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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Jeudi 11 février 4 11 /02 /Fév 17:51

 

 

 

 

CHAPITRE 3 :

 

- Tu te fou de ma gueule là Joël. Cria Ronald fou de rage. Il venait de regagner leur chambre. Et Ronald était sorti de ses gond alors que Joël ce laissa tombé sur son lit essayant de me pas s’énervé.

- Pourquoi qu’es-ce que j’ai fait ?

- Tu te fou encore de moi ou t’es con ? Tu dois m’aidé à gagner ce tournoi et avoir Angel, et toi tu ne trouve rien de mieux à faire que de faire lévité tout ce qui ce trouvé dans cette putain de salle tu m’as totalement éclipsé.

- C’est bon je le ferais plus.

- Y’as plutôt intérêt. Tu dis que tu veux m’aidé et après tu m’enfonce un couteau dans le dos.

- Je le ferais plus d’accord. Je…je me suis laissait emporté. Je sors faire un tour en reprend l’entrainement demain matin. En attendant fait ce que tu veux.

 

 

Joël marcha jusqu’à la plage, il retira ses vêtements ne gardant que son boxer, il entra dans l’eau, plongeant et des branchies apparurent derrière ses oreille. Ses mains et ses pieds ce palmarès. Il naga dans las profondeur de l’océan, il regardait ce qui l’entouré, c’était tellement beau, tellement reposant. Il naga pendant des heures, il fini par remonté sortant des flots rejetant la tête en arrière cette vision étais des plus sublime. Il sorti de l’eau et s’arrêta net en voyant Davis assit à côté de ses affaires. Le brun le regardait avancé vers lui en souriant alors que Joël baissa la tête gêné. Le brun lui tendit une serviette en souriant.

- C’est une technique très dur à exécuté son plantes comment fait tu ?

- Je le fait c’est tout.

- Sa fait trois heures que tu es là.

- Tu es là depuis tout ce temps.

- Oui Angel as absenté de passé l’après midi avec Ronald.

- Ah oui.

- Tu sais que tu es vraiment très beau, c’est dommage de te cacher comme sa.

- Tu ne savais même pas que j’existé avant le début de la semaine.

- Tu es trop calme et trop effacé. Comment veut tu que l’ont te remarque mais tu as un talent certain. C’est toi qui as tout appris à Ronald ?

- Oui.

- C’est vraiment gentil.

- Sans doute.

Ne - T’es vraiment pas très loquasse toi.

- Je…je n’ai pas l’habitude de parlait avec quelqu’un. Les gens en tendance à ne pas faire attention à moi. La plupart du temps en me bouscule dans les couloires sans faire attention et en part sans même s’excusé. Ronald lui il c’est excusé c’est peut être pour sa que je l’aide.

- Montre au gens ce donc tu es capable gagne le tournoi.

- Non je ne peux pas j’ai fait une promesse. Je ne gagnerais pas ce tournoi. Et toi tu devrais retrouver ton petit ami avant qu’ne te l’en enlève.

- Je ne m’inquiète pas pour sa mais bon je vais allait le voir il ne manque trop. Ravi d’avoir pu parlais avec toi ¨Joël tu es vraiment très intéressant plein de mystère.

- Merci. Répondit-il en rougissant, faisant sourire Davis qui l’embrassa sur la joue le faisant rougir encore plus.

- décidément tu es trop mignon Joël.

Le bond le regarda partir les bras ballants il ne comprenne pas ce qui venait de ce passé. Il l’avait embrassé. Il ce mit à rougir encore plus. Il ce rhabilla en vitesse, pour quitté la plage.

 

 

Lorsque Joël entra dans la chambre Ronald était allongé sur son lit un sourire béat sur les lèvres. Il semblait tellement heureux, il ne fit même pas attention à lui trop perdu dans son bonheur.

Joël retira sans son t-shirt, son pantalon et son boxer. Il voulait juste voir s’il pouvait lui plaire juste un peu, s’il pouvait le trouvait attirent mais Ronald ne passa pas un seul regard sur lui.

- Tu…Tu as passé une bonne journée Ronald ?

- Oh que oui une journée de rêve. J’ai passé l’après midi avec Angel, on c’est baladé, en as parlait en as ris c’était merveilleux j’en plane encore.

- Ah c’est bien alors.

- Et toi alors ? Ou tu étais ?

- Je suis allait nager et j’ai parlais avec David.

- C’est cool sa tu devrais le dragué comme ça il lâcherait mon Angel.

- Aucun risque. Je ne suis pas aussi beau que Angel, que veut tu qu’il fasse avec un mac comme moi.

