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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Mardi 23 mars 2 23 /03 /Mars 18:57

CHAPITRE 13 :

 

 

- Bon il n’y a qu’un seul de ces arbres dans la forêt au cœur même de celle-ci. Seulement, il est impossible de transplaner ni de passer par les airs. On va donc être obligé de s’y rendre à pied. Il faut partir demain avant l’aube. J’ai fait mon enquête. Quatre autres équipes ont trouvé que l’épreuve se dérouler dans la forêt mais heureusement pour nous, aucune d’elle ne sait ce qu’est un ange. On a une longueur d’avance, tâchons de ne pas la perdre… Il faut préparer les provisions pour le trajet et nous coucher tôt pour être en forme pour demain. 

 

            Davis et Angel quittèrent la chambre, ils étaient chargés de préparer les provisions pour le départ. Joël, après avoir pris une douche, se glissa dans son lit sans adresser le moindre regard à Ronald lui en voulant encore pour ce qu’il avait dit la veille. Ça lui avait fait vraiment beaucoup de mal. C’était pour lui qu’il avait fait ça et maintenant, à ses yeux, il n’était plus qu’une pute, cette idée lui était insupportable. Il savait que s’il le regardait dans les yeux, il pleurerait et le supplierait de le pardonner, il serait faible à nouveau juste parce que la solitude le détruisait d’avantage chaque jour. Or, il ne voulait plus être faible. Il laissa couler une larme, une unique larme avant de s’endormir.

Ronald fixait le dos de son coéquipier qui s’était endormi, il ne lui avait pas parlé depuis la veille, il ne l’avait pas regardé et détestait que le blond l’ignore, ça lui serrait le cœur. Et éprouver ça ne faisait que l’énerver encore plus.

 

 

            Ca faisait trois heures déjà qu’ils crapahutaient dans la forêt. Pour le nomment, ils n’avaient rencontré aucun animal hostile mais plus ils se rapprochaient du centre de la forêt plus la végétation devenait dense et lugubre.

Joël marchait en tête en pensant à tout un tas de choses sans écouter ces « amis » discuter. Il fut sorti de ses pensées par des cris de détresse.

- ANGEL ! Cria Davis alors que le blond était en train de s’enfoncer dans des sables mouvants. Attrape ma main !

- Merde, c’est quoi, ça ? Cria Angel alors que quelque chose s’avançait vers lui. Il se jeta au sol à côté de Davis lui tendant sa main.

- Angel, fais un effort, attrape nos mains, s’il te plait !

            La bête se rapprochait de lui alors qu’il essayait de sortir de ce trou. Tout à coup, il fut expulsé du sable et retomba dans les bras de Davis qui le serrait contre lui de toutes ses forces l’embrassant avec passion.

- Mon ange, j’ai eu tellement peur de te perdre.

- Moi…aussi… comment je suis sorti de là ?

- Je ne sais pas.

- Il…il faut se remettre en route. Intervint Joël.

- T’es un sans cœur toi. Putain, il a failli y passer et toi, tout ce à quoi tu penses, c’est ce putain de tournoi. Laisse-lui cinq minutes.

Les paroles du roux lui fit vraiment mal, comme chacune de ses paroles blessantes.

- Il a raison. Ajouta Davis avec froideur. Tu ne pense qu’à gagner.

- Je suis désolé. C’est donc ce qu’ils pensaient de lui, qu’il n’avait pas de cœur. Peut être que c’était vrai.

            Angel leva la tête sur le blond, il vit qu’il était blanc comme un linge et du sang coulait de son nez, il tremblait et semblait prêt de s’évanouir.

- Qu’es-ce qui t’es arrivé ? Demanda Angel, étonné. Les deux autres levaient enfin les yeux sur lui.

- Je…une branche…ce n’est rien.

- Attends, je ne suis pas sorti de là tout seul, il à fallu une sacré force pour me tirer de là.

- Ce doit être Davis ou Ronald. L’esprit est capable de choses incroyables lorsque quelqu’un que l’on aime et en danger. Moi, je ne suis qu’un égoïste qui ne pense qu’à gagner.

            Joël reprit sa route en les laissant derrière lui.

- Qu’est-ce qui va pas avec ce mec ? Demanda Ronald en le regardant partir avant de se retourner vers son amour. Tu vas bien, Angel ?

- Oui, merci.

Joël s’arrêta un peu plus loin contre un arbre, il avait la tête qui tournait, il eut un haut-le-cœur et rendit tout ce qu’il avait avalé. Il avait utilisé une énergie colossale pour le sortir de là.

            Il se redressa lorsqu’il les entendit arriver. Davis et Ronald n’avaient d’yeux que pour Angel. Joël marcha en retrait, essayant de rester conscient, la fatigue accumulée et les émotions l’ont vidé de toute son énergie. Et les ennuis ne faisaient que commencer, les attaques de plantes et de bêtes se succédèrent. Davis et Ronald protégeaient le petit blond tandis que Joël devait se démerder et au final c’était toujours lui qui les sortait des problèmes.

 

            Ils furent attaqués par des harpies, la lutte fut féroce. Joël se reçut un coup de griffe dans le ventre l’envoyant se fracasser contre un arbre dans un cri de douleur alors que les trois autres continuait de se battre. Il devait les aider, il devait se rappeler de la formule pour les faire fuir.

 

            Une lumière aveuglante emplit la forêt et les créatures partirent ou tombèrent en cendres.

