Présentation

Calendrier

Novembre 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  
<< < > >>

Recherche

Derniers Commentaires

Créer un Blog

texte libre

                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Jeudi 25 février 4 25 /02 /Fév 09:41

CHAPITRE 7 :

 

 

 

J’étais entrain de balayer le couloir. Je n’avais pas envi de le croiser, mais je n’allais pas arrêter de travaillé à cause de lui. Je relevai la tête alors que j’entendis quelqu’un descendre les escaliers.

Je sentis mon cœur s’emballer lorsque je le vis suivi d’un blond à l’air superficiel. Lorsqu’il me vit son visage froid ce fendu d’un petit sourire. Il s’avançait vers moi, plus il s’approché et plus mon cœur bâter fort. Je ne veux pas qu’il m’approche, je ne veux pas qu’il me regard, je ne veux pas qu’il ne touche. Mais je devais rester maitre de moi-même. Je devais continuai de faire mon travail.

- Bonjours Andréas. Sa voix était douce, prévenante. Tu va bien ?

- Bonjours Monsieur.

- Hm il est sexy ce mec. Fit remarquais le blond à ses côté. Je lui adressai un sourire charmeur alors qu’il me regardait avec gourmandise. Sean l’attrapa par le bras l’éloignant de moi. Il ne faut surtout pas touché à ses conquêtes. Il ne doit pas aimer que l’ont ne le regard une autre personne que lui. Je lui laisse ce mec. Je ne veux que lui.

- Bon journée Andréas.

- Vous aussi.

Je le regardais partir avec cet homme le cœur lourd. Il ne pouvait pas respectais les sentiments des autres. Ce n’est qu’un égoïste, ne voit il donc pas le mal qu’il fait aux autres.

 

Ce jour là j’avais pris une décision. J’en avais marre d’être seul, de me vivre que dans l’attente de le voir partagé mes sentiment. Je voulais rencontrer quelqu’un qui pourrait m’aimé en retour. Je voulais oublier cet homme. Alors ce soir je sortais. Et je ne rentrerais pas seul.

 

 

Je regardais mon reflet dans la glace. Je portais un pantalon de lin blanc, tombant sur mes hanches, laissant voir l’élastique de mon boxer. Sa faisais bien ressortir la couleur halé de ma peau. Je regardais mon torse finement musclé. La seul chose qu’il l’avait attiré était mon corps rien de plus. Il ne me connaît pas. On aura du parlais avant de ce sauté dessus.

- Arrête de pensé à lui.

Je passai un polo tout aussi blanc et vraiment moulant. Le col en V laissait voire le haut de mes pectoraux, et le vêtement laissait deviner mes courbes. Es ce que je n’en faisais pas trop. Après tout les vêtements ne vont pas suffire à me rendre désirable. Je n’ai pas sa ni prestance, ni son élégance naturel. J’étais bien pâle face à tous ses hommes qu’il côtoyait.

Je coiffai mes cheveux du mieux que je pus essayant de discipliner les épis de mes cheveux. Et encore une fois j’ai perdu la batail.

 

Je sortais de mon petit appartement, fermant la porte et lorsque je ne retournai je senti mon cœur s’emballer en voyant la cause de tout mes tourbant dressais devant moi plus beau que je jour précédent, où que celui bien avant. Chaque jour il semblait plus beau, plus désirable. Et moi comment puis-je lutter contre mes sentiments alors qu’il ne me laisse pas tranquille. Il me fixait en silence, ses yeux détaillé mon corps. Il voulut dire quelque chose mais je ne lui en laissai pas le temps détourant les talons pour m’éloigner de lui.

- Andréas s’il te plait…

Non ne te retourne pas. Ne soit pas faible face à lui. Ne lui montre pas qu’il peut te faire perdre la tête en un seul regard. Je devais mettre de la distance entre nous deux. Je ne devais pas craqué.

