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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Mardi 13 avril 2 13 /04 /Avr 10:28

EPILOGUE :

 

 

Il faisait beau, le soleil brillait haut dans le ciel, les oiseaux chantaient. Aujourd’hui, le château était en fête. C’était la remise des diplômes, la fin des études pour les jeunes diplômés.

Un beau roux d’environ dix huit ans était assis au bord du lac, fixant l’étendue bleue en souriant. Il fut sorti de ses pensées lorsque des gouttes d’eau coulèrent sur lui. Pourtant, il ne pleuvait pas. Il releva la tête tombant sur un visage souriant et les deux plus beaux lagons qu’il lui avait été donné de voir. Bien plus envoûtant que ce lac.

- Tu es encore en retard mon amour. Murmura-t-il en caressant ce visage tant aimé du bout des doigts.

- Pardonne moi je nageais, je n’ai pas vu le temps passer. Répondit-il en s’agenouillant devant lui. Je suis sorti parce que je me languis de toi.

- Hm, si tu m’embrasses, je te pardonne.

- Tu m’as déjà pardonné.

- Embrasses-moi.

Le bond glissa sa main en douceur sur sa joue, jusqu’à sa nuque l’attirant contre lui pour ravir ses lèvres avec douceur. Le roux noua ses bras autour de sa nuque s’allongeant sur le sol, l’attirant sur lui l’embrassant avec fougue.

- J’ai trop envie de toi mon amour, t’es si bandant quand tu sors de l’eau comme sa.

- Il faudra attendre ce soir.

- Hm, moi j’ai envie que tu ne fasses l’amour maintenant.

- On va être en retard à la remise des diplômes, mon cœur. Ne fais pas l’enfant, ils nous attendent.

- Si tu étais sorti avant, on aurait eu le temps de faire l’amour. Tu préfère ce lac à moi.

- Ne sois pas idiot, tu sais que je t’aime plus que tout au monde. Répondit-il en l’embrassant à nouveau avec douceur le serrant contre lui.

- T’as intérêt à être à la hauteur ce soir pour te faire pardonner.

- Je t’enverrai au paradis.

 

 

- Hey ! Joël, Ronald, on est là, cria Angel en leur faisant de grands signes alors que Davis assis à ses côtés se contenter de les regarder en souriant, gardant son petit ami dans ses bras. Ronald prit la main de son petit ami en lui souriant, l’entrainant à sa suite jusqu’à leur place.

- encore en retard, Ronald, tu n’en loupes pas une.

- Hey ! Ce n’est pas de ma faute, on n’a même pas eu le temps de faire l’amour.

- Et t’es frustré parce que t’as pas eu ta dose de queue.

- T’as tout compris Davis.

Joël essaya de cacher sa gêne. Décidément, il était vraiment bien plus expressif que lui, il n’avait pas peur d’afficher ouvertement ce qu’il ressentait.

 

Ils avaient à présent 18 ans. Deux ans que le tournoi s’était déroulé, et dès demain, ils quitteraient l’école leur diplôme en poche. De nouvelles aventurse les attendaient.

 

 

- Mon amour.

Joël se redressa plongeant son regard dans celui de son beau roux le regardant en souriant caressant son visage avec douceur faisant frémir Ronald qui vint se blottir dans ses bras soufflant de bien être.

Sur les murs de la chambre si vide la première fois que Ronald était venu, on pouvait à présent voir des centaines de croquis de Ronald, d’eux, d’Angel et Davis et des photos de ses deux années écoulé.

- Qu’est-ce qu’il y a ? T’en veux encore ?

- Hm, ça serait pas de refus mais là, je suis mort, tu m’as tué. C’était génial. Ce n’es pas ça.

- C’est quoi alors ?

- Je t’aime comme un fou.

- Je sais.

- Hier j’ai trouvé une autre fleur d’ange.

- Ah oui ? Tu attires les raretés toi.

- Bien sûr puisque je t’ai toi. Répondit-il en lui souriant et Joël ne put se retenir plus longtemps de l’embrassé avec passion allant chercher sa langue. Ce baiser était doux, plein d’amour, passionné. Ce fut Ronald le premier à mettre un terme au baiser à bout de souffle.

- Et alors que s’est-il passé ? Demanda Joël en souriant face au visage plein d’extase de son amour.

- J ne l’ai pas ramassée.

