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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Dimanche 21 février 7 21 /02 /Fév 10:12

CHAPITRE 8 :

 

 

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Milan parti cherché les cartes alors que le beau ténébreux venait s’assoir en face de moi. Il ne me quittait pas une seconde du regard, et je me noyai à nouveau dans ses superbe océan. Moi qui les avaient tous arpenté ses dix dernière années je me retrouvé face à deux mers impétueuse, sauvage. Si attirante. Je voulais les découvrir mais comment faire d’immense iceberg m’en barré la route, et les vagues repoussant à chaque fois mon bateau, que ce fracassé contre la glace. J’ai peur de ni noyais.

Ce fut Milan qui me sorti de mes pensé lorsqu’il revenait s’assoir à mes côté les carte que je lui avais demandé en mains.

Je les lui pris des mains en dépliant une que je posai sur le sol, posant mon doigt au beau milieu de l’océan. Adrien ce pencha par-dessus la carte pour voire ce que je montré et ouvrir de grand yeux étonné, il faisant navigué son beau regard de la carte à moi.

- Vous vous foutez de moi là ? Il ni as absolument rien à cette endroit à part de l’eau.

- Justement quelle meilleure cachette que là ou il ni as rien. À part l’océan et l’ile introuvable.

- Et comment en va la trouvé si elle et introuvable.

- Gus la bien trouvé alors Jack la trouvera. Répondit Milan en fusillant notre hôte du regard. Et tu devrais parlais avec plus de respect au capitaine. Parce que si lui il ne veut pas te jetait par-dessus bord moi je ne me gênerais pas.

- Essaye toujours tu n’as aucun pouvoir sur ce bateau petit avorton.

Milan ce leva comme un ressort il planta ses 1m 65 faces ou bon 1m 80 de Adrien. Il a du courage ce gosse c’est-ce que j’adore chez lui.

- Je te jure que je vais te cassé la gueule petit con. Tu dois le respect à Jack.

- Je me respect pas des gens de son espèce.

- Putain je vais…

J’attrapai la main de Milan, qui ce retournait vers moi bouillant de rage. Je lui souriais avec douceur. Ce que je pouvais l’adoré moi ce mec.

- Laisse tombé va. Il n’en vaut pas la peine. Je retourne dans ma cabine. Et pour information Adrien. Ici Milan à autant de pouvoir que moi. N’oubli pas qu’il est le second. Reparle lui une seule fois de cette façon et je n’existerais plus à te renvoyé de la où tu viens. Direction le port le plus proche, on les débarque vu qu’il semble bien plus intelligent que nous, qu’il me veut nous voire alors qu’il aille ce faire voire ailleurs. Retrouve le seul.

Milan lui jeta un dernier regard noir avant de tourner les talons pour rejoindre sa cabine. Et j’en fis de même. C’étais la meilleur solution, je ne peux plus lui faire face après son rejet de hier. C’est bien trop dur.

 

 

 

- Bravo Adrien. Tu as tout gagné. Tu dis que tu veux le retrouvé mais tu te montre égoïste.

- Tu m’énervé Alizé. Tu n’as qu’as le sauté toi.

- Je n’ai pas ce qu’il faut. C’est par toi qu’il est intéressé. Pense à Shawn. Et puis tu peux penser à moi pendant que tu le saute.

 

 

 

 bon ce chap n'es pas trés long alors je met vit la suite.

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Samedi 20 février 6 20 /02 /Fév 13:05

CHAPITRE 5 :

 

 

- Waouh, c’est super.

Ronald les avait tous sidérés, il avait écouté les recommandations de son professeur et durant trois minutes, les animaux s’étaient succédés encore et encore, ils en restèrent bouche bée. Il retourna s’assoir à la table de son école, heureux de sa performance. Ce fut au tour de Joël de se lever pour participer à l’épreuve. Il se plaça au milieu de la salle.

