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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Lundi 1 mars 1 01 /03 /Mars 10:13

petit rapelle: noir pov Adrien
                   bleu pov Jackson
                   rouge pov Milan
voila bonne lecture. et laisser plein de com's^^


CHAPITRE 14 :

 

 

  previews-animes_20070525_224134.jpg

 

            Lorsque j’ouvrais les yeux, j’étais encore dans la cabine de Jackson allongé dans son lit sous les couvertures, où était-il ? Je me redressai et le vis allongé dos à moi collé contre le mur comme s’il essayait de mettre le plus de distance possible entre nous. Pourquoi ? À cause d’ hier soir ? Je ne comprenais pas. La dernière fois qu’il m’avait sucé, il avait aimé ça. Pourquoi est-ce que cette fois-ci, ça semblait le déranger ?

            Il était allongé sur les couvertures, tremblotant à cause de la température basse. Il avait enserré ses genoux de ses bras, il était comme un enfant qui essayait de se protéger du monde extérieur. Je me penchai par-dessus lui pour voire les larmes séchées sur ses joues. Il ressemblait vraiment à un enfant perdu et je ne pus que me sentir un peu coupable de lui avoir fait ça, cette nuit. Je m’étais servi de lui pour assouvir mon désir en pensant à Alizé.

            Je me levai et me dépêchai de m’habiller pour sortir de la cabine. Aussi vite que je le pouvais.

 

 

            Je sorti sur le pont et me dirigeai vers l’avant du bateau, m’accoudant à la balustrade, regardant le soleil se lever sur cette immensité bleue qu’il chérissait tant. Cet homme était un véritable mystère pour moi. Lorsqu’il était avec les membres de son équipage, il était si fort, si sûr de lui. Si charismatique. Si fier de lui, si détestable. Dans ses moments-là, j’avais envie de le tuer. Mais lorsqu’il était avec moi, que l’on était seul, juste tous les deux, il devenait totalement différent, tout l’opposé de celui qu’il était à l’accoutumée. Il était si timide, il semblait si fragile, j’avais l’impression qu’il pouvait se briser à chaque instant, il ressemblait à un enfant, et il était si adorable que j’avais juste envie de le prendre dans mes bras, de le serrer aussi fort que je le pouvais. Et je détestais encore plus avoir ce genre de pensée. Il me troublai. Je détournai les talons pour rejoindre ma cabine. J’avais besoin d’être seul, de cesser de penser à tout ça. Poser le pied sur ce bateau avait boulevrsé toute ma vie. Et il était impossible de faire demi-tour.

 

           

 

 

            J’avais froid, il faisait tellement froid. J’ouvris les yeux et je ne le trouvai pas à mes côtés, ce qui rajouta à mon mal être. J’avais mal à la tête et envie de vomir. J’avais pleuré une bonne partie de la nuit, incapable de trouver le sommeil. Je me levai et me passai de l’eau sur le visage pour essayer de faire disparaitre les traces de pleurs, mes yeux rougis et cernés. Je ne devais pas perdre la face à cause de ce petit con.  J’avais l’impression que mes jambes allaient lâcher, j’avais des hauts de cœur. Je posai mes mains sur le bureau essayant de calmer mon angoise.

Je serais incapable de dire combien de temps il m’a fallu pour me remettre, je me redressai, attrapai ma veste, pris les deux sabres posés sur la commode et sortis de la cabine.

- Milan. Réveille les hommes, je les veux prêt à combattre dans cinq minutes.

- Mais Jack…

- Pour une fois, ne discute pas, Milan. Va faire ce que je te demande. Ça fait bien longtemps que je ne me suis pas servi de ses sabres. Ils vont rouiller. Alors fais vite, je n’ai pas toute la journée. 

- oui, capitaine.

Je voulais juste déverser ma haine, ma colère, ma rancune, ma frustration. Il fallait que je me défoule ou j’allais devenir fou, j’allais m’écrouler en larmes devant lui. Je lui avais déjà que bien trop montrer ma faiblesse. J’avais essayé d’ouvrir mon cœur mais on me l’a aussitôt brouillé alors à présent je le laisserai verrouillé. Je ne voulais plus jamais souffrir de la sorte. 

 

 

 

            J’avais fini par me rendormir dans ma cabine fatigué de toutes ses réflexions qui ne menaient à rien. J’aurais préféré ne jamais le rencontrer. Je fus réveillé par un boucan monstre venant de l’extérieur. Qu’est-ce qu’il se passait ? Je me levai et me dirigeai vers la porte, bien décidé à les faire taire, et je vis les pirates regroupés sur le pont sabre à la main. L’homme qui était en face de moi tomba à terre et je vis Jackson sur lui ses deux mains occupés par des sabres qui tenaient en respect deux autres pirates. Son regard se planta dans le mien, il était vraiment différent de celui que j’avais vu ce matin. Il n’était plus aussi faible et fragile. Je reculai jusqu’à ce que mon dos rencontre le mur. Son regard était si froid, vide de toutes émotions. Comment pouvait il être aussi différent ? Il était terrifiant et envoutant à la fois, incroyablement attirant.

