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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Jeudi 6 mai 4 06 /05 /Mai 10:20

CHAPITRE 38 :

 

 pov jackson.

Adrien était venu me rejoindre dans ma cabine une heure après que je l’ai laissé en plan sur le pont. Il venait aussitôt s’allonger sur mon lit sa tête sur mes genoux. Je restais son réaction, il était tellement changeant. Je n’arrive pas à le comprendre.

- On a parlé. On a mit les choses au point Shawn viendra avec moi. Notre vie n’est pas ici. Je suis vraiment désoler. Je sais que je t’ai fait du mal. Je ne voulais pas.

Il ne voulait pas. Il ne veut jamais c’était sans nul doute cela le plus blessant. Ne pas vouloir mais le faire tout de même. « Je sais que je te fait du mal, mais c’est plus fort que moi » c’était ce que voulait dire cette phrase. Je ne voulais pas. Pourquoi le faire s’il ne le voulait pas, pourquoi demandait pardon après avoir fait souffrir. Et pourquoi est-ce que je lui pardonner tout ? Je ne levais m’écartant de lui. La seule chose qu’il veut de moi c’était mon corps, mon cœur il l’avait jeté par-dessus bord depuis bien longtemps. Je faisais glisser ma chemise sur le sol et le pantalon suivi très vite. Il ce redressait faisant glisser ses yeux le long de mon corps nu. Je me sentais frémir sous son regard. Il s’asseyait sur le bord du lit alors que je me rapprochais de lui. Il glissait ses bras autour de mon bassin me rapprochant de lui et posait sa tête contre mon ventre. Je restais quelques minutes sans réaction étonné par son geste de tendresse. Mais mes mains trouvaient vite leurs places dans ses cheveux que je caressais avec douceur. Il ressemblait à un enfant cherchant le réconfort dans les bras de sa mère. Et sa me rendait heureux qu’il vienne chercher ce réconfort dans mes bras.

- Il m’a dit qu’il prendrait ses distances avec Shawn. Je crois que c’est la meilleure solution. On devra quitter ce bateau un jour. Notre vie n’est pas ici.

Je le savais mais c’était toujours si douloureux de l’entendre me le dire. J’aurais voulu le gardait éternellement à mes côté. Je posais mes mains sur ses joues attirant son visage au mien. Apposant mes lèvres sur les siennes, sans cherché à approfondir. Je voulais juste savourer ce moment de tendresse. Ce moment où je me sentais important pour lui. Ou je me sentais un peu aimer. Il m’attirait plus prés de lui me faisant m’assoir sur ses cuisses, me serrant dans ses bras.

- Ma vie n’est pas sur ce bateau Jacky. Je ne te l’ai jamais caché. Je t’ai dit que lorsque je retrouverais Shawn on partirait tout les deux et puis Alizé m’attend…

- Arrête. Je t’en supplie arrête. Je sais tout ça. Je n’ai pas besoin que tu le répète inlassablement. Je me suis qu’une passade, qu’un passe temps, rien de plus. Juste un objet que tu utilise. Mais je m’en contente. Parce que quand je suis dans tes bras je me sens bien. Je ne veux pas penser au futur. Juste au présent dans tes bras. Si j’aurais su que l’amour était quelque chose d’aussi douloureux. Je t’aurais rejeté à la mer aussitôt, pour ne pas avoir à souffrir autant.

- Je suis désolé.

- Arrête de l’être. Tu ne m’aime pas. Je suis le seul à être amoureux de toi. Tu ne souffriras pas, comme tu ne souffre pas aujourd’hui. Je suis bon qu’as te servir de lot de consolation.

- Non.

- Tait toi. Répliquais-je en posant mon index sur ses lèvres, je ne pencher vers lui jusqu’à ce que mes lèvres frôlent les siennes. Il ni as rien de bon qui sort de ta bouche. J’ai envie que tu me baise. Je veux que tu sois violent pour me faire oublier la douleur de mon cœur. La douleur physique doit être plus grande que celle du cœur, alors fait moi mal parce que mon cœur me fait vraiment mal, tellement mal que j’ai l’impression de suffoqué.

- je ne peux pas faire ça…ne me demande pas de faire ça.

- Si tu peux le faire. Tu ma déjà fait alors tu va le refaire. Je sais que tu adore ça. Alors vas-y baise moi.

Je lui arrachais sa chemise puis lui retira son pantalon. Il ne bouger pas, il fallait que je le fasse réagir, je lui envoyais mon poing dans la joue. C’était ce qu’il fallait faire, il réagissait au quart de tour me sautant dessus.

