CHAPITRE 1 :

«　J’ai voulut vous raconté mon histoire. Et ce n’es certainement pas pour avoir votre pitié. Je ne cherche pas à me confessé où bien de m’amendé. C’es mon passé, on ne peut le changer. Aujourd’hui je l’assume pleinement. Sa fait parti de moi je ne peux le refoulé, le renier.

Je suis devenu une pute pour pouvoir être aimé de celui que j’aimais. De cet homme qui ne m’as jamais rendu mes sentiments. Je n’étais qu’un de ses jouet. Il ce server de moi. Et je le laisser faire, je l’accepter en silence, je l’aimer. Je ne voulais pas le décevoir. Je ne voulais pas qu’il ce lace de moi.

J’écris cette histoire pour faire comprendre aux gens que l’ont ne doit pas tout accepter par amour. Et que dans ce monde si noir soit ils, nous trouveront toujours une personne. Cette personne qui serra nous faire voire la beauté de ce monde. Moi j’ai trouvé cette personne. Aujourd’hui c’est mon soleil, ma lune, mes étoile, mes planètes. Mon jour et ma nuit. Ma terre et mon ciel. Mon oxygène, mon eau, ma nourriture. Je suis lui, il est moi. Il et mon univers et je l’aime.

Aujourd’hui à travers ces page c’est notre histoire, notre rencontre, notre souffrance, notre bonheur que je vais vous narré. Ne juger pas, ne soyas pas compatissons, n’avaient surtout pas pitié. Je veux juste ouvrir les yeux à ceux qui les auraient encore fermées.　»

Je me souviendrais toujours de la première fois où je l’ai rencontré. À cette époque j’avais 18 ans, j’étais jeune et con. Je passer mon temps à faire la fête, à boire, et à collectionné les filles. Toutes plus belle les une que les autres. Je ne penser qu’à ça m’amuser et baisers.

- Eh Jaylan. Reste pas assit sur ta banquette vient danser avec moi beau blond.

Elle avait raisin je suis beau. Sans vouloir me vanté je suis beau. Je suis blond vénitien, ni long, il était fin et doux, les filles adoraient glisser leurs doigts dedans. Mes yeux étaient d’un gris bleuté qui les fessait toutes craqué. Mais ce qui les rendait toutes dingue c’est sans nul doute mon corps. Je suis sportif alors j’ai le corps élancer, et finement musclé. Je trouve que je suis beau et j’en joue. Ce soir là je portais un jean délavé qui moulé mes cuisses et mes fesses. Le polo bleu que je portais été tout aussi moulant. La jeune brune qui était ma victime de la soirée m’attrapa par le bras pour m’attiré sur la piste de danse. Je me collai à elle, posant mes mains sur ses hanches, elle cette serra contre moi. Je rapprochai mon visage du sien, frôlant doucement ses lèvres. Elle ferma les yeux ce laissant aller dans mes bras, elles étaient tellement facile à séduire. Sa en devient lassant tellement c’est facile. Je voudrais quelque chose de plus dur. Ce soir là j’ignoré que ma vie aller basculer. Un simple regard et je suis devenu comme ses filles.

Je la laisser ce remettre de ce baiser passionné que je venais de lui donné si avec sa elle me supplier pas de rentré tout de suite pour que je lui fasse l’amour je n’appelle plus Jaylan.

Je me dirigeai vers le bar, j’avais vraiment soif. Et c’est là que je croisai son regard et que mon monde s’écroula en une fraction de seconde. Son regard me transpercé. Ils étaient d’un noir profond comme ses cheveux. On aurait dit un corbeau signe de malheur prochain, mais moi je n’ai fait qu’être éblouit par la noirceur de son plumage sans voire son regard dévorant. Je ne pouvais plus détacher son regard. Il était entouré d’un groupe uniquement composé d’homme. Je fis glisser mes yeux le long de son corps. Il portait un costume qui lui aller à merveille. J’avais atrocement chaud. Je me demandais si c’était dû à l’alcool, la température de la pièce où de son regard qui continuait de me fixait avec intensité. J’avalai mon verre en vitesse et m’empressa de sortir de la boite. Je devais m’éloigner de cet homme qui me fessait tourné la tête.

Il fessait frais dehors, mais sa ne fessait en rien redescendre ma température. Qu’es ce qui m’arrive. Je ne suis pas attiré par les hommes, je ne suis pas P.D. je m’appuyai contre le mur essayant de calmé mon cœur. Ce n’était qu’un moment d’égarement rien de plus. Je levai les yeux au ciel. Quelle folle soirée. Je crois que je vais rentrer seul ce soir.

- Alors on cherche à me fuir　?