- ça va les mecs ? Rien de cassé ? Demanda Davis.

- Oui. Répondit Angel en allant l’embrasser.

- Ouais. Répondit à son tour Ronald.

- ça…va. Passez devant, je vous rejoins, je vais masquer nos traces, ils ont dû voir la lumière.

            Joël avait caché sa blessure avec un sort de dissimulation. Il avait vraiment mal mais il ne voulait pas les inquiéter pour si peu. Les griffes de harpies étaient pleines de poison.

- Ok, on y va, dépêches-toi.

            Il les regarda partir avant de désinfecter sa plaie, serrant les dents sous la douleur.

 

 

            Un cri de douleur résonna dans les bois.

- Joël. Cria le roux en courant là ou ils l’avaient laissé, suivi des deux autres. Ils s’arrêtèrent horrifiés en le voyant assis contre l’arbre en sang.

 

Par Amako - Publié dans : tournoi magique (ternimé)
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Lundi 22 mars 1 22 /03 /Mars 16:24

j'avais promis de mettre la suite hir mais je n'ai vraiment pas eu le temps, trop de travail. proit demains je mais un autre chapitre. bisous et bonne lecture.


CHAPITRE 12 :
   
 

 

 

            Ils étaient tout les quatre réunis dans la chambre de Ronald et Joël, ce dernier restait assis sur son lit en silence, alors que les trois autres discutaient de la prochaine étape. C’est alors qu’un hibou entra par la fenêtre, se posant sur le bureau.

            Angel se leva pour aller prendre le morceau de vieux parchemin attaché à la patte de l’animal. Il retourna s’assoir sur le lit entre les jambes de Davis qui referma ses bras autour de lui. Ronald baisa la tête sous la tristesse. Il ne supportait pas de les voir si proches et si amoureux.

            Joël continuait de dessiner sur son carnet sans prêter attention aux trois autres. Le blond déplia la lettre et ouvrit de grands yeux étonnés.

- Ce n’est pas une langue que je connais.

- ah bon ? S’étonna le brun puisque son homme parlait des dizaines de langues différentes.

            Le roux lui prit la lettre des mains, il frissonna lorsque ses doigts touchèrent ceux d’Angel mais il se reprit tout de suite.

- Je ne connais pas non plus.

            Davis prit la lettre pour regarder avant de se tourner vers Joël.

- Joël, tu peux nous aider ?

- Fais voir.

            Le brun se leva pour aller s’assoir à côté de Joël qui se tendit, ils n’étaient plus aussi proches depuis qu’ils avaient couché ensemble. Il essaya de cacher son trouble et prit le morceau de papier pour le lire.

- C’est la langue des arbres.

- ça parle les arbres ? Demanda Ronald étonné.

- A leur façon, oui, comme tout ce qui est vivant, il faut juste savoir écouter.

- Et ça dit quoi ? Demanda Angel.

            « L’épreuve à commencé, c’est en mon sein que tu trouveras le chemin à suivre, écoute la voix des anges et tu trouveras ce qui est à trouver »

- C’est bizarre comme lettre. Fit remarquer Davis.

- Non, c’est très clair. C’est une sorte de chasse aux trésors. La première épreuve se déroulera dans la forêt.

- Et les anges, qu’est-ce que c’est ? T’en as déjà entendu parlé ? Demanda Angel.

- Ce sont des fleurs très rares qui poussent uniquement au pied des platanes caméléon. Arbres très dur à trouver car ils changent souvent d’apparence.

- Il va falloir arpenter toute la forêt alors.

- Non, il existe une formule qui permet de les repérer. Je me charge de repérer le chemin cette nuit et dès demain, on part à la recherche du prochain indice. Je pense qu’il y aura des obstacles à passer. Si l’un de vous pouvait me trouver un plan détaillé de la forêt, ça serais vraiment super.

- On s’en charge. Répondit Angel en se lavant entrainant son petit ami à sa suite.

- Je passerais te chercher avant de partir pour la forêt.

- Ok, à tout à l’heure.

            Il sortit de la chambre et Joël plongea dans sa malle pour en sortir un gros livre avant de retourner s’assoir sur le lit en souriant.

- Viens voire Ronald, que je te montre.

            Le roux se leva pour aller s’assoir sur le lit du blond qui ouvrit le livre, faisant voler de la poussière. La page montrait une fleur d’’un blanc des plus purs.

- Regarde, c’est cette arbre-là, ça, c’est une fleur d’ange. Elles ont un pouvoir incroyable.

- Quel type ?

- La légende dit que si l’on trouve un ange et qu’elle prend la couleur de tes yeux alors elle te révélera qui est ton âme sœur.

- Et comment ?

- Lorsqu’elle fane. Si tu trouves une de ces fleurs, tu dois la cueillir avec la tige et la replanter. Tu dois t’en occuper avec amour. Et lorsqu’elle se fanera alors tu sauras qui est la personne qui t’es destinée, ça peu prendre des années. Et puis ce n’est qu’une simple légende.

- Tu y crois toi ?

- Je crois qu’il faut croire pour vivre, Ronald.

- C’est une très belle légende. Si on a déjà trouvé son âme sœur ?

- Elle fane tout de suite.

- Je veux en trouver une.

- Tu sais, il n’y en aura peut-être pas. Ce n’est pas parce qu’il y a un arbre qu’il y a une fleur. Elles sont vraiment très rares.

