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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 22:44

CHAPITRE 41 :

 

 pov Shawn.

 

Il faisait noir, il faisait froid, j’avais tellement peur.

J’étais dans la cabine du capitaine recroqueviller contre l’un des murs, tremblant de peur, je pleurais encore et encore. J’avais l’impression que je ne pourrais plus jamais cesser de pleurais. Il avait encore abusé de moi, durant des heures, encore et encore. Et mon corps avait encore réagit, il avait aimé ça. Je me dégoutais. Ce corps me dégoutait.

Je voulais tellement revoir Milan. Le serrais dans mes bras, l’embrasser mais je ne voulais pas le salir. Je ne méritais pas de vivre à ses côtés.

Je me crispais lorsque j’entendais la porte s’ouvrir et mon pire cauchemar entré. Je ne pouvais pas fuir. Je n’avais nulle part ou fuir. J’étais telle un oiseau en cage qui rêvait de prendre son envole. Il s’approchait de moi encore et encore, chaque pas me terrorisé encore plus. Il allait encore me faire du mal.

Il ce laissait tomber à genoux devant moi pour me serrait dans ses bras faisant redoublé mes pleures. Je le déteste, je le hais.

- Pourquoi pleures-tu mon amour ?

- Vous…arrêtez de me faire toutes ses choses horribles.

- Horrible. Ton corps ne dit pas la même chose. Il est si indécent dans ses moment la. Il me fait qu’en demandais encore plus. Encore et encore. Alors laisse ton cœur s’ouvrir à moi et tu serras enfin heureux. Je ne veux que ton bonheur mon amour.

- je ne vous aime pas….je ne pourrais jamais vous aimer… vous n’étiez qu’un monstre.

Il me relâchait et m’envoyais son poing dans la figure m’arrachant un cri de douleur. Ma tête heurtait le mur et je perdais connaissance, sombrant dans les ténèbres. Est-ce que j’étais mort. C’étais peut être la meilleur chose qui puisse m’arrivais. Je me veux plus le laissais me toucher. J’aime Milan, je voulais lui appartenir à lui et à lui seul. S’il te plait vient me cherché, conduit moi dans un monde meilleur. Ou tu serrais tous pour moi. Mon soleil, ma lune, mon aire, mon eau, toutes ma vie.

 

 

 pov milan

Je regardais le ciel étoiler, c’était vraiment une très belle nuit. Est-ce que Adrien avait réussit à avoir le pardon de Jack. J’espère qu’il ne lui as pas à nouveau céder. Que va-il ce passer lorsque l’ont aura retrouvé Shawn ? Est-ce que je vais réussir à resté loin de lui, à faire semblant de me pas l’aimais ? C’Était tellement dur de me dire que je ne pourrais pas le serrait dans mes bras, que je ne pourrais plus l’embrasser. J’ai découvert l’amour et je ne peux pas l’atteindre. Il n’était interdit.

 

 

 

 pov jackson.

 

À mon réveille il était allonger contre moi dormant à poing fermer. Il était tellement beau mon amour. Où moins lorsqu’il dormait il ne me faisait pas souffrir. Je faisais glisser mes doigts sur sa joue, il m’avait manqué. Malgré tout le mal qu’il me faisait je ne pouvais cesser de l’aimer. Que dois-je faire pour réussir à me défaire de lui. Je déposais mes lèvres sur les siennes avec douceur. Il me rendait fou. Pourquoi fallait-il toujours qu’il me blesse avant de revenir en pleurant et en s’excusant de ce qu’il avait fait et moi je pliais et je lui pardonné.

 

 

Milan était accouder au bastingage, sa faisait une demi heure que je le regardais en silence, sans oser l’approchais, alors que j’avais tellement envie de le serrait dans mes bras. C’étais moi seul qui avais pris la décision de le gardait à bord, le seul à lui avoir proposé de l’aidé. Tout et de ma faute, et à cause de mon égoïsme mon meilleur ami souffre.

Je m’approchais de lui, glissant mes bras autour de son corps pour le serrait contre moi. Le vent soufflé fort aujourd’hui, il faisait chanter la mer, apportant les effluves marins. Il caressait nos corps avec douceur nous faisant frémir. Je fermais les yeux me laissant porter par ce vent.

- Si seulement en pouvait s’envoler. Viendrais-tu avec moi Milan ?

- je te suivrais jusqu’au bout du monde Jack.

