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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Jeudi 15 avril 4 15 /04 /Avr 23:29

 

CHAPITRE 5 :

 

 

« La porte c’étais ouvert sur cet ange aux ailes noirs. Cette ange déchut qui m’entrainé dans ma propre déchéance. Je n’étais que son jouet. Et on fini toujours par ce lassé de ses jouets. Et je finirais rejeté et seul. Ce jour là serrais aussi celui de ma mort. »

 

Je sursautai lorsqu’il posa sa main sur ma joue me fessant tremblais de plaisir. Son geste était si doux que je ne pus retenir plus longtemps mes larmes. Il m’attira contre lui me serrant dans ses bras. Je fermai les yeux profitant de ce contact. Sa gentillesse ma tuer plus qu’elle ne me fessait de bien. Car elle n’était qu’éphémère. Car ce n’étais que de la pitié. Il claqua la porte derrière nous alors que je me serrais aussi fort que je le pouvais contre lui. Pleurant comme un enfant. Il me souleva et je le laissai faire. Je ne voulais pas quitté ses bras si rassurant. C’est peut être la seul fois où je pourrais connaitre ce genre d’étreinte. Il me posa sur l’évier et s’écarta de moi. Je voulais le retenir mais je n’en fis rien. Il alla faire couler l’eau dans la baignoire. Je le fixais avec incompréhension. Pourquoi fait-il ça ? Es ce qu’il tient un peu à moi ?

- Pourquoi es ce que vous étiez si senti avec moi ?

Il ce retourna vers moi son regard était si noir qu’il me fit peur. Il ce rapprocha de moi jusqu’à ce que son corps soit coller aux mien. Je sentais son souffle sur mon visage. Deux jours que je ne l’avais pas vu. Il me manquait tellement. Je veux l’embrassé. Je veux qu’il me fasse l’amour. Je ne veux pas resté loin de lui.

- Pourquoi ? Personne ne fait de mal à mon jouet. Si je me lui en ais pas donné le droit.

C’était donc ça. C’était juste par intérêt. Il ne voulait pas que l’ont abîme son joué préféré. Je baissai la tête, les larmes coulais encore plus sur mes joues. Ses paroles étaient encore plus douloureuses que les insultes et les coups de mon père. Il n’attrapa par le menton me forçant à relever la tête. Je n’oser pas le regardais en face.

- Jay tu m’aime ? Demanda-t-il d’une voix que je ne lui avais encore jamais entendu. Plus douce que d’habitude. Il ce joue encore de moi.

- Oui. Si je ne vous aimez pas vous croyais que j’accepterais que vous me baisiez comme une vulgaire pute. Et de toute façons qu’es ce que vous en avez à faire de ce que je ressens. C’est le cadet de vos soucis. Tout le monde ce moque bien de ce que je peux ressentir. Mes parents m’en jetaient dehors comme un malpropre parce que je suis gay. Et l’homme que j’aime me prend pour sa chienne.

- Tu savais ce à quoi tu t’exposer en venant ici la seconde fois…

- Je sais, j’ai accepté. Je ne demande rien. Je m’ai plus qu’à fermer ma gueule.

Il posa ses mains sur mon corps le fessant glisser le long de mon torse jusqu’à ma ceinture pour me retirais mon t-shirt. Je le laissai faire, fermant les yeux.

Je le sentis me soulevais, j’enroulai mes bras autour de son cou me laissant me portais comme en porte un enfant. Je nichai mon visage dans son coup respirant sa douce odeur. Je l’aime, je l’aime tant. Il me déposait dans le bain, l’eau chaude détendait mon corps endolorie par les coups et cette nuit passé sur le banc sous le froid. Sa faisait tellement de bien. J’enroulais mes jambes de mes bras y plongeant ma tête. J’avais envi de pleurais. S’il ne voulait pas me gardai cher lui que vais-je faire. J’ai perdu mes parents à cause de lui. C’est lui que j’ai choisis. Je ne veux pas qu’il me rejette. J’ai besoin de lui.

Je fus surpris de le sentir ce glisser derrière moi et ses bras puissant enserraient mon corps rendu si faible. Je me détendais me laissant aller contre son torse. Je fermai les yeux profitant de ce moment de tendresse. Je sentais ses mains glisser sur mon torse, sur mes bras. C’était si doux, si tendre. Jamais je n’aurais cru qu’il puisse être si tendre. J’avais l’impression d’être face à un autre homme. Il fit glisser ses lèvres dans ma nuque, il attrapa le lobe de mon oreille avec ses dents, me le mordillant avec douceur. Je sentais l’excitation ce répandre dans mon corps. Et je sentais son envi de moi.

