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interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.

Samedi 20 février 6 20 /02 /Fév 12:57

CHAPITRE 5

 

 

 

J’ouvrir de grand yeux étonné alors que je sentais deux bras s’enroulé autour de mon buste. Mon cœur s’emballa au contact de ce corps si chaud. Pourquoi était-il revenu ? Pourquoi joue t-il autant avec mon cœur. Je fermai les yeux me laissant aller dans ses bras.

- On mage quoi beau brun ?

- Je ne sais pas encore. Que voulez-vous manger ?

- Moi, c’est toi que je veux manger.

Je n’eu pas le loisir de répondre. Je me retrouvai dépossédé de ma serviette et assit sur le plan de travail, ses lèvres scellaient aux miennes. Je nouai mes bras autour de sa nuque, alors qu’il prit mes jambes pour les mettre autour de sa taille. J’étouffai un cri de plaisir lorsque son sexe entra à nouveau à moi. Je m’accrochai à lui de toutes mes forces, alors qu’il me prenait avec plus de force que les fois précédentes. Je me laissai aller en arrière gémissent de plaisir. Tout mon corps n’était plus qu’un immense brassier. Et il avait allumé ce feu. J’ouvris les yeux pour le regardai et croisa son regard brûlant. Je le vit prendre une pêche dans la corbeille de fruit posait à mes côtés. Il croquait dans le fruit avant de venir m’embrassé. Ce baiser avait le goût de la pêche. J’adore ce fruit. Je tremblais de plaisir alors qu’il faisait glisser le fruit le long de mon corps. Et ses lèvres suivaient pour récolter le précieux nectar.

- Tu es délicieux André.

Je ne répondis rien trop pris par le plaisir qu’il me procuré. Il fut à nouveau le premier à jouir. Il se retirait, se laissant tombé à genoux devant moi pour prendre mon sexe en bouche et il ne me fallu pas bien longtemps avant de jouir sous ses caresses. Il se redressait pour revenir cueillir mes lèvres. J’étais tellement heureux qu’il soit resté. De pouvoir passer encore du temps avec lui.

- Reste nu pour préparé le diner André. À si non je pars.

- Oui. Répondais-je dans un souffle. Je ferais m’importe quoi pour qu’il reste avec moi.

Il m’embrassa une dernière fois avant de ce rhabillé et d’aller s’assoir sur le canapé. La cuisine communiqué avec le salon et de la où il ait il peut me voir. J’étais un peu gêné de me montré ainsi mais je voulais qu’il reste.

Je sentais son regard me suivre et j’avais bien du mal à me concentré sur mon travail.

- C’est…c’est prés Sean.

- Sa sent bon. Qu’es ce que tu as préparé.

- Des haricots avec des patates et des lardons.

- c’est délicieux. S’exclama-t-il après avoir goûté le plat. Tu es aussi super doué en cuisine. Tu es bon à marier.

- Ne vous foutez pas de moi.

- Dit, tu ne voudrais pas me tutoyer. Tu le faisais bine tout à l’heure.

- Si tu veux.

- Alors beau brun parle moi de toi. Demandait-il d’une voix enjouée.

- ça t’intéresse vraiment ?

- J’aime bien s’avoir avec qui je couche.

Je déteste parlais de moi, il ni as rien à savoir. Ma vie et tous sauf intéressant. Et je n’ai pas envi de lui dire que je me suis fait jetais par mes parents. Que j’ai passé plus d’un an dans la rue avant de trouvé ce boulot. Je ne voulais pas qu’il me regard avec pitié et compassion.

- Il ni as pas grand-chose à savoir. Je n’ai pas de famille et pas d’ami. Et je déteste parlais de moi. Et toi alors parle moi de toi pour que je sache par qui je me fait sauter.

Il me fixait en silence. Comme s’il essayait de lire en moi. Je baissai les yeux de peur qu’il puisse y lire tout l’amour que je lui portais.

- Je travail avec mon père comme vice président.

- Ton père il sait que tu et gay.

- Bien sur. Il s’en fou de savoir avec qui je prends du bon temps. De toutes façon il serrait mal placer pour me faire la leçon de morale alors qu’il adore baiser un mec de temps en temps. Très souvent même. Rajoutait-il un large sourire sur le visage. Pour lui et son père les hommes, les autres n’étaient que des objets servant à leurs vidé les couilles. Et j’étais juste un de ses jouets. Un perdu parmi tant d’autre. Il me fit sursauter lorsqu’il rompit le silence qui venait de s’installer.

- Et toi tes parents ?

- Je n’ai pas de parents répondis-je avant de me lever pour débarrassé la table. Je ni la vaisselle dans l’évier et lorsque je me retournai je vis qu’il me fixait avec un désir ardent. Il avait encore envi de moi. Il ne s’arrêté donc jamais. Mais moi aussi j’avais encore envi de lui, j’avais mal aux fesses, et reins partout en faite. Mais je le voulais encore. Toute la nuit à défaut de l’avoir pour la vie.