- Hein ? Pourquoi ?

- Parce que je sais déjà que tu es l’homme de ma vie, je n’ai pas besoin qu’une plante me le confirme alors que mon cœur le sait déjà. Je la laisse pour quelqu’un qui est perdu comme je l’étais. Mais j’ai compris quelque chose de très important.

- Quoi donc ? Demanda le blond la voix étouffé par l’émotion.

- Je veux qu’on s’installe ensemble. Pas à l’internat de la fac. Dans notre appartement juste toi et moi. Notre petit nid d’amour. T’en as envie ?

- Bien sur. Répondit le bond fou de bonheur en le serrant contre lui.

- Et…je…enfin…

- Eh n’es pas peur. Qu’est-ce qui t’arrive ? Ca te ressemble pas. C’est bien la première fois que je t’entends bégayer, mon cœur. Vas-y, lances-toi.

Le roux se redressa s’agenouillant devant lui prenant sa main dans la sienne. Le cœur du beau blond se mit à battre encore plus fort. Ronald prit une grande inspiration et ce lança.

- Joël LEVI, est-ce que tu voudrais faire de moi l’homme le plus heureux de la terre en m’épousant ?

Joël le fixa les larmes aux yeux. Il n’arrivait pas à y croire et il avait toujours souhaité cela. Ronald glissa ses bras autour de son coup, se serrant contre lui pour aller lui chuchoter à l’oreille.

- je suis sérieux, un mariage magique que jamais rien ne pourra défaire. Je veux t’appartenir pour la vie et que tu m’appartiennes pour toujours.

- c’est déjà le cas, ça é été si dur de t’avoir donc je ne te lâcherais plus.

- c’est un oui, ça ?

- c’est un oui.

Ronald l’embrassa fou de bonheur en se rallongeant sur lui. Il l’aimait tellement et il avait perdu déjà tellement de temps, il ne voulait plus perdre une seconde.

- J’ai encore envie de toi, mon amour, je veux encore te sentir en moi.

- Je croyais que tu en avais eu assez ?

- Non, j’en veux encore.

- Et si c’es toi qui me faisais l’amour pour une fois ?

Le roux se redressa étonné, le blond lui caressa la joue en souriant.

- En deux ans, tu ne m’as pas fait l’amour une seule fois.

- C’est…à cause de ce que je t’ai fait.

- Mon cœur, c’est du passé tout ça. J’ai envie. Fais-moi oublier. Repartons à zéro tu veux ?

- Je…je…

- Fais-le, Ronald.

Joël l’embrassa et l’attira contre lui. Il voulait oublier et ne se concentrer que sur leur futur. Ce tournoi, il ne l’avait pas gagné mais il avait eu quelque chose de bien plus beau. Son amour.

 

 

 

 

 

FIN.

 

 

et voila c'est fini. snif. j'espère que cette prolongue vous plaira comme le reste de la fic. merci à toutes celle qui me suive. gros bisous.

 

Par Amako - Publié dans : tournoi magique (ternimé)
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Vendredi 9 avril 5 09 /04 /Avr 10:03

CHAPITRE 4 :

 

 

« J’étais resté de longue heures assit sur mon lit à fixait le plafond. Il me semblait le bout de mur le plus intéressant du monde alors que mon esprit divagué totalement. Je penser à Andy à tout ce qui c’était passé depuis notre rencontre. À ce que j’étais devenu. Andy occupé Chaque pensé, je me vivais plus que pour lui, attendant de le revoir. Je me sortais plus à part pour me rendre cher lui, je ne voyais même plus mes amis. Ma vie ne ce résumer plus qu’à une seule chose « Andy ». J’avais fini par prendre une décision importante qui aller sans nul doute changer une nouvelle fois le cour de ma vie. »

Je fixais à nouveau ce plafond sans vraiment le regardais. Mes amis venaient encore de me proposé de sortir en boite ce soir et encore une fois j’avais refusé. Je les trouvé tellement immature. C’est fou ce que j’avais changé en quelque semaines. Cet amour que je lui prote et entrain de me bouffé de l’intérieur. Je n’étais plus qu’un Zombie. Un étranger dans mon propre corps. Mes parents n’avaient pas remarqué mon changement. De toutes façons il ne ce sont jamais vraiment intéressait à moi.