- J’ai envi de toi Jay. Tu n’es pas venu hier. Tu m’as manqué.

J’aurais du m’en douté. Avec lui tout n’es que question de sexe. Il me poussa en avant me forçant à me mettre à genoux, je posais mes mains sur le rebord de la baignoire, il m’attrapait par les cheveux et ravi mes lèvres. Je crois que ce baiser à fini de me rendre amoureux de lui. Ce baiser était si doux, si tendre. Je ne l’aurais jamais cru capable d’embrassé de la sorte. J’en tremblais de plaisir, de bien être. Il cherche à me rendre dingue. Je serrai les dents sous la douleur, lorsqu’il me pénétrait, je sentais de l’eau entré en moi. C’était brûlant. Je m’accrochais au rebord posant ma tête sur mon bras essayant d’oublier ma douleur. Il ce mit à bouger en moi doucement, avec douceur, jamais il n’avait jamais était aussi tendre. Je ne l’en aurais jamais crus capable de faire preuve de temps de douceur. Avait-il la moindre idée de ce que cette tendresse fessait maitre en moi.

Je laissais échapper un gémissement de plaisir et il ce mit alors à ce mouvoir en moi avec plus de force, il m’agrippait par les hanches me prenant avec plus de force encore. Il posait sa tête sur mon épaule, je sentais son souffle brûlant sur ma peau. Il me rend fou. Je l’aime tant. C’était si bon de le sentir en moi, son sexe aller et venir entre mes chaires brûlantes, le sentir taper contre ma prostate. Chaque coup de rein m’envoyait décroché les étoiles.

Je ne voulais pas tourné la tête vers lui. Je ne voulais pas voire cette lueur de perversité dans son regard. Je ne voulais pas y voire toutes ses insulte qu’il avait envi de me jetais à la figure. Mes larmes coulaient sur mes joues malgré le plaisir que j’éprouvais. Je me sentais si sale. Je le sentis ce tendre et jouir en moi, me faisant atteindre l’orgasme. Il s’écroulait sur moi à bout de souffle. Mes bras cédaient et je m’écroulais dans l’eau. Je sentis ses deux bras m’enserrais et il me serrait contre lui.

- Tu m’as tué Jay. C’est vraiment le pied de baiser avec toi. Tu avale les bites à la perfection. Et tu es si étroit. Je n’ai jamais prit autant de plaisir avec un autre. Pour un hétéro tu adore te faire mettre. Tu t’entends crier. Et tu t’empale de toi-même sur ma bite.

- Vous men…

- Je ne mens jamais Jay. Je ne t’ai jamais menti. Si j’aurais voulus te mentir je t’aurais fait croire que je t’aime pour être sur de ne pas perdre un jouet aussi jouissif que toi.

 

 

« Il n’avait laissé seul après m’avoir dit de telle choses. Il venait de me planté une nouvelle lame dans le cœur. J’avais si mal u cœur. Je voulais oublier cette douleur qui emplit mon cœur. J’avais cherché autour de moi quelque chose qui pourrait me faire oublier cette douleur. Et la seul chose que j’ai trouvé c’est de m’infligé une douleur corporel encore plus forte. Alors j’ai fait couler mon sang. »

 

 

 

 

 

 

 
Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Mardi 13 avril 2 13 /04 /Avr 10:43

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CHAPITRE 1 :

 

 

VLADIMIR DOUGLAS

 

 

Né le 18 mars 2003 aujourd’hui âgé de 22 ans. Diplômer de la

Harvard Division of Engineering and Applied Sciences

(Division de Harvard d'Ingénierie et Sciences Appliquées). Il en était sorti diplômer à l’âge de 20 ans avec l’un des scores les plus élevé jamais vue à Harvard. Il y était très populaire auprès des professeurs comme des élèves. Il avait toujours était un enfant posé, réservé, pas du genre à ce mettre en avant. Il avait toujours tout fait pour que son père soit fier de lui, pour me jamais le décevoir. Il était beau, il aurait put devenir une star, mais il avait choisit de marché dans les trace de son père. Il était ce que l’ont appelais un génie. Mais il ne voyait pas les choses ainsi. Parce qu’il y avait une personne qui était au même niveau que lui. Il devait montrer à tous qu’il était meilleur que cet autre homme. Il lui restait six mois pour prouvait qu’il était le meilleur, alors il ne perdrait pas.