- J’en trouverais une et elle me dira qu’Angel est celui qui m’est destiné.

- Hm, je n’aurais pas dû te raconter cette histoire. Dit-il en refermant le livre. Tu n’es qu’un con. Tu ne peux pas comprendre.

- Hé pourquoi tu t’énerves ?

- Tu rapportes toujours tout à lui. Y’en a marre. Mets-toi dans la tête qu’il aime Davis et qu’il ne t’aimera JAMAIS.

            Joël se reçut un magistral coup de poing dans le visage lui fendant la lèvre. Trois fois déjà qu’il le frappait. Et son cœur lui fit encore plus mal. 

- T’ES QU’UN SALE CONNARD. TU N’AS PAS LE DROIT DE NE DIRE CA. TU N’AS PAS LE DROIT DE BRISER MES RÊVES.

- JE T’EMMERDE, VAS TE FAIRE FOUTRE.

- TOI, D’ABORD ! C’EST PAS MOI QUI ME SUIS FAIT ENCULE COMME UNE PUTE PAR DAVIS.

- T’es…t’es…vraiment…un…connard…

- C’est toi qui as commencé.

- Fous…fous-moi…la paix…c’est une perte de temps de parler avec toi.

            Joël sortit de la chambre en claquant la porte essayant de retenir ses pleurs. Pourquoi fallait-il toujours que ça ce passe comme ça ? À chaque fois qu’il commençait à se rapprocher, quelque chose les éloignait à nouveau. Ils n’étaient peut-être pas faits pour être amis. Ils étaient trop différents l’un de l’autre.

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : tournoi magique (ternimé)
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Lundi 22 mars 1 22 /03 /Mars 16:22

 

2 éme partie

 

 

- aaah…mon amour…al…c’est bon…encore…aaah.

Razu était dos au prince, ses deux mains contre le mur, offert au jeune prince. Il était allé au château. Sa faisait deux semaines pas venu voire le prince. Il l’avait croisé dans un des nombreux couloirs de la résidence. Il l’avait plaqué contre le mur, il avait à présent 15 ans, 8 ans que leurs relation durait et Razu était toujours le seul à être amoureux. Alan l’avait coincé dans un coin il lui avait retiré son pantalon, et son sous vêtements et l’avait pénétré avec vigueur le faisant crier de douleur et de plaisir mêlé. Il l’attrapa par les cheveux l’obligeant à tourné la tête vers lui pour l’embrassé.

- où était…tu… Razu ?

- de l’autre….aaah…côté…aaah

- ne part plus jamais sans me prévenir…n’oublier pas à qui tu appartiens…

- aaah…oui…mon prince…aaah

- à qui ?

- à toi…aaah…oui

Alan jouissait en lui, et ce retira le laissant s’écroulé sur le sol à bout de force, il ce rhabilla en le regardant avec colère.

- ce soir soit à la tour Razu.

- oui.

 

 

Aujourd’hui Alan avait 17 ans, 10 ans déjà qu’il lui avait avoué son amour et qu’il souffre de ne pas pouvoir l’avoir en entier. Et aujourd’hui il était trop tard il allait ce marier.

Tout le royaume était réuni pour célébré cette événement Airi était plus belle que jamais. Alan la fixait le regard débordant d’amour. Comme jamais il n’avait regardait Razu, ce dernier assisté à la scène le cœur en morceau, les larmes coulant le long de ses joues. Ce matin encore il était dans ses bras, il lui faisait l’amour. Mais à présent il était dans ses bras à elle. Il allait lui faire l’amour et lui il allait finir seul. Il venait de perdre son amour et c’étais si douloureux. Il le regardait s’éloigner la portant dans ses bras, le visage rayonnant. Lui il retourna dans sa tour seul, le cœur en morceau. Il s’allongea sur ce lit où pendant 10 ans il avait été son amant.

 

 

Il fut réveillé par des caresses dans ses cheveux. Il ouvrir les yeux pour tombé face à Alan. Le plus jeune le fixait en souriant, il était tellement beau, ne voyait-il donc pas le mal qu’il lui faisait.

- à tu consumer ton mariage.

- oui.

- c’était mieux qu’avec moi ?

- c’était différent.

- que fait tu la lors de ta nuit de noce.

- je venais te voire.

- et maintenant ?

- c’est fini Razu. C’Est-ce qui était prévu dès le début c’est elle que j’aime. Je ne veux plus la trompé.

- tu as bien mûri. Alors je te dis adieux. Et sache que je t’aimerais toujours.

 

 

 

Alan entra dans les ruines, il venait chercher Razu pour qu’il vienne dîner au château mais tout ce qu’il trouva en entrant dans la chambre ce fut les cheveux coupé de son ex amant sur le sol. Dernière trace de son cousin. Il était parti, et tout était de sa faute. À cet instant il sentit un vide l’envahir.

 

 

Le prince Alan dormait d’un sommeil agité dans la plus belle chambres des ruines. C’est ici qu’il venait ce réfugié lorsqu’il allait mal, cherchant un réconfort qu’il ne pourrait plus jamais avoir. Tout sa à cause de sa bêtise. Sa faisait 20 ans aujourd’hui que Razu avait quitté le royaume et qu’il avait disparut. Il était introuvable.