Je me levai enfin pour descendre dans la cuisine. Je les trouvai dans la pièce comme à leurs habitudes. Mon père assit à la table, un journal entre les mains, sa tasse de café devant lui. Et ma mère était entrain de préparé le déjeuner. Aucun des deux me ce retourna à mon entré dans la pièce et je m’asseyais en face de mon père. J’ai décidé de leurs dire sans détour, rien ne serre d’essayer de les faire accepter ils ne le feront pas. Ils ne feront que m’enfoncer encore plus dans ma douleur mais cela devait être dit. Sans détour.

- je suis gay.

J’entendis la casserole que tenais ma mère rencontré le sol et le journal de mon père ce déchiré. Il me fixait avec haine alors qu’elle ne c’était même pas retourné. J’eu à peine le temps de dire ouf que je me retrouvai avec le poing de mon père en pleine figure et tomba sur le sol, étouffant un cri de douleur. Il ce plaça face à moi me dominant de toutes sa hauteur.

- Je ne veux pas d’une pute comme fils.

Oui je suis une pute. Je suis la pute de cet homme que j’aime et qui ne fait que me détruire.

- Oui je suis une pute. Et je l’assume. Qu’es ce tu veux savoir ? Que j’adore qu’il me baise. J’adore avoir sa queue dans mon cul. Qu’il me fait crier comme une fille. Je…

Son poing s’abatis à nouveau sur me joue avec plus de force encore. Ma mère ne fessait rein pour l’arrêté. Je savais que cela ce passerais ainsi. Je me redressai avant qu’il ne me frappe encore et monta dans ma chambre. Je mis tout ce que je pus dans un sac. Et je redescendis les marches. J’entendais mon père crier dans la cuisine alors que ma mère essayer de le calmé.

- laisse-le partir chéri. Il ne reviendra pas. Personne ne le serra.

Elle était la pire des deux. Je la déteste. Je les déteste. Je ne veux plus rien avoir à faire avec eux. Je sorti en claquant la porte de cette maison qui m’avais vu grandir et devenir le con que j’étais jusqu’à devenir ce que je suis aujourd’hui. Je devais trouver un endroit au dormir. Cette nuit la j’ai dormis sur un banc public. Pas très confortable. Je devais trouver une solution. Je ne voulais pas aller cher mes sois disant amis. Et si j’allais cher Andy. Non. Il ne voudra sans doute pas d’un gamin comme moi dans les pates 24/24. Mais avant que je ne rende compte de quoi que ce soit j’étais devant cher lui. Cette maison où mon cauchemar avais commencé et où ilm aller ce poursuivre.

 

« Je ne pouvais plus faire demi tour. J’avais choisis seul de prendre le chemin le plus sombres sans même une allumette pour écartais les ténèbres. Je les ai laissé m’entouré. M’enlacé de leurs bras tentateur et dangereux. J’eu as où peut on s’enfoncer dans ses abysse ? J’allais le découvrir. »

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Vendredi 9 avril 5 09 /04 /Avr 09:58

 

CHAPITRE 29 :

 

 

 

 

 

je n’avais pas réussit à fermer l’œil de toute la nuit. Je scruter l’étendu bleu à la recherche d’un signe quelconque me permettant de le retrouvait. S’il te plait donne moi un signe. Juste pour savoir où te trouvait. Je voulais juste le revoir. Je savais la cruauté donc était capable Gus le rouge j’en avais été le témoins privilégié, il y avait trois ans, lorsqu’il m’avait privé de ma seul famille. Je ne voulais pas qu’il lui fasse du mal. Comme il avait put m’en faire. Déjà trois jours. Je vais devenir fou.

 

 

 

 

je fut réveillais par de douces caresse sur ma peau nue. J’en frémissais de plaisir, c’était si doux, tellement différent de la dernière fois où il m‘avais pris. J’avais peur d’ouvrir les yeux pour voire que tout cela n’était qu’un rêve. Il était tellement tendre que sa me donné envie de pleurais. Il posait ses lèvres sur les miennes, juste un effleurement, une demande. J’entrouvris les lèvres pour laisser sa langue aller cherchait la mienne. J’enroulais mes bras autour de lui, en avaient pas refait l’amour depuis le jours où Milan avait vu son frère. J’aimais tellement lorsqu’il était si tendre.

- Mon amour…prend moi…fait moi l’amour…vient en moi…je te veux tout de suite…vient.