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Jeudi 6 mai 4 06 /05 /Mai 10:16

coucou  à tous. je viens juste de finir de taper ce chapitre alors j'ai pas vraiment eu le temps de le rlire. sorry. mais je préfére le poster pendant que j'ai le temps. parce qu'à si non je vais oublier. un vrai poisson rouge.lol. donc j'espère qu'il vous plaira. bonne lecture.

 

 

 

CHAPITRE 9 :

 

 

 

 

« Tu me fixais en silence. Je crois bien que tu étais aussi étonné que je le fusse. On ne c’était vue qu’une seul fois, mais je serrais bien incapable d’oublier ce regard. Tu ne m’avais parlais qu’une seul fois mais je serrais incapable d’oublier le timbre de ta voix. J’étais incapable de bouger. J’étais incapable de parlais. Pourquoi fallait-il que le destin soit si cruel avec moi. »Je vis alors ton visage ce barré d’un immense sourire. Je croyais que tu étais un ange mais tu dois être comme lui. Je ne veux pas le croire. Je ne peux pas le croire. Tu étais celui qui m’avait donné une lueur d’espoir. Et tu es celui qui m’enfonce encore plus dans la noirceur de ce monde sans lumière. Tu n’es donc pas cet ange que je n’étais imaginé.

 

 

 

- On c’est déjà rencontré n’est-ce pas ?

- Oui…hier…je vous ai bousculé dans la rue.

- j’avais raison. Difficile d’oublier un aussi beau visage. Malgré cet horrible bleu. Tu en es le responsable Andy.

- Non c’est son père. Bon j’avoue que je lui en ai foutu une. Mais cette petite chienne le mérité. Il est docile que lorsqu’il a ma queue entre les fesses. Il gémit comme une femelle.

- Je…je peux aller dans ma chambre, s’il vous plait maître. Je suis fatigué.

- C’est bon, je n’ai plus besoin de toi. Descend pour le repas.

- je n’ai pas faim.

- Tu n’as absolument rein manger depuis ton arrivé.

- JE N’AI PAS FAIM.

C’était la première fois que je lui crier dessus, je ne lui laissais pas le temps de répondre que j’étais allé m’enfermer dans ma chambre. Je venais de faire une erreur qui aller me couté cher.

 

J’étais resté durant des heures assit dans un coin de la chambre. Je me savais pas quelle heure il était, j’étais épuiser. Je n’avais qu’une envie dormir. Pouvoir enfin me reposer. Et pour la deuxième fois de la journée il entrait dans la chambre, toujours aussi belle et majestueuse. Je me redressais pour lui faire face, sans oser lever la tête. Il tenait une assiette de soupe à la main. Il était monté pour me portait à manger.

- Tu dois manger Jaylan.

- Je n’ai pas faim.

- Un chien sa obéit Jaylan.

Il m’attrapait par la nuque avec force me jetant sur le sol, j’étouffais un cri de douleurs, lorsque mon genou venait frapper contre le sol dur de cette chambre tellement froide et sans vie. Il posait l’assiette devant moi, m’appuyant sur la nuque pour me forçais à manger. Mais tout ce que je pouvais faire c’était pleurait. Je suis si faible. Mais je me rien avaler. Pourquoi fallait-il qu’il me traite de la sorte ? Pourquoi fallait-il que je le laisse faire ? Pourquoi fallait-il que je l’aime ? Je savais qu’il était en colère et qu’il allait me punir et sa me tarda pas.

Il ce plaçait derrière mon dos alors que sa main continuais de faire pression sur ma nuque. Je criais de douleur lorsque je sentais son sexe me pénétrait. J’ouvrir les yeux et fut prit d’horreur lorsque je vis tes chaussure dans l’encadrement de la porte. Il était en train d’assisté à ce spectacle. Il assisté à mon humiliation. J’avais envie de disparaitre. Andy m’attrapait par les cheveux me forçant à relevait la tête me forçant à te regardait. Tes yeux accrochaient les miens. Il m’exprimer rien, ni surprise, ni colère. Absolument rien. Mais j’étais sur que je te dégoutais.

- Tu veux en profiter frérot. Il est délicieusement serrer. Hum le pied.

- Non merci. Ce n’est pas mon truc. Il ne mérite pas ça. Il doit avoir tous justes 18 ans.

- Ne recommence pas avec ça. Il aime ça. Comme tout les autres.

- Je rentre. Willy doit m’attendre. Au revoir Jaylan.