- Hm vu comme sa j’ai avait pas pensé c’est vrai que tu ne fais pas le poids face à Angel, il le lâchera pas pour toi.

- je…je vais prendre une douche. Murmura-t-il la tête basse, la tristesse serrant son cœur.

 

Il rentra dans la salle de bain, le roux n’avait même pas posé les yeux sur lui, il ne l’avait pas regardait. Comparé à Angel il était vraiment moche, il n’avait rien à offrir. Enfin c’Est-ce qu’il pensé parce que quiconque prendrait le temps de le contemplé verrait qu’il était d’une beauté angélique.

Il fini par ressortir vêtu d’un gros pull et d’un bas de jogging pour caché ce corps qu’il détesté tant. Il s’assaillait sur son lit sortant son carnet de croquis et ce mit à nouveau à dessiner.

- Tu dessine quoi ? Demande le roux curieux.

- Rien. C’est sans importance.

- T’es bizarre toi, tu passe ton temps à dessiné sur ce carnet et tu ne dit que c’est sans importance. Il faudra vraiment que tu n’explique comment tu fonctionne toi.

- Hm jour sans doute.

Par Amako - Publié dans : tournoi magique (ternimé)
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Jeudi 11 février 4 11 /02 /Fév 17:49

 

 

CHAPITRE 2 :

 kirua

Ronald le fixait avec froideur, et il baissa la tête attristé par son regard si froid.

- Je t’interdis de ne parlais comme ça Joël. 

- J’essayé juste de te motivé pas pour moi pour toi, l’épreuve ce déroule demain.

- C’est bon j’ai compris répondit-il avec froideur. Laisse moi ne concentré c’est toi qui ne dérange à toujours l’ouvrir monsieur je sais tout.

Ronald referma les yeux ne voyant pas le regard triste que pose Joël sur lui, il le fixait en silence. Pourquoi devait il être si froid avec lui, il ne cherché qu’à l’aidé. Il vit les branches et les pierres commencé à tournoyer autour de lui, il les faisait léviter. Il avait enfin réussi. Pas de doute il est vraiment doué.

Joël ce leva pour entré dans le cercle pour venir s’agenouillé en face de lui, le fixant avec tendresse. Il posa sa mains sur sa joue elle était si douce si chaude. Il ce reçu une branche en pleine face l’envoyant hors du cercle. Ronald ce redressa pour sauté de joie.

- C’est super, j’ai réussi.

Joël ce redressa la tête basse, il ramassa ses affaire pour partir en direction de leurs chambre sans regardait Ronald qui continuais de sautais de joie. Il alla s’enfermé dans la salle de bain. Il leva la tête contemplant son reflet, il avait l’arcade sourcilier coupé et sa saigné avec abondance, il essuya le sang et appliqua une pommade de cicatrisation. Il était tellement banale, invisible, jamais personne ne faisait attention à lui. « Alors que l’ont ce connait à peine ». Lui il le connaissait déjà depuis si longtemps.

Il retira ses vêtements dévoilant son corps fin et élance légèrement musclé. Il était presque totalement imberbe à par un filé de poile qui partais du nombril jusqu’à son pubis, il était joliment pourvus, ses jambes était long fine ses cuisses musclé. Il rentra dans la douche il avait une chute de riens à ce damé un sein son parlais de ses belle petit fesses bien ronde et ferme.

 

Ronald aussi fini par rejoindre la chambre et il s’arrêta net en voyant son ange entrain de partagé un baisé passionné avec Davis et il sentit son cœur ce brisé à nouveau c’était tellement douloureux. Il entra dans la chambre s’écroulant sur le lit à bout de force, l’entrainement avait était épuisant et ce qu’il venait de voir l’avait achevé.

Joël fini par sortir de la salle de bain quelque minute plus tard vêtu d’un short et d’un-t-shirt large. Joël était allongé sur son lit et il ne fit même pas attention à lui. Il le fixait s’essayant sur son lit avec son carnet de croquis.

- Tu devrais être heureux tu as réussit.

- Et alors il a toujours dans les bras de Davis. Répondit-il avec cette voix froide qui faisait ce serré le cœur de Ronald.

- Il ne va pas te tombé dans les bras comme sa, du jour au lendemain il faut laissait faire le temps.

- Hum va y toi et t’es discourt éclairé. Tu sais toi ce que c’est de voir l’homme que tu aime dans les bras d’un autre. Tu ignore ce que je peux ressentir alors tait toi tu ne soul là.

- qu’es-ce que tu en sais…tu ne me connais même pas. Tu juge les gens sans rien savoir…moi je veux juste t’aidé et tout ce que j’ai en retour c’est une branche dans la gueule. Alors toi vient pas ne faire la morale.