Je sursautai en entendant cette voix froide et sensuel à mon oreille. Je n’éloignai de cet homme qui semblait bien trop dangereux pour moi. Je sentais la chaleur remonté dans mon corps. Il me fessait perdre tout mes moyen. Sa ne me ressemblais pas. Que m’arrive t-il ?il s’approchait de moi qu’un démarche provocante. Plus il ce rapproché et plus j’avais du mal à respirait. L’air ce fessait plus oppressent à chaque pas qu’il fessait. Je vais devenir fou.

- Alors tu me fuis ? Un pas de plus

- Non…pas du tout.

- Je t’impressionne ? Un autre pas vers moi, je pouvais sentir son souffle sur mon visage.

- Non…

- Alors je t’excite ? Son corps était contre le mien, ses lèvres frôlaient les miennes. Qu’il arrête de me rendre fou.

- Je…ne suis pas gay.

Il ne répondit rien et ne plaqua contre le mur avec force pour prendre mes lèvres. Je restai sans réaction les yeux grands ouverts. Je ne pouvais pas le laisser faire, alors pourquoi es ce que je ferme les yeux ? Pourquoi es ce que je le laisse faire ?

Je laissai sa langue aller jouer avec la mienne. Je tremblais de la tête aux pieds. Je n’avais jamais ressenti cela avec un simple baiser. Il cherché à me rendre dingue de lui. Il fini par relâché mes lèvres, je me sentis vide dés qu’il fut loin de moi. Il me fallut quelque secondes pour revenir sur la terre ferme enfin je restais à planer un ou au dessus du sol. Il était toujours coller à moi, son souffle brûlant m’empêché de reprendre mon souffle rendant l’air froid, brûlant. Je laissai échapper un gémissement de plaisir lorsque ses dents mordillèrent mon oreille.

- Tu sais que tu n’excite. J’ai envi de te baiser, la tout de suite contre ce mur. Je suis sur que tu va adorer ça.

- Je…ne suis pas gay.

Il me prit par le bras pour m’attiré dans une ruelle sombre et je pris peur. Non, pas comme ça dans une ruelle sinistre. Je devais partir loin de lui, de son regard si envoutant qui me ferait faire m’importe quoi. Je réussi à me défaire de sa prise et voulut partir mais ses doigts s’enroulaient à nouveau autour de mon poigner.

- Attend.

Il me força à me retourné vers lui et il me mit un morceau de papier dans la main me fessant un regard charmeur. Il m’attira contre lui posant un baiser furtif sur mes lèvres avant de partir. Je le regardais s’éloigner le cœur aux bords de lèvres. Ce mec que venait-il de me faire. Je tremblais encore de ce baiser qu’il m’avait donné. Je dépliai le morceau de papier les mains tremblantes. Il y avait une adresse écrite d’une fine écriture, penché, élégante. Même son écriture était belle. Au dessous de l’adresse il y avait quelques mots d’écrit.

«　Si tu change d’avis passe me voire. J’adorerais m’occuper de ton jolie petit cul.　»

Je mis le morceau de papier dans ma poche. Je n’irais pas le voire. Non. Alors pourquoi es ce que je garde ce papier. Je me laissai glisser le long du mur enfonçant mon visage entres mes mains. Ce n’était qu’une expérience parmi tant d’autre.

- ce que je peux être con.

«　C’est comme ça que tout à commencé. Qu’aurais du faire pour me pas sombré d’avantage dans ses ténèbres que tu représenté. Ton regard m’avait envouté. Et ton baiser avait ravis mon cœur. Tu m’as entraimé vers ma perte en un seul regard. Et j’y ai foncé sans réfléchir. Trop sous l’emprise de ton regard de démon.　»

　 j'ai galèrais pour publier ce chapitre, les paragraphe ne ce copier pas dans le bon ordre. sa ma vraiment pris la tête. mais bon j'ai vaincu.
les passage en italique et entre guillemets son des passage du livre qu'a écrit Jaylan. donné votre avis. 

CHAPITRE 11 :

J’avais arrêté de respirais. Non ce n’est pas possible sa ne devait pas être dit de la sorte. Pas par elle, pas avec ses mots. Non. J’avais envi de disparaitre, s’il y avait un trou je me serré jetais dedans. C’étais plus que je ne pouvais en supporté. Je ne supporté plus le silence. Je suis sur qu’il va partir en courant et ne plus jamais vouloir me voire. Je pris mon courage à deux mains pour le regardais. Il me fixait les yeux remplis d’étonnement et d’une autre chose que je n’arrive pas à décrire. Dit quelque chose Bruce, dit lui que c’est moi que tu aime et pas cette pouf. S’il te plait dit le lui.

- c’est…c’est vrai ? Demanda-t-il avec innocence. Pourquoi faut-il qu’il soit si aveugle.

- va-t’en Bruce. S’il te plait va t’en et oublie moi. J’ai été que bien trop patient. Je suis à bout de force. Je ne peux plus Bruce, je n’en ai plus la force. S’il te plait va t’en soit heureux et oubli moi.