La pierre prit l’apparence de dizaines de colombes qui s’envolèrent aux quatre coins de la salle puis de milliers de papillons avant de se transformer ensuite en flocons de neige qui tombèrent sur le sol et les tables avant de glisser tel un serpent pour redevenir une pierre sous les applaudissements de la salle. Il regagna sa place à côté de Ronald qui lui adressa un large sourire.

- T’as été génial Joël, t’es vraiment super doué. Tu fais quoi après ?

- Je vais aller nager un peu.

- Dis, je peux venir avec toi ?

- Tu…tu veux venir avec moi ? Tu préfères…pas essayer de…passer l’après midi avec Angel ?

- Bah…on est amis alors on peut passer un peu de temps ensemble. Comme ça, on pourra apprendre à se connaitre.

- d’accord.

- Tu ne sembles pas très enthousiasme.

- Si. Répondit-il avec précipitation de peur qu’il ne change d’avis. Si tu tiens le coup. Et puis, ça va te permettre d’apprendre une nouvelle technique, ça préparera peut-être à une nouvelle épreuve. Enfin, toi, t’auras besoin d’une plante au goût atroce si tu veux pouvoir me suivre.

 

 

Une fois l’épreuve terminée, les deux amis quittèrent la grande salle pour se diriger vers la plage. Joël retira son pull et son pantalon sous le regard de Ronald qui ne savait pas quoi faire. Joël le regardait en souriant avec douceur.

- Si tu veux aller dans l’eau, il faudrait peut-être que tu retires tes vêtements.

- Ah…ah…oui désolé.

Il entreprit de se dévêtir à son tour sous le regard indescriptible du beau blond.

Il se rapprocha de lui, s’arrêta à quelques centimètres de lui. Ils se fixaient en silence. Ce fut le blond qui rompit le silence.

- Ouvre la bouche, Ronald.

Le roux ouvrit la bouche et Joël lui mit une drôle de plante dans la bouche. Et il avait raison, ça avait un goût atroce.

- Bon, on est prêst, entre dans l’eau avant de ne plus pouvoir respirer.

- Et toi, tu n’avales pas ce truc.

- Pas besoin, répondit-il en souriant. Allez, file dans l’eau.

 

 

Joël poussa le roux dans l’eau et y rentra à son tour. Ronald se mit à paniquer lorsqu’il n’arriva plus à respirer, il se débâtit mais Joël le retenait l’obligeant à le regarder pour le rassurer et il sentit enfin l’air entré dans ses poumons. Le blond lui sourit avant de l’entrainer à sa suite dans les profondeurs de l’océan. Ronald fut émerveillé par ce qu’il vit et il comprenait pourquoi Joël aimait tellement nager. C’était si beau, si reposant si paisible, ça lui ressemblait tellement.

 

Ronald s’arrêta net alors qu’il regardait les poisons. Il n’arrivait plus à respirer. Il essayait de remonter à la surface aussi vite qu’il le put mais ce ne fut pas assez. Il perdit connaissant tombant dans les profondeurs abyssales.

 

Lorsqu’il rouvrit les yeux, il était allongé sur son lit, il sentait un corps chaud contre le sien. L’espace d’un instant, il crut que c’était son Angel qui le serrait dans ses bras. Mais ce fut le visage de Joël qui s’imposa à sa vue. Lorsqu’il vit qu’il était réveillé, le blond le relâcha s’écartant de lui en baissant la tête rouge de honte.

- Qu’es-ce que tu fous dans mon lit toi ?

Ses mots blessèrent le cœur de Joël mais il n’en montra rien.

- Je…tu…c’était juste pour te réchauffer…c’est de ma faute…j’avais oublié que les effets de la plante ne duraient qu’une heure…On était loin de la côte…et il faisait froid…t’étais gelé…je m’en veux tellement…j’ai été con…tu dois m’en vouloir…je suis désolé, Ronald…

- Hm, ce n’est pas grave, je ne suis pas mort. Dis, tu m’as pas fait du bouche à bouche au moins ?