- L’amour et sans nul doute le plus beau et le plus douloureux des sentiments. Il peut nous faire planer au dessus des cimes des plus hauts sonnets de ce monde, au dessus des mers, des endroits aux l’ont ne peut aller. Il nous transporte dans des mondes lointains, inconnu, envoutant. Seulement le vol n’est parfois qu’éphémère, et la chute et douloureuse où mortelle. Alors on ce raccroche, on ce raccroche désespérément à une branche, à un infime espoir pour ne pas tomber. Pour ne pas ce briser. Laisse-moi être cette branche Milan. Raccroche-toi à moi. Je te promets de me pas te laisser chuter.

- Merci Jack.

Il ce tournais vers moi un doux sourire sur le visage, avant de me serrait contre lui me rendant son étreinte. Je le protégerais. Peut importe ce qui doit arriver.

 

 

 

 

Les jours passaient sans que je ne puis les arrêtais, j’aurais voulut avoir le pouvoir d’arrêtais les temps pour arrêtait de souffrir mais je n’avais pas ce pouvoir. Dans quelque heure en arriverais à l’île. Et tout aller prendre fin.

Je fixais l’eau bleu en silence, j’avais parcourut tant d’océans, tant de mer, j’avais découvert tant de merveille, tant de chose à couper le souffle. Et j’avais découvert l’amour et la douleur que cela engendrais. Avant je vivais dans un monde plat sans relief tout ce qui m’importait été de parcourir le monde, mon cœur était froid, il ne bâté pas. Je croyais être née sans cœur. Alors j’étais parti à la découverte de ce monde inconnu qu’était l’océan, et j’ai découvert que mon cœur pouvait battre. Et que je pouvais souffrir. La fin était proche et je le savais. Le vent soufflait fort cette nuit là. Il annonçait un changement, une fin et un recommencement. Mais seul ce vent sait vers où il nous emporte.

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 22:41

CHAPITRE 40 :

 

 

 

pov  adrien

Sa faisait déjà trois jours, trois longue journée que je lui avais fait toutes ses choses horrible. Lui semblais ne plus vouloir en parlais à vrai dire il n’ignorait totalement. Il ne me parlait plus, il ne me regardait plus, il ne me touchait plus et il me manquait tellement. C’était comme si je n’existé plus. Comme si à ces yeux j’étais devenu invisible. À chaque fois qu’il passé à côte de moi j’avais envie de l’attraper pour le retenir et le serrait fort contre moi, pour ne plus le laisser m’échapper. Est-ce qu’il avait ressenti la même chose lorsque je l’avais ignoré. Ce sentiment d’abandon, ce sentiment d’oppression. Cette sensation d’être dans une sale ou l’ont ne peux pas distinguer les murs, où l’ont ne peux pas trouver la porte Je voulais tant entendre sa voix, sentir son corps contre le mien, sentir son odeur, ses mains sur ma peau nue, ses lèvres sucré, embrassé sa peau. Je voulais à nouveau pouvoir frémir de ses caresses. Je voulais à nouveau pouvoir lui faire l’amour.

Je me posais des centaines de questions, qui ne trouvent aucune réponse. Je suis en train de devenir fou. Plus en ce rapproche de mon frère et plus je suis incertain sur le futur. J’allais retrouver alizé et en allait partir quitté ce navire. Mais est-ce que je serrais vraiment capable de l’oublier. Pourrais-je oublier tout ces moment merveilleux que l’ont à passé ensemble. On n’avait pas fait que baiser. Ses moments passé à discuter de choses et d’autre. Parfois son le moindre intérêt. Je voulais entendre à nouveau sa voix ne murmurait des mots doux. Je voulais encore pouvoir m’endormir dans ses bras, me réveiller contre son corps. J’aimais quand je me réveillais alors qu’il me regardait. Son regard était si doux dans ses moment là, si protecteur que je ni abandonner. Il caressait toujours mes cheveux avant de faire glisser ses doigts sur ma joues, ce contact me faisait toujours tremblais. Au réveille sa voix était toujours si douce. Il me demandait toujours si j’avais bien dormit, toujours dans un souffle à peine audible alors que ses lèvres caressaient les miennes. Juste un frôlement, une douce caresse. Puis lorsque je lui avais répondu oui ses lèvres ce faisait plus gourmande, j’adorais ses baisers matinal même si je ne lui ai jamais dit. J’adore cette façon de me réveiller. Après il revient toujours ce blottir contre moi, je refermais mes bras autour de lui pour profité de se réveille. Je voulais à nouveau connaitre de telle moment, je ne voulais pas que l’ont m’enlève sa. Je suis le seul responsable. Je veux le revoir sourire pour moi. Je veux revoir ses yeux pétillent de joie. Je suis totalement perdu, je ne sais vraiment plus où j’en suis. Il me rend fou. Sa n’aurais pas du ce passer comme ça.

