 avril 2 27 /04 /Avr 21:25

 

CHAPITRE 7 :

 

 

 

«  Je croyais que tu m’avait déjà tout fait subir Andy. j’étais loin de pensé que tu soit un être si démoniaque. Qui allait jusqu’à détruire les autre pour son simple plaisir. Est-ce que cela te faisait jouir de me voire souffrir ? »

 

 

J’étais allonger sur mon lit vêtu d’un simple boxer. Lorsque j’étais revenu Andy était dans le salon avec un de ses amis. Lorsqu’il n’a vu passé le regard de l’homme c’est fait désireux pervers. Et lorsque je les entendit parler je compris ce qui attendait de moi.

-

- J’ai un goût sur pour les choisir. Il est si étroit. Une vrai merveille. Il suce comme un dieu. Et tu sait le meilleur Max. ce petit con et amoureux de moi. Il irait me décroché la lune si je le lui demandais.

- Dit je peux joué avec lui ?

 

Maintenant j’attendais qu’il vienne ce servir. Je ne voulais pas que Andy me déteste alors je ferais ce qu’il me demanderais. Je voulais qu’il soit le seul à posé ses mains sur mon corps mais si je lui disais non il me mettra dehors et ce trouverait un autre jouet je ne veux pas je veux qu’il m’aime.

La porte de la chambre s’ouvrir et il entra un sourire pervers sur le visage. Ce qu’il peut être terrifiant lorsqu’il me regard de cette façon. Il s’approchais de moi, doucement sans parlais. Il ce contentait juste de me regardais. Chaque pas qu’il faisait en ma direction faisait s’emballer encore plus mon cœur. Lorsqu’il posais sa main sur ma joue je me mis à tremblais de plaisir. Je ressemblais à un toxico en manque de sa dose. Sa mains était si douce, si chaude. Si seulement elle pouvaient glisser sur mon corps avec amour et non avidité. Je fermais les yeux laissant sa chaleur ce ré-pendre dans mon corps.

- Pas besoin de faire tout cela. Fait le entré. De toute façon lui où vous c’est la même chose. Je ne suis qu’un jouet.

- Tu es bien docile aujourd’hui mon petit Jay. Met y un peu du tient beau blond. Avoir deux mec juste pour toi. Tu ni as jamais pensé. Gourmand comme tu es ?

- J’en jubile d’avance.

Andy s’asseyait sur mon bassin, prenant mes lèvres avec violence. Il frottait son bassin au mien et je fermais les yeux le laissant faire. Pourquoi est-ce que je suis incapable de le repousser ? Pourquoi ne puis-je pas me défaire de son emprise. Je voudrais tellement pouvoir m’enfuir. Partir loin de ses bras qui me serrais si fort que j’avais l’impression de nourrir. Je glissais mes bras autour de son cou. Répondant à son baiser. J’étais tellement perdu dans ce baiser que je n’avais pas entendu la porte s’ouvrir. Je compris qu’il était là lorsque je sentis le lit s’affaissé, et Andy ce décalé pour venir s’assoir sur mon torse, ses lèvres ce détachaient des miennes me faisant gémir de frustration.

- Tu va voire Jay. Il va tellement bien te baiser que tu en redemandera. Je veux te voire jouir avec une autre bite que la mienne dans ton cul. Toi qui te disait hétéro.

 

Je fermais les yeux lorsque je sentis des lèvres ce posait sur mon sexe, elles étaient chaude, douce. Elles m’enveloppaient de leur chaleur. Andy venait s’assoir à côté de moi me laissant voire cette inconnu qui était entrain de me sucer. J’admirais sa beauté, ses cheveux brun, sa peau hâlé. Il me faisait pensé à cette inconnu que j’avais rencontrais. À cette ange. Mais lorsqu’il ouvrir les yeux je compris que ce n’était pas lui. Les yeux de mon ange n’étaient pas bleu. je sentis deux de ses doigts me pénétrais mais j’en oubliais la douleur lorsque Andy posait ses lèvres sur les miennes. Dés qu’il m’embrassé plus rien n’avais d’importance à mes yeux et j’étais prés à faire tout ce qu’il voulais juste pour sentir ses lèvres sur les miennes. Je sentais les doigts de cette homme bouger en moi. Je m’imaginer que c’était mon amour qui allait me faire l’amour. Et à cette vision je me libérais entre ses lèvres.

