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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Mercredi 17 mars 3 17 /03 /Mars 09:29

et voila l'arrivé du nouveau personnage. dite moi ce que vous en penser.




CHAPITRE 25:

 

            Cétait une très belle journée aujourdhui mais, encore une fois, je ne pouvais en profiter. Depuis combien de temps navais-je pas passé une journée agréable, à rire, à mamuser, à faire ce que font les enfants ordinaires ? Je n’avais que 15 ans mais jai déjà tout perdu de mon enfance.

 

            Cela faisait déjà plusieurs jours que lon était arrivés à port blanc. Un des plus infectes repaires de pirates. Et il me gardait à ses côtés jours et nuits. Il métait impossible de faire le moindre geste sans quil ne soit au courant. Jétais surveillé à chaque seconde de ma vie. Cette vie que je détestais tant. Je haïssais mes parents de mavoir abandonné entre les bras de cet homme infect juste pour garder leurs biens. Ils mavaient échangé contre leurs liberté, contre leur confort. Je voulais juste le revoir. Quil me serre dans ses bras. Quil me rassure.

 

 

            Je marchais dans les rues du port. Javais enfin réussi à lui échapper. Il allait me rattraper, il finissait toujours par me rattraper. Il allait me punir encore sil me retrouvait. Je naimais pas lorsquil me touchait, lorsquil me faisait toutes ces choses que je ne voulais pas faire. Je devais lui échapper le plus longtemps possible.

 

            Je marrêtais lorsque je vis un jeune homme blond assis sur la fontaine le regard perdu au loin. Je le trouvais beau. Incroyablement beau. Le vent faisait voler ses cheveux, il ne voyait même pas toutes ses femmes qui le dévorait du regard. Le soleil faisait brillait sa peau, il ressemblait à un ange de lumière. Sans que je ne puisse me retenir, mes jambes me portèrent vers lui et je m’assis à ses côtés.

- Pourquoi as-tu lair si triste ?

            Il se retourna vers moi et je fus frappé par la beauté de ses yeux. Lun était bleu, lautre vert, locéan et les plaines de verdure. Leau et la terre, deux belle choses réunies pour en former une encore plus belle. Je me mis à rougir et détournai la tête, gêné par cette vision.

- je suis vraiment désolé. Je naurais pas dû vous poser cette question ni vous importuner de la sorte.

            Je voulus me lever pour partir mais il retint, je me retournai vers lui, étonné. Il me regarda en souriant et il était tellement beau. Je navais jamais vu personne sourire dune façon aussi belle. Pourquoi mon cœur battait-il aussi vite ? Le contact de sa main sur ma peau minfligeait une douce brûlure. Cétait tellement différent de lorsquil me touchait. Sa main était douce, son étreinte tendre.

- Tu peux continuer de me dire « tu ».

            Sa voix était si douce, chantante. Il détourna la tête me privant de la vue de ses deux magnifiques joyaux. Il semblait tellement triste que je ne pouvais mempêcher dêtre triste pour lui. Quest-ce qui pouvait le rendre aussi mélancolique ? Il respira un grand coup renversant la tête en arrière pour regarder le ciel. Javais envie de faire glisser mes doigts sur son cou offert.

- Lhomme que jaime depuis des années, que je croyais incapable de tomber amoureuxil est amoureux dun autre. Pas de moi.

- Ah.

            Jétais un peu triste de le savoir amoureux de quelquun. De savoir quil en souffrait. Je voulais le prendre dans mes bras pour le consoler mais je n’y arrivai pas. Sans doute de peur de le voire me repousser.

- Et est-ce que cela est douloureux ?

- Oui, cest vraiment douloureux. Comme si ton cœur était prisonnier dune cage trop petite qui nous lacérait et,, à chaque seconde, cette cage devient encore plus petite, jusquà ce que notre cœur ne puisse plus le supporter et explose. Surtout de les voir ensembles, de les voire sembrasser, de lentendre dire quil laime alors que ce connard ne fait que se servir de lui. Ce matin, je les ai surpris en train de faire lamour et ça m’a fait tellement de mal.

- Pourquoi ne rien lui dire ?

- Parce que je ne veux pas le perdre parce que je suis lâche. Et tu veux savoir le pire dans tout cela ? Cest que je me plains alors que ce nest pas du tout mon genre de faire ça.

            Il posa à nouveau ses yeux sur moi en me souriant et je sentis mon cœur repartir de plus belle. Je ne savais pas ce quil marrivait mis je savais que ça me faisait peur.

- Et toi, alors pourquoi te ballades-tu seul ? Ne devrais-tu pas être avec tes parents ?

- Je nai plus de parents. Ils mont abandonné.

- Moi, je naurais jamais abandonné un petit mec aussi mignon que toi.

- Merci. Répondis-je en rougissant encore plus.

