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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Mercredi 21 avril 3 21 /04 /Avr 16:50

oh la la sa fait un moment que je n'ai rien posté. désole mais j'ai eu deux semaines de fou au taf. c'est incroyable je passe plus de temps au travail que her moi. je sais pas si sa vous le fait vous. mais j'ai l'impression de passé ma vie à travailler. snif. bon aller pour me faire pardonner voila la suite.

 

CHAPITRE 34 :

 

 pov shawn

On avait fait une halte au Port de Bonna Vista. Et il m’avait enfermé dans la cabine. Alors j’avais passé la journée à fixais le large dans l’espoir de le voire arriver et me sauver. Je voulais tellement le revoir, cet ange aux yeux verrons. Je me laissais tomber sur le lit las. Pourquoi est-ce qu’il est autant attacher à moi. Je fermais les yeux pour voire son visage. Et cette simple vision suffit à me faire sourire et oublier que j’étais le captif de cet homme sanguinaire. C’était dans les bras de Milan que je voulais être pas dans ceux de cet homme.

 

 

Je sentais ses mains glisser sur mon corps, j’étais perdu dans son regard si particulier, je glissais mes bras autour de lui pour l’embrassé, ses lèvres étaient si douces. Je criais de plaisir en sentant son sexe entré en moi. Il bougeait en moi avec douceur, je m’accrochais à lui de toutes mes force, j’avais l’impression de sombré dans les méandres du plaisir.

- Je t’aime. C’était si bon de l’entendre me dire cela. Mon cœur bâté à tout rompre. J’étais tellement heureux de pouvoir enfin être dans ses bras.

- Aaaah…moi…moi aussi je…t’aime…Milan….aaah…

- Espèce de petite pute.

J’ouvrais les yeux et le rêve prit fin, ce n’était pas mon ange mais mon bourreau. Et j’avais envie de pleurais. Sa n’avait été qu’un rêve, qu’une chimère. Il m’envoyait son poing sur m joue, c’était douloureux mais bien moins que la douleur de comprendre que je n’avais fait qu’étreindre une illusion.

Pour me punir d’avoir appelais l’homme que j’aimais il avait autorisé quelque hommes de son équipage à joué avec moi. C’était si douloureux, si humiliant que j’avais envie de mourir pour que tout cela cesse enfin.

 

 pov milan

Je passais mes journées à scruter cette étendu que je venais à détesté parce qu’elle me séparait de lui. J’attendais un nouveau signe de lui, pour qu’il me rassure, pour savoir qu’il aller bien. On était enfin arrivé à Bonna vista. JJackson pensais qu’ils devaient y avoir fait une hâte pour ravitaille mais il devait sans nul doute déjà être perdu. Jackson devait encore être avec Adrien alors j’aller en profité pour aller faire un tour me défouler les jambes. Je voulais tellement pouvoir le serré dans mes bras, contre mon cœur. Je voulais l’embrasser, être dans ses bras. Un seul regard avait suffit pour qu’il s’ouvre mon cœur. Sans lui je n’étais plus qu’un fantôme à bord de ce bateau. Il avait fallut que je le rencontre pour vraiment comprendre ce que pouvais ressentir Jackson.

 

 

 pov jakson

 

Je le regardais s’habiller en silence, il m’avait à nouveau fait l’amour ce matin mais maintenant il allait partir à la recherche de son frère. Et s’il le retrouvait alors je ne le reverrais pas. C’était peu être la dernière fois que je le voyais. Je me levais pour aller me planter face à lui, l’aidant à attaché les boutons de sa chemise, il me laissait faire en silence. Une fois fait je fis remontais mes mains jusqu’à son coup et posais mes lèvres sur les siennes avec douceur. Je voulais juste un dernier baiser, sa serrais sans doute le dernier.

- Surtout n’oublie pas que je t’aime. Je t’aimerais toujours. Tout ce que je souhaite c’est que tu sois heureux.

- Pourquoi tu me dis tout ça ?