 

Je me rependais rien, la gorge étouffer par mes sanglots. Tu m’en avais rien à faire de moi. Je n’étais que la pute de ton frère. Pourquoi est-ce que j’attachais autant d’importance à ceux que tu pouvais penser de moi ? Pourquoi est-ce que te voir tourné les talons me faisaient aussi mal ? Je ne devrais pas ressentir de telles choses alors que c’est Andy que j’aime ? Tu es reparti en fermant la porte, sans un mot, sans un regard. J’aurais donné tout ce qu’il me restait pour savoir ce que tu penser à cette instant.

 

 

« Ce jours la je t’en avais voulut de me rien avoir fait pour m’aidé. Mais ensuite c’est à moi que je n’en suis voulut. Parce que j’étais le seul responsable. Je n’étais jeté moi-même dans ses bras. Je n’avais rien à attendre de toi.

Pourtant après cette seconde rencontre, où j’avais enfin eu des réponses, je n’ai eu de cesse de te chercher. Je croyais te voir à chaque coin de rue, mais ce n’était qu’un tour de mon esprit, de mon cœur blessé. Je n’osais rien demander à ton frère, de peur de déclenché sa colère. Et puis ce Willy est-ce qu’il était ton petit ami ? Je me posais tellement de question. Tu m’obsédais à longueur de journée, et aucune de mes questions ne trouver de réponse. Ton visage hanté mes nuits pourtant c’était Andy que j’aimais. Aujourd’hui il y a encore une partie, cette partie sombre de moi qui l’aime encore. Je ne sais pas comment l’explique mais il ferra toujours parti de moi. Parce que je ne peux renier ce que j’ai fait par amour pour lui. Mais aujourd’hui c’est ta lumière qui a remplacé ses ténèbres. J’ai trouvé le bonheur dans tes bras, je ne veux plus connaitre la déchéance dans les siens. »

 

 

alors vous vous y attendez à ça. dit moi ce quevous en penser. la suite dés que j'ai fini de la taper.

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Dimanche 2 mai 7 02 /05 /Mai 15:24

CHAPITRE 5 :

 

 

Vladimir discuter avec une belle femme blonde, elle était la fille d’un des grand noms de la finance, il était riche, très riche. La jeune femme coller de très prés Vladimir au regret de toutes les autres femmes présente pour la réception.

- Tu es très beau ce soir Vladimir. Ce costume Dior te va à ravir. Il est parfait pour toi.

- Toi aussi tu es très belle Sonia.

La jeune femme ce mit à rougir sous le compliment de Vladimir. Il lui caressait la joue avec douceur, la faisait rougir encore plus. Elle était belle, véritablement belle, une beauté envoutante, irrésistible. Elle était grand, fine, des forme généreuse, elle était parfaite en tout poing elle devait plaire au homme. Elle semblait douce, intelligente. Parfaite pour un homme comme lui.

 

Valentin lui était toujours en train de draguer le petit brun, qui avait bien du mal à repousser ses assauts de plus en plus prononcé. Il avait envi de lui peut importe s’il ce trouvait dans une réception de bourg il n’allait pas réprimer ses désir juste pour ses gens de la haute. Il l’attrapait par le menton pour ravir ses lèvres avec douceur, allant enfonçais sa langue entre ses fine lèvres. Il le poussait contre le mur l’embrassant avec plus de force, le jeune homme glisser ses bras autour de son cou répondant à ses baisers. Il l’embrasser encore et encore pressant son corps contre le sien, glissant une de ses jambes entre les siennes.

- t’embrasse comme un dieu Tim. Et tu bande.

- C’est de ta faute. Tes baisers me rende fou… je ne suis pas gay.

- on petit pote dit tout l’inverse de ta bouche. Lui il en a envie. Il demande à ce se qu’en occupe de lui. Si en partait d’ici pour ce faire du bien.

- Oui.

Valentin l’attrapait par la main pour le tirait vers la sorti, mais il cessa son avancer lorsqu’il entendit la voix du père de Vlad s’élevait dans la salle. Il ce retourna vers lui pour l’écouté. Sa promettait d’être intéressant.

- J’ai une grande nouvelle à vous annoncer. Vladimir, Sonia venaient là mes enfants.

Vladimir rejoignait son père comme un bon fiston bien éduqué suivit par la jeune femme. Le viel homme prit la main des deux jeune gens pour les lier sous le regard étonné de toute l’assistance.

- Je vous annonce le mariage de mon cher fils avec Melle Sonia Van Erzberg. Le mariage aura lieu dans un mois. Et se serra le plus beau mariage jamais vu. J’espère tous vous y voire. C’est un très grand évènement.

- Et s’en nul doute un mariage arranger.