            Je pris peur lorsque je vis un autre de ses pirates se dresser derrière lui, sabre brandi prêt à le frapper. Je voulus ouvrir la bouche pour le prévenir mais il m’avait devancé et sa lame était déjà sous la gorge de cet homme alors que ses yeux me fixaient toujours avec la même froideur. Et j’étais bien incapable de détacher mon regard de lui. De ce regard si différent de celui qu’il m’adressait d’habitude. Et bien malgré moi, ce regard m’excitait. Il finit par se redresser pour reprendre le combat. Et il était, wouah, renversant. Comment pouvait-il combattre avec deux sabres avec une maitrise aussi bonne ? Le spectacle qu’il offrait était des plus envoutants. On aurait dit qu’il dansait dans le vent. Qu’il ne faisait plus qu’un avec ses sabres. Qu’ils étaient le prolongement de ses bras.

 

            Je fus sorti de ma contenplation lorsque je les vis tous s’écarter de Jackson qui fixait le ciel en silence. Il était en sueur, sa chemise était déchirée, il avait de multiple coupure sur le torse et le visage, le sang sur sa peau le rendait tellement érotique.

Milan me tendit un sabre, me faisant comprendre que je devais le combattre. Mais j’étais bien trop obnubilé par  la vision de son corps, de son torse se soulevant au rythme de sa respiration, sa lèvre fendue d’où s’écoulait son sang que j’avais envie de léché. Et son regard haineux. J’avais envie de le dévorer sur place, de sentir son corps contre le mien.

            Je fini par prendre le sabre et m’avançai vers lui en tremblant alors qu’il me fixait avec ce sourire qu’il avait lors de notre première rencontre. Je me sentis si faible face à lui subitement.

 

 

            Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour prendre le dessus sur moi.  Il me cloua au sol prenant place sur mon bassin. La lames de son sabre sous ma gorge, je dégluttis avec difficulté le fixant, son regard était toujours aussi froid et vide de la moindre émotion. Je sentais mon sexe durcir juste à cause de son corps contre le mien et de son regard moi. Et je ne réfléchis pas plus, ma main attrapa sa nuque l’attirant plus prêt de moi. Je pouvais plus me contrôler.

- tu m’excites trop là.

            Je l’attirai encore plus prêt, collant ses lèvres au miennes. Sous la surprise, il en lâcha son sabre et je pris le dessus sur lui, allant enfoncer ma langue entre ses douces lèvres qui m’avaient tant manqué. Ce baiser au goût de son sang me rendait totalement fou. Il ne bougeait pas, il ne me rendit pas mon étreinte. Je pressai mon bassin contre lui, glissant ma main sur son torse. J’avis terriblement envie de le faire mien à l’instant, je m’en moquais de tout ses pirates qui nous entouraient.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Vendredi 26 février 5 26 /02 /Fév 21:13

CHAPITRE 9 :

 

 naruto_shippuden_265.jpg

- Tu as une toutes petite mine Andréas.

J’étais tellement perdu dans mes pensés que je ne m’étais pas rendu conte de la présence de Jean. Je me retournai vers lui, souriant du mieux que je le pu. Il s’approchait de moi, posant sa main sur ma joue.

- Qu’es ce qui ce passe Andréas. Tu as l’air de souffrir.

- Non, je vais bien. Ne t’inquiète pas. Tu veut boire un verre.

Je lui souriais, il était mon seul ami et sa présence me faisait du bien.je tournai la tête lorsque j’entendis des pas dans les escaliers. Sean s’immobilisait lorsqu’ils nous vit. Jean avait toujours sa main sur ma joue et en étaient proche. Qu’es ce qui ce passé dans sa tête à cette instant. Je ne réféchisais pas plus longtemps et attrapa Jean pour le serrais dans mes bras, me blottissant contre lui.

- Qu’es…

- s’il te plait sert moi contre toi juste quelques seconde.

- Oui. Répondit-il en m’enserrant de ses bras. J’entendis ses pas s’éloigner. Es ce que sa l’avait blessé de me voire dans les bras d’un autre. Non je me faut des illusions. Il n’en as rien à faire. Je m’écarta de Jean lui adressant un pâle sourire.

- Que c’est il passé Andréas ? Parle moi.

- Vient prendre un café.

Je lui avais tout raconté, j’aurais cru qu’il m’aurait rejetais en entendant que j’était gay et que j’avais couché avec un homme. Mais il ne la pas fait. Il ma écouté avec attention, il ma consolé, il ma donné des conseil. Heureusement que je l’avais pour me soutenir.

 

 

Les jours s’égrainaient inexorablement, déjà trois mois c’était écoulé depuis cette nuit que nous avions passé ensemble. Et il s’en tenait à ce que je lui avait dit il n’essayer plus de me parlais où de m’approché. Ce contentent de me saluer de loin. Et je devais lutter contre moi-même pour ne pas lui sauté dessus. J’étais en manque de lui, de ses lèvres, de ses mains, de ses bras, de son corps, de son être entier. Mais je ne pouvais qu’être mal heureux avec lui. Il n’était pas fait pour moi. Il ne serrait jamais mien.

 

J’étais occuper à désherbé les parterre de fleures. J’avais l’impression de sentir un regard sur moi. Et lorsque je tournais la tête je fut surpris de voir Sean appuyait contre un arbre qui me fixait avec son regard pénétrant comme s’il essayer de lire en moi. Que cherchait-il à trouvé ? Lorsqu’il vit que je le regardais il baissa la tête. C’est bien la première fois que je le vois baisser la tête devant moi. Il ce détournait pour repartir vers l’immeuble. Ce n’était pas la première fois que je le surprenais à me regardais comme ça. Je ne le comprend plus.

 

 

- ça fait trois mois.