- Parce que si tu le retrouve tu va partir. Tu va me laisser seul et sa me fait peur.

Il prenait mon visage entre ses mains pour me forçais à le regardait. Son regard était doux, ses océans étaient calmes.

- Je ne partirais pas comme un voleur Jacky. Murmurait-il contre mes lèvres.

- Arrête de mentir. Pour toi je ne suis rien de plus qu’un moyen de retrouver ton frère.

- Arrête de te…

- Va-y Adrien.

Je me détachais de lui pour retournais m’allonger sur le lit. J’aurais voulu qu’il me rejoint pour me serré dans ses bras, pour me réconfortais mais j’entendais juste la porte s’ouvrir et ce refermer. J’enfonçais mon visage dans l’oreiller, il sentait encore sa douce odeur. J’avais la douce sensation que c’était lui que je serrais dans mes bras. Même si ce n’était qu’une illusion.

 

 

 pov milan

 

Je marchais dans les rues de la vielle, elle était pleine de pirate, de vermines, de sales rats. Chaqu’un de leurs visage me rappelle ce que n’avait fait ses hommes, ce qu’ils nous avaient fait. Jackson était le seul pirate que je respectais. Tout l’autre n’était rien de plus que des hommes sanguinaires sans le moindre savoir vivre.

Je voulais le revoir. Je voulais revoir ses superbes yeux bleus, et son sourire. Je donnerais tout ce que je possédais pour pouvoir le revoir.

 

 

 pov shawn

Il avait fini par me laisser sortir et j’avais détalé aussi vite que je l’avais put. J’avais courut encore et encore. Aussi vite que je le pouvais. Je devais mettre le plus de distance possible entre lui et moi. Plus j’irais loin et plus il lui faudrait de temps pour me retrouvais. Je voulais tellement me retrouvais dans ses bras.

Je sentais une main ce refermer autour de mon poigner. Il n’avait déjà rattrapé, il n’avait retrouvé. J’essayer de m’échapper de cette prise. Je fus attirais en arrière et avant que je n’ai put voire qui était la personne qui me retenais je me retrouvais soulever du sol et plaqué contre le mur alors que des lèvres ce posaient sur les miennes.

 

 

 et voila pour ce chapitre 34. j'en met un deuxieme tout de suite.

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Jeudi 15 avril 4 15 /04 /Avr 23:33

et pour finir un nouveau chapitre de ma nouvelle fic. j'espère qu'elle vous plaira.

 

 

 

CHAPITRE 2 :

 

 

Depuis tout petit en leurs avait appris à ce détesté. Ils étaient rivaux, ils devaient être sans cesse en compétition, sport, école. Tout était une lutte constante. Vladimir c’était toujours plier à chaque volonté de son père. Il passé ses journées à étudier, à faire du sport, à ce perfectionné. Il n’avait pas le temps de ce faire des amis, de parlais avec d’autre enfant. Tout ce qui conté c’était que son père soit fier de lui.

Valentin lui était tout l’opposé de Vladimir. Dés son plus jeune âge il c’était insurgeait contre tout cela, il suivrait les études choisit par son père s’il pouvait faire ce qu’il voulait en dehors des études. Il ce refusait à suivre un chemin tout tracer. Ils avaient fréquentait les meilleur écoles, toujours ensemble, toujours en compétition.

Valentin adorait essayer de faire sortir son ainé de ses gonds, mais il ni était jamais parvenu. Il était si froid si hermétique à tout. Sauf cette nuit la. Il n’avait pas couché ensemble enfin il n’était pas allé jusqu’au bout. Valentin aurait adorait, même s’ils étaient tout deux bourré. Ce n’était qu’une nuit d’égarement rien d’autre. Il n’était pas fait pour être amis. Juste des rivales. Née pour ce détesté.

 

 

Valentin émergé enfin de son sommeil. Il ce collait contre le corps de son jeune amant déposant ses lèvres dans son coup le faisant tremblais. Le jeune brun ce retournais pour lui faire face. Ce blottissant contre lui.