 

 

C’étais la première fois que je venais dans cette boite, je n’oser pas aller danser alors je pris place sur l’un des siège du bar et commanda un cocktail. Plusieurs hommes venaient me dragué mais aucun ne me plaisait vraiment. Je ne savais même pas vraiment quel était mon genre d’hommes je n’avais jamais pris le temps d’y réfléchir. Je sais que je suis gay mais avant Sean je n’ai jamais vraiment était attiré par un homme en particulier. Je n’avais rien à faire ici, ce n’es pas mon univers. Je suis perdu. Je voulais juste coucher avec un autre pour l’oublier mais cela ne ferais sans nul doute qu’aggravé les choses. Je cru que cette fois ci j’allais nourrir lorsque je le vis entré dans la boite entouré par une meute de mec plus beau les uns que les autres. Et il semblait bien s’amusé. Je suis le seul à être incapable d’oublier ce qui c’est passé lui vie très bien avec cela. N’as t-il donc aucune conscience. J’étais tellement perdu, tellement triste que je laissai cette inconnu m’entrainé sur la piste de danse. Il ce colla dans mon dos bougeant contre moi. Je n’avais pas vu sans visage et je n’en moque. Je veux juste oublier et je n’en moque de savoir avec qui. Je sentais son sexe contre mes fesses. Il me désiré. Il voulait juste me baiser mais il ne pourrait pas me faire plus de mal qu’il ne m’en as fait.

- Tu n’excite beau brun. J’ai trop envi de toi.

Je l’attrapai par le bras pour le tiré vers les toilette et lorsque j’en ouvrir la porte je cru que mon cœur avait cessé de battre. J’étais comme un taureau acculer par le matador fixant l’homme fier de lui, superbe dans son costume qui aller nous arraché la vie. Et lorsqu’il embrassa cet homme il me porta l’estocade finale. Et comme le taureau je poussai un dernier cri de douleur avant de m’écroulé.

- Andréas…je ce n’est pas ce que tu crois.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 23 février 2 23 /02 /Fév 18:16

CHAPITRE 11 :

 

naruto-sasuke.jpg 

Lorsque je me réveillai il était toujours allonger à mes côté dormant à point fermé. Il était tellement beau, je n’osais pas m’approché de lui, de le touché. J’avais peur de son rejet. Pourtant je voulais tellement pouvoir me blottir contre lui, qu’il me serre dans ses bras pour me rassuré.

Cette nuit j’avais fait un cauchemar horrible, ou il ce riait de moi en disant qu’il n’en avait que faire de moi, qu’il c’était juste servi de moi. Je pleurais alors qu’il déversé sa haine sur moi. Je n’étais calmé en sentant une présence contre moi. Une présence si rassurante. Es ce que c’étais lui. Je veux le croire. Comme en dit « l’espoir fait vivre » ais-je le droit à cette espoir ?

 

Je m’approchai de lui, m’arrêtant avant que mon corps ne touche le mien. Je fermai les yeux humant l’odeur de sa peau qui me rendait totalement fou. Je retraçai les courbe de son visage sans le touché. Je savais qu’un rejet de sa part suffirait à me brisé alors je préférais éviter toute situation qui pourrait conduire à ce résulta.

J’aime tellement le regardait dormir. Le sentir si prêt de moi, c’étais déjà magnifique. Je reculai lorsque je le vis s’agité signe qu’il n’allait pas tarder à ce réveillé. Qu’es ce que je fais ? Il ne voudrait peut-être pas que je sois à ses côté lors de son réveille.

 

 

Il ouvrir les yeux, plongeant son regard dans le mien. Je n’osais pas bouger, ni parlais. Mon cœur bâté à cent à l’heure. Attendant qu’il me rassure où qu’il me détruise. Mon cœur faillit exploser lorsqu’il me souriait. Seigneur qu’il m’achève tout de suite.

- je crois qu’après ce que tu m’as fait hier soir, un baiser s’impose.

- je ne te demande rien. Répondis-je en baissant la tête. Tu as déjà passé la nuit ici. C’est déjà suffisant. Tu peu y allé si tu veux. Je ne t’en voudrais pas.

J’attendais de le voire partir. Je sursautai lorsque je senti ses doigt attrapé mon menton pour m’obligé à relevé la tête. Il était si proche de moi que je sentais son souffle caressé mes lèvres. Je fermai les yeux m’abandonnant à lui, à ses bras si puissant et rassurant.

- si je le dit c’est que j’en ai envi. Chuchota-t-il contre mes lèvres avant de les ravir avec douceur me faisant tremblais de plaisir. Il m’allongea sur le lit ce glissant entre mes cuisses et je le laissai faire. Je perdis mes doigts dans ses doux cheveux, le serrant contre moi. Je sentais son érection matinale frotter contre la mienne. Je glissai mes mains jusqu’à ses fesses et je le senti ce crispé à ce contact alors je les retirai relâchant ses lèvres.