- Tu vis seul ?

- Non jessaye déchapper à quelquun.

- Tu veux men parler.

            Non, il ne fallait pas quil le sache. Je ne voulais pas lui en parler où il allait partir loin de moi. Je baissai la tête pour essayer de refouler mes larmes. Il glissa son index sous mon menton pour me faire relever la tête alors que les larmes coulaient sur mes joues. À ma grande surprise, il mattirait contre son corps puissant. Jamais je ne métais senti aussi bien quà cet instant, dans les bras de cet inconnu. La chaleur de son corps se répandait dans mon corps gelé par ses longues nuits de souffrance. Je ne voulais plus quitter ses bras si rassurants. Javais limpression que le monde avait cessé davancer. Que la terre avait achevé sa course folle autour du soleil. Que plus rien nexistait à par lui et cette étreinte. Je me sentis revivre, je me sentais fort.

- Shawn.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Dimanche 14 mars 7 14 /03 /Mars 19:33
vous savaiez quoi ? non je si sur que non. et bien c'et le centième article que je poste depuis la création de mon blog. déjà 100 sa fait bizarre. mais je suis heureuse que mes fic vous plaise. pour fêtait sa laisser plein de com's. gros bisous.

 

 

 

 

 

CHAPITRE 24 :

 

 

 

            Je fus réveillé par de douces caresses sur mon torse. J’ouvris les yeux pour voir le visage souriant de mon amour. Je frémissai de plaisir en sentant ses lèvres sur les miennes. Deux semaines à présent que l’on avait fait l’amour pour la première fois et j’étais l’homme le plus heureux au monde. Je me sentais si bien dans ses bras même si je savais que ça n’allait pas durer bien longtemps. Il posa sa tête sur mon torse et je fis glisser mes doigts dans ses cheveux. Je me sentais si bien là avec lui. J’avais l’impression que l’on formait un vrai couple.  Je déposai un baiser sur son crâne avant de refermer les yeux me laissant aller à cette douce torpeur. Je n’aurais jamais pensé pouvoir connaitre un tel bonheur.

- Tu as bien dormi ? Demandait-il dans un souffle, en embrassant ma peau.

- Hm, à merveille. Et toi ?

- J’ai pensé toute la nuit à Shawn. Tu crois qu’ils seront encore au port quand on va arriver ?

- on devrait bientôt arriver mais je ne sais pas s’ils seront encore là. Dris tu…tu veux bien m’embrassé.

            Je me sentais con de demander cela, mais j’en avais tellement envie. Il se redressa pour me regarder avec ce petit regard moqueur que je détestais tant, je voulus dire quelque chose mais ses lèvres se posèrent sur les miennes m’empêchant de parler. Je le fis s’allonger sur le lit prenant place sur lui allant chercher sa langue, je fis glisser mes mains sur sa peau douce, je sentis son sexe se dresser sous mes fesses. Signe de son désir pour moi. Sa peau était si douce, je l’aimais tellement. J’avais peur de le voir m’échapper. Je ne voulais pas le perdre.

- Bébé…j’ai envie…de…de te faire l’amour.

- Non. Répondit-il avec froideur en me repoussant. Je lui adressais un pâle sourire. Je connaissais très bien la réponse, pourquoi avais-je posé la question ? Je savais que pour lui je n’étais qu’un trou qu’il pouvait prendre à volonté, jamais je ne pourrais connaitre le plaisir de faire l’amour à l’homme que j’aime.

            Je posai mon front contre le sien fermant les yeux pour qu’il ne puisse voir la douleur qui serrait mon cœur. Mes doigts se refermèrent autour de son sexe pour le caresser.

- ce n’est pas grave…je le sais…je sais que…je m’y suis habitué depuis longtemps…

- De quoi parles-tu ?

- Rien. J’ai envie que tu me baises comme une pute.

            Je m’empalai sur son sexe serrant les dents sous la douleur. Il gémit de plaisir alors que j’avais mal. Mais seul son plaisir avait de l’importance. Je n’étais bon qu’à être pénétré à être baiser. Je bougeais avec force sur lui, je sentis son sexe dur glissait en moi. Qu’est-ce que l’on ressentait lorsque l’on faisait l’amour à celui que l’on aime ? Je ne le saurais jamais parce que je ne pourrais jamais lui faire l’amour. Je libérais sa verge pour me retourner dos à lui et m’empaler à nouveau sur lui, je pleurais alors que le plaisir se répandait dans mon corps. Je fis entrer deux doigts en moi, c’était douloureux mais je voulais lui donner encore plus de plaisir.

- Aaaah…putain…Jacky…c’est trop bon…aaah…je vais jouir…laisse moi jouir en toi…aaah…

            Il se tendit et son sperme brûlant m’envahi au moment où la porte de la cabine s’ouvrit sur Milan. Il se figea net sous la surprise et l’espace d’une seconde je crus voir de la tristesse dans son regard.