Vladimir ce tourner vers Valentin qui le fixait avec son habituel froideur, il prit la main de sa fiancer et s’approchait de son jeune rivale. Le défiant toujours du regard, et il était follement existant lorsqu’il avait ce regard. Il s’arrêtait devant lui et attirait la jeune femme contre lui pour ravir ses lèvres avec fougue, la pressant contre lui. Il gardait les yeux ouvert pour défier le blond du regard. Mais cela ne l’atteignais pas le moins du monde, sa le faisait sourire. Il ce souvenait de sa façon d’embrasser, la façon qu’il avait de joué avec sa langue. Il embrasser bien, elle devait être au ange. Il fini par relâchait ses lèvres pour s’adressait au plus jeune, toujours avec cette voix glacial.

- C’est un mariage d’amour. Et bien sur tu n’es pas invité. Alors va donc t’enfoncé d’avantage dans ta déchéance.

- Non je vais plutôt aller m’enfoncer dans ce joli petit cul que tu vois la. À la prochaine monsieur parfait.

Il lui adressait un sourire provocateur avant de sortir de la pièce suivit de sa conquête sans ce soucier des cris de protestation de son père. Il savait très bien que ce n’était pas un mariage d’amour. Vlady m’aimais personne. Il était incapable d’ouvrir son cœur à qui que ce soit. Il ne vivait que pour la gloire de son père. Il ressemblait à ses androïdes qu’il essayer de crée. Il prenait place derrière son volant alors que Tim prenais place sur le siège passager.

- Dit quel genre de relation tu entretiens avec le fils Douglas.

- Une absence de relation plutôt. Je n’ai pas envie de parlais de lui beauté. On va boire un verre.

- Oui. Répondait le jeune brun avec un sourire des plus adorables sur le visage. Il était peut être frivole mais il prenait soin de ses amants, même si ce n’était que pour une seul nuit.

 

 

Vladimir avait quitté la réception sans que personne ne le remarque. Il était assit sur les marche de cette édifice de style néoclassique. Avec ses immense colonnes, cette façade des plus imposante, des plus majestueuse. En ce sentait tellement petit et insignifiant face à cette merveille. C’était une belle nuit, tout était clame c’était tellement reposant. Il n’aimait pas du tout ses réception mondaine mais il était obliger d’y assisté. Sa ferait tâche d’encre s’il refusait d’apparaitre dans ce genre de réception. Il aurait préféré que son père n’annonce pas son mariage aussi vite. Pas de cette façon. Il avait perdu la tête lorsque valentin avait dit que c’était un mariage arranger. Parce qu’il avait visé juste. Il ne l’aimait pas. Mais elle si. Que pouvait-il faire d’autre c’était ce que voulait son père alors encore une fois il ce pliait à ses volontés. Parce qu’il disait toujours oui à Chaque demande de son père. Il ne savait pas lui dire non.

- Alors c’est ici que tu te caché.

Il ce retournais pour voire Sonia qui le regardait en souriant. Qu’est-ce qu’une belle femme comme elle pouvait lui trouver ? Elle méritait un homme bien mieux que lui. Un homme capable de l’aimait. Elle s’assoyait à ses côté frissonnant sous la fraicheur de cette nuit. Vladimir retirait sa veste pour la posait délicatement sur ses fine épaules.

- Tu es vraiment galant Vladimir. C’était la première fois que tu m’embrasse. C’était incroyable. Si seulement tu l’avais fait par amour et non pour répondre à sa provocation. Il est le seul à te faire réagir. J’aimerais aussi avoir une place dans ton cœur.

- tu as une place dans mon cœur Sonia. Tu va devenir ma femme.

- C’est tout juste ta femme.

- Parle-moi de toi Vlad, je veux mieux te connaitre.

- Je ne suis quelqu’un d’intéressant. Il ni as rien à savoir.

- Tu n’aime donc rien.

- Si. Une seule chose.

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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Dimanche 2 mai 7 02 /05 /Mai 15:22

CHAPITRE 37 :

 

 

 pov Adrien

J’étais accoudé à la balustrade regardant la mer. On avait repris le large quelques minutes après que Milan soit revenu blesser. Je regardais le large. Ce connard devais être à quelques miles de nous, on allait le rattraper et j’aller lui faire subir aux centuple ce qu’ils leurs avait fait subir. J’allais le découper en petit morceaux, j’allais le regarder souffrir et me suppliait de lui faire grâce. Je déteste que l’on fasse du mal aux gens que j’aime. Je n’avais vraiment pas supportais la façon dont il avait parlé à Milan.