 

 

 

 

 

J’étais appuyais contre l’encadrement de la porte le regardant travailler. Il était tellement beau, ses cheveux lui tombaient devant les yeux et il n’avait de cesse de les remettre en place. Mais il ne tenait jamais alors il recommençait encore et encore. Il était tellement mignon quand il faisait ça.

Je voulais qu’il me regarde. Je voulais tellement qu’il me regard. Je t’en supplie regard moi Jacky, regard moi.

Je sursautais lorsque sa voix froide brisait le silence de la pièce. Je me sentais comme un enfant pris en faute. Et je baissais la tête sous le poids de ma honte.

- Tu as envie de baiser alors tu es venu voire ta pute préférait.

- Arrête ce n’es pas vrai. Tu n’es pas une pute. Que dois-je faire pour que tu me croies.

- Si tu ne veux rien alors va-t’en s’il te plait.

Je relevais la tête vers lui, il était toujours perdu dans l’étude de ses cartes. Son faire attention à moi. Je ne pouvais plus supporter son ignorance. Je me décollais de la porte pour me diriger vers lui. Je tirais sa chaise et attraper son visage pour ravir ses lèvres qui m’avais tant manqué. Je le sentais ce tendre à ce contact. Il me déteste vraiment à présent.

- S’il te plait Jack…pardonne moi. Je t’en supplie.

Je l’embrassais à nouveau et je le sentais ce détendre un peu, mais il me repoussait me brisant le cœur. Mais je repris à nouveau ses lèvres enfonçant ma langue entre ses lèvres mais il me repoussait à nouveau avec plus de force encore. Il ce redressait de toute sa hauteur. J’étais assit sur le sol le fixant en silence. Il était tellement beau, tellement envoutant lorsqu’il était énervé.

- à quoi joue tu as la fin Adrien. Tu m’as de cesse de me faire souffrir et après tu reviens demandait pardon. Pourquoi ? À quoi ça te sert d’avoir mon pardon. Merde fait comme tu en as l’habitude sert toi.

Je le regardais faire tomber ses vêtements sur le sol, pourquoi fallait-il toujours qu’il fasse cela ? Je ne voulais pas que son corps, je voulais son pardon. Je voulais qu’il me regard à nouveau avec amour. Qu’il me serre dans ses bras.

- fou le camp Adrien. Il détournait les talons pour aller s’allonger sur son lit, remontant les couvertures sur son corps. Je me voulais pas partir je me voulais pas passer une nouvelle nuit loin de lui. Je m’approchais du lit et posait ma main sur son épaule mais il la repoussait d’un mouvement d’épaule. Il ne me pardonnerait pas. J’étais allé trop loin. Je dégageais les cheveux dans sa nuque, elle était si attirante, que je ne pouvais m’empêcher d’y posait mes lèvres avant de me redressait pour sortir de la pièce le cœur lourd. Il m’avait jamais était aussi froid et distant avec moi. Jamais je n’aurais cru que cela serrait si difficile d’être rejetait pour lui.

- Qu’Est-ce qu’il t’arrive Adrien t’as l’air d’un cadavre.

Je sursautais relevant la tête pour tombait sur Milan.

- Il me déteste tu dois être content non.

- Pas du tout parce que je sais qu’il est malheureux. Arrête de t’accrocher Adrien. Tu la dit toi-même ta vie n’es pas à bord de ce bateau. On va bientôt retrouver Shawn alors détache toi de lui avant qu’il ne souffre trop.

- C’est bon je n’ai pas besoin de tes leçon de morale. Je sais que je le fais souffrir mais je ni peux peut rien j’ai besoin d’être avec lui.

- Tu es quelqu’un de très dure à cerné Adrien.

Il détournait les talons pour s’éloignait de moi. J’ai vraiment besoin d’être avec lui. J’ouvrais la porte à la voler pour re-rentrais dans la chambre, il était assit sur le lit tenant son visage entre ses mains. Lorsqu’il m’entendait rentrer il relevait la tête pour me regardait. Ses yeux étaient remplis de larmes, son corps tremblait, il semblait totalement perdu tellement attendrissent. Je me laissais tomber à genoux devant lui l’enserrant de mes bras posant ma tête contre son ventre, je le serrais aussi fort que je le pouvais. Il restait sans réaction alors que je le supplier de me pardonner encore et encore.

