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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Mardi 27 avril 2 27 /04 /Avr 21:25

 

CHAPITRE 7 :

 

 

 

«  Je croyais que tu m’avait déjà tout fait subir Andy. j’étais loin de pensé que tu soit un être si démoniaque. Qui allait jusqu’à détruire les autre pour son simple plaisir. Est-ce que cela te faisait jouir de me voire souffrir ? »

 

 

J’étais allonger sur mon lit vêtu d’un simple boxer. Lorsque j’étais revenu Andy était dans le salon avec un de ses amis. Lorsqu’il n’a vu passé le regard de l’homme c’est fait désireux pervers. Et lorsque je les entendit parler je compris ce qui attendait de moi.

-

- J’ai un goût sur pour les choisir. Il est si étroit. Une vrai merveille. Il suce comme un dieu. Et tu sait le meilleur Max. ce petit con et amoureux de moi. Il irait me décroché la lune si je le lui demandais.

- Dit je peux joué avec lui ?

 

Maintenant j’attendais qu’il vienne ce servir. Je ne voulais pas que Andy me déteste alors je ferais ce qu’il me demanderais. Je voulais qu’il soit le seul à posé ses mains sur mon corps mais si je lui disais non il me mettra dehors et ce trouverait un autre jouet je ne veux pas je veux qu’il m’aime.

La porte de la chambre s’ouvrir et il entra un sourire pervers sur le visage. Ce qu’il peut être terrifiant lorsqu’il me regard de cette façon. Il s’approchais de moi, doucement sans parlais. Il ce contentait juste de me regardais. Chaque pas qu’il faisait en ma direction faisait s’emballer encore plus mon cœur. Lorsqu’il posais sa main sur ma joue je me mis à tremblais de plaisir. Je ressemblais à un toxico en manque de sa dose. Sa mains était si douce, si chaude. Si seulement elle pouvaient glisser sur mon corps avec amour et non avidité. Je fermais les yeux laissant sa chaleur ce ré-pendre dans mon corps.

- Pas besoin de faire tout cela. Fait le entré. De toute façon lui où vous c’est la même chose. Je ne suis qu’un jouet.

- Tu es bien docile aujourd’hui mon petit Jay. Met y un peu du tient beau blond. Avoir deux mec juste pour toi. Tu ni as jamais pensé. Gourmand comme tu es ?

- J’en jubile d’avance.

Andy s’asseyait sur mon bassin, prenant mes lèvres avec violence. Il frottait son bassin au mien et je fermais les yeux le laissant faire. Pourquoi est-ce que je suis incapable de le repousser ? Pourquoi ne puis-je pas me défaire de son emprise. Je voudrais tellement pouvoir m’enfuir. Partir loin de ses bras qui me serrais si fort que j’avais l’impression de nourrir. Je glissais mes bras autour de son cou. Répondant à son baiser. J’étais tellement perdu dans ce baiser que je n’avais pas entendu la porte s’ouvrir. Je compris qu’il était là lorsque je sentis le lit s’affaissé, et Andy ce décalé pour venir s’assoir sur mon torse, ses lèvres ce détachaient des miennes me faisant gémir de frustration.

- Tu va voire Jay. Il va tellement bien te baiser que tu en redemandera. Je veux te voire jouir avec une autre bite que la mienne dans ton cul. Toi qui te disait hétéro.

 

Je fermais les yeux lorsque je sentis des lèvres ce posait sur mon sexe, elles étaient chaude, douce. Elles m’enveloppaient de leur chaleur. Andy venait s’assoir à côté de moi me laissant voire cette inconnu qui était entrain de me sucer. J’admirais sa beauté, ses cheveux brun, sa peau hâlé. Il me faisait pensé à cette inconnu que j’avais rencontrais. À cette ange. Mais lorsqu’il ouvrir les yeux je compris que ce n’était pas lui. Les yeux de mon ange n’étaient pas bleu. je sentis deux de ses doigts me pénétrais mais j’en oubliais la douleur lorsque Andy posait ses lèvres sur les miennes. Dés qu’il m’embrassé plus rien n’avais d’importance à mes yeux et j’étais prés à faire tout ce qu’il voulais juste pour sentir ses lèvres sur les miennes. Je sentais les doigts de cette homme bouger en moi. Je m’imaginer que c’était mon amour qui allait me faire l’amour. Et à cette vision je me libérais entre ses lèvres.