Je sentais sa présence prés de moi, cette douce odeur qui me faisait perdre la tête. Je soufflais doucement avant de me mettre à parlais. Je me savais pas pourquoi mais j’avais besoin de lui dire tout ça.

- Milan, je l’ai vu grandir. La première fois que je l’ai vu il avait tous justes 8 ans et j’en suis tombé amoureux. Je l’ai aimé dés le premier regard. Moi qui me croyais son cœur, moi qui n’avais jamais rien éprouvais pour ma famille. Je me suis attaché à ce petit ange. Il était si naïf, si timide, il débordait d’énergie. J’adorais passé du temps avec lui, il était mon havre de paix. Dés que je revenais au village j’allais le voire. Son père m’accueillait comme si j’étais de la famille, comme si j’étais son fils. C’était son père Argos qui a construit de bateau.sa plus grande réussite après son fils comme il aimait le dire. Le plus rapide de tous les navires. Il me la offert le jour de mes 16 ans après que j’ai tué mon capitaine. J’étais si fier d’être à la tête de cette merveille….je…

Je faisais un pause dans mon récit, c’était toujours douloureux d’évoqué ces souvenir. Je tremblais de colère, de rage, de haine, de rancœur. Comment pouvaient faire souffrir des être innocent.

- Je suis parti juste un moins, je n’aurais pas du partir. Rien ne serrais arriver si j’avais été là. J’aurais put le protéger, j’aurais du être la pour les protéger.

- Que c’est-il passé Jackson ?

- Je suis revenu pour le remercier de m’avoir offert ce bateau. Tout le village avait été mis à sec. J’ai courus, j’ai courus aussi vite que j’ai put pour le rejoindre…et je l’ai trouvé baignant dans le sang de son père. Gus avait tué son père devant ses yeux avant de le violer encore et encore, le laissant pour mort…merde il n’avait que treize ans. Comment peut ont faire cela à un telle ange. Son beau regard c’est alors éteint. Et son innocence perdue. Je l’ai serré dans mes bras aussi fort que je l’ai put. Je l’ai appelé encore et encore mais il ne parlait pas, il ne bouger pas. Il était comme une poupée de chiffon. Il m’avait enlevé mon Milan. Et j’ai juré de le tuer…

Je me laissais glisser le long de la balustrade dos à la mer levant les yeux au ciel.

- un jour son père ma fait juré que s’il lui arrivait quelque chose je devais prendre soin de son fils. Alors c’Est-ce que j’ai fait. J’ai enterré son père en jurant sur sa tombe de veiller sur son fils et de les venger. Durant des mois j’ai du dormir avec lui, calmer ses cauchemar, ses pleures. Je n’ai jamais revu cette lueur de bonheur ses yeux. Sauf lorsqu’il parle de Shawn. Tu devrais voire ses yeux pétiller de joie, il ni as rien de plus beau en ce monde. Tu tomberais sous son charme. C’est un ange que la noirceur de ce monde à souiller. Comme ton frère. C’est pour cette raison qu’ils s’aiment. C’est un amour des plus purs.

Je relevais la tête vers lui le fixant d’un regard noir. Il faisait un pas en arrière le regard terrorisé.

- Milan est mon frère fait le encore pleurait et tout l’amour que je te porte ne suffira pas à te sauver. J’ai juré de le protéger et je le ferrais quoi que cela m’en coute. Je lui ai déjà fait du mal, je ne veux plus jamais le voire souffrir. Je suis le pire des frères je n’ai pensé qu’à moi. Il souffrait et moi je ne voyais rien je connais la douleur de l’amour, je ne veux pas qu’il souffre autant que moi.

Je le vis s’approcher de moi mais mon regard l’en dissuadait aussitôt. Je ne voulais pas qu’il soit gentil avec moi, pas maintenant parce que ce n’était rien d’autre que de la pitié.

- Ce…le bateau tu devrais L’appelais Argos, je pense que c’est la plus belle chose que tu peux faire pour lui en mémoire de son père. Toi aussi tu dois me comprendre Shawn et mon frère et moi aussi je serrais capable de tuer pour lui.

- S’il te plait va lui parlais.

- Tout ce que je pourrais lui dire ne servirait qu’à lui faire plus de mal.

- Il n’est pas idiot contrairement à nous deux. Il comprendra. Sa lui fera mal mais il comprendra.

- En quoi somme nous idiot Jack.

- Tu as une copine qui t’attend au port et tu baise un pirate. Un homme que tu déteste.

- Je ne…

- Tout sa pour retrouvait ton frère. Et moi je pers ma dignité à chaque fois que je te laisse ma baiser. Tout sa parce que tu m’aveugle. Oui nous somme des idiots.