 

 

pov Jack 

Il était la devant moi tel un enfant qui venait demandait pardon après avoir fait une grosse bêtise. Merde comment pouvais-je continuais de lui en vouloir alors qu’il ce montrait si faible devant moi.

- Je suis désolé, tellement désoler Jacky. Je ne veux pas te faire souffrir. Et pourtant c’Est-ce que je n’arrête pas de faire. Je suis désoler, on…on vient d’un monde tellement différent.

- Arrête…arrête. Ne parle plus.

- Je…je peux rester dormir avec toi ?

- Pourquoi ?

- Parce que je me sens vide quand je suis loin toi. Je n’arrive pas à dormir quand je ne suis pas dans tes bras.

Je refermais mes bras autour de lui, le serrant plus fort contre moi. L’entendre me dire ça faisait s’accélérait les battements de mon cœur. Pourquoi faut-il qu’il joue sans cesse avec mon cœur. Et moi comme un saut je tombais toujours dans les filets qu’il tendait. Il m’avait manquait, cette étreinte m’avait temps manquais.

 

Je fini par me détacher de lui pour m’allonger sous la couverture, quelques minutes plus tard je sentais le drap ce levait et son corps brulant venait ce coller aux mien me faisant tremblais de bien être et de peur à la fois. Je ne voulais pas qu’il me fasse encore du mal. Il était contre mon dos son bras autour de ma taille. Je fermais les yeux essayant de dissimuler les tremblements de mon corps. Il posait un baiser dans ma nuque avec douceur.

- Bonne nuit Jacky.

- Bonne nuit.

 

 

 

 

pov Adrien

Je le sentais ce détendre entre mes bras et son souffle ce faire plus faible. Il avait noué les doigts de sa main aux miennes la serrant contre son cœur qui battait doucement. Je blottissais mon visage dans son cou respirant sa douce odeur qui n’avait tellement manqué. Je ne savais pas si m’avait pardonné mais au moins je pouvais enfin dormir avec lui. Pourquoi est-ce que j’en étais si heureux. Je crois que je suis en train de vraiment trop m’attachais à lui. Sa m’avais vraiment manqué, sa chaleur, son souffle, tout de lui m’avais terriblement manqué. Où est-ce que tout cela va nous conduire ?

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 21:32

CHAPITRE 39 :

 

 

 

 pov jackson

Il me clouait sur le sol m’envoyant son poing dans la joue, la douleur m’arrachait un cri. Mais peut importe qu’il me fasse mal, qu’il me fasse oublier. Il me frappait encore et encore, je le laissais faire. À son regard je savais que sa l’existé de me faire ça, et je pouvais sentir son sexe gonflé sous son pantalon. Il choppait un de mes sabre posait sur le bureau le plaçant sur ma glotte alors que je le regardais en souriant, j’avais envie qu’il me tue. Je voulais cesser de vivre a bord de ce navire en perdition qu’était ma vie. Je voulais en finir.

- Frappe-moi encore et je te tue.

- c’est sans nul doute la solution. Vas-y baise moi. T’es bon qu’as ça.

- Et toi t’es bon qu’as te faire enfiler. Sale pute.

Je me redressais légèrement et la lames entailler ma gorge, faisant couler mon sang aussi sale que moi. Il me choppait par les cheveux et me jetait à quatre pattes sur le sol. Il faisait glisser sa lame le long de mon dos, c’était douloureux mais moins que la douleur qui me lacère le cœur.

- Merde baise moi…j’ai tellement mal. Murmurais-je avec douleur.

- T’as gueule je vais te défoncer comme la salope que tu as.

Il entrait en moi avec violence. Je me mordais les lèvres pour étouffer un cri de douleur. Mais ce n’était pas suffisant, il m’en faut encore plus, parce qu’il mon cœur me fait tellement mal.

- Plus fort…plus fort…s’il te plait…plus fort.

 

 

 pov adrien

Il était allongé sur le sol, le corps couvert de sueur, de sang et de sperme. Sa respiration était rapide, irrégulier, difficile. Son visage souillé de mon sperme et de ses larmes. Il c’était écrouler à bout de force alors que le jour venais de ce lever emportant avec lui la noirceur de cette nuit. Mais pas ce que je venais de lui faire. Je l’avais frappé, je l’avais humilié, je l’avais baisé comme une vulgaire chienne. Il ne l’avait demandé. Il me l’avait demandé mais je savais qu’il ne le voulait pas. Il n’avait supplié en pleurant de le prendre plus fort encore. Je lui avais dit dés choses horrible.

