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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Mercredi 20 janvier 3 20 /01 /Jan 20:23
 

 

 

 

 

 

 

CHAPITRE 11 :

 

 

 

 

Encore une fois Jérôme était entrain d’attendre son frère adosser au mur du couloir. Leurs parents dormaient à l’étage. Depuis qu’il avait rompu avec Damien le cadet sortait tout les soirs et ne rentrait jamais avant les deux, trois heures du matin. Et à chaque fois Jérôme l’attendait, et le brun refuser de répondre à ses questions. Mais ce soir il avait intérêt de lui donné des explications à ses sortis nocturne.

La porte s’ouvrir enfin et Benoit rentra dans la maison, il vit son frère mais il passa à côté de lui comme s’il n’était pas là. Le blond le retenais par le bras pour le forcé à lui faire face le plaquant contre le mur pour qu’il ne s’échappe pas.

- où était tu ? Il est trois heures du matin.

- cela ne te regard pas.

- où était tu ?

- je suis allé faire ma pute.

- tu…tu t’es fait baiser ?

- non tu devais avoir raison. Personne ne veut foutre sa queue dans mon cul. C’est la mienne qu’il préfère dans le leurs.

- tu as décidé de te faire défoncer par le premier venu ?

- tu as tout compris grand frère.

À ses mots l’ainé sentis son cœur ce serré et la colère monté en lui, il le retourna face contre le mur ce pressant contre lui, faisant glisser sa langue dans son coup. Avant de lui mordillait l’oreille.

- je devrais peut être m’en occuper. Je pourrais défoncer ton petit cul de pute. Dit moi combien prends-tu pour te prendre une bite dans le cul. Tu fais peut être sa gratuitement. Dit et tu vraiment vierge où bien ouvre tu les cuisses des que tu vois une queue. J’avais raison dés le début tu es bien une pute.

Benoit réussit à ce défaire de sa prise lui faisant face le regard froid et emplis de haine. Sa avait pourtant commencé à s’amélioré entre eux alors pourquoi ?

- oui je suis une pute. Pense ce que tu veux j’ai arrêté de compté le nombre de queue que je me suis prit dans le cul. Alors te gène pas, va y sert toi. Je sais que t’en meurt d’envi. Tu meurs d’envi de me baiser depuis que tu sais que je suis gay. A si non pourquoi me faire de telles scènes de jalousie. Tu pas ton temps à me faire des propositions. TU VEUX QUE JE TE SUCE ? TU VEUX ME DEFONCE MAIS VAS-Y ESPECE D’HOMO REFOULE. TU ME DEGOUTE.

Jérôme lui envoya son poing dans le visage et il regretta aussitôt son geste il avait eu si mal, il voulait juste le faire taire mais pas de cette façon. Il voulut le touché mais le plus jeune s’écarta aussitôt de lui le fixant avec plus de haine encore.

- tu…tu ne comprends rien Benoit. Tu n’as jamais rien compris. J’essaye de faire des efforts et toi…

- quoi moi ? Je ne suis pas cessé de faire des efforts. Je t’ai laissait me traité de pute, je t’ai laissait me trainé dans la boue. Et quand tu me demandé un service je te l’ai toujours rendu. De toutes façon toi et moi on me pourra jamais s’entendre. On et bien trop différent, on est obligé de vivre sous le même toit mais pas de s’apprécier à partir d’aujourd’hui on va ce parlais et ce voire le moins possible. Je ne m’occupe pas de ta vie et tu en fais de même. On ne serra jamais rien de plus que deux étranger obligé de vivre sous le même toit.

Le blond resta sont réaction, il ne pouvait pas le croire il avait mal entendu.il ne voulait pas, il voulait tant faire parti de sa vie. Les parents des deux jeunes hommes étaient descendu alerter par les cris de leurs enfants. Le brun détourna les talons pour montais à l’étage, Jérôme ne fit rien pour le retenir. Sa mère le suivit alors que le blond sentis le sol ce dérobé sous lui et il s’écroula à bout de force. Il était telle une coquille vide, il ne réagissait même pas lorsque son père lui parlais.

- Jérôme fiston qu’es ce qui ce passe à la fin ?

-…

- répond moi ?

-….

- sa va s’arrangé.

