CHAPITRE 8 :
« La vie nous joue vraiment de sal tour. J’étais prétentieux, con, intéressait par mon seul nombril. Je passais mon temps à faire du mal au personne qui m’entourer. Je vivais dans un monde de
lumière, j’étais aimer de tous, tous étaient à mes pieds, toutes ses femmes qui me désiré. J’étais habitué à être le centre d’attention, à être dans la lumière. Et il a fallu un regard, un
effleurement, un baiser, une caresse, un souffle, un mot. Il avait suffit d’un simple instant pour que mon monde s’écroule et que les ténèbres m’ouvrent leurs bras. »J’étais assis sur le sol
de cette chambre au je me sentais en prison, oppresser. Je voulais partir, fuir le plus loin possible de lui, de cette souffrance, mais j’en étais incapable c’était comme si des chaines invisible
m’attacher à se lieu à cette homme. Et elle était si épaisse que rien ne pouvait les brise. Je m’étais pris une sacré claque en le rencontrant, et je n’arrivais pas en me relevais. Hier soir
j’avais fait tout ça par amour et je me sentais tellement sale. Si répugnant. Je sentais encore ses mains sur mon corps. Je n’étais offert à lui juste pour qu’il m’aime un peu. Mais pour lui je
ne suis qu’un jouet sans la moindre importance. Lorsqu’il ce lassera de ma présence il me jettera dehors comme le chien que je suis devenu. Je fermais les yeux et l’image de l’ange s’imposer à
mes yeux. J’avais envie de le revoir même si je sais que je m’en aurais sans nul doute jamais l’occasion. Je ne me suis rien pour lui. Jamais je n’aurais crus pouvoir tomber amoureux d’un homme,
d’un monstre. Connaissez-vous cette citation « quaerens quem devoret. »
Expression de saint Pierre pour caractériser le démon : « Tenez-vous sur vos gardes, car le démon, votre ennemi, tourne autour de vous comme un lion rugissant, cherchant quelqu'un
à dévorer. » pour moi il était ce démon qui tournais autour de moi attendant de me dévoré. J’avais céder à mon désir juste une fois, cela c’était transformer en ce monstre assoiffer qui attendait
tapis dans l’ombre de bondir et de punir ma faiblesse.
Je sursautais lorsque j’entendais la porte s’ouvrir. Depuis combien de temps est-ce que j’étais assit sur ce sol froid, des heures sans doute. Je relevais la tête pour le voire ce dressant devant
moi, une assiette à la main. Pourquoi fallait-il qu’il soit aussi beau ? J’étais si misérable et lui si majestueux. Il portait encore un de ses costumes hors de prix. Il allait sans doute au
travail. Non c’était dimanche, il ne travaillait pas. Il attendait sans nul doute quelqu’un.
- Tu as l’intention de restait tout la journée là. Mon frère vient alors va te préparé et fait toi beau.
- Oui maitre. Répondais-je d’un ton monocorde.
Il s’agenouilla devant moi et je fus surprit de le voire me tendre un coffret. Je fixais la boite étonné.
Je me levais avec peine pour sortir de la pièce alors que je sentais son regard brûlant sur moi. Mais je ni prêtais pas attention. Je savais très bien que la seule chose qui veut de moi c’est mon
corps. Tout mon corps était douloureux. J’arrivais avec peine à me glisser dans la cabine de douche, le contact de l’eau chaude sur ma peau froide me fit frémir. Je fermais les yeux laissant
l’eau détendre mon corps. J’avais envie de pleurait, mais aucune larmes me sortait de mes yeux. Alors j’attrapais à nouveau les ciseaux posait sur le porte savons entailler à nouveau ma chair. Ma
vie n’avait pas vraiment d’importance, je n’étais qu’un simple jouet. Je fermais les yeux me laissant sombrait encore plus.
Je finis par le rejoindre une heure plus tard, j’avais bandé mon poigner pour caché mes blessures. J’avais enfilé un jean blanc, et un polo blanc. J’eu à peine le temps de leurs faire face qu’il
m’envoyait une claque monumentale. Elle était si forte que je perdis l’équilibre et m’écroulait sur le sol.
- Merde je t‘offre un collier bleu et tu t’habille en blanc. Tu es con au quoi ?
- Pardon, je vais aller me changer.
Il m’attrapait par le menton pour m’obliger à relevait la tête. Pourquoi jouait-il de la sorte avec mon cœur. Il était si violent dans ses gestes dans ses mots, et pourtant là, dans cette façon
qu’il avait de me tenir il était tendre. C’était ses simples moments de tendresse qui me rendait encore plus amoureux de lui. Suis-je donc devenu fou ?
- Je t’en pas le blanc te va si bien.
- Non j’ai eu la prétention de croire que cela pourrait m’aller. La seul couleur que je peux portait et le noir.
Pourquoi est-je mit ses vêtement qui me vont si mal. Je me sens si sale, si misérable. Il m’attirait un peu plus vers lui, frôlant ses lèvres des miennes, ce contact me rendait encore plus faible
encore.
- Moi je trouve que le blanc te va à merveille mon ange déchut. Aller lève toi, il va arriver. Et tient toi tranquille.
- Oui.
- Tu ne m’appelle plus maitre ?
- Oui. Maitre.
- Hum j’adore ça. Sa m’existe.
Je me redressais, baissant à nouveau la tête, le point de ma honte m’empêchait de la relever. Cet homme ne faisait me sentir tellement pitoyable. J’entendis résonner la sonnerie de la porte
d’entré et je n’eu pas vraiment le temps de le réaliser que Andy m’attrapait par le bras pour me tirait vers la porte. Il avait encre me présentait comme son petit chien bien obéissant.
- Salut grand frère sa fait plaisir de te revoir.
Cette voix était si douce, si chantante, pleine de vie. Et lorsque je l’avais entendu j’avais sentis mon cœur exploser. Cette voix je l’avais déjà entendu. Mais je devais être en train de rêver.
- Tu n’as pas changé Tenshi, toujours aussi beau.
- Sans doute. Dit c’est un nouveau ?
- Je te présente Jaylan mon nouveau petit chien. Aller Jay relève la tête et dit bonjours à mon frère.
« Il à suffit d’une secondes, d’un instant pour que je sombre encore plus. Le fin rayon de soleil qui avait réussit à percer les ténèbres qu’il avait érigé autour de moi venait de s’effacer.
J’Y avait crut, durant quelques minutes j’avais crut qu’il pourrait m’aider. Mais je n’étais trompé, il ne deviendrait pas la lumière que je cherche temps. »
- Tien cadeau.
- C’est quoi ? Demandais-je en prenant le coffret d’une main tremblante. IL m’offre un cadeau, à moi qui n’ai rien d’autre d’une joue pour lui. J’ouvrir le coffret et le lâchais aussitôt en on
découvrant le contenu. Un collier, un collier de chien. Je ne suis donc que cela pour lui. Il prit le collier, il était bleu foncer, je me faisais aucun mouvement alors qu’il s’approchait de moi
pour attachait cette chose autour de mon coup. Il m’attrapait par le menton pour m’obliger à le regardait, alors qu’il affichait un regard satisfait et un large sourire.
- Comme ça tu m’appartiens. Personne ne peut passer les mains sur toi sans mon autorisation. Alors va te préparait et rejoint moi en bas. Ne me fait surtout pas honte.
Derniers Commentaires