- Bien dormit beauté ? Demandait valentin en lui caressant les cheveux avec douceur.

- A merveille. Je vois que tu es en forme dés le matin. Tu n’en as pas eu assez hier.

- J’y peux rien ton petit cul me rend fou.

- Pas autant que le mec avec qui t’es parti hier soir. Il était sublime tu t’es ni as bandé dés que tu la vu. Tu me le présente.

- Laisse tombait il est hétéro à cent pour cent. Et il c’est rien passé.

- j’ai du mal à te croire.

- Pourtant c’est la vérité. Arrête de parlais et fait moi du bien.

Le jeune homme brun glissait sous les draps alors que Valentin fermait les yeux le laissant aller ou plaisir. Il ne c’était rien passé de plus que des baisers et des caresses. Mais putain que ce mec avait été bon, il savait ce servir de ses mains et de ses lèvres. Pourtant tout le monde disait qu’il n’avait jamais eu la moindre relation. Alors pourquoi était-il si habille ?

 

 

 

Vladimir m’avais pas fermé l’œil de tout la nuit, il devait avancer l’échéance arrivé à grand pas. Tout était presque ok. Le robot était parfait, un parfaite androïde. Une parfaite reproduction d’un homme, tout jusqu’au dernier détaille. Il était parfait, magnifique. Il écouté les ordres, pouvait penser par lui-même. Mais ce n’était encore qu’un simple robot. Dépourvu d’une âme, dépourvue d’un cœur. C’était jouet à dieux que d’essayer de crée u tel être mais il devait y arrivé.

Le soleil commencer à ce levait illuminant la pièce si sombre. Vlad retirait ses lunette, il les avait porté si longtemps qu’il en portait la marque sur les yeux. Il était fatiguais mais il n’avait pas le temps de dormir. Il s’appuyait contre le dossier du siège ce frottant ses beaux yeux fatigués. Il devait ce dégourdir un peu les jambes, et prendre une bonne douche. Il ce levait pour sortir du laboratoire direction la salle des employer ou il y avait une salle de bain et une petit chambre. Il passait plus de temps ici que dans son appartenant. Il prit des affaires dans son cassier et allait s’enfermer dans la salle de bain. Il y avait une douche et une baignoire. Aujourd’hui un bain ne serrait pas un luxe, tout son corps était endolorie il avait besoin de ce détendre. Il faisait donc couler l’eau dans la baignoire et ce redressait pour retirait ses vêtements dévoilant son corps magnifique, sans aucun défaut, ce corps qu’il avait modelait au court des années. Une peau hâlé, un corps puissant, musclé avec finesse et délicatesse, il était beau, mais il me ce servait pas de cette beauté.

Il ce glissait dans la baignoire, ses 1m80 y rentrait tout juste. Il fermait les yeux ce laissant aller à ce bien être. C’était les seul moments de détente qu’il s’accordait. Plus jamais il me ferrait la même erreur que la nuit dernière.

Ils avaient encore connu un nouvel échec. Avec leurs projet alors il était allé dans ce bar et pour la premier fois de sa vie il c’était souler. Il me ce rappelais de rien à part de s’être éveillé à côté de celui qui avait toujours était son plus grand rivale.il revoyais son corps pâle endormi à ses côtés. Est-ce que lui ce souvenait de ceux qu’il c’était passé ? Il s’avait qu’il était gay mais il devait lui aussi être ivre pour vouloir couché avec lui. Ou il avait fait cela pour ce moqué de lui. Est-ce qu’il avait fait l’amour ? Non Valentin n’était pas du genre à faire l’amour. Lui il baiser, il les collectionné. Cet homme était répugnant. Il ne pouvait pas avoir fait quoi que ce soit avec lui. Il ouvrait les yeux essayant de chasser les images qui lui venaient à l’esprit. Il plonger sa tête dans l’eau, c’était clame à cette heures si, tellement reposant. C’était ses moments de la journée qu’il préférait où personne ne venait le déranger. Il fermait à nouveau les yeux ce laissant aller.