 

 

Un grand brun était assit sur la berge de l’étang son regard triste était perdu dans le lointain. 20 ans déjà qu’il vivait ici, seul. Il n’allait au village que très rarement. Il mené une vie d’Hermite qu’il lui convenait parfaitement.

 

- 20 ans que je te cherche. On peu dire que tu n’as fait sué.

Razu sursauta sortant de sa contemplation et crut bien devenir fou. Pourquoi était-il ici ? Il devait rêver il ni avait pas d’autre explication. Durant dix ans il c’était servi de lui avant de le jetait comme une merde lui brisant le cœur et il ce présente devant lui alors qu’il n’as de cesse de vouloir l’oublier.

- va-t’en d’ici tout de suite. Tu la dit toi-même tout les deux c’est fini alors tu n’as rien à foutre ici. Rentre cher toi. Va donc rejoindre ta femme.

- Razu.

Alan l’allongea sur le sol ce plaçant sur son bassin il voulut l’embrassé mais le brun le repoussa avec force en ce relevant. Il ne voulait pas qu’il le touche il e voulait pas retomber dans ses bras. Il n’avait que bien trop souffert.

- à quoi tu joue merde ? Ta femme ne te satisfait pas. Tu as besoin de baiser un mec. Elle ne veut pas que tu la défonce alors tu t’es dit allons voire Razu lui il écarte si facilement les cuisses. Sa chatte n’est pas assez serrée ? Elle suce mal ? Merde je croyais que tu ne voulais plus la trompé. Rentre chez ta femme.

- je ne partirais pas tant que je n’aurais pas ce que je veux.

- cette fois-ci je n’écarterais pas les cuisses parce que tu ne le demande. J’en ai assez d’être ta pute. Rentre chez toi merde.

- Razu fait moi l’amour.

- va retrouver…qu’es…qu’es ce…tu as dit…

- fait moi l’amour.

Razu ce retourna vers le plus jeune. Il sentit son cœur éclaté lorsqu’il le vit totalement nu devant lui, le fixant avec ce regard qu’il avait tant souhaité qu’il lui adresse un jour. Alan l’attrapa par le bras pour l’attiré à lui.

- 20 ans loin de toi c’est trop long. Bien trop long. Jamais je n’aurais cru que tu puisses autant me manqué. Tout les jours j’allais au ruines dans l’espoir de te voire y revenir. Je dormais dans notre lit, priant pour que tu sois la à mon réveille. Pouvoir à nouveau sentir tes lèvres sur les miennes, ton corps contre le mien, tes caresse.

Alan lui murmurait ses mots avec douceur à l’oreille. Alors que ses mains glissé sur son corps le délestant de ses vêtements.

- ne me laisse plus jamais seul Razu. Être loin de toi c’est insupportable. Il a fallut que je te perde pour n’en rendre compte.

Il n’arrivé pas à y croire sa ne pouvait être vrai. Alan posa ses lèvres sur les siennes et ils crurent tout deux en nourrir de plaisir sa faisait si longtemps. Il s’allongea sur le sol, l’attirant entre ses cuisses.

- vient Razu…vient en moi. Je t’aime.

- je ne te crois pas.

- tu sais Jeile cette abruti ma lancé un nouveau sort. Je ne peux plus mentir. Il y a deux jours j’ai dit devant tout le monde ce qui c’était passé entre nous deux. Et que c’est toi que j’aimais.

- comment veut tu que je te crois. Tu es toujours marier. Tu as toujours cette marque qui t’attache à elle.

- parce que c’est toi que j’ai choisis. Je t’en supplie crois moi mon amour.

Razu fut surprit de le voire pleurait. C’était la première fois qu’il le voyait pleurait. Et il sentit son cœur ce serré. Alan glissa ses bras autour de son cou posant ses lèvres sur celle de l’ainé.

- fait moi l’amour et vite où je vais nourrir. Serre moi contre toi et ne me lâche plus.

 

 

 

Razu lui avait fait l’amour, ils étaient resté un mois seul réapprenant à ce connaitre. Profitant de la solitude pour s’aimais sans retenu mais il avait bien fallut que le prince retrouve son royaume et le moment était venu de faire face à son peuple et Alan ce dressa devant eux de toutes sa hauteur les défient de le jugé. Il tenait la main de Razu dans la sienne qui était à ses côté.

- à présent c’est avec cet homme que je vivrais parce que je l’aime. Jamais je ne pourrais l’épousé mais je veux passer le restant de ma vie avec lui.

Razu en avait pleurait de bonheur. Depuis ce jours la il vivait heureux dans les ruines.

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : os yaoi
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Samedi 20 mars 6 20 /03 /Mars 23:42

CHAPITRE 11 :

 

 

           

- Joël n’est toujours pas revenu ? Demanda un Angel inquiet.

- Non.

            Ça faisait déjà trois jours que le blond avait disparu de la circulation. Il ne semblait pas être ressorti de l’eau mais c’était impossible de rester transformer aussi longtemps. Durant son absence, les seize équipes restantes avaient découvert la prochaine épreuve. Il leur faudrait résister à la potion de vérité le plus longtemps possible, le premier à craquer fait perdre son équipe et il ne restait plus que quelques heures avant le début de cette épreuve.

- S’il n’est pas la dans trois heures, il va nous faire perdre. Rajouta Ronald. Qu’est-ce qu’il fait, merde ? L’antidote doit être ingéré trois heures avant l’absorption du poison. C’est foutu, on va être éliminés.