 



pov Milan

-
on arrive bientôt au port.

- Très bien, je vais prévenir le capitaine.

            Deux semaines déjà que ce petit con restait toujours collé à Jack, deux semaines que l’on n’avait pas pu passer cinq minutes tout les deux. Il me manquait tellement. Je voulais juste que l’on fasse comme avant, des fois, la nuit, on avait l’habitude de s’allonger sur le pont pour regarder les étoiles en parlant de choses et d’autre. Ces moments de complicité me manquaient tellement. Je ne voulais pas perdre mon meilleur ami. Et pourtant je ne peux que le regarder s’éloigner sur cette mer qu’il ne connait pas encore et qui le fascinait tant. J’aurais voulu être cette mer capable de lui donner ce qu’il cherchait tant mais je n’ai pas réussi.

            J’étais devant la porte de la cabine, j’avais peur d’entrer, peur de le voir dans ses bras. J’avais dû supporter cette vision tellement de fois. Je finis par trouver le courage d’ouvrir la porte. Je n’aurais jamais dû entrer. Ils étaient là sur le lit, Jackson sur le bassin d’Adrien, le sexe de ce dernier en lui et je sentis mon cœur se serrer. Parce qu’il pleurait. Ce connard faisait pleurer mon Jackson et pourtant il me souriait avec douceur en essuyant ses larmes. Je lui souris, que pouvais-je faire d’autre ? À part être à ses côtés et le soutenir. Il se leva, il était tellement beau, là, nu dans la lumière du matin. J’aimerais tant pourvoir découvrir ce corps plus encore mais je ne le pourrai jamais. Il m’enlaça avec douceur posant ses lèvres sur les miennes.

- Qu’y a-t-il blondinet ?

- On arrive bientôt au port. Il n’y a aucune trace de son bateau.

- il a dû reprendre le large.

- Tu devrais te rhabiller.

- Désolé.

- Non, c’est moi qui dois apprendre à frapper avant d’entrer maintenant .je ne veux pas déranger.

- Tu ne déranges jamais, beauté.

            Il me serra encore plus fort contre lui. Je fermai les yeux, me laissant aller à cette étreinte. Je sentais qu’on le tirait loin de moi et lorsque j’ouvris les yeux, ce fut pour voir le regard meurtrier d’Adrien.

- Tu le touches pas, il m’appartient.

            Je voulus dire quelque chose mais Jackson l’avait déjà plaqué avec force contre le mur le fixant avec colère.

- Je n’appartiens à personne.

- JE CROYAIS QUE TU M’AIMAIS ALORS POURQUOI ES-TU AUSSI PROCHE DE LUI ?

- TU VEUX QUOI ? QUE JE SOMBRE ENCORE PLUS DANS CET AMOUR QUI ME FAIT DÉJÀ TANT DE MAL?  IL EST MON MEILLEUR AMI, ACCEPTE LE OU FOUT LE CAMP.

            Adrien l’attrapa par la nuque pour prendre ses lèvres avec force enfonçant sa langue entre ses lèvres et Jackson lâcha prise, se calmant aussitôt. Il finissait toujours par gagner. Peut importait si Jackson tenait à moi, il oubliait que j’existais lorsqu’il était dans ses bras. Je ne pourrai jamais gagnais face à lui. Je sortis de la cabine laissant couler mes larmes. C’était si douloureux de les voir aussi proche.

 

 

pov Jackson

           
Je ne supportais pas qu’il me traite comme sa chose mais c’était tellement faible façe à lui. Il suffit qu’il m’embrasse pour que je lui pardonne tout. Même si cela devait faire du mal à mon meilleur ami. Depuis quand étais-je si faible ? Je le repoussai avec douceur et m’éloignai de lui pour aller m’habiller. Je sortis de la cabine sans rien dire. Je trouvais Milan qui fixait la mer en silence, même si je ne le voyais que de dos je savais qu’il avait mal. À cause de moi. Je l’avais délaissé durant ses dernier jours. Je ne pouvais pas l’abandonner. Il était mon meilleur ami, mon frère. Si Adrien ne pouvait pas comprendre ça, il ne pourra jamais me comprendre. J’enroulais mes bras autour de lui, je le sentais se tendre à ce contact.

- N’écoute pas ce qu’il dit, Milan. Je ne lui appartiens pas.

- Ton cœur est à lui. Il le sait et il en joue.

- Je suis tellement faible face à lui, que dois-je faire, Milan ? Il va me quitter et ça me fait tellement peur. Je fais tout ce que je peux pour le retenir mais tout ça est vain. Je ferais bien mieux de renoncer et de reprendre ma vie d’avant.