 

 

Valentin ce détachait des bras de son amant pour s’habillait, il avait passé une soirée des plus agréable mais il lui fallait aller au travail à présent. Il l’embrassait langoureusement une dernière fois avant de quittait l’appartement. Il faisait incroyablement beau aujourd’hui, alors il irait au travail à pieds et passerait dans central Park pour ce dégourdir un peu les jambes et profitait de cette belle journée. Il n’était pas presser de ce rendre au travail. Il levait les yeux au ciel en souriant.

- il doit certainement déjà être au travail, ce mec ne vie vraiment que pour son travail. Il est adorable.

 

 

Il s’était arrêté prendre un café et le journal, pour prendre un peu l’air, ce n’était pas bon de resté enfermer toute la journée. Il ce posait sur un des bancs de regardant les gens passé, des enfants avec leurs parents. Des couples, des sportives. Des employer de bureau qui venait prendre un bol d’air pure avant de commençait à travailler. Il les regardait vivre tous simplement. Lui ne connaissait pas une vie aussi simple. Il ouvrir son journal, pour lire les nouvelle du jour. C’était rare qu’il ce prenne des moments de détente, mais il avait besoin de sortir. Passé son temps à travailler ne l’aidé pas à avancer.

- alors tu es enfin sorti de ta tanière ?

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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Jeudi 15 avril 4 15 /04 /Avr 23:33

 

CHAPITRE 33 :

 

 

Je fus réveillé par les rayons du soleil, et je ne trouvais pas Jackson à mes côtés. Je n’allongeais sur le dos un sourire béat sur le visage. Cette nuit sa avait été grandiose. On avait fait l’amour encore et encore. Je l’avais possédait encore et encore. Sa avait été tendre. C’était de l’amour, juste de l’amour. Son corps n’avais manqué et je n’avais eu de cesse de le lui répétait. Sa me rendais faible de lui dire tout cela, mais je n’avais put m’en empêchais.

 

Je me sentais devenir dépendant de lui et sa me terrorisé.

Je me redressais pour le chercher du regard mais je ne me le trouvais pas dans la cabine. Je sentais à nouveau la colère monter en moi à l’idée qu’il soit avec ce Milan. Je me levais enfilant mon pantalon et ma chemise sans prendre la peine de l’attacher. Si je le trouvais encore dans ses bras je crois que je vais le baiser devant lui pour bien lui faire comprendre à qui il appartient.

Je sortais sur le pont et la première chose que je vis fut Jackson avec deux sabres qui fixait Milan avec froideur, lui aussi tenait deux sabres et le regardait avec autant de froideur. Venait-il de ce disputé où bien s’entraimaient-ils juste.

Je sentais un frisson me traverser lorsque je vis Jackson foncer sur Milan, sa longue cape volante derrière lui. Milan placer ses sabres devant lui bien camper sur ses positions attendant l’attaque. Le choque de leurs sabres frire des étincelles, faisant s’envoler les quelques mouettes qui c’était posé sur le pont. C’était un spectacle des plus envoutants. Ils étaient vifs, précis dans leurs attaques aucun coups n’étaient porter au hasard. Ce que j’aimerais savoir me battre de la sorte. C’était comme s’il exécuter une danse et c’était follement envoutant, existant et terrifiant à la fois. Je n’arrivais pas à en défaire mon regard.

Jackson ce retrouvait derrière son jeune second son sabre sous sa gorge.

- Tu as perdu. Murmurait-il à son oreille assez forte pour que je l’entende.

- Je ne crois pas.

En effet la pointe de son sabre était appuyais contre son flanc, prés à le transpercer. Jackson souriait d’un sourire magnifique.

- Je dois avouer que tu as fait des progrès fulgurant.

- c’est sans nul doute parce que j’ai un très bon prof.

- sans doute.