- Panique pas, il sera là, tout va bien se passé. Il n’est pas du genre à nous abandonner comme ça. Tu devrais le savoir mieux que quiconque Ronald.

- Hm, c’est bon, je le sais.

 

 

            Sauf que c’était quand leur tour arriva, Joël n’était toujours pas reparu. Ils prirent place au milieu de la salle attendant le début de l’épreuve. La porte s’ouvrit et Joël fit son entrée dans la pièce, de l’eau coulait le long de ses cheveux blonds. Il s’assit à côté de ses coéquipiers sans leur adresser le moindre regard ni la moindre parole.

- Très bien, tout le monde est là alors buvez vos verres.

            Ils burent leurs verres avec une grimace.

- Très bien, commençons. Quels sont vos prénoms ?

            Ils répondirent aux questions banales. Puis les questions devinrent plus personnelles et ils gardèrent le silence. L’examinateur se planta face à Joël qui le fixait impassible.

- Alors Joël, qu’as-tu fait ses trois derniers jours ?

-…

- Tu sais qu’il est interdit de quitter l’île ? Si tu ne fourmis pas d’explication, tu risques d’être expulsé du tournoi et tes amis aussi.

-…

            Il continuait de lui poser des questions mais le blond ne répondit à aucunes d’elles. Au plus grande étonnement de ses coéquipiers.

 

- Très bien, félicitation, vous avez réussi l’épreuve et êtes sélectionnés pour la suite.

 

 

            Joël se leva le premier et quitta aussitôt la pièce pour rejoindre sa chambre. Il retira ses vêtements entra dans la douche pour décoller le sable et l’odeur d’eau salée. Il avait passé trois jours sous l’eau et devoir résister à la potion de vérité l’avait vidé de sa dernière force. Il enfila un short et un T-shirt et sortit de la salle de bain. Ronald était assis sur le lit le fixant avec énervement.

- Où étais-tu, Joël ?

- ça te regarde pas, Ronald. Occupe-toi donc de conquérir l’homme de ta vie et fous-moi la paix, c’est clair ?

- Qu’est-ce qui t’arrives, Jo ?

- Depuis que je vous connais tous les trois, ma vie est devenue un véritable enfer. J’en ai marre, je préfère encore que l’on m’ignore. Je fais tout pour t’aider et qu’est-ce que j’y gagne moi ? Rien du tout.

- Et qu’est-ce que tu veux, Jo ? Dis-le moi au lieu de toujours rester silencieux. Si je peux faire quelque chose, dis-le-moi. On est amis, je peux t’aider, si tu veux.

- Laisse-moi juste dormir, s’il te plait, je suis vraiment fatigué là.

 

            Ronald se leva de son lit pour aller s’allongé sur celui de Joël dans le dos du blond, le serrant dans ses bras.

- Où étais-tu Joël ? Je me suis vraiment fais du souci pour toi.

- Je suis juste allé nager et je me suis perdu mais je suis revenu à temps pour l’épreuve. C’est tout ce qui importe.

            Joël ferma les yeux, il ne voulait pas qu’on le touche, le souvenir de ce qu’il avait fait avec Davis et ses paroles étaient encore trop présent dans son esprit mais il se sentait tellement bien là, dans ses bras si rassurants.

- Comment t’as fait pour résister à la potion Jo ?

- C’est une technique de fermeture de l’esprit. Je l’ai apprise il y a un an. C’est très utile dans ses situations. Vous aviez préparé l’antidote ?

- Oui, ce n’était pas simple, heureusement que Davis et Angel étaient là.

- Oui, sans doute. Si tu veux, un jour, je t’apprendrai cette technique.

- C’est vrai ? Demanda-t-il avec joie.

- Oui.

- T’es vraiment le meilleur, Jo.

- Laisse-moi dormir, maintenant, s’il te plait. Je suis vraiment fatigué.

- Je peux rester avec toi ? Demanda-t-il à son oreille dans un murmure le faisant trembler de bien-être. Comme ça, je m’assure que tu ne vas pas à nouveau t’évanouir dans la nature encore une fois. S’il te plait.

- fais ce que tu veux. Répondit-il luttant pour ne pas se retourner et se blottir dans ses bras si rassurants. Quand il était près de lui, il avait beaucoup moins froid.

- Alors je reste. Bonne nuit, Jo.

- Bonne nuit.

            Joël ne fut pas long à s’endormir, il était vraiment épuisé. Ronald se pencha sur lui pour le regarder dormir, il semblait vraiment épuisé. Il était si paisible lorsqu’il dormait. Il l’embrassa sur la joue avant de se rallonger le serrant dans ses bras, s’endormant à son tour. Lui non plus n’avait pas beaucoup dormi ses trois derniers jours, il s’était vraiment fait beaucoup de souci pour son ami. À présent qu’il était là, endormi, dans ses bras, il était rassuré et pouvait dormir l’esprit en paix.

 

 

Par Amako - Publié dans : tournoi magique (ternimé)
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Samedi 20 mars 6 20 /03 /Mars 09:57
coucou je met un petit os sa faisait longtemps. bref celui si et en deux parti. la premier aujourd'hui et l'autre demain. c'est un os sur le manga Meru puri pour cequi connaisse. c'est entre Alan. je l'adore trop beau^^( ravale la bave) et Razu lui aussi trop beau. dans le manga ils ce déteste mais la....à vous de voire. sa connance au moment au Razu et dans la tour en ruine avce Airi (elle je l'aime pas parce qu'elle sort avec Alan) et que Alan la rejoint et bla blabla. trop long à espliqué. bisous et bonne lecture.