- C’est bon tu te calme. T’es mal luné au quoi ? C’est toi qui es parti avant que je puisse te dire merci.

- Hum désolé j’ai mal à la tête. Répondit-il d’une voix lace, il n’avait pas envi de ce disputé.

- C’est moi qui suis désolé pour la branche. Sa va tu n’as rien ?

- Non ne t’inquiète pas ce n’est pas grave.

- Je te remercie pour ton aide.

- De rien. Tu devrais te reposé demain c’est le grand jour tu dois reprendre des forces.

- Oui.

 

Le blond regardais son colocataire hotté ses vêtements ne gardant que son boxer, il était sublime et il avait du mal à détaché son regard de lui, Ronald ce glissa sous la couverture et éteignait la lampe posé sur sa table de nuit.

- Bonne nuit Joël.

- Bonne nuit.

Joël s’allongea dans son lit et regardais le jeune roux endormi. C’est vrai il ne pouvait pas savoir ce que ressent Ronald, mais ce dernier ne pouvait pas savoir ce que lui ressente à l’aidé à conquérir Angel. Il le regardait dormir et il fini par ce laissait porté par le sommeil à son tour.

 

 

 

Joël était assit dans la grand salle au côté de ses deux coéquipier, ils fixaient Ronald qui était au milieu de la pièce, il devait réussir à faire lévité une chaise, il n’avait pas sorti sa baguette, il avait fermé les yeux oublient ce qui l’entouré ne ce concentrant que sur la chaise.

- A quoi il joue ? Demanda Angel en ce tournant vers l’autre blond.

- Regard.

La chaise ce mit à lévité sous le regard étonné de toute l’assistance. La chaise lévita quelque seconde et retombant sur le sol. Il ce tourna vers ses trois amis en rigolant victorieux, et ce dirigea vers la table de sa délégation venant s’assoir à côte de Angel qui lui sourie.

- T’as vu ce que j’ai fait Angel ? T’as vu ?

- Oui j’ai tout vu t’as était génial. J’ai jamais vu sa t’es super doué là.

- Je t’apprendrais si tu veux ?

- C’est vrai ? Demanda-t-il le regard pétillant.

- Oui.

- T’es un amour.

Angel l’embrassa sur le front en souriant. Joël ce leva c’était son tour ils allaient leurs montré à tous ce qu’il était capable de faire qu’on le regard enfin.il ce plaça au centre de la pièce ce tournant face à la délégation. Plongeant son regard dans celui de Ronald qui le regardait en souriant mais il perdit très vite son sourire.

Le blond ne le lâchais pas du regard jusqu’à ce qu’il retourne à ca place sous le regard assassin de son élève.

Par Amako - Publié dans : tournoi magique (ternimé)
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Jeudi 11 février 4 11 /02 /Fév 17:41
c'est le dermier chapitre avant l'épilogue. on va bientôt leurs dire au revoir. sniff.


CHAPITRE 12 :

 

 

 mangas-love_20070527_222846.jpg

Le taxi s’arrêta devant la maison. Je réglai la course et sorti de la voiture avec mes valises. Je regardais cet endroit que j’avais fuis. Rien n’avait changé. Moi non plus à vrai dire. J’ouvrir la porte et une vague de souvenir m’envahit, des souvenirs heureux, et de bien mois heureux. Je passai devant le salon sans ni arrêté, je ne voulais pas revivre cette scène, lorsque je posai le pied sur la marche des escaliers, je le revis me fixant avec incompréhension. Puis son regard lorsqu’il ce laisser entrainer par cette femme. Je croyais avoir oublié mais tout ses souvenir me revenais avec tellement de force que j’avais peur de sombré à nouveau. Je n’aurais sans doute pas du revenir. C’est bien trop tôt sa à été si dure de pouvoir l’oublier ne serrais ce qu’un peu. Mais je devais être fort et reprendre la cour de ma vie.

 

J’ouvris la porte de ma chambre et je nous revis allonger sur ce lit entrain de faire l’amour. « Je te choisirais toi ». Je refermai la porte. Je ne pouvais pas. Je sursautai lorsque j’entendis sonner à la porte. Ce devait être André, il avait dit qu’il viendrait me voire. Je redescendis pour ouvrir la porte et j’en restai sans réaction. Non ce n’est pas possible. Pourquoi et il là ?

- Ca fait longtemps Gillian. Un an déjà. J’ai cru que tu ne reviendrais jamais.

