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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Dimanche 17 janvier 7 17 /01 /Jan 21:19

 

 

TOURNOI MAGIQUE.

 

 

 

 

 

Toute l’école était en ébullition, les élèves couraient tous en direction de la grande salle. Ronald enfila sa robe de sorcier en vitesse comme à son habitude il était encore en retard. Il sorti du dortoir à toute vitesse pour rejoindre la grande salle au plus vite. Il fallait toujours qu’il cour combien de fois c’est il retrouvé en retenu à cause de ses retard perpétuelle. Il fallait qu’il soit en retard un jour aussi important que celui-ci. Arrivé dans le hall il percuta un autre élève de plein fouet l’envoyant sur le sol.

- je suis désolé. Cria-t-il en continuant sa course. Il entra enfin dans la grande salle s’essayant à la table de sa maison. Et il fut soulagé de voir que sa n’avait pas encore débuté en effet le directeur venait tout juste de faire son entre. C’étais un homme d’environ 60 ans au visage ridée aux cheveux grisonnent mais au regard franc et qui donné confiance. C’était un homme bien respecté de tous. Il était sage, sage parmi les sage. Cet homme était le sorcier le plus puissant au monde.

- Cher élèves vous le savait tous les tournois opposant les écoles de sorcier va ce déroulé cette année sur l’île invisible…

- Si elle et invisible comment en fait pour la voir ? Demanda un élève déclenchant l’Hillarie général.

- Très bonne remarque M. Scott dommage pour vous vous ne connaitre pas la réponse.

Nouveau rire collectif que le directeur calma d’un simple signe de main.

- Donc comme je le disais avant d’être si gentiment coupé le tournoi débute très bientôt et nous avant sélectionné nos quatre champion. David BARNIMOLLA.

Un grand brun musclé, aux yeux d’un noir envoutant ce leva pour ce dirigé d’une démarche fier et sur de lui vers le directeur qui l’attendais avec un souri paternel. Davis et sans nul doute possible l’un des meilleurs élèves de cette école, l’un des plus beau et des plus populaire auprès des deux sexe qui ne voudrait pas avoir les faveur de ce beau ténébreux à la peau satiné et au muscles saillant malheureusement il était cassé et fou amoureux.

 

- Ensuite Angel GRATTEGNO.

Cette fois ci celui qui ce leva était blond et seigneur tellement différent de Davis et tellement aussi désirable. Il porté bien son mon Angel, un véritable ange. Il s’avança vers l’estrade sous le regard désireux de la salle. Il était si beau avec ses long cheveux blond ses trait fin androgyne, sa démarche sensuel et surtout ses sublime yeux gris acier dans lesquels on ce noyer si facilement sans cherché à ce débattre. Mais seulement lui aussi n’était pas libre et fou amoureux à la déception général. Il rejoignit Davis sur l’estrade lui adressa un sourire qui ferait chaviré le cœur de m’importe qui.

- Ronald JAMES.

Le petit roux tomba à la renverse en entendent son mon. Il ce redressa sous l’Hillarie générale. Il ce releva la tête dévoilant deux émeraude des plus attirant. Il ce dirigea vers l’estrade s’arrêta devant son directeur.

- Monsieur vous êtes sur de ne pas vous être trompé ?

- Tu as fait Ronald va rejoindre les autres.

- Oui monsieur.

- Et ensuite…

 

 

Un jeune blond assit au bord du lac dessinant sur son carnet de croquis. On l’avait encore bousculé sans faire attention, c’était une habitude on me faisait jamais attention à lui. Depuis toujours il avait fini par si faire oubliant la douleur d’être ainsi invisible aux yeux des autres.

- Joël LEVI et attendu de toute urgence dans la grande salle.

Le concerné releva la tête étonné, ses lunettes caché deux superbe yeux bleu aussi claire que le ciel, ils étaient sublime mais ils les caché. Il ce leva ce demandant ce que l’on pouvait bien lui vouloir. Il referma son carnet il ce dirigea vers le château.

La grande salle lui il l’évité le plus possible, pourtant c’étais une pièce incroyable capable de s’agrandir à volonté de changé de formes, les élèves l’appelé la salle des mystères tout les jours elles changé d’aspect, ses mur au style gothique étais couvert de porte et de tapisserie qui conduises dans toutes les pièces de ce château mais il fallait mieux les évité si en me voulais pas ce perdre étant donné qu’elles ne conduisaient jamais dans la même salle. Bon nombres d’élèves ce sont déjà perdu et il a fallut des jours pour les retrouvé. Mais bon on s’égare là.

Lorsqu’il entra touts les regards ce braquaient sur lui, il baisa aussitôt la tête pour caché sa gène et rejoignait l’estrade lentement.

- Vien mon enfant n’est pas peur. Félicitation Joël tu es le capitaine de l’équipe.