Il ne parlait pas il ne répondait pas. Il c’était totalement refermé sur lui-même, le regard vide rivé dans le vide. Il était totalement perdu. À présent tout était perdu, il n’y avait plus aucun espoir pour lui. Benoit ne l’aime pas et ne l’aimerait jamais.

 

 

- benoit tu n’aurais pas du lui parlais comme ça.

- maman laisse moi s’il te plait, j’ai besoin d’être seul.

- très bien on en reparlera plus tard.

Katie sorti laissant son fils seul et il laissa enfin aller sa tristesse. Il ne pensé pas ce qu’il venait de dire mais les paroles du blond lui avait fait mal et le coup de poing avait fini de l’achevé alors il avait déversé tout son venin. Et sa lui à fait aussi mal qu’à Jérôme. Mais c’était nécessaire il ne faisait que ce faire du mal. Alors il fallait mieux mettre un terme à tout cela.

 

 

- Benoit qu’es ce qui t’arrive ?

Benoit venait d’arrivé au lycée et c’était écroulé dans les bras de son meilleur ami en larmes il avait si mal.

- c’est fini…je lui ai dit que je voulais qu’il sorte de ma vie…je le déteste pourquoi es ce qu’il ne déteste autant ?

- sa va s’arrangé Benoit. Arrête de pleurait.

James le serrait dans ses bras alors que son regard croisa celui de Raphael il lui adressa un regard noir lui faisant bien comprendre de ne pas ce réjouir de cette situation. Raphael détourna la tête pour rentré dans le lycée sentant encore le regard haineux de James, les choses ne s’arracheraient jamais.

 

 

 

 

 et voila le chapitre 11. j'espère qu'il vous à plu. es ce que c'est vraiment fini ? vous le serraiez en lisant la suite. bis

 

 

 

Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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Mercredi 20 janvier 3 20 /01 /Jan 20:20

CHAPITRE 10 :

 

 

 

Jérôme arpenté les couloirs du lycée, pensant à son petit frère comme tout les jours depuis le diner avec le brun, ils avaient enfin réussit à amélioré leurs relations même s’il souffrait de le savoir son ange dans les bras d’un autre homme, de le savoir amoureux de ce connard. C’était un véritable coureur de jupon, enfin de pantalon. Il passait son temps à dragué des mecs avant d’aller baiser avec Benoit juste après. Benoit l’avait amené de nombreuse fois à la maison, il était obligé de les écouté baiser, alors il ramené une fille pour faire passé sa frustration. Il ne supporté pas de les voire affiché leurs amour devant lui, à chaque fois il avait envi de tuer ce mec.

Damien avait très bien compris ses sentiments et il s’en jouait. Il faisait tout pour chauffer Benoit devant lui, parce qu’à chaque fois que Jérôme entendait son frère gémir son corps réagissait et sa faisait bien rire le pion. Plus sa allait et plus il était attiré par son frère, il avait envi de l’embrassé, de le touché, de lui faire l’amour.

 

Son attention fut attirée par des gémissements venant d’une des salles de classe. Pousser par la curiosité il s’approcha de la sources du bruit ouvrant doucement la porte et ce figea de stupeur en voyant Damien entrain de baiser un jeune brun sur une des table le prenant de dos avec force. Au début il crut que c’était son frère et il sentit son cœur ce serrait ce disant qu’il devait vraiment l’aimé pour accepté de ce faire prendre par ce connard. Et la colère l’envahit lorsqu’il vit que ce n’était pas son frère. Il ne réfléchit pas plus longtemps et entra dans la pièce choppant le pion par le col l’arrachant du brun. Le faisant gémir de frustration. Il lui envoya son poing dans l’estomac l’envoyant au tapis. Damien releva la tête vers lui un sourire sadique sur le visage.

- tien le grand frère. Que ne vaut cette honneur tu ne vois pas que je prenais du bon temps là.

- à quoi tu joue connard. Tu sors avec Benoit.

- et alors je ne vais pas attendre qu’il accepte que je le baise.

Jérôme lui sauta dessus pour le frapper à nouveau avec toute sa rage.

- TU N’ES QU’UN ENFOIRE. COMME S’IL N’AVAIT PAS ENCORE ASSEZ SOUFFERT.

