CHAPITRE 5 :
Jérôme était assit à la table de la cuisine, ses parents étaient parti chez des ami pour la journée. Il repensé à ce que lui avait fait son frère hier soir. Il aurait voulut qu’il fasse ça sans
être sous l’emprise de l’alcool. Il aurait voulut aller plus loin avec lui. Mais il devait arrêter d’espéré. Le brun avait était bien claire avec lui, il le détesté et tout ce qui s’en suivait.
Tout était de sa faute, ce n’était qu’un juste retour des choses. Il posa sa tête sur la table soufflant de lassitude.
- abruti, abruti, abruti.
Il fut sorti de ses pensés noir par la sonnerie de la porte d’entré. Il ce leva pour aller ouvrir. Il ce retrouva nez à nez avec un beau blond aux yeux bleu gris. Il était vraiment très beau.
L’inconnu le détailla de la tête au pied avec un regard plutôt appréciateur.
- benoit et là ? Demanda-t-il d’une voix douce et sensuel.
- t’es qui toi ? Demanda-t-il près à lui bondir dessus pour le tuer.
- son petit ami.
- son petit ami. Il serra les poings de colère comment oser t-il venir ici après ce qu’il lui avait fait. Je vais…
- Jérôme laisse le monté.
Jérôme ce retourna vers son frère étonné, il voulut protester mais le regard assassin du plus jeune le fit taire. Il consenti à s’effacé pour laisser passé ce connard qu’il avait envi de tuer.
Benoit remontait les escaliers suivit de son amant qui affiché un sourire victorieux énervant encore plus le blond.
Lorsqu’ils entraient dans la chambre Sam ce jeta sur benoit pour l’embrassé mais ce dernier le repoussa.
- qu’es ce qu’il y a bébé ?
- pourquoi a tu fais ça ? Comment à tu peux me faire ça,
- c’est mon ex il est de passage et je n’ai pas put résister.
- tu t’es dit tien pourquoi je ne ferais pas sauter un bon coup avant de voir ce petit con de Benoit.
- mais bébé…
Benoit le jeta sur le bureau fou de colère, il lui baisa son pantalon et son boxer et le pénétra d’un coup violent le faisant crier de plaisir.
- tu t’es fait baiser avant de venir. Demanda-t-il en donnant un coup de rein puissant
- non…
- ne me ment pas-tu es encore ouvert il t’a bien enculé. Il a une grosse bite ?
- pas….aaaah….aussi grosse…que la tienne….aaaah
- t’adore sa te faire baiser…t’es qu’une petite pute.
- aaah…..oui…oui j’adore ça….aaaah…plus vite….aaah…défonce moi…
Benoit en avait les larmes aux yeux alors que Sam crier de plaisir sous ses coup de rein. Les va et vient du brun devenaient de plus en plus fort en fessant tremblé le bureau alors que le blond
en demandé toujours plus.
Aucun des deux ne voyaient Jérôme qui observé la scène. Voire son frère prendre ce mec l’excité, il aurait voulut être à la place de ce connard. Mais sa le rendait tellement triste parce qu’il ne
le toucherait jamais de la sorte. Il semblait prendre tellement de plaisir à avoir son frère en lui.
Lorsqu’il sentit que Sam était proche de la jouissance il ce retira le faisant gémir de frustration.
- pourquoi t’arrête bébé ? C’est bon continu.
- rhabille toi et fou le camp d’ici. C’est fini.
Sam ce redressa alors que son jeune amant lui tourna le dos il ouvrir de grand yeux étonné lorsqu’il vit Jérôme qui le fixait. Le plus vieux eu bien du mal à déglutir et à ce retenir de lui
bondir dessus en voyant son sexe fièrement dressait, en effet il était vraiment bien monté. Il en gémisse d’envi. Il senti la colère l’envahir en voyant Sam revenir ce coller au dos de son frère.
Il prit son sexe en main et le caressait avec douceur.
- je t’aime moi bébé.
- non ce que tu aime c’est ma queue dans ton cul.
- oui et alors. Je suis sur que toi aussi tu ne m’aime pas. À si non pourquoi je lui ressemble autant ?
Benoit ce figea de stupeur ouvrant de grand yeux étonné alors qu’il ce libéra dans la main de son ex amant, en regardant le blond qui le fixait en silence. Que devait-il penser de lui à cet
instant.
Il ce défit de l’étreinte de Sam et allât s’écroulé sur son lit à bout de force totalement nu exposer ou regard désireux des deux blond.
- dégage Sam c’est fini je ne veux plus jamais te revoir.
- c’est bon je ne casse.
Sam ce rhabilla et ce dirigea vers la sorti ce planta face au plus frère. Il posa sa main sur l’entre jambe de Jérôme sentant son sexe dressé par la vue du corps nu et bandé de son frère. Il fit
glissé sa langue dans le coup du blond jusqu’à son oreille.
- on dirait bien que le petit ange te fait de l’effet.
- je ne suis pas un Pd comme toi.
Il le choppa par le col le plaquant avec force contre le mur lui arrachant un cri de douleur.
- écoute-moi bien petite pute. Si jamais tu t’amuse à lui reparlais à le retouché, où à tout simplement essayer de le revoir je t’arrache la queue et je te l’enfonce bien profond dans ton cul de
pute. J’suis-je bien clair.
- oui lâche moi.
Il le relâcha et le regarda partir aussi vite que possible. Il s’adossa au mur essayant de calmé son excitation avant d’entré dans la chambre son frère ne devait pas voir qu’il l’excité.
Benoit était toujours allongé sur le lit pleurant toutes les larmes de son corps repensant à ce que lui avait dit son ex. il avait vu juste il ressemblait à Jérôme. Pourquoi tout les mecs avec
qui il sortait étaient blond avec les yeux plus au moins gris. Il sursauta lorsqu’il senti un drap le recouvrir et une présence familière à côté de lui. Il ce retourna pour ce retrouvé face à son
frère.
- sa va allait petit frère ?
- je ne suis pas ton frère c’est claire.
- je le sais. Tu devrais te reposer.
- hm.
Jérôme fut surpris lorsqu’il venait ce blottir contre lui pour ce rendormir. Il referma ses bras autour de lui, caressant ses cheveux avec douceur.
- non nous ne somme pas frère. Alors que somme nous mon bel ange ?
Et benoit pas gêné le moins du monde que son frère le matte plus loin LOL sympathique
pourquoi est-ce qu'il a pas tapé Sam ? C'est pas drôle lol
=)
scène un peu hard ! j'arrive à faire des viols mais pas des scènes hard lemon
lol
bizarre hein ?
lol
^^
wouah, c'estr violent tout ça! Fin, moi, je l'aurai mis à la porte direct, Sam, mais en mm temps, sa remarque est très judicieuse. Pis, jéröme, carrément, il les mate lol! Ah là là, toujours ce décalage et ce petit moment de détente à la fin du chapitre. Ils sotn bêtes quand mm mais j'adore quand y a de la résistance.