Joël s’arrêta net lui capitaine de l’équipe, c’était impossible. Mais il ne protesta pas rejoignais les trois autres. Ils firent isolé dans une salle pour qu’en leurs explique le déroulement du tournoi. Au début le tournoi ce déroulé par équipe afin de sélectionné les meilleurs puis en individuel il ne pouvait y avoir qu’un seul gagnant. Ronald ce leva pour intervenir.

- Je ne peux pas faire parti de cette équipe, je n’ai aucun talon. Je suis trop nul.

- Tu as du talent Ronald c’est juste que tu n’as pas assez confiance en toi.

Le roux ce retourna vers lui étonné. Il le fixait avec envi. Angel c’était l’homme de sa vie, il était amoureux de lui depuis des années déjà mais il n’avait jamais réussi à le lui dire.

- Dit Joël sa fait longtemps que tu es ici ? Demanda Davis.

- Sa fait cinq ans. Répondit le concerné d’une petite voix.

- Pourquoi en t’as jamais vu avant alors.

- Désolé je dois y allait.

- Le départ et à neuf heurs demain.

- J’y serrais mais cherché un autre capitane je veux bien participer mais pas être le capitaine, je ne suis pas fait pour être un leader.

- Tu ne peux pas changer les choses Joël.

- Très bien à demain.

 

Joël sorti de la pièce pour rejoindre son dortoir. Ronald lui avait bien du mal à détaché son regard d’Angel. Ce tournoi avait au moins un Bon point, il allait pouvoir ce rapproché du beau blond. Il fini par rejoindre son dortoir un large sourire sur les lèvres.


dit moi si le début vous plait et si vous voulez la suite. bisous à tous.

Par Amako - Publié dans : tournoi magique (ternimé)
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Dimanche 17 janvier 7 17 /01 /Jan 21:05
j'aimerais savoir si sa vous plait alors laisser des coms svp.
 je met le chapitre 7 de la haine à l'amour. il reste encore 7 chapitre+l'epilogue.

CHAPITRE 7 :

 

 

 

Jérôme était assit à l’une des table de la salle de classe prêt de la fenêtre, il ne cessait de repensé à ce qui c’était passé ce week end avec Benoit. Le plus jeune semblais avoir oublié ce qui c’était passé alors que lui ne le pouvait pas. Alors il avait décidé de faire comme avant, ce matin il l’avait encore insulté. Sa lui faisait mal de faire sa mais c’était sa façon à lui de ce protéger. il ne pouvait pas accepter la réalité de ses sentiments alors il ce caché derrière cette haine et cette rancoeur.

- Eh Jérôme à quoi tu pense ? Demanda Raphael.

- Benoit m’a sucé.

Le brun serra les poings à cette révélation il aurait du s’en douté qu’il c’était passé quelque chose entre eux deux ce week end et sa le rendait fou de jalousie.

- Quand ? Demanda-t-il d’une voix trembalnte.

- Raphael un peu de silence s’il te plait.

- oui monsieur. Répondit-il avant de ce retourné vers son ami et lui demandé d’une voix un peu plus basse mais plus insistante il voulait savoir même si sa lui faisait mal.

- vendredi soir. Enfin samedi matin.

- et c’était bien ? Il ce retenais de ne pas lui dire ce qu’il ressent, que sa lui faisait mal de savoir ça mais il ne disait rien comme d’habitude.

- si je te disais que je n’avais jamais prit autant de plaisir avec une simple pipe. C’était grandiose. Il ce souvient de rien. Il était bourré à si non il n’aurait pas fait sa.

- hm sans doute.

- il n’est plus avec son mec.

- pourquoi ?

Le blond entrepris de lui raconté toutes l’histoire et Raphael l’écouté avec attention.

 

 

 

Benoit était assit au self en face de son meilleur ami, il lui avait raconté tout ce qui c’était passé ce week end avec Sam et surtout avec Jérôme. Contrairement à ce que semblais croire le blond il ce souvenait très bien de ce qui c’était passé. Il n’avait pas oublié ce que lui avait dit Sam ni la gentillesse de son frère. Même pendant qu’il le sucer il avait était gentil avec lui. Mais ce matin il avait était égale à lui-même infecte comme d’habitude. Et sa le rendait tellement triste.



- tient mais qui voila le petit Pd.

- t’as gueule Raphael. répondit Benoit ce retenant de ne pas le frapper.

Le capitaine s’asse en face de Benoit à côté de James qui n’avait pas ouvert la bouche, il ne l’avait même pas regardait. Mais Raphael était bien trop occuper à fixer Benoit que c’est à peine s’il l’avait remarquais. Il adressa un large sourire au brun assit en face de lui.

- le chien, chien n’es pas avec son maitre ? Demanda benoit avec haine.