- Alors mon ange déchut. Il suce bien. Et t’as pas tout vu encore. Tu veut qu’il te baise ?

- Oui répondis-je dans un souffle, douloureux et désireux. Je devais faire ce qu’il voulait pour qu’il ne ce détourne pas de moi.

- Alors demande le lui.

- Non…

- Demande où ont ira voire une autre pute.

Je me redressais l’attirant à moi pour l’embrassé avec passion, avant de relâchais ses lèvres. Il semblais avoir aimait ce baiser. C’est vrai que l’ont ma souvent dit que j’embrassé bien.

- Baisez moi.

- Il reste poli même en demandant ça. Il est trop mignon. C’est maxime tu peut me tutoyais.

- Alors baise moi maxime, bien à fond. Fait moi crier comme une chienne. J’attend que ta grosse bite dans mon cul bien serrer. Je mouille juste à l’idée que tu me saute. J’suis en chaleur. Enfonce la moi bien profonde.

- Putain il est trop bandant celui la. Je comprend pourquoi tu la choisit.

Il me plaquai contre le matelas avec force, n’écartait les jambes et me pris son plus attendre. Je criais de douleur mais lui me s’en souciait pas, il était la pour me baiser. Peut à peut le plaisir se répondait dans mon corps. Il avait raison je me suis qu’une pute.

- Alors d’aime qu’il te saute ? Me demandais Andy en mordillant mon oreille.

-Ta…ta queue.

- Tu veux me sucer ?

- oui. 7

Si je me fais baiser autant y aller à fond. Il ce redressait et je put prendre son sexe en bouche alors que Maxime continuait de me baiser. Ils criaient tout deux de plaisir. Moi je laissais couler des larmes silencieuse. Andy ce libérait entre mes lèvres alors que Maxime jouissait en moi. Il n’avait même pas ni de capote.

- Putain t’avait raison…elle est trop bonne cette pute.

Je me redressais et alla me planter devant lui, à quatre patte, son sexe était encore tendu. Je posais ma langue sur son gland brûlant le faisant gémir de plaisir.

- t’en veut encore ? Demandait Andy en me caressant l’anus y enfonçant ses doigts.

- Chaqu’un son tour pas de jaloux. Répondais-je d’une voix cassé par la tristesse avant d’engloutir son sexe, sentant Andy me pénétrais avec violence.

 

 

Sa avait durer des heures, ils m’avaient pris encore et encore. Puis lorsqu’ils avaient bien prit leur pied ils étaient partis. Sans un mot, sans un regard, me laissant seul sur mon lit maculais de sperme. Je me sentais si sal, répugnant. Je me recroquevillais sur moi-même laissant couler mes larmes. J’ai tellement mal.

 

 

« Ce jours la je suis vraiment devenu une pute à son service. Sa était dur de ma l’avoué mais c’Est-ce que j’était. Je l’aimais au point de tout accepter pour lui. Je ‘aimais alors pourquoi est-ce que cette nuit c’est en pensant à toi, à tes yeux, à ta voix que je me suis endormis. Je souhaitais tellement te revoir. J’étais loin de me douté qui tu était, et encore moins que nos chemin n’allaient pas tarder à ce recroisé. Pour mon plus grand malheur. »

 

 

 

 

 

 

 

 Il est vraiment bandant ton nouveau jouet Andy encore plus que celui d’avant.
Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Jeudi 15 avril 4 15 /04 /Avr 23:30

 

 

CHAPITRE 6 :

 

 

« Il m’avait autorisé à reste cher lui. Est-ce que cela était vraiment la meilleur chose qui puisse m’arrivé ? Je voulais rester à ses côtés autant que je voulais n’en éloigner. Cette homme et tellement dangereux. À cette époque je ne savais pas encore que je pourrais connaitre une douleur encore plus grande. Je ne vivais que pour lui. Je respirais pour lui. Le jour où il ne voudra plus de moi. Je n’aurais plus qu’à mourir. » Andy quel âge avait vous ?