- Vladimir. Tu devrais rentrer toi aussi il est tard.

Vladimir relevais la tête vers la jeune femme qui venait de lui parlais dévoilant de superbe yeux verre émeraude. La jeune femme ce mit à rougir à la vue de ce visage si beau, à ses yeux si envoutant caché derrière de fine lunette. Cette homme qui faisait tourné la tête à toute mais qui ce refusait aussi à toutes celle au ceux qui le convoité. Il était inaccessible, il ne vivait que pour la gloire de son père. Pour qu’il soit toujours fier de lui.

- j’ai encore du travail. Lucie passe devant. Je n’occupe du reste.

- Il ni as donc rien qui t’intéresse en dehors du travail. Tu ne voudrais pas venir boire un verre avec moi.

- Je ne mélange pas le travail et la vie privé. J’ai encore du travail. Bonne soirée.

Lucie le regardait en silence, il était gentil et attentionné avec ses collègue mais il ne ce rapprochais jamais de personne. Avait-il seulement des amis ? Il semblait si seul. Enchevêtrait dans une lutte qui n’était pas la sienne et dans laquelle il ce perdait corps et âme.

- Quand cesseras-tu de te tuer à la tâche.

- Quand père me regarderait enfin comme son fils et non comme une des ses réussit. Je n’ai le droit à aucune erreur. J’ai encore beaucoup de travail.

Il ce remettait à travailler sur ses schéma et tout ses chiffres qui était tout sa vie. Rien d’autre n’avait d’importance. Un jour quelqu’un lui fera sans nul doute par le sortir de ce monde sans vie.

Cette nuit n’avait pas suffit à le changer. C’était qu’une erreur qu’il avait oublié.

 

VALENTIN MC GREGOR

 

 

 

Né le 25 juin 2003. Aujourd’hui âgé de 22 ans.

Diplômer de la Harvard Division of Engineering and Applied Sciences

(Division de Harvard d'Ingénierie et Sciences Appliquées). Il en était sorti diplômer à l’âge de 20 ans avec l’un des scores les plus élevé jamais vue à Harvard. Il était toujours en train de faire le pitre, il fallait qu’il ce fasse remarquais, qu’il soit aimé de tout. Toujours entouré de plein de monde. Mais cela ne l’avait pas empêché de sortir diplômer à 20 ans avec l’une des meilleures notes jamais enregistré.

Comment deux être en tout point identique pouvait être si différents. Il était un géni, mais lui ne s’enfermer pas dans son travail, il ce moqué de savoir si son père était fier de lui, il voulait juste vivre sa vie. Il sortait s’amusait, il collectionnait les aventures et pour le plus grand malheur de sa famille il était gay. Il ne sent caché pas.

 

- Allait c’est fini pour aujourd’hui j’ai u rencard avec un super minet. Il est chaud hum.

- Epargne nous les détaille Val.

Il venait d’entré dans le laboratoire ou travailler son équipe. Valentin était tous simplement un homme sublime. Il était de taille normale, dans les 1 m 75, élancer, musclé, le visage fin, merveilleusement bien dessiné. Une chevelure blonde qui faisait bien des jalouse et surtout deux superbe lagon bleu vert. Il en faisait rêvé plus d’une, plus d’un. Il avait toujours été très extraverti. Il était tellement opposait à Vladimir. Lui ne vivait pas que pour son père, lui ne travailler pas pour la gloire de son père. Lui voulait tous simplement vivre une vie normale. Il s’approchait de son collègue, un beau brun de 31 ans, il glisser ses bras autour de son corps posant ses lèvres dans sa nuque.

- Serrait tu jaloux John veut tu passé la nuit dans mon lit. Que dirait ta femme ?

- Arrête de jouait Val. Va y va baiser. Nous on a encore du travail. L’échéance et dans six mois. Vladimir doit avancer plus vite que toi.

- Rien à foutre j’en ai marre de cette lutte sans fin. Il ne m’a rien fait. Pourquoi devrais-je le haïr plus qu’un autre.