- non, dit moi t’as aimé avoir la bite de Jérôme dans la bouche ? Il est à ton goût ? À peine célibataire que tu va déjà sucer une autre queue.

Il devenait livide à l’entende de ses mots. Il lui avait dit, il avait osé lui raconté ce qui c’était passé entre eux. Il ce leva renversant sa chaise au passage et sorti du self sous le regard de Raphael. C’était la seule chose à faire. Ils ne devaient pas ce rapproché d’avantage.

- tu es vraiment un gros con toi.

Il ce retourna vers James qui avait enfin ouvert la bouche sans pour autant le regardait.

- ce n’est pas en te comportant de la sorte que tu réussiras à l’avoir.

- et tu veux que je fasse quoi ? T’as la solution miracle toi ? Ils sont amoureux l’un de l’autre que veut tu que je fasse à par évité qu’il ce rapproche encore plus. Merde tu ne comprends pas que je l’aime à en devenir fou. T’as jamais ressenti sa toi.

- non c’est vrai parce que moi je sais depuis bien longtemps que c’est sans le moindre espoir alors je ne m’acharne pas. Lorsque l’ont aime vraiment quelqu’un tout ce que l’ont souhaite c’est voire cette personne heureuse. Peut importe si c’est avec une autre personne.

- je ne peu pas.

- tu n’es qu’un sale gamin égoïste capitaine.

 

 

 



Jérôme entra dans la maison, elle était silencieuse c’est parents était sans doute encore au boulot. Mais ou était son frère ? Il eu as peine le temps de poser ses affaire qu’il ce reçu un magistral coup de poing dans la joue l’envoyant sur le sol. Il releva la tête pour voire son frère qui le fixait avec haine.

- pourquoi tu lui as dit ? Pourquoi tu lui as dit que je t’avais sucé ? Qu’es ce que tu lui as dit d’autre ? Que j’étais vraiment une pute ? Tu lui as dit que peut être que tu pourras lui faire payer un droit de visite.

- je…

- c’est bon t’as gueule je ne veux pas t’écouté. Tu n’es qu’un connard. Tu me dégoute.

Je blond ce redressa d’un bon et lui sauta dessus le plaquant contre le sol. Benoit essayer de ce débattre mais il était bien trop fort pour lui. Il fini par ce résigné. Jérôme le fixait en silence. Il avait tellement envi de l’embrassé, il avait bien du mal à retenir ses larmes et ses tremblement. Il était énervé alors il allait encore lui dire des choses blessante. Il ce pencha vers lui ses lèvres si proches des siennes qu’il aurait put l’embrassé. Cette proximité faisait tremblais le plus jeune, son cœur bâter la chamade. Il avait envi de sentir ses lèvres sur les siennes il en avait tellement envi. Il ferma les yeux s’enivrant de cette proximité. Il senti son cœur ce brisé lorsqu’il ouvrir la bouche pour parlais.

- tu as honte d’être Pd petit frère ? Je te ramène des clients tu devrais être heureux. Il parait que c’est un bon coup, je suis sur que tu prendrais ton pied avec sa bite dans t’as bouche. T’adore sa sucer, tu fais sa comme une reine. Merde je remets ma bite dans t’as bouche quand tu veux.

- bah va y qu’es ce que tu attends. De toutes façon je me suis bon qu’à sa. Répondit-il en pleurant. Ses mots lui faisaient tellement mal. Jérôme ce redressa et sorti de la maison, il devait s’éloigner de lui. Pourquoi fallait-il qu’il réagisse toujours de la même façon. Il aurait du lui expliqué lui dire ce qu’il ressent.

- merde je ne suis qu’un abrutisse.

 

 

Le brun était assit sur son lit, dos à la porte, il ne vit pas son frère qui le regardait dans l’encadrement de la porte. Il voulait lui demandais pardon ses parole avait dépassé ses pensés. Mais il ne pouvait pas il avait sa fierté. De tout façon à quoi bon ? Il ne le pardonnerait sans nul doute jamais, il était impardonnable. Ils ne sont rien l’un pour l’autre. Ni frère, ni ami et encore moins amant. Ils ne serraient jamais rien de plus que des étrangers vivant sous le même toit. Il referma doucement la porte à l’instant au son frère tourné la tête vers la porte. Ses yeux étaient remplis de larmes.

- abrutit de frère.

Il ce remit à joué s’enfermant dans son monde. Oublient tous ce qui c’était passé avec le beau blond.

 

 

 

James était assit dans son jardin un livre à la main, il me fit pas attention à la personne qui venait de s’assoir à côté de lui.

- tu lis quoi James ?

- le symbole perdu de Ban Brown.

- et c’est bien ?

- si tu me laissais lire je pourrais te dire si c’est bien.

- James c’est qui cette personne donc tu es amoureux.