Milan lâchait ses sabres et ce retournait vers son capitaine pour le serrait dans ses bras. J’avais envie de protesté mais ne fit rien. Jackson refermait ses bras autour de lui le serrant avec force contre lui.

- Tu va s’arranger Milan.

- Rien ne s’arrangera Jack. C’est impossible et toi aussi tu le sais très bien. Tu sais ce qui va ce passé.

De quoi étaient-ils en train de parler.

- Je sais mais je veux continuais d’y croire encore un peu.

Je sentais la colère monter en moi lorsque je vis Milan posait ses lèvres sur celle de mon Jackson. Je vais en faire du pâté pour poissons. Il le relâchait vite pour s’éloigner. Jackson le regardait partir avant d’enfin poser ses yeux sur moi. Son regard était empli de tristesse, et il m’adressait encore un de ses sourires hypocrites que je déteste voir sur son visage. Je m’approchais de lui et l’attrapaient par la nuque pour prendre ses lèvres elles sont à moi et personne d’autre. Nos langues ce mêler alors que mes mains ce posaient sur ses belles petits fesses le collent d’avantage contre mon corps, enfonçant ma langue entre ses lèvres. Il glissait ses bras autour de ma nuque gémissant de plaisir entre mes lèvres. Ses lèvres si douces, si savoureuse sont les miennes. Juste à moi. Je finissais par relâcher ses lèvres plongeant dans ses deux yeux émeraude.

- N’oublie pas que tu m’appartiens Jacky. Et comme tout le reste de ton corps tes lèvres son à moi et moi seul.

- je le sais. Il va mal il à besoin de moi.

Je le serrais encore plus fort dans mes bras l’embrassant derrière l’oreille. Je faisais glisser mes mains sous sa chemise pour caressais sa peau. J’avais encore envie de lui, j’avais l’impression de n’être jamais rassasier.

- j’adore te regardais manier le sabre. Tu es tellement beau, tellement envoutant. Sa m’existe à mort. Murmurais-je contre ses lèvres. Je déteste l’idée que d’autre lèvres ce posent sur les siennes. Je suis jaloux et sa me fait peur. Je me l’aimais pas alors je ne devais pas être jaloux et pourtant c’était le cas.

- Et si je t’apprenais à manier le sabre mon amour. Nos deux corps dansant l’un contre l’autre dans une danse bestiale, sauvage, sensuel. Il avait murmurait ses mots à mon oreille d’une voix douce follement existante. Il avait le don de me rendre fou, sa voix, son souffle, son corps. Chaque jour il me rendait encore plus fou de lui.

- Hm…j’en meurs d’envie.

Il ce détacher de moi et me tendais un de ses sabres. Il était beau, vraiment beau. Je ne devrais pas le trouver beau, je ne devrais pas autant aimer ses baisers, ses caresses. Je ne devrais pas autant aimer lui faire l’amour. Je devrais le détester, mais je ni arrivais pas.

Il s’avançait vers moi en souriant. Je levais mon sabre comme l’avais fait Milan.

- Alors battant nous. Murmurait-il gardant son beau sourire. La ce donc j’avais envie ce n’était pas de me battre mais de lui faire l’amour comme un fou.

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Jeudi 15 avril 4 15 /04 /Avr 23:31

CHAPITRE 32 :

 

 

 

- Pardonne-moi.

Pourquoi me demandait-il pardon. Il ne voulait pas de moi. Je sentais les larmes me monter aux yeux. Il me forçait à me retourner, je gardais la tête baissé. Je ne voulais pas qu’il voyait à nouveau mes larmes. Il prenait mon visage entre ses mains et mes lèvres ce retrouvaient prisonnière des siennes. Je restais sans la moindre réaction le laissant m’embrasser. C’était tellement tendre. Il ne cherchait pas à approfondir le baiser. C’était juste une caresse, un effleurement et sa me rendais fou. Il finissait par s’écarter de moi et posait son front contre le mien.