 

1 er parti


shitajiki merupuri1





L’amour et plus fort qu’un sortilège Airi et Alan venait de le prouver Razu les regardait m’arrivant pas à y croire, cela ne pouvait être vrai. Elle avait brise la boite.

 

- pourquoi ?

Airi et Alan ce tournaient vers Razu étonné par sa question, le brun tremblait de colère.

- pourquoi ? Répétait-t-il. Pourquoi avoir risquer ta vie pour elle ? Demandait-t-il en la désignant du doigt.

- je l’aime. Répondait Alan en la regardant avec tendresse. C’est la femme de ma vie.

- tout ça n’a servit à rien. Ce n’est pas possible. Sortaient de cette tour.

Il détournait les talons pour monter les escaliers, il entrait dans sa chambre. Il ce laissait tombé sur le lit. Ça avait encore échoué. Même cette boite n’avait pas suffit à les séparé c’étais bel et bien fini, il ni avait plus aucune change.

 

 

Sa faisait des jours des semaines que personnes n’avait vu Razu, il ne faisait plus parler de lui, ce qui était très étonnant. Il ne cherchait plus à séparer Airi et Alan, le châtain avait décidé de partir à sa recherche. Ce n’était pas dans son habitude de disparaitre comme ça. La dernière fois qu’il l’avait vu c’était au ruine peut être y était-il toujours. Il entrait dans le palais qui était plongé dans le noir ce qui le fit grandir lui donnant l’apparence d’un jeune homme de 17 ans.

- eh merde fait chier ce truc.

Il montait les marches il ouvrit une à une toutes les portes du premier étage, puis il fit le second étage, puis le troisième. Il arrivait devant la dernière porte et l’ouvrir. La chambre était petite lugubre, insalubre, jamais Razu ne ce serrait installé ici.

Il allait repartir mais ce ravisait lorsqu’il entendit du bruit. Il allumait et trouvait le brun allonger sur le lit fixant le plafond en silence.

- qu’es ce que tu fais là ? Sa fait des jours que l’ont te cherche.

- …

Alan s’approchait de lui l’attrapant par le bras pour le faire ce redresser. Il semblait ne pas c’être laver depuis des jours. Lui qui à l’habitude était si propre sur lui, la il était crasseux, les cheveux gras et emmêler. Il était pâle et le regard vide.

- Razu merde à quoi tu joue là ?

- …

- allez vient. Il faut te lavé.

Alan le soulevait le jetant sur son épaule. Razu ce laissait faire sans la moindre résistance. Alan le portait jusqu’à la salle. Elle était immense et magnifique. Il fit couler de l’eau dans l’immense baignoire avant de ce retourné vers Razu qui n’avait pas encore bougé d’un pouce, il soufflait de lassitude avant de retourner vers lui. Il entreprit de le dévêtir.

- j’aurais jamais cru te voire comme sa un jour.

Il le soulevait pour le porté jusqu’à la baignoire le plongeant dans l’eau.

- Razu qu’es ce qui t’arrive à la fin.

- …

- Razu. Répond moi.

- tu es heureux ? Demanda-t-il subitement étonnant le plus jeune.

- de quoi tu parle là ?

- avec Airi tu es heureux ? Tu es heureux de me voire souffrir. Ca te fait plaisir de me voire dans un état aussi pitoyable ? Tu dois bien jubilé.

- mais de quoi tu parle là ? Tu crois vraiment que sa me fait plaisir de te voire comme ça ? Je veux t’aidé alors explique moi.

- je ne peux pas lutter contre un amour comme le votre.

- tu es amoureux d’AIRI c’est ça ?

 

Razu ne répondait rien, il prenait l’éponge pour ce lavé le corps ce délestant de la crasse. Il plongeait sous l’eau pour rincé ses cheveux, avant de nageait à l’autre bout de l’immense baignoire pour sortir de l’eau. Le corps dégoulinant d’eau brillant sous les rayons de la lune. Il était vraiment beau. Magnifique, son corps élancer, finement muscle. La peau hâler qui donné envie de le dévoré.

Il ne prit même pas la peine de s’essuyais où de s’habiller, il sorti de la pièce laissant un Alan totalement perdu. Il ne comprenait plus rien, ni l’attitude du brun, et encore moins pourquoi il était excité à la vue du corps nu de son cousin. Il ce relevait et partait à la recherche de son cousin.

Il le trouvait dans la plus belle chambre de la tour, le lit était immense et Razu y était allongé totalement nu, sous la lumière de la pleine lune il était vraiment sublime. Alan allait s’assoir à côté de lui faisant glisser ses doigts dans ses doux cheveux qu’il avait fait sécher par la magie. Ils étaient vraiment magnifique ses cheveux.

- je te préférais avec les cheveux long Razu. Murmurait le prince dans un souffle.