- personne.

- tu as dit…

- Raphael je n’ai pas envi d’en parlais avec toi. Je t’ai déjà dit que c’était impossible et que j’avais renoncé c’est tout ce qu’il y a à savoir.

- cette personne elle ne sait pas ce quel perd.

- hm

- tu veux venir au cinéma avec moi ?

- si je te dis oui après tu me lâche.

- avant c’était toujours toi qui me courrait après.

- et alors tu va me dire que sa te manque.

- oui sa me manque. Sa me manque vraiment beaucoup. Répondit-il en baisant la tête, il aimait passer du temps avec lui mais à présent c’était impossible.

- ce n’est pas grave laisse tombé je vais rentrer.

- tu as réussi ton coup, il ce sont disputé tu va pourvoir le récupérais. Tu dois être heureux de faire souffrir ton meilleur ami.

- tu me prends pour un monstre ? C’est l’image que tu as de moi.

- c’est l’image que tu renvois.

Il ce leva fou de colère comment ce petit con osait-il lui parlais de la sorte. Il eu as peine le temps de s’en rendre conte qu’il lui avait envoyé son poing dans la joue lui ouvrant la lèvre. Le plus jeune leva vers lui un regard remplis de haine et de mépris.

- fou les camps d’ici tout de suite connard je te détesté, je veux plus voire t’as sale tronche.

Chaqu’un de ses mots fessait un peu plus mal à Raphael alors il détourna les talons pour partir loin de lui et de ce qu’il venait de lui faire. James le regardait partir essuyant le sang qui coulé de sa lèvre là il était allé trop loin.

- merde pauvre con aveugle.

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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Vendredi 15 janvier 5 15 /01 /Jan 18:27

 

C’est le tout premier os que j’ai écris, ma toute première fic, sa remonte déjà. sa fera deux ans en février. J’espère que sa vous plaira.

 

 

 

 

 

ATTENDRE DE TE REVOIR.

 

 

 

 

 

Je n’ai pas oublié ce jour où en as été séparé. Le jour ou tu es parti avec ta mère, pleurent toutes les larmes de ton corps, la suppliant, lui criant que tu voulais rester à mes côté. Mais elle ne t’a pas écouté. Et elle t’a enlevait à moi.

Aujourd’hui son fait dix ans. Je n’ai jamais cessé de pensé à toi, mon ange. Que devient tu loin de moi. Pense tu seulement à moi, bien sur que non.

Je ne suis que le fils d’un domestique, quel intérêt me portes-tu ? Je me suis qu’un de tes jouet. Pourtant je veux croire en toi, en cette promesse que l’ont c’était faite. Celle d’être toujours ensemble.

 

On a été séparé mais chaque jours que dieu fait je pense à toi, à ton visage, à ton sourire, à ta voix. Et chaque jour je t’aime d’avantage encore. Et toi partage tu seulement mes sentiments. Es ce que j’occupe tes pensé, tes rêves comme tu occupe les miens. M’aimes-tu seulement comme je t’aime.

 

Aujourd’hui tu reviens enfin après tellement d’année à attendre de te revoir. Tu me reviens mais j’ai peur. Si peur que mon cœur ce serre à m’en faire mal. Comment vas-tu réagir ?

Va tu m’ignoré ? Bien sur que oui. Nous ne somme pas du même monde, de la même classe social.

Tu es noble, je suis pauvre.

Tu es un prince, je suis un serviteur.

J’ai peur, peur que tu n’as oublié alors que moi j’en ai été incapable.

Peur que ton cœur appartienne déjà à quelqu’un d’autre.

À 19 ans tu as du avoir déjà bon nombres de petites amies.

Me trouverait tu pathétique si je te disais que moi je n’ai jamais eu personne. Parce que tu es le seul dans mon cœur, et je t’attends. Toi mon soleil, ma vie, mon oxygène. Je manque d’aire depuis bien trop longtemps. Si tu m’as oublié j’en nourrirais.

 

 

J’attendais devant cette maison qui nous as vus grandir. J’attends avec les autres domestique ton arrivé, et à chaque seconde mon cœur ce serre j’ai l’impression de devenir fou.

Et enfin je vois cette voiture arrivé. Tu es à l’intérieur avec ton père. Oh Tom s’il te plait souvient toi de moi ou je nourrirais. Je ne vis que dans l’espoir de te revoir. Dans cet unique espoir. Ne le brise pas. Ne me brise pas.

 

 

La voiture s’arrête et mon cœur ce serre lorsque tu en descends. Tu es si beau, tellement irréel. Tu es mon ange. J’ai souvent essayé de savoir à quoi tu pouvais bien ressembler après toutes ses années. Mais même dans mes rêves les plus fous tu n’étais pas aussi beau.