 

pov jackson

Je n’étais recroquevillé contre une des cloisons de la cabine le regardant en pleurant. Je n’étais bon qu’as lui faire du mal. Je n’osais même pas l’approchais. À quoi bon pour le faire encore souffrir. Je ne me reconnaisse pas, il me rendait fou et me faisait faire des choses horribles. Je regardais les bleus apparaitre sur son corps. Je n’étais qu’un monstre. J’étais devenu semblable à ces pirates que je déteste tant. Je lui répugnant. Je sursautais lorsque sa voix résonner dans la pièce, elle n’était pas aussi chaleureuse et douce que d’habitude. Elle était froide, faible.

- Tu as fait ce que je t’ai demandé. Tu n’as rien à te reprocher. Je ne comprends pas pourquoi tu pleure.

- PARCE QUE MERDE…je ne voulais pas te faire de mal. Qu’est-ce que tu crois…je…je me suis attaché à toi.

- Hm bien sur.

Pourquoi ne voulait-il pas ne croire. Il essayait de ce lever me retombait aussi sec sur le sol étouffant un cri de douleur. Je voulais aller l’aidé mais il me repousser me déchirant le cœur. Je voulais juste l’aidé.

- Je n’ai pas besoin de ton aide. C’est clair. J’ai cherché à être dans cet état. Et toi tu t’es bien vidé les couilles. Tu m’as plus rien à faire ici.

- Si, je veux t’aidé. Je suis ton petit ami. On sort ensemble je ne veux pas te faire plus de mal. Je croyais que tu voulais profiter du temps qu’il nous resté.

Il ce recroquevillait sur lui-même en tremblant et pleurant.

- Je n’ai toujours été qu’une pute. Avec toi j’aurais voulut que sa ce passe autrement. Que tu ne me voie pas comme une simple pute, juste un simple trou à baiser. Comme les autres.

Je le regardais étonner. Je ne comprenais pas de quoi il parlait. Qui étaient ses autres donc il parlait. Est-ce que d’autre homme lui avait déjà fait subir ce genre de chose. Je voulais savoir. Mais il n’était pas en état de répondre à mes questions.

 

 

J’étais en train de déliré.je crois que j’ai de la fièvre. Si je pouvais crever sa me ferrait des vacances. Je me sentais soulever sur sol par ses bras puissant qui me faisais perdre la tête et sombré. Il me déposait sur le lit avec douceur. Je n’ai toujours était qu’une pute. Je ne suis bon qu’as ça.

 

 

« J’étais allongé sur le lit subissant ses assaut répété le regard perdu vers l’extérieur. Mon corps était présent mais mon âme avait prit son envole depuis bien longtemps. Je le sentais jouir en moi une nouvelle fois, ne souillant encore plus. Il s’écroulait sur moi de tout son long. Son souffle avec cette odeur écœurante d’alcool. Il m’écrasait mais je ne disais rien. Je ne disais jamais rien.

- Hm ton cul et toujours aussi bon. Tu es si étroit. Un vrai appelle au viol.

Il ce retirait enfin ne laissant respirais mais je savais que sa me faisait que commercer.

- C’est bon les mecs cette petite pute et à vous il ma bien vidé les couilles.

J’entendais les pirates criait de joie alors que je restais allonger sur le lit attendant qu’il me baise. J’avais l’habitude, j’étais résigner. »

 

 

- Ne me demande plus jamais de te faire autant de mal.

- Tu as aimé m’en faire. Je l’ai vue dans ton regard. Tu as aimé me soumettre à toi. M’humilier, me cracher toutes ses insultes. Tu es un homme tu aime avoir un telle pouvoir sur les autres. Tu me n’as jamais aussi bien baisé qu’aujourd’hui. Et jamais aussi longtemps.

- Arrête je regrette ce que j’ai fait. Tu n’as mit en colère.

- Je suis fatigué.

- Je vais te laver et ensuite en on dormira.

- Je dormirais seul+ toi tu retourne dans ta cabine. On ne dort pas avec une pute juste après l’avoir sauté.

- Tu n’es pas une pute.

- Et t’appelle ça comment un mec qui ce fait baiser par un autre.

- La fièvre te fait délirer. On en reparlera au calme.