Je sursautais, je venais juste de sortir de mon appartement et il était là assit sur les marches. Il semblais fatigué, les traits tiré. Plus aussi digne et hautain qu’il l’était avant. Depuis combien de temps attendait-il que je sorte. Il fixait le sol. Comme s’il avait peur de me regardais. J’avais l’impression que les rôle venaient d’être inversés.

Que ce passe t-il dans ta tête Sean ? Si seulement je pouvais le savoir.

- De quoi parliez vous ?

- Trois mois que l’ont à couché ensemble, et presque autant de jours où je n’es pas eu la moindre relation sexuel. Putain je suis jamais resté aussi longtemps sans baiser.

- Et…

- Et tous cela et de ta faute. Tu n’es qu’un petit con.

- Je le sais. Je n’ai pas besoin que vous me le rappeliez.

Il glissa ses doigts dans ses cheveux baissant encore plus la tête. Sa voix ce fut alors plus basse, plus incertaine, plus douloureuse.

- Je te l’ai dit. Je ne sais pas ce que c’est d’aimer. Mais je t’ai fait du mal et tu n’as pas idée à quel point je peux m’en vouloir. Je n’arrête pas d’y pensé. De pensé à toi. Tout le temps sans cesse. J’arrive pas à pensé à autre choses.

- Je ne comprend pas. Mon cœur bâter la chamade. Il pense à moi. Qu’es ce que ça veux dire. Je voulais aller vers lui, le prendre dans mes bras pour qu’il cesse de ce tourmentait mais je ne devais pas craqué. Pas maintenant. Il relevait enfin la tête vers moi, ils étaient remplis de doutes et d’interrogation. Laisse moi savoir ce que tu as dans le tête Sean.

- Je ne comprend pas moi-même. Répondait-il avant de ce lever il passait à côté de moi et lorsque nos corps ce frôlaient je cru m’effondré. Je suis entrain de devenir fou. Pourquoi ne donne t-il de l’espoir alors que je veux l’oublier. Il sorti de l’immeuble et mes jambes cédaient m’envoyant rencontré le sol.

 

 

Ce soir la je fus sorti de mes pensé noir par des coups à la porte. Je me levais pour aller ouvrir et tombais nez à nez avec Sean que me fixait en silence.

- Il ni as pas de courrier pour vous. Bonne nuit.

Je refermais aussitôt la porte. Je ne pouvais pas lui faire face où j’allais craqué. Je sursautais lorsqu’il frappa à nouveau à la porte.

- Andréas laisse moi rentré.

- J’ai dis que je ne voulais pas couché avec vous.

Mon cœur bâter si fort que j’en avais mal. Que cela cesse. Qui cesse de jouais avec mon cœur où il allait ce briser.

- Et ce que moi je veux tu t’ne moque.

- Non.

Je me laissai glisser le long de la porte, je ne lui ouvrirai pas. Mais je vais quand même écouté ce qu’il as à me dire.

- je veux pouvoir te regardais. Je veux pouvoir te touchait. Te prendre dans mes bras. Sentir ta chaleur contre moi. Ton cœur battre. Je veux pouvoir à nouveau sentir tes lèvres. Je veux pouvoir à nouveau faire l’amour avec toi. Pas baiser, faire l’amour. Tu…tu es la seule personne à qui j’ai fait assez confiance pour faire l’amour sans utiliser de préservatif. Àprés avoir passé la nuit avec toi je n’ai plus réussit à prendre du plaisir avec un autre homme. Je n’arrêtais pas de te regardait, de pensé à toi. Il…entre toi et le facteur il y as quelque chose , c’est lui que tu aime maintenant.

- Non…il ni as rien.

- Andréas. Laisse moi entré, je veux juste te prendre dans mes bras. Passer la nuit avec toi. Passer le reste de mes jours avec toi. Es ce trop tard André.

- C’est Andréas.

- Non je préfère André. Parce que je suis le seul à t’appelait comme ça. Laisse moi une dernière chance.

Non je ne veux plus souffrir. Mais qu’es ce qui me fera le plus souffrir ?

D’être avec lui ?

Où d’être loin de lui ?

J’entendais son souffle à travers la porte. Je sentais sa présence. Je me redressais posant mon front contre la porte laissant couler mes larmes.

- va t’en Sean.

 

 et voila c'est fini. alors cher lectrice c'est à vous de choisir.

épilogue où pas épilogue. question trés importante. 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
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Jeudi 25 février 4 25 /02 /Fév 09:50

 

 

 

CHAPITRE 13 :

 

 

 pov Adrien

J’avais du laissait Alizé au port. Elle avait compris mon choix même s’il avait était le plus difficile qu’il n’avait été demandé de faire. Tout ca à cause de ce connard de pirate. J’avais rejoint le bateau au tout dernier moment le regardant le port et ma chère et tendre. Un pirate m’avais enlevé mon frère un autre venait de m’enlever celle que j’aime. Je ressens tellement de haine à son encontre. Je le déteste.

 

 

Je sentais un regard haineux posait sur moi et du coin de l’œil je pus voire Milan qui ne fixait avec un regard des plus meurtrier. Je vis Jackson le rejoindre ils parlaient en me regardant mais je n’entendais pas le contenu de leur conversation. Je vis Jackson sourire à Milan lui il s’en foutait, lui il ne souffrait pas. Il était d’un égoïsme. Je reportai mon attention sur le large.

 

Je fini tout de même par me retourné vers lui, lui jetant un regard plus glacial que les vents polaire. Je vis de la douleur dans son regard. Souffre t-il autant que moi ? Non je veux qu’il souffre encore plus. Je détournai les talons pour rejoindre ma cabine je ne voulais plus voire sa sale tronche.