- parce qu’il te hait.

- Tout sa à cause de nos parents. Quel gâchis il est tellement séduisant.

- Lui ne finira jamais dans ton lit.

- Sans nul doute. Répondait-il avec un sourire énigmatique avant de quittait la pièce.

Pour lui cette lutte, ce haine n’avait aucun sens, il n’avait jamais voulut en faire parti.

 

 

 

et voila le premier chapitre. laissait votre avis sur ce début. bisous.

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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Mardi 13 avril 2 13 /04 /Avr 10:38

bah pour celle la j'ai pas trouvais de titre. je met la prolongue et le premier chapitre. donné vos avis. et si vous avez des idées pour le titre vous géné pas à m'en faire part.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Non ce n‘est pas possible. Je devais être en train de rêver. Je vais me réveiller et tout va redevenir comme avant. Ce que je peux être con tout mais pas lui. »

Il regardait la chevelure blonde, ce corps élance. Allongeait à ses côtés. Le corps d’un autre homme. Il devait parti d’ici le plus vite possible, fuir cette vision et ce qu’elle représentait.

Il s’arrachait des draps pour sortir du lit, enfin plutôt bondir hors du lit. Il attrapait ses vêtements à la voler et quittait la chambre sans même prendre le temps de s’habiller. Il ce foutait d’être vu nue dans les couloirs d’un hôtel tout ce qu’il voulait c’était quitter cette chambre le plus vite possible. Il entrait dans l’ascenseur et enfilait ses vêtement aussi vite qu’il le pouvait. L’ascenseur arrivait vite à l’accueil et il en sortit. Il ne savait même pas où il était. Peut importe il devait partir. Il héla un taxi et si engouffrait.

- 256 Madison avenu. Et vite.

- Bien monsieur.

Le chauffeur lança son engin à toutes vitesses dans les rues de la grosse pomme alors que l’homme à l’arrière posait sa tête sur l’appui tête respirant à plein pommons. Il était sublime. Des cheveux brun a la coupe des plus classique qui lui aller à merveille, ni long, ni cour, encadrant à merveille son visage, fier, élégamment proportionner. Sa mâchoire était puissante. Ses traits à la fois sévères et doux. Son corps. Que dire de son corps si ce n’es qu’il incarné la beauté personnifier. Un corps athlétique, musclé, caché derrière ce costume de grand couturier qui as lui seul représentait le salaire d’un mois de travail d’un employer quelconque. Il portait sa main dans ses cheveux pour essayer de les remettre en place, ses doigts étaient longs et fin. Il était beau incroyablement beau. Qui ne craquerait pas sur un tel homme. Il semblait tout avoir pour lui argent et beauté.

- Vous ne semblez pas en forme Monsieur sa va ?

- Oui.

Sa voix était grave et sensuel, autoritaire, affolante. Elle en faisait trembler plus un de peur et bien plus de femme de désir. Il ouvrait les yeux dévoilant deux superbes émeraudes. Oui il était parfait comme si les dieux c’était pencher sur son berceau pour crée l’homme le plus parfait au monde.

 

 

 

Manhattan est l'une des cinq circonscriptions de la ville de

New York. La circonscription de Manhattan se superpose avec le comté de New York. Il correspond en grande partie à l'île de Manhattan qui a une superficie de 58,8 km2. Manhattan est la partie la plus dense et la plus riche de New York, ce qui en fait le quartier le plus touristique de la grosse pomme. . Manhattan est mondialement célèbre pour ses gratte-ciel

Manhattan est ainsi le cœur économique et financier de la ville, bâti autour de et son activité trépidante.

Wall Street qui accueille le New York Stock Exchange, et Midtown qui compte plusieurs sièges sociaux d'entreprises. Il s'agit aussi du cœur culturel de New York, avec des musées comme le Métropolitain Muséum of Art, le American Muséum of Natural History, et le Moma. La plupart des gratte-ciel

les plus célèbres sont également situés dans ce quartier. Donc le building de l’EDR (Establish developement of robotics), et le New technology and robotics building. Deux des géants des nouvelles technologies et de la robotique. Tous les meilleurs spécialistes travaillaient dans ses entreprises rivales. Les deux buildings ce trouvaient face à face, c’était à celui qui aurait le plus grand grade ciel, le plus long, le plus beau. C’était une lutte constante. Dans tout ce qu’il faisait. Il fallait toujours être le premier, le meilleur. Cette lutte durait depuis des années déjà et elle ne cesserait sans nul doute jamais. En raconte qu’avant Alphonse Douglas et Julius Mc Gregor étaient ami, de très bon ami même. Ils ce connaissaient depuis leurs plus jeune âge, ils avaient gravit les échelons ensemble. Puis un jour l’un avait trahit l’autre. Personne n’a jamais sus qui était vraiment celui qui avait trahit la confiance de l’autre mais depuis les deux hommes ce vouaient une haine sans limite.