 

Joël baissa la tête, bien sur qu’il lui avait fait du bouche à bouche et cette idée semblait le dégoûté et ça lui faisait mal.

- Et qu’est-ce que ça fait si je t’ai fait du bouche à bouche ?

- C’est écœurant. Répondit-il en s’essuyant les lèvres avec dégout. Le blond le fixait les mains tremblantes.

- C’était pour te sauver, pauvre con, la prochaine fois, je te laisse mourir.

- Hey ! C’est de ta faute aussi.

- T’avais qu’à pas demander de venir avec moi. Je t’ai rien demandé…je me casse, j’en ai marre de toi…et de ton sale caractère…y’a que quand tu as besoin de moi que tu es gentil. Moi…je voulais juste passer…qu’on passe un bon nomment ensemble… je…je…tu…

 

 

Joël se leva sans prendre le temps de s’habiller. Il sortit de la chambre en courant, pleurant toutes les larmes de son corps. Il courut jusqu’à la forêt s’écroulant au pied d’un arbre, se recroquevillant sur lui-même, tremblant, maudissant le roux d’être si méchant et blessant avec lui.

 

Il sursauta lorsqu’il entendit du bruit dans les buissons, il leva la tête fixant les ténèbres à la recherche de la source de ce bruit.

 

 

 

Par Amako - Publié dans : tournoi magique (ternimé)
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Samedi 20 février 6 20 /02 /Fév 12:57

CHAPITRE 5

 

 

 

J’ouvrir de grand yeux étonné alors que je sentais deux bras s’enroulé autour de mon buste. Mon cœur s’emballa au contact de ce corps si chaud. Pourquoi était-il revenu ? Pourquoi joue t-il autant avec mon cœur. Je fermai les yeux me laissant aller dans ses bras.

- On mage quoi beau brun ?

- Je ne sais pas encore. Que voulez-vous manger ?

- Moi, c’est toi que je veux manger.

Je n’eu pas le loisir de répondre. Je me retrouvai dépossédé de ma serviette et assit sur le plan de travail, ses lèvres scellaient aux miennes. Je nouai mes bras autour de sa nuque, alors qu’il prit mes jambes pour les mettre autour de sa taille. J’étouffai un cri de plaisir lorsque son sexe entra à nouveau à moi. Je m’accrochai à lui de toutes mes forces, alors qu’il me prenait avec plus de force que les fois précédentes. Je me laissai aller en arrière gémissent de plaisir. Tout mon corps n’était plus qu’un immense brassier. Et il avait allumé ce feu. J’ouvris les yeux pour le regardai et croisa son regard brûlant. Je le vit prendre une pêche dans la corbeille de fruit posait à mes côtés. Il croquait dans le fruit avant de venir m’embrassé. Ce baiser avait le goût de la pêche. J’adore ce fruit. Je tremblais de plaisir alors qu’il faisait glisser le fruit le long de mon corps. Et ses lèvres suivaient pour récolter le précieux nectar.

- Tu es délicieux André.

Je ne répondis rien trop pris par le plaisir qu’il me procuré. Il fut à nouveau le premier à jouir. Il se retirait, se laissant tombé à genoux devant moi pour prendre mon sexe en bouche et il ne me fallu pas bien longtemps avant de jouir sous ses caresses. Il se redressait pour revenir cueillir mes lèvres. J’étais tellement heureux qu’il soit resté. De pouvoir passer encore du temps avec lui.

- Reste nu pour préparé le diner André. À si non je pars.

- Oui. Répondais-je dans un souffle. Je ferais m’importe quoi pour qu’il reste avec moi.

Il m’embrassa une dernière fois avant de ce rhabillé et d’aller s’assoir sur le canapé. La cuisine communiqué avec le salon et de la où il ait il peut me voir. J’étais un peu gêné de me montré ainsi mais je voulais qu’il reste.

Je sentais son regard me suivre et j’avais bien du mal à me concentré sur mon travail.