- DIT LUI CE QUE TU RESENT ALORS PAUVRE CON. SALE GAY REFOULE. C’EST TOI QUI LE FAIS LE PLUS SOUFFRIRE ALORS NE FAIT PAS DE LECONS DE MORAL.

- JE T’ENMERDE FILS DE PUTE.

Il ce remit à le frapper jusqu’à ce qu’en vienne l’arrêté et il fallut un temps fou pour parvenir à le calmé. Il était fou de rage, si personne ne l’avait arrêté il l’aurait tué ce connard personne ne faisait souffrir son ange.

 

 

 

 

 

 

- Jérôme.

Benoit venait d’arrivé chez lui, il posa ses affaires et monta, ce connard de Damien lui avait tout dit. Il avait été viré du lycée et Jérôme avait été exclus pour une durée encore indéterminé. Il entra dans la chambre de son grand frère. Il le trouva allongé sur son lit la tête enfoncé sous l’oreiller. Benoit ce laissa tombé à ses côté s’allongeant sur le dos.

- il m’a tout raconté. Tu n’aurais pas du réagir de la sorte. À cause de moi tu as était viré. Je suis désoler Jérôme.

-…

- Jérôme répond moi s’il te plait.

Le blond ce retourna vers lui plongeant son regard dans le sien il frissonna lorsque le brun posa sa main sur sa joue.

- il t’a frappé ?

- j’aurais du le laisser te faire cocu. Ce fils de pute ne te mérite pas.

- il ne m’avait pas promit l’exclusivité.

- oui mais toi tu l’aimé.

- tu as peut être raison les Pd son touts des putes en chaleur. À chaque fois que je tombe amoureux je fini cocu. Je vais finir par devenir comme eux. Merci quand même de m’avoir aidé Jérôme même si je ne comprends pas pourquoi tu fais sa alors que tu me déteste.

Il ce leva pour sortir de la chambre alors que les larmes couler le long de ses joues. Il alla s’enfermé dans sa chambre il prit sa guitare et mit son casque sur les oreilles pour ce mettre à joué. Il sursauta lorsqu’il sentit deux bras l’enserré avec douceur, et des lèvres ce poser dans sa nuque le faisant tremblais de plaisir. Il ferma les yeux ce laissant faire ce laissant aller contre son torse ce remettant à joué. Il n’entendit pas ce que lui dit son frère.

- je t’aime Ben.

Il enfonça son visage dans son coup ce laissant envahir par le plaisir de l’avoir contre lui. Si seulement il arrivé à lui dire tout cela en face mais il était bien trop lâche pour cela. Il ne voulait pas le perdre alors qu’il venait juste de créée un début de lien.

 

 

Raphael regardait James qui jouait il ne lui avait toujours pas pardonné et il ne le ferait sans doute jamais. Il leva la tête vers les gradins pour voir benoit et Jérôme rire ensemble et il sentit la colère l’envahir. Il en avait marre de tout sa. Il ce leva pour quitté le banc de touche et rejoindre les vestiaires. Il prit ses affaires et quitta le gymnase. Au fond peut être qu’il avait raison quand on aime quelqu’un on doit accepter de le voire heureux avec une autre personne. Il c’était battu pour le défendre. Il avait tout fait de travers et il avait tout perdu mais ce n’était pas de sa faute s’il était tombé amoureux de lui.

- Raphael ou tu va ?

- Jérôme s’il te plait fou moi la paix j’ai juste besoin d’être tout seul.

- merde mais qu’es ce qui t’arrive à la fin.

Jérôme le regarda partir sans pouvoir le retenir. Il était vraiment bizarre ses derniers temps et il refuser de lui parlais. Il était entrain de perdre son meilleur ami.

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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Mardi 19 janvier 2 19 /01 /Jan 16:08

voila le chapitre 9 bientôt la fin. c'est toujours triste de finir un fic et de ce séparé de ses personnage mais bon c'est la vie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CHAPITRE 9 :

 

 

 

- qu’à tu fais de ton aprèm midi Jérôme tu as disparu. Au moins pour une fois j’étais tranquille.

- je…je ne baladé.

- hm.

Le silence reprit sa place entre les deux jeune hommes, Jérôme ne savait pas quoi faire, quoi dire. Il avait si peur de ce faire rejeté. Pourtant c’était à lui de faire le premier pas. Il devait ce faire pardonné.

- tu semble de bonne humeur.