- je suis désolé Adrien. Je ne voulais pas.

- chut arrête de parlais.

 

Il prit à nouveau mes lèvres avec un peu plus de fougue, alors qu’il me retira mon pantalon. Il me caressait les cuisses et les fesses me montrant son envi de moi. Il me désir et sa me rend heureux. Il lâcha mes lèvres pour allez me chuchoté à l’oreille d’une voix enroué par le désir.

- j’ai envi de toi, de me sentir en toi.

- j’en ai envi aussi. Répondis-je en cherchant ses lèvres.

- alors retourne-toi.

Je le fis sans protester. J’aurais voulu qu’il me prenne de face que je puis le voire. Dans cette position que ce n’était que de la baise. Après tout pour lui ce n’était sans nul doute que de la baise.

Je fermai les yeux m’offrant à celui que j’aime malgré ma peur. Je l’aimais alors je supporterais la douleur comme je l’avais si souvent fait. Sa faisait tout de même deux ans que je ne m’étais pas fait prendre.

Je sentis ses main ce posé sur mes hanche et son gland humide frotter contre mon entré. Il n’allait même pas me préparé. Il voulait juste me sauté. Où peut être qu’il ne l’as jamais fait. Il ne savait peut-être pas comment si prendre. Je le senti forcé mon entré alors que la porte de la cabine s’ouvrir.

- capitaine on arrive au…port.

 

 

Milan venait d’entré dans la cabine sans frappé comme à son habitude. Je tournai la tête vers lui, il était pétrifié sur place, tétanisé par la scène que je lui offrais. Moi à quatre pattes sur le lit, les jambes écartées. Le sexe de Adrien à mon entré. Je voyais la colère l’envahir. Il était le seul à savoir ce que j’avais enduré durant plus de 7 ans. Je le vis avançait vers nous d’un pas déterminé, il fusillait Adrien du regard alors que ce dernier le fixait avec incompréhension. Il choppa le brun par le bras le jetant avec force loin de moi. Adrien allait rencontrer le bureau, c’est qu’il a de la force mon Milan. Dans ses moment la il m’impressionnait vraiment.

- toi connard tu ne le touche pas. Jack pourquoi tu fais ça ? T’as plus besoin.

Il venait me serré dans ses bras avec force. Je fermai les yeux me laissant aller à cette douce étreinte.

- milan, je l’aime. Je voulais qu’il me fasse l’amour.

- mais lui il voulait juste te baisé. Il ne t’aime pas, il l’a dit il te déteste.

- je le sais Milan. Je le dégouté, mais laisse moi juste y croire. Je sais qu’il voulait juste me baiser mais c’est déjà ça.

- je ne veux pas que tu souffre à cause de lui.

- je souffre dés qu’il set loin de moi. S’il te plait Milan va préparer l’entré au port. On reparlera de tout ca plus tard.

Adrien nous fixé en silence, il n’avait rien entendu à la conversation. Elle avait été murmurée dans un souffle douloureux. C’est notre secret à Milan et à moi. Il ce leva fusillant Adrien du regard avant de sortir de la cabine. Je me levai à mon tour et alla enlacer mon amour. Collant mon corps nu au sien. Posant mes lèvres sur les siennes murmurent tout contre.

- ont arrive au port nos chemin ce sépare donc ici.

- tu…tu veux plus m’aidé à retrouvé mon frère ?

- tu es si changeant Adrien. Je ne sais pas sur quel pied danser. Un jour tu me rejette, en me balançant toute ta haine et ton dégout à la gueule. Et le jour d’après tu viens pour me baiser. Si tu veux que je t’aide je te l’ai dit, je le ferais. Alors cesse de joué les girouettes. On va s’arrêté au port et tu va débarquer. Le bateau repart dans trois jours avec ou sans toi. Si tu ne viens pas alors nos route ce sépareront. Où bien tu serras là et je ne tolérerais plus la moindre rébellion, tu te plieras à mes ordres. On ira là ou je dirais que l’ont va. Et surtout Alizé reste dans ce port.

-je…

- chut. Je te laisse trois jours prend le temps de réfléchir. Et de choisir la meilleure solution pour tout le monde. D’accord.

