Que quelqu’un me sauve.

Je suis assit dans ma chambre mon petit frère et la avec mon père, sa cris comme d’habitude. Pourquoi faut-il que sa ce passe toujours de la même façon. Des cris, des insultes des mots qu’ils regretteront plus tard. Et moi au milieu de tout sa que dois-je faire. Je me devrais pas m’en mêler ça va encore me retombé dessus. Et pourtant par automatisme mes jambes me portent tous seuls. Je déverrouille la porte de ma chambre et je descends les quelques marches qui me sépare d’eux. Je me sens mal, j’ai le cœur serré et l’estomac noué que va-t-il encore ce passé. Lorsque je les vois enfin il son empoigner près à ce battre. Je m’interpose à quoi bon je sais très bien que sa me les arrêtera pas. Je prends juste les coups à leurs places. J’ai beau crier les supplier d’arrêté rien à faire. Ils me n’écoutent pas, ils ne m’écoutent jamais.

J’arrive plus à respiré, j’ai mal à la gorge sa me brule, j’ai l’impression que je vais mourir mais personne me semble s’en soucier, j’ai toujours était si transparent pour eux je veux juste que quelqu’un me regard. Je dois partir d’ici où je vais devenir fou. J’ai l’impression d’étouffé. Je suffoque et il ne voyant rein trop occuper à ce faire du mal. À me faire du mal.

Je prends mon scooter je dois quitter cette maison, cette prison où l’ont à perdu la clé de ma cellule depuis bien longtemps déjà. Personne n’essaye de me retenir, ils ne font rien. Je voudrais juste que l’un deux me prenne dans ses bras pour calmé mes sanglot, mon angoisse. Mais ils me laissent partir. Je me vois rien les yeux trop embué par les larmes, ma gorge et en feu, c’est si douloureux et le froid de la nuit me m’aide en rien. Mon cœur et comme pris dans un étau c’est atroce cette douleur que cela cesse.

Je voulais juste passé un Week end tranquille. Me repose de ce travail qui m’épuise tant, ce travail que je fais uniquement pour pouvoir aider mon père à payer ses factures. Et ses insulte, sans indifférence me fait ci mal. Regard moi, occupe toi juste un peu de moi. Cesse d’ignoré mes sentiment. Je suis là regard moi. Juste une seconde, je demande juste une seconde de ton attention.

Je l’ai pas vu, ce virage, cette route je me l’ai jamais pris la nuit, ce virage je n’ai pas pu tourner à temps, j’ai braqué trop rapidement, le scooter glisse dans un crissement sinistre m’entraiment dans sa course folle et je perds connaissance dans le fossé.

Il fait tellement froid où es ce que je suis ? Que c’est il passé ? J’ai mal partout ? Et alors je m’en souviens. La visite de mon frère, les cris les coups, la douleur. L’accident. Depuis combien de temps suis-je là ? Il fait si froid. Personne n’es venu me cherché. Pourquoi ? Pas un seul appelle. Je pourrais mourir ici personne ne s’en soucis. Alors je referme les yeux et j’attends je me sais pas quoi. J’attends juste. Et voila que maintenant il ce met à pleuvoir. Je veux que l’ont me sauve.

Je sens quelque chose de doux ce poser sur ma joue et une voix qui m’appelle doucement. Es ce que je suis mort. Non je sens encore la douleur. Et la pluie qui me cesse de tombé. J’ouvre difficilement les yeux.

- jeune homme ça va ? Tu m’entends ? Je vais appelais les secours.

Il allait partir mais je le rattrape, le retenant par le bras. Il ressemble à un ange.

- ne par pas. S’il te plait ne me laisse pas seul.

Je ne veux plus être seul, s’il te plait me lâche pas ma main. Je me redressai juste assez pour pouvoir capturer ses lèvres. Je sens une douce chaleur m’envahir. Il ne me repousse pas, il me fixe étonné.

- s’il te plait. Sauve-moi. Même si c’est par pitié. Même si ce m’es qu’une fois s’il te plait sauve moi.

Je glissai mes bras autour de sa nuque, le rapprochant de moi, frôlant ses lèvres des miennes.

- s’il te plait, me ne laisse pas mourir sauve moi.