- Jacky je…

Je ne lui laissais pas le temps de répondre que j’avais déjà quitté les lieux. Je ne pouvais plus supporter sa présence.

J’étais devant la cabine de Milan existant à y pénétrer. Il allait sans nul doute me jetais dehors séance tenante. Shawn avait dit qu’il l’aimait. Je ne peux pas y croire, il ne pouvait pas être amoureux d’un pirate. Ce que n’avais raconté Jackson n’avais chamboulé. Il avait vraiment du souffrir et je me trouvais bien égoïste. Il avait connut toutes ses souffrance à cause de pirates alors pourquoi en était-il devenu un. Je tapais et une voix étouffer m’autorisait à entré. Il ouvrait de grands yeux étonnés en me voyant devant lui. À voire sa mine perdu et confuse je cru revoir mon jeune frère. Je prenais place à côté de li sur le lit, je posais ma main sur sa joue en essuyant ses larmes. Pourquoi je fais ça ? Il me fait tellement pensé à mon frère. Je veux tellement le revoir. Pouvoir le serrais à nouveau dans mes bras, sentir sa chaleur. Sa fait tellement longtemps que je ne l’ai pas vu. J’a l’impression que le temps efface son souvenir, son visage, sa voix, son odeur.

Je replaçais une de ses mèches de cheveux derrière son oreille, comme j’avais l’habitude de le faire avec mon petit frère.

- Je suis désoler Milan. Je n’aurais pas du être aussi méchant avec toi.

- je voulais le ramenais. Je ne voulais pas le lâchait mais ils m’ont prit par surprise. Je voulais pas…il…il va encore lui faire du mal…et je n’ai rien put faire…

Il pleurait encore, tout son petit corps était secouer de sanglots et j’avais envie de le prendre fort dans mes bras pour le consoler. Mais je restais con à le regardait.

- Il a dit qu’il me faisait confiance…que j’étais un ange. Mais j’ai été incapable de le protéger. Je suis sur qu’il me m’aime pas vraiment. Tu n’as pas à avoir peur.

- Milan pourquoi es tu devenu un pirate ?

- Pour être avec Jack pour le protéger, parce qu’il avait besoin de moi.

- Mais c’est un pirate.

- Oui mais il est tellement différent des autres. Il ne fait pas ça par simple plaisir, ni pour l’appât du gain. Lui ce qu’il aime c’est prendre la mer. Il veut juste pouvoir faire ce qu’il aime.

- Sa reste un pirate.

- TU NE LE CONNAIS PAS. S’EMPORTAIT-IL.

 

- Alors montre le moi avec tes yeux Milan.

- Non. Il ne voudrait pas.

- Raconte-moi comment il a avec toi.

Il baisait la tête, sa colère avait disparut. Il triturer ses doigts en regardant l’extérieur.

- il a toujours était la pour moi. Tous les jours j’allais m’assoir sur la plage et je fixais le large attendant de le revoir. Son capitaine avait une de ses poules dans le port alors ils venaient assez souvent. Mais pas assez souvent pour moi. J’attendais de voire les voiles de son navire. À chaque fois qu’il arriver il venait aussitôt me voire, les bras plein de cadeaux et il me serait fort dans ses bras. Et il passait des heures à me raconté toutes ces chose magnifique qu’il avait vu à travers ce monde. Il me faisait rêver. Il était vraiment diffèrent de ses pirates qui ce souler au port. Et…quand mon père et mort…

Il marquait une pose, je me doutais bien que ce devais être un souvenir difficile pour lui. Je me voulais pas le forçais à m’en parlais. Je n’avais aucunement le droit de le forçais.

- Il a toujours prit soin de moi. Il m’a toujours protégé. Je croyais l’aimer plus que comme un simple frère. Mais j’ai compris que ce n’était qu’une amitié trop débordante. Je l’aime tellement que je serrais prés à tout pour lui. Mais j’aime Shawn… je l’ai aimé dés le premier regard. Je suis sérieux. Je ne lui ferrais jamais de mal.

- Tu serrais prés à quitté ce bateau à quitté Jack pour Shawn ?

- Non c’est impossible. Je ne peux pas abandonner Jack. Il a besoin de moi.

- Et moi je ne peux pas laisser mon frère sur ce bateau.

- Je comprends. Je le sais depuis le début. C’est pour cela que je ne lui dirais pas que je l’aime. Je l’oublierais et lui aussi.

Je le forçais à relever la tête pour qu’il me regard. Si seulement je n’étais pas monté à bord de ce bateau.