 

 

 

Le bureau était immense, un homme était debout face à la baie vitré regardant l’immense building qui lui faisait face majestueux dans son arrogance. Le reflet de ce qu’il était de son existence. Symboles de ses années de folie humaine. Tout aurait put être différent.

- Non fils s’occupe de projet. Il a les meilleurs sous son ordre. Et il est le meilleur.

- On n’a dit que le fils Mc Gregor était lui aussi un génie. Eux aussi sans proche du but. Travailler ensemble serrait sans nul doute le mieux.

- pas tant que je serrais encore à la tête de cette entreprise.

- Alors il serrait peut être temps que votre fils reprenait les rênes. Vous n’avancer plus l’un comme l’autre. Si vos fils n’étaient pas des génies vous auriez coulé. Vous deux avaient été des grands dans le domaine de la robotique. Mais il va falloir faire un choix la gloire ou la chute. Vous disposiez encore de 6 mois passé ce délais le contrat sera rompu. Avec votre entreprise comme avec celle de votre rivale.

 

L’homme ce levais, il n’avait pas enlevé sa veste en entrant dans le bureau à quoi bon, il ni était resté qu’un bref instant. Ce contrat était important. Il était pressé. Les Japonais avancé vite, bien plus vite qu’eux.

 

L’avenir de la robotique serrais des robots capable d’agir, de pensé, de ressentir comme des humains. Durant des décennies cela n’était qu’un rêve. Mais cela ce changé doucement en réalité. Et si cette révolution signifier la fin.

- Père. Vous allez bien.

- Dit moi Vladimir. Croit tu que ce que l’ont fait soit une bonne chose.

- Pourquoi cette question ?

- Dés robot égale à des hommes jusqu’à ou va nous conduire notre folie.

- Depuis quand avez-vous cessé de croire en ce que vous fait père ?

- Je ne sais plus.

Il ce retournait son fils en lui souriant. Son fils son nul doute sa plus grand réussit. Sa plus grande fierté. Celui qui arriverait à révolutionné ce monde.

Il ressemblait à sa mère, tellement belle et intelligente.

- Il ne nous reste que 6 mois et je refuse que ce connard nous grille. Ce contrat représente des centaines de milliard d’euro. Alors soit encore le meilleur fils

- Oui père. Répondait le jeune homme brun à la beauté envoutante en s’inclinant devant son père avec un profond respect.

Nous somme en 2025 et le monde et sur le point de connaitre une révolution.

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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Mardi 13 avril 2 13 /04 /Avr 10:36

petit chapitre. pov de adrien qui sert pas à grand chose. lol.

CHAPITRE 31 :

 

 

 

J’était accoudé à la rambarde du pont supérieur regardant Adrien. Il avait le regard perdu dans l’immensité du large. Il me cessait de fixait le large à la recherche d’un nouveau signe de son frère.

Une semaine que l’on avaient trouver la bouteille.

Une semaine qu’il fixait le large en silence.

Une semaine qu’il ne m’avait pas regarder.

Une semaine qu’il ne m’avait pas toucher.

Une semaine qu’il ne m’avait pas embrasser.

Une semaine que je dormais seul.

Une semaine qu’il me manquait tant.

On avançaient vite, trop vite où pas assez. J’avais peur de ce qui aller ce passé lorsque l’on arriveraient sur cette ile. Lorsque l’on retrouveraient son frère. Lorsque j’aurais tuer ce monstre. Je savais qu’il ne m’aimais pas. Même si j’avais commencer à y croire durant cette semaines.

Milan aussi était souvent perdu dans ses pensés. Il était vraiment tombais amoureux de Shawn. Je n’inquiétait vraiment pour lui. Tout cela est de ma faute. Je l’avais en trainer dans tout cela. Je voulais juste le voire heureux.