C’est alors qu’il vit les cheveux brun poussé doucement jusqu’à la taille qu’ils avaient avant. Alan s’allongeait à côté de lui, faisant glisser ses doigts sur sa joue. Razu fermait les yeux le laissant faire. Alan faisaitglisser ses doigts le long de son torse. Il fixait ses propres doigts qui caressaient ce corps si tentateur, il ne savait pas ce qu’il faisait il en avait juste envi. Il ne ce contrôlé plus, il le fixait avec une envi dévorante. Razu laissa échapper un gémissement lorsque les doigts d’Alan frôlaient son sexe. Qui commençais à durcir sous ses caresses. Alan posa son regard sur son visage alors que le brun tournait la tête vers lui. Plongeant son regard dans le sien. Ils étaient si proche l’un de l’autre, leur souffle s’entremêler.

Razu posa sa main sur le torse du plus jeune et entrepris de le détaché un à un les boutons de sa chemise, il s’arrêta lorsqu’il vit la marque sur sa poitrine. Il s’écarta de lui, lui tournant le dos. Son cœur lui faisait si mal à la vision de cette marque.

- ne fait pas ça Alan.

- de quoi ? Demanda-t-il en faisant glissé ses doigts le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la naissance de ses fesses. Le faisant frémir.

- ne me touche pas comme ça. Comme si j’étais important pour toi, alors que tu appartiens à quelqu’un d’autre.

- peu être mais j’en ai envi.

- es ce donc moi j’ai envi tu t’en contre fiche. Tu es tellement égoïste, tu la toujours étais. Tu ne comprends donc pas.

- non.

- je t’aime Alan, je suis fou de toi. Et je ne pourrais jamais avoir ton cœur.

Alan ouvrait de grand yeux étonner a ses mots. Ce n’était pas possible, Razu l’avait toujours détesté alors pourquoi disait-il cela maintenant.

- alors contente-toi de ce que je peu t’offrir. Répondait Alan en ce collant contre son dos, lui faisant comprendre son excitation. Razu fermait les yeux tremblant de plaisir, de bien être alors que Alan repris dans un murmure. Finalement le sortilège de Jeile et utile, avec mon apparence de 7 ans je n’aurais pas put te faire ce que j’ai envi de te faire

- tu veux me baiser c’est ça ? Alors va y fait le, je m’en contre fiche puisque de toutes façon c’est la seul chose que j’aurais de toi.

Razu l’entendait ce déshabiller et il revenait s’allonger contre lui, Razu fermait les yeux essayant de retenir ses larmes. Alan le serrait dans ses bras l’embrassant dans le coup le faisant frémir de bien être. Il ce frottait contre lui, lui faisant sentir son trouble.

- j’ai terriblement envi Razu mais je n’ai pas le temps. Je dois rentrer. Je reviens te voire demain dans la journée.

- oui. Répondait le brun dans un souffle. Alan l’embrassait une dernière fois et ce levait, ce rhabillant et sorti de la chambre. Razu remonta le drap sur son corps et laissa couler ses larmes. Le prince était en train de joué avec son cœur et il serrait le seul à en souffrir.

 

 

Razu fut réveillé par de douce caresse sur sa joue. Il ouvrait les yeux pour tombé face à Alan allonger à ses côté qui le fixait en souriant, il avait sans apparence d’enfant ce qu’il voulait dire qu’il avait vue Airi. Razu ce levait dévoilant son corps quelques secondes aux yeux de Alan avant d’enfilait une longe tunique qu’il attachait.

- que fais-tu ici ?

- je t’ai dit que je reviendrais.

- pas aussi tôt il est à peine dix heures. Tu as passé la nuit dans les bras d’Airi.

- bah non, elle m’a juste embrassé ce matin pour que je reprenne mon aspect.

- et après tu viens me voire.

- tu es jaloux.

- non bien sur que non. Je n’ai pas à être jaloux. Tu devrais aller la rejoindre.

- je…

- va-t’en Alan. S’il te plait.

- je reviens ce soir et je ne partirais pas sans avoir eu ce que je veux.

- et qu’es ce que tu veux ?

- toi nu contre moi, moi en toi. C’est ça que je veux.

- tu veux me baiser.

- non je veux te faire l’amour, ce soir quand j’arrive je te veux nu sur ce lit. Si ce n’es pas le cas je risque d’être très méchant.

- je ne suis pas t’as servante.

- je suis le prince de ce royaume tu ne doit obéissance.

- va te faire foutre, ce soir je ne serrais pas là.

- c’est toi qui va aller te faire foutre.

 

 

Lorsque Alan rentra dans la chambre ou Razu devait l’attendre. Il avait l’apparence d’un adolescent de 17 ans, il était sublime vêtu tout de blanc. Il fut énervé de ne pas le trouvé allongé sur le lit comme il le lui avait demandé. Il cherché vraiment à le provoqué.

Il le trouvait debout devant la fenêtre. Il s’approchait de lui énervé et le choppait par le pan de sa chemise le lui arrachant le mettant à nu le poussant en avant. Razu posait ses mains sur le rebord de la fenêtre la tête baisser. Alors qu’il ce pressait contre lui, caressant son corps avec envi, le brun ce laissait faire en silence, il ce sentait tirer en arrière et Alan le poussait sur le lit il ce plaçant sur son bassin. Il prenait son menton entre ses doigts pour le forcer à le regardait. Il fut étonné de le voire pleurait, c’était la première fois qu’il le voyait pleurait.

- pourquoi pleures-tu Razu.

- parce que je t’aime et que pour toi je ne suis qu’un trou à baiser.

- je te l’ai dit que je voulais te faire l’amour. Désolé d’avoir été si violent. mais je n’en peux plus. Laisse moi te possédé cette nuit Razu. Offre-toi à moi.