 

 

-

J’étais assis sur le canapé, de cuire rouge aussi luxueux que le reste du décor. Il avait accepté ma présence à ses côtés seulement si je ne prenais pas trop de place, si je restais bien à la mienne. Je devais rester assis bien sagement comme un bon petit chien bien obéissant.

Il ne levait même pas les yeux vers moi et prit encore moins la peine d’y répondre. J’avais la sensation d’être invisible, de n’être rien de plus qu’un de ses meubles. Juste un objet que l’ont expose au regard des autres. Je me levais ne pouvant plus supporter ce silence si oppressent. J’avais besoin de prendre l’air.

- Où vas-tu ?

Sa voix était froide, glacial. Il ne levait même pas le regard vers moi. Je contemplais ce visage impassible qui me hanté à chaque secondes de ma vie. Pourquoi l’ais-je rencontrer ? Pourquoi dois-je autant souffrir ? Est-ce que c’est une punition. À cause de tous ceux que j’ai moi-même blessé par le passé ? Je me déteste d’être si faible.

- J’ai juste besoin de prendre un peu l’air.

- Ne rentre pas trop tard.

- Oui.

 

Je sortais de la maison les mains dans les poches, la tête basse. Quand est-ce que j’avais perdu ma dignité. J’avais le cœur en morceaux. J’avais pensé à me tuer mais j’avais été trop lâche. Alors je n’avais fait que m’entaillé les veines, laissant couler mon sang, laissant couler mon mal être. Mais cela n’avait servis à rien, mon cœur avait recommençais dés que la douleur dans mon bras ce soit apaisait. Ma vie était un enfer et il en était le maître.

 

Je marchais dans les rues agité de la ville. Toujours la tête basse. Mes blessures caché sous mon pull. J’avais la sensation désagréable qu’autour de moi tout le monde étaient au courant de ce que je faisais. De ce que j’étais devenu. Je sentais leur regard accusateur sur moi et c’était bien plus oppressent que le silence de Andy. je n’osais pas relever la tête de peur de croiser leurs regard emplis de reproche. Le poids de mes erreurs m’empêcher de me redresser.

 

« Je me regardais pas au je marchais, j’étais loin de savoir qu’à ce coin de rue ma vie aller prendre un nouveau tournant

Alors j’ai fuis, je ne savais pas quoi faire d’autre. Je n’ai pas réfléchis, j’ai fuis. J’ai courus aussi vite et loin que mes jambes pouvaient me porter. J’avais fini par m’écroulais dans un ruelle sombre. Loin de ta lumière. Les ténèbres c’est là qu’es ma place. Moi être si répugnant et sale.

Qui était tu ? Cette question je me la suis posé tellement de fois. Était tu l’ange rédempteur venu me faire entrevoir le paradis. Où était tu un ange démoniaque venu m’entrainais plus loin dans les ténèbres, dans ma déchéance.

J’avais peur. Ma vie m’échappais, elle glisser entre mes doigts comme de l’eau et je n’avais aucun moyen de le rattraper. J’avais tellement peur.

 

À cette époque je ne voyais que Andy. j’étais loin de me douté de ce que cette rencontre aller entrainer. J’était loin de savoir que tu allait te brûlait les ailes pour sauvai un être aussi misérable que moi. Aujourd’hui encore je me demande pourquoi tu as fait cela ? Alors que je n’étais que son jouet »

 

 

 

 

 

 

 . Je t’ai bousculer dans cette ruelle, sans même levais les yeux je t’ai demander pardon. Je devais rentrer Andy m’attendais mais tu m’as retenu m’empêchant de prendre la fuite. Tu n’aurait pas du faire ça. J’aurais du être le seul à souffrir. Lorsque j’ai posé mon regard sur toi, j’en suis resté sans la moindre réaction. Ta beauté m’irradier. Tu briller aussi fort que le soleil sa en était éblouissant. Ton visage était fin, presque androgyne, encadré par tes cheveux brun. Ta peau mat. Mais le plus envoutant était sans nul doute tes yeux. Ses deux émeraudes qui avait sus capté mon regard. Tu ressemblait à un ange. Tu était si beau, si tentateur. Ton sourire était la plus belle choses qui n’ai été donner de voire. Et ta voix, si le anges existé ils aurait une voix similaire à la tienne. Douce, chantante, sensuel, pénétrante, tendre. Un ange, c’Est-ce que tu était. J’étais les ténèbres et toi la lumière. Cette lumière qui me brule la peau. Tu brillait trop face à moi et je me sentais si sal si misérable. Ta beauté me faisait voire toute ma laideur.