 

 

Je me laissais tomber derrière mon bureau, j’avais besoin d’être un peu seul. De faire le vide dans ma tête. De cessais de réfléchir à tout cela. Je dépliais un des cartes, dans une semaines où deux en arriveraient sur l’île. J’aurais voulut arrêter le temps pour le gardait prés de moi mais cela aurait été égoïste et sa ne ferais que le faire me détesté encore plus.

- Jacky.

Je relevais la tête pour tomber sur la cause de tout mes tournant. Il était appuyait dans l’encadrement de porte, il fixait l’extérieur sans me regardais. Je voulais juste qu’il me regard. Je ne voulais pas redevenir invisible à ses yeux. S’il te plait regard moi.

- dans combien de temps arriveront nous ?

- D’ici une à deux semaines. Je ne peux pas te dire avec exactitude.

- tu croit qu’il sera là bas ?

- oui. Répondais-je dans un murmure. S’il te plait regard moi. Je serrais prés à perdre tout ce qu’il me reste de dignité pour qu’il me regard. J’étais devenu bien pathétique. L’amour rend con.

- Merce Jackson. Je vais me coucher.

Il détournait les talons, et voila il allait encore me laisser seul. Je ne voulais pas le laisser partir. Je voulais le gardais prés de moi. Après une semaine il devait avoir envie de sexe. Même si ce n’était que du sexe, même s’il ne faisait que me baiser. Où moins il me toucherais, il me regarderais.

- Attend.

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Mardi 13 avril 2 13 /04 /Avr 10:32

CHAPITRE 30 : pov shawn.

 

 

 

Je fixait le mur en silence, j’aurais voulut m’enfuir mais où ? Il avait son bras autour de mon corps m’empêchant de bouger. Mon corps nu était coller au sien. Chaqu’un de mes membres me faisait souffrir. J’espérais qu’il ai trouver la bouteille. Le rencontré m’avais fait retrouver espoir. Mon frère n’avait pas cesser de me chercher et il était avec l’ange. Ce bel ange aux yeux si particulier. J’avais tellement envie de le revoir. Je n’avais cesser de pensé à lui depuis notre rencontre. Je n’étais sentis tellement bien dans ses bras. Je devais tenir, parce que je voulais le revoir.

 

 

Je sentais la main de mon bourreaux caresser mon torse, je fermais les yeux essayant de me pas vomir. À chaque fois c’était un véritable calvaire d’être toucher par lui. Même lorsqu’il était doux, qu’il m’embrassé, c’était répugnant. Et pourtant ce qui me dégouter le plus c’était que mon corps réagissait. Si mon esprit me c’était pas habituer à ce qu’il me faisait mon corps si. Il disait qu’il été tomber amoureux de moi dés le premier regard. Il voulait me garder pour lui seul. Un jour un de ses homme avait essayer de me prendre de force et lorsqu’il l’as découvert il la tuer devant mes yeux. Il la tuer alors qu’il était en moi. J’en avais fait des cauchemar durant des jours, des mois. Cette homme et un monstre. J’étais le seul avec qui il pouvait ce montrer tendre et doux. Mais moi je ne l’aimais pas. Il m’embrassait dans le cou alors que je pouvais sentir son sexe ce tendre contre mes fesses alors qu’il caressait le mien.

- Tu as bien dormit mon amour ?

- Oui…et…toi ?

- à merveille avec toi. J’ai encore envie de te faire l’amour.

Encore. Hier soir il m’avait prit trois fois. Même s’il était doux des fois sa resté douloureux, son sexe était imposant et moi j’étais chétif et petit. Je ne pouvais pas supporté ses pénétration à répétition. Je voulais que tout cela cesse.

- Non…j’ai trop mal…s’il te plait…

- Je serrais doux mon ange.

Il soulevait une de mes jambe et je sentais sa langue caresser mon anus, et malgré moi je ne put m’empêchais de gémir de plaisir. Il prit mes testicule en bouche puis embrassait ma verge avant de retournais s’occupait de ce qui l’intéressait vraiment. Il fini par me pénétrait c’était douloureux mais moins que hier soir. C’étais bon. Je ne pouvais rien y faire si mon corps aimais ça. Je le déteste mais mon corps aime être pénétrait avec douceur. Il me bouger pas continuant de me caressais. J’avais envie qu’il finisse vite. J’avais envie que tout cela s’arrête. Il fit un léger mouvement de reins me faisant gémir de plaisir. Mon corps je le déteste, il est si indécent, tellement répugnant. :es hanches allaient à la rencontre de son bassin. Je me sens tellement sale. Pourquoi est-ce que mon corps réagit ainsi ? Pourquoi est-ce qu’il aime ses choses répugnantes. Si mon frère me voyais il ne voudrait plus de moi. Si l’ange me voyais il ne voudrait plus me serrer dans ses bras.