- Comment est-il ? Raconte-moi comment il a. Si longtemps que je ne l’ai pas vu. Sa voix, son rire…s’il te plait parle moi de lui.

Il ce mit à rougir, il devait penser à mon frère. Il me fixait en silence. Il approchait sa main de moi la posant sur ma joue.

- Il te ressemble. Il a les mêmes yeux que toi. Ses cheveux son plus long.

Il faisait glisser ses doigts dans mes cheveux et je le laissais faire fermant les yeux essayant de m’imaginer mon jeune frère.

- sa peau et aussi blanche que le sable des iles des caraïbe, elle est si douce. Il est plus petit et plus fin que toi. Sa voix et aussi douce que le chant des oiseaux. Son sourire…il suffit de le voire sourire pour oublier tout le reste. Ses lèvres…ses lèvres son si douces…

Je sentais son souffle sur mes lèvres alors qu’il continuer de me parlais de mon frère. Je l’imaginer souriant, heureux comme lorsque l’on était encore ensemble. Lorsque l’on était heureux. Je sentais ses lèvres ce posaient sur les miennes j’ouvris grand les yeux alors qu’il s’écartait de moi rouge de confusion.

- Je suis désolé. Je…tu lui ressemble. Je suis désolé.

- Je…je vais aller…je vais te laisser. Tu devrais te reposer. T’as pris un sacré coup.

Je me levais pour sortir de la cabine. M’appuyant contre la porte. Je n’y crois pas, il venait de m’embrasser. Enfin il avait embrassé Shawn à travers moi. Il m’avait embrassé comme m’embrasser Jackson. Merde il était vraiment amoureux de mon frère. Et merde.

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Dimanche 2 mai 7 02 /05 /Mai 15:21

 

 

CHAPITRE 8 :

 

 

 

 

« La vie nous joue vraiment de sal tour. J’étais prétentieux, con, intéressait par mon seul nombril. Je passais mon temps à faire du mal au personne qui m’entourer. Je vivais dans un monde de lumière, j’étais aimer de tous, tous étaient à mes pieds, toutes ses femmes qui me désiré. J’étais habitué à être le centre d’attention, à être dans la lumière. Et il a fallu un regard, un effleurement, un baiser, une caresse, un souffle, un mot. Il avait suffit d’un simple instant pour que mon monde s’écroule et que les ténèbres m’ouvrent leurs bras. »J’étais assis sur le sol de cette chambre au je me sentais en prison, oppresser. Je voulais partir, fuir le plus loin possible de lui, de cette souffrance, mais j’en étais incapable c’était comme si des chaines invisible m’attacher à se lieu à cette homme. Et elle était si épaisse que rien ne pouvait les brise. Je m’étais pris une sacré claque en le rencontrant, et je n’arrivais pas en me relevais. Hier soir j’avais fait tout ça par amour et je me sentais tellement sale. Si répugnant. Je sentais encore ses mains sur mon corps. Je n’étais offert à lui juste pour qu’il m’aime un peu. Mais pour lui je ne suis qu’un jouet sans la moindre importance. Lorsqu’il ce lassera de ma présence il me jettera dehors comme le chien que je suis devenu. Je fermais les yeux et l’image de l’ange s’imposer à mes yeux. J’avais envie de le revoir même si je sais que je m’en aurais sans nul doute jamais l’occasion. Je ne me suis rien pour lui. Jamais je n’aurais crus pouvoir tomber amoureux d’un homme, d’un monstre. Connaissez-vous cette citation « quaerens quem devoret. »

 

 

 

 

Expression de saint Pierre pour caractériser le démon : « Tenez-vous sur vos gardes, car le démon, votre ennemi, tourne autour de vous comme un lion rugissant, cherchant quelqu'un à dévorer. » pour moi il était ce démon qui tournais autour de moi attendant de me dévoré. J’avais céder à mon désir juste une fois, cela c’était transformer en ce monstre assoiffer qui attendait tapis dans l’ombre de bondir et de punir ma faiblesse.

 

Je sursautais lorsque j’entendais la porte s’ouvrir. Depuis combien de temps est-ce que j’étais assit sur ce sol froid, des heures sans doute. Je relevais la tête pour le voire ce dressant devant moi, une assiette à la main. Pourquoi fallait-il qu’il soit aussi beau ? J’étais si misérable et lui si majestueux. Il portait encore un de ses costumes hors de prix. Il allait sans doute au travail. Non c’était dimanche, il ne travaillait pas. Il attendait sans nul doute quelqu’un.

- Tu as l’intention de restait tout la journée là. Mon frère vient alors va te préparé et fait toi beau.