- Alors mon ange déchut. Il suce bien. Et t’as pas tout vu encore. Tu veut qu’il te baise ?

- Oui répondis-je dans un souffle, douloureux et désireux. Je devais faire ce qu’il voulait pour qu’il ne ce détourne pas de moi.

- Alors demande le lui.

- Non…

- Demande où ont ira voire une autre pute.

Je me redressais l’attirant à moi pour l’embrassé avec passion, avant de relâchais ses lèvres. Il semblais avoir aimait ce baiser. C’est vrai que l’ont ma souvent dit que j’embrassé bien.

- Baisez moi.

- Il reste poli même en demandant ça. Il est trop mignon. C’est maxime tu peut me tutoyais.

- Alors baise moi maxime, bien à fond. Fait moi crier comme une chienne. J’attend que ta grosse bite dans mon cul bien serrer. Je mouille juste à l’idée que tu me saute. J’suis en chaleur. Enfonce la moi bien profonde.

- Putain il est trop bandant celui la. Je comprend pourquoi tu la choisit.

Il me plaquai contre le matelas avec force, n’écartait les jambes et me pris son plus attendre. Je criais de douleur mais lui me s’en souciait pas, il était la pour me baiser. Peut à peut le plaisir se répondait dans mon corps. Il avait raison je me suis qu’une pute.

- Alors d’aime qu’il te saute ? Me demandais Andy en mordillant mon oreille.

-Ta…ta queue.

- Tu veux me sucer ?

- oui. 7

Si je me fais baiser autant y aller à fond. Il ce redressait et je put prendre son sexe en bouche alors que Maxime continuait de me baiser. Ils criaient tout deux de plaisir. Moi je laissais couler des larmes silencieuse. Andy ce libérait entre mes lèvres alors que Maxime jouissait en moi. Il n’avait même pas ni de capote.

- Putain t’avait raison…elle est trop bonne cette pute.

Je me redressais et alla me planter devant lui, à quatre patte, son sexe était encore tendu. Je posais ma langue sur son gland brûlant le faisant gémir de plaisir.

- t’en veut encore ? Demandait Andy en me caressant l’anus y enfonçant ses doigts.

- Chaqu’un son tour pas de jaloux. Répondais-je d’une voix cassé par la tristesse avant d’engloutir son sexe, sentant Andy me pénétrais avec violence.

 

 

Sa avait durer des heures, ils m’avaient pris encore et encore. Puis lorsqu’ils avaient bien prit leur pied ils étaient partis. Sans un mot, sans un regard, me laissant seul sur mon lit maculais de sperme. Je me sentais si sal, répugnant. Je me recroquevillais sur moi-même laissant couler mes larmes. J’ai tellement mal.

 

 

« Ce jours la je suis vraiment devenu une pute à son service. Sa était dur de ma l’avoué mais c’Est-ce que j’était. Je l’aimais au point de tout accepter pour lui. Je ‘aimais alors pourquoi est-ce que cette nuit c’est en pensant à toi, à tes yeux, à ta voix que je me suis endormis. Je souhaitais tellement te revoir. J’étais loin de me douté qui tu était, et encore moins que nos chemin n’allaient pas tarder à ce recroisé. Pour mon plus grand malheur. »

 

 

 

 

 

 

 

 Il est vraiment bandant ton nouveau jouet Andy encore plus que celui d’avant.
Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Mardi 27 avril 2 27 /04 /Avr 21:17

CHAPITRE 36 :

 

 pov jackson.

 

 

Je sortais de ma cabine laissant Adrien seul. Je cherchais mon ami des yeux le cœur au bord des lèvres que lui arrivait-il ? J’eu un haut de cœur en le voyant assit sur le sol aussi blanc qu’un linge, du sang sur son beau visage et ses douces mains. Je me laissais tomber devant lui le regardant en tremblant, de peur, de colère en vers moi de l’avoir laisser seul, en colère contre ceux qu’il lui avait fait ça.

- Mil que c’est-il passé ?

- Il était dans mes bras…sa voix était faible alors que tout son corps tremblais. Il était si prêt de moi…et ils me l’ont à nouveau enlevé…j’ai été incapable de le protéger… je ne suis qu’un bon à rien…

Il ce mit à pleurais son petit corps tremblant encore plus, je le serrais aussi fort que je le pouvais dans mes bras.

- Milan arrête de pleurais. On va le retrouvait je te le jure et tu pourras à nouveau le serrait dans tes bras.

- Il…il m’a dit qu’il m’aimait…et je n’ai même pas put lui répondre…je…je voulais tant…tant lui dire que je l’aime moi aussi.

- De qui parle t-il ? Demandais Adrien d’une voix froide alors que e sentais Milan ce tendre entre mes bras.

- De ton frère. Répondais-je sans le regarder. Je savais très bien ce qu’il en pensé et en n’eu pas à attendre beaucoup avant qu’il ne manifeste son opinion avec virulence.

- Tu n’es qu’un menteur. Il ne peut pas être amoureux de toi. Pas d’un homme, pas d’un pirate. Pas de toi.

Milan ce détachait de mes bras, je voulus le retenir mais il était bien trop rapide. Il parti s’enfermer dans ses cabine pour pleurait seul. Je me retournais vers Adrien le fusillant du regard. Ce que je peux le détesté quand il est comme ça.

- C’EST VRAI QU’UN HOMME NE PEUT PAS EN AIMAIT UN AUTRE. SURTOUT PAS UN ÊTRE AUSSI REPUGNANT QU’UN PIRATE. ALORS FAUT LE CAMPS DE CE BATEAU COMME SA TON FRERE NE POURRA PAS REVOIR MILAN. MERDE COMMENT JE PEUX AIMAIS UN CONNARD COMME TOI.

Je me redressais pour passé à côté de lui, la tête haute, sans lui accorder le moindre regard. Hors de question que je perde la face devant mon équipage. J’étais un pirate et j’en étais fier. Il venait de m’assener une nouvelle claque me rappelant qu’il ne m’aimait pas. J’aurais voulut allais voire Milan mais il doit avoir envie d’être seul.

 

 

 pov milan

 

.

- Je t’aime Shawn mais cet amour est impossible.

 

 

Je serrais prés à mourir pour lui. Mais Adrien va me l’enlever et je ne pourrais rien y faire. Entre son frère et moi le choix était vite fait.

 Adrien avait raison, il me pouvait pas m’aimer, j’avais du me faire des idées. J’étais un homme et qui plus est un pirate. C’était juste un sentiment de reconnaissance. J’étais le seul à être amoureux. Je n’aurais jamais crut être capable d’aimais une autre personne que Jack et pourtant je suis tombé sous son charme dés le premier regard

pov shawn.

 

Ils n’avaient arraché à ses bras encore une fois. On avait eu tellement peut de temps. Il n’avait embrassé sa avait été si bon, mais tellement court. Il m’avait retrouvé et il n’avait enchainé, frappé, et pour me punir il avait à nouveau laissé ses hommes me violer alors qu’il regard. Cette homme et inonde il dit m’aimais mais on ne fait pas ce genre de chose à la personne que l’ont aime.

- Milan…aide moi…ne…m’abandonne pas…je t’aime.

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Mercredi 21 avril 3 21 /04 /Avr 16:59

 

 

CHAPITRE 4 :

 

 

Tout le gratin de la société était réuni pour cette soirée organisé au métropolitan museum of art. C’était une œuvre de charité comme adorait en organisé les gens de la haute pour bien ce faire voire. Costard cravate était de rigueur. Courbette, sourire commercial et bassesse était aussi invité à la fête. Valentin venait d’arrivé avec son père, toutes les jeunes femmes présente ce retournaient sur le passage de ce bel homme. Le savoir inaccessible était encore plus intéressent. Il portait un costume blanc qui lui allait à merveille, il avait laissé la cravate au vestiaire aux plus grands désarrois de son père. Il faisait tout pour ce faire remarqué dans le mauvais sens du terme bien sur. Mais lui ne semblait pas s’en soucier, s’il avait bien hérité quelque chose de son père c’était bien cette arrogance. Il était tellement sur de lui, un peu trop dés fois c’était ce qui lui portait préjudice. Mais bon tout le monde s’emblait l’adoré. Il savait attirait la sympathie des autres. Ce qui était un atout de taille dans ce monde de requins.

- Mr. Mc GREGOR comment aller vous ?

- à merveille monsieur le maire. Et vous ?

- Très bien. Belle soirée n’est-ce pas ?

- Très réussit.

- Je vois que votre fils déchaine toujours autant les passions. Ma fille regrette de voire un si bon parti être de l’autre bord.

- Oui je le regrette aussi croyez moi. Mais c’est mon fils alors je l’accepte comme il est. Jeune et fougue.

 

Valentin était en train de parlait. Non de littéralement dragué le petit fils de je ne sais quel homme politique. À vrai dire il m’en avait rien à faire tout ce qu’il voyait c’était sa belle petite gueule et son jolie petit cul. Et le petit brun ne semblait pas indifférent. Il rougissait à chaque fois que le blond lui faisait un compliment, qu’il s’approchait trop de lui, qu’il le frôlait. C’était trop mignon en aurait dit une petite vierge. Pourquoi Vladimir ne réagissait-il pas comme ça ? Peut être qu’il n’était pas si puceau que ça le bougre. Il s’approchait de lui collant son corps contre le sien pour aller lui murmurait à l’oreille.

- Tu sais que t’ai vraiment mignon. J’ai envie de te faire plein de choses pas très catholiques.

- Je…je…on ne peux pas...maintenant.

- Alors en leurs fausse compagnie et en va ce faire du bien.

- je…

Il fut coupé dans sa phrase par des murmures montant dans la salle.

- Regard c’est lui ce qu’il est beau.

Valentin ce retournais vers l’entré de la salle et vit avec ravissement Vladimir entrait dans l’immense salle. Et il était sublime, il ce dresser avec prestance vêtu de noir. Un costume qui avait du couté incroyablement cher. Mais peut importe ce qu’il portait sa lui allait à ravir. C’était fou l’aura qu’il dégagé. Juste en ce tenant la immobile. Son attitude froide et détacher était dés plus attirante en avait-il seulement conscience ? Il était au côté de son père. Son père aussi avait était un très bel homme dans sa jeunesse. Il était toujours attirant mais vieillissant et la beauté de son fils ne l’arranger pas.

- Je reviens poussin.

Valentin ce dirigé vers les deux nouveaux arrivant un sourire provocateur aux coins lèvres, son sujet de distraction favori venait de faire son entré et la soirée devenais tout de suite bien plus intéressante. Vladimir ne semblait même pas l’avoir remarquait, et sa lui donnait envie de le faire encore plus chier. Il allait dire quelque chose lorsqu’il ce sentis attirait en arrière et la voix de son père s’élevais interrompant les murmures.

- Tiens donc Douglas et son puceau de fils.

- Tiens donc Mc Gregor et son fils à la cuisse légère. Dit moi qu’es ce que sa fait de savoir que ton fils ce fait prendre comme une femme ?

- Pour information mon fils et un actif.

- mais je ne serais pas contre le fait de me faire prendre par votre fils.

Cette simple phrase eu pour effet de braqué tout les regards sur lui, mais il me s’en soucier pas, il avait en moins attirait l’attention de Vladimir qui le fixait avec son habituel détachement et sa fit s’agrandir son sourire le jeu pouvait enfin commençais.

- Alors beauté en vient avec son papa chéri.

- il semblerait que nous soient dans la même situation étant donné que tu es aussi avec ton père.

- Déride-toi Vlady. T’es vraiment pas marrant du tout. Alors gueule d’amour à tu repensé à notre petite conversation dans le parc.

- Pourquoi y aurais-je donc repensé ?

- je t’ai fait une promesse. Tu t’es fait beau pour moi ?

- Je ne me suis en aucun cas fait beau. Je suis juste habiller pour l’occasion. Voudrait tu s’il te plait avoir l’obligeance de me pas m’importuné avec tes discoure affabulateur.

- Que de grands mots sortant d’un si joli bouche. Sa me donne envie de te mangé les lèvres.

- Sa suffit. Intervenait le père de valentin hors de lui. Cesse donc de parlais à ce cloporte insignifiant.

- Je crois que c’est plutôt ton fils le cloporte insignifiant. Pour le mien de tout le monde évitons-nous pour le reste de la soirée. Vient avec moi.

- Oui père.

Vladimir emboita le pas de son père, comme le gentil fils bien obéissant qu’il était. Il fut surpris d’être tiré en arrière par Valentin, qui ce collait à lui, pour aller lui glisser a creux de l’oreille.

- Il y a un espion chez vous.

- Pourquoi me dire cela ?

- parce que je veux jouer dans les règles sans tricher. Jamais de triche. Alors règle le problème Vlady.

- sa sera fait. Merci.

- Sa mérite une récompense.

- Tu veux savoir quelque chose Valentin.

- Non je sas je te rends fou.

Vladimir le fixait sans rien répondre avant de détourner les talons pour partir. Le blond le regardait s’éloigner, encore une fois il n’était pas parvenu à le faire sortir de ses gonds. Ce mec était vraiment imperméable à tout. Il allait tous faire pour voire ce masque de froideur disparaitre de son visage.

 

 

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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Mercredi 21 avril 3 21 /04 /Avr 16:57

 

CHAPITRE 3 :

 

 

Quel n’avait pas été sa surprise en voyant Vladimir assit sur un banc en train de lire un journal. Jamais il ne l’avait vu dans ce parc alors qu’il travailler juste à côtés. Il me sortait de son laboratoire. Sauf pour des conférences de presse, aux des choses en rapport avec le boulot. Il avait aussi été très étonné de le voire dans ce bar avant-hier soir. Ce mec ne profitait pas de sa vie. Il ne vivait que pour son travail, pour son père. Et sa l’énervé, il aurait voulut le faire sortir de sa léthargie sentimentale. Il avait envi de le taquiner comme lorsqu’ils étaient jeune, avant qu’il me rentre dans le monde du travail. Avant que tout ne change.

- alors tu es enfin sorti de ta tanière ?

Il relevait sur lui ses beaux yeux verts, son regard ne reflétait rien de ce qu’il pouvait penser ou ressentir. Ses yeux n’avaient jamais rien montré de ses sentiments. Sauf lorsqu’il était dans ses bras. Cette nuit qui avait était bien trop courte.

- Et toi que fait tu ici de si bonne heure ? Tu es bien matinal.

- Je suis toujours très matinal après une nuit de sexe endiablé mais tu ne sais pas de quoi je parle monsieur le puceau en chef.

- Je suis fier d’être encore puceau. Je ne cherche en aucun cas à avoir une simple aventure.

Valentin ce laissait tombé à ses côté posant son bras sur le dossier du banc, derrière le coup de son rivale. Il ce rapprochait de lui pour lui murmurait à l’oreille.

- Mais ton petit cul lui n’es plus puceau. Pendant toute la nuit je t’ai pris encore et encore et tu as adoré ça.

Vladimir ce retournait vers lui, ne perdant pas son regard impassible.

- Tu mens Valentin. À si non j’aurais eu mal aux fesses.

- C’est trop mignon ce que tu dis. Dommage t’as un cul de rêve. Alors comment avance ce projet.

- C’est classe secret. Je ne peux pas en parlais. Et surtout pas avec toi. Alors je vais retourner travailler.

- C’est ça. Retourne voire ton papa chéri. Et n’oublie pas la réception de samedi. J’y serais avec mon père. Sa promet d’être fort intéressant. Fait toi beau parce que cette fois tu passeras bien à la casserole. Murmurait-il à son oreille en faisant glisser ses doigts le long de sa cuisse. Le brun le laissait faire sans rien dire. Il ne répondait jamais à ses provocations de toute façon. Il était tellement passif. Et ce qu’il était pareille au lit ? Bonne journée bel homme.

Il le levait pour partir alors que Vladimir reprit sa lecture sans ce soucier du blond qui s’éloigner. On lui avait appris à le détesté mais lui il s’en moqué de cette haine il voulait juste qu’il sorte de sa vie. Il n’en avait rien à faire de cet homme. Il ne représentait rien de plus qu’un obstacle sur son chemin.

 

 

- Salut tout le monde. S’écriait valentin en entrent dans le laboratoire au ses collègue était déjà au travail.

- Le patron veut te voire.

- Ok pas de bêtise pendant mon absence.

 

 

Il entrait dans le bureau de son père sans prendre la peine de frappé. Il trouva son père assit derrière le bureau qui le fixait avec colère. C’était encore un très bel homme pour ses 54 ans, ses cheveux gris non dissimuler lui donnait un charme fou. Il avait la posture l’assurance d’un homme de la haute société. Il était respectable et craint. Mais en lui valentin ne voyais qu’un père bien trop exigeant et très peu aimant.

- Bonjours papou chéri.

- Valentin ne m’appelle pas de la sorte comme les roturiers.

- Ce que tu peux être vieux jeu.

- Et si tu pouvais être un meilleur fils.

- Que veux-tu de plus. Je t’en ai déjà donné assez.

- Je veux un héritier et je veux que tu te marie.

- Alors la jamais. Je suis gay père accepter le où ma place n’es pas ici.

- Quand cesseras-tu de bafouer ainsi le nom de notre famille. Si tu n’étais pas l’avenir de cette société je t’aurais jetait dehors depuis bien longtemps déjà.

- je m’attends que cela.

- Comment avance le projet « avenir » ?

- Quel nom stupide. Ça avance doucement.

- Tu prends cela bien trop à la légère. Je refuse de perdre contre cet homme.

- Cet lutte n’est pas la mienne père. En es face à un mur. Nous n’arrivons pas à lui faire ressentir quoi que ce soit. Les capteurs de son corps ne transmet aucune information autre que le touché à son cerveau. Il ne ressent ni le chaud, ni le froid, ni les différentes surfaces. Rien et il n’as aucun sentiments.

- Nous somme en retard. J’ai une source chez la New technology and robotics qui certifie que leur androïde peut faire la différence entre les températures, les matières, mais il n’éprouve encore aucuns sentiments.

- Je n’en ai pas encore fini avec toi. Reste ici.

Mais il avait déjà quitté le bureau, il venait de perdre sa bonne humeur. Comment Vladimir pouvait-il supportait une obéissance sans limite, il faisait la fierté de son père. Alors que le sien le méprisé. Chaque jour il avait envie de partir loin d’ici. Il ni avait qu’une seul chose qui l’en empêchait. Juste une fois, il voulait voire Vladimir sourire, juste une fois.

 

 

 

 

- Vous avait placé un espion. C’est une technique épouvantable. Je ne te croyais pas capable de faire de telles choses justes pour gagner.

- Si mon fils n’était pas un bon à rien je n’aurais pas besoin de faire cela. Tu es la honte de la famille.

- Bien sur. Ce que vous ne supportait pas c’est l’idée que je sois bien meilleure que tu l’as été. La discutions et terminé père. J’ai du travail.

Par Amako - Publié dans : fic qui n'as pas encore de titre.
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Mercredi 21 avril 3 21 /04 /Avr 16:55

 

 

CHAPITRE 35 :

 

 

 pov Milan

- Milan.

Il était là. J’avais tellement de mal à le croire, je l’avais dans mes bras. Je l’avais embrassé son vraiment réfléchir, j’en avais juste terriblement envie. Et c’était encore bien mieux que dans mes rêves. Ses lèvres étaient si douces, il embrassait tellement bien. Ma langue caresser la sienne, elle ce mêler avec douceurs, s’enroulant, ce caressant, ce frôlant, ce cherchant. Il avait enroulé ses jambes et ses bras autour de moi répondant à mon baiser. Je crois que je lui ai fait peur. J’aurais peut être pas du l’agripper de la sorte. Mais lorsque je l’ai vu courir à travers de la foule, je l’ai tout de suite reconnu, je me voulais pas le perdre de vue alors je lui ai courut après pour l’attrapait et l’entrainer dans cette ruelle. Je n’aurais pas cru qu’il aurait répondu à mon baiser mais si et c’était incroyablement bon. Je relâchais ses lèvres à bout de souffle le serrant encore plus fort dans mes bras.

- Milan.

L’entendre prononçais mon noms c’était tellement bon.

- Shawn…tu m’as tellement manquais.

- Toi…aussi tu m’as manqué. Me laisse plus…s’il te plait me laisse plus. Il ma fait tellement de mal. Je penser à toi pendant qu’il ce servait de moi pour…pour…

- Chut pas besoin de le dire.

- Milan…je crois…que je t’aime…c’est mal tu crois ?

Je sentais mon corps battre la chamade, je n’arrivais pas à y croire. Il venait bien de me dire qu’il croyait m’aimais. Et moi qu’est-ce que je ressens vraiment pour lui ? Je ne trouvais pas d’autre réponse que celle de l’embrassé à nouveau. Je ne voulais pas le laisser repartir, je refusais de le perdre.

- Je…

Je n’eu rien le temps de dire que je sentais un coup sur mon crame alors qu’en me l’arrachais des bras et je sombrais dans les ténèbres.

 

 

 pov jakson

 

J’avais fini par me rendormir, je fus réveiller par de douce caresse sur ma peau, j’ouvrais les yeux pour voire Adrien qui me regardais en souriant. Je me blottissais contre lui enfonçant mon visage dans le creux de son cou.

- alors.

- aucune trace de lui. J’avais vraiment espoir de le revoir. Je suis revenu.

- Parce que tu as encore besoin de moi.

Je posai mes lèvres sur les siennes, il entrouvrait les siennes me laissant aller joué avec sa langue, je me serrais d’avantage contre lui, je glissais mes mains le long de son dos jusqu’à ses fesses, je l’ai frôlaient à peine que je le sentais ce tendre, je les retirais aussitôt. Je ne pourrais jamais connaitre le plaisir de faire l’amour à l’homme que j’aime. Je ne devais pas oublier qu’il ne m’aimait pas. Oui il était revenu mais c’était juste parce qu’il avait encore besoin de mon aide. Et surtout pas pour être avec moi. Je me redressais entourant mes jambes de mes bras regardant l’extérieur. C’était une belle journée la mer était calme. Si je savais nager j’aurais aimé y sauté dedans. Je souriais en regard l’étendu bleu. N’étais ce pas l’une des plus belles choses de ce monde. La plus grande merveille de notre monde. N’est-ce pas la chose la plus puissante, la plus dévastatrice de ce monde. Cette immense étendu refermer tant de merveilles, tant d’endroit encore inexploré. C’était pour les découvrir que j’avais voulu navigué et j’avais fini par me perdre dans ses deux lagons.

Je fus sorti de mes pensés lorsque je sentais ses deux bras ce glisser autour de mon corps. Ses mains caressaient mon torse avec douceur, me faisant frémir. Ses lèvres embrassaient ma nuque. Je fermais les yeux me laissant aller entre ses bras. J’aimais tellement lorsqu’il était tendre.

- Que ce passe t-il Jackson ? Tu es bizarre ses derniers jours. Tu deviens distant. Comme si tu cherché à t’éloigner de moi.

- Non. Tout ce que je veux c’est me rapprochais plus encore de toi. Mais toi tu ne semble pas le vouloir. Alors je préfère ne pas devenir trop proche de toi pour ne pas être le seul à en souffrir.

Il resserrait encore plus son étreinte autour de mon corps gardant le silence. Je savais très bien pourquoi il ne disait rien. Parce qu’il savait que j’avais raison.

- Dit Jacky.

- Hm ?

- Pourquoi m’as t’il pas de noms ton bateau. Tous les bateaux en un nom.

- Je n’ai jamais vraiment eu envie de lui donné un nom.

- Comment à tu eu ce bateau.

- C’est une longue histoire.

- j’ai le temps.

- C’est…

- CAPITAINE MILAN EST BLESSER.

 

 

Milan encore et toujours lui. Il s’arrachait de mes bras pour s’habiller. Pourquoi donc toi t-il toujours être dans nos pattes. Je le déteste. Jackson peut bien être amoureux de moi mais dés que Milan apparait, moi je disparais.

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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