 

 

Je n’évertué à l’évité le plus possible, à chaque fois que je passé à côté de lui je ne le regardé pas, je ne lui parlais même pas. Je l’observé de loin alors qu’il était perdu dans la contemplation de l’océan son regard débordé de tristesse. J’espère que mon indifférence le blesse. Qu’il en souffre.

Je ne le comprends pas en revenant sur ce bateau j’ai accepté d’obéir à tout ce qu’il ne demanderait alors pourquoi ne fait-il rien ? Pourquoi ne me demande t-il rien ? À quoi joue t-il ? Il passait ses journée à la barre, où à étudier des carte, où encore à regardait la mer. Comme s’il essayer de la sonder. Que cherché t-il dans ses profondeur ?

 

 

Il était entrain de parlais à ses hommes alors que je l’observer encore de loin. Il semblerait que nous arriveront au port dés demain matin et qu’il en profiterait pour recherché des infos sur Gus le Rouge. Je le vis regagner sa cabine. Et je le suivis entrant à sa suite sans faire de bruit. Il commença à détaché sa chemise je ne sais pas ce qui ne prit mais je m’approchai de lui collant mon torse à son dos, je le sentis ce figé à ce contact. Je retirai ses mains et entreprit de détaché moi-même les boutons de sa chemise. J’avais envi de sexe et il était là alors autant me servir de ce que j’ai sous la main. Après tout il adore ça. Je nouai mes bras autour de son torse collant mon sexe gorgé d’excitation contre ses fesses que je désiré tant pénétrer, je voulais lui faire perdre son arrogance, perdre de sa superbe, le faire souffrir comme il me fait souffrir. Je le sentais tremblé entre mes bras. Je caressais son ventre du bout des doigts le fessant tremblé encore plus.

- Dris…

Sa voix n’était qu’un murmure à peine audible. J’avais l’impression qu’il allait ce briser entre mes bras, qu’il allait s’écroulé à cette instant même si je ne voyais pas son visage j’étais sur qu’il était aux bords des larmes. Mais je n’allais pas avoir pitié de lui, je n’étais venu que pour une seul chose faire passé ma frustration.

- chut. Soufflais-je à son oreille.

Je le fis avancé vers le lit le retournant avant de le jetais sur le lit me plaçant sur son bassin emprisonnant ses mains des miennes pour me pas qu’il cache son visage blesser au bord des larmes. Cette vue me réjouis au plus haut point. Je me penchai vers lui plus je me rapproché de son visage et plus ses tremblement était violent. C’est moi qui le mets dans cet état ? Mes lèvres frôlaient sa joue, j’entendais son souffle ce faire plus rapide et irrégulier et je me pus retenir un sourire alors que je pris le lobe de son oreille entre mes dents le faisant gémir doucement, je pressai plus fort mon bassin contre le sien et cette fois si son gémissement fut bien plus fort. Je fis remonté mes lèvres le long de sa joue e frôla les siennes il avait fermé les yeux et avait serré les poings. Il semblait au bord de la rupture. Je venais de gagner sur lui juste avec quelques caresse. Il était tellement faible. Tellement pathétique. Je le déteste je le déteste tant pourquoi ? Pourquoi à t’il fait ça ? Je le déteste.

- pourquoi ? Pourquoi m’avoir forcé à choisir ? Tu n’es qu’un monstre Jackson. Je te déteste.

 

 

 pov Jack

- c’est trop dangereux pour elles…ont va arriver dans un port remplis de pirate…c’est trop dangereux pour une jeune femme. Si j’aurais put je l’aurais gardais à bord…je suis désolé.

- ne ment pas. Tu la déteste. Tu es jaloux d’elle.

- je suis désolé répondis-je dans un murmure en détournant la tête pour caché la tristesse qui devait être plus que visible dans mon regard. J’avais tellement envi de pleurais.

Il prit mon menton entre ses doigts avec fermeté me forçant à affronté son regard emplis de haine et de rage. Il ne fessait mal mais je me voulais rien faire paraitre. Il me rend tellement faible.

- j’ai beaucoup de mal à croire que ce soit toi le capitaine de ce bateau. Tu ne semble pas avoir ce qu’il faut dans le pantalon pour diriger ce bateau. Tu n’as même pas le courage de m’imposé ta propre volonté. D’agir comme un pirate. Tu es si pathétique Jackson.

- s’il te plait sort d’ici. Si c’est juste pour me rabaisser alors tu ma rien à faire ici. Je n’ai jamais forcé qui que ce soit à faire quelque chose contre sa volonté. Je suis peux être un monstre mais il y à des limite. Sort d’ici tout de suite.

Je réussi à détourné à nouveau la tête. Je veux qu’il parte qu’il cesse de me faire souffrir. Pourquoi à t-il fallut que je le rencontre.

- je ne sais pas quoi pensé. Tu es si détestable et à la fois si…je n’arrive pas à te comprendre et sa m’énerve vraiment. Regarde-moi Jackson.