- C’est…c’est prés Sean.

- Sa sent bon. Qu’es ce que tu as préparé.

- Des haricots avec des patates et des lardons.

- c’est délicieux. S’exclama-t-il après avoir goûté le plat. Tu es aussi super doué en cuisine. Tu es bon à marier.

- Ne vous foutez pas de moi.

- Dit, tu ne voudrais pas me tutoyer. Tu le faisais bine tout à l’heure.

- Si tu veux.

- Alors beau brun parle moi de toi. Demandait-il d’une voix enjouée.

- ça t’intéresse vraiment ?

- J’aime bien s’avoir avec qui je couche.

Je déteste parlais de moi, il ni as rien à savoir. Ma vie et tous sauf intéressant. Et je n’ai pas envi de lui dire que je me suis fait jetais par mes parents. Que j’ai passé plus d’un an dans la rue avant de trouvé ce boulot. Je ne voulais pas qu’il me regard avec pitié et compassion.

- Il ni as pas grand-chose à savoir. Je n’ai pas de famille et pas d’ami. Et je déteste parlais de moi. Et toi alors parle moi de toi pour que je sache par qui je me fait sauter.

Il me fixait en silence. Comme s’il essayait de lire en moi. Je baissai les yeux de peur qu’il puisse y lire tout l’amour que je lui portais.

- Je travail avec mon père comme vice président.

- Ton père il sait que tu et gay.

- Bien sur. Il s’en fou de savoir avec qui je prends du bon temps. De toutes façon il serrait mal placer pour me faire la leçon de morale alors qu’il adore baiser un mec de temps en temps. Très souvent même. Rajoutait-il un large sourire sur le visage. Pour lui et son père les hommes, les autres n’étaient que des objets servant à leurs vidé les couilles. Et j’étais juste un de ses jouets. Un perdu parmi tant d’autre. Il me fit sursauter lorsqu’il rompit le silence qui venait de s’installer.

- Et toi tes parents ?

- Je n’ai pas de parents répondis-je avant de me lever pour débarrassé la table. Je ni la vaisselle dans l’évier et lorsque je me retournai je vis qu’il me fixait avec un désir ardent. Il avait encore envi de moi. Il ne s’arrêté donc jamais. Mais moi aussi j’avais encore envi de lui, j’avais mal aux fesses, et reins partout en faite. Mais je le voulais encore. Toute la nuit à défaut de l’avoir pour la vie.

 

Je m’approchai de lui avec lenteur, n’arrêtant devant lui, le fixant en me mordant les lèvres pour étouffer un râle de désir. Je sentais mon sexe ce dresser sous son regard de braises. Il m’attira à lui me faisant s’assoir sur ses cuisses. Je sentais son sexe à nouveau dur frotter contre mes fesses. Je le fixais en silence, mais son regard disait tout ce qu’il avait envi de me faire. Je n’aurai jamais cru être capable de faire toutes ses choses. Je l’aime, je veux lui donné une raison de resté à mes côté même si ce n’es que pour le sexe. Je voulais être meilleur que tous ceux qui étaient déjà passé dans son lit. Je posai mes lèvres sur les siennes avec douceur alors que mes mains détachaient son jean pour en sortir son sexe, bandé, magnifique, si désirable.

- Tu en à envi ?

- Autant que toi Sean. Toute la nuit. Comme des bêtes.

- T’es increvable beauté. J’adore ça.

Je descendis de ses genoux et ne mis à genoux devant lui. Je lui retirai son pantalon et son boxer. Je pris sa ceinture et lui attacha les mains dans le dos, le faisant sourire. Je l’embrassai avec gourmandise et passion. Je le voulais tant. Je voulais qu’il m’aime. Je voulais qu’il ne regard que moi.

- Tu veux jouait. D’habitude c’est moi qui attache les mecs…aah

Je l’avais fait taire en posant ma langue sur sa verge. Je ne voulais pas qu’il pense à l’autre. Juste à moi. S’il te plait ne regard que moi. Je n’avais jamais fait cela, j’avais peur de mal faire, mais à en croire ses gémissement il devait apprécier le traitement.