Il me prit dans ses bras à son tour posant ses lèvres sur les miennes et je sentis la vie reprendre possession de mon corps. J’étais juste pour une fois, mais j’allais faire l’amour avec un ange. Ses bras m’enserré avec tellement de force et de délicatesse à la fois, son baiser était si doux, si tendre. Son corps ce coller au mien, notre baiser avec un gout d’eau salé, le mélange de l’eau de pluie et de mes larmes. Moi qui avais si froid il y à cinq minutes j’ai à présent l’impression d’être en feu. Il pleuvait en étaient trempé mais peu importe. De toutes façons mon vêtements en vite disparut et son corps nu et venu ce coller au mien, il m’a allongé sur le sol boueux, après avoir placé sa chemise sous ma tête. Ses mains me bruler la peau, réchauffant mon corps. Ses baisers apaiser mon cœur meurtrie. Jamais un homme me n’avait touché de la sorte, avec tant de douceur et de délicatesse. Comme s’il avait peur que je me brise entre ses doigts.

- quel et ton prénom ? Demanda-t-il dans un souffle contre mes lèvres.

- Andy.

- Andy. Mon nom était si doux entre ses lèvres. C’est un très joli prénom. Je m’appelle Nathaniel.

- comme…l’ange.

- oui comme l’ange. Répondit-il en souriant, glissants ses doigts dans mes cheveux.

- tu es un ange, tu n’as sauvé.

- c’est toi l’ange Andy.

Je le sentis ce fondre en moi et je me sentis revivre. C’étais si bon que mes larmes ce remirent à couler mais cela était si douce. Il embrassa mon œil gauche léchant les larmes puis il fit la même chose avec le droit me faisant sourire. J’aime cet homme. Je suis tombé amoureux de lui au premier regard sous cette pluie battante. Sa me durera que le temps d’une étreinte mais il n’aura sauvé. Parce qu’il me regard, il me regard que moi, il fait attention à moi, il s’inquiète pour moi. Il en fait bien plus qu’on en a déjà fait pour moi. Je voudrais que cette instant me cesse jamais, que la pluie balaye à jamais la douleur de mon cœur, qu’elle le remplisse de lui à tout jamais.

- je t’aime Nathaniel.

Lorsque je suis rentré il y avait les gendarme devant cher moi, il venait juste de sortir de prison et il allait y retourné et moi qu’es ce que j’allais faire. Je m’en peux plus, pourquoi ? Regard moi ? S’il te plait papa regard moi ? Où je vais sombrer à nouveau.

Je sentis une main ce glisser dans la mienne et un corps chaud ce coller au mien.

- je te regard Andy. Tu ne serras plus jamais seul. Alors cesse de pleurais.

Quelqu’un m’avais entendu et était venu me sauvé.

Fin.

CHAPITRE 2 :  pov jackson

J’étais incapable de bougé au de faire le moindre geste ou de parlais, on me parlait mais je n’écouté rien. C’étais comme si le temps venait de s’arrêté autour de moi, plus rien m’existé, plus aucun bruit, le vent avait cessé de soufflé, les vagues ne venaient plus s’écrasé contre la coque de mon navire. Je me pouvais détacher mon regard de lui, de ses deux superbes prunelles bleues. De ces deux océans encore sauvage.

Il était tellement beau et à cette instant je suis tombé fou amoureux de lui c’est sa le coup de foudre ? - on les a repêchés. Ils ont du être jetés à la mer après avoir étais dépouiller.

Je m’approchai du beau brun et de la blondasse qui étais agrippé à son bras, j’avais envi de la tuer cette garce. Je m’agenouillai devant lui souriant.

- quel es ton mon ?

- Adrien.

- c’est un très joli prénom. Moi c’est Jackson. Enchanté.

Son nom était magnifique et sa voix si envoûtante, si froide, si masculine, incroyablement érotique qu’elle me faisait tremblait. Qu’es ce qui m’arrive, moi si froid. Je croyais ne pas avoir de cœur et pourtant il bas pour lui incroyablement forts. Je me redressai pour m’adressé à mon second.

- donne leurs des vêtements ensuite conduit les à ma cabine que l’ont parle.

J’adressai à un large sourire à mon beau brun avant de détourné les talons un sourire Bea sur le visage. Un sentiment que je n’avais encore jamais ressenti emplis mon cœur le faisant battre comme il n’avait jamais battue. Il battait à une vitesse folle et sa me terrorisé.

J’étais assis dans ma cabine regardant la mer à travers la fenêtre. L’endroit été plutôt simple un bureau en bois massif, un fauteuil, un divan et un immense lit et des meubles de rangements. De toute façon sa n’avais pas d’importance puis que tout ce qui m’intéresse c’est cette immense bais vitre qui donné sur un balcon me permettant de sortir pour pouvoir observé la mer, il n’était pas rare que je m’endorme sur ce balcon. C’est toujours Milan qui devait venir me couvrir pour que je ne prenne pas froid. Je ne pensé à rien je me contenté de regarder. Je n’entendis pas frappé à la porte.