Je plongeai mon regard dans le sien essayant de retenir mes larmes. Dans ses yeux il y avait un mélange de haine et de désir mêlé. Moi non plus je ne le comprends pas et c’est tellement frustrant. Il ce mit à ondulé du bassin contre moi me faisant sentir son excitation. Je me pus empêcher un gémissement de franchir mes lèvres. Pourquoi me rend t-il aussi fou avec juste un simple contact. Je suis entrain de me perdre. Je voulais tellement qu’il m’embrasse, qu’il me serre dans ses bras. Qu’il me caresse. Mais j’étais incapable de faire le premier pas. Même si ses mains m’entravé pas les mien je n’aurais pas put. Je suis si faible face à lui. Son visage ce rapproché doucement du mien mon cœur s’emballa, je fermai les yeux ne sentant plus que son souffle caressé mes lèvres. Je le laisse faire ce qu’il veut de moi.

- j’ai terriblement envi Jackson.

- fait ce que tu vaux. Répondis-je en essayant de capturé ses lèvres, elles me manquent tant, je veux encore les sentir contre les miens, je veux encore l’embrassé. Mais je le sentis s’éloigner de moi, lorsque j’ouvrir les yeux je le vit agenouillé devant moi il avait retiré sa chemise exposant son torse musclé et si désirable. J’avais tellement envi de le touché, de faire glisser mess doigt sur sa peau halé. D’embrassé chaque parcelle de sa peau, pouvoir à nouveau en savourais le goût. Il prit ma main la posant sur son torse la faisant glisser jusqu’à son sexe. Je compris alors ce qu’il voulait. Il voulait juste te vidé les couilles et il allait ce servir de moi pour ça et le pire dans tout sa c’est que j’allais le laissais faire. Il ce moqué royalement de ce que je pouvais ressentir. Je voulais juste qu’il m’embrasse qu’il me caresse, qu’il me fasse l’amour. Mais lui il voulait juste ce servir de ma bouche. Parce que je l’aimer j’allais le laissé faire comme tout ses hommes avant lui. J’avais été une pute pour pouvoir navigué, à présent je vais devenir une pute pour l’homme que j’aime. N’es ce pas ça le plus dégradant de tout ?

 

Je détachai son pantalon essayant de dissimulé les tremblements incessant de mes mains. Je ressemblé à un enfant apeuré, il doit me trouvé encore plus pathétique. Je pris son sexe en main le caressant avec douceur, je n’oser même pas le regardais. Je me redressai pour arriver à la hauteur de son pénis. Je le caressé du bout de la langue. Je gardais les yeux fermé pour imaginé qu’il me fixait avec amour et pas juste avec désir. J’avalai sa verge jusqu’à la bourse alors qu’il ce mit à gémir de plaisir me posant à aller plus vite en agrippant mes cheveux, il me fessait mal, il était si violent. Mais je ne disais rien, je voulais qu’il prenne du plaisir, qu’il devienne accro à moi comme je l’étais de lui. Et pour sa j’étais près à faire m’importe quoi. Ce que je peux ne détester lorsque je pense comme ça. Je jouais avec ma langue pour le faire gémir, il semblait adoré ce que je suis entrain de faire. Alors j’y mettais encore plus de fougue. Je relâchai sa verge pour aller embrassé ses testicules, les mordillant, les suçant alors que mes doigts s’occuper de son sexe. Il tira sur mes cheveux pour me forcé à reprendre son sexe en bouche. J’avais l’impression que j’allais m’étouffé il y aller tellement fort et moi je tenté tant bien que mal de retenir mes larmes. J’ai si mal. J’ai pourtant subis tellement plus humiliant que ce qu’il est entrain de me faire subir. Mais venant de l’homme que j’aime c’est incroyablement blessant et douloureux.

Il s’enfonça dans ma bouche aussi profond qu’il le put et m’obligea à avalé sa semence.
Je restai figé sa verge toujours en moi, alors qu’il essayer de reprendre son souffle. Cette fois ci je ni avais pris aucun plaisir. Je n’avais était qu’un objet sexuel que l’ont utilisé pour ce vidé, sans ce penser à ce que je ressens. Il ce retira d’entre mes lèvres et s’écroula sur le lit à côté de moi. Je restai allongé sur le lit, incapable de faire le moindre geste. Sa respiration ce fit plus lente, et il fini par s’endormir me laissant seul avec ma douleur.

- Alizé.

Ce fut le nom de la blond qui franchi ses lèvres, brisant à nouveau mon cœur. Je m’écroulai sur le lit dos à lui, me recroquevillent sur moi-même autant que je le plus, pleurant comme je n’avais encore jamais pleurais. Sa fessait si mal. Je voulais que cela cesse. Tout et de la faute à cet amour qui ne serra jamais réciproque. Je voudrais m’arraché le cœur pour me plus jamais avoir à souffrir.

 

 

 

Ses mots étaient si douloureux comme une nouvelle lame qu’il venait d’enfoncé dans mon cœur déjà si meurtri. Pourquoi ? Parce que je suis si jaloux d’elle qui peu t’avoir. Je la déteste tant. Je suis tellement égoïste. C’est toi qui ne transforme en monstre Adrien. L’avoir tout contre moi me rendais totalement fou, il le voyait et il en joué.

 



je sens que je vais me faire détesté. je vais aller me caché
Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Jeudi 25 février 4 25 /02 /Fév 09:45

CHAPITRE 12 :

 

 pov Adrien

J’étais descendu dans l’une des hôtels du port. Pour réfléchir à ce qu’il n’avait demandé. Partir avec eux et laissé Alizé ici, seule. De devoir me plier à ses ordres. Je m’en avais pas la moindre envi, je pouvais me barré, il nous avait donné assez d’argent pour tenir un bon moment. Mais on ce ferait à nouveau dépouillé. Et puis c’est de l’argent sale, l’argent d’un pirate. Je n’en veux pas.