- Non. Tu as enfin découvert ce qu’est l’amour alors s’il te plait, ne renonce pas, bas-toi pour ce bonheur.

- Et toi, quand vas tu te battre pour ton bonheur ?

            Il se retourna vers moi posant son front contre le mien et me fixa en souriant.

- Mon bonheur, c’est de te voir heureux parce que tu es ce que j’aime le plus au monde.

            Ses mots étaient si doux, il était le seul à me comprendre, le seul à m’aimer. La seule personne importante dans ma vie. Je lui devais tellement.

- Trouve le bonheur Milan. Ne perd pas ton temps avec un mec inutile comme moi.

            Je m’éloignai de lui sans lui laisser le temps de répondre. Je n’apporte que le malheur autour de moi. Je ne fais que le faire souffrir. Quel genre d’ami suis-je donc ? Quel genre d’homme suis-je donc ? J’aurais dû mourir lorsque les vagues m’ont emporté, j’aurais dû mourir.

- Que ça saute! Cessez de flemmarder, on doit arriver au port avant que le soleil ne soit au zénith. Alors on s’active, bande de sales pirates.

            J’étais un pirate, un homme froid qui n’éprouvait pas les moindres sentiments. Alors je devais le rester. Le reste n’était que douleur.

 

 

 

 

 

  j'arrive pas à mettre les couleur pour les^pov sa m'énerve.

 

 

 bientôt l'arrivé du nouveau personnage mystére.^^




Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Dimanche 14 mars 7 14 /03 /Mars 19:30

juste pour vous parce que je vous adore je vous met deux nouveau chapitre d'un amour de pirate.^^
et un grand merci à Lilly qui as corriger. bisous à toutes.



CHAPITRE 23 :

 

 

 

 

            On était aux milieux de tous ses pirates pour le déjeuner. Ce n’était pas l’endroit où je me sentais le mieux mais bon Jackson, lui, semblait rayonnant, il n’arrêtait pas de rire, de sourire et je ne pouvais faire autrement que de le trouver beau. Et ça m’énervait, je pris congé sans qu’il le remarque et allais dans ma cabine. J’avais besoin d’être un peu seul. Pour pouvoir réfléchir à ce que je ressentais pour lui. Je ne regrettais pas d’avoir fait l’amour avec lui, ça avait été fantastique. Mais je ne l’aimais pas. J’avais dû laisser Alizé seule à ce port rempli de pirate. Je lui en voulais beaucoup de m’avoir imposer cela. Je le détestais autant qu’il m’attirait. Je m’en voulais de lui avoir fait mal, cette nuit, je n’arrêtais pas d’y penser et ça me terrorisait. J’ai fini par m’endormir à bout de force.

 

 

                Lorsque je me réveillais, il était déjà tard. Je m’étais surpris à espéré qu’il soit à mes côtés, qu’il me serre dans ses bras, qu’il me regarde avec son regard empli d’amour. Mais j’étais seul dans cette cabine. Je me levais pour quitter la pièce et rejoignis sa cabine. Il était sur le balcon, vêtu d’une simple chemise qui lui arrivait juste en bas des fesses laissant apparaitre ses belles jambes. Il était vraiment magnifique. Il regardait encore cette mer qu’il affectionnait tant. La trouvait-il plus intéressante que moi ? L’aimait-il plus qu’il ne m’aimait ? Je m’approchais de lui en silence ne m’arrêtant que lorsque mon corps était quasiment collé au sien. Je posai mes mains à côté des siennes et mon menton sur son épaule. Il sentait tellement bon. Cette odeur était si enivrante.

- Pourquoi ne m’as-tu pas rejoint ?

- J’ai pensé que tu avais besoin d’être seul, de réfléchir à tout cela.

            Je déposai mes lèvres dans sa nuque, alors que je faisais glisser ma main entre ses deux cuisses. Son corps m’excitait trop, j’avais envie de lui, je voulais à nouveau pouvoir me retrouver en lui. Je lui mordillais le lobe de l’oreille alors que l’un de mes doigts caressait son entrée. J’attirai son bassin en arrière, lui faisant écarter les cuisses, je me laissais tombais tomber à genoux derrière lui. Je n’avais jamais fait cela mais avec lui, j’en avais envie, je voulais qu’il y prenne du plaisir. Je passai ma langue sur sa petite fleur de chair. Je savais à ses frisons et ses gémissements qu’il aimait ce que je lui faisais. Je fis glisser ma langue jusqu’à ses bourses avant de retourner embrasser ses globes de chair. Je fermai les yeux, ses gémissement étaient si excitants qu’il me faisait bander dur. J’avais envie de le pénétrer là tout de suite. Je me redressais collant mon bassin au sien pour lui faire sentir mon envie de lui.

- j’ai tellement envie de toi.

- Alors vas-y, baise moi.

