CHAPITRE 4 :

Benoit avait quitté la maison à 20 heures, il n’avait pas adressait le moindre mot ni le moindre regard à son frère qui n’avait pas tenté une approche. Il fallait mieux le laissait tranquille quelques jours il en avait déjà assez fait.

Lorsqu’il avait entendu le plus jeune dire au revoir à ses parents il c’était lever pour le regardait partir, il aurait voulu le retenir, l’empêché d’aller rejoindre ce mec mais il ne fit rien le regardant juste partir. Il posa son front contre la vitre gelé.

- pourquoi es ce que je ne peux pas me comporté normalement avec lui merde ? J’ai peur. Je suis terrorisé à l’idée de regardait la réalité en face et d’être rejeté.

Il retourna s’effondré sur son lit essayant de ce sortir de la tête les images de son frère dans les bras d’un autre mec. Qu’es ce qu’il faisait ? Que lui faisait-il ? Tant de question dans la réponse lui faisait peur.

Benoît venait d’arrivé devant chez Sam, il l’avait rencontré en boite il y a six mois déjà et il avait littéralement craqué sur lui. Il lui avait sauté dessus et ils avaient fait l’amour comme des bêtes. Et depuis ils sortaient ensemble. Il ne pouvait pas dire qu’il l’aimé il était juste bien avec lui. Il avait besoin d’oublier la douleur des mots de son frère et le seul moyen efficace était un bon parti de jambes en l’air.

Lorsqu’il entra dans l’appartement il trouva son amant contre le mur ce faisant prendre par un autre mec, il le baisait littéralement et il semblait prendre un grand plaisir. Il sentait les larmes lui monté aux yeux à cette vision. Pourquoi faisait-il sa ? Pourquoi ce soir ? Ils roussirent en cœur et Sam posa les yeux sur lui.

- bébé…t’es en avance.

- c’est qui lui ? Demanda l’inconnu.

- c’est mon amant, un super bon baiseur.

- il va rester planté la où il va ce joindre à nous ?

Il ne répondit rien et parti en courant. Il voulait s’éloigner le plus possible de lui, pourquoi es ce que tout les hommes donc il s’éprend finissent-il toujours par le tromper.

Il allât dans un bar bien décidé à ce souler la gueule.

Jérôme était assit sur le canapé fixant l’écran éteint de la télévision, il était trad. et il, n’était pas encore rentré. Il devait sans doute bien s’amusé avec son mec. Il avait passé sa soirée assit ici à attendre que son frère ce décide à rentré à la maison.

Jérôme regarda sa montre cinq heures du matin mais qu’es ce qu’il faisait à la fin ? C’était toujours la même chose le week end le plus jeune sortait, lui baiser une meuf et ensuite il l’attendait assit sur ce canapé ne dormant pas de la nuit. À chaque fois il voulait lui parlais mais il ni arrivé pas alors il le blesser à nouveau. Il ne savait que lui faire du mal.

Il sursauta lorsqu’il entendit la porte d’entré s’ouvrir.il regarda à nouveau sa montre six heures. Il ce leva ce dirigeant vers le couloire. Il vit son jeune frère qui essayer de mettre un pied devant l’autre. Jérôme le fixait avec sévérité il était dans un état pitoyable. Que c’était-il passé es ce que c’était de sa faute ? C’était sans doute un peu arrogant de pensé cela.

- où était tu Benoit ?

- moi…je suis allé…me bourré la gueule…et pourquoi tu es trois toi ?

- tu es pathétique.

- oh alors une pute, un Pd et maintenant pathétique en prime. Tu me flatte.

Il s’approcha vers lui et ce prit les pieds dans le tapis le blond voulut le rattraper et ils ce retrouvaient sur le sol le plus jeune avachit de tout son long sur le corps de l’ainé.

- aie, aie, fait mal.

Jérôme ne disait rien totalement paralysé par la surprise et par tout autre chose. Cette proximité l’excité. Il sentait son cœur au bord de l’explosion. Le brun ce redressa un sourire sadique sur le visage. Il posa ses mains sur le torse nu de son ainé ondulant son bassin contre le sien, l’excitant plus encore. Jérôme essayer tant bien que mal de contrôle son début d’érection et de ne pas laisser échapper un gémissement de plaisir. Benoit ce pencha vers Jérôme qui arrêta de respiré. Benoit lui mordilla le lobe de l’oreille avec provocation.