 

 

J’étais appuyer contre la fenêtre regardant le port, de la je voyais très bien le bateau de Jackson. Ce fier bateau. Je me demandé ce qu’il pouvait bien faire à cette instant. Il devait encore être entrain de contemplé la mer. Est-ce qu’il pensait à moi en cet instant. Est-ce qu’en regardant cette étendu bleu, il pensait à moi. À mes yeux. Non, cette homme et amoureux de l’océan, il ne peut pas le possédait alors il me veut moi. Je ne suis que la représentation humaine de ce qu’es l’océan à ses yeux. Cette idée et douloureuse. Je veux qu’il me regard moi, pas cette eau fade sans le moindre intérêt. Je chassai vite cette idée de ma tête.

Je remarquai quelques chose qui m’étonna le bateau il ne porté aucun nom, pourtant les pirates donnaient toujours un nom à leur bateau, c’était une marque d’appartenance, de fierté, pourquoi pas lui ? Celui de Jackson était sans nul doute le plus imposant le plus majestueux de ce port et tous ce que j’avais purent croiser. Et je me posé toujours autant de question sur la façon donc il avait put acquérir ce bateau.

Je me retournai vers Alizé qui était allongé sur le lit, recouverte d’un simple drap. Je lui avais fait l’amour jusqu’à ce qu’elle en tombe d’épuisement. Je m’asseyais à coté d’elle, faisant glisser mes doigts sur sa joue.

Je repensé à ce qui c’étais passé ce matin, j’avais eux envi de l’avoir, de le prendre. Je n’avais pas compris cette tristesse dans son regard lorsque je lui avais demandé de ce retourné. S’il m’aime il aurait dû être heureux de s’offrir à moi. Alizé elle aime ça elle. Peut être que c’étais sa première fois. Peut être que je n’aurais pas du y aller aussi franco. Mais je ne peu pas lui faire l’amour, je ne l’aime pas. Je ne peu pas laissé Alizé seul. Mais je dois aussi retrouver mon frère je sais plus ou j’en suis ce connard à trouvé la bonne carte à joué pour me foutre le cerveau en vrac.

 

Je fermai les yeux et je le revis sur ce lit, totalement offrait à moi et sa m’existé j’aurais put prendre mon pied dans son cul. Si seulement ce connard de Milan n’était pas entré. Je revois Jackson dans ses bras et je sens la colère monté en moi.

pov Jack
Je m’allongeai à côté d’Alizé, l’embrassant avec douceur. Le choix était difficile. L’abandonné la pour retrouvé Shawn, je les voulais tout les deux. Et ce connard m’imposé ce choix et je le déteste encore plus pour ça. Je le maudisse de cette souffrance qu’il m’infligé. Et j’espère qu’il souffre autant que moi. Que lui aussi m’arrive pas à dormir tiraillait par ses remord. Seul dans sa cabine.

 

 

 

J’étais allongé sur mon lit, à vrai dire je n’en avais pas bougé depuis qu’Adrien avait quitté le bateau. Je n’avais même pas la force de me lever pour observer la mer. Elle me rappelé bien trop ses yeux bleu, si froid, sa me faisait que ne rendre bien plus triste.

Le bateau avait repris le large après trois jours comme cela avait été prévu. Et aucune ne trace de mon amour. Il avait préférait rester cette femme et moi je me retrouvé à nouveau seul.

Je décidai de sortir du lit, je devais me reprendre j’avais un bateau à dirigé. Je ne vais pas m’arrête de vivre à cause d’un mec. Je vais reprendre ma vie d’avant, tourné la page, l’oublier.

Je me changeai et sorti de la cabine respirant l’aire frais de la mer. Je montai sur le pont supérieur pour rejoindre Mila qui était à la barre. Il ne m’avait pas entendu arriver le regard rivé vers la proue. Ses yeux étaient remplis de haine et de colère. Que pouvait-il bien voir pour avoir un tel regard qui était si doux et tendre à l’accoutumé. Je dirigeai mon regard vers là où ce porté le sien et je sentis mon cœur éclaté, je cru que j’allais m’écroulé, j’avais l’impression que le sol ce dérobé sous mes pieds. Je me retenais de justesse à la balustrade essayant de reprendre mes esprits. Qu’es ce qu’il m’arrive à la fin ? Il est entrain de me rendre totalement fou. Il était à l’avant du bateau fixant le port que nous venions de quitter. Il était venu mais à contre cœur. Ce n’es pas avec moi qu’il à envi d’être mais avec cette fille. Qu’à telle de plus que moi ? Je peux le rendre cent fois, non infiniment plus heureux quelle ne le pourra jamais. Parce que je l’aime comme personne d’autre ne pourra l’aimé un jour. Pourquoi ne le voit-il pas ? Mon cœur me faisait si mal que j’avais l’impression qu’aux mains venais de m’enfoncé la cage thoracique pour venir prendre mon cœur et le serrer jusqu’à le faire éclaté.

 

Je repris tant bien que mal mes esprits pour rejoindre Milan posant ma tête sur son épaule essayant de me pas regarder cette homme qui me fait tant de mal.

- Milan va te reposer tu en à bien besoin.

- Jack nous aurions dû le laisser là bas avec sa catin. Il te fait du mal.