Seigneur comment un être aussi beau que toi peut-il être réel. Tu pose tes beaux yeux bleu sur moi, et je me perds dedans. Ton père parle à ses employer mais toi tu reste là as me regardé.

Je ne peux empêcher les larmes de coulé. M’As-tu donc réellement oublié pour me regardé de la sorte. Ai-je donc vraiment perdu ma raison de vivre.

 

J’étais tellement aveuglé par mes larmes que je ne te vis pas approché de moi. Je senti ta main ce posé sur ma joue. Elle est si douce et ce simple contact me fait frémir. Faisant cesser mes larmes. Tu me sourire, avec ce sourire que j’aime tant.

Et je sens tes lèvres ce posé sur les miennes. Tu m’embrasse et c’est si bon. Tu te souviens de moi et en plus tu m’embrasse devant ton père. Je m’en attendais pas autant et je sens l’aire entré dans mes poumons je respire enfin c’est si bon.

- tu es devenu si beau Will. Je n’étais pas sur que c’était toi. Mais c’est bien toi. Mon dieu enfin.

- toi aussi tu es devenu très beau Tomas.

 

 

Je le serra dans mes bras juste pour être sur que ce n’était pas encore un rêve. Mais tu es bien là enfin tu n’es revenu. T’as chaleur m’avait tellement manqué. J’avais si froid loin de toi. Je prends tes lèvres dans un baiser remplis d’amour.

Sans faire attention aux cris de ton père tu ne prends par la main et nous montant les étages pour entrer dans ta chambre. La ou en jouet si souvent ensemble.

La décoration n’es plus la même mais les souvenir eux son toujours là.

Tu ferme la porte et t’appuie dessus pour me regardais.

- je croyais ne plus jamais te revoir Will. J’ai supplié ma mère de me laissé revenir près de toi. J’ai vécu un véritable enfer loin de toi. Elle ne voulait pas me laissé revenir. J’arrêté pas de pensé à toi. Tu occupé toutes mes pensés. J’ai eu tellement peur que ce soit trop tard que tu n’as oublié.

- je me le peux pas Tom. Je t’aime plus que tout. J’ai cru nourrir sans toi. Je ne vivais que dans l’espoir de te revoir. Tu es enfin rentré.

- oui je suis de retour.

Je le vis versé des larmes. Et je me pu me retenir plus longtemps de t’embrassé. Je veux te sentir contre moi, t’embrassé, te touché, te faire l’amour. Je t’enlève ta veste et te faisant reculé vers le lit, alors que tu entreprends de me retiré mon t-shirt. Et tu me pousse sur le lit pour te mettre à califourchon sur moi. M’embrassant en me caressant, me faisant fondre. J’ai tellement attendu cet instant. Je te sens défaire ma ceinture mais je t’arrête.

- qui as t-il mon cœur…tu m’en as pas envi ? Je vais trop vite. Pardon. Mais…tu m’as tellement manqué.

Je le fis taire en prenant ses lèvres avec douceur.

- j’en ai terriblement envi mais pour moi c’est là première fois. Je ne suis jamais sorti avec personne. Je n’ai jamais embrassé personne.

Tu me souris je crois que sa te fait plaisir d’entendre ça.

- je suis ton premier petit ami. Et tu es mon seul et unique amour. Pour moi aussi tout cela c’est nouveau. Je veux découvrir tout ça avec toi.

 

 

Je l’embrassai encore et encore. On ce déshabillé mutuellement. Lorsque l’ont fut totalement nu tu te penchas vers moi pour allez me chouchouté à l’oreille ces trois mots que j’ai tant souhaité entendre.

- fait moi l’amour.

 

Mais j’avais peur, si peur de mal faire. De te faire mal. Mais ton sourire ton regard amoureux, confiant m’as fait oublier mes craintes. Tout ce passerait bien parce que l’ont s’aime.

Alors je t’ai fait l’amour avec tout mon amour, te le répétant encore et encore, et tu me le murmurais dans des gémissements de plaisir.

Plus rien n’avez d’importance, tout ce qui n’était pas toi, n’existé plus. Il ni avez plus que nos deux corps uni dans une étreinte amoureuse. Tu me serrais contre toi, amour que j’étais au plus profond de ton être.

- promet-moi de…aah…ne…plus partir…loin de moi….aaah.

- je…te…le promets…aaah…oui…j’ai trop attendu de te revoir….aaah. Je passe&rais le reste de ma vie avec toi…aaah…ainsi que ma mort et toutes mes vie future…parce que…je t’aime…

- je t’ai tellement attendu mon amour. À présent je peux enfin respirais et vivre.

 

 

 

 

 

 

FIN.