 

Je m’approchai de lui avec lenteur, n’arrêtant devant lui, le fixant en me mordant les lèvres pour étouffer un râle de désir. Je sentais mon sexe ce dresser sous son regard de braises. Il m’attira à lui me faisant s’assoir sur ses cuisses. Je sentais son sexe à nouveau dur frotter contre mes fesses. Je le fixais en silence, mais son regard disait tout ce qu’il avait envi de me faire. Je n’aurai jamais cru être capable de faire toutes ses choses. Je l’aime, je veux lui donné une raison de resté à mes côté même si ce n’es que pour le sexe. Je voulais être meilleur que tous ceux qui étaient déjà passé dans son lit. Je posai mes lèvres sur les siennes avec douceur alors que mes mains détachaient son jean pour en sortir son sexe, bandé, magnifique, si désirable.

- Tu en à envi ?

- Autant que toi Sean. Toute la nuit. Comme des bêtes.

- T’es increvable beauté. J’adore ça.

Je descendis de ses genoux et ne mis à genoux devant lui. Je lui retirai son pantalon et son boxer. Je pris sa ceinture et lui attacha les mains dans le dos, le faisant sourire. Je l’embrassai avec gourmandise et passion. Je le voulais tant. Je voulais qu’il m’aime. Je voulais qu’il ne regard que moi.

- Tu veux jouait. D’habitude c’est moi qui attache les mecs…aah

Je l’avais fait taire en posant ma langue sur sa verge. Je ne voulais pas qu’il pense à l’autre. Juste à moi. S’il te plait ne regard que moi. Je n’avais jamais fait cela, j’avais peur de mal faire, mais à en croire ses gémissement il devait apprécier le traitement.

- André c’est bon…aaah…t’es doué…

Je relâchai son sexe et je me redressai pour venir m’empaler sur son pieu, dos à lui. Le faisant crier de plaisir. Je me mis à bouger sur lui avec force. Ce que j’aime l’avoir en moi. C’est tellement bon.

- Aaah…t’arrête pas…c’est tellement bon…aaah…

Je me redressai libérant sa verge. Je lui adressai un sourire provocateur avant de me pencher vers lui pour aller lui murmurai à l’oreille.

- Je t’attends dans la chambre. Si tu arrive à te défaire de tes liens tu pourras faire ce que tu voudras de mon corps.

- attend tu ne va pas me laisser comme ça ? André.

- Je t’attends alors fait vite.

Je détournai les talons pour quittais la pièce et aller dans la chambre. Je n’avais pas vraiment bien serré les liens alors il devrait y arrivé. Je m’allongeai sur le lit attendant qu’il arrive. Je suis peux être allé un peu trop loin. S’il ne s’ennuie pas, si prend du plaisir peut être resterait-il avec moi. Je fermai les yeux quelques secondes et lorsque je les ré-ouvrir il était là devant moi, nu, magnifique. Son regard me dévoré, glisser le long de mon corps avec envi. Je fis glisser mes doigts le long de mes cuisses jusqu’à mon anus les faisant pénétraient en moi. Je fis glisser ma langue sur mes lèvres d’un aire aguicheur. Je le vit tremblais de désir.

- Je ne te croyais pas comme ça André. Aussi sadique. Tu aime jouer en dirait. J’en ai vu des salopes dans ma vie. Mais alors toi…hm je te donne la palme d’or.

Je me redressai, baissant la tête. Je ne voulais pas qu’il croit que je fais ça avec tout le monde.

- Tu…tu crois…que je suis une salope…c’est l’image que je renvois ?

- Non, pas du tout. Tu es juste un mec qui aime prendre du plaisir. Et j’adore ça.

- Alors vient…j’ai envi de ta queue.

Je me blottis dans ses bras à bout de souffle, à bout de force. Et le cœur remplis de joie. Il refermait ses bras autour de moi glissant ses doigts dans mes cheveux. Je me sentais si bien entre ses bras protecteur.

- Sa va André.

- Oui. Je suis fatigué.

- C’est normal. Il est deux heures du mat. Je suis vidé. Dans tout les sens du terme.

- T’es bête.

- C’était vraiment grandiose. Tu es un dieu.

- Toi aussi.

J’entendais son cœur battre et c’était tellement apaisant. J’ai fini par m’endormir dans ses bras. Un sourire comblait sur le visage.

 

 

 

Par Amako - Publié dans : le concierge ( terminé)
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Commentaires

salut !
j'ai eut du mal à comprendre le chapitre vu qu'il y a eut un bug mais j'ai fait un effort lol
commentaire n° :1 posté par : danouch74 le: 01/03/2010 à 11h27
je réglais le probléme, je n'avais pas vu que ce chapitre aussi avait bugger. désolé T_T
réponse de : Amako le: 01/03/2010 à 16h02
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