- Ne t’offre plus à moi comme ça. Comme si ce n’était qu’une passe. Comme si tu n’étais qu’une pute et moi un de tes client. Sa me rappelle le mal que je t’ai fait. Je ne veux plus que sa ce passe comme ça entre nous. Je veux te voire pendant que je te ferais l’amour.

Je me redressais et le poussais jusqu’au lit, il butait contre le sommier et tombait sur le matelas. Je venais aussitôt prendre place sur son bassin. Je plongeais dans ses deux océans impétueux, sauvage. Et je n’y noyais à nouveau. Je faisais glisser mes doigts sur sa joue. Il fermait les yeux et je le sentais frémir sous moi. Je fixais ses lèvres en silence, j’avais envie de l’embrasser, de goûter à nouveau ses lèvres. Il posait ses mains sur ma nuque pour m’attirais plus prés de lui. Je sentais son souffle caressait mes lèvres essayait-il de me rendre encore plus fou de lui. Je faisais glisser ma langue sur ses lèvres et il les ouvrir pour me laissais aller cherchait sa langue. Je faisais glisser mes mains sur son corps alors que les siennes resté sur ma nuque. Il m’avait tant manqué. Je voulais le retrouver, redécouvrir son corps. Comme s’il m’avait été interdit durant des années. Il faisait enfin glisser ses mains sur mon corps, et chaque centimètre carré de mon corps frémissait à ses caresses. Avant que je ne puis faire quoi que ce soit je me retrouvais plaqué contre le matelas et ses lèvres sur mon corps. Je croyais bien que j’allais en mourir de plaisir. Ses lèvres étaient si douces, si chaude. Sa langue découvrait doucement chaque parcelle de ma peau, je fermais les yeux le laissant faire ce qu’il voulait de mon corps. Je crispais mes mains dans ses cheveux gémissant de plaisir. Pourquoi est-ce que j’aimais autant qu’il me touche, qu’il me caresse alors que je détesté lorsque ses homme me toucher.

 

 

 

« J’était en train de regarder la mer. J’avais enfin réussit. J’avais réussit à trouver un bateau pour parcourir les mers. J’allais enfin pourvoir cherché ce que je cherché. Enfin si j’arrivais à savoir ce que je cherchais. C’était vraiment un spectacle incroyable. Voire la proue fondre les flots, l’odeur de l’eau marine. J’avais tout quitté pour vivre sa.

- Gamin vient avec moi.

Je me retournais vers le capitaine qui venait de me sortir de ma contemplation. Je le suivais sans rien faire jusqu’à sa cabine refermant la porte derrière moi alors qu’il allait s’assoir derrière son bureau prenant la bouteille de rhum pour s’en servir un verre. Je ne disais rien me contentent de le fixait en silence. Je savais que j’aller devoir payer pour pouvoir resté à bord de ce bateau et j’étais prés à tout pour cela. Est- ce que sa faisait de moi quelqu’un de mal ? Est-ce que c’était mal d’être prés à tout pour pouvoir réaliser son rêve.

- Retire tes vêtements.

Je détacher ma chemise la laissant tomber sur le sol, puis le reste de mes vêtements prirent la suite. Je n’avais pas peur, je n’éprouver aucune crainte aucune appréhension.

- Vient là.

Je fis le tour du bureau pour venir lui faire face, son regard détailler mon corps avec envie. Je le laissais faire, que pouvais-je bien faire d’autre. Il voulait mon corps, j’étais peu être jeune mais pas con. Je savais ce qu’il voulait.

- Met toi à genoux et montre-moi ta reconnaissance.

J’ai fais ce qu’il me demandait, ce jour la j’avais accepté de devenir sa pute pour pouvoir réalisé mon rêve. J’étais le plus méprisable des hommes. » 

 

 

 

- Dris…non…arrête

- Chut. J’en ai envie alors laisse moi faire.

