CHAPITRE 39 :
pov jackson
Il me clouait sur le sol m’envoyant son poing dans la joue, la douleur m’arrachait un cri. Mais peut importe qu’il me fasse mal, qu’il me fasse oublier. Il me
frappait encore et encore, je le laissais faire. À son regard je savais que sa l’existé de me faire ça, et je pouvais sentir son sexe gonflé sous son pantalon. Il choppait un de mes sabre posait
sur le bureau le plaçant sur ma glotte alors que je le regardais en souriant, j’avais envie qu’il me tue. Je voulais cesser de vivre a bord de ce navire en perdition qu’était ma vie. Je voulais
en finir.
- Frappe-moi encore et je te tue.
- c’est sans nul doute la solution. Vas-y baise moi. T’es bon qu’as ça.
- Et toi t’es bon qu’as te faire enfiler. Sale pute.
Je me redressais légèrement et la lames entailler ma gorge, faisant couler mon sang aussi sale que moi. Il me choppait par les cheveux et me jetait à quatre pattes
sur le sol. Il faisait glisser sa lame le long de mon dos, c’était douloureux mais moins que la douleur qui me lacère le cœur.
- Merde baise moi…j’ai tellement mal. Murmurais-je avec douleur.
- T’as gueule je vais te défoncer comme la salope que tu as.
Il entrait en moi avec violence. Je me mordais les lèvres pour étouffer un cri de douleur. Mais ce n’était pas suffisant, il m’en faut encore plus, parce qu’il mon
cœur me fait tellement mal.
- Plus fort…plus fort…s’il te plait…plus fort.
pov adrien
Il était allongé sur le sol, le corps couvert de sueur, de sang et de sperme. Sa respiration était rapide, irrégulier, difficile. Son visage souillé de mon sperme et
de ses larmes. Il c’était écrouler à bout de force alors que le jour venais de ce lever emportant avec lui la noirceur de cette nuit. Mais pas ce que je venais de lui faire. Je l’avais frappé, je
l’avais humilié, je l’avais baisé comme une vulgaire chienne. Il ne l’avait demandé. Il me l’avait demandé mais je savais qu’il ne le voulait pas. Il n’avait supplié en pleurant de le prendre
plus fort encore. Je lui avais dit dés choses horrible.
pov jackson
Je n’étais recroquevillé contre une des cloisons de la cabine le regardant en pleurant. Je n’étais bon qu’as lui faire du mal. Je n’osais même pas l’approchais. À
quoi bon pour le faire encore souffrir. Je ne me reconnaisse pas, il me rendait fou et me faisait faire des choses horribles. Je regardais les bleus apparaitre sur son corps. Je n’étais qu’un
monstre. J’étais devenu semblable à ces pirates que je déteste tant. Je lui répugnant. Je sursautais lorsque sa voix résonner dans la pièce, elle n’était pas aussi chaleureuse et douce que
d’habitude. Elle était froide, faible.
- Tu as fait ce que je t’ai demandé. Tu n’as rien à te reprocher. Je ne comprends pas pourquoi tu pleure.
- PARCE QUE MERDE…je ne voulais pas te faire de mal. Qu’est-ce que tu crois…je…je me suis attaché à toi.
- Hm bien sur.
Pourquoi ne voulait-il pas ne croire. Il essayait de ce lever me retombait aussi sec sur le sol étouffant un cri de douleur. Je voulais aller l’aidé mais il me
repousser me déchirant le cœur. Je voulais juste l’aidé.
- Je n’ai pas besoin de ton aide. C’est clair. J’ai cherché à être dans cet état. Et toi tu t’es bien vidé les couilles. Tu m’as plus rien à faire ici.
- Si, je veux t’aidé. Je suis ton petit ami. On sort ensemble je ne veux pas te faire plus de mal. Je croyais que tu voulais profiter du temps qu’il nous
resté.
Il ce recroquevillait sur lui-même en tremblant et pleurant.
- Je n’ai toujours été qu’une pute. Avec toi j’aurais voulut que sa ce passe autrement. Que tu ne me voie pas comme une simple pute, juste un simple trou à baiser.
Comme les autres.
Je le regardais étonner. Je ne comprenais pas de quoi il parlait. Qui étaient ses autres donc il parlait. Est-ce que d’autre homme lui avait déjà fait subir ce genre
de chose. Je voulais savoir. Mais il n’était pas en état de répondre à mes questions.