- je crois bien que je suis amoureux.

Il senti son cœur ce brisé à l’entende de ses mots, il était amoureux de ce connard, il ne pouvait pas. C’était impossible. Il essayait désespérément de calmé ses tremblements et de contrôler l’émotion de sa voix.

- tu ne peux pas aimé Benoit. Une pute sa baise, c’est juste du sexe rien de plus.

- JE NE SUIS PAS UNE PUTE. C’EST CLAIR. Y’EN AS MARRE JEROME. Il c’était levé pour faire face à son frère. Y’en à marre Jérôme, marre que tu me traite de pute à longueur de temps.

- tu…tu l’as baisé ?

- c’Est-ce que tu m’as dit de faire.

- et tu as prit ton pied ?

- hm si tu veux tout savoir oui. C’était incroyablement bon. Il suce comme un dieu et il est super serré, je l’ai prit dans toutes les positions possible. Pendant des heures.

Le silence revenait entre les deux jeunes hommes, Jérôme n’oser pas regardais son frère, il avait peur de craqué de lui sauté dessus, de lui dire que sa lui faisait mal de le savoir avec ce mec. Il finit tout de même par tourné la tête vers lui et il sentit son cœur s’emballer, il était si proche de lui, son souffle caressait son visage, son regard était perçant, brulant, il voulait tant le prendre dans ses bras, mais il ne le fit pas.

- tu…tu as faim…j’ai préparé le diner ?

- non tu serrais bien capable d’y avoir mit du poison anti-gay. Je ne prends pas le risque, y’a assez d’un putain d’hétéro homophobe dans cette putain de baraque. Répondit-il en lui tournant le dos pour retourné s’assoir à sa place, ne voyant pas les larmes couler sur les joues de son frère, il y avait mit tout son amour, il y avait passé des heures et sa n’as servit à rien.

- c’est…ce n’est pas grave…y’as…des restes…dans le frigo…si t’as faim…je vais aller…me couché…arriva-t-il à dire tant bien que mal en retenant ses sanglots.

- ouain c’est sa casse toi pour con, j’en ai marre de voire t’as sal tronche de connard.

Benoit s’avachit sur le canapé allumant la télé alors que Jérôme monta dans sa chambre d’un pas lourd et lasse. Il s’écroula sur son lit cachant sa tête dans l’oreiller pour étouffé ses sanglots, il avait tellement mal, mais ce n’était qu’un juste retour de bâton. Il étai trop tard pour essayer de ce faire pardonné, il avait gâché toutes ses chance, parce qu’il n’était qu’un sale con d’hétéro amoureux d’un homo.

 

 

 

 

 

- Raphael qu’es ce qui t’arrive en ce moment t’es pas du tout à ton niveau. Si tu ne te reprends pas-tu ne joueras pas le match de samedi.

- désolé monsieur, sa va aller.

 

 

Il ce laissa tombé sur le banc des vestiaires enfonçant son visage entre ses mains. Il devait absolument retrouver son niveau et arrêté de réfléchir sa ne mené à rien. Il releva la tête pour voire James entré dans les vestiaires rigolant avec ses coéquipiers. Il passa à côté de lui sans lui adressé le moindre mot, le moindre regard. Deux semaines que sa durait combien de temps encore allait-il lui en vouloir, il avait bon essayé de s’excuser le brun le repoussé sans cesse, l’ignorent. Il l’avait bien cherché il n’aurait jamais du le frapper. Il allait devenir fou s’il continuait à l’ignoré comme sa.

- James. Il l’attrapa par le bras pour le retenir. S’il te plait je suis désoler qu’es ce qu’il faut que je fasse pour que tu ne pardonne, je veux quand reste ami.

- sa fait bien longtemps quand n’es plus ami.

Raphael senti son cœur ce serrait à ses mots, pourquoi es ce que sa lui faisait aussi mal.

- à ton seulement était ami. Tout ce que j’étais pour toi c’était un gamin fou d’admiration pour toi qui te suivait partout. Mais le gamin à ouvert les yeux et il n’as rien vu d’admirable alors lâche moi et oublie moi.

Raphael le relâcha et le laissa partir, le regardant s’éloigné de lui avant de ce laissait retombé sur le banc livide le regard perdu dans le vide.

-non c’est faux, tu es mon ami James.