 

Par Amako - Publié dans : os yaoi
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Vendredi 15 janvier 5 15 /01 /Jan 14:54

 

 

 

CHAPITRE 6 :

 

 

 

 

Raphaël fixait l’entré de la salle avec colère qu’es ce qu’il foute le match allait bientôt commencer et ils n’étaient toujours pas là. Il attrapa James par le bras alors qu’il allait rejoindre le reste de l’équipe.

 

- t’as réussit à avoir Benoit ?

- non il ne répond ni sur le fixe ni sur le portable.

- merde qu’es ce qu’ils foutent ?

- leurs parents les en peu être forcé à aller quelque par avec eux.

- c’est ça bien sur. T’es trop con toi. Ils ne vont jamais nul par avec leurs parents.

- va te faire foutre.

- ils ne loupent jamais un match il c’est passé quelque chose.

- c’est bon déstresse capitaine. On doit ce concentré sur le match t’as jalousie te bouffe de l’intérieur.

- va te faire foutre petit con.

- oui c’Est-ce que je vais aller faire. Répondit-il en ce défaisant de sa prise pour s’éloigné de lui c’était toujours la même chose il ne le supporté vraiment plus ce mec. C’est vrai que lui aussi s’inquiète pour son meilleur ami d’habitude il était toujours la en avance pour venir le voire avant le match mais il savait qu’il allait bien.

Raphael regardait son équipier s’éloigner serrant les poings de colère, mais il avait raison il devait ce concentré avant tous sur le match.

 

 

 

Benoit ouvrir les yeux il sentit son cœur s’emballer en voyant son frère endormi contre lui. Il regarda l’heure et ce redressa panique.

- Jérôme en va arriver en retard au match.

Le blond l’attrapa par le bras l’obligeant à ce rallongé le serrant dans ses bras.

- c’est bon pour une fois. Dort je suis crevé.

Benoit ce colla contre lui refermant les yeux. Il ce sentait si bien. Jamais il ne c’était senti aussi bien dans les bras d’un mec et il n’avait pas envi d’en sortir. Tans pis pour le match James comprendrais.

 

 

James était sous le jet de la douche laissant l’eau couler le long de son corps il avait perdu. Sa faisait si longtemps qu’ils n’avaient pas perdu un match depuis bien longtemps. Il senti une main ce refermé autour de son bras et il ce retrouva plaqué dos contre le mur par son capitaine qui semblais fou de colère. Son regard était menaçant et il serrait les poigner du plus jeune avec force le faisant grimacer de douleur.

- il t’a envoyé un message. Ils ont passé la nuit ensemble.

- t’as regardait dans mon portable. Putain t’es vraiment trop con toi. Lâche-moi. Tu ne fais mal.

- ils en couché ensemble ?

- j’en sais rien je m’en fiche. Lâche-moi à la fin.

- répond moi.

- VA TE FAIRE FOUTRE MERDE J’EN AI MARRE DE TES CRISE DE NERFS T’AS QU’A LUI DIRE QUE TU L’AIME ET DE ME FOUTRE LA PAIX. TU VOIS PAS QUE J’EN AI MARRE DE TOUT SA. JE TE SUPPORTE PLUS. J’EN AI MARRE ALORS LÂCHE MOI.

C’était la première fois qu’il le voyait s’énervé et pleurait il le relâcha aussitôt s’écartant de lui. James sorti des douches pour retourner dans les vestiaires en larmes. Il en avait vraiment assez des crises de jalousie de son capitaine c’était toujours lui qui devait en subir la conséquence. Il avait osé fouiller dans son téléphone.

Raphael sorti de a douche quelques minute plus tard il voulait s’excuser. Cette fois ci il était allé beaucoup trop loin, il l’avait fait pleurait. Il avait été violent et il avait fouillé dans ses affaires. James avait raison il devenait vraiment con. Mais il ne le trouva pas dans les vestiaires il c’était déjà changé et était parti. Il le verrait ce soir chez lui, il devait venir diner avec ses parents.

 

 

James était allongé sur son lit fixant le plafond, il était allé s’enfermé dans sa chambre aussitôt arrivé évitant les questions de ça famille. Il n’avait aucune envi d’aller diner chez ce fils de pute de Raphael il n’avait pas envi de le voir. Pas après ce qui c’était passé après le match sa jalousie le rendait invivable. Il le détesté. Quand il pense qu’avant il l’admiré, il voulait lui ressemblé. C’est en le regardant joué au basket lorsqu’il avait 7 ans qu’il avait voulut si mettre, il voulait jouer avec lui. Mais il était tombé de haut parce que c’était peut être un bon joueur mais aussi une véritable enculer.

- James prépare toi on va y aller.

- je ne veux pas y aller.

- tu viens et tu ne discute pas James.

- je ne viendrais pas alors foutée moi la paix.