- André c’est bon…aaah…t’es doué…

Je relâchai son sexe et je me redressai pour venir m’empaler sur son pieu, dos à lui. Le faisant crier de plaisir. Je me mis à bouger sur lui avec force. Ce que j’aime l’avoir en moi. C’est tellement bon.

- Aaah…t’arrête pas…c’est tellement bon…aaah…

Je me redressai libérant sa verge. Je lui adressai un sourire provocateur avant de me pencher vers lui pour aller lui murmurai à l’oreille.

- Je t’attends dans la chambre. Si tu arrive à te défaire de tes liens tu pourras faire ce que tu voudras de mon corps.

- attend tu ne va pas me laisser comme ça ? André.

- Je t’attends alors fait vite.

Je détournai les talons pour quittais la pièce et aller dans la chambre. Je n’avais pas vraiment bien serré les liens alors il devrait y arrivé. Je m’allongeai sur le lit attendant qu’il arrive. Je suis peux être allé un peu trop loin. S’il ne s’ennuie pas, si prend du plaisir peut être resterait-il avec moi. Je fermai les yeux quelques secondes et lorsque je les ré-ouvrir il était là devant moi, nu, magnifique. Son regard me dévoré, glisser le long de mon corps avec envi. Je fis glisser mes doigts le long de mes cuisses jusqu’à mon anus les faisant pénétraient en moi. Je fis glisser ma langue sur mes lèvres d’un aire aguicheur. Je le vit tremblais de désir.

- Je ne te croyais pas comme ça André. Aussi sadique. Tu aime jouer en dirait. J’en ai vu des salopes dans ma vie. Mais alors toi…hm je te donne la palme d’or.

Je me redressai, baissant la tête. Je ne voulais pas qu’il croit que je fais ça avec tout le monde.

- Tu…tu crois…que je suis une salope…c’est l’image que je renvois ?

- Non, pas du tout. Tu es juste un mec qui aime prendre du plaisir. Et j’adore ça.

- Alors vient…j’ai envi de ta queue.

Je me blottis dans ses bras à bout de souffle, à bout de force. Et le cœur remplis de joie. Il refermait ses bras autour de moi glissant ses doigts dans mes cheveux. Je me sentais si bien entre ses bras protecteur.

- Sa va André.

- Oui. Je suis fatigué.

- C’est normal. Il est deux heures du mat. Je suis vidé. Dans tout les sens du terme.

- T’es bête.

- C’était vraiment grandiose. Tu es un dieu.

- Toi aussi.

J’entendais son cœur battre et c’était tellement apaisant. J’ai fini par m’endormir dans ses bras. Un sourire comblait sur le visage.

 

 

 

Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
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Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 22:54

 

 

 

 

CHAPITRE 7 :pov jackson.

 

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J’étais allongé sur le sol de ma cabine, il venait de sortir en claquant la porte, après m’avoir dit toutes ses choses horrible et si blessantes. Je le dégoute. C’est le seul sentiment que je lui inspire. Pourquoi es ce que j’ai fais ça ? Qu’es ce qui m’as prit ?

Ses lèvres elle m’attiré tellement, je n’avais pas pu résister il avait fallut que je les goute. Son rejet m’as fait tellement de mal, mais je me voulais plus pleurer à cause de ce petit con. Je me redressai alla attraper la bouteille de rhum et allais m’allongé sur mon lit, vidant le reste de la bouteille d’une traite. Pour oublier avant que la douleur ne devienne trop forte.

- je suis qu’un connard de pirate. Je suis qu’un enculé de pirate. Je suis répugnant. Je n’étais mi à chanté à tu tête. Et mon cœur saigne d’amour pour lui. Murmurais-je laissant une unique larme coulé sur ma joue.