 

 

 

            Je fermai les yeux en attendant qu’il me baise comme la veille. J’avais aimé ce qu’il venait juste de me faire. Jamais on ne m’avait fait une telle chose mais je ne devais pas oublier que je n’étais que sa chose. Il se servait juste de moi pour se vider. Je fus surpris lorsqu’il me retourna et me souleva pour m’assoir sur la rambarde. Je m’accrochai à lui de peur de tomber dans cette étendue qui me terrorisait tant.

- J’ai bien l’intention de te faire l’amour juste au dessus de cette mer que tu aimes tant. Alors accroche-toi bien parce que je ne te laisserais pas la rejoindre. Tu es à moi.

- Oui.

            Je m’accrochai avec plus de force à lui alors qu’il prenait mes lèvres avec douceur me faisant trembler de désir, d’amour. Nos langues jouaient l’une avec l’autre, se caressant, se cherchant, dansant ensembles. Il m’écarta encore plus les cuisses et je lâchai ses lèvres criant de plaisir lorsque son sexe pénétra en moi, c’était si bon, il était tellement brûlant, si gros, il me remplissait totalement. Il se mit à bouger doucement pour ne pas me faire de mal. Il me rendait fou, jamais je n’aurais cru que ça puisse être si bon d’avoir un homme en moi. Ça n’avais été que douleur. Je le serrais encore plus fort contre moi, enfonçant mon visage dans son coup criant de plaisir. Il me rendait totalement fou. Je l’aimais tellement.

- Je t’aime…je t’aime tellement…fais-moi tien…encore et encore…

- J’aime être en toi…tu es si serré, tellement brulant…tu me serres tant…aaah…c’est bon…

            Il bougeait avec douceur en moi, chaque va-et-vient me donnait un peu plus encore. C’était si bon de le sentir aussi gros et dur en moi, preuve du plaisir que je lui donnais. Je me cambrais sous le plaisir lui offrant toute ma profondeur, seul ses bras me retenaient, m’empêchant de disparaitre dans les flots. C’était une sensation tellement excitante,

- J’adore t’entendre crier de plaisir. Crie plus fort.

- Plus fort…prends…aaah…prends-moi plus fort…aaah…Dris…

- Je ne veux pas que tu tombes.

- Vas…y…aaah…c’est excitant…cette sensation de tomber…de planer…prends-moi plus fort…aaah…

            Il accéléra la cadence de ses va-et-vient, mes fesses glissaient de la rambarde : chaque coup de reins m’envoyait un peu plus dans le vide. Je lâchais prise sous la puissance de ses assauts. Il enroula ses bras autour de moi me serrant avec force contre lui et mes lèvres furent à nouveau prisonnières des siennes dans un baiser fougueux et tendre à la fois.

- Je ne te laisserais pas tomber, Pirate.

- Pour…aaaah…quoi…aaah …pourquoi ?

- Parce que je tiens à toi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Samedi 13 mars 6 13 /03 /Mars 21:51
cher lectrice voici le chapitre 22 d'un amour de pirate. l'un des chapitre les plus long de cette fic. le reveill après leur premier nuit d'amour. comment cela va t-il ce passé.
on va bientôt voire arrivé un nouveau personnage je vous laisse deviner. faite moi part de vos idée. bisous et bonne lecture.

CHAPITRE 22 :

 

 

 lovele13

À mon réveille je ne trouvais pas Jackson à mes côté et sa m’énervais, parce que j’aurais voulu qu’il m’embrasse pour me réveillais. Sentir ses douces lèvres sur les miennes et son corps ce collé contre le mien, ses mains caressaient ma peau. Je sentais l’excitation monté juste à cette pensé. Où pouvait-il bien être ? Partir avant mon réveille après la nuit que l’on avaient passé ce n’es pas convenable. C’Était bien l’attitude d’un pirate. Il devait encore être en train de contemplait l’océan. C’était son doute plus intéressant que moi. Je me redressais d’un coup, la colère envahissait mon être. J’enfilais en vitesse mes vêtements pour sortir de la cabine et la première chose que je vis furent les lèvres de MON Jackson sur les lèvres de ce petit con. Mon sang ne fit qu’un tour. Je vais les tuer tout les deux, je vais leurs tordre le cou. Je ne suis pas jaloux c’est juste de la possessivité rien de plus. Il m’appartient. À moi et à personne d’autre. Je voyais Milan le repoussais. Bon je vais peu être l’épargner ce petit con. Je m’approchais en silence pour pouvoir entendre leur conversation.

- Tu ne devrais pas faire cela. Il pourrait être jaloux.

- Pourquoi ce n’es qu’un geste d’amitié. Il ni as rien de mal là dedans.

Rien de mal je vais te montrait moi s’il ni as rien de mal. Sal con de pirate.

- tu es bien trop naïf des fois.