 

 

Benoit était toujours allongé sur le canapé regardant la télé. Il trouvait que son frère était bizarre aujourd’hui. Il ne l’avait encore jamais entendu bégayer autant, en faite il ne l’avait jamais entendu bégayer. Qu’es ce qui lui arrivé lu toujours si sur de lui, il y avait un truc qu’il cloché. Il fut interrompu dans ses pensé par les gargouillis de son ventre qui crier famine. Il éteignait la télé et se leva pour aller dans la cuisine. Il poussa la porte et s’arrêta net. Son frère avait dressé la table pour deux, sa ressemble à un diner en amoureux.

Il s’approcha pour voire qu’il avait préparé tout ce qu’il aimé. Une salade de chèvres chaudes, et une tartiflette. Il avait du y passé des heures. Il prit le plat de tartiflette pour le faire réchauffé.

 

 

Jérôme était accoudé à sa fenêtre ouvert regardant le sol, il ce demandé ce qu’il lui arriverait s’il sauté d’ici. Surement pas grand-chose, il était tellement perdu dans ses pensé qu’il n’entendit pas la porte d’entré s’ouvrir.il sursauta lorsqu’il entendit la voix de son cadet.

- vient manger.

Tu n’as pas peur que ce soit empoissonné.

- tu gouteras avant moi.

- hm passe devant je te rejoins.

- comme tu veux.

Benoit sorti de la chambre laissant son ainé seul, il essuya le reste de larmes sur ses joues essayant de reprendre un peu de contenance et rejoignait son frère dans la cuisine. Ce dernier avait déjà servit l’entré et attendait son frère. Il devait sans doute attendre qu’il goute. Il le prenait vraiment pour un monstre. Il prit place en face de lui la tête basse.

- bonne appétit. Murmura-t-il d’une voix lasse.

- Bonne appétit. Répondait-t-il en ce jetant sur son assiette.

- je croyais que tu avais peur qu’il y a du poison.

- je n’en moque j’ai jamais mangé une tartiflette aussi bonne. Merci.

- c’était pour n’excuser d’être si con. Même s’il en faudrait bien plus.

- je te pardonne pour cette fois parce que tu t’es donné beaucoup de mal. Répondit le brun en lui souriant faisant bondir de joie le cœur de son ainé qui lui rendit son sourire.

 

 

-…et donc on c’est enfin réconcilier, cette fois ci je fais plus le con.

- c’est cool.

- raph t’as une drôle de voix sa va.

- dit moi es ce que j’accepté la présence de James à mes côté juste parce qu’il m’admiré et que j’en avais besoin pour flatter mon égo.

- bah c’est toujours ce que j’ai pensé.

- NON merde.

- oh calme toi qu’es ce qui t’arrive ?

- merde ce n’est pas vrai, tout son c’est de ta faute.

Il raccrocha sans rien rajoutait laissant son ami sur le cul il ne lui avait encore jamais parlais de la sorte. Qu’es ce qu’il lui arrive. Il ce leva pour ce dirigé vers la chambre de son frère il tapa doucement et entra.

- qu’es ce qu’il y a ?

- dit James il ne parle plus à Raph.

- non ce connard la frapper. Il le prend juste pour un bouche trou.

- sans doute mais moi je crois qu’il l’aime bien au fond. Il a juste du mal à le faire comprendre. Tu sais ses pas un mauvais mec.

- c’est normal que tu dises sa c’est ton pote.

 

 

-…vous étiez bien sur le répondeur de James je me suis pas la pour le moment laisser un message.Il raccrocha à quoi bon il avait déjà laissait des dizaines de message et il ne lui répondait pas. C’était fini, enfin ils n’avaient jamais était ami. Il enfonça sa tête entre ses genoux. Tout était de sa faute il l’avait bien cherché.

 

- c’n’est pas vrai. Je l’ai jamais considérait comme un fer valoir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 voila dite moi ce que vous en penser. merci de lire mes fic.

Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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Mardi 19 janvier 2 19 /01 /Jan 16:07

CHAPITRE 8 :

 

 

Jérôme était assit dans la cours avec son meilleur ami aucun des deux ne parlais, ils ce contentais de regardait dans des directions différentes. Jérôme fixait son jeune frère qui était en pleine discussion avec le nouveau surveillant comme depuis une semaine. C’était un grand blond aux yeux marron, il bouillait de l’intérieur de les voire aussi proche. Il avait envi de sauté au coup de ce connard pour lui faire passé l’envi de dragué son ange. Sa faisait deux semaines déjà que le brun ne lui avait pas adressé le moindre mot, le moindre regard, il avait tellement envi d’entendre à nouveau sa voix, qu’il le regard, qu’il cesse de l’ignoré. Même si c’était pour qu’il lui crache sa haine peut importe il voulait juste qu’il s’intéresse un peu à lui. Cette éloignement le tuer. Il devait lui parlais il n’en pouvait plus. Il ce leva pour ce dirigé vers son frère. Il détesté le voire rire avec ce mec, le voire lui sourire alors qu’il l’ignoré totalement.

- Benoit. Appela-t-il d’une voix qu’il essayer de contrôler pour ne pas faire entendre sa colère. Il ne faisait même pas attention à lui l’ignorant totalement, Jérôme sentis son corps ce serrait il le supplier intérieurement de le regardé, de lui parlais.

- Benoit.

- …

- merde répond moi.

-…

- Katie à appelais ils ont un diner d’affaire ils rentreront tard. Je voulais quand…et merde va te faire baiser par qui tu veut. Putain.

Il détourna les talons pour allait chercher ses affaires et partir du lycée il étouffé ici. Il avait envi de pleurait, son cœur lui faisait tellement mal.

- c’est qui lui un ex ?

- non c’est juste le fils de mon beau père. Rien d’important.

- dit moi t’as étude là ? Demanda le surveillant d’une voix sensuel, provocante.

- oui. Pourquoi ?

- suit moi beauté j’ai très envi de faire plus ample connaissance. Répondit-il avec un sourire provoquant.

Benoit lui souriait acceptant de le suivre pour faire chier son frère et aussi parce que sa fessait plus de deux semaines qu’il n’avait pas eu de relation avec un mec. Ils entraient dans une pièce qui server de débarra. Il n’eu pas le loisir d’observé ce qu’il l’entouré qu’il ce retrouva plaqué contre le mur ses lèvres prit en otage dans un baiser fougue bestial, emplis de désir sexuel trop longtemps retenu. L’ainé lui enleva son t-shirt parcourant son torse de ses mains avide Benoit le laissait faire fou de désir il sentait l’excitation du surveillant contre la sienne. Il détacha son jean pour y plongé sa main découvrant avec ravissement ce que caché le plus jeune.

- hm j’étais sur que t’était bien monté. J’ai très envi de te sucer beauté.

Il n’attendit pas sa réponse et lui baissa son jean et son boxer ce laissant tombé à genoux devant lui fixant son sexe tendu ce léchant les lèvres d’envi. Et il ne mit pas longtemps à l’avalé entièrement pour sucer sa friandise avec plaisir. Benoit le regardait faire gémissant de plaisir pas de doute ce mec il ainé ça. Il donna un coup de rein s’enfonçant encore plus dans cette bouche si accueillante. L’ainé en gémissant de plaisir le prenant en entier, alors qu’il ce sentais proche de la jouissance le blond arrêta sa gâterie et ce redressa et défit la boucle de sa ceinture le fixant d’un regard débordant de désir.

- j’ai très envi que tu me défonce là beauté. D’avoir ta grosse bite bien au fond de mon cul.

Il s’approcha de lui le retournant face contre le mur, il lui baissa son pantalon et son boxer, l’ainé ce cambré s’offrant totalement à lui, criant de plaisir lorsqu’il le pénétra avec vigueur.

- sa va allez ?

- t’occupe…pas de sa…bouge…hm…c’est trop bon…va-y…défonce moi…aaah tu fais sa comme un dieu.

Il l’agrippa par les hanches s’enfonçant d’avantage en lui le faisant crier de plaisir. Il le pénétré encore et encore avec de plus en plus de force, le blond fut le premier à jouir mais Benoit lui en voulait encore, il ce retira et le poussa vers une table l’y allongeant, lui faisant mettre ses jambes sur ses épaule et le repris, s’enfonçant d’un seul coup en lui, Damien le surveillant s’accrocha à son coup sellant ses lèvres au sienne dans un baiser passionné.