 

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Jeudi 15 avril 4 15 /04 /Avr 23:29

 

CHAPITRE 5 :

 

 

« La porte c’étais ouvert sur cet ange aux ailes noirs. Cette ange déchut qui m’entrainé dans ma propre déchéance. Je n’étais que son jouet. Et on fini toujours par ce lassé de ses jouets. Et je finirais rejeté et seul. Ce jour là serrais aussi celui de ma mort. »

 

Je sursautai lorsqu’il posa sa main sur ma joue me fessant tremblais de plaisir. Son geste était si doux que je ne pus retenir plus longtemps mes larmes. Il m’attira contre lui me serrant dans ses bras. Je fermai les yeux profitant de ce contact. Sa gentillesse ma tuer plus qu’elle ne me fessait de bien. Car elle n’était qu’éphémère. Car ce n’étais que de la pitié. Il claqua la porte derrière nous alors que je me serrais aussi fort que je le pouvais contre lui. Pleurant comme un enfant. Il me souleva et je le laissai faire. Je ne voulais pas quitté ses bras si rassurant. C’est peut être la seul fois où je pourrais connaitre ce genre d’étreinte. Il me posa sur l’évier et s’écarta de moi. Je voulais le retenir mais je n’en fis rien. Il alla faire couler l’eau dans la baignoire. Je le fixais avec incompréhension. Pourquoi fait-il ça ? Es ce qu’il tient un peu à moi ?

- Pourquoi es ce que vous étiez si senti avec moi ?

Il ce retourna vers moi son regard était si noir qu’il me fit peur. Il ce rapprocha de moi jusqu’à ce que son corps soit coller aux mien. Je sentais son souffle sur mon visage. Deux jours que je ne l’avais pas vu. Il me manquait tellement. Je veux l’embrassé. Je veux qu’il me fasse l’amour. Je ne veux pas resté loin de lui.

- Pourquoi ? Personne ne fait de mal à mon jouet. Si je me lui en ais pas donné le droit.

C’était donc ça. C’était juste par intérêt. Il ne voulait pas que l’ont abîme son joué préféré. Je baissai la tête, les larmes coulais encore plus sur mes joues. Ses paroles étaient encore plus douloureuses que les insultes et les coups de mon père. Il n’attrapa par le menton me forçant à relever la tête. Je n’oser pas le regardais en face.

- Jay tu m’aime ? Demanda-t-il d’une voix que je ne lui avais encore jamais entendu. Plus douce que d’habitude. Il ce joue encore de moi.

- Oui. Si je ne vous aimez pas vous croyais que j’accepterais que vous me baisiez comme une vulgaire pute. Et de toute façons qu’es ce que vous en avez à faire de ce que je ressens. C’est le cadet de vos soucis. Tout le monde ce moque bien de ce que je peux ressentir. Mes parents m’en jetaient dehors comme un malpropre parce que je suis gay. Et l’homme que j’aime me prend pour sa chienne.

- Tu savais ce à quoi tu t’exposer en venant ici la seconde fois…

- Je sais, j’ai accepté. Je ne demande rien. Je m’ai plus qu’à fermer ma gueule.

Il posa ses mains sur mon corps le fessant glisser le long de mon torse jusqu’à ma ceinture pour me retirais mon t-shirt. Je le laissai faire, fermant les yeux.