- oui.

Je l’embrassai à nouveau allant joué avec sa langue avant de me détaché de lui pour allez me rhabillé et de quitté la cabine, le laissant seul. Priant pour ne pas avoir fait d’erreur. Faite qu’il choisit de resté à bord avec moi.

 

 

 

alors je ne l'ai pas relu mais alors pas du tout.
Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Lundi 22 février 1 22 /02 /Fév 21:19

 

CHAPITRE 6 :

 

 

 

Le soleil filtrait à travers les rideaux, éclairant le lit de cette lumière matinal.il était allongé à mes côté dormant paisiblement et il était tellement beau, en aurait dit un ange. Depuis combien de temps es ce que je l’observais. Je n’arrivai pas à défaire mon regard de lui. Je fis glisser mes doigts sur sa peau si douce. Je déposai mes lèvres sur les siennes. J’aurais voulut me plus jamais me détacher de lui.

- Je t’aime Sean. Si tu savais à quel point je t’aime. Ne me brise pas le cœur. S’il te plait.

Je m’arrachai à contre cœur de son corps si chaud, j’enfilai un bas de jogging pour aller préparais le petit déjeuner. J’espère vraiment qu’après cette nuit il reste avec moi. Je suis peu être niaise mais cette nuit après avoir fait l’amour. Il m’avait prit dans ses bras avec tellement de tendresse. Il m’a embrassé en me murmurant bonne nuit. Il c’était endormi en me serrant contre lui. Qu’es ce que cela signifier vraiment pour lui.

 

Je fus sorti de mes pensé lorsque j’entendis la porte de la chambre s’ouvrir et ce refermer. Je sorti de la cuisine pour le voire habiller entrain de cherché le reste de ses affaires.

- Merde, je vais être en retard. Merde. Je dois y aller André. On ce vois plus tard.

- Oui mais…

- J’n’ai pas le temps. Met mon courrier sous la porte. Je rentre tard ce soir.

- Je peu attendre que tu rentre, on pourra…

- Non. Je vais rentrer vraiment tard. Pas besoin de m’attendre.

- D’accord. Bonne journée alors.

- Oui toi aussi.

Et voila il était parti sans un regard, sans un baiser, sans rien qui pourrais m’aidé à croire qu’il pourrait m’aimait aussi. Je me laissai tomber sur la chaise grimaçant de douleur. J’ai mal au cul. C’est tout ce qu’il me reste ce putain de mal au cul.

- je suis vraiment trop crédule.

 

- Bonjours André.

- Sean je…

- Je suis pressais bonne journée.

Ce sont les seuls mots qu’il m’a adressé le lendemain. La veille il était rentré vraiment tard. Et là rien, je voulais juste qu’il s’arrête me parlais cinq minutes. Qu’il m’embrasse. Qu’es ce que je croyais moi, il m’avait juste baiser et c’est tout. J’aurais préférais qu’il continus de m’ignorais. Parce que j’étais bien moins douloureux. Mon cœur me fait tellement mal. J’aurais préférais ne jamais connaitre la chaleur de ses bras et en être privé juste après.je suis vraiment trop con. J’y ai crus, j’ai cru qu’il tomberait amoureux de moi. Je ne suis que le concierge.

 

 

J’étais devant sa porte. Je l’avais entendu rentrer et je me suis dit que j’allais lui portais son courrier. J’aurais peut être pas du venir. Après tout il n’as pas l’air de vouloir me voire. J’étais qu’une conquête parmi tant d’autre. Je rassemblai tout mon courage et sonna à la porte. Elle s’ouvrit quelques secondes plus tard sur un grand brun presque nu, vêtu d’une simple serviette. Le corps ruisselle d’eau. Je savais que je n’avais aucune chance de ravir son cœur et pourtant j’y ais cru comme le pauvres imbécile que je suis.

- Vous étiez ?

- Le concierge. Désolé de vous dérangé. Es ce que Sean et là ?