- juste pour cette nuit ? Demanda-t-il avec tristesse.

- non pour toutes les autres aussi.

- qu’es ce que je dois comprendre ?

- j’aime Airi. Elle est celle avec qui je veux passer le reste de ma vie. Mais toi je te voudrais comme amant.

- tu n’es même pas encore marier, tu n’as que sept ans et tu la trompe déjà.

- tu m’aime ? Demanda-t-il dans un souffle à son oreille.

- oui mais te partagé je ne peux pas…c’est au dessus de mes forces.

- tu es le seul à qui je fais l’amour elle vaut attendre notre mariage. Et de toutes façons on ne peut pas parce qu’à chaque fois qu’elle m’embrasse je reprends mon apparence d’enfant et ce n’est pas vraiment super pour faire l’amour. Avec toi il ni as pas de problème.

Razu sentait son cœur ce serré c’étais juste pour sa. Même s’il disait le contraire tout ce qu’il voulait c’était le sauté. Et lui il allait le laissé faire parce qu’il est éperdument amoureux de lui.

- c’est juste par intérêt.

- j’en ai tellement envi Razu.

Alan prenait son visage entre ses mains posant ses lèvres sur les sienne avec douceur. Razu fermait les yeux le laissant faire. Il aimait ses lèvres, son corps contre le sien. Il n’avait pas la force du le repoussé. Il ne pouvait pas. Il ce faisait mené par le bout du nez par un gosse de 7 ans.

Il l’aimait alors il le laissait ce servir de lui. Alan faisait glisser ses lèvres le long de son torse le faisant trembler de plaisir. Il le rendait totalement fou. Alan embrassa le gland rougi qui n’attendaient que lui.

- arrête…Alan…ne fait pas…ça…

- chut j’en ai envi. Je t’ai dit que je voulais te faire l’amour.

Il avalait le sexe tendu de celui qui allait devenu son amant. Le suçant avec douceur le faisant gémir de plaisir. Il le suçait tout en faisant glisser ses doigts le long de ses cuisses ouvertes à son intention. Alan le fixait prenant du plaisir à le suçait il aimait le sentir en lui plus qu’il ne l’aurais cru. Il le sentait ce déversé entre ses lèvres après de longe minutes. Il relâchait son sexe le fixant en souriant, alors que Razu avait encore les yeux fermé, tremblant de plaisir. Il attrapait le plus jeune par la nuque pour l’attirait vers lui pour l’embrassé avec passion. Il inversait la position pour ce retrouvé sur lui, plongeant son regard dans celui de son amant.

- je t’aime Alan. Murmura-t-il.

Le brun ce contentait de lui sourire faisant glissé ses doigts dans les cheveux de son cousin le faisant frémir. Il redressa pour pouvoir aller embrasser ses lèvres. Razu ce défaisait de ses lèvres pour faire glissé les sienne le long de son cou, le faisant gémir de plaisir. Il ferma les yeux ce laissant aller sous ses douces caresses. Razu fit glisser ses lèvres le long de son torse, il s’arrêta à la hauteur de sa marque, le seul endroit qu’il ne pouvait pas embrassé, il pouvait avoir chaque centimètre de sa peau à part cet endroit. Alors il ce contenta de posé son oreille écoutant son cœur battre.

- ton cœur bat vite mon amour.

- c’est de ta faute. C’est agréable ce que tu ne fait.

- alors je continue.

- oui. Répondit-il dans un souffle.

Il continuait de découvrir son corps. Il arriva à son sexe il voulait tant le gouté. Il le prit en bouche avec douceur. Mais Alan le fit très vite arrêté attirant son visage à ses lèvres. Ce qu’il voulait c’était le possédé.

Il reprit le dessus et le fit crier de douleur lorsqu’il le pénétrait.

- Razu…je t’ai fait mal ?

- bien sur idiot je ne fait pas baiser tout les jours.

-…

- c’est bon…va y…

- je te l’ai déjà dit Razu je ne te baise pas, je te fais l’amour. Je suis désolé…c’est la première fois…la prochaine fois je ferais plus doucement.

Le plus jeune l’embrassait à nouveau ce mettant à bougé en lui jusqu’à ce qu’il s’habitue à sa présence en lui. Razu y prit vite du plaisir, il s’accrochait à lui de toutes ses force criant de plaisir, le suppliant de continuais, d’y allez plus fort, de ne pas s’arrêté.

- Razu…aaah…c’est si bon…aaah…d’être en toi…aaah

- alors t’arrête….pas…aaaah….c’est si bon…aaah mon amour…

Ils jouissaient ensemble s’écroulant l’un sur l’autre à bout de force. Razu referma aussitôt ses bras autour de son amant le serrant avec force contre lui.

- reste avec moi cette nuit s’il te plait ne part pas après avoir eu ce que tu voulais.

- je reste j’ai encore envi de te faire l’amour.

- alors fait-le. Si c’est la seul chose qui te fait resté à mes côté fait le autant que tu le veux.

Alan reprit ses lèvres avec douceur avant de le faire ce mettre à quatre pates sur le lit, enfonçant deux doigts en lui, en lui de

Dévorent le coup.

- j'ai envi d’essayer comme ça.

- fait ce que tu veux. Répondit-il dans un murmure s’offrant encore à lui

 

 

                                                                                à suivre

 

Par Amako - Publié dans : os yaoi
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