Je nouais mes jambes autour de lui. Reprenant ses lèvres alors que je sentais son sexe écartait mes chaires. Il ce redressait pour me regarder arrêtant de bouger. Il faisait glisser ses doigts dans mes cheveux, j’avais l’impression d’être dans un rêve. Il s’inquiété pour moi.

- Je peux bouger en toi ? Demandait-il d’une voix douce, dans un souffle aussi agréable qu’une brise d’été. Je fermais les yeux me laissant envahir par le plaisir de l’avoir en moi.

- Oui, bouge…je t’aime tant.

Il me faisait l’amour avec douceur et tendresse, comme jamais il ne n’avais fait l’amour avant. Et je n’avais encore jamais prit autant de plaisir à être pénétrais. Il caressait mon sexe tout en allant et venant en moi. Je me voulais pas le lâcher de peur que tout cela ne soit qu’un rêve, que tout cela s’arrête.

- Sa va Jacky ?

- Oui…aaah…c’est bon…hm…je t’aime…aaah…tellement…je t’aime…aaah.

- Chut…arrête de parler.

 

 

 

- Eh Milan. Il y as un sorte de bouteille qui flotte. Sa à l’air con mais tu ma dit de te dire si je voyais quelque chose qui sortait de l’ordinaire. Alors voila.

- Une bouteille.

- Oui, un ivrogne qui as du la faire tomber à la mer.

- Attrape là. Démerde toi comme tu veut. Saute à l’eau s’il faut mais chope moi cette putain de bouteille.

- C’est bon calme toi. Je vais aller te la cherché ta bouteille.

Je priais de toute mes force pour que ce soit un message de Milan. Il réussi tant bien que mal à récupérait la bouteille. Il lui avait fallut ce jeter à l’eau pour l’avoir. S’il ne l’aurais pas fait c’est moi qui l’y aurais jetais. Il remontais sur le pont en pestant. Mais je n’en avais rien à faire. Il y avait un morceau de papier à l’intérieur. Je cassait la bouteille pour en prendre le contenue. Et dépliais le papier les mains tremblante. Que devais-je faire ? Que ferais-je si ce n’était pas un message de lui. Je retenais mon souffle en lisant le message.

- à bâbord toute.

- Mais…

- Ne discuter pas mes ordres.

 

 

 

 

- Merde à quoi tu joue Milan ?

Pour toutes réponse il me tendait un morceau de papier dans un bien triste état. Il ni avait que des coordonné d’écrit.

- C’est quoi ça ?

- La localisation de l’île. Il as fait ce que je lui ai dit…c’est Shawn.

- Shawn. S’écriait Adrien en me prenant le papier des mains, les siennes tremblais alors qu’il contemplais la fine écriture.

- C’est…c’est son écriture…c’est Shawn. C’est là bas qu’ils vont.

Je voyais les larmes perler de ses yeux. C’était la première fois que je le voyais pleurais et c’était un spectacle renversant. Je l’attrapais par le bras pour le serrait contre mon corps. Il fermait ses bras autour de moi ce blottissant contre moi. Il continuait à pleurait contre moi et j’essayer de le réconforter comme je le pouvais. Même si je savais pertinemment que seul le fait de retrouver son jeune frère pourrait le consoler. Pouvoir le serrait dans ses bras était la seul choses qui pourrait faire tarir ses pleures.

- On va le retrouvait mon amour je t’en fait la promesse.

- Oui on va le retrouver. Je lui ai promit de me pas l’abandonner.

- Et pourquoi tu ferrait ça pour lui. Tu ne connait même pas.

Il ce défit de ma prise pour lui faire face avec colère. Il ne lui répondait rien. Moi je savais très bien pourquoi il voulait tant le retrouver mais Adrien ne supporterais pas cette idée. Alors il détournait les talons pour partir mais il s’arrêtait à mi chemin pour reprendre la parole.

- Ton frère me fait dire que tu lui manque et qu’il t’aime fort. Milan j’aurais voulut qu’il me connaisse jamais la douleur de l’amour qu’est-ce que j’ai loupé ? Quand est-ce que j’ai arrêtait de faire attention à lui.