Il était là devant moi encore plus beau que dans mes souvenirs. Pourquoi et il là ? Pourquoi aussi tôt ? Je détournai les talons pour re-rentré dans la maison. Laissant la porte ouverte lui fessant comprendre qu’il pouvait entrer. Il ne suivi jusqu’à la cuisine.

- Je ne suis rien à t’offrir, je suis désolé je n’ai pas eu le temps de faire les courses.

- Ce n’est pas grave. Répondit-il en s’asseyant en face de moi.

- Comment à tu su que je rentré aujourd’hui ? Ma voix était froide, jamais je ne lui avais parlais de la sorte mais je ne voulais plus me laisser avoir par lui. Je le regardais droit dans les yeux sans sourciller, je ne devais plus me montré faible face à lui.

- Je ne le savais pas. Tu ne m’as pas vu ?

- De quoi tu parle.

- Tout les jours depuis que tu et parti je viens m’assoir en face de cher toi attendant que tu rentre mais tu n’es jamais revenu. Pourquoi es ce que tu n’as abandonné.

- Je ne t’ai pas abandonné. Je fais ce que je veux de ma vie, je ne suis pas à ton service. J’ai ma vie. J’en avais marre de devoir m’occuper de toi à longueur de journée.

- Je dois comprendre que tu ne veux plus de moi dans ta vie. C’est ça ?

- C’est tout à fait ça. Tout les deux en à était ami durant 20 ans. Je crois que l’on à fait le tour. De toute façon je ne vais pas resté ici bien longtemps. Tu fais parti de mon passé Bruce, pas de mon avenir.

- Alors c’était faux ce qu’elle a dit. Tu ne m’aime pas.

Je respirai doucement pour essayer de me calmé, j’allais craquer s’il ne partait pas vie mais il fallait mettre les choses aux point pour ne pas avoir à le regretté plus tard. Il avait baissé la tête, je le voyais tremblais. Non je ne devais plus craqué. Je ne veux plus replonger et souffrir à nouveau.

- Non elle avait raison. Tu crois que je t’aurais laissé me baiser si je ne t’aimé pas ? Tu me crois comme ça ? Je t’aimais depuis toujours je crois. C’est grâce à toi que j’ai sus que j’étais gay. J’arrêté pas de te regardé, de t’admiré mais toi…pour toi je n’étais qu’un ami, une épaule sur laquelle pleuré. Tu m’as fait souffrir. Tu me baiser et c’est elle que tu appelais. Mais je te laisser faire parce que je t’aimé. J’y ai crut ce soir là. Lorsque tu m’as dit que tu me choisirais moi mais tu me la pas fait. C’est toi qui m’as abandonné. Tu as choisit alors s’il te plait arrête de remuer le couteau dans la plaie. Va la rejoindre et soit heureux.

- Tu… c’est toi qui es parti…ce matin là…pourquoi tu n’es pas resté ?

- Parce que. Tu n’aurais rejette.

- Tu aurais du me le dire.

- De quoi que j’étais raide dingue de toi et que tu ne rendais fou. J’ai réussi à t’oublier Bruce alors arrête.

-Tu…tu n’as oublié…on…c’est vraiment fini…tu veux plus jamais ne voire ?

- Oui. Sort de ma vie s’il te plait.

Il ce leva, il tremblait, je savais qu’il pleurait mais je n’aller pas me laisser avoir. Il fallait que son ce finisse. Je me le regardais pas, je n’en avais pas la force.

- Je t’aurais choisit Gillian. Tu es parti avant de me laisser le temps de…

- TA GUEULE JE NE TE CROIS PAS. ARRÊTE DE MENTIR. JE TE DETESTE ALORS SORT DE MA VIE.

J’avais craqué, il fallait qu’il parte. Je ne voulais pas l’entendre me dire ce jors de choses. Pas alors que j’avais renoncé à tous espoir. J’entendis ses pas s’éloigner et la porte ce refermé. Il était enfin parti. C’était enfin fini, il était enfin sorti de ma vie. Et j’allais pouvoir vivre heureux. Alors pourquoi es ce que je pleure ? Pourquoi es ce que j’ai si mal ? Je ne devais pas l’aimais. Il ne fait que mentir et me faire du mal.

 

 

- Gil te voila.

André me serra avec force dans ses bras, je répondis à son étreinte, il m’avait tellement manqué.

- Tu va bien désoler je ne suis pas put venir te voire hier.

- Il est venu…je lui ai dit de sortie de ma vie. C’est vraiment fini cette fois ci. J’ai tellement mal. J’aurais cru que ça aurait était plus simple, que j’aurais réussi à l’oublier mais lorsque je l’ai vu j’ai su que je l’aimé encore. Qu’es ce que je vais faire.