J’avais l’impression que mes jambes allaient céder sous le poids de ma tristesse, qu’il parte avant que je ne me rende encore plus pitoyable à ses yeux.

- mais Gil…

- VA-T’EN. Criais-je à bout de force. TU AS RETROUVE LA FEMME DE TA VIE. TU N’AS PLUS BESOIN DE MOI ALORS VA T’EN.

- il a raison mon amour. Tu m’as moi tu n’as plus besoin de lui.

Elle m’arracha son sac des mains me jetant un regard assassin alors qu’il ne fixait toujours totalement perdu. Elle le prit par le bras pour le tiré vers la sorti, il ce laissa entrainé sans détaché son regard de moi jusqu’à ce que la porte ce referme sur eux et que je m’écroule au sol, à bout de force ne pouvant plus retenir mes larmes.

C’était sans nul doute la dernière fois que je le voyais, je venais de perdre mon meilleur ami. De perdre l’homme que j’aime. J’avais tout perdu et je me retrouvé seul.

De nous deux je suis sans doute celui qui avait le plus besoin de lui, j’étais le seul qui aller souffrir de cette éloignement.je voulais tant que cette douleur cesse. Il avait menti c’est elle qu’il a choisit. Je le savais mais comme un con j’y ai cru.

Je n’avais même plus la force de me levé. Je n’avais plus la force de faire quoi que ce soit à par pleurais encore et encore. J’ai si mal. Il faut que j’oublie, il faut que je parte de cet endroit. Que j’oublie tout ce qui le concerne.

J’ai fini par me levé pour aller vers le mimi bar et je pris une bouteille et en avala un longue gorgé, je me buvais jamais. Je n’étais même pas fait ça lors de la mort de mes parents. Cela ne m’avait pas fait aussi mal. Je veux juste oublier ne plus pensé à rien. Je me levai pour prendre le cadre poser sur le buffer comme la plupart des photos de cette maison c’était Bruce et moi sur la photo, cette fois ci ont été parti faire du ski, ont été bras dessus bras dessous mon ski à la main un sourire heureux sur le visage. C’était tout juste quelque mos avant qu’il ne rencontre cette pute. Des le premier regard je l’avais déteste. Elle ne fait que jouer avec lui et il ne voit rien. Moi je serrais l’aimé comme il le mérite mais il ne veut pas de cette amour que je lui offre.

Je crois que j’avais fini par m’endormir après avoir descendu une bouteille de vodka. Ce n’étais pas la meilleure des solutions mais sur le moment c’est celle qui n’avais semblais la meilleure. Que pouvais-je faire d’autre à part noyer mon chagrin.

J’étais assis dans mon jet privé, une paire de lunette sur les yeux, pour caché mon regard fatigué et cerné. Je n’étais réveillé allongé à même le sol, courbaturé et en très mauvaise état. J’avais vomis tout ce que j’avais bu et plus encore. J’étais vraiment dans un état pitoyable. Dés que j’avais réussi à prendre une douche et à reprendre un peu mes esprit j’avais mit des affaires dans une valise et avais quitté cette endroit qui ne me rappelait que trop Bruce. J’avais décidé de faire le tour de tous les hôtels de notre compagnie. Cela me prendrait des mois et me permettre de faire le vide dans ma vie et dans mon cœur.

-allô André.

- salut Gil. C’est bon d’entendre ta voix. Sa va ?

- j’ai besoin que tu t’occupe de mes affaires pendant que je fais le tour de nos établissements.

- pourquoi ?

- c’est fini André. Il est au courant et il la choisit elle, j’ai besoin de partir loin de lui. Loin de tout ça.

- merde. Je…tu veux que je vienne avec toi.

- André tu veux faire quelque chose pour moi ?

- bien sur.

- soit heureux pense juste à ton couple, à ta famille.

- mais…

- s’il te plait André. J’ai juste besoin d’être seul. De remettre de l’ordre dans ma vie, dans mes sentiments. Je reviendrais dés que je serrais prés à l’affronté. Sa va sans nul doute ne prendre un certain temps.

- prend ton temps. Je veux que toi aussi tu sois heureux.

- j’ai jeté mon téléphone pour qu’il ne puis pas ne joindre. Je t’appelle dés que j’ai un nouveau téléphone.

- fait attention à toi Gillian et revient nous vite. Je t’embrasse.

- moi aussi.

Je raccrochai et me laissa aller dans mon fauteuil fermant les yeux, je suis épuiser. Je vais juste dormir un peu. Peut être qu’à mon réveille tout cela ne serra plus qu’un mauvais rêve.

　voila j'espère qu'il vous aura plus. il ne reste plus qu'un chapitre avant l'épilogue. j'ai pas envi d'arrêté cette fic mais les bonne choses en toujours une fin. et puis j'en ai encore plein d'autre en progé. bisous à tous.