J’étais en train de déliré.je crois que j’ai de la fièvre. Si je pouvais crever sa me ferrait des vacances. Je me sentais soulever sur
sol par ses bras puissant qui me faisais perdre la tête et sombré. Il me déposait sur le lit avec douceur. Je n’ai toujours était qu’une pute. Je ne suis bon qu’as ça.
« J’étais allongé sur le lit subissant ses assaut répété le regard perdu vers l’extérieur. Mon corps était présent mais mon
âme avait prit son envole depuis bien longtemps. Je le sentais jouir en moi une nouvelle fois, ne souillant encore plus. Il s’écroulait sur moi de tout son long. Son souffle avec cette odeur
écœurante d’alcool. Il m’écrasait mais je ne disais rien. Je ne disais jamais rien.
- Hm ton cul et toujours aussi bon. Tu es si étroit. Un vrai appelle au viol.
Il ce retirait enfin ne laissant respirais mais je savais que sa me faisait que commercer.
- C’est bon les mecs cette petite pute et à vous il ma bien vidé les couilles.
J’entendais les pirates criait de joie alors que je restais allonger sur le lit attendant qu’il me baise. J’avais l’habitude, j’étais résigner. »
- Ne me demande plus jamais de te faire autant de mal.
- Tu as aimé m’en faire. Je l’ai vue dans ton regard. Tu as aimé me soumettre à toi. M’humilier, me cracher toutes ses insultes. Tu es un homme tu aime avoir un
telle pouvoir sur les autres. Tu me n’as jamais aussi bien baisé qu’aujourd’hui. Et jamais aussi longtemps.
- Arrête je regrette ce que j’ai fait. Tu n’as mit en colère.
- Je suis fatigué.
- Je vais te laver et ensuite en on dormira.
- Je dormirais seul+ toi tu retourne dans ta cabine. On ne dort pas avec une pute juste après l’avoir sauté.
- Tu n’es pas une pute.
- Et t’appelle ça comment un mec qui ce fait baiser par un autre.
- La fièvre te fait délirer. On en reparlera au calme.
Je le laissais nettoyer mes plaies, mon corps souiller encore et encore. Je le nettoyer ma honte. Ses gestes étaient doux attentionné m’en faisant presque oublier ce
qui venais de ce passé. J’avais envie de pleurer mais je ne voulais pas me montré à nouveau faible devant lui. Il bandait une à une mes plaies, sentir ses doigts sur ma peau me faisait tremblais.
Je voulais qu’il me serre dans ses bras, qu’il me fasse oublier tout le reste. Mais je voulais aussi resté tranquille. Il remontait les couvertures sur mon corps nue et briser, ses doigts ce
glissaient dans mes cheveux, il voulait m’embrasser mais je détourné la tête. Je l’entendais soupirer avant que ces lèvres ne ce posent sur les miennes alors qu’il me murmurait un nouveau pardon.
Il ce levait pour sortir de la pièce me laissant enfin seul alors que je sombré dans le sommeille.
pov adrien
Je m’appuyais contre la porte de la cabine, je fixais mes mains, elles tremblaient comme le reste de mon corps. Je portais mes mains à mon visage, je pleurais
encore. J’entrais dans ma cabine m’écroulant sur mon lit. Pleurant comme un enfant, tout et de ma faute. Je me déteste. Je n’arrivais pas à trouver le sommeille.
Pourquoi je n’arrivais pas à trouver le sommeil loin de ses bras ?
Pourquoi sa présence me manque tant ? Je voulais sentir son corps contre moi, son cœur battre, son souffle sur mon visage, m’enivré de sa douce odeur. Suis-je en train de devenir fou ?
Pourquoi avais-je si mal de le voire souffrir ?
Pourquoi mon cœur ce serrait-il lorsque je repenser à la douleur que je lui avais infligé ?
Pourquoi avais-je l’envie de le rejoindre pour le supplier à genoux de me pardonner.
Pourquoi étais ce si différent qu’avant ?
Pourquoi est-ce qu’il ressentait avait à présent de l’importance pour moi ?
Pourquoi devenait-il important à mes yeux ?
Pourquoi ?
Pourquoi ?
Pourquoi ?…
Venais-je de le perdre. De perdre son amour.
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