- Sa va s’arrangé Gil, je vais t’aidé.

 

 

 

Je descendis de ma voiture. Et je sentis mon cœur s’emballer lorsque je le vis assit sur le banc en face de chez moi. Il me fixait droit dans les yeux. Depuis combien de temps était-il là. Pourquoi ne rentré t-il pas chez lui ? À quoi joué t-il ? Je ne devais pas aller le voire. Je ne devais pas le laisser re-rentré dans ma vie. Je détournai les talons pour rentré cher moi. On ne peut pas revenir en arrière. C’est trop tard.

 

 

dit moi ce que vous en pensé. l'épilogue c'est pour demain.
Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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Jeudi 11 février 4 11 /02 /Fév 17:32

CHAPITRE 3 :

  

 img035.jpg« J’était rentré chez moi totalement anéantie. J’avais passé ma nuit à pleurais en pensant à cette homme, à ce qu’il m’avait fait. Je ne pouvais en parlais à personne. C’était un point que je devais porter seul. J’étais faible, et il m’avait enchaîné à lui. »

 

 

J’étais à nouveau devant cher lui. Comme il me l’avait demandais, j’étais revenus, comme un gentil chien bien obéissant. Je tremblais comme une feuille. Il était encore temps, je pouvais faire demi tour et rentré cher moi, reprendre ma vie confortable. Mais non j’ai choisis d’appuyais de cette foutu sonnette. J’ai choisis de me soumettre à nouveau à lui. Il allait encore me baiser comme une vulgaire pute, mais où moins l’espace de quelques minutes il s’intéresserait à moi.

 La porte s’ouvrir et je baissai la tête, de honte. En redemandait après la façon donc il m’a traité.

- Tient Jaylan. Bonsoir. Sa voix me fis tremblais, elle était si sensuel.

- C’est plus la pute.

Il posa sa main sur ma joue me fessant tremblais, elle était si chaude, si brûlante. Il me força à le regardait et dés que je croisai ses yeux noir je perdis tout mes moyen à nouveau pris dans la noirceur de ce regard.

- Pas quand ont ne baise pas beauté. Au faite moi c’est Andy.

Andy c’est un prénom si joli. Pourquoi n’ai t-il pas aussi pure que son prénom. Il glissa ses doigts dans les miennes pour m’attiré à l’intérieur de la maison. Encore une fois il ne va pas prendre le temps de parlais. Je fus surpris qu’il ne fasse monter à l’étage. J’étais totalement déconcerté, et sa le fit rire. Il ce moque de moi. Je me tendis lorsqu’il s’approcha de moi. Son souffle caressait mon visage, je fermai les yeux respirant sa douce odeur. Il posa ses mains sur mes hanches pressant son corps contre le mien. Ses lèvres caressaient les miennes, savait il que ce simple contact suffisait à enflammer mon corps. Sa langue venait taquiner mes lèvres. Et je ne serrai plus contre lui, voulant prendre ses lèvres mais il ce recula en rigolant. Pourquoi joue t-il ainsi avec moi ? Je frissonnai lorsque je sentis ses mains caressé ma peau. J’ai envi de lui, j’ai envi qu’il me fasse l’amour. Il me retira mon t-shirt avec lenteur et sensualité avant de me pousser sur le lit. Je ne le comprends pas qu’es ce qu’il fait ? Il vient s’assoir sur mon bassin un sourire espiègle sur le visage.

- Qu’es ce que vous faite ?

- Hier on a fait les choses un peu trop vite. Ne fallait pas me faire autant attendre. Tu as cherché. Aujourd’hui on va y aller un peu plus doucement. Tu en as envi ?

- Oui. Répondis-je en essayant de capturé ses lèvres qui me cessais de me nargué. Laissez moi vous embrassé s’il vous plait ? S’il vous plait ?

Il posa ses lèvres sur les miennes. Je ne les avais pas sentis depuis notre première rencontre. Et elles m’avaient temps manqué. Je glissai mes bras autour de sa nuque le serrant contre moi allant jouer avec sa langue. Je suis entrain de me perdre dans ce baiser. Il cherche à me rendre encore plus fou de lui. Ses mains glisser sur ma peau nue, je le veux, je désir tellement cette homme. Il était doux, ses caresses étaient légères. Son baiser était tendre. En cette instant il fait maître un espoir fou en moi. L’espoir qu’il puis m’aimait juste un peu. Il détacha ma ceinture avec lenteur, alors que je continuais de l’embrassé. Je ne voulais plus lâché ses lèvres de peur que cela me soit qu’un rêve. Je le laissai m’enlever mon pantalon et mon boxer. Il lâcha mes lèvres me fessant gémir de frustration. Il ce redressa pour me fixait avec gourmandise. Ses doigts glissaient le long de mon torse frôlant mon sexe, je fermai les yeux me laissant enivrer par ses douces caresses.