Aller bien envoyais. C’était vrai que des qu’il s’agissait de sentiments il était naïf mais sa le rendait tellement mignon. Merde à quoi je pensais moi.

- De toute façons pourquoi serrait-il jaloux. Il ne m’aime pas.

 

Merde pourquoi mon cœur c’était-il serrait lorsqu’il avait dit ça. C’était pourtant vrai. Je ne l’aimais pas, je ne servais juste de lui. Mais l’entendre dire sa avec une voix si douloureuse me faisait me sentir coupable. Je suis la cause de sa douleur.

- Milan, promet moi de toujours restait mon ami.

- Je te le jure tu es ma seul famille. Je ne te quitterais jamais.

- je t’aime Milan.

- Moi aussi je t’aime capitaine.

Mais qu’il a con ce qu’il voulait c’était ta queue dans son cul. Mais il ne l’aura pas. Elle était à moi comme tout le reste de son être. Il faut qu’ils ce découle et vite où j’allais péter un câble. Je m’approchais d’eux toussant pour signaler ma présence. Jackson ce retournais vers moi gardant son second dans ses bras. Je vais faire un meurtre dans trois secondes. Ce fut Milan qui le repoussait doucement pour reprendre la barre. Jackson s’approchais de moi, son regard était froid jamais il ne m’avait regardais de la sorte que lui arrivait-il ? Où était le Jackson qui me regardait avec amour ? Il ce plantait face à moi. Si proche que je pouvais sentir son souffle sur mes lèvres. Je voulais tant qu’il m’embrasse. Pourquoi est-ce que cette pensé m’obsédais ? Que m’avait-il fait ?

- Je t’interdis de dire ce genre de choses à Milan. Il est mon meilleur ami et jamais tu ne pourras changer ca Adrien. Ne joue pas. N’essaye pas de savoir lequel je serrais prés à tuer pour gardais l’autre.

Ses mots furent tel un coup de poignard en plein cœur. Il l’aimait donc plus que moi. Pourquoi est-ce que cette pensé me faisait si mal ? Je ne l’aimais pas alors je n’en ai rien à faire de savoir s’il le préférait en moi. Je me servais juste de lui. Je le baissais juste.

- C’est bon je suis désoler.je le dirais plus.

Son regard ce fit alors plus doux et ses doigts venaient ce poser sur ma joue avec douceur me faisant frémir.

- Tu as bien dormi ?

- Non.

- Pourquoi demandait-il étonné.

Je l’attirais contre moi et prenais ses douces lèvres qui n’avais de cesse de me nargué. Je voyais Milan détournait la tête avec tristesse alors que je fermais les yeux pour profitait de ce baiser allant cherché sa langue. Il glissait ses bras autour de ma nuque ce serrant encore plus contre lui. Comme s’il voulait m’empêchais de m’échapper. S’il savait que je n’en avais pas l’intention. Ses baisers me rendaient fou. Mais je ne lui dirais jamais.

Je du tout de moins le relâchait à bout de souffle. Je posais mon front contre le sien alors que mes bras le serraient encore plus fort contre moi.

- J’ai mal dormi parce que tu n’étais pas là lorsque je me suis réveillé. Et parce que je n’ai pas eu le droit à mon baiser matinal. Alors je t’en veux.

Il baisait la tête tel un enfant pris en faute, c’était tellement mignon. Merde qu’est-ce qui m’arrive de le trouvais mignon depuis ce matin ? Sa tournais plus rend cher moi.

- Je suis désolé. Je t’ai regardais dormir, mais j’avais des choses à faire. Je ne voulais pas te réveillais. Mais je t’ai embrassais. Tu ne l’as pas senti parce que tu dormais.

Putain il m’excite trop avec sa petite voix désolé. Je le soulevais pour l’assoir sur la rambarde reprenant ses lèvres en caressant son torse. Je reprenais ses lèvres caressant son torse. Il gémissait entre mes lèvres en essayant de me repoussais.

- Mon amour j’ai du travail.

- Et moi il y a plein de truc que j’ai envie de te faire. Alors en retourne dans la cabine. Tu vire ses fringue et je te fais l’amour encore et encore.

- C’n’est pas sérieux j’ai plein de choses à faire aujourd’hui.

- Milan t’es le second alors tu t’occupe de tout. J’enlève le capitaine pour la journée. Et ce n’est pas négociable. Je lui lançais un regard noir.

- C’est bon Jack je n’occupe de tout.

- Alors tu vois. Tu es libre. Lui murmurais-je au creux de l’oreille. Alors retourne dans la chambre j’arrive tout de suite. Tu as intérêt d’être nu et allonger sur le lit.