Je le laissais nettoyer mes plaies, mon corps souiller encore et encore. Je le nettoyer ma honte. Ses gestes étaient doux attentionné m’en faisant presque oublier ce qui venais de ce passé. J’avais envie de pleurer mais je ne voulais pas me montré à nouveau faible devant lui. Il bandait une à une mes plaies, sentir ses doigts sur ma peau me faisait tremblais. Je voulais qu’il me serre dans ses bras, qu’il me fasse oublier tout le reste. Mais je voulais aussi resté tranquille. Il remontait les couvertures sur mon corps nue et briser, ses doigts ce glissaient dans mes cheveux, il voulait m’embrasser mais je détourné la tête. Je l’entendais soupirer avant que ces lèvres ne ce posent sur les miennes alors qu’il me murmurait un nouveau pardon. Il ce levait pour sortir de la pièce me laissant enfin seul alors que je sombré dans le sommeille.

 

 

 pov adrien

 

Je m’appuyais contre la porte de la cabine, je fixais mes mains, elles tremblaient comme le reste de mon corps. Je portais mes mains à mon visage, je pleurais encore. J’entrais dans ma cabine m’écroulant sur mon lit. Pleurant comme un enfant, tout et de ma faute. Je me déteste. Je n’arrivais pas à trouver le sommeille.

Pourquoi je n’arrivais pas à trouver le sommeil loin de ses bras ?

Pourquoi sa présence me manque tant ? Je voulais sentir son corps contre moi, son cœur battre, son souffle sur mon visage, m’enivré de sa douce odeur. Suis-je en train de devenir fou ?

Pourquoi avais-je si mal de le voire souffrir ?

Pourquoi mon cœur ce serrait-il lorsque je repenser à la douleur que je lui avais infligé ?

Pourquoi avais-je l’envie de le rejoindre pour le supplier à genoux de me pardonner.

Pourquoi étais ce si différent qu’avant ?

Pourquoi est-ce qu’il ressentait avait à présent de l’importance pour moi ?

Pourquoi devenait-il important à mes yeux ?

Pourquoi ?

Pourquoi ?

Pourquoi ?…

Venais-je de le perdre. De perdre son amour.

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Jeudi 6 mai 4 06 /05 /Mai 17:47

CHAPITRE 10 :

 

 

« Je me souviens de la première fois ou il as montré de la jalousie. Cela à était la nuit la plus atroce de ma vie. Il m’a rappelais ma conditions de jouet. Cette nuit là il m’avait emmené en boite avec lui. C’était la première fois que j’y remettais les pieds depuis que je l’avais rencontré. Il n’avait fait gouter à l’extasie. Moi qui n’y avais jamais touché. Il c’était penché vers moi pour me murmurait d’une voix pervers.

- lâche-toi un peu, va danser mon poussin comme tu sais si bien le faire. Si tu arrive à m’existé je te baiserais toute la nuit, comme tu aime.

Sa m’avait fait mal de l’entendre me parlais de la sort. Mais je n’avais pas la force de lui répondre. À quoi bon. Puis il n’avait poussé sur la piste de danse. Alors qu’il rigoler entouré de tous ses amis, je n’étais qu’un objet de distraction. »

 

 

 

J’ouvrir de grand yeux étonner lorsque je senti une main ce refermais autour de mon poigner m’arrachant des bras de cette inconnu. J’eu as peine le temps de réaliser ce qui venait de ce passé que Andy envoyait un coup de poing à l’inconnu l’envoyant au tapis. Je le fixais et il me terrorisé, je n’avais encore jamais vue autant de colère dans son regard. C’était pour moi qu’il ce montré aussi violent. Sa voulait dire qu’au font il m’aimait bien.

- Personne ne touche à ma pute sans mon autorisation.

Je sentais mon cœur ce briser à nouveau. Ce n’est pas possible. Pourquoi est-ce que je me faisais encore de faux espoir. Il ne m’aimait pas. Que sa rentre une fois pour toute. Je ne suis que son jouet. Il me força à le suivre jusqu’à l’extérieur. Il me plaqua contre un mur avec force et son poing s’abattit sur ma joue me faisant crier de douleur. Il plaçait sa main autour de mon coup m’étranglant, il ressemblait à un monstre ainsi, les yeux remplis de colère, de folie alors qu’il resserrait doucement la pression. Ses lèvres frôlaient le lob de mon oreille et sa voix ce fit sifflante, basse, un murmure.

- Tu aurais du le repousser. Tu aurais du repousser cette homme.

Il m’attrapait par le collier me forçant à me mettre à genoux devant lui.