- Je vais te montré qu’un homme peut te donné plus de plaisir qu’une femme. 

Je fermai les yeux, s’il savait que c’était déjà le cas, je suis déjà fou de lui et tout ce qu’il pourra faire ne pourra rien changé. Il m’a enchaîné à lui dés que mon regard à croiser le sien.

Il posa ses lèvres dans ma nuque, je retiens mon souffle, jamais je n’avais ressenti autant de plaisir avec de simple caresses, de simple baisers. Je suis entrain de devenir fou. Je n’oser pas bouger, je n’oser pas le touché, je n’oser pas parlais de peur qu’il me rejette, alors je le laisser faire en silence. Ses lèvres embrassaient mon torse, ses dents malmené mes tétons. Je plaquai mes mains sur ma bouche pour retenir mes gémissements de plaisir. Il me fait perdre la tête.

- aaah…

Je n’avais pas put retenir ce cris de plaisir alors que ses lèvres prirent mon sexe en bouche. Elle était si chaude, si accueillante. Oui c’était meilleur mais c’est sans nul doute parce que je l’aime. Je l’aime tellement que tous ce qu’il peut me faire me rend dingue. J’ai jouis en quelque minutes, c’était si bon que je n’avais pas put me retenir. Il ce redressa pour me fixait avec un regard moqueur.

- T’es un éjaculateur précoce. Tu ne devais pas les satisfaire tes meuf. Tu dois être fait pour te faire prendre.

- Non…je...c'est de votre faute…c’était…bon. Je détournai la tête en rougissant. Pourquoi es ce que j’avais dit ça.

- Alors comme ça c’est de ma faute ? Il va falloir que je te punisse.

- Aller y doucement. S’il vous plait.

- Je serrais très doux. Je le sentis enfoncer un doigt en moi, c’était douloureux amis aux mois il allait prendre le temps de me préparé.

-Tu t’ouvre pour moi Jaylan. Tu ne veux en toi.

- Oui. J’en ai envi…aah

Il ce glissait entre mes cuisses et prenait sans plus attendre me fessant crier de douleur et de plaisir. Je fermai les yeux, je ne voulais pas voire dans son regard qu’il aurait préféré me baiser comme la veille. Je ne voulais pas voire que la seul chose qu’il voulait c’était me prendre comme une vulgaire pute en me crachant toutes ses insultes à la figure. Je ne voulais pas voire qu’il ne m’aimait pas.

Il aller et venait en moi avec force, brutalité, coup de reins après coup de reins. C’était douloureux mais j’y trouvai vite un plaisir sadique. Incroyablement bon. Je glissai mes bras autour de son coup me blottissant contre lui, reprenant ses lèvres avec fougue. Il répondit à mon baiser.

- Tu aime ce que je te fais ?

- Oui…aaah…c’est bon…plus fort…aaah…

 

 

« J’étais sorti de la maison en courant, tout ce donc j’avais eu le droit après qu’il ai à nouveau déversé son plaisir en moi ce fut un simple « Revient quand tu veut ». Je devais m’éloigner de cet homme, même si je sais que je reviendrais.

Et c’Est-ce que j’ai fait, je suis retourné le voire soir après soir. Durant deux longues semaines. Je le laissais me baiser, m’utilisé, m’insulté et s’adonné à toutes ses envi pervers. Du jors m’attaché, me défoncer avec tout les Object qui lui tombé sur la main et même me forcé à le sucer en public. Il avait une imagination débordante en la matière. Je n’étais qu’un vulgaire joué dans ses mains. Et ce n’étais que le début de ma déchéance. Les ténèbres venais juste de m’ouvrir leurs porte et leurs bras puissants mi enfoncer de plus en plus »

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Jeudi 11 février 4 11 /02 /Fév 10:51

 

ce chapitre et un peu noir. relation violente. donc si ce genre ne vous plait pas ne lisait pas. cette fic et bassé sur une relation assez violente entre les deux personnage. voila pour les autre bonne lecture.
CHAPITRE 2 :

 

 

articleimage.jpg 

« J’avais toujours ce morceau de papier, je l’avais gardais durant des jours, je l’avais lu si souvent que je le connaissais par cœur. Chaque jours j’avais envi d’aller cher lui, de pouvoir à nouveau sentir ses lèvres sur les miennes. Son corps contre le mien. Il n’avait rendu fou de lui. Pas un jour ne passé sans que je ne pense à son regard brûlant. Je savais que tôt où tard j’aller craquer et me rendre cher lui. Pour le laisser me baiser comme il le voulait. Je lutter contre mes envi. Mais combien de temps encore allais-je pouvoir résisté à cette appelle de mon cœur, de mon corps, de mon âme. j'était telle un ange noir à qui ont venais de couper les ailes.»