- sa te dirait de te faire une pute.

- arrête. Répondit-il dans un souffle.

- pourquoi es ce que j’arrêterais, tu vois la j’ai une envi folle de me faire défoncé. Tu passe ton temps à me traité de pute, je te propose de jouer mon rôle. Tu devrais accepter.

Benoit glissa sa mains dans le bas de jogging de son frère pour prendre son sexe en main pour le masturbé. Jérôme essayer de retenir ses gémissement, à peine le touchait-il qu’il le rendait totalement fou. Il rejeta la tête en arrière sous le plaisir, la respiration saccadé les joue rougie par le plaisir que lui donné cette douce main. Le sourire de Benoit s’agrandi à cette vision, il sorti la hampe de chair de sa prison de tissus.

Jérôme poussa un cri de surprise lorsqu’il senti les lèvres du brun sur son sexe. Il ce redressa pour essayer de l’écarté de lui mais il continua de le sucer.

- arrête ça Benoit….arrête…

Mais le plus jeune ne l’écouté pas continuant de faire coulissé ses lèvres sur le sexe tendu de son frère. Il accéléra les va et vient et Jérôme rendit les armes le laissant faire s’abandonnant au plaisir. Il posa sa main sur sa tête lui caressant les cheveux avec douceur essayant de retenir ses larmes. Sa n’aurait pas du ce passé comme sa. Il avait envi qu’il arrête, de le serrait contre lui de l’embrassé. Lorsqu’il ce senti proche de la délivrance il le força à le lâché et le plus jeune repris aussitôt son sexe en mains pour le faire jouir entre ses doigts. Il porta ses doigts à ses lèvres pour lécher la semence mais le blond l’arrêta.

- ne fait pas sa ?

- pourquoi je suis une pute tu aurais du me laissait aller jusqu’au bout.

- arrête ça benoit.

- POURQUOI C'EST MON RÔLE NON ! JE SUIS QU’UNE PUTE. C’EST TOI QUI ARRETE PAS DE ME LA REPETE. ALORS POURQUOI ? POURQUOI ES CE QUE TU REFUSE DE ME BAISER ? JE NE SUIS PAS ASSEZ BIEN POUR SON ALTESSE ROYALE　? C’EST PARCE QUE J’AI PAS DE SEINS NI DE CHATTE. À NON J4OUBLIER PERSONNE NE VOULAIT METTRE SA BITE DANS MON CUL.

Jérôme prit le visage de son frère entre ses mains pour le forcé à le regardait, essuyant les larmes qui couler sur ses joues, son cœur ce serré de le voire pleurait c’était encore de sa faute. Il l’embrassa avec douceur sur le front avant de prendre la parole d’une voix douce.

- qu’es ce qui c’est passé ?

- COMME SI SA T’INTERESSE. TU ES LE PIRE DE TOUS. T’AS BIEN PRIT TON PIED QUAND JE T’AI SUCER. TU ES COMME TOUT LES AUTRES. JE TE DETESTE, JE TE HAIS, JE TE MEPRISE, TU ES EXECRABLE. TU N’ES QU’UN ENFOIRE, UN SALOPARD. JE TE DETESTE　? JE TE DETESTE.

Jérôme encaisser les coups et les insulte de son frère. Chaqu’un de ses mots lui lacérait le cœur mais il l’avait bien cherché. Il mérité toute cette haine. Il essayer de retenir ses larmes de douleur. Il fini par agripper les poigner de son frère pour qu’il cesse et posa son front contre le sien fermant les yeux profitant de cette proximité de cette instant de calme. Il caressé sa joue du bout des doigts avec douceur. Le plus jeune sentis son cœur s’emballer. Il ne l’avait encore jamais touché de la sorte, il n’avait jamais était aussi gentil et doux. Ce n’était pas le Jérôme qu’il avait toujours connu. Il ferma les yeux essayant de ce calmé.

- que c’est il passé Ben ? Demanda-t-il d’une voix douce.

- il m’a trompé. On avait rendez vous…et quand je suis arrivé…chez lui…il était entrain de ce faire baiser par un autre… il criait comme une pute… et il a fait comme si de rien n’était…. C’est toi qui à raison tout les Pd ne sont que des putes.