Je le sentis me soulevais, j’enroulai mes bras autour de son cou me laissant me portais comme en porte un enfant. Je nichai mon visage dans son coup respirant sa douce odeur. Je l’aime, je l’aime tant. Il me déposait dans le bain, l’eau chaude détendait mon corps endolorie par les coups et cette nuit passé sur le banc sous le froid. Sa faisait tellement de bien. J’enroulais mes jambes de mes bras y plongeant ma tête. J’avais envi de pleurais. S’il ne voulait pas me gardai cher lui que vais-je faire. J’ai perdu mes parents à cause de lui. C’est lui que j’ai choisis. Je ne veux pas qu’il me rejette. J’ai besoin de lui.

Je fus surpris de le sentir ce glisser derrière moi et ses bras puissant enserraient mon corps rendu si faible. Je me détendais me laissant aller contre son torse. Je fermai les yeux profitant de ce moment de tendresse. Je sentais ses mains glisser sur mon torse, sur mes bras. C’était si doux, si tendre. Jamais je n’aurais cru qu’il puisse être si tendre. J’avais l’impression d’être face à un autre homme. Il fit glisser ses lèvres dans ma nuque, il attrapa le lobe de mon oreille avec ses dents, me le mordillant avec douceur. Je sentais l’excitation ce répandre dans mon corps. Et je sentais son envi de moi.

- J’ai envi de toi Jay. Tu n’es pas venu hier. Tu m’as manqué.

J’aurais du m’en douté. Avec lui tout n’es que question de sexe. Il me poussa en avant me forçant à me mettre à genoux, je posais mes mains sur le rebord de la baignoire, il m’attrapait par les cheveux et ravi mes lèvres. Je crois que ce baiser à fini de me rendre amoureux de lui. Ce baiser était si doux, si tendre. Je ne l’aurais jamais cru capable d’embrassé de la sorte. J’en tremblais de plaisir, de bien être. Il cherche à me rendre dingue. Je serrai les dents sous la douleur, lorsqu’il me pénétrait, je sentais de l’eau entré en moi. C’était brûlant. Je m’accrochais au rebord posant ma tête sur mon bras essayant d’oublier ma douleur. Il ce mit à bouger en moi doucement, avec douceur, jamais il n’avait jamais était aussi tendre. Je ne l’en aurais jamais crus capable de faire preuve de temps de douceur. Avait-il la moindre idée de ce que cette tendresse fessait maitre en moi.

Je laissais échapper un gémissement de plaisir et il ce mit alors à ce mouvoir en moi avec plus de force, il m’agrippait par les hanches me prenant avec plus de force encore. Il posait sa tête sur mon épaule, je sentais son souffle brûlant sur ma peau. Il me rend fou. Je l’aime tant. C’était si bon de le sentir en moi, son sexe aller et venir entre mes chaires brûlantes, le sentir taper contre ma prostate. Chaque coup de rein m’envoyait décroché les étoiles.

Je ne voulais pas tourné la tête vers lui. Je ne voulais pas voire cette lueur de perversité dans son regard. Je ne voulais pas y voire toutes ses insulte qu’il avait envi de me jetais à la figure. Mes larmes coulaient sur mes joues malgré le plaisir que j’éprouvais. Je me sentais si sale. Je le sentis ce tendre et jouir en moi, me faisant atteindre l’orgasme. Il s’écroulait sur moi à bout de souffle. Mes bras cédaient et je m’écroulais dans l’eau. Je sentis ses deux bras m’enserrais et il me serrait contre lui.

- Tu m’as tué Jay. C’est vraiment le pied de baiser avec toi. Tu avale les bites à la perfection. Et tu es si étroit. Je n’ai jamais prit autant de plaisir avec un autre. Pour un hétéro tu adore te faire mettre. Tu t’entends crier. Et tu t’empale de toi-même sur ma bite.

- Vous men…

- Je ne mens jamais Jay. Je ne t’ai jamais menti. Si j’aurais voulus te mentir je t’aurais fait croire que je t’aime pour être sur de ne pas perdre un jouet aussi jouissif que toi.