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Vendredi 9 avril 5 09 /04 /Avr 09:54

CHAPITRE 22 :

 

 

« Ronald jouait avec des amis, il devait avoir tout juste six ans, c’étais un enfant plein de vie. Il avait toujours beaucoup de monde autour de lui. Il était toujours souriant et heureux. Jamais il n’avais connu la douleur d’être seul. Il ne voyait pas le petit blond assis plus loin sous cet arbre seul. Il était là tous les jours mais jamais personne ne le voyait. Comme un fantôme il était invisible aux yeux des autres. Il venait ici tout les jours pour regardait le petit roux. Il ne savait pas comment il s’apelais. Ni qui il était mais il l’admirait de loin. Il voulait tant lui ressemblais. Il voulait pouvoir devenir quelqu’un de bien qui pourrait ce tenir à ses côté. Mais cela n’arriverais jamais parce qu’il ne le regardait jamais comme les autres.Ronald se redressa enfonçant sa tête entre ses mains. Comment avait-il pu oublier cet ange qu’il n’avait vu qu’une fois et qui avait hanté ses rêves d’enfant ? Son premier amour. Dés qu’il l’avais vu il était tombé sous son charme. Un amour de petit garçon. A cette âge là o ne comprend pas ce genre de chose. Il aurait tant voulu qu’il soit ami. Pouvoir apprendre à le connaitre. Leur première rencontre n’avait était que trop courte. Qui aurait put croire qu’il serait tombé amoureux de ce petit ange tout timide qu’il avait rencontré enfant. D’une envi de le serrait contre li pour lui faire oublier sa tristesse, sa solitude, il était passé à une envi de le prendre dans ses bras pour l’aimer et le protégé. Il avait tant voulu revoir son doux regard bleu et lorsqu’il en avait eu l’occasion il ne l’avait il ne l’avait même pas reconnu, il ne l’avait pas vu et il s’en voulait tellement. Il se relaissa tomber sur son lit en soupirant. Tout ça, c’était du passé. Lui il était amoureux d’Angel. Il ce ressemblais tant. Non ils étaient différents.

 

Ronald tourna la tête vers l’arbre et fut étonné de voir le petit blond qui baissa la tête en se mettant à rougir et ça le fit sourire, il était vraiment mignon ce petit. Il s’approcha de lui, bien décidé à lui parler.il ce laissa tombé en tailleur devant lui avec un large sourire sur le visage. Faisant encore plus rougir le jeune blond.

- T’es tout seul ?

- Oui. Répondit-il d’une petite voix.

- Tu n’as pas d’ami ?

- Non.

- Pourquoi ?

- Parce que… personne…ne veux jouer avec un orphelin…ils sont tous méchants avec moi. Toi aussi, tu vas te moquer de moi…

Ses yeux étaient emplis de tristesse et suppliants. Il n’ avait pas envi d’être méchant avec lui. Il voulait le prendre dans ses bras pour qu’il ne soit plus triste.

- Non moi je veux bien être ton ami. Viens jouer avec moi.

Le petit blond souriait, il avait un sourire trop mignon qui fit rougir Ronald. Il détourna la tête gêné. Ce petit bout de chou était vraiment trop attendrissant on ne pouvait que tombais sous son charme.

- Alors tu viens jouer avec moi ?

- Oui. J’arrive…

- Joël, il faut que tu rentre maintenant.

- Je…je dois rentrer.

Il ce redressa la tête basse. Il aurait tellement voulut pouvoir joué une fois avec lui. Juste une fois il aurait voulut pourvoir ce tenir à ses côté. Il partit sans un mot de plus et Ronald le regarda partir avec tristesse, il ne l’avait pas revu après sa.il l’avait attendu, espèrent le voir arrivé avec son air timide mais il n’es jamais revenu et il as fini par l’oublier. »

 

 

- Je suis entrain de devenir fou.

 

 

Ronald était assis sur le sable regardant le lac perdu dans ses pensé. C’est alors que son regard fut attiré par le corps sortant de l’eau vêtu d’un simple boxer. Un corps élancé et fin si désirable, d’une pâleur envoutant, ses longs cheveux blond ruisselant d’eau.

Il se laissa tomber à genoux devant lui le fixant avec tendresse, un doux sourire sur le visage. Il posa sa main sur sa joue la caressant avec douceur alors que ses lèvres se posaient sur les siennes le faisant trembler. Il le fit s’allonger sur le lit se glissant entre ses cuisses, le caressant, l’embrassant.