- milan s’il te plait arrête. Répondis-je dans un murmure alors que la pression autour de mon cœur ce fit plus forte encore. Que la douleur cesse. Elle devient insupportable. Elle n’a de cesse de me consumé. C’est la première fois que je ressens autre chose que de l’indifférence, où de la haine. C’est peut être douloureux. Mais la douleur nous prouve chaque jour que nous somme vivant. C’est une douleur atroce qui ne fait nourrir un peu plus à chaque seconde où je le vois. Mais lorsqu’il n’est plus là je cesse d’existé.

- tu l’aime temps que sa ? Je perçois de la tristesse dans sa voix. Je glissai mes bras autour de sa taille le serrant dans mes bras.

- oui. J’ai l’impression de devenir totalement fou.

- s’il te fait du mal je me charge moi-même de le jetais par-dessus bord.

Je ne pus m’empêché de rire, ce que je peu l’aimé ce petit mec. Je lui ébouriffai les cheveux avec douceur.

- merci de t’inquiété pour moi. C’est pourtant moi qui avais promit à ton père de prendre soin de toi.

- et tu le fait très bien. Pour moi tu es comme mon frère et je refuse de resté la à te regardait te faire souffrir. Je te jure que s’il te fait encore pleurait je le tue.

- aller va dormir un peu. Tu as l’aire vraiment épuisé. On a un long voyage qui nous attend. On va à la recherche de l’ile introuvable. Je récupère le frère de notre diva, je zigouille Gus le rouge et en récupère le magot.

- je suis ravis de voire que tu n’oublie pas tes habitude de pirate.

- qu’es tu veux en ce refait pas à mon âge.

Je l’embrassai sur la joue avant qu’il me lâche la barre pour rejoindre sa cabine. Je pris la barre et reporta mon attention sur mon beau et mystérieux ténébreux. Je fermai les yeux aussi forts que je le pouvais murmurant dans un souffle.

- regarde moi, regarde moi, je t’en supplie je suis là regarde moi.

Lorsque j’ouvrir de nouveau les yeux c’est pour voir son regard froid et haineux poser sur moi et je ne voulais plus qu’il me regarde pas de cette façon. Je l’avais obligé à choisir entre son entre les deux choses qu’il aimait le plus au monde. J’étais un monstre si j’étais à sa place je me détesterais aussi. Il fini par tourné les talons pour disparaitre de mon champs de vision. Je suis un être méprisable. Je vais l’aidé à retrouvé son frère peut-être qu’il me pardonnera enfin d’être si égoïste, de vouloir le gardais pour moi seul.

 

 

Toute la semaine il n’avait fait que n’ignorer pas un regard, pas une parole. Il passait à côté de moi comme si je n’existé pas. Et à chaque fois c’était une nouvelle entaille dans mon cœur. J’en souffre mais je comprenais sa rancœur à mon égard alors je le laisser faire, je ne disais rien, je ne tenté pas de lui parlais où de l’approché. Je ne pouvais pas le forcé à m’aimé. Je me contenté de le regardais de loin, de rêvé de lui, de ses bras, de choses que je ne pourrais jamais avoir. Il erré comme une âme en peine sur le bateau. Je le regardais incapable de lui rendre le sourire, impuissant face à sa peine. Je m’avais rien à lui offrir à part cet amour qui me détruit.

 

- dans deux semaine en arrive au port de Lali pour ravitaillé en essayera de trouvé des infos sur Gus le rouge il à du passé par ici. On y restera deux jours pour ce détendre un peu.

- oui capitaine.

Je quittais mon équipage pour rejoindre ma cabine. J’étais épuisé. Je voulais cesser de réfléchir à touts ses choses donc je ne trouve pas les réponses. Je n’en dors même plus la nuit. Je suis entrain de devenir totalement fou. A-t-il seulement conscience de ce qu’il a fait maitre en moi et de ce qu’il et entrain de briser.

Je laissai tomber mon manteau sur le sol. L’aire fraîche du large me fit frémir. Les nuits était froide en pleine mer. Je commençai à défaire ma chemise lorsque je senti des mains ce poser sur les miennes les écartant pour prendre la suite et finir de détaché les boutons. Je fermai les yeux essayant de dissimulé mes tremblements, mon trouble. Ses douces mains caressaient ma peau la brûlant à chaque caresse. Il fit remonté ses mains de mon pubis jusqu’à mes épaules faisant glissé la chemise le long de mes bras alors que les siens s’enroulent autour de mon bassin et que son corps bouillon venait ce coller au mien. Je sentais son cœur battre contre mon dos, sa respiration caressé ma nuque, son odeur embaumé la pièce, il sentait si bon, comme un bouquet de fleure qui ne demandé qu’à être cueilli. Mais cela n’étais interdit.

- Dris. Appelais-je dans un souffle à peine perceptible.

- chut.

 

 

 


hé hé sa commence plutôt bien tout sa. non je ne suis pas cruel, ni sadique, c'est pas vrai^^
Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Jeudi 25 février 4 25 /02 /Fév 09:43
c'est bientot la fin de cette fic. plus qu'un  chapitre après celui la. T_T

 

CHAPITRE 8 :

 

 

Lorsque je n’étais réveillé ce matin j’étais cher cette hommes. Je n’avais pas put couché avec lui, il avait compris, il ne m’avais forcé à rien. On avaient parler, il n’avais écouté et sa m’avais fait du bien. Mais lorsque j’était arrivé devant cher moi j’étais aussitôt retombé dans cette mer déchainé qui n’envoyais me briser sur les rochés. À chaque fois que je pongé dans son regard, j’avais le mal de mer. Il était adossé aux mur à côté de ma porte et me fixait en silence, un sourire timide sur le visage. Merde que cherche t-il à la fin. À me rendre fou.