 

 

« Il n’avait laissé seul après m’avoir dit de telle choses. Il venait de me planté une nouvelle lame dans le cœur. J’avais si mal u cœur. Je voulais oublier cette douleur qui emplit mon cœur. J’avais cherché autour de moi quelque chose qui pourrait me faire oublier cette douleur. Et la seul chose que j’ai trouvé c’est de m’infligé une douleur corporel encore plus forte. Alors j’ai fait couler mon sang. »

 

 

 

 

 

 

 
Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Vendredi 9 avril 5 09 /04 /Avr 10:03

CHAPITRE 4 :

 

 

« J’étais resté de longue heures assit sur mon lit à fixait le plafond. Il me semblait le bout de mur le plus intéressant du monde alors que mon esprit divagué totalement. Je penser à Andy à tout ce qui c’était passé depuis notre rencontre. À ce que j’étais devenu. Andy occupé Chaque pensé, je me vivais plus que pour lui, attendant de le revoir. Je me sortais plus à part pour me rendre cher lui, je ne voyais même plus mes amis. Ma vie ne ce résumer plus qu’à une seule chose « Andy ». J’avais fini par prendre une décision importante qui aller sans nul doute changer une nouvelle fois le cour de ma vie. »

Je fixais à nouveau ce plafond sans vraiment le regardais. Mes amis venaient encore de me proposé de sortir en boite ce soir et encore une fois j’avais refusé. Je les trouvé tellement immature. C’est fou ce que j’avais changé en quelque semaines. Cet amour que je lui prote et entrain de me bouffé de l’intérieur. Je n’étais plus qu’un Zombie. Un étranger dans mon propre corps. Mes parents n’avaient pas remarqué mon changement. De toutes façons il ne ce sont jamais vraiment intéressait à moi.

Je me levai enfin pour descendre dans la cuisine. Je les trouvai dans la pièce comme à leurs habitudes. Mon père assit à la table, un journal entre les mains, sa tasse de café devant lui. Et ma mère était entrain de préparé le déjeuner. Aucun des deux me ce retourna à mon entré dans la pièce et je m’asseyais en face de mon père. J’ai décidé de leurs dire sans détour, rien ne serre d’essayer de les faire accepter ils ne le feront pas. Ils ne feront que m’enfoncer encore plus dans ma douleur mais cela devait être dit. Sans détour.

- je suis gay.

J’entendis la casserole que tenais ma mère rencontré le sol et le journal de mon père ce déchiré. Il me fixait avec haine alors qu’elle ne c’était même pas retourné. J’eu à peine le temps de dire ouf que je me retrouvai avec le poing de mon père en pleine figure et tomba sur le sol, étouffant un cri de douleur. Il ce plaça face à moi me dominant de toutes sa hauteur.

- Je ne veux pas d’une pute comme fils.

Oui je suis une pute. Je suis la pute de cet homme que j’aime et qui ne fait que me détruire.

- Oui je suis une pute. Et je l’assume. Qu’es ce tu veux savoir ? Que j’adore qu’il me baise. J’adore avoir sa queue dans mon cul. Qu’il me fait crier comme une fille. Je…

Son poing s’abatis à nouveau sur me joue avec plus de force encore. Ma mère ne fessait rein pour l’arrêté. Je savais que cela ce passerais ainsi. Je me redressai avant qu’il ne me frappe encore et monta dans ma chambre. Je mis tout ce que je pus dans un sac. Et je redescendis les marches. J’entendais mon père crier dans la cuisine alors que ma mère essayer de le calmé.

- laisse-le partir chéri. Il ne reviendra pas. Personne ne le serra.

Elle était la pire des deux. Je la déteste. Je les déteste. Je ne veux plus rien avoir à faire avec eux. Je sorti en claquant la porte de cette maison qui m’avais vu grandir et devenir le con que j’étais jusqu’à devenir ce que je suis aujourd’hui. Je devais trouver un endroit au dormir. Cette nuit la j’ai dormis sur un banc public. Pas très confortable. Je devais trouver une solution. Je ne voulais pas aller cher mes sois disant amis. Et si j’allais cher Andy. Non. Il ne voudra sans doute pas d’un gamin comme moi dans les pates 24/24. Mais avant que je ne rende compte de quoi que ce soit j’étais devant cher lui. Cette maison où mon cauchemar avais commencé et où ilm aller ce poursuivre.