- Sale petite chienne. Est tu conscient de ta position. À mes pieds, à obéir à Chaqu’un de mes ordres. Tu as donc tant envie que sa de te faire sauté ?

- …

- Répond petite pute. Tu as envie de te faire sauter.

Il me murmurait plus, il crier. Alors qu’il tirait sur mon collier avec force. Je suffoquer. Sa me faisais tellement mal. Je voulais que sa arrête. Mais la douleur ne cesserait jamais.

- Oui.

- Oui quoi ?

- J’ai…j’ai envie de me faire baiser.

- Très bien. Justin as très envie de ton petit cul. Tu va passer la nuit avec lui.

- Non…

Un nouveau coup s’abatis sur ma joue alors que son regard ce faisait plus menaçant encore. J’ai peur. Il me terrorise. Jusqu’à où peut il allait pour soumettre quelqu’un à ses désire. Jusqu’à ou j’suis capable de m’enfonçait pour qu’il m’aime.

- Tient j’ai un petit cadeau pour toi.

Je le vis sorti un seringue de sa poche. Il allait encore me faire prendre de la drogue de force. J’essayer de me défaire de sa prise mais il était bien plus fort que moi. Alors je ne pus rien faire d’autre que de sentir l’aiguille percer ma peau et le produit ce dissoudre dans mes veine.

- Voila maintenant tu va le suivre et je ne veux pas l’entendre ce plaindre de ton obéissance où je n’occuperais de ton cul moi-même.

 

 

- Tu es enfin réveiller. Tu sais que t’es vraiment chaud toi. Quand tu baise tu deviens une véritable petite chienne. Je n’ai jamais autant baisé en une nuit.

 

 

« Je n’étais réveiller cher cette homme que je ne connaissais même pas. Je l’avais laissé faire ce qu’il voulait. Je me savais même pas ce que j’avais put faire cette nuit là. J’avais tout oublié. Je me sentais tellement mal. Je faisais tout ça pour un homme qui ne me rendrait jamais mon amour. Après cette nuit la j’ai servi de jouet à Chaqu’un de ses ami. Il adorait m’offrir à eux. Il savait très bien que je ne pouvais pas refusait. La seule chose qui m’aider était de penser que je pourrais te revoir."

J’étais en train de danser sur la piste, la drogue faisait doucement effet, s’immiscent dans chacune de mes veine. Je laissais la musique me portait. Je savais qu’il me regardait, qu’il ce riait de moi. Mais je n’arrivais plus à penser mon esprit était embuée, l’alcool, la drogue, la chaleur. Je me savais plus au j’étais. Je sentais quelqu’un ce coller à moi. Je savais que ce n’étais pas Andy. Je serrais capable de le reconnaitre entre des centaines d’hommes. Son odeur, son corps, je le connaissais par cœur. Mais je ni prêtais pas attention. Sa devait être un de ses ami. Il voulait sans nul doute joué avec moi.
Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Jeudi 6 mai 4 06 /05 /Mai 10:23

CHAPITRE 6 :

 

 

 

Valentin était assit face au jeune Tim, il l’écoutait parler en souriant. Il lui parlait de ses études, de ses passions. De sa vie, et valentin ne pouvait s’empêché de le jalouser un peu. Lui avait put vivre sa jeunesse, il avait tout juste 19 ans, et il parlait de la vie avec tellement de passion. C’était rafraichissant de l’entendre parlait. De voire son visage si expressif, des expressions qu’il n’aurait jamais. Car au fond il est comme Vladimir, il ne ressent pas grand-chose. Parce qu’on ne lui avait pas appris à ressentir.

Il avait été dés son plus jeune âge enfermer dans un monde ou il ni avait pas de place pour les sentiments. Il fallait travailler, encore et toujours. Être le meilleur, ne rien ressentir parce que les sentiments nous rendaient faible. Il avait lutté contre cela, mais il avait été impossible de son échapper totalement. Il restait prisonnier de ce père tyrannique et de cette mère qui préférait dépenser sans conté plutôt que d’élevait son enfant. Il ce demandait souvent ce que cela faisait d’avoir des parents aimant, attentionné, toujours là. Dans les bons, comme dans les mauvais moments. De vrais parents. Parce que pour lui ils n’étaient rien de plus que des géniteurs. Il avait pourtant décrochait le diplôme de la plus prestigieuse des universités et cela, ne suffisait pas. Il aurait voulut recevoir des encouragements au moins une fois.

Il ce penchait par-dessus la table pour faire glisser ses doigts sur la joue de Tim, qui ce mit à rougir à ce contact. Sa peau était douce, délicate. Sa lui donnait envie de le couvrir de baisers.