- aaah…c’est…hm…c’est bon…

 

Le blond se fondit sur lui avec douceur, le faisant gémir de plaisir. C’était tellement bon de le sentir en lui, de sentir ses lèvres contre les siennes, son corps contre le sien, ses mains sur sa peau, sa chaleur, sa douceur. Tout en lui le rendait totalement fou. Il se sentait si bien là dans ses bras.

- aah…oui…Jo…Joël…je t’aime…aaah…je t’aime tellement….aaah.

- je t’aime…aussi Ronald, je suis fou de toi.

 

 

Il s’était à nouveau réveillé en sursaut, jamais aucun de ses rêves me lui avait paru aussi réel, il avait l’impression de sentir encore son sexe en lui, ses lèvres sur les siennes, il embrassait tellement bien que ça le rendait fou, ses mains glissant sur sa peau, chaque caresse était comme une douce brûlure qui le faisait trembler de plaisir, son souffle dans sa nuque. Et il entendait encore sa douce voix lui dire à quel point il l’aimait.

- C’est pas vrai ! Qu’est-ce qui m’arrive à la fin ?

Ça avait été si fort qu’il en avait jouit et il en était encore tout essoufflé.

Il se redressa et tourna la tête vers la table de chevet où se trouvait la fleur d’ange, elle avait fané. Et ce qu’il vit lui coupa le souffle, son cœur se serra, ce qu’il avait pu être bête. Il se leva, enfila son pantalon et sortit de la chambre en courant. Il n’avait que trop trainé.

 

Il entra dans la chambre, elle était vide, silencieuse, tellement silencieuse et triste. Le mur était bleu et dépourvu de photos ou autre. Aucune trace d’une quelconque vie sociale. Il se souvint alors qu’il était orphelin. Il vit un autre carnet de croquis posé sur le bureau, c’étais encore des dessins de lui, il posa celui qu’il avait à côté et alla s’écrouler sur le lit, soufflant de lassitude. La pièce était emplie de son odeur, c’était si réconfortant. Il avait dû aller harceler le directeur pour connaître l’emplacement de la chambre du blond. Ça avait été dur.

 

La porte de la salle de bain s’ouvrit le faisant sortir de ses pensées. Joël apparut devant lui entouré d’une simple serviette de bain, le corps encore ruisselant d’eau. Il était sublime comme dans son rêve. Non encore plus, bien plus beau.

Lorsqu’il le vit, le blond se figea de stupeur, le cœur battant la chamade. Pourquoi était-il là ?

- Qu’est…ce que tu fais là ?

- C’est dur de te trouver, j’ai bien cru que tu étais un fantôme.

- Tu n’as pas répondu.

- Pourquoi tu passes ton temps à m’éviter ?

- Pourquoi tu réponds à une question par une autre ?

- Réponds-moi Jo.

Le blond baissa la tête ne pouvant pas affronter son regard si perçant et si doux.

- Je ne t’évitais pas…C’est…Toi qui me ne remarques pas comme d’habitude. Tu ne m’as jamais remarqué.

- menteur, tu me fuis comme si j’avais la peste.

-…

- pourquoi tous ses dessin de moi ?

-…

Ronald le fixait avec tristesse. Pourquoi ne le regardait-il pas ? Il voulait tellement qu’il le regarde avec ses beaux yeux bleus mais il gardait la tête basse. Il avait tellement de choses à dire mais par où commencer ?

- Tu n’as même pas assisté à ma victoire.

- Si, j’étais là.

- ça m’a beaucoup attristé de ne pas te voir après Jo.

- Il y avait Angel, c’est-ce que tu voulais, non ?

- J’aurais voulu partager ma joie avec toi. Après tout, c’est grâce à toi si j’ai pu y arriver.

- non…je n’y suis pour rien.

- approche Jo, j’ai un cadeau pour toi.

Le blond s’approcha de lui, ça faisait si longtemps qu’ils n’avaient pas été si proches l’un de l’autre. Le roux lui tendit le paquet qu’il tenait et lorsqu’il le prit leurs doigts se frôlèrent, les faisant tous deux frémir de bien être. Le blond s’écarta aussitôt rouge de gène.

- Ca fait des mois que je te cherche pour te le donner. Reprit le roux d’une voix plus douce encore. Tu m’as beaucoup manqué, Jo. Chaque matin, en me levant, j’espérais qu’enfin je pourrais te voir.

- Arrête de mentir. Tu n’en as rien à foutre de moi. Tu n’en as jamais rien eu à foutre de moi.