- Bonjour Andréas. Tu va bien ? Tu t’es bien amusé hier soir ? Demandait-il d’une voix douce.

J’ouvrir la porte de cher moi sans le regardais il voulait faire ami, ami maintenant. Il aurait du y pensé avant de me sauté.

- Oui je me suis fait sauté toute la nuit. Et c’était cent fois mieux qu’avec toi.

- Andréas…

- Tu n’es pas un si bon coup que ça. C’est pour cette raison que tu ne couche jamais deux fois avec le même mec. Quand il réalise que tu baise mal ils ce casse. Tu n’es pas irrésistible Sean.

Je claqua la porte le laissant sans la moindre réaction. Je n’en peux plus j’ai besoins de m’éloignais de lui. Juste un peu où je vais craqué. J’entendais ses pas s’éloigner alors que je ne laissai glisser le long de la porte le cœur au bord de la rupture. Que faut-il que je fasse ? Comment lui faire comprendre qu’il ai entrain de me détruire. J’enfonça ma tête entre mes bras, je refusais de pleurais encore. Je ne voulais plus être faible.

 

 

Le lendemain j’avais mit une affiche sur ma porte indiquant aux locataires que je prenais deux semaines de vacances et que je ne voulais pas être dérangé. J’avais passé ses deux semaines à m’occuper à droite et à gauche, loin de la résidence. Loin de lui. Je ne l’avais pas croiser une seule fois en deux semaines. Même si je pensé souvent à lui, j’arrivé à reprendre doucement le court de ma vie. Mais je ne pourrais pas fuir continuellement. Il faudra que je l’affronte tôt où tard. Il faudra alors que nous mettions les choses aux clair. Il faudra que je lui avoue l’amour que je lui porte. Et lui que ne dira-t-il ? J’étais loin de pensé que cela arriverai aussi vite.

 

 

Aujourd’hui c’étais la fin de mes congés, je n’avais pas vraiment envi de retourné travailler mais il le fallait. J’étais entrain de déjeuner lorsque quelqu’un frappa à ma porte. Merde ils auraient put attendre un peu. Je me levai pour aller ouvrir la porte et je n’eu pas le temps de dire quoi que ce soit que je me retrouva plaqué contre le mur, son corps contre le mien, ses lèvres sur les miennes.

Non, non, non. S’il te plait me fait pas ça.

Je le repoussa avec force, ses yeux accrochaient les miens me faisant tremblais. Ses yeux débordaient de tristesse. Pourquoi ? Je baissai la tête ne pouvant supporter plus longtemps ce regard qu’il m’adressait. Il voulait juste me sauté encore une fois.

- Désolé j’ai menti.

- De quoi ?

- Je n’es pas couché avec ce mec.

- Je n’ai…

- à vrai dire. Vous étiez le premier et sans nul doute le dernier. Parce que je ne veux pas que d’autres mains ce pose sur mon corps. Je me veux pas embrassé d’autre lèvres. Je ne veux pas qu’un autre homme me pénétre. Mais je ne veux pas non plus que vous me baissiez encore.

- Pourquoi ?

- Je ne suis pas une pute monsieur. Je n’écarte pas les cuisses dés que vous le désiré. Je ne suis pas une de vos salope. Vous possédiez déjà u harem. Vous n’aviez pas besoin de moi.

- Mais c’est toi que je veux. Répondait-il en m’attrapant par le bras, je sentis mon corps traversé d’une douce chaleur à ce contact. Mais je devais être fort et résisté.

- Et ce que moi je veux cela vous étiez égal.

- Bien sur que non. Dit moi…

- Alors je veux que vous m’aimiez comme je vous aime. Pas juste pour me sautais. Je voudrais que vous ne soyez qu’à moi. J’ai cru que si j’étais assez performant au lit vous resteriez à mes côté. Mais je me suis trompé. Maintenant ce que je voudrais c’est que vous quittiez mon appartement et que vous oublier tout ce qui nous concerne. Vous serrez juste un des locataire et moi le concierge.

- André s’il…

- C’est Andréas. S’il vous plait lâché moi. Arrêté de me faire souffrir. On vient de deux monde diamétralement différent. Et ses deux monde ne pourront jamais ce rejoindre. Quoi que l’on fasse rien n’évoluras alors oublier tout ce qui me concerne.

Je le poussa dehors refermant la porte sans le regardait de peur de craqué. Je posa mon front contre la porte. Je savais qu’il était toujours là. Pourquoi ne part-il pas ? Pourquoi veut il tant resté proche de moi.

- André je suis vraiment désolé. On ne ma jamais appris ce qu’était l’amour. Tu mérite d’être heureux.

 

 

 

Le lendemain il m’avait adressé un simple bonjour comme avant.

Le soir il était venu cherché son courrier et était reparti sans un mot de plus.

Tout était enfin redevenu comme avant.

Enfin presque.

Il ne s’affichait plus avec tout ses mecs différents. Il rentrait seul le soir et repartait seul le matin. Il ne venait plus me voire pour me dire qu’il organisé des fêtes. Il semblait c’être assagit. Combien de temps es ce que je pourrais supporté cela.

 

 

Je me suis écroulé sur le sol à bout de force alors que j’entendais ses pas s’éloigner dans le couloir. Il ni avait plus rien à dire, plus rien à faire. C’était fini avant même d’avoir commencé.
Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
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