Jeudi 15 avril
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23:30
CHAPITRE 6 :
« Il m’avait autorisé à reste cher lui. Est-ce que cela était vraiment la meilleur chose qui puisse m’arrivé ? Je voulais rester à ses côtés autant que je voulais n’en éloigner. Cette homme
et tellement dangereux. À cette époque je ne savais pas encore que je pourrais connaitre une douleur encore plus grande. Je ne vivais que pour lui. Je respirais pour lui. Le jour où il ne voudra
plus de moi. Je n’aurais plus qu’à mourir. » Andy quel âge avait vous ?
-
J’étais assis sur le canapé, de cuire rouge aussi luxueux que le reste du décor. Il avait accepté ma présence à ses côtés seulement si je ne prenais pas trop de place, si je restais bien à la
mienne. Je devais rester assis bien sagement comme un bon petit chien bien obéissant.
Il ne levait même pas les yeux vers moi et prit encore moins la peine d’y répondre. J’avais la sensation d’être invisible, de n’être rien de plus qu’un de ses meubles. Juste un objet que l’ont
expose au regard des autres. Je me levais ne pouvant plus supporter ce silence si oppressent. J’avais besoin de prendre l’air.
- Où vas-tu ?
Sa voix était froide, glacial. Il ne levait même pas le regard vers moi. Je contemplais ce visage impassible qui me hanté à chaque secondes de ma vie. Pourquoi l’ais-je rencontrer ? Pourquoi
dois-je autant souffrir ? Est-ce que c’est une punition. À cause de tous ceux que j’ai moi-même blessé par le passé ? Je me déteste d’être si faible.
- J’ai juste besoin de prendre un peu l’air.
- Ne rentre pas trop tard.
- Oui.
Je sortais de la maison les mains dans les poches, la tête basse. Quand est-ce que j’avais perdu ma dignité. J’avais le cœur en morceaux. J’avais pensé à me tuer mais j’avais été trop lâche.
Alors je n’avais fait que m’entaillé les veines, laissant couler mon sang, laissant couler mon mal être. Mais cela n’avait servis à rien, mon cœur avait recommençais dés que la douleur dans mon
bras ce soit apaisait. Ma vie était un enfer et il en était le maître.
Je marchais dans les rues agité de la ville. Toujours la tête basse. Mes blessures caché sous mon pull. J’avais la sensation désagréable qu’autour de moi tout le monde étaient au courant de ce
que je faisais. De ce que j’étais devenu. Je sentais leur regard accusateur sur moi et c’était bien plus oppressent que le silence de Andy. je n’osais pas relever la tête de peur de croiser leurs
regard emplis de reproche. Le poids de mes erreurs m’empêcher de me redresser.
« Je me regardais pas au je marchais, j’étais loin de savoir qu’à ce coin de rue ma vie aller prendre un nouveau tournant
Alors j’ai fuis, je ne savais pas quoi faire d’autre. Je n’ai pas réfléchis, j’ai fuis. J’ai courus aussi vite et loin que mes jambes pouvaient me porter. J’avais fini par m’écroulais dans un
ruelle sombre. Loin de ta lumière. Les ténèbres c’est là qu’es ma place. Moi être si répugnant et sale.
Qui était tu ? Cette question je me la suis posé tellement de fois. Était tu l’ange rédempteur venu me faire entrevoir le paradis. Où était tu un ange démoniaque venu m’entrainais plus loin dans
les ténèbres, dans ma déchéance.
J’avais peur. Ma vie m’échappais, elle glisser entre mes doigts comme de l’eau et je n’avais aucun moyen de le rattraper. J’avais tellement peur.
À cette époque je ne voyais que Andy. j’étais loin de me douté de ce que cette rencontre aller entrainer. J’était loin de savoir que tu allait te brûlait les ailes pour sauvai un être aussi
misérable que moi. Aujourd’hui encore je me demande pourquoi tu as fait cela ? Alors que je n’étais que son jouet »
.
Je t’ai bousculer dans cette ruelle, sans même levais les yeux je t’ai demander pardon. Je devais rentrer Andy m’attendais mais tu m’as retenu m’empêchant de prendre la fuite. Tu
n’aurait pas du faire ça. J’aurais du être le seul à souffrir. Lorsque j’ai posé mon regard sur toi, j’en suis resté sans la moindre réaction. Ta beauté m’irradier. Tu briller aussi fort que le
soleil sa en était éblouissant. Ton visage était fin, presque androgyne, encadré par tes cheveux brun. Ta peau mat. Mais le plus envoutant était sans nul doute tes yeux. Ses deux émeraudes qui
avait sus capté mon regard. Tu ressemblait à un ange. Tu était si beau, si tentateur. Ton sourire était la plus belle choses qui n’ai été donner de voire. Et ta voix, si le anges existé ils aurait
une voix similaire à la tienne. Douce, chantante, sensuel, pénétrante, tendre. Un ange, c’Est-ce que tu était. J’étais les ténèbres et toi la lumière. Cette lumière qui me brule la peau. Tu
brillait trop face à moi et je me sentais si sal si misérable. Ta beauté me faisait voire toute ma laideur.
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