 

« Je ne pouvais plus faire demi tour. J’avais choisis seul de prendre le chemin le plus sombres sans même une allumette pour écartais les ténèbres. Je les ai laissé m’entouré. M’enlacé de leurs bras tentateur et dangereux. J’eu as où peut on s’enfoncer dans ses abysse ? J’allais le découvrir. »

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Jeudi 11 février 4 11 /02 /Fév 17:32

CHAPITRE 3 :

  

 img035.jpg« J’était rentré chez moi totalement anéantie. J’avais passé ma nuit à pleurais en pensant à cette homme, à ce qu’il m’avait fait. Je ne pouvais en parlais à personne. C’était un point que je devais porter seul. J’étais faible, et il m’avait enchaîné à lui. »

 

 

J’étais à nouveau devant cher lui. Comme il me l’avait demandais, j’étais revenus, comme un gentil chien bien obéissant. Je tremblais comme une feuille. Il était encore temps, je pouvais faire demi tour et rentré cher moi, reprendre ma vie confortable. Mais non j’ai choisis d’appuyais de cette foutu sonnette. J’ai choisis de me soumettre à nouveau à lui. Il allait encore me baiser comme une vulgaire pute, mais où moins l’espace de quelques minutes il s’intéresserait à moi.

 La porte s’ouvrir et je baissai la tête, de honte. En redemandait après la façon donc il m’a traité.

- Tient Jaylan. Bonsoir. Sa voix me fis tremblais, elle était si sensuel.

- C’est plus la pute.

Il posa sa main sur ma joue me fessant tremblais, elle était si chaude, si brûlante. Il me força à le regardait et dés que je croisai ses yeux noir je perdis tout mes moyen à nouveau pris dans la noirceur de ce regard.

- Pas quand ont ne baise pas beauté. Au faite moi c’est Andy.

Andy c’est un prénom si joli. Pourquoi n’ai t-il pas aussi pure que son prénom. Il glissa ses doigts dans les miennes pour m’attiré à l’intérieur de la maison. Encore une fois il ne va pas prendre le temps de parlais. Je fus surpris qu’il ne fasse monter à l’étage. J’étais totalement déconcerté, et sa le fit rire. Il ce moque de moi. Je me tendis lorsqu’il s’approcha de moi. Son souffle caressait mon visage, je fermai les yeux respirant sa douce odeur. Il posa ses mains sur mes hanches pressant son corps contre le mien. Ses lèvres caressaient les miennes, savait il que ce simple contact suffisait à enflammer mon corps. Sa langue venait taquiner mes lèvres. Et je ne serrai plus contre lui, voulant prendre ses lèvres mais il ce recula en rigolant. Pourquoi joue t-il ainsi avec moi ? Je frissonnai lorsque je sentis ses mains caressé ma peau. J’ai envi de lui, j’ai envi qu’il me fasse l’amour. Il me retira mon t-shirt avec lenteur et sensualité avant de me pousser sur le lit. Je ne le comprends pas qu’es ce qu’il fait ? Il vient s’assoir sur mon bassin un sourire espiègle sur le visage.

- Qu’es ce que vous faite ?

- Hier on a fait les choses un peu trop vite. Ne fallait pas me faire autant attendre. Tu as cherché. Aujourd’hui on va y aller un peu plus doucement. Tu en as envi ?

- Oui. Répondis-je en essayant de capturé ses lèvres qui me cessais de me nargué. Laissez moi vous embrassé s’il vous plait ? S’il vous plait ?

Il posa ses lèvres sur les miennes. Je ne les avais pas sentis depuis notre première rencontre. Et elles m’avaient temps manqué. Je glissai mes bras autour de sa nuque le serrant contre moi allant jouer avec sa langue. Je suis entrain de me perdre dans ce baiser. Il cherche à me rendre encore plus fou de lui. Ses mains glisser sur ma peau nue, je le veux, je désir tellement cette homme. Il était doux, ses caresses étaient légères. Son baiser était tendre. En cette instant il fait maître un espoir fou en moi. L’espoir qu’il puis m’aimait juste un peu. Il détacha ma ceinture avec lenteur, alors que je continuais de l’embrassé. Je ne voulais plus lâché ses lèvres de peur que cela me soit qu’un rêve. Je le laissai m’enlever mon pantalon et mon boxer. Il lâcha mes lèvres me fessant gémir de frustration. Il ce redressa pour me fixait avec gourmandise. Ses doigts glissaient le long de mon torse frôlant mon sexe, je fermai les yeux me laissant enivrer par ses douces caresses.