- Jack　!

Je me retournai sortant de ma contemplation pour plongé dans un autre océan mystérieux envoutant, magnifique. Il me fixait avec une certaine froideur qui me serra le cœur pourquoi tant de froideur à mon égare me déteste t-il ?

Je leurs fit signe de s’assoir en face de moi sans le lâché du regard, je me noyer dans ses deux océans encore inconnu. Je n’ai jamais rencontré un homme aussi beau que lui.

Je réussi enfin à détaché mon regard de lui pour me tourné vers celle qui l’accompagner. Je me demandé ce qu’elle était pour lui. Et bien malgré moi je me senti triste étais telle sa petite amie ? Mn je me voulais pas y pensé. Je lui souriais avec douceur.

- comment ce fait-il que vous nageaient avec les requins. C’est dangereux de nagé avec en haute mer vos parents ne vous l’ont jamais dit ? Demandais-je avec ironie.

Lui ne semblais pas avoir envi de rigolé son regard étais si froid, qu’il me glacé le sang.

- des brigands nous en tout prit et nous en jetés à la mer après. Répondit la blonde d’une voix fort désagréable, je me tournai vers elle lui adressant un regard glacial.

- quel es votre nom demoiselle ?

- je m’appelle Alizé.

- fille du vent. Et tu aussi volage ?

- non. Répondit-elle outré par ma question.

- et où vous rendiez vous avant ce fâcheux incident ? Je peux très bien vous y conduire. Je ne demanderais rien en retour.

- les gens de votre espèce demandent toujours quelque chose en retour.

Intervenais la voix froide de mon adonis. J’essayais de me pas laissait un voile de tristesse s’installé dans mon regard. Je lui adressai un large sourire cachant ma tristesse.

- et de quelle espèce suis-je donc ? Jeune homme.

- les pirates je déteste les pirates. Je les hais plus que tout. Vous devriez tous être pendu haut et cour vous étaient des être méprisable. Nous m’avant pas besoin de votre soi disant charité rejeté nous donc à la mer en ce débrouillera seul.

- très bien Milan.

Mon second entra dans la cabine ce plantant en face de moi un large sourire sur les lèvres.

- oui capitaine.

- quand arrivant nous au prochain port ?

- dans deux à trois jours.

- très bien faite le plus rapidement possible. Ces jeune gens sans pressé de quitter, ils me veulent pas rester en compagnie de gens aussi méprisable que nous. Enfin surtout moi.

- tans pis ils ne savent pas ce qu’il loupe. T’es le meilleur des capitaines

- conduit les dans la cabine des invité et fait en sorte qu’il soit bien traité. Qu’ils n’aient pas à ce plaindre de l’hospitalité de ce bateau.

- oui jack. Suivaient moi.

Ils ce levaient pour suivre Milan. Alors que je croyais qu’il allé sortir il ce retourna vers moi, me fixant toujours avec autant d’arrogance, de froideur. Je lui répondis par un sourire qui masqué tant bien que mal ma douleur.

- je déteste encore plus les hypocrite qui de votre espèce. Toujours à sourire comme des cons.

- pense ce que tu veux Adrien.

Il sorti de la cabine me laissant seul. J’avais perdu mon sourire à quoi bon sourire, c’étais dit il me déteste.

Je me redressai et retourna à la contemplation de l’océan. Le cœur douloureux c’est donc sa la douleur de l’amour.

1^er partie.

CHAPITRE 1 : pov Jackson

Je suis née cinquième de 10 enfants mon père étais paysan. Un homme comme il en existé par centaine à travers le monde, ma famille était tout ce qu’il y avait de plus banale, quatre frères ainé, deux petites sœurs et trois autre petit frères en allais pas à l’école on devait travailler sur les terres je détesté sa, je trouvé cette vie si ennuyante si plate, sans le moindre intérêt. Il ne s’occupé pas vraiment de moi ou de mes autre frères et sœur, si mes frères et sœurs cherché à attiré l’attention de mes parents, leurs amour moi au fond je m’en moque, je ne m’étais jamais senti chez moi à leurs coté. J’avais l’impression de n’être qu’un étranger dans cette famille.