- Oui maitre. Répondais-je d’un ton monocorde.

Il s’agenouilla devant moi et je fus surprit de le voire me tendre un coffret. Je fixais la boite étonné.

 

Je me levais avec peine pour sortir de la pièce alors que je sentais son regard brûlant sur moi. Mais je ni prêtais pas attention. Je savais très bien que la seule chose qui veut de moi c’est mon corps. Tout mon corps était douloureux. J’arrivais avec peine à me glisser dans la cabine de douche, le contact de l’eau chaude sur ma peau froide me fit frémir. Je fermais les yeux laissant l’eau détendre mon corps. J’avais envie de pleurait, mais aucune larmes me sortait de mes yeux. Alors j’attrapais à nouveau les ciseaux posait sur le porte savons entailler à nouveau ma chair. Ma vie n’avait pas vraiment d’importance, je n’étais qu’un simple jouet. Je fermais les yeux me laissant sombrait encore plus.

 

Je finis par le rejoindre une heure plus tard, j’avais bandé mon poigner pour caché mes blessures. J’avais enfilé un jean blanc, et un polo blanc. J’eu à peine le temps de leurs faire face qu’il m’envoyait une claque monumentale. Elle était si forte que je perdis l’équilibre et m’écroulait sur le sol.

- Merde je t‘offre un collier bleu et tu t’habille en blanc. Tu es con au quoi ?

- Pardon, je vais aller me changer.

Il m’attrapait par le menton pour m’obliger à relevait la tête. Pourquoi jouait-il de la sorte avec mon cœur. Il était si violent dans ses gestes dans ses mots, et pourtant là, dans cette façon qu’il avait de me tenir il était tendre. C’était ses simples moments de tendresse qui me rendait encore plus amoureux de lui. Suis-je donc devenu fou ?

- Je t’en pas le blanc te va si bien.

- Non j’ai eu la prétention de croire que cela pourrait m’aller. La seul couleur que je peux portait et le noir.

Pourquoi est-je mit ses vêtement qui me vont si mal. Je me sens si sale, si misérable. Il m’attirait un peu plus vers lui, frôlant ses lèvres des miennes, ce contact me rendait encore plus faible encore.

- Moi je trouve que le blanc te va à merveille mon ange déchut. Aller lève toi, il va arriver. Et tient toi tranquille.

- Oui.

- Tu ne m’appelle plus maitre ?

- Oui. Maitre.

- Hum j’adore ça. Sa m’existe.

Je me redressais, baissant à nouveau la tête, le point de ma honte m’empêchait de la relever. Cet homme ne faisait me sentir tellement pitoyable. J’entendis résonner la sonnerie de la porte d’entré et je n’eu pas vraiment le temps de le réaliser que Andy m’attrapait par le bras pour me tirait vers la porte. Il avait encre me présentait comme son petit chien bien obéissant.

- Salut grand frère sa fait plaisir de te revoir.

Cette voix était si douce, si chantante, pleine de vie. Et lorsque je l’avais entendu j’avais sentis mon cœur exploser. Cette voix je l’avais déjà entendu. Mais je devais être en train de rêver.

- Tu n’as pas changé Tenshi, toujours aussi beau.

- Sans doute. Dit c’est un nouveau ?

- Je te présente Jaylan mon nouveau petit chien. Aller Jay relève la tête et dit bonjours à mon frère.

 

« Il à suffit d’une secondes, d’un instant pour que je sombre encore plus. Le fin rayon de soleil qui avait réussit à percer les ténèbres qu’il avait érigé autour de moi venait de s’effacer. J’Y avait crut, durant quelques minutes j’avais crut qu’il pourrait m’aider. Mais je n’étais trompé, il ne deviendrait pas la lumière que je cherche temps. »

- Tien cadeau.

- C’est quoi ? Demandais-je en prenant le coffret d’une main tremblante. IL m’offre un cadeau, à moi qui n’ai rien d’autre d’une joue pour lui. J’ouvrir le coffret et le lâchais aussitôt en on découvrant le contenu. Un collier, un collier de chien. Je ne suis donc que cela pour lui. Il prit le collier, il était bleu foncer, je me faisais aucun mouvement alors qu’il s’approchait de moi pour attachait cette chose autour de mon coup. Il m’attrapait par le menton pour m’obliger à le regardait, alors qu’il affichait un regard satisfait et un large sourire.

- Comme ça tu m’appartiens. Personne ne peut passer les mains sur toi sans mon autorisation. Alors va te préparait et rejoint moi en bas. Ne me fait surtout pas honte.

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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