Il reprenait mon sexe en bouche. C’était la première fois que l’ont me faisait une telle chose. Jamais je n’aurais cru que ce puis être aussi agréable. C’était tellement chaud, brûlant. J’avais l’impression de me consumer sous ses caresses. On aurait dit qu’il avait fait ça toute sa vie. Je sentais la jouissance monté en moi, je suis en train de devenir fou. J’étais dans un monde qui n’était encore totalement inconnu. Je le forçais à me relâcher lorsque je me sentais venir. Je ne croyais pas qu’il puis avoir envie que je jouis en lui. Il relâchait mon sexe et je venais sur mon ventre criant tout mon plaisir, j’avais littéralement décollé du matelas sous la force de mon orgasme. Jamais je n’aurais cru pouvoir prendre autant de plaisir juste en ayant mon sexe dans sa bouche. Je n’avais pas été habitué à cela. D’habitude c’étais moi qui devais faire ça.

Il reprenait mes lèvres entre les siennes, je glissais mes bras autour de sa nuque me collant d’avantage à lui. Je voulais qu’il me fasse l’amour là tout de suite. Qu’il me rende encore plus fou de lui.

- Sa t’as plus Jacky. C’est la première fois j’ai fait de mon mieux.

- Pour moi aussi c’était ma première fois. C’était vraiment bon. Merci.

- De rien Jacky. J’avais vraiment envie de te faire ça.

- Fait moi l’amour. Je veux te sentir en moi. C’est si dur d’être loin de toi.

- Je suis désoler Jacky.

- Si tu me fais l’amour je te pardonne.

- alors je vais te faire l’amour comme jamais encore. Tu en à envie ?

- Oui. Répondis-je dans un souffle.

Je prenais sa main entre mes doigts et prit deux des siens en bouche pour les sucer, le regardant avec provocation. Je voyais le désir brûlais dans ses pupilles. Je savais que mon corps lui faisait de l’effet, que j’étais capable de lui faire perdre la tête, mais contrairement à lui ce n’était que du sexe. Je relâchais son sexe et faisait glisser ses doigts entre mes jambes que j’écartais pour lui, je les appuyais contre ma rosette et les fit entré en moi serrant les dents sous la douleur. Il me fixait en silence sans rien faire alors que ses yeux me dévoré avec gourmandise. Il ce penchais vers moi posant ses lèvres sur les miennes.

- Je t’aime tellement. Murmurais-je contre ses lèvres.

- Je sais. Je sais.

 

 

Je fus sorti de mes souvenir lorsque je sentais ses lèvres ce posaient sur mon gland. Je me redressais pour essayer de le repousser mais sans succès. Il n’était pas gay, il ne m’aimait pas alors pourquoi faisait-il ça ? Pourquoi cherchait-il à me donnais de l’espoir.
Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Jeudi 15 avril 4 15 /04 /Avr 23:30

 

 

CHAPITRE 6 :

 

 

« Il m’avait autorisé à reste cher lui. Est-ce que cela était vraiment la meilleur chose qui puisse m’arrivé ? Je voulais rester à ses côtés autant que je voulais n’en éloigner. Cette homme et tellement dangereux. À cette époque je ne savais pas encore que je pourrais connaitre une douleur encore plus grande. Je ne vivais que pour lui. Je respirais pour lui. Le jour où il ne voudra plus de moi. Je n’aurais plus qu’à mourir. » Andy quel âge avait vous ?

 

 

-

J’étais assis sur le canapé, de cuire rouge aussi luxueux que le reste du décor. Il avait accepté ma présence à ses côtés seulement si je ne prenais pas trop de place, si je restais bien à la mienne. Je devais rester assis bien sagement comme un bon petit chien bien obéissant.

Il ne levait même pas les yeux vers moi et prit encore moins la peine d’y répondre. J’avais la sensation d’être invisible, de n’être rien de plus qu’un de ses meubles. Juste un objet que l’ont expose au regard des autres. Je me levais ne pouvant plus supporter ce silence si oppressent. J’avais besoin de prendre l’air.

- Où vas-tu ?