Tout les soirs le même rituel j’allais m’assoir sur la plage pour regardais la mer, cette immensité bleu. Elle me terrorisé autant quelle me fasciné. Si belle si puissante. Elles étaient si calme, et elle pouvait rentrer dans des colères terrifiante à en glacé le sang mais c’étais toujours un spectacle merveilleux.

Je rêvé de partir de navigué sur cette immensité indompté, sauvage, mystérieuse.

Elle me terrifier depuis mon plus jeune âge. Je ne savais pas nager, j’avais faillis me noyer. Je me souviendrais toujours de ce jours je voulais juste approcher cette chose qui m’attirais temps je suis rentré dans l’eau sans savoir nagé. Ce jours la elle était agité et les vagues mon entrainé vers le fond, j’avais beau lutté, j’arrivé pas à remonté, l’aire quitté mes poumon et je perdais connaissance et je me laissai sombré. Lorsque je me suis réveillé je croyais être mort, mais les vagues m’avaient déposé avec délicatesse sur le sable, elles ne m’avaient jamais voulu me faire de mal, mais j’avais tout de même un peu peur. Malgré sa elle continué de me fasciné de m’attiré je voulais temps la découvrir en exploré chaque centimètre carré, c’étais là seul chose qui me donnais le sourire et l’envi de continuais d’avancé. Je crois qu’en faite je cherche quelque chose dans cette immensité. Une chose que je n’ai pas sue trouvé sur la terre.

À 9 ans une nuit j’ai quitté notre petite maison, je suis parti sans le moindre regret, sans me retourné, sans versé de larmes. Ils auraient une bouche de moins à mourir comme sa. Ca les soulagera un peu. J’ai étais engagé par un pirate, je m’en moqué, pirate au autres, je voulais juste pouvoir navigué. J’ai très vite compris que l’ont avait pas besoin de moi pour nettoyer le pont. J’allais devoir payer ma place de mon corps. Je voulais voguer sur la mer plus que tout au monde alors je faisais des efforts je les laissais faire ce qu’ils voulaient de mon corps, c’étais toujours violent sans la moindre tendresse, tellement douloureux. Ils voulaient juste profité d’un gamin et je l’ai laissé faire. Je me ressentais rien, je m’étais alors qu’une coquille vide, mon corps étaient là sous ses corps répugnant mais mon âme elle était sur cette mer que j’aimé temps. Je me ressens rien, je ne ressentais jamais rien. Je passé mon temps à regardé la mer, en silence. Je me parlais que lorsque cela étais nécessaire. J’étais un solitaire je me recherché nullement la présence des autre, je me complais dans ma solitude. Il ni avais que moi et la mer elle était ma seul amie, mon confident, mon seul amour.

À 16 ans je suis devenu le plus jeune capitaine de navire pirate le plus jeune chef de pirate. J’avais tué ce connard qui avait abusé de ma passion. J’avais enfoncé cette lame dans son cœur sans le moindres remords, sans en ressentir la moindre tristesse. Rien du tout comme d’habitude, j’étais vide sans sentiments, une coquille vide, peux être que c’est mon âme que je cherche.

J’avais le plus beau des bateau navigant et un équipage qui me respecté. Je ne devais plus joué la pute. Je ne me voulais plus jamais qu’un homme pose ses mains sur mon corps. Je voulais juste pouvoir arpenter la mer en toute tranquillité aux commandes de mon navire. Je voulais passer ma vie à découvrir cette immensité si mystérieuse.

Parfois je me demandé ce que devenaient mes parents, mes frères, mes sœurs. Étaient-ils heureux. Mais jamais s’il pensé à moi, ils n’avaient rien à faire de moi. Et sa me m’attristé pas il y a bien longtemps que je ne les considère plus comme ma famille. Ils ne sont que mes géniteurs rien de plus.

Bref voila à quoi ce résume ma vie, la solitude malgré tout ce qui m’entour.

Il parait que je suis plutôt beau c’est sans doute pour sa qu’il m’a pris comme pute mais à par mon corps il n‘y as rien de très attirent. Je mesure 1m85 pour 75 kg, je suis musclé, j’entretien mon corps. J’ai de longs cheveux châtain que j’attache en une queue de cheval basse et des yeux vert émeraude, j’aurais voulu avoir les yeux bleus. Je manie le sabre comme personne ce qui contribué à ma notoriété et à être respecté. C’est un monde sans scrupules c’est tuer ou être tuer et pour pouvoir continuais d’avance je m’ai pas excité à le faire.

- Jack on a besoin de toi sur le pont.

C’est à ce instant là que ma vie à basculé. Lorsque j’ai franchi cette porte.