Bien sur qu’il est la. Mon cœur était prisonnier d’un étau qui me cessé de ce resserrais encore et encore, des lames me lacérais le cœur, lui faisant versé des larmes de sang. J’avais si mal. Je voulais que cette douleur cesse. Je regardais cet homme qui me faisait face. Il était tellement beau, comme tous ses autres hommes. Et moi…Pourquoi à t-il couché avec moi alors qu’il peut avoir des dizaines d’homme comme lui. J’avais envi de pleurais mais je refuser de me montré faible devant lui. Je ne voulais pas qu’il ait pitié de moi. Qu’il me méprise. Je refusais de lui laisser voire l’emprise qu’il avait sur moi. Il fini par apparaitre devant moi, le visage fermé, me brisant d’avantage le cœur. J’étais le seul à croire que cette nuit représenté plus qu’une simple partie de baiser. Moi je lui ai tout donné cette nuit là. Et lui n’as fait que prendre.

L’inconnu l’embrassa en lui caressant les fesses.

- Je t’attends dans la chambre. On n’a pas fini alors fait vite.

Il détourna les talons pour partir alors que je n’arrivé pas à levais les yeux vers lui. Il avait été si tendre. Merde j’y ai cru moi.

- Tenait votre courrier. Vous l’avait pas pris en passant alors je suis venu vous le portais.

- Je…je t’avais rien promis. Il posa sa main sur ma joue avec douceur. Je…je suis incapable de tombé amoureux André. Tu es un mec super. Tu mérite quelqu’un de bien mieux qu’un mec comme moi. Incapable d’être fidèle. C’était que du sexe. Passe à autre choses.

- Je suis vraiment trop con. Moi j’y ai cru.

Je repoussai sa main m’écartant de lui. Je ne voulais pas qu’il soit tendre alors qu’il me disait toutes ses choses horribles. Je plongeai mon regard dans le sien et j’y surpris une lueur de tristesse. Non ce n’était encore qu’une illusion de mon cœur amoureux.

- André s’il te plait. Je ne voulais pas te blesser. Je savais que je n’aurais pas du craqué. Mais tu ma embrassé et je…pardonne moi.

- C’étais ma première fois et il a fallut que ce soit avec le plus bel enculer de la terre.

- André attend tu…

- Allez-vous faire foutre. C’est Andréas. Je crier aussi fort que je le pouvais me moquant que l’on puisse nous entendre. Je voulais déverser toutes ma douleur, tout mon mal être. Qu’il cesse de joué avec mon cœur. Pas André, Andréas. Vous m’avais sauté et vous ne pouvait pas retenir une misérable syllabe. Vous n’étiez qu’une pourriture de fils de riche qui a tout ce qu’il veut. Vous ne pensé pas au mal que vous faite aux autres. Merde je ne suis pas une de vos salope… et pourtant j’ai l’impression de n’avoir était qu’une vulgaire pute…juste un objet et sa fait mal.

J’avais cessais de crier. Je n’en avais plus la force. Je détournai les talons mais il ne retient par le bras. J’étais au bord de la rupture. J’avais la sensation de me briser. Mon corps, mon cœur, mon âme.

- Andréas…je…

- Sean tu viens. Je suis brûlant là.

- Lâche-moi.

- Il faut que l’on parle.

- Tout a été dit. Va le rejoindre.

- On n’a pas couché ensemble.

- Arrête. Arrête de me faire du mal. Je ne veux plus jamais que tu me touche.

Il relâcha mon bras et je dévalais les escaliers aussi vite que je le pu pour aller m’enfermé cher moi. Je refermai la porte et me laissa glisser contre. Mes larmes coulaient le long de mes joues. Je n’avais plus la force de les retenir. Pourquoi ? Pourquoi ? Je ne veux plus jamais qu’il pose ses mains sur moi. Je ne veux plus souffrir. J’entendis quelqu’un descendre les marches en pestant. Es ce qu’il l’avait renvoyais. Non pourquoi aurait-il fait cela. Je veux arrêter de réfléchir. Je veux cesse de pensé à lui. Je veux cesser de pleurais. Je pleurais encore et encore. J’avais si mal. Pourquoi es ce que l’amour devait faire aussi mal. Pourquoi doit-on toujours souffrir lorsque l’ont aime quelqu’un. Pourquoi à t-il fallut que je tombe amoureux d’un homme comme lui. Et pourquoi fallait-il que toutes ses questions restent sans réponse. J’étais lace de tout cela. L’amour et une chimère, qui nous fait entrevoir les plus beaux des trésors. Et la chut et tellement douloureuse.

J’avais fini par sombrer dans un sommeil sans le moindre rêve. Un sommeil réparateur.