 

 

 

Raphael fixait son jeune coéquipier assit en face de lui, il ne lui avait pas adressé le moindre mot, ni le moindre regard. Il était loin le temps ou il était en total admiration devant lui. Qu’il voulait lui ressemblé. Maintenant il le détesté. Il ce souvenait encore de leurs première rencontre.

 

 

Raphael jouait au basket dans son jardin avec deux amis à lui, il ne voyait pas le petit brun qui le regardait de loin le regard remplis d’étoile. Il voulait apprendre à jouait comme lui, être aussi fort que lui.À la fin du repas Raphael attrapa le plus jeune par le bras pour le trainé dans le jardin faisant fi de ses protestations. Il lui lança un ballon de basket.

- et raph regard il y a un minus qui nous espionne.

Il ce retourna pour voire le jeune brun qui le fixait en silence, jamais personne ne l’avait regardé de la sorte.

- qu’es ce que tu fais là toi ?

- je…je viens d’emménagé à côté…je voulais juste vous regardait joué…je vais partir…je ne voulais pas vous déranger…pardon.

Il allait partir mais l’ainé le retenait par le bras l’obligeant à lui faire face.

- comment t’appelles-tu ?

- James. Répondit-il avec un sourire des plus adorables sur le visage. Qui fit sourire Raphael il était vraiment mignon le petit.

- tu veux restais joué avec nous.

- oui. S’écria-il fou de joie en sautant sur le plus âgé qui ce mit à rougir.

 

 

- Raphael. Raphael.

Le brun ce retourna vers James surpris de le voire à son entrainement de basket.

- qu’es ce que tu fais la petit tête.

- je vais jouer au basket moi aussi, il faut que je débute avec ce de mon âge mais un jour je jouerais avec toi. Tu m’attendras hein.

- bien sur petit tête que je t’attendrais.

 

 

 

- joue avec moi.

- je n’ai pas envi c’est claire. Je rentre j’en ai marre.

Il voulut partir mais il s’arrêta net en sentant les bras de Raphael s’enroulé autour de son bassin et le corps de Raphael ce coller au sien.

- je suis désolé petite tête. Je ne veux pas quand ce dispute. Je voudrais que sa redevienne comme avant entre nous deux.

- j’en ai marre de tout me prendre en pleine gueule tout sa parce que tu as peur de lui avoué la vérité.

- j’aurais voulut qu’il me vive jamais ensemble qu’il me ce rencontre pas. Sa aurait peut être été plus simple.

- c’est toi qui complique les choses.

- s’il te plait reste. Je suis désolé je te jure de ne plus te mêlé à tout sa.

- je suis fatigué, je veux rentrer en m’en reparlera une autre fois. S’il te plait laisse-moi partir. Demanda-t-il dans son souffle. La voix noué par l’emotion.il ce senti tremblais lorsque le plus âgé l’embrassa avec douceur dans la nuque avant de relâché et de le laissait partir. Le cœur serrait il ne voulait pas le perdre.

- je suis désoler James.

Il re-rentra dans la maison et allât s’enfermé dans sa chambre s’écroulant sur son lit. Tout aller de travers pour lui en ce nomment. Il était incapable de dire ses sentiments à la personne qu’il aime et il allait perdre son petit James à cause de sa connerie. Il fini par s’endormir fatigué de cette journée.

Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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Jeudi 14 janvier 4 14 /01 /Jan 16:02

CHAPITRE 5 :

 

 

 

Jérôme était assit à la table de la cuisine, ses parents étaient parti chez des ami pour la journée. Il repensé à ce que lui avait fait son frère hier soir. Il aurait voulut qu’il fasse ça sans être sous l’emprise de l’alcool. Il aurait voulut aller plus loin avec lui. Mais il devait arrêter d’espéré. Le brun avait était bien claire avec lui, il le détesté et tout ce qui s’en suivait. Tout était de sa faute, ce n’était qu’un juste retour des choses. Il posa sa tête sur la table soufflant de lassitude.

- abruti, abruti, abruti.

Il fut sorti de ses pensés noir par la sonnerie de la porte d’entré. Il ce leva pour aller ouvrir. Il ce retrouva nez à nez avec un beau blond aux yeux bleu gris. Il était vraiment très beau. L’inconnu le détailla de la tête au pied avec un regard plutôt appréciateur.

- benoit et là ? Demanda-t-il d’une voix douce et sensuel.

- t’es qui toi ? Demanda-t-il près à lui bondir dessus pour le tuer.

- son petit ami.

- son petit ami. Il serra les poings de colère comment oser t-il venir ici après ce qu’il lui avait fait. Je vais…

- Jérôme laisse le monté.

Jérôme ce retourna vers son frère étonné, il voulut protester mais le regard assassin du plus jeune le fit taire. Il consenti à s’effacé pour laisser passé ce connard qu’il avait envi de tuer. Benoit remontait les escaliers suivit de son amant qui affiché un sourire victorieux énervant encore plus le blond.