- Je t’aime bien Tim. Tu es très rafraichissant. Mais sa ne sera que pour une nuit, je ne veux pas te blesser.

- On…On pourra rester ami…après ?

- Bien sur que oui. De très bon ami.

- Alors je veux passer cette nuit avec toi. Si tu veux bien.

- Bien sur que j’en ai envie. J’en ai très envie même. Alors en y va ?

 

 

Vladimir passait sa veste sur le siège et ce laissa tomber sur le canapé, la soirée avait été éprouvante. Ce marié. Il ni avait jamais pensé. Jusqu’à ce que sont père le lui impose. Il la connaissait à peine. Elle était belle, mais il ne ressentait rien pour elle. Elle méritait un homme qui serrait l’aimait. Mais c’était une volonté de son père alors il le ferait. Dans un mois il serrait marier. Il ce levais et sorti de son bureau pour entré dans le laboratoire. C’était silencieux. Il ni avait personne, sauf lui. Il était toujours là. Il ne vivait que pour le travail. Il fixait l’androïde, dans sa prison de glace. Il était parfait, mais totalement vide comme lui. Il n’avait pas de cœur, le sien lui à part battre ne faisait pas grand-chose d’autre. Pourquoi est-ce qu’il ne ressentait rien. Elle avait pleuré dans ses bras et il n’avait rien ressentit. Il l’avait serré dans ses bras, mais sa chaleur ne l’avait pas atteint, sans cœur n’avait pas battue plus vite. Rien n’avait changé. Il était comme ce robot. Il re-sortait du labo pour regagner son bureau et s’écrouler sur le canapé pour si endormir aussitôt à bout de force. Alors que des centaines de questions lui tournaient dans la tête.

 

 

 

Valentin serrait le jeune Tim dans ses bras, l’embrassant avec douceur, il ne voulait pas le brusqué. Il fallait aller à son rythme. Il tremblait contre lui. De peur d’excitation. Son souffle était rapide, et il pouvait sentir son cœur battre. Il le fit basculer sur le lit s’allongeant à ses côtés, caressant son visage avec douceur. Le faisant gémir de bien être. Il fermait les yeux, posant sa main sur la sienne. Il était tellement beau et désirable. Pourquoi était-il incapable de tombait amoureux de qui que ce soit. Pourtant m’importe quel homme sensé pourrait tombait amoureux d’un mec comme Tim.

- Tu n’as plus envie de faire l’amour valentin.

- Si mais toi ne voudrait tu pas faire l’amour avec un homme que tu aimerais vraiment.

- je ne sais pas. J’ai envie de faire l’amour avec toi.

- Je ne veux pas prendre ta première fois si tu n’es pas certain de le vouloir.

Tim s’allongeait sur son ainé le fixant en souriant.

- Je suis sur que avec toi je ne regretterais rien. Parce que tu serras doux. Je veux que tu me fasses l’amour.

Valentin refermait ses bras autour du corps de son jeune amant, le serrant contre lui, allant ravir ses lèvres. Il l’embrassait avec douceur, mêlant sa langue à la sienne, elles ce cherchaient, ce mêlaient, ce séparaient pour mieux ce retrouvaient encore et encore. Leurs mains parcourait leurs corps, en caressant chaque centimètre carré, les vêtements ce retrouvaient vite sur le sol et leurs corps nue s’entremêler, dans une danse sensuel, envoutante, magnifique. Comme s’il était fait pour ne faire qu’une seul et même âme.

La pièce était remplis de doux soupires, de mots tendre. La tension était à son apogée. Leurs corps fusionnaient, ils n’étaient plus que volupté, plaisir. Leurs corps s’épouser à merveille. Il faisait l’amour à son jeune amant avec douceur et passion. Leurs bouches ce seller, leurs doigts s’entremêlaient, leurs cœur battaient à l’unisson. Et c’était ensemble qu’ils atteignaient le nirvana du plaisir. Avant de retombait sur un doux nuage. C’était un de ses rare moment de plénitude, au vous oublier tout, ou plus rien n’as d’importance. Où tout vous semble si beau. Un moment si rare et tellement fugace.

-merci valentin.

- Merci à toi Tim.

Le jeune brun ce blottissait d’avantage contre le corps de son amant, s’endormant contre ce corps si rassurant et protecteur. En lui prête volontiers un tempérament de coureur invétéré mais pas d’amant tendre et attentionné.

 

 

 

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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