 

 

J’avais rejoins ma cabine, et je n’étais allonger nu sur le lit, sur le ventre j’en profitais pour étudier une carte en attendant qu’il arrive. J’étais heureux qu’il ait eu envie de ce réveillé à mes côtés qu’il a eu envie que je l’embrasse. Plus les minutes passe et plus il me rendait amoureux de lui. J’avais l’impression d’être en plein rêve. Je frémissais lorsque je sentais ses doigts glissaient le long de ma colonne vertébrale.

 

 

J’avais eu une discussion avec Milan. Plus clame que celle de la veille. Je comprenais très bien qu’il voulait juste protégé son ami. Je n’avais pas put lui promettre de ne pas faire souffrir Jackson. Je savais que j’allais lui en faire. Je me servais de lui. Dés que j’aurais trouvais Shawn en rejoindra Alizé et je partirais loin de lui. J’oublierais alors tout ce qui le concerne. Et lui serra-t-il m’oublier ?

Je le trouvais allonger sur le lit totalement nu, en train de lire une carte. Il ne m’avait pas entendu entrer. J’en profitais pour le regardait. Il était tellement beau. Je fixais ses belles petites fesses. Juste de me souvenir du plaisir que j’avais pris en lui suffisait à me faire bander. J’avais tellement envie de le prendre à nouveau. Mais je ne ferais rien, je ne voulais pas lui faire plus de mal.

 

 

- Tu as été long mon amour.

- désoler. Murmurait-il au creux de mon oreille, alors qu’il s’allongeait sur moi de tout son long. Je sentais son sexe tendu contre mes fesses, il avait envie de moi, mais il ne faisait rien. C’était bien la première fois que je l’entendais demandait pardon.

- Qu’est-ce que tu regard ?

- De vielle carte.

Il ce laissait tomber à côté de moi gardant sa main dans le creux de mes reins me faisant frémir de bien être, ses mains étaient si douce. Il restait la ce contentent de me fixais en silence. Je repliais les cartes et me retournais vers lui pour le regardais. Plongeant dans ses deux océans tumultueux, plus dangereux que tout les océans du monde, plus profond encore que la fosse des Mariannes remplis d’encore plus de mystère, en avait envie d’y plongeais même si en on connaissait les dangers. Je faisais glisser mes doigts le long de sa joue, il fermait les yeux gémissant de plaisir. Je posais mon autre main sur son torse me rapprochant de lui. Je déposais mes lèvres sur les siennes faisant glissait mes doigts le long de son torse. Il entrouvrait les lèvres pour me laissais aller joué avec sa langue. Il enroulait ses bras autour de moi me serrant contre son corps me faisant gémir de plaisir. Ce baiser était si doux, j’aimais tellement lorsqu’il m’embrassait de cette façon. J’avais l’impression qu’il partager mon amour. Mais ce n’était qu’une douce chimère. Ce baiser pris fin bien trop vite à mon gout j’avais envie de l’embrassais encore t encore, jusqu’à plus soif. J’enfonçais mon visage dans le creux de sa nuque respirant sa douce odeur. Je me sentais si bien là dans ses bras, contre son corps. J’avais envie que cela ne cesse jamais. Je l’aimais tant.

- Alors de quoi voulait tu parlais Dris ?

- Juste rattraper mon réveille louper et parlais un peu.

Sa réponse n’étonnais, il voulait juste parlais, passé du temps avec moi sans rien d’autre. Sa me rendais fou de plaisir. Une matinée au lit avec l’homme que j’aime à parler que demandais de plus.

- De quoi veut tu parlais ?

- Je ne sais pas de chose et d’autre. Pourquoi as-tu dit que tu avais quitté ta famille sans regret ?

- Dris je n’ai pas la moindre envie de parlais de tout sa. Je déteste parlais de moi. Si en parlais plutôt de toi, sa doit être bien plus intéressant.

- Si en sort ensemble j’ai le droit d’apprendre à te connaitre. Je ne démordrais pas tant que je ne serais pas ce que tu cache. Je veux savoir d’où tu viens et comment tu t’es retrouvait à la tête de ce bateau. Je veux tout savoir de toi.

Il ni avait rien à savoir outre le fait que je n’avais été qu’une vulgaire pute, si je lui disais cela il allait me détesté. Je ne voulais pas qu’il le sache, jamais. Je montais sur lui me plaçant sur son bassin. Et je prenais ses lèvres avec force. Ondulant du bassin le faisant gémir de plaisir entre mes lèvres. Il me repoussait doucement, sans vraiment le vouloir.

- Jackson, je suis sérieux.

- J’ai envie de toi.

- Non. Criait-il en me repoussant avec plus de force et me lançais un regard noir. Je me redressais m’enroulant dans le drap, m’éloignant de lui. Je n’avais aucune envie de parlais de tout cela. Je voulais oublier mon passer.il n’était que noirceur. Dans ce passé j’étais une personne sans cœur, pute, meurtrier, il ne pourrait jamais aimais cette parti de moi. Je frémissais en sentant ses bras ce glisser autour de mon corps. Sa voix était basse, rassurante, enivrante.