Lorsqu’ils entraient dans la chambre Sam ce jeta sur benoit pour l’embrassé mais ce dernier le repoussa.

- qu’es ce qu’il y a bébé ?

- pourquoi a tu fais ça ? Comment à tu peux me faire ça,

- c’est mon ex il est de passage et je n’ai pas put résister.

- tu t’es dit tien pourquoi je ne ferais pas sauter un bon coup avant de voir ce petit con de Benoit.

- mais bébé…

Benoit le jeta sur le bureau fou de colère, il lui baisa son pantalon et son boxer et le pénétra d’un coup violent le faisant crier de plaisir.

- tu t’es fait baiser avant de venir. Demanda-t-il en donnant un coup de rein puissant

- non…

- ne me ment pas-tu es encore ouvert il t’a bien enculé. Il a une grosse bite ?

- pas….aaaah….aussi grosse…que la tienne….aaaah

- t’adore sa te faire baiser…t’es qu’une petite pute.

- aaah…..oui…oui j’adore ça….aaaah…plus vite….aaah…défonce moi…

Benoit en avait les larmes aux yeux alors que Sam crier de plaisir sous ses coup de rein. Les va et vient du brun devenaient de plus en plus fort en fessant tremblé le bureau alors que le blond en demandé toujours plus.

Aucun des deux ne voyaient Jérôme qui observé la scène. Voire son frère prendre ce mec l’excité, il aurait voulut être à la place de ce connard. Mais sa le rendait tellement triste parce qu’il ne le toucherait jamais de la sorte. Il semblait prendre tellement de plaisir à avoir son frère en lui.

 

Lorsqu’il sentit que Sam était proche de la jouissance il ce retira le faisant gémir de frustration.

- pourquoi t’arrête bébé ? C’est bon continu.

- rhabille toi et fou le camp d’ici. C’est fini.

Sam ce redressa alors que son jeune amant lui tourna le dos il ouvrir de grand yeux étonné lorsqu’il vit Jérôme qui le fixait. Le plus vieux eu bien du mal à déglutir et à ce retenir de lui bondir dessus en voyant son sexe fièrement dressait, en effet il était vraiment bien monté. Il en gémisse d’envi. Il senti la colère l’envahir en voyant Sam revenir ce coller au dos de son frère. Il prit son sexe en main et le caressait avec douceur.

- je t’aime moi bébé.

- non ce que tu aime c’est ma queue dans ton cul.

- oui et alors. Je suis sur que toi aussi tu ne m’aime pas. À si non pourquoi je lui ressemble autant ?

Benoit ce figea de stupeur ouvrant de grand yeux étonné alors qu’il ce libéra dans la main de son ex amant, en regardant le blond qui le fixait en silence. Que devait-il penser de lui à cet instant.

Il ce défit de l’étreinte de Sam et allât s’écroulé sur son lit à bout de force totalement nu exposer ou regard désireux des deux blond.

- dégage Sam c’est fini je ne veux plus jamais te revoir.

- c’est bon je ne casse.

Sam ce rhabilla et ce dirigea vers la sorti ce planta face au plus frère. Il posa sa main sur l’entre jambe de Jérôme sentant son sexe dressé par la vue du corps nu et bandé de son frère. Il fit glissé sa langue dans le coup du blond jusqu’à son oreille.

- on dirait bien que le petit ange te fait de l’effet.

- je ne suis pas un Pd comme toi.

Il le choppa par le col le plaquant avec force contre le mur lui arrachant un cri de douleur.

- écoute-moi bien petite pute. Si jamais tu t’amuse à lui reparlais à le retouché, où à tout simplement essayer de le revoir je t’arrache la queue et je te l’enfonce bien profond dans ton cul de pute. J’suis-je bien clair.

- oui lâche moi.

Il le relâcha et le regarda partir aussi vite que possible. Il s’adossa au mur essayant de calmé son excitation avant d’entré dans la chambre son frère ne devait pas voir qu’il l’excité.

 

Benoit était toujours allongé sur le lit pleurant toutes les larmes de son corps repensant à ce que lui avait dit son ex. il avait vu juste il ressemblait à Jérôme. Pourquoi tout les mecs avec qui il sortait étaient blond avec les yeux plus au moins gris. Il sursauta lorsqu’il senti un drap le recouvrir et une présence familière à côté de lui. Il ce retourna pour ce retrouvé face à son frère.

- sa va allait petit frère ?

- je ne suis pas ton frère c’est claire.

- je le sais. Tu devrais te reposer.

- hm.

Jérôme fut surpris lorsqu’il venait ce blottir contre lui pour ce rendormir. Il referma ses bras autour de lui, caressant ses cheveux avec douceur.

- non nous ne somme pas frère. Alors que somme nous mon bel ange ?

Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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