- Tu aime mon amour.

- Non…hm..

- ton corps dit le contraire. Alors si tu m’aime pas j’arrête.

Il ce retirait s’allongeant sur le dos son sexe fièrement tendu vers le ciel. Je me retournais vers lui le fixant en pleurant.

- N’arrêtais pas…s’il vous plait…

- Alors montre moi ce que tu veux. J’adore quand tu joue les petite pute en chaleur mon amour.

Il venait d’allumer le feu en moi il savait que lorsqu’il commencer mon corps voulais jouir. Je n’étais habituer, je n’était plus qu’une pute. Je pris son sexe en bouche pour le rendre encore plus dur. Avant de m’empalais dessus criant de plaisir. Je me cambrais de tout mon corps pour lui offrir toute ma profondeur. Je détestais être comme ça. Je détestais entré si facilement dans son jeu. C’était lui qui n’avais rendu comme ça. Je bougeais sur son sexe gémissant de plaisir.

- Caresse toi mon ange. Caresse toi pour moi. Montre moi comme tu aime que je te prenne.

Je faisais glisser mes mains sur mon torse en lui lançant un regard de braise. Je prenait mon sexe ne main pour me caressais continuant de me mouvoir sur lui. Il ce redressais pour me serrais dans ses bras.

- Tu es sublime mon amour. Tellement érotique.

Je continuais à m’empaler sur lui, plus fort encore à chaque va et vient criant de plaisir. J’étais si sale. Son sexe s’enfoncer en moi si facilement que sa en était indécent.

- Mon ange…hm…c’est si bon…je peux jouir en toi…aah

- Aaah…oui…oui…

- Demande le moi alors.

- Jouis…aaah…jouis en moi…aaah…

Je criais de plaisir en éclatant entre mes doigts alors que je le sentais ce déversé en moi. Il me serrait contre lui avec force. Il avait apprit à mon corps à aimais ce qu’il me faisait et mon âme mon cœur me faisait ne détesté un peu plus chaque jours.

 

 

- Ne me quitte pas mon amour.

- …

- >Shawn tu ne m’aime toujours pas. Même si ton corps c’est habituer ton cœur refuse toujours de s’ouvrir à moi.

- je veux revoir mon frère et …

- Et cette enculer de Milan.

Juste d’entendre son mon faisait maitre un sourire sur mes lèvres. Je voulais tant être dans ses bras. Je fut sorti de mes douce pensé par un coup de poing dans ma joue. Sans regard était devenu haineux, il ressemblais à un chien fou et il me terrorisais. Comment pouvait-il être aussi changeant.

- Tu l’aime c’est sa ? Tu es amoureux de cette chienne. Tu voit ton petit Milan je l’ai baiser. Il était plus jeune que toi. C’était une véritable petite chienne, il arrêtait pas d’en redemandait. Une vrai pute. Il te mérite pas.

- Arrête c’est pas gentil. Il n’es pas comme ça. C’est un ange.

Il m’attrapais par les cheveux et me plaquais face contre le matelas. Et il me pénétrait à nouveau avec force et violence. C’étais tellement douloureux. Je ni prenais plus aucun ^plaisir lorsqu’il ai aussi violent.

- Toi aussi tu es un ange et pourtant il y as trente seconde tu t’agitait sur ma queue comme une catin. Tu es une salope et lui aussi. Je ne te laisserais pas partir. Tu m’appartient.

- Tu…tu me fait mal…

- Ta gueule tu la cherché.

Je pleurais toutes les larmes de mon corps, j’avais si mal.

- Tu n’es qu’une pute. Mais tu es ma pute.

Je voulais qu’il me serre dans ses bras. Je voulais qu’il me réconforte. Mais il avait raison sur une chose j’étais tomber amoureux de l’ange au premier regard et je voulais le revoir. Je voulais rester être dans ses bras. Si te plait vient me sauver.

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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