 

 

Je me réveillai avec un mal de crâne des plus douloureux, et ce qui c’étais passé hier me revenais en mémoire. Je devais oublier tout sa. Je me levai pour allé me lavé avec un peu d’eau avant de sortir de ma cabine. Le soleil était déjà haut dans le ciel, et je trouvai Milan assit sur le sol avec quelques pirates à joué aux cartes. Il tourna la tête vers moi en souriant, sourire que je lui rendis.

- hé la marmotte vient te joindre à nous, on fait équipe en va plumer ses pseudo pirate.

- j’arrive en va leur foutre le pâté.

Je les rejoignais m’asseyant à côte de mon second, sa ne pouvait que me détendre.

 

 pov adrien

J’étais sur le pont regardant Jackson qui joué aux cartes avec son équipage en rigolant comme un con. Il ne semblait pas ce souvenir de ce qui c’était passé hier soir et t’en mieux.

Je n’avais pas la moindre envi de couché avec ce sale mec. Mais Alizé avait raison, si sa pouvait me permettre de retrouvé plus vite mon frère. Pour lui je serrais près à tout. Même devoir coucher avec ce mec qui me répugne tant. Il leva enfin la tête vers moi, plongeant son regard dans le mien. Il avait de beaux yeux il fallait bien l’avoué. C’étais la première fois que je voyais de telle yeux et lorsque je plongé dedans j’avais bien du mal à m’en défaire, et je le détesté encore plus pour ça.

Il avait cessé de sourire il me fixait impassible, je m’arrivé pas à lire ce qu’il ressent. On dit que les yeux son le miroir de l’âme. A-t-il simplement une âme ? Rien ne ce reflète dans ses yeux, ils sont totalement vide, même lorsqu’il rit ou qu’il sourire ils restent vide. Il n’y a que hier que j’ai put voire de la tristesse dans son regard. Juste avant qu’il ne m’embrasse. Merde il faut que j’arrête de pensé à ça.

Rendant.

- oui capitaine.

- merci. Descend donc de ton perchoir Adrien.


Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 16:45

CHAPITRE 4 :

 

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            La seconde épreuve consistait à métamorphoser un objet en un animal ou autre. Et Joël entreprit d’apprendre cet art à son « élève » en seulement quatre jours. Et c’était un travail de titans. Ronald s’entrainait sans relâche mais il n’y parvenait pas.

- Eh, les gars, vous êtes là. On vous a cherchés partout.

            Angel et Davis venait d’arriver là où les deux sorciers étaient en train de s’entrainer et Ronald perdit aussitôt sa concentration pour se mettre à baver sur le blond qui lui faisait un sourire charmeur. Le roux alla à leur rencontre, un sourire béat sur le visage.

- on voulait se faire un pique nique sur la plage, vous vous joigniez à nous ? Demanda Angel en montrant le panier que tenait son petit ami.

- Moi ; je suis pour.

- Et toi, Joël, tu te joins à nous aussi ? Demanda Davis avec un regard persan.

- Non, je suis fatigué, je vais rentrer me coucher.

            Joël allait partir mais Ronald le retint par le bras, l’attirant contre lui. Le blond sentit son cœur s’emballer au contact de son corps contre le sien. Le souffle du roux dans son cou le faisait trembler. Il ferma les yeux s’enivrant de cette proximité. Il se mit à murmurer à son oreille d’une voix douce.

- S’il te plait, viens avec nous. Tu t’occuperas de Davis et moi d’Angel. S’il te plait, ne me lâche pas. J’ai tellement besoin de toi.

- D’accord, répondit il dans un souffle, il avait encore craqué il était trop faible.

            Ronald le relâcha s’éloignant de lui pour se retourner vers ses deux amis. Joël lui sentit un vide immense l’envahir, il essaya de reprendre son souffle. Il rouvrit les yeux et vit que le brun le regardait un sourire triste. Il baissa la tête, sachant que sa tristesse, ce n’était que de la pitié.