- Allez, ouvre. Répondit-t-il avec tristesse.

Le blond déchira le paquet et ouvrit le cadeau avec de grands yeux étonnés alors que le roux souriait.

- C’est pour que tu puisses dessiner. Il y a tout ce que tu peux rêver. J’espère que ça te plait.

- Oui…beaucoup…merci. Pourquoi ?

- Pour te remercier. La nuit dernière, j’ai fait un rêve. D’un passé que j’avais oublié. Un petit garçon orphelin qui nous regardait jouer de loin, seul, toujours assit sous le même arbre. C’était un ange, et lorsque j’ai enfin pu l’approcher, il a disparu, c’était mon premier amour. Peut-être que c’est lui que je cherchais à travers Angel. Et je n’ai pas su le reconnaître. Il était devenu si beau.

Ronald prit sa main dans la sienne la caressant avec douceur. Il avait tellement envie de le prendre dans ses bras, de le serrer aussi fort qu’il le pouvait contre lui.

- pourquoi tu me dis tout ça ? Demanda Joël les larmes au bord des yeux.

- Elle a fané. La fleur d’ange.

Joël se défit de sa prise ramenant son bras contre lui.

- Et alors, elle a confirmé que c’était Angel l’homme de ta vie ? Félicitations. Tu dois être vraiment heureux.

- pourquoi ses dessin Jo ?

Le blond redressa la tête, il pleurait et Ronald sentit son cœur ce serrer.

- Parce que ça fait des années que je suis amoureux de toi, que je te regarde de loin dans l’espoir que tu me remarques enfin, comme lorsque l’on était enfant. Moi, je ne t’ai jamais oublié, je n’ai jamais cessé de penser à toi. Tu as été mon premier et tu es mon seul amour. Je n’ai jamais cessé de t’aimer. J’étais si heureux de te retrouver mais toi tu m’avais oublié. Je ne sais dessiner que toi, encore et encore parce que tu occupes chacune de mes pensées. Cinq ans que je souffre de te savoir en aimer un autre. Alors maintenant sors et cesse de me faire tant de mal.

Ronald l’attira avec force contre lui, enroulant ses bras autour de son bassin posant sa tête sur son ventre plat soupirant de bien-être. Il releva la tête vers lui en lui souriant avec tendresse.

- La fleur, elle n’a fait que me révéler ce que je me voulais pas m’avouer Jo. Maintenant je sais où est mon bonheur. Alors je ne te lâche plus, mon Ange. S’il te plait dit moi qu’il n’es pas trop tard Joel.

Le blond s’écarta de lui le fixant en silence les larmes coulaient le long de ses joue

- Arrête de te moquais de moi. Arrête de joué avec moi. Je ne suis pas Angel. S’il te plait va tant et oublie moi comme je t’ai oublier.

- Joël s’il te plait je…

- Non arrête Ronald s’il te plait par

                                          FIN.

 

  et voila le dernier chapitre snif. il ne reste plus que l'épilogue. je vais commencer une nouvelle fic mais je ne sais pas laquelle encore. voila bisous.

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : tournoi magique (ternimé)
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Mercredi 7 avril 3 07 /04 /Avr 22:54

CHAPITRE 28 :

 

 

 

J’avais mal dormis cette nuit. Incroyablement mal dormi. Je n’avais cessé de penser à mon jeune frère prisonnier de ce sale pirate, j’allais le tuer de mes mains, j’allais le faire souffrir comme il faisait souffrir mon frère. Puis mon esprit avait dérivé vers Jackson et Milan. Dans les bras l’un de l’autre. Et ce baiser qu’il avait échangé. Et cette fois ci c’était Milan que je voulais tuer. Et ce matin lorsque j’étais sorti sur le pont c’était pour voire enlaçaient, il le serrait dans ses bras.

J’avais passé le reste de la journée dans ma cabine à ruminer ma colère. Et il n’était pas venu me voire une seule fois de toute la journée. Je suis sur qu’il avait passé la journée avec ce petit con. Merde pourquoi est-ce que sa m’affecter autant de le savoir avec lui.

- Il doit encore être avec lui et ce n’es pas moi qui irait le voire. Certainement pas.