 

 

Cela fessait une semaine déjà que j’avais rencontré cette homme, une semaine qu’il hanté Chacune de mes pensés. Chaqu’un de mes rêve. Je ne savais rien de lui à par son adresse et le gout de ses lèvres. J’étais incapable de pensé à autre chose qu’à ce baiser qu’il m’avait donné. Ça avait était si bon. J’avais embrassé des dizaines, des centaines de filles. Mais aucun baiser me surpassé celle-ci. Je veux pouvoir à nouveau goûté à ses lèvres. Pour lui ce n’était que de la baise. Il allait faire avec moi ce que j’ai fait avec toutes ses filles. Mais je le voulais je voulais être dans ses bras même si ce n’était que pour une seul nuit. Une seule étreinte. Je dépliai une énième fois le papier qu’il m’avait donné. « Si tu change d’avis passe me voire. J’adorerais m’occuper de ton jolie petit cul. » C’était la dernière fois que je le lisais.

 

 

J’étais debout devant la porte de chez lui. Cette adresse que je connaissais par cœur à force de la lire, encore et encore. Jour après jours. Secondes après secondes. Qu’es ce que je fessais ici, si ça ce trouve il ne ce souviendra pas de moi. Je ne suis qu’un mec rencontré dans une boite. Juste un mec qu’il aurait voulut sautais dans une ruelle. Pourquoi ce souviendrait-il de moi.

Cette maison était immense. Il devait être riche pour avoir une telle demeure. Je ne serrais sans doute qu’un de ses joué. Il me jetterait des qu’il serra lacé de moi. Mais peux importe je ne pouvais pas faire demi tour. Je rassemblai tout mon courage pour sonner à la porte. J’attendais que la porte s’ouvre. Mon cœur était à deux doigts de ce brisé tellement il bâter fort. La porte s’ouvrir et mon cœur cessa de battre dés que je le vis devant moi. Il n’était vêtu que d’un simple bas de jogging. Seigneur pourquoi faut-il qu’il soit encore plus beau que dans mes souvenir. Son regard me détailler avec une envie lubrique. Enflammant mon corps. J’étais en feu et je voulais qu’il arrête ce feu qui me dévore. Il me fixait avec un sourire charmeur et sensuel. Il cherche à me rendre encore plus fou de lui.

- Bonsoir Jaylan. Tu as était long. Sa voix était douce et sensuel. Mon prénom était si doux sortant de ses lèvres.

- Comment…

- L’un de tes amis ma donné ton prénoms. Très charmant garçons.

- vous l’avez…

- Non. C’est toi que je voulais. Si tu es ici c’est que tu as changé d’avis. Veut tu que je m’occupe de toi ?

J’étais amoureux, j’étais prés à tout accepter pour lui. Je n’ai rien répondu, je l’ai juste laissait m’entrainer dans le salon. J’aurais voulut qu’il me propose un verre, qu’il me parle de lui, qu’il m’embrasse doucement et qu’il me fasse l’amour. Mais il n’as rien fait de tout ça. Il ma déshabiller aussi vite que ses mains le lui permit. Je ne pouvais pas m’empêché de tremblais. Sous ces mains, même si c’était violent sans la moindre tendresse. C’était lui cela suffisait à me faire tremblais de plaisir. Il mordilla mon oreille pressant son corps contre le mien. J’avais l’impression d’étouffé tellement je le désir.

- Tu bande Jaylan.

Il me força à me mettre à quatre pates sur le tapis persan. Je pris peur c’était ma première fois et il allait me prendre comme une vulgaire pute. Je le senti presser son sexe contre mon entré encore inviolé. J’avais peur, j’étais terrorisé. Je fermai les yeux serrant le tapis, les larmes coulaient sur mes joues. Je n’aurais pas du venir. Je devrais fuir partir loin de lui avant de me plus pouvoir faire marche arrière. Je sentis une douleur fulgurante alors qu’l enfoncer son sexe en moi, j’avais l’impression qu’il venait de me déchiré en deux. J’avais mal tellement mal, je pleurais de douleur mais lui ne s’en soucier pas il continuer de bouger encore et encore me déchirant un peu plus à chaque coup de reins. Il m’attrapa par les cheveux attirant mon visage vers le sien. Léchant les larmes qui coulaient sur ma joue.