            Il accepta donc de les suivre gardant tout de même une certaine distance avec eux qui  ne s’en souciaient pas vraiment. Il aurait pu disparaitre que personne ne s’en serait rendu conte.

            Il n’ouvrit pas la bouche de tout le repas, de toute façon personne ne se préoccupait de lui. Ronald dévorait le blond du regard alors que les deux amoureux ne cessaient de s’embrasser.

            Avant le dessert, Joël se leva pour partir. Il s’éloigna lorsqu’il sentit une main se refermer autour de son poignet. Il espérait que ce soit Ronald mais lorsqu’il se retourna, ce fut pour se retrouver face à Davis.

- Tu rentres déjà Joël ?

- J’ai dit que j’étais fatigué, je vais rentrer.

- C’est dommage.

- Dit, Davis, tu…tu l’aimes vraiment… Angel ?

- Oui, on sort ensemble depuis que l’on à 11 ans. On s’est jamais quittés, c’est l’homme de ma vie. Et je ne laisserai jamais personne me le prendre. Il faut se battre pour ceux que l’on aime. Et toi aussi, tu devrais te battre.

- Moi, je n’ai rien pour me battre. Bonne fin de soirée Davis.

- Bonne nuit Joël.

 

 

- Regarde, Joël je me suis entrainé toute la nuit. Regarde ce que j’arrive à faire.

            Joël s’approcha de Ronald qui tenait une pierre dans ses mains et le blond la vit se changer en une petite réplique d’Angel. Ronald le fixait en souriant fier de lui. Joël lui fixait le petit Angel avec tristesse, il leva les yeux vers Ronald lui adressant un sourire forcé.

- C’est bien mais contente-toi de la changer en un animal. Un truc énorme auquel personne ne penserait pour tous les épater.

- Et toi, alors, t’as prévu de faire qui ?

- Je ne sais pas encore, on verra demain. T’inquiètes pas, je ne ferais rien de trop éblouissant, juste un petit truc, je ne veux pas te faire de l’ombre.

- Joël, j’ai vraiment été méchant avec toi, la dernière fois. Tu as beaucoup de talent, ne le gaspille pas à cause de moi. Si je ne gagne pas, je ne t’en voudrais pas.

- J’ai fait une promesse. Tu sais, pour les impressionner, tu devrais enchaîner les métamorphoses on a trois minutes alors lâche-toi.

- OK. Dis, Joël, je ne comprends vraiment pas pourquoi tu m’aides.

- On est dans la même équipe, c’est normal…que je t’aide.

- Non sinon tu aiderais aussi Angel et Davis.

- Ils…ils n’ont pas besoin de moi. Et puis je les aide quand ils me demandent des conseils. Tu devrais aller te coucher, il se fait tard. Demain, tu dois être en forme.

- hhhhhaaaaa…oui, tu as raison, je suis fatigué. Répondit-il en baillant. Et toi, tu va te coucher.

- Non, pas tout de suite. Bonne nuit.

- Hm, toi aussi.

 

            Ronald rejoignit la chambre et se laissa tomber sur son lit. Son cœur se serra lorsqu’il entendit des gémissements venant de la chambre du jeune couple. Des mots d’amour. Il entendait l’homme qu’il aimait, l’homme de ses rêves crier des mots d’amours à Davis alors qu’il lui faisait l’amour. Ça lui fit tellement de mal qu’il ne put s’empêcher de pleurer.

 

 

            Lorsque Joël entra dans la chambre, Ronald dormait à poings fermés sur le lit, la lumière de la lune faisait briller les larmes qui avaient coulé sur ses joues. Joël s’agenouilla à ses côtés essuyant les larmes déposant un doux baisser sur son front.

- Angel. Murmura le roux dans son sommeil.

- Non, moi, c’est Joël juste Joël. Mais ce n’est pas grave. Dors bien.

 

 

 

 

voila le chap 4 j'espère qu'il vous plaira. bisous à tous.
Par Amako - Publié dans : tournoi magique (ternimé)
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