 

 

Merde qu’est-ce que je fais ici. Il était seul dans se cabine, il était allonger nu sur le lit, le drap recouvrant à peine le bas de son dos. J’étais vraiment en colère contre lui. Pourquoi n’était-il pas venu me voire ? Je retirais le drap de sur son corps. Exposant son corps de rêve. Je pris place sur son bassin clouant ses mains sur le matelas pour l’empêchait de bouger. Je posais mes lèvres dans son cou lui en mordillant la peau. Je lui écartais les fesses frottant ma verge contre son petit orifice le faisait gémir de plaisir. Il ouvrait les yeux pour me regardait.

- Pourquoi t’es pas venu me voir. Tu préfère rester avec lui. Je vais tellement te défoncer que tu va plus jamais me faire ce coup la petite salope.

Je lui écartais encore plus les jambes pour pouvoir m’enfoncer en lui d’un seul coup. Il serrait les dents sous la douleur. Mais j’étais bien trop énervé pour y prêtait attention. Je me mis à le pilonner le faisant crier de douleur.

- Tu m’appartiens, je ne veux plus jamais te voire dans ses bras. Je ne veux plus jamais voire tes lèvres le touchait. Tu es à moi. Petite pute.

- Oui…désoler…je suis ta chose….aaah…je suis ta pute…aaah…

- Putain tu m’excite trop.

Je me retirais le jetant à quatre pattes sur le lit. Et le reprenais son plus attendre. Je l’attrapais par les cheveux, le baisant avec plus de force encore. J’évacuer toute ma colère et ma frustration en le blessant, en l’insultant. C’était follement excitant de le baiser ainsi. De le soumettre totalement à moi.

- T’aime ça…hein…t’es une belle salope…hm…

- Oui…aaah…c’est tellement …aaah…oui continue…

 

 

Il était allonger dos à moi, je voyais son corps trembler, et je savais qu’il pleurait en silence. Merde j’avais recommencé. Malgré ce qu’il disait pendant que je le prenais il ne le voulait pas que je le traite de la sorte. Je l’ai insulté, je l’ai frappé, je l’ai rabaissé. Tout cela pour évacuer ma colère, ma frustration. Il me laissait faire sans rien dire et après il pleurait seul dans son coin. Il devait ce sentir tellement mal et tout sa c’était de ma faute. J’avançais ma main vers lui pour le toucher mais me ravisais au dernier moment. J’étais le responsable de tout cela. Que dois-je faire ? Je l’attrapais par le bras pour le serré contre moi.

- Je suis désoler, je suis tellement désoler. Jacky je suis un véritable monstre. Je t’ai fait mal et toi tu te laisse faire sans rien dire.

- Parce que je t’aime. Alors fait tout ce que tu veux. Je te laisserais faire sa voix n’était qu’un murmure douloureux. Pourquoi dit-il cela ? Où et donc le grand capitaine de navire pirate.

- Non, tu dois ne dire non lorsque tu n’en as pas envie. Tu ne dois pas te forçais à subir mes mauvais traitement. Merde c’est comme si je te violé. Tu n’es ni une pute, ni une salope, encore moins une chienne. Tu es quelqu’un d’incroyable. Je ne le ferrais plus jamais je te la jure.

- Je suis fatigué.

S’il te plait laisse-moi seul.

- Non. Je reste avec toi.

- Pourquoi par pitié. Tu n’as pas à avoir pitié de moi. Je ne suis qu’un être méprisable.

- Ce n’es pas vrai…tu es quelqu’un de bien.

- Tu ne me connais pas. Je suis loin d’être quelqu’un de bien. Je suis répugnant. Si tu connaissais mon passé tu ne penserais plus la même chose.

- Je ne veux pas savoir. Laisse le passé au passé. Laisse-moi resté avec toi.

- Fait ce que tu veux. Je veux juste dormir et oublier.

 

je resserrais mes bras autour de lui, ses pleures avait cesser et sa respiration était plus calme. Il c’était endormit. Je me sentais vraiment misérable d’avoir fait cela. Je déposais un baiser dans sa nuque. Je ne sais plus où j’en suis. Il était en train de me faire perdre la tête. Je pouvais passé de la douceur à la brutalité en quelque secondes avec lui. Je n’étais pas comme sa avant tout cela. Je n’étais pas comme ça avant que l’on ne m’enlève mon frère. J’était en train de devenir fou. Il faut que je le retrouve et il était le seul à pouvoir ni aider.

 

 

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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