Sa voix était froide, glacial. Il ne levait même pas le regard vers moi. Je contemplais ce visage impassible qui me hanté à chaque secondes de ma vie. Pourquoi l’ais-je rencontrer ? Pourquoi dois-je autant souffrir ? Est-ce que c’est une punition. À cause de tous ceux que j’ai moi-même blessé par le passé ? Je me déteste d’être si faible.

- J’ai juste besoin de prendre un peu l’air.

- Ne rentre pas trop tard.

- Oui.

 

Je sortais de la maison les mains dans les poches, la tête basse. Quand est-ce que j’avais perdu ma dignité. J’avais le cœur en morceaux. J’avais pensé à me tuer mais j’avais été trop lâche. Alors je n’avais fait que m’entaillé les veines, laissant couler mon sang, laissant couler mon mal être. Mais cela n’avait servis à rien, mon cœur avait recommençais dés que la douleur dans mon bras ce soit apaisait. Ma vie était un enfer et il en était le maître.

 

Je marchais dans les rues agité de la ville. Toujours la tête basse. Mes blessures caché sous mon pull. J’avais la sensation désagréable qu’autour de moi tout le monde étaient au courant de ce que je faisais. De ce que j’étais devenu. Je sentais leur regard accusateur sur moi et c’était bien plus oppressent que le silence de Andy. je n’osais pas relever la tête de peur de croiser leurs regard emplis de reproche. Le poids de mes erreurs m’empêcher de me redresser.

 

« Je me regardais pas au je marchais, j’étais loin de savoir qu’à ce coin de rue ma vie aller prendre un nouveau tournant

Alors j’ai fuis, je ne savais pas quoi faire d’autre. Je n’ai pas réfléchis, j’ai fuis. J’ai courus aussi vite et loin que mes jambes pouvaient me porter. J’avais fini par m’écroulais dans un ruelle sombre. Loin de ta lumière. Les ténèbres c’est là qu’es ma place. Moi être si répugnant et sale.

Qui était tu ? Cette question je me la suis posé tellement de fois. Était tu l’ange rédempteur venu me faire entrevoir le paradis. Où était tu un ange démoniaque venu m’entrainais plus loin dans les ténèbres, dans ma déchéance.

J’avais peur. Ma vie m’échappais, elle glisser entre mes doigts comme de l’eau et je n’avais aucun moyen de le rattraper. J’avais tellement peur.

 

À cette époque je ne voyais que Andy. j’étais loin de me douté de ce que cette rencontre aller entrainer. J’était loin de savoir que tu allait te brûlait les ailes pour sauvai un être aussi misérable que moi. Aujourd’hui encore je me demande pourquoi tu as fait cela ? Alors que je n’étais que son jouet »

 

 

 

 

 

 

 . Je t’ai bousculer dans cette ruelle, sans même levais les yeux je t’ai demander pardon. Je devais rentrer Andy m’attendais mais tu m’as retenu m’empêchant de prendre la fuite. Tu n’aurait pas du faire ça. J’aurais du être le seul à souffrir. Lorsque j’ai posé mon regard sur toi, j’en suis resté sans la moindre réaction. Ta beauté m’irradier. Tu briller aussi fort que le soleil sa en était éblouissant. Ton visage était fin, presque androgyne, encadré par tes cheveux brun. Ta peau mat. Mais le plus envoutant était sans nul doute tes yeux. Ses deux émeraudes qui avait sus capté mon regard. Tu ressemblait à un ange. Tu était si beau, si tentateur. Ton sourire était la plus belle choses qui n’ai été donner de voire. Et ta voix, si le anges existé ils aurait une voix similaire à la tienne. Douce, chantante, sensuel, pénétrante, tendre. Un ange, c’Est-ce que tu était. J’étais les ténèbres et toi la lumière. Cette lumière qui me brule la peau. Tu brillait trop face à moi et je me sentais si sal si misérable. Ta beauté me faisait voire toute ma laideur.

 

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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