- D’accord on ne parle pas de ton passé. Mais on ne fera pas l’amour tu dois encore avoir mal. À cause de cette nuit. Je ne veux pas te faire encore plus de mal.

- je t’aime tellement Dris. J’avais dut cela dans un souffle à peine audible. Il n’avait rien répondu mais peut importe. Il n’avait pas besoin de répondre. Je savais qu’il ne partager pas mes sentiments. Je sentais ses lèvres ce posaient dans ma nuque, elles étaient si douces, son baiser était si tendre, amoureux, mais ce n’était qu’une illusion de mon cœur amoureux.

- J’ai vraiment aimais faire l’amour avec toi cette nuit.

- C’est vrai ? Demandais-je le cœur remplis de joie.

- Oh oui. C’était génial. J’adore quand tu m’embrasse. Quand tu me caresse, et encore plus quand tu m’appelle de cette toutes petites voix alors que tu jouis. Tu es tellement beau lorsque tu prends du plaisir. Et encore plus quand tu bouge sur moi. Tu es tellement érotique.

Je laissais tombé ma tête sur son épaule soufflent de bien être.

- Hm, je me sens si bien dans tes bras.

- Moi aussi. Et ce n’est pas normal.

- Pour…pourquoi ?

- Parce que tu es un pirate, un homme et je suis sensé te détesté. Mais je n’arrive pas à te détesté entièrement. Tu es si différent des autres pirates. Je ne sais pas quoi pensé.

- Alors arrête tous simplement de réfléchir. Moi je profite du moment présent. Parce que je sais que cela ne durera pas éternellement.

- Tu sais la dernière fois lorsque je t’ai vu combattre c’était incroyable. Tu étais tellement beau. C’était fascinant et inquiétant à la fois. À cet instant tu étais si différent de maintenant. Tu semblais si froid, si lointain.

- C’Est-ce que je suis. Froid et distant. Un homme sans cœur.

- Pas avec moi. Pas avec Milan.

- On a toutes nos petites faiblesses. Milan as était la première personne que j’ai aimais. C’était déjà tellement fort et je t’ai rencontré. Et sa me terrorise parce que tu as entre tes mains le pouvoir de me brisé. Tu me rends faible et je déteste sa.

Je me sentais tiré en arrière et ses lèvres ce posaient sur les miennes. Alors que ses mains ce faisait une place sous le drap pour caressait ma peau nue. Il empoignait mon sexe me faisant gémir de plaisir.

- je te fais perdre la tête Jacky ? Je te rends fou ? Demandait-il dans un murmure à mon oreille.

- O…oui. Haletais-je alors que ses doigts faisaient des va et vient sur mon sexe je me laissais tomber en arrière posant ma tête sur ses genoux me laissant aller au plaisir de ses caresses. Je m’accrochais à mon cou pour me redressais et ravir ses lèvres. Ses caresses me rendaient fou de plaisir. C’était comme un feu qui me consumer de l’intérieur. J’avais envi qu’il me fasse l’amour une nouvelle fois. Je voulais pouvoir le sentir à nouveau en moi. J’arrivais même plus à me concentré sur ses lèvres tellement ses caresses me rendais fou. Il me faisait perdre la tête.

- Aaaah…mon amour…c’est bon…aaaah…j’ai envie…prend moi…

- Non je t’ai fait assez de mal hier soir.

Il reprenait mes lèvres avec douceur. Pourquoi me donnait-il de l’espoir. Je le déteste de jouais avec moi. Mais j’étais incapable de lui résisté.

- Tu es super bien monté tu le sais sa ? Tu dois en faire crier plus d’un avec ce que tu as là.

- Non…aaah…jamais…

- Tu es encore puceau ?

Il allait ce foutre de moi j’en suis sur. Mais il m’en fit rien continuant de me caressais. Je me sentais fondre sous ses caresses expertes. Seigneur il cherche à me tuer. Je fini par jouir entre ses doigts.

- Tu as aimait Jacky ?

- oui.

Je me retournais vers lui, je voulais lui rendre ce qu’il m’avait fait. Je voulais le sucer mais il prit mon visage entre mes mains pour prendre me lèvres.

- Je voulais juste te donnais du plaisir rien de plus. J’ai faim on va manger.

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Samedi 13 mars 6 13 /03 /Mars 11:00
enfin en week-end. programme de ce week end je glande tout le week end. et j'en profite pour écrire parce que j'ai pas eu beaucoup de temps TT_TT. mais je vais bien profité de se week parce qu'après trois semaines sans voire un seul samedi et dimanche de grace mat. la vie et dur. bisous à toutes
Par Amako - Publié dans : blabla
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