- t’es génial…aaah…t’es…un vrai dieu…aaah…

Damien cala ses coups de rein à ce du plus jeune intensifiant leurs plaisir. Leurs deux corps en fusion bougé l’un contre l’autre dans une danse sensuelle, criant leurs plaisirs.

 

 

Après avoir quitté le lycée il avait déambulé dans les rues essayant de ce calmé. Encore une fois il avait était odieux avec lui. Il l’avait encore traité de pute alors qu’il ne le penser pas le moins du monde. Il fini par trouver ce qu’il aller faire pour ce faire pardonné.

 

Il rentra chez lui une heure plus tard, la maison était silencieuse, ses parents n’étaient pas la et vu qu’il n’était que quatre heures son frère n’était pas encore rentré. Il s’enferma dans la cuisine et commença à cuisiné en attendant le retour du brun. Il avait l’impression d’être une jeune mariée qui attendait le retour de son marie. Il savait que sa n’allait pas suffire à ce faire pardonné mais c’était déjà ça. Mais que pouvait-il faire d’autre, il allait y mettre tout son cœur et son amour.

 

Lorsqu’il entendit la porte d’entré s’ouvrir il termina de tout ranger et ce dirigea vers le salon où était assit le plus jeune le regard perdu dans le vide. À quoi pouvait-il bien penser ? Il avait envi d’aller le serrait dans ses bras de l’embrassé de lui dire ce qu’il ressent, de cessé de fuir.

- benoit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Amako - Publié dans : de la haine à l'amour (terminé)
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Dimanche 17 janvier 7 17 /01 /Jan 21:22

 

 

 

 voila la seconde fic je vous laisse lire et faire votre choix.

 

 

 

 

 

PROLONGUE.

 

 

 

 

Je m’appelle Gillian, j’ai vingt ans. Et je suis déjà à la tête d’une fortune colossale. J’ai hérité de la chaine d’hôtel que possédé mes parents à travers le monde. Sa représenté un paquet d’établissements. J’en avais hérité à leurs mort survenu six mois plus tôt lorsque leur jet privé à eu un problème au décollage et à exploser. J’ai dut cesser mes études pour reprendre le flambeau familial. Sa avait été dur mais j’avais surmonté toutes les épreuves et j’ai réussit à reprendre les rênes. Je voulais qu’il soit fier de moi. j'ai toujours tout surmonté sauf une chose.

 

 

J’étais allongé sur mon lit, fixant le mur en face de moi. Mon meilleur ami  allongé dans mon dos. Il c’était fait larguer par sa copine, la femme de sa vie selon lui. Pour la énième fois. C’était toujours la même chose elle le largué, il vient ce refugier chez moi, je le consoler, l’écoutant parlais de sa meuf pendant des heures en lui disent que tout aller bien. Que sa finirait par s’arrangé, qu’elle reviendrait. Même si j’aurais préférais le contraire.

D’aussi loin que je n’en souviens j’ai toujours était amoureux de Bruce. Je suis gay et je l’assume, je suis comme je suis peut importe ce que peuvent en penser les autres. ca fait trois ans déjà qu’il sort avec Clara. Il l’aime vraiment la preuve il ce met dans des états pas possible à cause d’elle. Et moi je devais éponger ses larmes. Dés fois je me demande ce qu’il ce serait passé si je lui avais dit ce que je ressente pour lui. Certainement rien étant donné qu’il et cent pour cent hétéro. Je me suis fait à l’idée et j’ai renoncé à le voire partager un jour mes sentiments. J’ai tenté d’oublier mon amour pour lui dans les bras de bien des hommes sans y parvenir, il restera le seul homme de ma vie, le seul à avoir réussi à ravir mon cœur.

 

Je frissonnai lorsque je senti des doigts glisser le long de mon dos, me faisant tremblais, j’aime tellement sentir ses mains sur mon corps et c’est tellement rare. Il les fit glisser jusqu’à mes fesses. Je n’oser plus bouger, à quoi jouait-il ? J’ai rêvé durant des années de recevoir de telles caresses mais je ne comprenais pas. J’arrêtai de respirait lorsqu’il baissa mon boxer. Qu’es ce qu’il fessait ? Pourquoi es ce que je ne fessais rien pour l’arrêté. J’aurais du le repousser, je savais que ça aller me faire souffrir mais je me fessais rien pour l’en empêché. Il frotta sa verge le long de ma raie. Es ce moi qui l’excite ? Non je ne crois pas, il à du rêvé de Clara et il a envi de ce vidé alors il ce sert de moi. Et pauvre abrutit que je suis-je le laisse me pénétré serrant les dents de douleur. C’est qu’il était imposant. Pour tout dire je ne n’étais jamais prit un sexe aussi volumineux que le sien. Et vu que sa fessait un moment que je ne me suis pas fait prendre c’est encore plus douloureux.