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 22 février 1 22 /02 /Fév 12:24
voila le chapitre 10 il est plus long que les autres. l'inspiration m'a frapper de plein fouet.^^. (sa fait mal.lol). bon j'espère qu'il vous plaira autant que les autres.


CHAPITRE 10 :

 

 pov Jack

on étaient allongé sur le lit. Je l’embrassais encore et encore ne voulant plus lâché ses belle lèvres que j’avais tant désiré. Je caressais son torse par-dessus son sa chemise. Je me plaçai sur son bassin continuant de l’embrassait avec tendresse, mêlant ma langue à la sienne. Il avait ses mains dans mes cheveux les caressant ne faisant rien de plus. Je relâchai ses lèvres posant mon front sur le sien.

- Tu devrais rejoindre ta petite amie, je ne veux pas avoir de faux espoir.

Il me fit basculer m’allongeant sur le lit ce plaçant sur moi. Reprenant mes lèvres avec plus de fougue. Il détacha ma chemise, faisant glisser ses doigts sur ma peau me faisant frémir de plaisir. Je devais être entrain de rêvé. Je lui retirai sa chemise, posant mes lèvres sur son torse. Sa peau était si douce si savoureuse. Je l’embrassé partout ou je le pouvais. Je voulais lui montré ce que je savais faire peu être qu’après ca il m’aimerait lui aussi.

Je me voulais pas croire qu’il ce servait juste de moi pour retrouvait son frère. Pour l’instant je voulais juste profiter de ce moment et de me pas pensé à ses véritable intentions. Je voulais juste être dans les bras de mon amour. Dans cette histoire je serrais le seul à souffrir. Je détachai son pantalon, plongeant ma main à l’intérieur allons caressais son sexe. Il étouffa un gémissement entre mes lèvres. Je repris le dessus lui retirant son pantalon dévoilant la totalité de son corps. Il est tellement beau, si désirable.

- tu es sublime Dris.

- Dris ? C’est nouveau ça.

- j’aime bien.

- on m’a jamais appelais comme ça.

- c’est pour ca que je le fais. Laisse toi aller je vais te faire jouir comme tu m’as jouit. Je te le promets. Tu me laisse faire ? Lui demandais-je dans un murmure au creux de l’oreille. Je veux le rendre dépendant de moi. Je l’embrassai dans le cou j’ai appris il y a longtemps déjà à donnais du plaisir à un homme. Je connais les endroits à caressait à embrassé pour les faire jouir. Et j’allais lui faire décrocher les étoiles.

Je faisais glisser mes lèvres le long de sa peau de nacre, au coup de pêche. Il avait les yeux fermé et gémisse de plaisir sous mes caresses. Et sa me rendais fier, parce que j’arrivé à lui donnais un peu de plaisir. Pour une fois sa me ne dégoutais pas. J’aimais lui faire ca.

 

Je pris son sexe en main le caressant avec douceur. Faisant glissé mon pouce sur son gland insistant sur le frein alors que de mon autre main je faisais roulé ses testicules entre mes doigts. Alors que j’embrassai son pubis. Il posa ses mains sur ma tête gémissant me demandant de descendre encore plus. Je le fis sans me faire prier. J’apposai mes lèvres sur son gland humide. Je titillai son gland de ma langue alors que je le branlais avec douceur. Je fini par le prendre en bouche. Je fermai les yeux savourant le plaisir de l’avoir dans ma bouche.

- Jackson…suce…moi…maintenant.

Je me mis à faire coulisser mes lèvres sur sa verge. Caressant ses testicules rajoutant à son plaisir. J’adoré l’entendre gémir sous mes caresse. Je me pouvais détacher mon regard de lui, il ce cambré à chaque va et vient gémissent encore et encore de plaisir. Et sa me rendais fou de joie de savoir que je lui donné du plaisir. J’accélérais à sa demande, l’avalant entièrement elle était imposante mais j’y étais habitué. Il disait que j’avais la gorge profonde et que j’étais fait pour sa. Moi j’étais faite pour la sienne et aucune autre.

- Jackson je vais….aaah

Je continuai de le sucer jusqu’à ce qu’il éclate entre mes lèvres. J’avalais tout ce qu’il m’offrait avec plaisir. Il était si délicieux. Je le nettoyé avant de remonté vers son visage, plongeant mon regard dans le sien qui débordé de plaisir. Je voulais tant l’embrassé mais il me voudra sans doute pas après ce que je viens de faire.