Il ce laissa tombé sur le torse de son frère qui le serra aussitôt dans ses bras. Lui caressant les cheveux avec douceur. Ils restaient comme sa de longue minutes jusqu’à ce que le brun s’endorme épuiser. Jérôme le porta jusqu’à sa chambre. Il le déshabilla le recouvrir et s’allongea à côte de lui. Le brun venait aussitôt ce collé contre lui, ce blottissant contre son torse. Jérôme le serra dans ses bras le cœur battant la chamade.

- pourquoi…pourquoi es ce que tu es si gentil ?

- parce que je t’aime petit frère.

Le brun enfouissait son visage dans le cou de son ainé et murmura un simple.

- merci grand frère.

Et il s’endormi rassuré et apaiser par la présence de son frère. Jérôme lui resté éveillé veillant sur le sommeil de son frère. Laissant enfin couler ses larmes de tristesse. Il n’avait même pas compris je sens de son «　je t’aime　». Et il savait qu’il serrait incapable de lui redire une seconde fois. Demain il redeviendrait le frère détestable qu’il avait toujours était.

- dors mon belle ange demain sa ira mieux. Je ne laisserais jamais personne te faire du mal.

CHAPITRE 2 :

               Jérôme était assit à son bureau à ce prendre la tête sur un sujet de math, ce qu’il pouvait détester les maths. Il jeta son stylo et ce leva, il pouvait toujours aller voir son frère c’était une tête en math. Il ce dirigea vers la chambre de son cadet, il tapa à la porte mais n’obtenu pas de réponse. Il n’était pourtant pas sorti il devait forcément être la. Il ouvrir la porte pour entré dans la chambre et trouva sont frère assit sur le lit un casque sur les oreilles jouant de la guitare, c’est normal qu’il ne l’a pas entendu. Il resta dans l’encadrement de la porte le regardant joué, sa faisait bien longtemps qu’il ne l’avait pas entendu jouer, un jour pour le faire chier il avait dit qu’il en avait marre de l’écouté joué trop fort sa musique pourrit et qu’il joué mal. Il ne l’avait jamais pensé il aimé l’entendre jouer et sa lui manqué mais sa il ne le dirait jamais.

                     Le brun chantonné doucement et Jérôme ce senti frémir ce que sa voix pouvait être douce, si envoûtante

Il fut sorti de ces pensés par la voix de son frère qui avait cessé de joué et avait relevé les yeux sur lui, lui jetant un regard glacial. Il posa sa guitare et enleva son casque.

- qu’es ce que tu me veux encore ? Je ne suis ni entrain de baiser ni de fumer, j’ai le droit de joué de la guitare tout de même votre altesse ? Demanda-t-il d’une voix froide.

- je n’ai rien dit.

- mais tu le pense si fort Jérôme. C’est toujours la même chose avec toi des que tu ouvre la bouche il ni as que du poison qui en sort.

- j’ai…j’ai besoin de ton aide.

- tu as besoin de l’aide d’une pute de Pd. En quoi puis-je t’être utile ? Une petite pipe peu être où tu préfère que je te prête mon cul ? Profite en c’est porte ouverte.

- arrête. Souffla-t-il avec lassitude il ne voulait pas ce disputé avec lui aujourd’hui. J’ai besoin de ton aide pour un exercice de math.

- fait voire.

                          Le blond s’approcha de lui tendant son cahier et son livre, je plus jeune les pris et étudia l’exercice en silence. Le blond le fixait en silence, il aurait cru qu’il l’aurait renvoyé chier mais il ne le faisait jamais. À chaque fois qu’il avait besoin d’aide et qu’il va voire son frère ce dernier l’aidé sans jamais rien dire, une fois il lui avait dit que malgré toutes les méchancetés qu’il pouvait lui dire il continuerait à l’aidé parce que les études était très important et que s’il pouvait l’aidé à comprendre alors il l’aidera. Sans doute était-il bien trop gentil et lui bien trop con.

Benoit releva la tête en fessant signe à son frère de venir s’assoir à ses côté. Jérôme s’asseyais à ses côté ce penchant vers lui pour pouvoir suivre sur le livre les explication du plus jeune, son doux parfum, sa chaleur, il sentait son cœur battre plus fort, plus vite à ce contact alors il s’écarta un peu de lui, benoit tourna la tête vers son ainé et leurs visage ce retrouva à quelques centimètre de celui du blond il détourna aussitôt la tête.