Pourquoi fessait-il ça ? J’avais envi de pleurait mais je me retenais, sa n’aurait pas du ce passé comme ça. J’avais rêvé notre première fois des centaines de fois mais jamais je ne me l’étais imaginé de la sorte, juste un parti de baise vite fait, lui profitant de mon sommeil pour me baiser. Pourquoi es ce que je le laisse faire ?

 

Il ce mit à bouger en moi, j’avais mal mais le plaisir prit vite le dessus après tout c’est l’homme que j’aime. Il me serrait contre lui donnant des coups de reins de plus en plus puissant, lui aussi semblais aimé être en moi. son souffle était rapide, saccadé, il me brûler la nuque tellement il était brûlant. Je me laissais envahir par le plaisir, je voulais que cet instant ne s’arrête pas. Mais je retombai vite sur la terre ferme.

- Aaaah…Clara…je t’aime…

J’ouvrir de grand yeux étonné débandant aussitôt, mes larmes ce mirent à couler sans que je ne puisse les retenir. Je le laissais finir et jouir en moi. Il ne pensé qu’à cette conne. Moi pour lui je ne représenté rien de plus qu’un substitut et c’était si douloureux.

J’aurais dut être heureux, j’avais enfin put sentir l’homme que j’aime en moi. Mais je me sentais sali. Il ce retira aussitôt pour sortir de la chambre alors que je pleurais en silence me recroquevillent sur moi-même. Il c’était vidé les couilles et il était partis. J’avais l’impression de n’être qu’une vulgaire pute que l’ont baise pour ce vidé avant de repartir. C’est si douloureux. Je crois que j’ai fini par me rendormir à bout de force.

 

 

Je me réveillai à nouveau lorsque mon réveil sonna. Je n’avais pas envi de sortir de sous la couette j’avais peur de lui faire face. Es ce que j’allais pouvoir le regardait en face après ce que je viens de faire. Je réussis tout de même à sortir du lit rejetant les couvertures aux pieds du lit, je n’étirai. Avant de me redressais gémissent de douleur il ni était pas allé doucement. Je croisai mon reflet dans le miroir, j’avais une tête affreuse. Tous mes amants et bon nombres de femmes m’ont souvent dit que j’étais beau. Moi je ne trouvé banal, de taille moyenne, des cheveux blond impossible à discipliné, les yeux gris acier, oui pas de doute je suis banal. Et même si j’étais beau je n’en ai rien à faire parce que cette beauté ne me permet pas d’avoir ce que je désir plus que tout. Alors à quoi bon.

 

J’avais encore la sensation de l’avoir en moi, sa avait été si bon si seulement il ne l’avait pas appelé elle, il venait de me briser le cœur une fois encore. J’entrai dans la salle de bain évitant de me regardais à nouveau dans la glace. Je me sentais si sale. J’entrai sous la douche laissant l’eau me débarrassé de ce que j’avais ressenti, de ma honte. Il m’a fallut beaucoup de courage avant de réussir à sortir de la salle de bain, j’avais enfilé un costard comme à mon habitude. Classe et décontracté, je ne portais jamais de cravate, je détesté ça à vrai dire. J’arrangeai ma coiffure, enfin j’essayai de l’arrangé sans grand succès. Je respirai un grand coup et sorti de la salle de bain pour descendre dans le salon.

 

Je le trouvai assit sur le canapé son téléphone portable à la main. Il regardait des photos sa chère et tendre Clara et je sentis mon cœur ce serré plus encore, enfin si cela était possible.

- Bonjours Bruce. Murmurais-je d’une voix douce. Il sursauta ce retournant vers moi, le regard d’un enfant blesser. Quant il et comme sa je lui pardonne tout.

Par Amako - Publié dans : substitut où amour ? ( terminé )
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