- Pourquoi pleure tu Jaylan. C’Est-ce que tu voulais à agiter ton cul devant moi comme une salope en chaleur. Dit moi que tu le voulais.

- Oui. Répondis-je dans un râle de douleur.

Je l’aimais alors j’accepter et lui joué avec moi, avec ma douleur, avec ma tristesse, avec mon cœur.

Il donnait des coups de rein de plus en plus fort, s’enfonçant encore et encore entre mes chaires meurtries.

Je l’aimais alors l’avoir en moi me fessait gémir de plaisir.

Je l’aimais alors je me suis abandonné entre ses bras.

Je l’aimais alors je ne suis soumis à lui sans protesté.

Je l’aimais alors je souffrais en silence.

 

Il cessa de bougé en moi lorsque je me mis à crier de plaisir, sans essayer de retenir mes cris. Je crispé mes doigts sur le tapis, me cambrant au maxi pour lui offrir toute ma profondeur, allant à la rencontre de son sexe. J’étais en sueur, haletant. Cela était si bon alors pourquoi arrêtait-il ? Il posa ses lèvres dans ma nuque en mordillant ma peau avec provocation.

- Pourquoi es ce que vous arrêté.

- Tu aime ça ?

- Oui.

- Tu aime te faire prendre comme une vulgaire pute ?

- Oui. Pourquoi es ce que je disais ça ? Qu’es ce qu’il et entrain de faire de moi.

- Tu es ma pute ? Demanda-t-il dans un murmure contre ma peau, ce contact me brûlait la peau. Je m’enflammer à ce simple contact. Que puis-je répondre à ça ?

- …

- Dit le Jaylan. Si tu le dit je continu de te baiser. Dans le cas contraire je te jette dehors et tu devras trouver une autre bite pour te remplir.

-… Je ne pouvais pas dire ça. Comment pouvais lui donnais en plus de tout ma fierté.

- Très bien. Je le sentis ce retiré de moi et je craquai.

- Je…suis votre pute…Alors s’il vous plait continué de joué avec moi.

Je l’aimais alors j’ai ravalé ma putain de fierté pour le lui dire, pour qu’il continu de me baiser. Je le laissais faire ce qu’il voulait de mon corps et j’y trouvé un plaisir malsain. Il donné des coups de reins encore plus puissant. Et je prenais de plus en plus de plaisir dans cet acte. J’avais du mal à resté conscient tellement le plaisir était intense. Je posai mon front sur le sol, haletant, à bout de souffle. J’avais l’impression que mes bras allaient céder sous la force de ses va et vient. Je criais si fort que j’avais la gorge en feu. Que suis-je entrain de devenir ?

- J’ai jamais eu une…pute aussi beau que toi…hm…aussi étroit…ah…aussi docile…tu es délicieux.

- aaah…faite…tous ce que…aah…vous voulais de moi…aaah…je suis…aaah…votre…pute…aaah…

- Tu es ma chienne ?

- Aah…oui…plus…fort…aah.

« Je me dégoûté. J’avais honte de ce que j’étais devenu pour cet homme. J’aurais put poursuivre ma vie de sale con coureur de jupons. Mais je l’ai rencontré. Et j’étais tombé amoureux de lui alors qu’’il me penser qu’à me sauter.

J’avais accepté les règles en venant jusqu’ici alors je n’avais pas à être tristesse alors qu’après m’avoir pris il m’a lassé sur ce tapis. Où je venais de m’offrir à un homme. Cet homme qui allait me conduire à ma perte.

J’avais accepté de joué et j’avais perdu. Il n’avait pas dit qu’une seule phrase. « Reviens demain ». Puis il était parti en claquant la porte. Je m’étais alors rhabiller honteux de ce que je venais de faire.

C’est fou à quel point en peu murir en l’espace de quelques heures. Je venais de prendre conscience de ma misérable existence. J’avais été sali par l’homme que j’aime. Mais je savais que je reviendrais demain, que je re-commencerais. Juste pour le sentir à nouveau en moi. Juste pour avoir le sentiment d’être important pour lui. Juste pour croire qu’il pouvait m’aimais.

J’ai accepté ses règles. Et si et perdu bien plus que ma virginité. Je ne connaissais même pas son nom. Et je repartais encore plus déboussoler qu’avant de venir.

Pourquoi ne t’ai-je pas rencontré avant lui ? Tout aurait était différent ? Où bien peut être que je ne t’aurais pas regardais. »

 

 

 
Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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