- c’est bon tu as compris ?

- oui. Merci tu es un très bon professeur.

- waouh tu viens de me faire un compliment ou je rêve ?

- c’est bon ce n’est quand même pas la première fois.

- attend laisse moi réfléchir. Il marqua un temps d’arrêt faisant mine de réfléchir. Si c’est bien la première fois. Il ni as que des méchancetés qui sorte de ta bouche.

- c’est bon j’ai compris. Dit moi qu’es ce que tu joue ?

- un air que j’ai composé. Tu…tu veut écouter ?

- oui je veux bien.

Le brun lui tendit le casque qu’il mit alors que Benoit ce mit à joué, des les première notes il senti son cœur ce serré cette mélodie était si triste et pleine de douleur. Il retira le casque et ce levai pour sortir de la chambre, Benoit resta sans réaction une lueur de tristesse dans le regard.

- je joue donc si mal que sa ?

- c’est bon pour aujourd’hui aller vous douché.

Raphaël attrapa sa bouteille d’eau en avalant un gr grande gorgé alors que ses coéquipiers rejoignaient le vestiaire. Il vit James qui continuaient à faire quelques paniers comme à son habitude. Le capitaine s’approcha de lui interceptent le ballon.

- capitaine laisse moi joué tranquille pour une fois. Qu’es ce que tu veux encore ?

- mais rien voilant juste faire quelques paniers avec toi.

- mais bien sur.

- c’est qui ce blond avec qui j’ai vu Benoit ce week end ?

- j’aurais du m’en douté. C’est son mec c’est claire alors fou moi la paix avec sa.

James voulut partir mais il le retenait le forçant à lui faire face le fixant en souriant.

- c’est bon t’énerve pas pour sa. Je te ramène chez toi.

- pourquoi pour encore me poser des questions sur Benoit. Je ne suis pas une boite de renseignement. Alors s’il te plait juste aujourd’hui fou moi la paix.

Il ce défit de son étreinte et rejoignais les vestiaires sous le regard étonné du capitaine. Qu’es ce qu’il lui arrivé ? Depuis quelques temps il était toujours de mauvaise humeur. Avant il était en total admiration devant le capitaine. Sa avait bien vite changé.

- ah la jeunesse.

James était sous la douche les autre rigolé mais lui il n’avait pas le cœur à rire. Pourquoi es ce qu’il fallait toujours que sa ce passe de la même façon.

- tu sais que t’as un petit cul à tombé James.

- tu vire gay Raphael.

- c’est toi qui traine avec un gay.

- et c’est toi qui en…

- c’est bon t’as gueule. Tu deviens invivable.

- tu t’y prends mal. Tu n’auras jamais ce que tu désir si tu agis de la sort.

- je te raccompagne chez toi James je dois voir tes parents les miens veulent les invité à diné samedi soir après le match.- je leurs passerait le message.
              james sorti de sous la douche ce retournant vers son capitaine le fixant avec froideur. raphael détesté quand il le regardait de la sorte.

- non je le ferais. On dirait que tu n’as vraiment pas envi que je te raccompagne.

- tu as tout compris fait ce que tu veux moi je rentre à pied. Ce n’est pas la peine de discuté plus longtemps.

              il sorti des douches sous le regard attristé de son capitaine. pourquoi ce conportait il comme ça avec lui ? que lui avait-il fait ?
- et merde fait chier.　

Prologue :

Le jeune blond aux yeux d’un gris pénétrant fixait le brun assit en face de lui, il semblait tout timide, le plus jeune regardait son aîné les joues rouge. Il le trouvé vraiment beau il allait devenir son frère et il était tellement heureux il avait toujours voulut avoir un frère.

- tu es mon grand frère maintenant ? Demanda-t-il avec un sourire des plus adorables.

- écoute moi bien petite merde. Ici je suis cher moi toi tu n’es qu’un parasite. Je ne suis pas et ne serrait jamais ton frère. Alors va te faire foutre.

Le petit brun éclata en sanglot alors que l’ainé quitté la pièce le cœur serré.

Deux corps en sueur bougé d’un seul et même mouvement, étroitement enlacé sous les rayons de la lune. Le beau blond s’accroché de toute ses force au brun qui le chevauché avec fièvre et passion, pénétrant ses chaires encore et encore le faisant râler de plaisir. Il donné de puissant coup de rein, e faisant tremblé le lit. C’était puissant, passionné et follement érotique.

Ils finirent par ce rendre dans un cri déchirent la nuit, un cri d’extase totale. Et ils s’écroulaient à bout de souffle, reput, frissonnant encore de cette étreinte si passionné.

- c’était grandiose Ben. Murmura le blond dans un souffle rauque, d’une voix fatigué d’avoir tant crié son plaisir.

- ravis que sa t’es plus SAM. Répondit son amant en allant l’embrassé avec douceur.

- où était tu petit frère ?

Un grand blond aux yeux gris acier et au corps d’Apollon était adossé au mur du couloir fixant le jeune ténébreux qui venait de rentré. Tout le contraire de lui, ses cheveux brun mi long, les yeux d’un noir profond et envoûtant, la peau mat, le corps finement musclé et tout aussi beau que lui. Le brun leva les yeux sur lui le fusillant du regard. Il passa à côté de lui pour allait dans la cuisine, avant d’entré dans la pièce il lui lança d’une voix froide.

- je ne suis pas ton frère.

Sa il le savait très bien. En effet la mère de Benoit (le brun) c’étais remarier avec le père de Jérôme (le blond) il y a un peu plus de deux ans et les deux «　frères　» ne sont jamais parvenu à s’entendre. Jérôme et le plus âgé des deux, il a dix huit ans alors que Benoit en as 16. Le plus âgé ne cessait de tournante son jeune frère, de l’insulté de le rabaissé. Lui faisant comprendre que sa présence n’était pas désirée. Et cela c’était aggravé lorsqu’il avait appris qu’il était homosexuel. Il n’avait rien trouvé de mieux à faire que de le criait sur tout les toits, Benoit était resté enfermé dans sa chambre durant des jours. Mais il avait fini par en sortir affrontant en face ce qu’il était. Il s’affiché avec le plus de mec possible pour faire enragé son frère.

Jérôme l’avait suivit dans la cuisine et le fixait en silence le regardant boire du lait directement à la bouteille, il voyait sa pomme d’Adam bougé à chaque gorgé, un peu de lait s’échappé de sa bouche coulant sur sa joue. Il reprit ses esprits pour reprendre la parole.

- je répète où était tu ?

- je suis allais faire ce que tu n’as si gentiment demandé de faire. Je suis allé baiser cher frère. La pute de PD que je suis et aller joué son rôle.

- c’était agréable au mois.

- très, incroyablement bon.

- et dit moi, tu la baiser au c’est toi qui t’es fait enfilé.

- de ce côté la je suis toujours vierge.

- je devrais peu être t’aidé parce que personne ne voudra foutre sa queue dans ton cul.

- à part toi. Répondit-il en le fusillant du regard.

- c’est par pure bonté d’âme.

- pour info c’est la mienne qu’ils veulent avoir dans leurs culs.

Jérôme le fixait ne sachant pas quoi répondre c’est vrai que son cadet était très beau et désirable il avait un succès fou auprès des hommes comme des femmes.

Le brun passa à côté de lui sans lui adressé le moindre mot pour allais s’enfermé dans sa chambre. Il s’écroula sur son lit à bout de force. C’était toujours la même chose chaque matin, chaque soir, sans cesse la même chose et il était tellement fatigué de cette guerre incessante. Ses mots, ses insulte le blesser tellement mais il avait appris à masqué ses sentiment et à lui tenir tête. Ils ne pourraient jamais s’entendre, ils étaient trop différent l’un de l’autre. Jérôme lui avait bien fait comprendre lors de leurs premières rencontres qu’il ne voulait plus de lui dans sa vie.

Jérôme ce laissa tombé sur le canapé soufflant de lassitude. Il était déjà six heures du mat mais il n’avait pas la moindre envi de dormir. Il ferma les yeux il avait encore était horrible avec son frère pourquoi ne pouvait-il pas ce comporté comme un frère avec lui. Peut être parce qu’il n’avait jamais put ni voulut l’avoir pour frère.

- demain et un autre jour frérot. souffla-t-il avec tristesse.

La maison redevenait clame attendant leurs prochaine joute qui viendrais avec le lever du soleil. Ils allaient encore ce faire du mal, c’était devenu leurs quotidien depuis qu’ils vivaient sous le même toit.