- tu…tu as aimé ? Ça t’a plus ? Demandais-je d’une voix excitante.

- oui. Tu es vraiment très doué.

Il glissa sa main dans ma nuque et il me souriait c’était la première fois que je le voyais sourire. Son sourire il était si beau, si chaud, si rassurant. Sa me rendait encore plus fou de lui. Il approcha ses lèvres des miennes pour m’embrassé. Je le laissai faire, je le laissai allez jouer avec ma langue, les mêlant avec douceur. J’avais envi de lui, j’en avais tellement envi. Je voulais savoir ce que c’étais de s’offrir à la personne que l’ont aime. Mais lui ne voudrait sans doute pas. Il m’a déjà donné beaucoup. Je me laissai tomber à côté de lui. Posant ma tête sur son torse nu, attirant le drap sur nos deux corps.

- tu veux bien restais dormir avec moi Dris ? S’il te plait.

- tu ressemble à un enfant Jackson.

- c’est bien là première fois que l’ont me dit ce jors de chose. Tout et de ta faute. L’amour sa rend vraiment con. Et moi comme un con je suis fou amoureux de toi. Je m’attends rien de toi Adrien, juste que tu reste dormir avec moi. Juste cette nuit.

- je veux bien Jackson. Dort je reste ici.

- Merci. Répondis-je avant de sombrer dans le sommeil.

 

 

 

J’étais allongé sur le lit du pirate, sa tête reposé sur mon torse m’empêchant de bougé. De toute façon je n’en avais pas la force. Je n’aurais jamais cru pouvoir éprouver un tel plaisir un jour. Et il fallait que ce soit lui qui me fasse découvrir ça. Il m’avait donné du plaisir sans rien demandé en retour. Sa m’étonne peux être que je l’ai mal jugé.

Je le regardais dormir, il avait un sourire des plus craquants sur le visage. Merde à quoi je pense moi. Il semblait aussi mystérieux que cette océan qu’il aimé tant.

Il a dit qu’il m’aimait en est il seulement capable. C’est un pirate. Ce sont des êtres son cœur égoïste. Pourtant quand je le regard là endormi contre moi, il me fait pensé à un enfant qu’on aurait fait grandir bien trop vite. Comment un homme de tous justes 19 ans pouvait-il être le capitaine d’un navire.

Je me défis de son étreinte pour quitté le lit, j’enfilai mon pantalon et sorti de sa cabine. Après tout je me lui avais rien promis. J’entrai dans notre cabine et Alizé me sauta au cou pour m’embrassé avec force et passion. Et je me surpris à pensé qu’il embrasé bien mieux qu’elle. Je la retournai l’allongeant sue le bureau, lui relevant sa robe et le pénétra avec violence. Je la bayonnais de ma main pour la faire taire. Elle adore ça le sexe, je pouvais la prendre où je voulais, quand je le voulais. Mais elle me n’avait jamais fait de fellation et elle refusé aussi que je la sodomise. J’allais réaliser mes fantasmes avec Jackson. Il m’aimé alors je me faisais rien de mal. Je lui donné juste ce qu’il voulait.

 

 

- alors comme sa il t’a dit qu’il t’aimé ?

- oui.

- tu devrais aller le rejoindre. Profites-en. Vous avez fait quoi ?

- il m’a sucé et il a tout avalé.

- j’y crois pas c’est vraiment une belle salope celui-là. Il aime sa la bite.

- je ne l’aime pas c’est atroce de me servir de lui comme ça.

- allez poussin. Dans quelques mois tout au plus c’est terminé. Et puis tu prendras du plaisir, et lui serra content. Et quand en retrouve Shawn en part. Tu ne le reverras plus jamais. On pourra enfin retourné réclamer à ton père ce qui te revient de droit. Et en pourra enfin être heureux tout les trois. Pense à notre bonheur mon amour. Fait ça pour Shawn et moi. Va le rejoindre.

- d’accord j’y vais. Tu as raison. Je veux t’offrir une belle vie. Tu le mérite. Et Shawn aussi. Alors je peux ranger ma fierté et mon dégout dans ma poche. J’y vais à plus tard mon cœur.