- Je vais te montré qu’un homme peut te donné plus de plaisir qu’une femme. 

Je fermai les yeux, s’il savait que c’était déjà le cas, je suis déjà fou de lui et tout ce qu’il pourra faire ne pourra rien changé. Il m’a enchaîné à lui dés que mon regard à croiser le sien.

Il posa ses lèvres dans ma nuque, je retiens mon souffle, jamais je n’avais ressenti autant de plaisir avec de simple caresses, de simple baisers. Je suis entrain de devenir fou. Je n’oser pas bouger, je n’oser pas le touché, je n’oser pas parlais de peur qu’il me rejette, alors je le laisser faire en silence. Ses lèvres embrassaient mon torse, ses dents malmené mes tétons. Je plaquai mes mains sur ma bouche pour retenir mes gémissements de plaisir. Il me fait perdre la tête.

- aaah…

Je n’avais pas put retenir ce cris de plaisir alors que ses lèvres prirent mon sexe en bouche. Elle était si chaude, si accueillante. Oui c’était meilleur mais c’est sans nul doute parce que je l’aime. Je l’aime tellement que tous ce qu’il peut me faire me rend dingue. J’ai jouis en quelque minutes, c’était si bon que je n’avais pas put me retenir. Il ce redressa pour me fixait avec un regard moqueur.

- T’es un éjaculateur précoce. Tu ne devais pas les satisfaire tes meuf. Tu dois être fait pour te faire prendre.

- Non…je...c'est de votre faute…c’était…bon. Je détournai la tête en rougissant. Pourquoi es ce que j’avais dit ça.

- Alors comme ça c’est de ma faute ? Il va falloir que je te punisse.

- Aller y doucement. S’il vous plait.

- Je serrais très doux. Je le sentis enfoncer un doigt en moi, c’était douloureux amis aux mois il allait prendre le temps de me préparé.

-Tu t’ouvre pour moi Jaylan. Tu ne veux en toi.

- Oui. J’en ai envi…aah

Il ce glissait entre mes cuisses et prenait sans plus attendre me fessant crier de douleur et de plaisir. Je fermai les yeux, je ne voulais pas voire dans son regard qu’il aurait préféré me baiser comme la veille. Je ne voulais pas voire que la seul chose qu’il voulait c’était me prendre comme une vulgaire pute en me crachant toutes ses insultes à la figure. Je ne voulais pas voire qu’il ne m’aimait pas.

Il aller et venait en moi avec force, brutalité, coup de reins après coup de reins. C’était douloureux mais j’y trouvai vite un plaisir sadique. Incroyablement bon. Je glissai mes bras autour de son coup me blottissant contre lui, reprenant ses lèvres avec fougue. Il répondit à mon baiser.

- Tu aime ce que je te fais ?

- Oui…aaah…c’est bon…plus fort…aaah…

 

 

« J’étais sorti de la maison en courant, tout ce donc j’avais eu le droit après qu’il ai à nouveau déversé son plaisir en moi ce fut un simple « Revient quand tu veut ». Je devais m’éloigner de cet homme, même si je sais que je reviendrais.

Et c’Est-ce que j’ai fait, je suis retourné le voire soir après soir. Durant deux longues semaines. Je le laissais me baiser, m’utilisé, m’insulté et s’adonné à toutes ses envi pervers. Du jors m’attaché, me défoncer avec tout les Object qui lui tombé sur la main et même me forcé à le sucer en public. Il avait une imagination débordante en la matière. Je n’étais qu’un vulgaire joué dans ses mains. Et ce n’étais que le début de ma déchéance. Les ténèbres venais juste de m’ouvrir leurs porte et leurs bras puissants mi enfoncer de plus en plus »

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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