Mercredi 21 avril
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CHAPITRE 3 :
Quel n’avait pas été sa surprise en voyant Vladimir assit sur un banc en train de lire un journal. Jamais il ne l’avait vu dans ce parc alors qu’il travailler juste à côtés. Il me sortait de son
laboratoire. Sauf pour des conférences de presse, aux des choses en rapport avec le boulot. Il avait aussi été très étonné de le voire dans ce bar avant-hier soir. Ce mec ne profitait pas de sa
vie. Il ne vivait que pour son travail, pour son père. Et sa l’énervé, il aurait voulut le faire sortir de sa léthargie sentimentale. Il avait envi de le taquiner comme lorsqu’ils étaient jeune,
avant qu’il me rentre dans le monde du travail. Avant que tout ne change.
- alors tu es enfin sorti de ta tanière ?
Il relevait sur lui ses beaux yeux verts, son regard ne reflétait rien de ce qu’il pouvait penser ou ressentir. Ses yeux n’avaient jamais rien montré de ses sentiments. Sauf lorsqu’il était dans
ses bras. Cette nuit qui avait était bien trop courte.
- Et toi que fait tu ici de si bonne heure ? Tu es bien matinal.
- Je suis toujours très matinal après une nuit de sexe endiablé mais tu ne sais pas de quoi je parle monsieur le puceau en chef.
- Je suis fier d’être encore puceau. Je ne cherche en aucun cas à avoir une simple aventure.
Valentin ce laissait tombé à ses côté posant son bras sur le dossier du banc, derrière le coup de son rivale. Il ce rapprochait de lui pour lui murmurait à l’oreille.
- Mais ton petit cul lui n’es plus puceau. Pendant toute la nuit je t’ai pris encore et encore et tu as adoré ça.
Vladimir ce retournait vers lui, ne perdant pas son regard impassible.
- Tu mens Valentin. À si non j’aurais eu mal aux fesses.
- C’est trop mignon ce que tu dis. Dommage t’as un cul de rêve. Alors comment avance ce projet.
- C’est classe secret. Je ne peux pas en parlais. Et surtout pas avec toi. Alors je vais retourner travailler.
- C’est ça. Retourne voire ton papa chéri. Et n’oublie pas la réception de samedi. J’y serais avec mon père. Sa promet d’être fort intéressant. Fait toi beau parce que cette fois tu passeras bien
à la casserole. Murmurait-il à son oreille en faisant glisser ses doigts le long de sa cuisse. Le brun le laissait faire sans rien dire. Il ne répondait jamais à ses provocations de toute façon.
Il était tellement passif. Et ce qu’il était pareille au lit ? Bonne journée bel homme.
Il le levait pour partir alors que Vladimir reprit sa lecture sans ce soucier du blond qui s’éloigner. On lui avait appris à le détesté mais lui il s’en moqué de cette haine il voulait juste
qu’il sorte de sa vie. Il n’en avait rien à faire de cet homme. Il ne représentait rien de plus qu’un obstacle sur son chemin.
- Salut tout le monde. S’écriait valentin en entrent dans le laboratoire au ses collègue était déjà au travail.
- Le patron veut te voire.
- Ok pas de bêtise pendant mon absence.
Il entrait dans le bureau de son père sans prendre la peine de frappé. Il trouva son père assit derrière le bureau qui le fixait avec colère. C’était encore un très bel homme pour ses 54 ans, ses
cheveux gris non dissimuler lui donnait un charme fou. Il avait la posture l’assurance d’un homme de la haute société. Il était respectable et craint. Mais en lui valentin ne voyais qu’un père
bien trop exigeant et très peu aimant.
- Bonjours papou chéri.
- Valentin ne m’appelle pas de la sorte comme les roturiers.
- Ce que tu peux être vieux jeu.
- Et si tu pouvais être un meilleur fils.
- Que veux-tu de plus. Je t’en ai déjà donné assez.
- Je veux un héritier et je veux que tu te marie.
- Alors la jamais. Je suis gay père accepter le où ma place n’es pas ici.
- Quand cesseras-tu de bafouer ainsi le nom de notre famille. Si tu n’étais pas l’avenir de cette société je t’aurais jetait dehors depuis bien longtemps déjà.
- je m’attends que cela.
- Comment avance le projet « avenir » ?
- Quel nom stupide. Ça avance doucement.
- Tu prends cela bien trop à la légère. Je refuse de perdre contre cet homme.
- Cet lutte n’est pas la mienne père. En es face à un mur. Nous n’arrivons pas à lui faire ressentir quoi que ce soit. Les capteurs de son corps ne transmet aucune information autre que le touché
à son cerveau. Il ne ressent ni le chaud, ni le froid, ni les différentes surfaces. Rien et il n’as aucun sentiments.
- Nous somme en retard. J’ai une source chez la New technology and robotics qui certifie que leur androïde peut faire la différence entre les températures, les matières, mais il n’éprouve encore
aucuns sentiments.
- Je n’en ai pas encore fini avec toi. Reste ici.
Mais il avait déjà quitté le bureau, il venait de perdre sa bonne humeur. Comment Vladimir pouvait-il supportait une obéissance sans limite, il faisait la fierté de son père. Alors que le sien le
méprisé. Chaque jour il avait envie de partir loin d’ici. Il ni avait qu’une seul chose qui l’en empêchait. Juste une fois, il voulait voire Vladimir sourire, juste une fois.
- Vous avait placé un espion. C’est une technique épouvantable. Je ne te croyais pas capable de faire de telles choses justes pour gagner.
- Si mon fils n’était pas un bon à rien je n’aurais pas besoin de faire cela. Tu es la honte de la famille.
- Bien sur. Ce que vous ne supportait pas c’est l’idée que je sois bien meilleure que tu l’as été. La discutions et terminé père. J’ai du travail.
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