Je l’embrassai à nouveau avant de ressortir de la cabine. Leur que je rentrai il dormait toujours à poing fermé. J’allai m’assoir dans son fauteuil ouvrant le tiroir pour essayé de trouvé quelque chose qui pourrait m’en apprendre plus sur ce mystérieux capitaine. Il devait bien avoir une famille. Toute sa vie ne me pouvait pas ce résumé à cette mer. Mais je ne trouvai absolument rien. Je me levai et alla me glissé sous les draps après avoir prit soin de me dévêtir à nouveau. Je le contemplai en silence et je fus surpris de voir qu’il pleurait et que mon nom sortait de ses lèvres qui m’avaient donné tant de plaisir. Une supplication de douleur. Il était entrain de rêvé de moi. Il m’aimait, je me sentais mal de me servir de lui. Mais pour retrouvé Shawn j’étais prés à le brisé.

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Dimanche 21 février 7 21 /02 /Fév 10:14

 

 

 

CHAPITRE 9 :pov Jack

 

 

Milan m’avais prévenu qu’il nous faudrait une semaine pour rejoindre le prochain port. Et j’avais décidé de l’évité le plus possible, et il me facilité la tâche puisque lui aussi m’évité. On joue au jeu du chat et de la souri sa en est pathétique.

Mais il me faisait souffrir alors je préfère encore me comporté comme un gamin en l’ignorant.

 

 

J’étais sur le balcon de ma cabine regardant la mer comme à mon habitude. J’étais là depuis des heures. Elle me semblait si fade tout de suite face à la beauté et aux mystères des yeux d’Adrien. Et voila il fallait encore que je pense à lui. C’est demain que l’ont arrive au port, et on reprendrait tout deux notre petite vie. Loin l’un de l’autre. Lui avec cette pouffe et moi seul.

 

- je n’arrive pas à comprendre ce qui vous attire tant dans l’océan pour passé votre vie à l’arpenté et vos journées à le regardé. C’est toujours la même chose. Une immensité bleue sans le moindre intérêt. Cette eau ne nous permet même pas de vivre.

- mais elle le permet à des millions d’espèces différentes. Certain parmi les plus anciens et les plus beaux de cette planète Adrien. Crois-tu vraiment que l’océan et quelque chose de détestable, d’inutile ?

- oui.

- alors ça doit être pour ca. Quelqu’un de détestable, de répugnant, un connard comme moi ma sa place que qu’ici et nul par ailleurs. Je n’ai rien trouvé pour moi sur terre. Et je n’ai encore jamais rien trouvé de plus beau que cette mer. Sa me fascine et sa me terrorise à la fois. Comme lorsque je te regarde. L’océan et capricieux impétueux, sauvage, indomptable. Il recèle les plus beaux des trésors. Il m’en a apporté un es lorsque je l’ai ouvert je me suis pris une sacré claque. Et c’est douloureux. Demain ont arrive au port. Tu pourras partir. En espèrent qu’il ne soit pas trop tard pour refermé la boite.

Je n’osé pas me retourné vers lui, à quoi bon ? Pour voire encore cette haine et ce dégout dans ses yeux. Il ne parlait pas. Était-il parti ? Je senti une main ce refermé autour de mon poigné pour m’obligé à me retourné et à lui faire face. Il me ne laissa pas le temps de dire quoi que ce soit que ses lèvres ce posaient sur les miennes avec douceur. J’ouvrir de grand yeux étonné. Et le repoussa aussitôt. J’avais envi de pleurais pourquoi es-ce qu’il joué avec moi.

- pourquoi tu fais ça ? Juste pour que je t’aide à retrouvé ton frère ? Tu m’as pas besoin de te forcé. Tu ne m’as donc pas compris que je ferais tout ce que tu voudras. Merde il te suffit de demandé et je le ferais. Alors pourquoi ?

- je ne sais pas pourquoi je fais ça. Je te déteste mais j’en ai envi. Répondit-il en posant sa main sur ma joue me faisant trembler de bien être. Je m’approchai doucement de lui. Et glissa mes bras autour de son corps, me blottissant contre lui. Il referma ses bras autour de moi. Je relevai la tête rencontrant ses douces lèvres. C’était le début de ma destruction.

 

 

 

 

 désolé mais celui la je l'ai pas du tout relu. pas du tout envi.T_T vous me pardonnez^^.

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés